(19)
(11) EP 0 013 249 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
09.07.1980  Bulletin  1980/14

(21) Numéro de dépôt: 79401078.5

(22) Date de dépôt:  28.12.1979
(51) Int. Cl.3B65D 41/34
(84) Etats contractants désignés:
BE DE GB IT NL

(30) Priorité: 02.01.1979 FR 7900038

(71) Demandeur: ETABLISSEMENTS PIERRE REMY Société anonyme dite:
Saint-Remy s/Avre (FR)

(72) Inventeur:
  • Civrays, Raoul
    F-75014 Paris (FR)

(74) Mandataire: Harlé, Robert et al
c/o Cabinet Harlé & Phélip 21, rue de la Rochefoucauld
75009 Paris
75009 Paris (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Procédé de bouchage inviolable pour bouteille à goulot à vis, et bouteille à goulot à vis pour l'application d'un tel procédé


    (57) Le goulot (1 ) de la bouteille porte, au niveau de la bande de garantie, au moins un godron 4, en saillie vers l'extérieur. La capsule porte au moins un godron correspondant en saillie vers l'intérieur (14). On sertit la capsule sur le filetage 2, sans qu'il soit nécessaire de la sertir, en outre, sur une partie rétrécie 6 du goulot; le ou les godrons (4, 5) dudit goulot sont placés uniquement dans le plan séparant les deux demi-coquilles, et/ou dans la partie de la périphérie du goulot où la tangente à celui-ci fait avec ledit plan un angle inférieur à l'angle maximal que fait la paroi du godron avec un rayon.




    Description


    [0001] La présente invention est relative à un procédé de bouchage de bouteille à goulot à vis, utilisant une capsule de bouchage du type dit "inviolable".

    [0002] Les capsules de ce type comprennent un fond circulaire et une jupe longue en deux parties séparées par une zone d'affaiblissement circulaire, formée, par exemple, par des incisions non continues.

    [0003] Le fond de la capsule et la région de la jupe qui est immédiatement adjacente au fond sont en contact avec les moyens d'étanchéité de la bouteille. La zone restante de la partie supérieure de la jupe est sertie sur le filetage du goulot. La partie inférieure de la jupe qui constitue la bague de garantie est sertie sur un rentrant du goulot qui empêche son déplacement vers le haut, si bien que, lors du dévissage, la zone d'affaiblissement se brise et la bande de garantie reste sur le goulot.

    [0004] Dans les circonstances actuelles, où l'on prévoit un retour aux bouteilles consignées; ce mode de bouchage présente l'inconvénient qu'avant tout nouveau remplissage, on doit enlever la bande de garantie qui est restée accrochée au goulot, et qui représente une opération supplémentaire malaisée, car il s'agit d'un dessertissage.

    [0005] En outre, ce mode de bouchage impose des tolérances étroites, notamment en ce qui concerne la ligne d'affaiblissement et le sertissage de la bande de garantie. Quatre types d'incidents sont en effet à éviter : une rupture de la ligne d'affaiblissement par un choc involontaire lors des manutentions, une ligne d'affaiblissement trop résistante rendant l'ouverture de la bouteille pénible pour l'opérateur, un dessertissage de la bande de garantie permettant d'ouvrir la bouteille et d'enlever la capsule sans rupture de la zone d'affaiblissement, un élargissement de la partie de la capsule au niveau du filetage qui fait que celle-ci tourne librement sans pouvoir être enlevée. Le respect des tolérances impose donc des machines précises, donc coûteuses.

    [0006] On a proposé, par exemple dans les brevets US 3 235 115 et FR 1 371 041, des bouteilles dont le goulot présente, au-dessous du filetage, des saillies dirigées vers l'extérieur, qui coopèrent avec des rentrants dirigés vers l'intérieur de la partie inférieure de la jupe de la capsule qui constitue la bande de garantie.

