(19)
(11) EP 0 013 228 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
09.07.1980  Bulletin  1980/14

(21) Numéro de dépôt: 79401043.9

(22) Date de dépôt:  19.12.1979
(51) Int. Cl.3E05C 17/14
(84) Etats contractants désignés:
BE DE GB IT NL

(30) Priorité: 22.12.1978 FR 7836288

(71) Demandeurs:
  • Siegel, Gilbert
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)
  • Siegel épouse Boutes, Micheline
    F-31000 Toulouse (Hte Garonne) (FR)
  • Siegel, Claude
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)
  • Siegel, Gérard
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)

(72) Inventeurs:
  • Siegel, Gilbert
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)
  • Siegel épouse Boutes, Micheline
    F-31000 Toulouse (Hte Garonne) (FR)
  • Siegel, Claude
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)
  • Siegel, Gérard
    F-92120 Montrouge (Hts de Seine) (FR)

(74) Mandataire: Bloch, Robert et al
2, square de l'Avenue du Bois
75116 Paris
75116 Paris (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Entrebâilleur de fenêtre


    (57) L'invention a pour objet un entrebâilleur de fenêtre comprenant un bras d'arrêt (1) relié par une extrémité au bâti dormant T et un élément (2) fixé au vantail C, le bras d'arrêt pouvant coopérer avec ledit élément pour immobiliser le vantail dans une position d'ouverture déterminée.
    Le bras d'arrêt est monté pivotant par rapport au bâti dormant suivant un axe a-a oblique par rapport à la perpendiculaire au plan de joint P défini entre le vantail et le bâti dormant dans la zone de l'entrebâilleur, le bras étant au repos sensiblement parallèle au plan de joint, et l'extrémité libre du bras d'arrêt et ledit élément sont agencés pour que, le bras d'arrêt ayant été préalablement écarté de sa position de repos, l'ouverture du vantail provoque l'engagement avec blocage dudit élément (2) sur l'extrémité libre (6) du bras d'arrêt et l'immobilisation de ce dernier.




    Description


    [0001] La présente invention concerne un entrebâilleur de fenêtre destiné à maintenir le vantail d'une fenêtre dans une position d'ouverture déterminée.

    [0002] Les entrebâilleurs de fenêtre connus comprennent généralement un bras d'arrêt monté sur une rotule fixée au bâti dormant et un élément fixé au vantail, le bras d'arrêt pouvant coopérer avec ledit élément pour immobiliser le vantail.

    [0003] Ce type d'entrebâilleur se monte nécessairement sur les montants verticaux du vantail et du bâti dormant, car le bras d'arrêt pend en position de repos et cela implique qu'on ne peut pas le monter sur une traverse horizontale du bâti dormant. Or les modèles actuels de vantaux, en particulier métalliques, sont constitués de profils très étroits sur lesquels il est impossible de fixer un élément.

    [0004] En outre, dans les entrebâilleurs actuels, le bras d'arrêt est simplement engagé sur l'élément fixé au vantail et il est facile d'ouvrir la fenêtre de l'extérieur en passant la main à travers l'entrebâillement pour soulever le bras.

    [0005] L'invention a pour but de procurer un entrebâilleur de fenêtre susceptible d'être posé aussi bien sur les traverses horizontales que sur les montants verticaux de la fenêtre, et qui en outre ne peut pas être ouvert de l'extérieur. L'invention a pour objet un entrebâilleur de fenêtre comprenant un bras d'arrêt relié par une extrémité au bâti dormant et un élément fixé au vantail, le bras d'arrêt pouvant coopérer avec ledit élément pour immobiliser le vantail dans une position d'ouverture déterminée, caractérisé par le fait que le bras d'arrêt est monté pivotant par rapport au bâti dormant suivant un axe oblique par rapport à la perpendiculaire au plan de joint défini entre le vantail et le bâti dormant dans la zone de l'entrebâilleur, le bras étant au repos sensiblement parallèle au plan de joint, et l'extrémité libre du bras d'arrêt et ledit élément sont agencés pour que, le bras d'arrêt ayant été préalablement écarté de sa position de repos, l'ouverture du vantail provoque l'engagement avec blocage dudit élément sur l'extrémité libre du bras d'arrêt et l'immobilisation de ce dernier.

