(19)
(11) EP 0 009 448 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
02.04.1980  Bulletin  1980/07

(21) Numéro de dépôt: 79400650.2

(22) Date de dépôt:  18.09.1979
(51) Int. Cl.3G03D 13/04
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE GB IT NL

(30) Priorité: 18.09.1978 FR 7826649

(71) Demandeur: Descotes, Maurice
F-30980 Langlade (FR)

(72) Inventeur:
  • Descotes, Maurice
    F-30980 Langlade (FR)

(74) Mandataire: Hasenrader, Hubert et al
Cabinet Beau de Loménie 158, rue de l'Université
75340 Paris Cédex 07
75340 Paris Cédex 07 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Cuve de développement rotative à bains perdus et en plein jour pour surfaces sensibles photographiques ou autres à support souple


    (57) Cuve de développement à bains perdus et en plein jour pour surfaces sensibles photographiques ou autres à support souple.
    En vue d'équilibrer la cuve 100 autour de son axe longitudinal de rotation et de permettre le travail en plein jour sans que les produits de traitement ne puissent être déversés par inadvertance à côté de la cuve, il est prévu que le couloir d'évacuation (5) est délimité par deux cylindres concentriques (1 et 2) dont le cylindre intérieur (1) est muni de ladite fente longitudinale (4) et dont le cylindre extérieur (2) comporte également une découpe ou fente longitudinale (106) située au moins approximativement entre les deux mômes plans radiaux (101, 102) passant par les bords (4a, 4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) et constituant l'orifice d'évacuation (6), qu'une cloison de liaison (3) relie l'un (4a) des bords longitudinaux (4a, 4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) au bord longitudinal éloigné opposé (106b de la fente (106) du cylindre extérieur (2), que la largeur de la fente intérieure (4) est telle que les plans radiaux passant par bords longitudinaux (4a, 4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) incluent un angle d'environ 45° et que l'orifice central du couvercle amovible (110) est conçu de façon à être étanche à la lumière et à laisser passe le liquide de traitement dans le cylindre intérieur 1.




    Description


    [0001] La présente invention concerne une cuve de développement à bains perdus et en plein jour pour surfaces sensibles photographiques ou autres à support souple, du type mobile en rotation autour de son axe longitudinal horizontal dans un premier sens pour plonger cycliquement la surface sensible dans un liquide de traitement et dans un second sens opposé au premier pour évacuer ledit liquide de traitement hors de ladite cuve, et comprenant, d'une part, un récipient cylindrique se composant d'un cylindre à section transversale circulaire, d'une paroi de fond inamovible et solidaire dudit cylindre, et d'un couvercle amovible muni d'un orifice central et susceptible d'obturer ledit récipient de façon étanche à la lumière, et, d'autre part, un couloir d'évacuation entourant partiellement ledit récipient cylindrique et débouchant, d'un côté, à l'extérieur par un orifice dévacuation et, de l'autre côté, dans une fente longitudinale du récipient cylindrique.

    [0002] Les cuves de ce type connues par exemple par le brevet néerlandais 113 444 ne permettent pas d'introduire les différents liquides de traitement par un orifice central du couvercle amovible de la cuve et présentent un balourd considérable de sorte que leur rotation est irrégulière et conduit rapidement au ballant de la cuve ce qui est néfaste pour un développement régulier des surfaces sensibles photographiques.

    [0003] La conformation particulière des cuves du type connu précité est la cause que les liquides de traitement viennent en contact avec une partie de la surface photosensible avant que le véritable traitement ne commence.

    [0004] En outre, les cuves connues ne se prêtent pas à un montage et un démontre rapide et facile dans et hors de leur position horizontale de rotation.

    [0005] L'invention a pour but de supprimer ces inconvénients et de proposer une cuve du type susmentionné qui à l'exception de l'introduction de la surface sensible dans la cuve permet d'effectuer toutes les autres opérations en plein jour et sans que les produits de traitement ne puissent être déversés par inadvertance à côté de la cuve.

    [0006] Ce but est atteint conformément à l'invention, du fait que le couloir d'évacuation est délimité par deux cylindres concentriques dont le cylindre intérieur est muni de ladite fente longitudinale et dont le cylindre extérieur comporte également une découpe ou fente longitudinale située au moins approximativement entre les deux mêmes plans radiaux passant par les bords de la fente du cylindre intérieur et constituant l'orifice d'évacuation, qu'une cloison de liaison relie l'un des bords longitudinaux de la fente du cylindre intérieur au bord longitudinal éloigné opposé de la fente du cylindre extérieur, que la largeur de la fente intérieure est telle que les plans radiaux passant par les bords longitudinaux de la fente du cylindre intérieur incluent un angle d'environ 45° et que l'orifice central du couvercle amovible est conçu de façon à être étanche à la lumière et à laisser passer le liquide de traitement dans le cylindre intérieur.

