[0001] Articulation pour échelles pliantes, composée d'une part de deux flasques 1 et 2
dont l'un est pourvu de plusieurs évidements et l'autre d'un seul évidement, disposés
sur un même rayon par rapport à l'axe creux de pivotement des dits flasques, chacun
solidaire par ailleurs d'un montant de l'échelle, et d'autre part d'un doigt de verrouillage
13 sollicité par un ressort.
[0002] Les évidements pratiqués sur le premier flasque ainsi que celui pratiqué sur le second
sont situés sur un même rayon par rapport à l'axe de pivotement de façon à ce que
ces évidements viennent en parfaite concordance lors du pivotement des deux flasques,
l'un par rapport à l'autre, autour du dit axe.
[0003] Un verrou en forme d'étrier, traversant l'axe creux, comporte un doigt de verrouillage.
Ce doigt est maintenu dans la position « verrouillage », c'est-à-dire dans les évidements
prévus à cet effet dans les flasques, par un ressort de compression.
[0004] Un telle articulation est connue du brevet français N° 1 314063.
[0005] La disposition particulière et remarquable de l'invention réside principalement dans
le fait que le doigt de verrouillage traverse en premier le flasque comportant plusieurs
évidements avant de s'introduire automatiquement et obligatoirement dans l'unique
évidement du second flasque.
[0006] En d'autres termes, l'étrier comportant le doigt de verrouillage est nécessairement
disposé du côté du flasque comportant plusieurs évidements. Cette disposition particulière,
objet de l'invention, permet, comme il sera décrit par la suite, de réaliser en fonction
du besoin une présélection de l'angle de verrouillage souhaité de l'articulation et
d'obtenir un verrouillage automatique dans la position pré-choisie.
[0007] Une simple traction sur l'étrier comportant le doigt de verrouillage permet de dégager
ce doigt des évidements afin de déverrouiller l'articulation.
[0008] Nous savons que les positions opérationnelles principalement recherchées dans une
échelle pliante sont l'échelle droite, l'échelle en position dite « table de travail
ou «échafaudage", l'échelle double et l'échelle totalement pliée.
[0009] Ces quatre positions impliquent donc quatre points ou angles de verrouillage pré-établis
des articulations composant l'échelle pliante.
[0010] En d'autres termes, quatre évidements devront être spécialement disposés sur le flasque
recevant en premier le doigt de verrouillage de façon à ce que les évidements venant
en concordance avec l'évidement unique du flasque juxtaposé, l'articulation puisse
se verrouiller automatiquement dans un angle correspondant à chacune des positions
précitées.
[0011] Dans les articulations connues de ce genre, on constate :
- soit que le flasque recevant en premier le doigt de verrouillage ne comporte qu'un
seul évidement alors que le flasque juxtaposé en comporte plusieurs (Brevet Français
N° 1 314 063) ;
- soit que les deux flasques qui composent l'articulation comportent respectivement
le même nombre d'évidements (Brevet Français N° 2 328 099).
[0012] Dans le premier cas de réalisation, on décèle aisément l'inconvénient majeur. En
effet, cette disposition exclut la double possibilité simultanée de présélectionner
l'angle de verrouillage de l'articulation et d'obtenir son verrouillage automatique
sans une autre intervention manuelle.
[0013] Pour mieux illustrer cet inconvénient, supposons que l'opérateur désire passer de
la position échelle droite (correspondant à un angle de verrouillage de 180°) à la
position échelle double (angle de verrouillage de 40°).
[0014] Cette translation directe et automatique ne pourra être obtenue si un autre évidement
intermédiaire est prévu pour la position « échafaudage » (angle de verrouillage 110°).
En effet, que se passe-t-il :
- soit que l'opérateur retire le doigt de verrouillage pour le remettre dans l'unique
évidement du flasque, côté verrou, après avoir amorcé un premier pivotement des deux
flasques afin de supprimer toute concordance entre le dit évidement unique et les
autres évidements prévus sur l'autre flasque juxtaposé. Dans ce cas, le pivotement
de l'articulation passera obligatoirement par un point de verrouillage intermédiaire
en position « échafaudage ». Pour obtenir l'angle de verrouillage en position «échelle
double», l'opérateur devra donc renouveler la même opération ;
- soit que l'opérateur retire le doigt de verrouillage pour l'immobiliser et le neutraliser
sur la partie pleine du flasque côté verrou. Dans ce cas, il devra attendre et surtout
obtenir (ce qui n'est pas évident) que l'évidement unique du flasque côté verrou soit
en parfaite concordance avec l'évidement du flasque juxtaposé correspondant à la position
« échelle double » pour pouvoir introduire manuellement le doigt de verrouillage dans
les dits évidements et obtenir enfin son angle de verrouillage souhaité.