    [0007] De cette façon, la rotation de la partie inférieure de la jupe est empêchée, ou du moins considérablement gênée, lors du dévissage de la capsule. On élimine ainsi un grand nombre des incidents qu'on vient de mentionner.

    [0008] La technique ainsi proposée ne s'est cependant pas répandue pour plusieurs raisons.

    [0009] La première de celles-ci est que l'obtention des godrons sur le goulot d'une bouteille est impossible avec la technique usuelle la plus courante pour obtenir des bouteilles en verre, à savoir le moulage dans un moule en deux parties. En effet, pour éviter de briser les godrons au démoulage, il faut prévoir des pièces additionnelles qui viennent se placer entre les godrons et qu'on enlève indépendamment des demi-moules, ce qui augmente considérablement le prix de revient, le rapprochant de celui de la flaconnerie de luxe.

    [0010] Un autre inconvénient de la technique proposée par les brevets précités est que les formes qu'ils décrivaient correspondaient à des capsules "courtes" dont la jupe ne descend pas au-delà des godrons. Il est exact que la présence de godron dispense d'avoir une capsule qui descende plus bas que les godrons, ce qui permet une économie de matière sur la capsule, et une autre sur la bouteille, dont le goulot peut être plus court, mais ces économies, à l'usage, se révèlent coûteuses pour le professionnel qui procède au bouchage, car elles l'obligent à avoir deux stocks différents de capsules, l'un de capsules longues pour les bouteilles classiques, l'autre de capsules courtes pour les bouteilles à godrons.

    [0011] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients et de fournir un procédé de bouchage qui comporte l'usage de bouteille à godrons et qui, cependant, ne grève pas les prix de revient du fabricant de bouteille3 ni éventuellement celui du professionnel du bouchage.

    [0012] La présente invention fournit donc un procédé de bouchage d'une bouteille à goulot à vis obtenue par moulage entre deux demi-coquilles séparées par un plan axial et dont le goulot comporte, au-dessous du filetage, au moins un godron faisant saillie vers l'extérieur et dont la partie la plus externe est à une distance de l'axe du goulot, procédé dans lequel on place sur le goulot de la bouteille une capsule de type inviolable comportant un fond et une jupe en deux parties séparées par une zone d'affaiblissement, cette capsule portante sur la partie de la jupe qui est séparée du fond par la zone d'affaiblissement, au moins un godron situé à une hauteur correspondant à celle du godron du goulot, et dont la partie la plus à l'intérieur est à une distance de l'axe inférieure à celle de la partie la plus externe du godron du goulot, et supérieure au rayon externe du reste du goulot, puis on procède au sertissage de la partie de la jupe la plus proche du fond, sur le filetage du goulot, procédé qui présente la particularité que le ou les godrons dudit goulot sont placés uniquement dans le plan séparant les deux demi-coquilles,et/ou dans la partie de la périphérie du goulot où la tangente à celui-ci fait avec ledit plan un angle inférieur à l'angle maximal que fait la paroi du godron avec un rayon.

    [0013] De préférence, on utilise une capsule comportant une jupe assez longue pour permettre également l'utilisation de cette capsule sur une bouteille à goulot à vis de type classique, cette capsule étant alors sertie sur une partie rétrécie du goulot située au-dessous de la partie filetée. et, avantageusement,le goulot présente une partie rétrécie au-dessous des godrons et on sertit en outre la capsule dans cette partie rétrécie.

    [0014] La présente invention fournit également une bouteille à goulot à vis, dont le goulot comporte, au-dessous du filetage, au moins un godron faisant saillie vers l'extérieur et dont la partie la plus externe est à une distance de l'axe du goulot supérieure au rayon extérieur du reste du goulot, et dans laquelle le ou les godrons sont placés uniquement dans le plan séparant les deux demi-coquilles, et/ou dans la partie de la périphérie du goulot où la tangente à celui-ci fait avec ledit plan un angle inférieur à l'angle maximal que fait la paroi du godron avec un rayon.