    [0007] Grâce à cette conception, la cuve est bien équilibrée en rotation, le bain est cycliquement agité d'une manière efficace et la surface sensible est traitée d'une façon précise et régulière. En outre, la cuve est d'une manipulation facile, notamment en ce qui concerne la mise en place de la surface sensible et de l'introduction et de l'évacuation des liquides de traitement. Par ailleurs, pour une position déterminée horizontale de la cuve, le liquide de traitement introduit dans la cuve s'accumule dans le couloir d'évacuation et dans la fente du cylindre intérieur sans venir en contact avec la surface photosensible avant la mise en rotation de ladite cuve.

    [0008] Il est également un but de la présente invention de concevoir la cuve de telle sorte qu'elle puisse facilement et rapidement être accouplée à ou désaccouplée d'un dispositif de support et d'entraînement.

    [0009] Par la demande de brevet allemand 2 047 864, on connait déjà une cuve de développement associée à un dispositif de support et d'entraînement en rotation du type comprenant un caisson muni de deux compartiments dont l'un comprend un mécanisme d'entraînement tel qu'un moteur pour la cuve de développement et dont l'autre comprend, au fond, une rigole collectrice et, au-dessus de celle-ci, ladite cuve qui, en position horizontale, repose sur deux arbres de support qui sont montés mobiles en rotation dans des paliers et dont celui monté dans la cloison séparatrice entre les deux compartiments est creux et est muni d'un tube d'alimentation ainsi que d'un organe d'entraînement relié audit moteur par l'intermédiaire d'une transmission.

    [0010] D'après cet état de la technique, la cuve de dével- lopement semble être installée à poste fixe et ne pas comporter de couvercle inamovible pour permettre l'introduction de la surface photosensible dans le sens axial de la cuve.

    [0011] Pour supprimer ces inconvénients et pour rendre la cuve facilement manipulable avant pendant et après le traitement des surfaces photosensibles, on propose conformément à l'invention que la paroi de fond solidaire des deux cylindres concentriques comprend également un renfoncement qui est de forme identique à celui du couvercle, est aligné sur l'axe longitudinal de la cuve et du renfoncement du couvercle et est également dirigé vers l'intérieur du cylindre intérieur, que les renfoncements sont susceptibles de recevoir chacun un patin rotatif qui s'encastre sans jeu latéral notable dans le renfoncement correspondant de façon à pouvoir transmettre à ladite cuve un couple de rotation, qui comporte un arbre s'étendant du côté détourné de la cuve, aligné sur l'axe longitudinal de ladite cuve et monté mobile en rotation dans un palier correspondant et qui supporte avec ledit patin ladite cuve pendant sa rotation, que les arbres des patins et des paliers correspondants sont alignés entre eux, que le patin et son arbre associés au couvercle sont creux et traversés par un tube d'alimentation dont l'extrémité dépasse du tube de couvercle et pénètre dans le chapeau du couvercle et que l'autre patin et son palier sont mobiles et déplaçables dans le sens axial.

    [0012] En raison de ces particularités, la cuve de dével- lopement est d'un emploi et d'une manipulation aisés.

    [0013] D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront, d'une part, des revendications et, d'autre part, de la description suivante d'un mode de réalisation illustré sur le dessin annexé sur lequel :

    - la figure 1 est une vue en perspective éclatée d'une coupe axiale verticale de la cuve de développement et de son couvercle amovible ;

    - la figure 2 est une vue en plan d'une coupe axiale à travers la cuve et de son couvercle suivant la ligne A-A de la figure 3 ;

    - la figure 3 est une vue en élévation d'une coupe verticale transversale à travers la cuve de développement, suivant la ligne B-B de la figure 2 ;

    - la figure 4 est une vue en élévation et de face de la paroi de fond de la cuve, suivant la flèche C de la figure 2 ;

    - la figure 5 est une vue en élévation et de face du couvercle, suivant la flèche D de la figure 2 ;

    - la figure 6 est une vue en coupe axiale verticale de la cuve de développement installée sur son dispositif de support et d'entraînement, suivant la ligne E-E des figures 7 et 8 ;

    - la figure 7 est une vue latérale d'une coupe verticale du dispositif de support et d'entraînement suivant la ligne F-F de la figure 6, la cuve ayant été supprimée pour la clarté du dessin ;

    - la figure 8 est une vue latérale d'une autre coupe verticale du dispositif de support et d'entraînement suivant la ligne G-G de la figure 6, la cuve ayant été supprimée pour la clarté du dessin ; et

    - les figures 9 et 10 sont des vues en élévation de deux coupes transversales à l'axe de la cuve la montrant en deux positions de travail différentes.



    [0014] Telle que représentée sur les figures 1 à 6 et 9, 10, la cuve de développement est constituée par un corps de cuve 100 et son couvercle amovible 110.