[0015] On imagine aisément les nombreuses difficultés auxquelles l'opérateur doit faire
face pour réaliser ces différentes opérations tout en manipulant une échelle d'une
certaine longueur et d'un certain poids.
[0016] Dans le deuxième cas de réalisation, on décèle un autre inconvénient majeur qui se
traduit par une limitation du nombre d'angles de verrouillage tout en conservant à
ce verrouillage son automaticité.
[0017] En effet, supposons une articulation dont les deux flasques la composant sont pourvus
chacun de deux évidements. L'opérateur aura la possibilité d'engager son doigt de
verrouillage dans l'un des deux évidements pour obtenir automatiquement un angle de
verrouillage correspondant à l'un des deux évidements.
[0018] Par contre, si nous supposons, en partant de deux évidements sur le flasque côté
verrou, trois évidements sur le flasque juxtaposé (correspondant aux trois positions
échelle droite, échafaudage, échelle double), et si l'opérateur désire passer de l'angle
de verrouillage à 40° (échelle double) à l'angle de 180° (échelle droite), il passera
obligatoirement par un verrouillage intempestif à l'angle de 110° (échafaudage).
[0019] Le même inconvénient se produira si les deux flasques composant l'articulation sont
pourvus chacun de trois évidements.
[0020] En d'autres termes, la présence de deux évidements sur le flasque côté verrou est
limitative quant au nombre d'angles de verrouillage obtenus automatiquement sans discrimination.
[0021] La disposition des évidements sur les flasques composant l'articulation, objet de
la présente invention, supprime tous ces inconvénients tout en conservant l'automaticité
du point de verrouillage correspondant à la position opérationnelle de l'échelle désirée
et ce, sans limitation du nombre des dits points de verrouillage utilisables sur une
échelle pliante.
[0022] Il suffit à l'opérateur, après avoir tiré l'étrier vers lui, de le faire pivoter
pour placer le doigt de verrouillage dans l'un des évidements prévus sur le flasque
recevant en premier le dit doigt de verrouillage.
[0023] Le seul évidement prévu sur le flasque juxtaposé et ce, grâce à un pivotement relatif
des deux flasques entre eux, viendra obligatoirement en concordance avec l'évidement
du flasque dans lequel est déjà introduit le doigt de verrouillage.
[0024] Cette juxtaposition des deux évidements provoquera l'enclenchement immédiat et automatique
du doigt de verrouillage bloquant ainsi l'articulation suivant l'angle de verrouillage
pré-choisi.
[0025] Ce déplacement axial automatique du doigt de verrouillage dans deux évidements juxtaposés
est obtenu à l'aide d'un ressort de compression placé à l'autre extrémité du verrou.
Lorsque le verrou est tiré en position « déverrouillage », le ressort est comprimé
entre d'une part, le flasque de l'articulation et d'autre part, une rondelle d'arrêt
assujettie à l'extrémité de la tige du verrou. Un avantage réside dans le fait que
le ressort peut être recouvert d'un capot le protégeant contre l'encrassement ou les
chocs éventuels suivant un autre avantage, la tige du verrou porteuse en son extrémité
du ressort de compression traverse longitudinalement l'axe de pivotement creux des
flasques constituant l'articulation. Cette disposition permet non seulement de tirer
le verrou pour sortir le doigt de verrouillage des évidements des flasques, mais aussi
de le faire pivoter afin de pouvoir replacer ce doigt de verrouillage dans un évidement
pré-sélectionné correspondant à la position opérationnelle de l'échelle désirée.
[0026] Suivant un autre avantage, chacun des évidements prévus sur le flasque recevant en
premier le doigt de verrouillage peut être distingué au moyen de « zones de couleur
différente ou d'autres marques distinctives appliquées sur la présélection de l'angle
de verrouillage souhaité.
[0027] Suivant une autre particularité, l'articulation pourra être constituée d'autant de
flasques qu'il sera nécessaire pour des raisons de solidité par exemple, juxtaposés
les uns aux autres sans sortir pour autant du cadre de l'invention décrite.
