[0001] La présente invention concerne un dispositif d'affichage à balayage récurrent entrelacé
de type télévision, ainsi qu'un oscilloscope numérique comprenant un tel dispositif.
[0002] L'une des caractéristiques d'un oscilloscope numérique est que le signal analogique
en temps réel est d'abord échantillonné puis mis en mémoire numérique avant d'être
restitué. A la restitution, pour éviter que l'opérateur ne relie à son insu deux échantillons
proches sur l'écran mais en réalité non successifs dans le temps, une interpolation
est prévue entre échantillons successifs (par exemple sous la forme d'échantillons
supplémentaires) pour lever les incertitudes relatives à l'interprétation des images
affichées (voir par exemple la demande de brevet français N° 80 17 928, déposée le
12 août 1980 au nom de la Société Tektronix). L'interpolation la plus simple est l'interpolation
linéaire qui consiste à construire sur l'écran d'affichage un vecteur ayant ses extrémités
en coïncidence avec les points représentatifs des échantillons présents en mémoire.
[0003] Au cours du balayage d'un dispositif d'affichage de type télévision, la surface de
l'écran est balayée horizontalement à vitesse régulière ligne après ligne, ce qui
implique une numérisation verticale de l'information. Les extrémités du vecteur d'interpolation
sont donc situées généralement sur des lignes de balayage différentes et non contiguës.
Le principe de cette interpolation apparaît nettement sur la figure 1: la nature discrète
de la résolution verticale impose la construction dudit vecteur à l'aide de petits
segments horizontaux S1 à S portés par les lignes intermédiaires disponibles (correspondant
aux flèches présentes du côté gauche de la figure) et présentant entre eux un certain
recouvrement en projection horizontale pour assurer une continuité apparente du vecteur
d'interpolation. Le nombre de ces lignes intermédiaires disponibles épend de l'écart
d'amplitude entre deux échantillons successifs E (n) et E (n + 1).
[0004] Dans le cas où il n'y a pas de ligne de balayage disponible entre deux positions
d'échantillons, le vecteur d'interpolation comprend un segment d'interpolation unique
qui dure une période de restitution complète T
R pour assurer la continuité de la trace (voir de tels segments S , S
u+1, etc... sur la figure 2). Pour bénéficier totalement de l'apport du vecteur d'interpolation,
il est nécessaire que le tracé de ce vecteur possède la meilleure résolution possible
; pour ce faire, le balayage de type télévision est utilisé en mode entrelacé, mais
présente l'inconvénient d'introduire un effet de papillotement. En effet, lorsqu'une
partie de la trace est horizontale ou très faiblement inclinée, cette partie ne concerne
qu'une seule ligne de balayage et n'est donc portée que toutes les deux trames, paires
ou impaires : l'énergie de cette partie horizontale n'apparaît par exemple que toutes
les 40 milli- secondes à la fréquence de 25 hertz (au lieu de toutes les 20 mil- lisecondes
en balayage non entrelacé à 50 hertz), ce qui est en deçà des possibilités d'intégration
de l'oeil. Un phénomène désagréable de pulsation d'énergie lumineuse, l'effet de papillotement,
est alors ressenti par l'observateur. La demande de brevet français N° 80 00 718 déposée
par la Société N.V. PHILIPS' GLOEILAMPENFABRIEKEN décrit bien un circuit interpolateur
de trames dans lequel on prévoit d'éviter à l'affichage des phénomènes perturbateurs
tels que le papillotement vertical des images, mais pour des images présentant des
plages.
[0005] Le but de l'invention est de proposer un dispositif d'affichage à balayage récurrent
entrelacé de type télévision dans lequel est prévu un circuit de traitement éliminant
cet effet de papillotement, mais seulement lorsque la trace lumineuse présente effectivement
des parties horizontales ou faiblement inclinées.
[0006] L'invention concerne à cet effet un dispositif d'affichage à balayage récurrent entrelacé
de type télévision, comprenant, pour supprimer l'effet de pulsation lumineuse des
segments de la trace lumineuse à afficher, des moyens de traitement associant à des
segments d'énergie déterminée portés par une ligne de l'une des trames d'autres segments
parallèles dit d'antipapillotement, d'énergie deux fois plus faible et portés chacun
par l'une des deux lignes de l'autre trame qui encadrent la ligne considérée dans
la première trame, caractérisé en ce que lesdits moyens de traitement ne sont mis
en action qu'après détection, à l'aide d'une voie dite de test, de l'existence des
situations qui correspondent à la présence de parties horizontales dans l'une des
trames.
[0007] Pour des considérations de coût, on serait conduit , en option, à n'utiliser qu'un
seul segment d'antipapillotement lorsque la trace lumineuse est faiblement ascendante
ou descendante. Dans le cas d'une partie de trace parfaitement horizontale, c'est
la solution complète qui est retenue : deux segments d'antipapillotement sont associés
au segment d'interpolation, et il leur correspond globalement un paquet d'énergie
lumineuse ayant la même valeur que celle du segment d'interpolation (puisque ces deux
segments ont chacun une énergie deux fois plus faible) et le même centre de gravité
(puisque ces deux segments sont identiques et placés symétriquement). La cadence lumineuse
se trouve ainsi portée par exemple à 50 hertz dans le cas précédemment cité du balayage
entrelacé à 25 hertz, sans que la légère augmentation de largeur de trace qui se produit
à l'endroit où est effectué ce traitement antipapillotement soit gênante. Au contraire,
ce traitement, visuellement agréable puisqu'il reporte la pulsation d'énergie lumineuse
à une fréquence double, assure la conservation du centre de gravité du signal et n'altère
donc pas la précision de la mesure effectuée par l'oeil dans l'examen d'un oscillogramme.