    [0015] Le corps de cuve 100 comprend un cylindre intérieur 1 de diamètre 0 1 et de longueur L appropriées aux dimensions de la surface sensible à traiter S, et un cylindre extérieur 2 concentrique au cylindre 1 de diamètre 0 2 et de longueur 1.

    [0016] Le diamètre 0 2 du cylindre 2 est supérieur au diamètre Ø 1 du cylindre 1 de telle sorte qu'un couloir d'évacuation 5 crée entre la paroi extérieure le du cylindre intérieur 1 et la paroi intérieure 2i du cylindre extérieur 2 ait une largeur suffisante pour une évacuation rapide des liquides contenus dans le cylindre 1.

    [0017] La longueur 1 du cylindre 2 est inférieure à la longueur L du cylindre 1 d'une valeur d qui correspond à la profondeur d'enfoncement du couvercle 110 dans le cylindre intérieur 1. A l'extrémité opposée à celle recevant le couvercle 110, les cylindres 1 et 2 sont hermétiquement fermés par une paroi de fond inamovible 10 dans laquelle est pratiqué un renfoncement 12 comprenant une paroi latérale coaxiale 12a et un fond perpendiculaire à l'axe longitudinal 00' de la cuve 100. Le renfoncement 12 est dirigé vers l'intérieur du cylindre intérieur 1.

    [0018] Le couloir d'évacuation 5 est nécessairement de forme annulaire et cylindrique et une collerette hermétique et inamovible 11 obture son extrémité située du côté du couvercle 110.

    [0019] A son extrémité opposée à la paroi de fond 10, le cylindre 1 est ouvert, cette extrémité ouverte pouvant être obturée de façon étanche par le couvercle amovible 110.

    [0020] Parallèlement à l'axe longitudinal 00' des cylindres 1 et 2, une ouverture oblongue ou fente 4 est pratiquée dans la paroi du cylindre intérieur 1 sur une longueur 1 qui part de la paroi de fond 10 et s'étend jusqu'à l'autre extrémité du cylindre extérieur 2 et qui correspond donc également à la longueur de celui-ci. La fente 4 constitue l'ouverture par laquelle le couloir d'évacuation 5 est relié à l'intérieur du cylindre intérieur 1.

    [0021] Le couloir 5 délimité par les parois des cylindres intérieur et extérieur 1,2, la paroi de fond 10 et la collerette 11,débouchent à l'air libre par un orifice d'évacuation 6 de section rectangulaire et qui provient d'une découpe ou fente longitudinale 106 pratiquée dans la paroi du cylindre extérieur 2 au moins approximativement dans le prolongement radial des bords 4a, 4b de la fente intérieure 4.

    [0022] La largeur transversale de la fente intérieure 4 est telle que les plans radiaux 101,102 passant par les bords longitudinaux 4a, 4b de la fente 4 du cylindre intérieur 1 incluent un anglea d'environ 45° (figure 3). La largeur transversale de la fente ou découpe extérieure 106 est au moins approximativement égale et de préférence inférieure à celle de la fente intérieure 4. Les positions des deux fentes 4 et 106 l'une par rapport à l'autre sont telles que la fente extérieure 106 se trouve au moins approximativement entre les deux plans radiaux 101,102 passant par les bords 4a, 4b de la fente 4 du cylindre intérieur 1.

    [0023] A l'endroit des fentes 4 et 106, le cylindre intérieur 1 est relié au cylindre extérieur concentrique 2 par une cloison de liaison 3 qui est plane ou légèrement incurvée et qui, de préférence, part tangentiellement du bord 4a du cylindre intérieur 1 et se raccorde, le cas échéant de façon incurvée et progressive au bord éloigné opposé 106b de la paroi du cylindre extérieur 2 en délimitant avec ladite paroi un angle obtus. Ainsi cette cloison de liaison 3 assure la continuité entre la paroi intérieure li du cylindre intérieur 1 à partir de l'un (4a) des bords longitudinaux 4a,4b de la fente 4, et la paroi intérieure 2i du cylindre extérieur 2 à l'endroit du bord 106b situé en face du bord libre 4b de la fente intérieure 4.