[0028] Dans cette position particulière, il est évident que les flasques comportant le même
nombre d'évidements, soit un, soit plusieurs, seront affectés au même élément de l'échelle
et qu'un des flasques comportant plusieurs évidements sera placé côté étrier afin
de toujours rendre possible et visible la présélection des positions opérationnelles
désirées de l'échelle.
[0029] L'invention est expliquée ci-après en détail suivant des exemples d'exécution représentés
par les dessins sur lesquels :
La figure 1 est une coupe longitudinale suivant AA de l'articulation.
La figure 2 est une vue en élévation latérale de l'articulation verrouillée en position
« échelle droite ».
La figure 3 est une vue en élévation latérale de l'articulation verrouillée en position
« échafaudage ».
La figure 4 est une vue en élévation latérale de l'articulation verrouillée en position
« échelle double ».
La figure 5 est une vue en élévation latérale de l'articulation verrouillée en position
« échelle pliée pour son transport.
La figure 6 est une vue montrant les deux flasques d'articulation séparés avec dispostion
des évidements sur chacun d'eux.
La figure 7 est une vue latérale du flasque recevant en premier le doigt de verrouillage
et dont chaque évidement comporte une marque distinctive correspondant à une position
opérationnelle de l'échelle. .
La figure 8 est une coupe longitudinale suivant AA de la figure 2 montrant un deuxième
exemple possible d'exécution de l'articulation.
La figure 9 est une vue latérale de l'échelle équipée de trois articulations en position
« échelle droite avec indication de l'angle de verrouillage nécessaire pour chaque
articulation.
La figure 10 est une vue latérale de la même échelle en position « échafaudage avec
les mêmes indications.
La figure 11 est une vue latérale de la même échelle en position « échelle double
avec les mêmes indications.
[0030] Suivant figures 1 à 5, l'articulation comprend deux flasques circulaires 1 et 2 réunis
par un axe creux 3 autour duquel ils peuvent pivoter relativement l'un à l'autre.
Chaque flasque est muni d'une partie en forme de tenon 4 et 5 permettant d'assembler
l'articulation aux montants 6 et 7 de l'échelle en les reliant.
[0031] Le flasque 1 comporte quatre évidements périphériques 8, 9, 10 et 11 disposés sur
un arc de cercle de rayon R et suivant des angles α 1, a 2 et α 3 déterminés suivant
les différentes positions que l'on veut donner à l'échelle.
[0032] Le flasque 2 ne comporte qu'un seul évidement 12 disposé à la même distance R de
telle façon qu'il soit alternativement en concordance avec les quatre évidements 8,
9, 10 et 11 du flasque 1 suivant la position de l'échelle désirée et ceci lors du
pivotement relatif des deux flasques 1 et 2 entre eux autour de l'axe 3.
[0033] Un verrou 13, en forme d'étrier, traverse longitudinalement l'axe creux 3 et comporte
le doigt de verrouillage 14. Ce doigt est constamment maintenu dans sa position «
verrouillage » par le ressort de compression 15 mais peut être libéré de cette fonction
par simple traction sur l'étrier 13 en même temps que l'on peut faire pivoter cet
étrier autour de son axe 16.
[0034] La disposition particulière du doigt de verrouillage 14 est qu'il doit tout d'abord
traverser les évidements 8, 9, 10 ou 11 du flasque 1 avant de traverser l'unique évidement
12 du flasque 2. On comprend alors aisément combien la présélection de la position
opérationnelle de l'échelle désirée est simple et facile.
[0035] Par exemple, pour passer de la position « échelle droite » (fig. 2) à la position
« échafaudage » (fig. 3), il suffit de tirer le verrou 13 afin de dégager complètement
le doigt de verrouillage 14 des évidements 8 et 12, de le faire pivoter jusqu'à ce
que ce doigt de verrouillage 14 soit en face de l'évidement 9 et de relâcher.
[0036] En repliant l'échelle, le verrouillage se fera automatiquement lorsque l'évidement
12 se présentera au droit de l'évidement 9 par l'introduction du doigt de verrouillage
14 sollicité par le ressort 15 dans l'évidement 12.
[0037] La manoeuvre sera la même pour obtenir la position « échelle double » (fig. 4) ou
toute autre position suivant l'emplacement des évidements sur la flasque 1.