    [0015] De préférence, le goulot de cette bouteille, au-dessous des godrons, ne présente pas un diamètre supérieur à celui du cercle enveloppant les limites externes des godrons, au moins sur une longueur correspondant à celle d'une capsule longue du type courant, et,avantageusement,le goulot présente une partie rétrécie au-dessous des godrons et catte partie rétrécie est située dans la zone correspondant à la partie inférieure d'une jupe longue.

    [0016] L'invention sera exposée plus en détail à l'aid d'un exemple non limitatif de réalisation selon l'invention, illustré par des figures, parmi lesquelles :

    Fig.l est une vue de côté du goulot,

    Fig. 2 est une vue de dessus du même goulot,

    Fig. 3 est un schéma expliquant la position limite des godrons du goulot,

    Fig. 4 est une vue de côté et une demi-coupe axiale de la capsule.



    [0017] Le goulot 1 comprend une partie supérieure 1, qui porte un filetage dont le rayon extérieur des filets 2 est désigné par R1. Sous la partie filetée 1 se trouve une partie cylindrique 3, de même diamètre, qui porte des godrons 4,5, en saillie vers l'extérieur . Sous les godrons 4 et 5 est pre vue une partie 6 de diamètre, au départ, inférieur à RI; cette partie est faiblement conique, s'élargissant vers le bas.

    [0018] Les godrons 4,5, de forme identique, sont séparésen plusieurs groupes : si on considère le plan P de s

    de la bouteille, plan qui est celui qui sépare les deux demi-coquilles qui servent à son moulage, deux groupes

    4 sont placés de façon symétrique dans les zones de la beri- phérie les plus éloignées du plan P. En outre, deux autres godrons 5 sont situés à cheval sur le plan P lui-même.

    [0019] La raison de cette disposition est la suivante : pour permettre le démoulage de la bouteille lors de sa fabrication, il est préférable qu'elle ne présente aucun relief susceptible de s'opposer à l'écartement du moule suivant une perpendiculaire au plan P.

    [0020] Si on considère la figure 3, qui est une vue schématique fortement agrandie et déformée d'une partie de la figure 2, on voit qu'un godron 4 fait, avec un rayon R, un angle A. Il est nécessaire que cet angle A soit inférieur à l'angle B que fait le rayon avec la perpendiculaire au plan P, cet angle B étant celui de la tangente T au goulot avec un plan P' parallèle au plan P. Ceci amène à limiter la zone portant des godrons à une partie de la périphérie correspondant à un angle au sommet 2C au plus égal à 2A. Le choix de la valeur de l'angle A dépend, notamment,.de la nature de la capsule. Si celle-ci est en matériau plus malléable, on pourra préférer des godrons de forme plus aiguë, c'est-à-dire a avec A plus petit, les godrons 4 étant alors moins nombreux, alors que,si la matière est plus rigide, on pourra préférer des godrons plus adoucis, mais répartis sur une plus grande partie de la périphérie.

    [0021] On a porté sur la figure 3 le rayon R1 du goulot en dehors des godrons, et le rayon R2 du cylindre tangent an sommet des godrons 4.

    [0022] Les godrons 5, étant à cheval sur le plan de séparation des demi-coquilles, ne posent pas de problème au démoulage; toutefois, il est difficile de leur donner une forme aussi précise qu'aux autres. En revanche, ils peuvent être obtenus plus facilement par une transformation simple d'un moule existant. La décision de prévoir des godrons du type 4, des godrons du type 5, ou des deux types est donc une affaire d'opportunité.

    [0023] Dans l'exemple représenté, le goulot est pourvu de 2 groupes de 8 godrons du type 4, plus 2 godrons 5 dans le plan P. L'angle A est d'environ 45°, et les godrons 4 sont répartis sur des zones d'angle au centre égal à 2 x 42 = 84° environ, l'intervalle entre godrons correspondant à 12°.