    [0006] Le fait que le bras d'arrêt soit, en position de repos, di"- rigé parallèlement au plan de joint permet de le monter aussi bien sur un montant vertical que sur une traverse horizontale.

    [0007] La disposition oblique de son axe de pivotement a pour effet que son extrémité libre, placée en dehors de la trajectoire du vantail dans sa position de repos, vient intercepter cette trajectoire lorsque le bras a été suffisamment écarté de sa position de repos.

    [0008] Du fait que le bras d'arrêt n'a qu'un seul degré de liberté, il est facile de le placer de manière appropriée pour que l'ouverture du vantail provoque l'engagement de l'élément sur l'extrémité libre du bras et donc l'immobilisation complète de ce dernier.

    [0009] Dans une première forme de réalisation, l'axe de pivotement du bras d'arrêt et ladite perpendiculaire au plan de joint définissent un plan sensiblement parallèle au vantail et au bâti dormant.

    [0010] autre forme de réalisation, l'axe de pivotement du bras d'arrêt et ladite perpendiculaire au plan de joint définissent un plan sensiblement orthogonal au vantail et au bâti dormant.

    [0011] L'invention sera bien comprise à la lecture de la description ci-après de deux formes de réalisation représentées sur les dessins annexés.

    [0012] Dans ces dessins :

    - les figures la et 1b représentent de face un entrebâilleur de fenêtre selon l'invention dans une première forme de réalisation, respectivement en position de repos (fenêtre fermée) et en position de fonctionnement (fenêtre entrebâillée);

    - les figures 2a et 2b représentent en vue de dessus l'entrebâilleur des figures la et 1b, respectivement en position de repos et en position de fonctionnement ;

    - La figure 3 est une vue prise suivant les flèches III-III de la figure 1b, le bras d'arrêt étant représenté en trait fin ;

    - la figure 4 montre la partie fixée au bâti dormant dans une seconde forme de réalisation ;

    - la figure 5 est une vue de face analogue à la figure 1a, mais pour la seconde forme de réalisation ;

    - la figure 6 est analogue à la figure 3 mais pour la seconde forme de réalisation ;

    - la figure 7 illustre une troisième forme de réalisation de l'invention ; et

    - la figure 8 illustre une variante par rapport à la réalisation de la figure 7.



    [0013] L'entrebâilleur de fenêtre représenté à la figure 1a se compose d'une partie 1 fixée sur la traverse basse T du bâti dormant d'une fenêtre et d'une gâche 2 fixée sur le châssis ouvrant ou vantail C de la fenêtre. Le vantail C s'ouvre de la droite vers la gauche sur les figures 1a et 1b, les paumelles, non représentées ici, se trouvant sur la gauche.

    [0014] La partie 1 comprend un socle allongé 3 fixé sur la traverse T par exemple par des vis 4 et un bras d'arrêt 5 monté pivotant par une extrémité sur le socle 3. En position de repos, le bras 5 est posé sur le socle 3 et est sensiblement parallèle au plan de joint P défini entre la traverse T et le vantail C.

    [0015] L'axe de pivotement a-a du bras 5, que l'on a représenté en trait mixte, fait un angle A avec la perpendiculaire au plan de joint P, cet angle étant choisi égal à 15° dans le présent exemple. On voit sur la figure 1a que l'axe a-a définit avec ladite perpendiculaire un plan parallèle au plan général de la fenêtre.

    [0016] Ainsi, lorsqu'on place le bras 5 dans la position d'arrêt représentée aux figures 16 et 2b, son extrémité libre 6 est amenée à intercepter la trajectoire suivie par le bras du vantail C et donc par la gâche 2 lorsqu'on ouvre la fenêtre.

    [0017] Bien entendu, l'invention n'est pas limitée à la valeur indiquée ci-dessus pour l'angle A. La valeur de A doit être déterminée en même temps que la longueur du bras d'arrêt 5 de manière à obtenir l'effet expliqué ci-dessus. En pratique, cependant, l'angle A se situera entre 10 et 20°.