[0038] Suivant figure 7, il sera avantageux de repérer chaque évidement du flasque recevant
en premier le doigt de verrouillage par une marque distinctive correspondant à une
position opérationnelle de l'échelle.
[0039] Cette disposition présente un double avantage:
- celui de faciliter le repérage, et par voie de conséquence, la présélection de la
position de verrouillage désirée.
- celui d'éviter toute erreur dans cette présélection entre les deux articulations
droite et gauche équipant respectivement le montant gauche et le montant droit de
l'échelle. En effet, ces deux articulations doivent nécessairement satisfaire à une
similitude en termes de présélection. Le nombre de flasques composant l'articulation
peut, sans sortir de l'objet du brevet, ne pas être limité à deux seulement.
[0040] Par exemple, selon figure 8, ce nombre a été porté à trois : un flasque contrai 2
entre deux flasques latéraux 1 et 1'. Dans cette disposition, les flasques latéraux
1 et 1' comporteront respectivement les mêmes évidements 8 et 8', 9 et 9', 10 et 10',
11 et 11' situés en vis-à-vis et le flasque 2 ne comportera que le seul évidement
12.
[0041] Toujours selon figure 8, il sera avantageux que le ressort de compression 15 soit
de forme conique afin que celui-ci n'occupe qu'une hauteur réduite pour limiter au
minimum la hauteur du capot de protection 17.
[0042] Selon figures 9, 10 et 11, l'échelle, pourvue à titre d'exemple non limitatif de
trois jeux d'articulation, est montrée dans ses trois positions opérationnelles les
plus utilisées avec mention de l'angle de verrouillage obtenu sur chaque articulation.
1. Articulation pour échelles pliantes, composée d'une part de deux flasques 1 et
2 dont l'un est pourvu de plusieurs évidements et l'autre d'un seul évidement, disposés
sur un même rayon par rapport à l'axe creux de pivotement des dits flasques, chacun
solidaire par ailleurs d'un montant de l'échelle, et d'autre part d'un doigt de verrouillage
13 sollicité par un ressort, caractérisée en ce que le flasque 1, recevant en premier
le doigt de verrouillage 13, comporte plusieurs évidements, alors que l'autre flasque
2 n'en comporte qu'un.
2. Articulation pour échelles pliantes suivant revendication 1 caractérisée en ce
que le système de verrouillage se présente, de manière connue en soi, sous la forme
d'un étrier dont l'une des branches traverse librement et longitudinalement l'axe
creux constituant le pivot d'articulation, et l'autre branche fait office de doigt
de verrouillage permettant le blocage de l'articulation par son introduction dans
les évidements prévus à cet effet sur les flasques constitutifs de l'articulation.
3. Articulation pour échelles pliantes suivant revendication 1 caractérisée en ce
que la répartition et la disposition des évidements prévus sur le flasque 1 sont définies,
de manière connue en soi, en fonction des angles de verrouillage correspondant aux
différentes positions opérationnelles que l'on souhaite obtenir avec l'échelle pliante.
4. Articulation pour échelles pliantes suivant revendications 1, 2 et 3 caractérisée
en ce que son système de verrouillage est, de manière connue en soi, libérable manuellement
et capable de pivoter sur 360°, permettant ainsi de présélectionner l'un des évidements
prévus sur le flasque 1 correspondant à la position opérationnelle désirée de l'échelle
pliante.
5. Articulation pour échelles pliantes suivant revendication 1, caractérisée en ce
que le ressort de compression situé à l'extérieur de l'articulation et à l'extrémité
de la branche principale du système de verrouillage est de forme conique.
6. Articulation pour échelles pliantes suivant revendication 5, caractérisée en ce
que le ressort de compression est protégé par un capot.
7. Articulation pour échelles pliantes suivant revendications 1 et 6, caractérisée
par le fait que les évidements prévus sur le flasque 1 sont repérés individuellement
au moyen de marques distinctives (par exemple des figurines), de façon à faciliter
la présélection et la similitude de présélection devant nécessairement exister entre
les deux articulations droite et gauche de l'échelle.
1. Joint for folding ladders, comprising on one hand 2 side-plates 1 and 2 one of
them with several notches and the other with one notch only, placed on a same radius
with regard to the said side plate pivoting hollow shaft, each integral with one ladder
upright and on another hand a spring activated locking finger 13, with as specification
that side plate 1 receiving locking finger 13 first, comprises several notches when
the other side plate 2 has only one.