    [0024] L'un (106a) des bords longitudinaux 106a, 106b de la fente ou découpe extérieure 106 est situé de préférence dans le même plan radial 101 que le bord 4a de la fente 4, bord 4a raccordé à la cloison de liaison 3. L'autre bord 106b se trouve entre les deux plans radiaux 101 et 102 et pourrait même se trouver à l'endroit défini par l'intersection du plan bissecteur des plans radiaux 101 et 102 et le cylindre extérieur 2. Ainsi, le volume de la cuvette délimitée par le plan 103 passant par les bords 4a,4b et la cloison de liaison et la paroi intérieure 2i du cylindre extérieur jusqu'à l'intersection de celle-ci avec le plan 103 peut être augmenté de même que le volume du bain de traitement qui pour la position appropriée de la cuve, position dans laquelle le plan 103 est horizontal s'accumulera dans ladite cuvette et ne viendra pas en contact avec la surface sensible S avant la mise en rotation de la cuve 100. Bien entendu la différence entre les diamètres des deux cylindres 1,2 est choisie telle que l'épaisseur ou hauteur radiale du couloir d'évacuation 5 soit suffisante pour évacuer rapidement les liquides de traitement vers l'orifice 6.

    [0025] Grâce à la disposition mutuelle des cylindres concentriques 1 et 2, des fentes 4 et 106 ainsi que de la cloison de liaison 3, la cuve 100 ne présente pratiquement pas de balourd notable.

    [0026] A l'endroit ou à proximité de chaque bord longitudinal 4a, 4b de la fente intérieure 4 est disposée, de préférence, de façon réglable dans le sens circonférentiel, sur la paroi intérieure li du cylindre intérieur 1 une rangée d'ergots 7,8 dont les ergots sont régulièrement espacés et servent en tant que butées latérales pour maintenir la surface sensible S à l'intérieur du cylindre intérieur 1 contre son déplacement dans l'un ou l'autre sens circonférentiel et évitent ainsi une obturation de la fente 4.

    [0027] Le couvercle amovible 110 de la cuve 100 comprend une paroi extérieure en forme de disque annulaire 13 perpendiculaire à l'axe 00' et possédant en retrait de son bord une collerette cylindrique souple 18 de longueur d qui s'emboite de façon rigoureusement étanche à l'intérieur du cylindre intérieur 1. Au bord intérieur de la paroi annulaire 13 se raccorde une paroi latérale cylindrique coaxiale 17a qui avec le fond 14 délimite un renfoncement 17 dirigé vers l'intérieur du cylindre intérieur 1. La hauteur de la paroi latérale 17a et donc la profondeur de l'enfoncement 17 sont sensiblement égales à la hauteur d de la collerette 18. Le fond 14 du couvercle 110 est parallèle à la paroi annulaire 13. La forme de ce renfoncement 17 est identique à celle du renfoncement 12 de la paroi de fond 10 de la cuve 100. La paroi latérale 12a, 17a de chaque renfoncement 12,17 comporte deux faces planes parallèles 12b,12c et 17b, 17c et entre les extrémités desdites faces planes parallèles, deux faces courbes de préférence cylindriques 12d, 12e et 17d, 17e. Les faces planes 12b, 12c ou 17b 17c et les faces courbes 12d, 12e ou 17d,17e sont disposées de façon symétrique par rapport à l'axe du renfoncement cylindrique 12,17 qui est en alignement avec l'axe 00' de la cuve 100. La paire de faces planes de chaque renfoncement est destinée à venir en contact avec un organe de forme correspondante et à transmettre à la cuve 100 un couple ou mouvement de rotation. Un orifice circulaire central 16 prévu dans le fond 14 et prolongé par un tube 15 dirigé vers l'extérieur du cylindre intérieur 1 permettra d'introduire dans le cylindre intérieur 1 les bains nécessaires au développement de la surface sensible S.

    [0028] L'étanchéité à la lumière du couvercle 110 à l'endroit de l'orifice 16 est assurée par un chapeau 19 de forme tronconique qui coiffe, à distance, le tube 15, la paroi latérale 17a et le fond 14 du renfoncement 17, pénètre, par son extrémité élargie 19a dans la gorge annulaire 18a délimitée par la paroi latérale 17a et la collerette 18 et qui est fixé au fond 14 par des pastilles d'écartement 20 espacées de telle sorte qu'ellespermet- tent le passage des liquides du sommet du chapeau 19 vers l'intérieur du cylindre intérieur 1.

    [0029] Le diamètre extérieur de la paroi annulaire 13 du couvercle 110 est compris entre les diamètres 0 1 et 0 2 des cylindres 1 et 2.

    [0030] L'emboîtement du couvercle 110 dans le cylindre intérieur 1 de la cuve 100 se fait par pression, la flexibilité de la collerette cylindrique 18 étant telle que sa légère déformation assurera la tenue du couvercle 110 sur la cuve 100 et l'étanchéité de celle-ci dans la zone de contact cuve-couvercle.

    [0031] Les dimensions de la cuve 100 sont appropriées aux formats des surfaces sensibles S.

    [0032] Ainsi, pour une surface sensible S de dimensions 20 x 25 cm on pourra prendre une cuve ayant les dimensions suivantes :

    Pour une surface sensible S de dimensions30 x 40 cm on pourra prendre une cuve ayant les dimensions suivantes :

    Pour une surface sensible S de dimensions50 x 60 cm on pourra prendre une cuve ayant les dimensions suivantes :



    [0033] Ces dimensions sont données à titre indicatif, ces diamètres et longueurs pouvant varier sensiblement autour des valeurs indiquées ci-dessus.