    [0018] Le bras 5 est coudé et comprend deux portions 7 et 8. La portion 7 dirigée perpendiculairement à l'axe de pivotement a-a, est reçue dans un logement 9 formé dans le socle 3. Le montage pivotant est réalisé en munissant la portion 7 de deux tourillons, non visibles sur les dessins, qui sont engagés dans des trous appropriés.

    [0019] La portion 8 qui prolonge la portion 7 fait avec elle un angle égal à l'angle A, soit 15°. L'extrémité 6 qui termine la portion 8 est en saillie et porte des nervures 10, 10' sur ses deux faces, lesquelles nervures font un angle A avec l'axe de pivotement du bras 5. Les nervures 10, 10' se prolongent par des éléments 11, 11' coudés vers l'extérieur. En outre, dans l'exemple représenté, le bras 5 comporte sur toute sa longueur des nervures de renforcement 12 dont les nervures 10, 10' constituent le prolongement. Le rôle des nervures 10, 10' et des éléments coudés 11, 11' est de permettre une liaison de verrouillage du bras 5 avec la gâche 2, comme on va l'expliquer plus loin.

    [0020] La gâche 2 fixée sur le vantail C est munie d'une ouverture 15 placée de façon à se trouver en regard de l'extrémité 6 du bras d'arrêt lorsque celui-ci a été mis en position d'arrêt.

    [0021] Le bord 16 de l'ouverture 15 situé du côté de la position de repos du bras 5 est incliné par rapport à la perpendiculaire au plan de joint d'un angle sensiblement égal à l'angle A précité, soit 15°. Dans la paroi correspondante (à gauche sur les dessins) est ménagée une rainure débouchant du côté du plan de joint, dont le fond est parallèle au bord ci-dessus, et cette rainure est surmontée d'un évidement 18 qui, contrairement à la rainure 17, ne s'étend pas jusqu'à déboucher sur la face de la gâche 2 mais est fermé par une paroi 19. La rainure 17 et l'évidement 18 sont conformes pour recevoir respectivement la nervure 10 et l'élément coudé 11 du bras d'arrêt 5.

    [0022] La gâche 2 comprend une pièce 20 comportant une languette 21 qui ferme en grande partie l'ouverture 15 et dont le bord est parallèle au bord 16 précité. La pièce 20, qui peut être fixée à la pièce principale de la gâche par une vis 22 servant aussi à la fixation de la gâche au vantail C, est suffisamment flexible pour que la languette 21 s'écarte élastiquement de sa position naturelle lorsqu'elle est repoussée par l'extrémité 6 du bras d'arrêt.

    [0023] La partie 20 comprend également une portion extérieure 23, perpendiculaire à la languette 21, sur laquelle on peut agir pour déclencher le déverrouillage, comme on va le voir.

    [0024] 0n notera que dans l'exemple décrit, tous les éléments sont réalisés en matière plastique rigide et l'élasticité de la pièce 20 est fournie par l'élasticité intrinsèque de la matière qui la constitue.

    [0025] Pour faire fonctionner l'entrebâilleur, on fait tout d'abord pivoter le bras d'arrêt d'un angle approprié jusqu'à la position représentée aux figures 1b et 2b, le vantail C étant alors fermé. Lorsqu'on ouvre le vantail, la gâche 2 entre en contact avec l'extrémité libre 6 du bras et plus particulièrement, la languette 21 entre en contact avec la nervure 10 et fléchit. L'extrémité 6 peut ainsi pénétrer plus avant dans l'ouverture 15 de la gâche. Cela permet à la nervure 10' située de l'autre côté de se loger dans la rainure 17, et au coude 11' de se loger dans l'évidement 18. Dans cette position représentée sur la figure 3, une liaison solide est réalisée entre la gâche 2 et le bras d'arrêt 5, car d'une part, la languette 21 empêche la nervure 10' de ressortir de sa rainure 17, et d'autre part, l'engagement de l'élément coudé 11' dans l'évidement 18 fermé par la paroi 19 supprime tout risque de sortie latérale. Le vantail C est alors immobilisé dans une position déterminée.

    [0026] Pour mettre fin à cette liaison et dégager le vantail, il faut presser en même temps sur la portion extérieure 23 de la pièce 20 et sur la partie de l'extrémité libre 6 qui dépasse de la gâche de manière à les rapprocher l'une de l'autre. Cela dégage la nervure 10' de la rainure 17 et en même temps écarte la languette 21.