    [0024] La figure 4 représente une capsule qui s'adapte sur le goulot qu'on vient de décrire. Le fond 7 de la capsule est pourvu intérieurement d'une garniture d'étanchéité 8 en forme de disque, un moletage 9 étant prévu pour faciliter la préhension. La partie supérieure 10 de la jupe est d'un rayon R3 légèrement supérieurau rayon Rl, et elle est séparée de la partie inférieure 11 par une zone d'immobilisation 12 constituée par une saignée circulaire interroming par des ponts 13. La partie inférieure 11 de la jupe est, dans son ensemble, de rayon égal au rayon R2 du cercle tangent aux extrémités des godrons 4, 5 du goulot; elle comporte,vers sa partie supérieure,une série de godrons en saillie vers l'intérieur le be fond de ces godrons est à une distance de l'axe égale à Les godrons sont également répartis sur toute la périphéris de la capsule, à un intervalle correspondant à un angle égal à celui qui sépare les godrons de type 4 du goulot, c'est-à-dire, ici, 12°. Cet angle n'est pas critique, mais il est nécessairement égal à 180°/n, n étant un nombre entier.

    [0025] En effet, une disposition différente rendrait pratiquement impossible l'emploi de machines pour poser les capsules. Pour la même raison, si le goulot comporte des godrons du type 5, ceux-ci doivent être séparés de ceux du type 4 par un angle correspondant à un nombre entier de fois l'angle qui sépare un godron 4 de son voisin. Ainsi, sur la machine, il n'y a pas à tenir compte de l'orientation de la bouteille.

    [0026] Pour faciliter la mise en place de la capsule sux le goulot, la partie supérieure des godrons 4, 5 du goulot et la partie inférieure des godrons 14 de la capsule sent arrondis. Elles pourraient aussi être effilées dans le sens vertical.

    [0027] La mise en place de la capsule se fait sans difficulté par simple déplacement vertical. Elle est suivie du sertissage de la partie 10 sur le filetage 3. Contrairement à l'art antérieur, on ne procède pas normalement par un sertissage de la partie inférieure 11 de la jupe sur la partie plus étroite 6 du goulot, encore que cette opération soit possible si on le juge nécessaire.

    [0028] En effet, et c'est un point important de l'invention, le déchirage de la zone d'affaiblissement 12 a lieu parce que les godrons freinent efficacement la partie inférieure 11 dans son mouvement de rotation, alors que, dans l'art antérieur, c'est seulement le mouvement vertical de la capsule qui est freiné. Il en résulte que le freinage entrai- nant la rupture a lieu dès une rotation de quelques degrés seulement, et même moins, alors que, dans les dispositions selon l'art antérieur, il est fréquent d'avoir à tourner d'un quart de tour et plus, avant que le freinage soit efficace.

    [0029] La hauteur de la partie filetée peut dès lors être considérablement réduite. De plus, on réduit considérablement le risque de mise en contact prématuré du contenu de la bouteille avec l'atmosphère par une rotation ayant entraîné un déplacement des parties d'étanchéité sans aller jusqu'à l'enlèvement complet de celles-ci avec rupture de la zone d'affaiblissement. Ce point est important si l'on veut garantir la pureté bactériologique des produits transportés.

    [0030] On pourrait craindre que la partie inférieure de la jupe, une fois séparée du reste, ne soit libérée et ne risque de glisser le long du goulot lorsqu'on vide la bouteille, et tomber, par exempleydans le verre du consommateur. L'expérience montre qu'il n'en est rien, du moins avec les valeurs choisies pour l'angle A. En effet, lors du dévissage, il se produit un coincement des godrons les uns sur les autres, qui immobilise efficacement cette partie. En revanche, il suffit d'une très faible rotation en sens inverse pour la libérer, en particulier pour une réutilisation dela bouteille. On notera, comme un avantage particulier de l'invention, que la libération de la partie inférieure de la jupe ne nécessite que des forces très faibles, qu'elle peut être obtenue sans recourir à un outil de forme spéciale, et que par conséquent elle n'entraîne qu'un risque pratiquement négligeable d'endommager le goulot, même s'il est en verre ou autre matériau fragile, ce qui est important lorsque le réemploi de la bouteille est envisagé.