    [0034] Il importe cependant que la différence entre les diamètres 0 1 et 0 2 soit suffisante pour évacuer rapidement les liquides tout en gardant le cylindre intérieur étanche à la lumière. Le matériau utilisé pour la cuve sera le plus léger possible et résistant à toute corrosion par les bains. Les matières plastiques se prêtent particulièrement bien à la fabrication des cuves.

    [0035] L'épaisseur des parois des cylindres esL la plus mince possible pour obtenir une cuve légère et parfaitement rigide.

    [0036] Tel que représenté sur les figures 6 à 8, le dispositif de support et d'entraînement en rotation de la cuve 100 comprend un caisson parallélépipédique 120 qui comporte deux compartiments 121,122 séparés l'un de l'autre de façon étanche par une cloison séparatrice 38 et dont l'un (121) est muni d'un mécanisme d'entrainement tel qu'un moteur 28 pour la cuve 100, et dont l'autre (122) est muni, au fond, d'une rigole collectrice 41 et au-dessus de celle-ci,de ladite cuve 100. Le caisson 120 est réalisé en un matériau résistant à la corrosion et comprend différentes parois verticales et horizontales longitudinales et transversales indiquées sur les figures 6, 7, 8 par les références 36 à 45. Font également partie du dispositif de support et d'entraînement deux patins 21 et 31 dont le pourtour est tel qu'ils puissent s'encastrer sans jeu latéral notable dans l'un des deux renfoncements 17,12 de la cuve 100, ces patins 21,31 étant disposés coaxialement dans le compartiment 122 recevant la cuve 100, Le pourtour de chaque patin 21,31 comprend donc une paire de faces latérales planes parallèles 21a, 21b ou 31a, 31b et deux faces courbes de préférence cylindriques 21c, 21d ou 31c, 31d qui relient chacune les extrémités correspodantes de deux faces planes parallèles 21a, 21b ou 31a, 31b. Les faces planes 21a, 21b ou 31a, 31b et les faces latérales courbes 21c, 21d ou 31c 31d de chaque patin de support et d'entraînement 21,31 sont disposées de façon symétrique par rapport aux axes alignés des patins 21,31, ces axes étant également alignés avec celui de la cuve 100 en position horizontale (figure 6). Grâce à cette conformation particulière des patins 21,31 et des renfoncements 12,17 de la paroi de fond 10 et du couvercle 110 de la cuve 100, un accouplement de celle-ci à son dispositif de support et d'entraînement peut facilement être établi ou défait. Ainsi le mouvement ou couple de rotation peut être transmis à la cuve 100 sans difficultés.

    [0037] Du côté détourné de la cuve 100, chaque patin 21,31 est muni d'un arbre de support ou embout d'arbre 23,33 qui est coaxial au patin correspondant et monté dans un palier 22 ou 32.

    [0038] Le palier 22 supportant l'arbre 23 du patin 21 associé au couvercle 110 de la cuve 100 est bridé et fixé sur la cloison séparatrice 38 de telle sorte qu'il se trouve en partie (la bride 22a) dans le compartiment 122 de la cuve 100 et en partie dans le compartiment 121 contenant le moteur 28.

    [0039] L'arbre 23 et le patin 21 sont percés en leur centre par un alésage cylindrique 25 dans lequel passera un tube d'alimentation coudé 26 relié à un entonnoir 27 fixé sur le couvercle 45 du compartiment 121. Le tube d'alimentation est d'une longueur telle que son extrémité frontale libre pénètre à travers l'orifice 16 et le tube 15 du couvercle 110 dans le chapeau jusqu'à cinq millimètres environ du fond de celui-ci.

    [0040] L'extrémité libre de l'arbre creux 23 du patin 21 dépasse de son palier 22 et pénètre dans le compartiment 121 du moteur 28.

    [0041] Une poulie à gorge (ou un pignon à chaîne) 24 est clavetée sur l'extrémité libre de l'arbre creux 23 et est reliée par l'intermédiaire d'une transmission telle qu'une courroie (ou autre) 30 et une autre poulie 29 au moteur électrique 28 ou à une manivelle qui permettra de faire tourner la cuve 100 dans le sens T ou le sens opposé V (figure 3).