2. Joint for folding ladders according to claim 1 with as specification that the locking
system appears, in such a way as is known, as a cradle- iron, one leg passing freely
and lengthwise through the joint pivot hollow shaft and the other leg serving as locking
finger for joint when fitted into notches to this effect on joint side-plates.
3. Joint for folding ladders according to claim 1 with as specification that the distribution
and arrangement of side-plate 1 notches are specified, in such a way as is know, in
relation with locking angles corresponding to various operational positions expected
from folding ladder.
4. Joint for folding ladders according to claims 1, 2, 3 with as specification that
locking system is, in such a way as is known, manually released and 360° pivoting,
thus enabling to choose the one notch on side-plate 1 which gives the folding ladder
operational position wanted.
5. Joint for folding ladders according to claim 1, with as specification that the
compression- spring located outside the joint and at the end of locking system main
leg is conical.
6. Joint for folding ladders according to claim 5, with as specification that the
compression- spring is protected with a guard.
7. Joint for folding ladders according to claims 1 and 6, with as specification that
notches on side-plate 1 are each marked with distinctive signs (small figures for
example) so as to make preselection easier as this selection must be necessarily identical
for both right side and left side joint of ladder.
1. Gelenk für Klappleitern, das einerseits aus zwei Seitenstücken 1 und 2 besteht,
von denen das eine mit mehreren Aussparungen und das andere mit nur einer versehen
ist. Diese Seitenstücke sind auf dem gleichen Radius in Bezug auf die Schwenkhohlachse
der genannten Seitenstücke angeordnet, wobei jedes von ihnen mit einem der Leiterholme
formschlüssig ist. Andererseits ist das Gelenk mit einem Blockiernocken 13 ausgestattet,
der durch eine Feder beansprucht wird, und es ist dadurch gekennzeichnet, dass das
Seitenstück 1, das als erstes den Blockiernocken 13 aufnimmt, mehrere Aussparungen
aufweist, während das andere Seitenstück 2 nur eine aufweist.
2. Gelenk für Klappleitern, gemäss Forderung 1, dadurch gekennzeichnet, dass das Blockiersystem
eine in sich bekannte Technik in Form eines Bügels aufweist, dessen einer Schenkel
frei und in Längsrichtung die Hohlachse durchläuft, die den Drehzapfen bildet. Der
andere Schenkel dients als Blockiernoken und erlaubt die Gelenkblockierung durch sein
Eintreten in die dafür vorgesehenen Aussparungen auf den Seitenstücken, die das Gelenk
bilden.
3. Gelenk für Klappleitern gemäss Forderung 1, dadurch gekennzeichnet, das die Verteilung
und die Anordnung der auf dem Seitenstück 1 vorgesehenen Aussparungen in einer in
sich bekannten Weise abhängig von den Blockierwinkein festgelegt sind, die den verschiedenen
Einsatzstellungen entsprechen, die man mit einer Klappleiter erzielen möchte.
4. Gelenk für Klappleitern gemäss Forderungen 1, 2 und 3, dadurch gekennzeichnet,
das sein Blockiersystem in einer in sich bekannten Weise mit der Hand frei gemacht
werden kann und um 360° zu schwenken ist, wodurch die Vorwahl einer der auf dem Seitenstück
1 vorgesehenen Aussparungen möglich ist, die der gewünschten Arbeitsstellung der Klappleiter
entspricht.
5. Gelenk für Klappleitern gemäss Forderung 1, dadurch gekennzeichnet, dass die auf
der Gelenkaussenseite und am äussersten Ende des Hauptschenkels des Blockiersystems
befindliche Kompressionsfeder kegelförmig ist.
6. Gelenk für Klappleitern gemäss Forderung 5, dadurch gekennzeichnet, dass die Kompressionsfeder
durch Abdeckung geschützt ist.
7. Gelenk für Klappleitern gemäss Forderungen 1 und 6, dadurch gekennzeichnet, dass
die auf dem Seitenstück 1 vorgesehenen Aussparungen einzeln mit deutlichen Markierungen
versehen sind (z.B. Zeichen), so dass die Vorwahl und die Vorwahigieichartigkeit erleichtert
werden, die unbedingt zwischen den beiden Gelenken rechts und links der Leiter bestehen
müssen.