    [0027] On soulignera que ce mode de déverrouillage interdit en pratique une ouverture de l'extérieur, contrairement aux entre- bailleurs classiques dont il suffit de soulever le bras d'arrêt pour libérer le vantail.

    [0028] Une seconde forme de réalisation de l'invention est représentée aux figures 4 à 6. Dans cette variante, l'axe de pivotement a'-a' du bras d'arrêt 105 représenté en trait mixte sur la figure 4, est toujours incliné d'un angle A par rapport à la perpendiculaire au plan de joint, mais le plan défini par l'axe de pivotement a'-a' et ladite perpendiculaire est cette fois perpendiculaire au plan général de la fenêtre.

    [0029] L'inclinaison de l'axe de pivotement résulte simplement de l'inclinaison du socle 13 sur lequel est monté pivotant le bras 105. Cela est visible sur la figure 4, où l'on voit que le socle 103 a une section sensiblement triangulaire ou trapézoïdale avec un angle A entre sa face supérieure et sa base A valant ici 15°.

    [0030] On notera en outre que dans cette variante, la nervure 110 est parallèle à l'axe de pivotement du levier 105, contrairement à la disposition de la première forme de réalisation. L'axe de pivotement a'-a' ayant sa projection dans le plan de la fenêtre confondue avec la perpendiculaire au plan de joint, il devient possible de réaliser la gâche 102 de façon symétrique de façon qu'elle puisse être posée indifféremment sur un vantail droit ou un vantail gauche. Cela est illustré à la figure 5. On voit sur la figure 5 que la gâche 102 possède un plan de symétrie S. La languette 121 de la pièce 120 a son bord perpendiculaire au plan S, et le bord 116 de l'ouverture 115 comprend deux tronçons qui font le même angle faible avec la perpendiculaire au plan S et qui se raccordent au plan S. Il en est de même pour le fond de la rainure 117 et de l'évidement 118 qui est fermé à ses deux extrémités par des parois.

    [0031] Il est clair que, sur la figure 5, la gâche 102 est posée sur un vantail gauche, les paumelles se trouvant à gauche de la figure, de même que sur les figures la et 16. Pour utiliser la gâche 102 sur un vantail droit, il suffit de la retourner de manière que la languette 121 se trouve sur la gauche de l'ouverture 115.

    [0032] Cette forme de réalisation permet donc une réduction avantageuse du nombre de pièces à fabriquer et à stocker.

    [0033] La forme de réalisation représentée à la figure 7 convient particulièrement lorsqu'on veut utiliser des métaux comme constituants des différents éléments. Dans cette réalisation, le bras d'arrêt 205 comporte à son extrémité libre une lumière 210 et la gâche 202 comporte sur l'un au moins de ses côtés un téton 215 qui s'engage dans la lumière 210 lors de l'entrée en contact de l'extrémité du bras d'arrêt avec la gâche.

    [0034] Dans la réalisation de la figure 7, la gâche présente deux tétons 215 et présente ainsi un plan de symétrie comme c'était le cas pour la gâche 102 de la figure 5.

    [0035] La gâche représentée à la figure 8 est du même type que celle de la figure 7 mais elle est munie d'un dispositif de verrouillage et n'a pas de plan de symétrie.

    [0036] On voit clairement sur la figure 8 la forme sensiblement trapézoïdale du téton 215. La pièce 220 portant la languette 221 est montée pivotante sur un axe 224 et rappelée par un ressort 225 monté autour de l'axe 224 et prenant appui sur la paroi supérieure de la gâche par une partie 226 opposée à celle en contact avec la languette. Cet axe est porté par une pièce en U 227 reposant sur le fond 228 de la gâche. Cette pièce 227 est déplaçable dans le sens de la flèche, avant le serrage des vis 222, pour le réglage du jeu de fonctionnement.

    [0037] Il est prévu un dispositif de verrouillage comprenant un pêne 230, actionné par un verrou 231, qui peut s'avancer sous la languette 221 peut interdire son fléchissement. On peut ainsi, une fois réalisé l'engagement de la gâche sur le bras d'arrêt, fermer le verrou. La fenêtre se trouve alors verrouillée dans sa position entrebâillée. Un tel agencement aurait son intérêt par exemple dans les écoles où les enfants ne doivent pas pouvoir fermer ou ouvrir eux- mêmes les fenêtres.