    [0042] L'autre extrémité c'est-à-dire la paroi de fond 10 de la cuve 100 est soutenue par le patin 31 dont le contour latéral s'adpate sans jeu notable à celui du renfoncement 12 de la paroi de fond 10. La face arrière du patin 31 est solidaire de l'embout d'arbre 33 tournant librement dans le palier 32 qui est monté sur un support mobile 34. Ce support mobile 34 est réglable en position axiale et peut se déplacer suivant le sens longitudinal de la cuve 100 dans deux glissières horizontales 35 fixées sur les parois longitudinales 43 et 44 du caisson 120. Le support 34 du palier 32 est ajusté et maintenu dans une position dans laquelle le patin 21 est maintenu dans le renfoncement 17 du couvercle 110.

    [0043] On pourra également utiliser un ou plusieurs ressorts de rappel 47 pour solliciter en permanence vers la cloison 38 et l'autre patin 21 le support 34 avec le palier 32 et son patin 31. A cette fin, deux ressorts 47 sont fixés, d'une part, au support mobile 34 et, d'autre part, à la cloison séparatrice 38.

    [0044] La cuve 100 est mise en place et maintenue horizontalement entre les patins 21 et 31 encastrés dans les renfoncements 17 et 12 du couvercle amovible 110 et de la paroi de fond 10 de la cuve 100 et les ressorts de rappel 47 du support mobile 34 empêchent la cuve 100 de se dégager de ses patins de support 21,31 pendant la marche, tout en maintenant le couvercle 110 hermétiquement fermé sur la cuve 100.

    [0045] Le bac de réception des produits usagés est constitué par la rigole inclinée 41 qui évacue par le tuyau 42 vers l'extérieur (par exemple vers un évier d'évacuation) les liquides de traitement sortant de la cuve 100 par l'orifice 6.

    [0046] Le couvercle 40 ferme le compartiment 122 du caisson 120 et une soufflerie avec thermostat incorporé 46 produira un bain d'air chaud à plus ou moins 1 degré nécessaire pour maintenir l'intérieur du caisson 120 à la température désirée.

    [0047] Les dimensions du caisson 120 sont déterminées en fonction de la plus grande cuve que l'on souhaite utiliser. Toutes les cuves de dimensions inférieures seront utilisables grâce à la mobilité axiale du patin 31 et de son palier 32.

    [0048] Par exemple si l'on utilise un caisson pouvant recevoir une cuve destinée à traiter une surface sensible de format 50 x 60 cm, ce caisson pourra également servir au traitement de tous les formats, inférieurs dans des cuves appropriées, puisque le palier mobile 32 est constamment sollicité par les ressorts 47 en direction du palier fixe 22 jusqu'à ce que le patin 31 porte contre le fond 9 du renfoncement 12.

    [0049] Seuls les renfoncements 17 et 12 et les patins 21 et 31 devront être identiques pour toutes les cuves ainsi que le diamètre de l'orifice central 16 du couvercle 110.

    [0050] L'extrémité ouverte du cylindre intérieur 1 peut être munie d'une collerette lla contre laquelle peut s'appliquer la partie extérieure de la paroi extérieure 13 du couvercle 110. Ainsi, ce couvercle 110 peut être rendu mécaniquement solidaire du corps de cuve 100 à l'aide de pinces amovibles 130, par exemple trois pinces du type à papier qui coiffent les bords de la collerette lia et de la paroi extérieure 13 (voir figures 2 et 6).

    [0051] La cuve de développement décrite est de forme cylindrique dont la section transversale a l'allure générale d'une courbe non fermée qui fait presque deux révolutions autour de l'axe longitudinal de la cuve et qui comprend deux parties circulaires concentriques couvrant chacune sensiblement le même secteur circulaire dont les rayons Incluent un angle de l'ordre de 300 à 320 degrés, la partie circulaire intérieure étant reliée à la partie circulaire extérieure par une ligne droite ou faiblement incurvée et partant tangentiellement de la partie intérieure. Il y a ainsi continuité suivant une section transversale des surfaces intérieures 1i et 2i des cylindres 1 et 2, depuis la rangée d'ergots alignés 8 jusqu'à l'orifice d'évacuation 6. L'emploi de la cuve se déduit de cette particularité.

    [0052] 

    - Après avoir introduit dans l'obscurité la surface sensible S dans la cuve 100 et mis en place le couvercle 110 qui assure l'étanchéité à la lumière, on peut alors opérer en plein jour.

    - On place la cuve fermée sur le dispositif d'entraînement (figure 6) entre les patins 21 et 31 qui s'emboîtent dans les renfoncements 17 et 12.

    - On fait tourner la cuve dans le sens T (figure 9).

    - On introduit le bain en quantité juste nécessaire pour le format de la surface sensible S à l'aide de l'entonnoir 27. Ce bain pénètre dans la cuve par le tube d'alimentation 26 traversant l'orifice 16 et descend le long du chapeau 19 dans la cuvette délimitée en position horizontale des rangées d'ergots 7,8 la fente 4 et la partie attenante du couloir 5 sans que la surface sensible S soit humectée.