    [0031] Il est à noter que la forme de la bouteille décrite plus haut permet son emploi avec une capsule classique, soit en la sertissant sur la partie rétrécie 6, et dans ce cas l'utilisation est identique à celle de l'art antérieur, soit en la sertissant par repoussage autrur des godrons, et dans ce cas on retrouve les avantages de présente invention, au prix, il est vrai, d'un outillage différent.

    [0032] D'un autre côté, la capsule décrite plus haut peut aussi être utilisée sur une bouteille de type classique, et de la manière connue, le sertissage ayant lieu au-dessous de la zone des godrons 14, soit même au niveau que ceux-ci, qui sont alors écrasés.

    [0033] Les meilleurs résultats sont donc obtenus par l'utilisation conjuguée de la bouteille et de la capsule selon le procédé de l'invention.


    Revendications

    1.'Procédé de bouchage d'une bouteille à goulot à vis obtenue par moulage entre deux demi-coquilles séparées par un plan axial et dont le goulot comporte, au-dessous du filetage, au moins un godron faisant saillie vers l'extérieur et dont la partie la plus externe est à une distance de l'axe du goulot supérieure au rayon extérieur du reste du goulot, procédé dans lequel on place sur le goulot de la bouteille une capsule du type inviolable comportant un fond et une jupe en deux parties séparées par une zone d'affaiblissement, cette capsule portant,sur la partie de la jupe qui est séparée du fond par la zone d'affaiblissement, au moins un godron situé à une hauteur correspondant à celle du godron du goulot, et dont la partie la plus à l'intérieur est à une distance de l'axe inférieure à celle de la partie la plus externe du godron du goulot, et supérieure au rayon externe du reste du goulot, puis on procède au sertissage de la partie de la jupe la plus proche du fond, sur le filetage du goulot, caractérisé en ce que le ou les godrons dudit goulot sont placés uniquement dans le plan séparant les deux demi-coquilles, et/ou dans la partie de la périphérie du goulot où la tangente à celui-ci fait avec ledit plan un angle inférieur à l'angle maximal que fait la paroi du godron avec un rayon.
     
    2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'on utilise une capsule comportant une jupe assez longue pour permettre également l'utilisation de cette capsule sur une bouteille à goulot à vis de type classique, cette capsule étant alors sertie sur une partie rétrécie du goulot située au-dessous de la partie filetée.
     
    3. Procédé selon la revendication 2, et dans lequel le goulot présente une partie rétrécie au-dessous des godrons, caractérisé en ce qu'on sertit en outre la capsule dans cette partie rétrécie.
     
    4. Bouteille à goulot à vis, et dont le goulot comporte, au-dessous du filetage, au moins un godron faisant saillie vers l'extérieur et dont la partie la plus externe est à une distance de l'axe du goulot supérieure au rayon extérieur du reste du goulot, caractérisée en ce que le ou les godrons sont placés uniquement dans le plan séparant les deux demi-coquilles, et/ou dans la partie de la périphérie du goulot où la tangente à celui-ci fait avec ledit plan un angle inférieur à l'angle maximal que fait la paroi du godron avec un rayon.
     
    5. Bouteille selon la revendication 4, caractérisée en ce que le goulot de la bouteille, au-dessous des godrons, ne présente pas un diamètre supérieur à celui du cercle enveloppant les limites externes des godrons, au moins sur une longueur correspondant à celle d'une capsule longue de type courant.
     
    6. Bouteille selon la revendication 5, dans laquelle le goulot présente une partie rétrécie au-dessous des godrons, caractérisée en ce que cette partie rétrécie est située dans la zone correspondant à la partie inférieure d'une jupe longue.
     




    Dessins










    Rapport de recherche