    [0038] Il faut souligner que, dans toutes les réalisations décrites, le dispositif se pose indifféremment sur des traverses horizontales ou sur des montants verticaux. En outre, il occupe une très faible largeur et peut être posé sur des profils très étroits. Le jeu relativement important qui peut exister entre le socle et la gâche facilite d'ailleurs le positionnement des vis de fixation.

    [0039] On pourrait d'autre part utiliser au lieu du mécanisme à encliquetage décrit ici, un système magnétique ou autre.


    Revendications

    1.- Entrebâilleur de fenêtre comprenant un bras d'arrêt relié par une extrémité au bâti dormant et un élément fixé au vantail, le bras d'arrêt pouvant coopérer avec ledit élément pour immobiliser le vantail dans une position d'ouverture déterminée, caractérisé par le fait que le bras d'arrêt est monté pivotant par rapport au bâti dormant suivant un axe oblique par rapport à la perpendiculaire au plan de joint défini entre le vantail et le bâti dormant dans la zone de l'entrebâilleur, le bras étant au repos sensiblement parallèle au plan de joint, et l'extrémité libre du bras d'arrêt et ledit élément sont agencés pour que, le bras d'arrêt ayant été préalablement écarté de sa position de repos, l'ouverture du vantail provoque l'engagement avec blocage dudit élément sur l'extrémité libre du bras d'arrêt et l'immobilisation de ce dernier.
     
    2.- Entrebâilleur selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'élément fixé au vantail est une gâche présentant une ouverture fermée en partie d'un côté par une languette élastique qui s'efface partiellement lors de l'entrée en contact de la gâche et de l'extrémité libre du bras d'arrêt en permettant l'engagement de moyens prévus respectivement sur la gâche et sur l'extrémité libre du bras d'arrêt, la languette maintenant ensuite l'engagement desdits moyens.
     
    3.- Entrebâilleur selon la revendication 2, caractérisé par le fait que la gâche comporte sur le côté de ladite ouverture opposé à la languette une rainure susceptible de recevoir une nervure formée sur l'extrémité libre du bras d'arrêt.
     
    4.- Entrebâilleur selon la revendication 3, caractérisé par le fait que ladite nervure se prolonge par un élément coudé dirigé vers l'extérieur, lequel pénètre, lors de l'engagement de l'extrémité du bras d'arrêt dans la gâche, dans un évidement de forme correspondante qui s'étend à partir de ladite rainure et qui est fermé du côté du plan de joint.
     
    5.- Entrebâilleur selon la revendication 2, caractérisé par le fait que la gâche comporte un téton conçu pour pénétrer dans une ouverture formée dans l'extrémité libre du bras d'arrêt.
     
    6.- Entrebâilleur selon l'une des revendications 2 à 5, caractérisé par le fait que la languette est solidaire d'une portion extérieure qui fait face à la partie de l'extrémité du bras d'arrêt qui dépasse de la gâche lorsque l'immobilisation est réalisée.
     
    7.- Entrebâilleur selon l'une des revendications ,1 à 6, dans lequel l'axe de pivotement du bras d'arrêt et ladite perpendiculaire au plan de joint définissent un plan sensiblement parallèle au vantail et au bâti dormant.
     
    8.- Entrebâilleur selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que l'axe de pivotement du bras d'arrêt et ladite perpendiculaire au plan de joint définissent un plan sensiblement orthogonal au vantail et au bâti dormant.
     
    9.- Entrebâilleur selon la revendication 8, caractérisé par le fait que le bras d'arrêt est monté pivotant sur un socle de section sensiblement triangulaire.
     
    10.- Entrebâilleur selon l'une des revendications 8 et 9, caractérisé par le fait que la gâche présente un plan de symétrie parallèle au plan de joint.
     
    11.- Entrebâilleur selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé par le fait qu'une tige actionnée par un verrou peut s'avancer sous la languette pour en interdire le fléchissement.
     




    Dessins
















    Rapport de recherche