    [0053] En tournant la cuve dans le sens T (figure 9), le déplacement apparent du bain B sur la surface sensible S se fait dans le sens des flèches t. A chaque rotation, la cassure produite par le bord libre 4b de la fente 4 provoque l'agitation du bain B. Les ergots 8 agissent en tant que butées de retenue et empêchent la surface sensible S d'être entraînée par le déplacement du liquide lors de la rotation de la cuve 100 dans le sens T.

    [0054] Lorsque la durée prévue pour le traitement de la surface sensible S par le bain B est terminée, on inverse le sens de rotation de la cuve 100 qui tourne alors dans le sens V. Le déplacement apparent du bain B se fait alors dans le sens des flèches v (voir figure 10). Le bain B pénètre dans le couloir 5 par la fente 4 jusqu'à son évacuation par l'orifice 6 dans la rigole 41 (figures 6,7,8). Les ergots ou butées de retenue 7 empêchent la surface sensible S d'être entraînée par le bain évacué, lorsque la cuve tourne dans le sens opposé, c'est-à-dire dans le sens de la flèche V.

    [0055] Cette évacuation sera rapide et complète compte-tenu des dimensions de la fente 4 et du couloir 5.

    [0056] On opérera ainsi pour chaque bain du traitement.

    - Pour un lavage intensif de la surface sensible traitée S l'eau de lavage sera introduite à fort débit par l'entonnoir 27 et le tube d'alimentation 26 dans l'orifice 16 du couvercle 110.



    [0057] En faisant tourner la cuve dans le sens V, la surface sensible S sera lavée par une eau toujours renouvelée puisqu'il y aura, à chaque rotation, évacuation de l'eau polluée par la fente 4, le couloir 5 et l'orifice 6.

    [0058] Les ergots 7 empêchent la surface sensible S d'être entraînée par l'eau évacuée.

    [0059] Lorsqu'on retirera la cuve 100 et la surface sensible S, il n'y aura aucun risque pour l'opérateur de recevoir ou de toucher des gouttes de produits corrosifs.

    - Pour les traitements où la température des bains doit être rigoureusement précise, une soufflerie à air chaud 46 incorporée au dispositif de support et d'entraînement de la cuve, avec thermostat incorporé permettra de maintenir la cuve dans un bain d'air à une température à plus ou moins un degré de la température idéale des bains.



    [0060] En tournant dans le sens T, l'air pénétrera dans le couloir 5 par l'orifice 6 et dans le cylindre 1 par la fente 4 ce qui maintiendra l'intérieur de cette cuve à la température de l'air du dispositif. Le bain de traitement restera donc, compte tenu du volume utilisé, même en faible quantité, à sa température idéale de travail. Eventuellement, on pourra préchauffer la surface sensible S en introduisant dans le cylindre intérieur 1 avant tout bain, un volume d'eau à la température de traitement.

    [0061] La cuve et son dispositif d'entraînement ont été conçus pour développer à bains perdus et en plein jour les surfaces sensibles photographiques à support souple, destinés à des reproductions en noir et blanc et en couleur de tout type. L'invention peut être utilisée par des amateurs ou des professionnels de la photographie, dans le domaine médical et industriel pour développer des films plans souples exposés à des rayonnements actifs types Rayons X.

    [0062] La facilité d'emploi, la simplicité du système permettront à des amateurs photographes de pouvoir effectuer eux-mêmes tous leurs développements sans risque de brûlure, d'erreur ou de pollution des bains.


    Revendications

    1. Cuve de développement à bains perdus et en plein jour pour surfaces sensibles photographiques ou autres à support souple, du type mobile en rotation autour de son axe longitudinal horizontal dans un premier sens pour plonger cycliquement la surface sensible dans un liquide de traitement et dans un second sens opposé au premier pour évacuer ledit liquide de traitement hors de ladite cuve et comprenant, d'une part, un récipient cylindrique se composant d'un cylindre à section transversale circulaire, d'une paroi de fond inamovible et solidaire dudit cylindre et d'un couvercle amovible muni d'un orifice central et susceptible d'obturer ledit récipient de façon étanche à la lumière, et, d'autre part, un couloir d'évacuation entourant partiellement ledit récipient cylindrique et débouchant, d'un côté, à l'extérieur par un orifice d'évacuation et, de l'autre côté dans une fente longitudinale du récipient cylindrique, caractérisée en ce que le couloir d'évacuation (5) est délimité par deux cylindres concentriques (1 et 2) dont le cylindre intérieur (1) est muni de ladite fente longitudinale (4) et dont le cylindre extérieur (2) comporte également une découpe ou fente longitudinale (106) située au moins approximativement entre les deux mêmes plans radiaux (101,102) passant par les bords (4a,4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) et constituant l'orifice d'évacuation (6), qu'une cloison de liaison (3) relie l'un (4a) des bords longitudinaux (4a,4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) au bord longitudinal éloigné opposé (106b) de la fente (106) du cylindre extérieur (2), que la largeur de la fente intérieure (4) est telle que les plans radiaux passant par les bords longitudinaux (4a,4b) de la fente (4) du cylindre intérieur (1) incluent un angle d'environ 45° et que l'orifice central du couverch: amovible (110) est conçu de façon à être étanche à la lumière et à laisser passer le liquide de traitement dans le cylindre intérieur 1.
     
    2. Cuve de développement selon la revendication 1, caractérisée en ce que le cylindre extérieur (2) est plus court que le cylindre intérieur (1). Cette différence des longueurs étant de préférence égale à la profondeur d'emboîtement (d) du couvercle 110 dans le cylindre intérieur (1).
     
    3. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 et 2, et comprenant un cylindre sur la face intérieure duquel sont montés des organes de retenue pour la surface sensible, caractérisée en ce que les organes de retenue sont constitués par deux rangées longitudinales d'ergots (7,8) régulièrement espacés et montés le cas échéant de façon réglable, sur la face inté- rieuredu cylindre intérieur (1) sur ou près des bords longitudinaux (4a,4b) de la fente (4) de celui-ci.
     
    4. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que la cloison de liaison (3) se raccorde tangentiellement au bord (4a)du cylindre intérieur (1) et sous un angle obtus,le cas échéant arrondi, au bord opposé éloigné (106b) du cylindre extérieur (2).
     
    5. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que l'orifice central (16) est prévu dans le fond (14) d'un renfoncement (17) du couvercle (110), renfoncement (17) dirigé vers l'intérieur du cylindre intérieur (1), et est prolongé vers l'intérieur dudit cylindre (1) par un tube de couvercle (15) et que du côté tourné vers l'intérieur dudit cylindre (1) le tube de couvercle (15) et le renfoncement (17) sont recouverts par un chapeau (19) fixé à distance sur le fond (14) du couvercle (110) par des pastilles d'écartement (20).
     
    6. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 5 et associée à un dispositif de support et d'entraînement en rotation du type comprenant un caisson muni de deux compartiments dont l'un comprend un mécanisme d'entraînement tel qu'un moteur pour la cuve de développement et dont l'autre comprend, au fond, une rigole collectrice et, au-dessus de celle-ci, ladite cuve qui, en position horizontale, repose sur deux arbres de support qui sont montés mobiles en rotation dans des paliers et dont celui monté dans la cloison séparatrice entre les deux compartiments est creux, et est muni d'un tube d'alimentation ainsi que d'un organe d'entraînement relié audit moteur par l'intermédiaire d'une transmission, caractérisée en ce que la paroi de fond (10) solidaire des deux cylindres concentriques (1 et 2) comprend également un renfoncement (12) qui est de forme identique à celui (17) du couvercle (110) est aligné sur l'axe longitudinal de la cuve (100) et du renfoncement (17) du couvercle (110) et est également dirigé vers l'intérieur du cylindre intérieur (1), que les renfoncements (12,17) sont susceptibles de recevoir chacun un patin rotatif (31,21) qui s'encastre sans jeu latéral notable dans le renfoncement correspondant (12,17) de façon à pouvoir transmettre à ladite cuve un couple de rotation, qui comporte un arbre (33, 23) s'étendant du côté détourné de la cuve (100), aligné sur l'axe longitudinal de ladite cuve (100) et monté mobile en rotation dans un palier correspondant (32, 22) et qui supporte avec ledit patin (31,21) ladite cuve (100) pendant sa rotation, que les arbres (23,33) des patins (21,31) et des paliers correspondants (22,32) sont alignés entre eux, que le patin (21) et son arbre (23) associés au couvercle (13) sont creux et traversés par un tube d'alimentation (26) dont l'extrémité dépasse du tube de couvercle (15) et pénètre dans le chapeau (19) du couvercle (110) et que l'autre patin (31) et son palier (32) sont mobiles et déplaçables dans le sens axial.
     
    7. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisée en ce que la position de l'un des patins (31,21) est fixe et celle de l'autre patin (31) est réglable dans le sens axial de son palier (32).
     
    8. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que le palier mobile (32) est monté sur un support (34) guidé axialement par des glissières horizontales (35) fixées sur les parois latérales (43,44) du caisson (120).
     
    9. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisée en ce que le palier (32) et son support mobile (34) sont en permanence sollicités élastiquement en direction de l'autre palier (22) monté à position fixe dans la cloison séparatrice (38) du caisson (120).
     
    10. Cuve de développement selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que l'organe d'entraînement (24) fixé sur l'axe (23) du patin axialement immobile (21) et la transmission (29,30) sont montés.dans le même compartiment (121) que le moteur (28).
     




    Dessins






















    Rapport de recherche