Mais surtout, conformément à l'invention, le traitement n'est utilisé que de place
en place sur la trace, uniquement pour ses parties horizontales ou faiblement inclinées,
ce qui conserve aux autres parties de la trace leur finesse et leur résolution maximale.
[0008] D'autre particularités et avantages de l'invention apparaîtront maintenant de façon
plus précise dans la description qui suit et dans les dessins annexés, donnés à titre
d'exemple non limitatif et dans lesquels :
- les figures 1 et 2 mettent en évidence le principe déjà connu d'interpolation entre
les échantillons d'un signal, respectivement dans le cas où le vecteur d'interpolation
comprend plusieurs segments horizontaux et dans le cas où il n'y a pas de ligne de
balayage disponible entre deux échantillons et où le vecteur d'interpolation comprend
donc un segment d'interpolation unique ;
- la figure 3 est un schéma fonctionnel du circuit de traitement antipapillotement
;
- la figure 4 montre pour la ligne courante "L" les différentes situations dans lesquelles
il est utile de générer des segments d'antipapillotement ;
- la figure 5 montre le principe de construction des segments de suppression du phénomène
de papillotement ;
- la figure 6 illustre ce même principe, d'une part dans le cas où l'on prévoit deux
segments, et d'autre part dans celui où l'on n'en prévoit qu'un seul, choisi selon
le sens d'inclinaison de la trace lumineuse ;
- la figure 7 est le tableau de décodage d'une expression Delta définie pour la recherche,
conformément à l'invention, des situations où le traitement antipapillotement est
nécessaire ;
- les figures 8a à 8g décrivent en détail un jeu de circuits logiques qui, à partir
des valeurs possibles de l'expression Delta, permet la délivrance d'un signal indicateur
de la présence desdites situations et destiné à commander le fonctionnement du dispositif
de traitement antipapillotement.
[0009] On a vu ci-dessus que le dispositif d'affichage selon l'invention est utile lorsque,
en fonction de l'allure locale de la grandeur à représenter sur l'écran d'affichage,
la trace, après toutes les interpolations, est constituée en certains endroits de
longs segments horizontaux n'appartenant chacun qu'à une seule trame. C'est dans de
tels cas quel'énergie liée à ces parties de trame apparaît à une cadence de 25 hertz
et est pénible pour l'oeil.
[0010] Pour déceler de telles situations, le dispositif d'affichage selon l'invention comprend,
conformément au schéma fonctionnel de la figure 3, une voie 10 dite de test, placée
en parallèle sur une voie vidéo 20 de restitution de la trace par interpolation, qui
relie une mémoire numérique 30 et un écran d'affichage 40. La mémoire numérique 30
contient, bien entendu, la séquence régulière des valeurs numériques représentant
les amplitudes respectives des échantillons du signal échantillonné présenté à l'oscilloscope
(à raison d'une valeur d'amplitude par unité de temps fixée par la fréquence d'échantillonnage),
le contenu de cette mémoire étant renouvelable au rythme fixé par le dispositif d'acquisition
non représenté de l'oscilloscope (par exemple toutes les images, ou à un rythme plus
lent). A cette mémoire 30 est associé un dispositif 50 de lecture de la mémoire, couplé
au déplacement du spot le long d'une ligne de balayage.
[0011] La voie de test 10, qui fonctionne à la cadence de restitution des échantillons,
par exemple 5 mégahertz, fixée par un séquenceur 170, comprend un détecteur 100 de
la position des échantillons successivement délivrés par la mémoire 30 par rapport
à la ligne courante repérée par la référence "L" sur la figure 1. Le détecteur 100
reçoit d'une part la sortie de la mémoire 30, et d'autre part l'extrémité d'une connexion
de sortie du séquenceur 170 (connexion qui véhicule ladite information "L" du numéro
de position de la ligne dans la hauteur d'écran), et présente trois sorties distinctes
selon le résultat de la comparaison entre "L" et la position de l'échantillon concerné
E(n). Ce détecteur 100 comprend un premier comparateur qui indique si "L" est égal,
supérieur ou inférieur à la position de E(n), et un deuxième comparateur assisté d'un
additionneur pour comparer L à E(n+1). Le détecteur 100 est suivi d'un circuit à retard
110 qui retarde (d'une durée égale à T
RI période de restitution, ou écart temporel entre deux échantillons successifs) l'information
de position obtenue dans le détecteur 100 relativement à l'échantillon E(n) de position
horizontale n pendant qu'à nouveau s'élabore une information de position, concernant
cette fois l'échantillon suivant E(n + 1) de position n + 1. Si "L" est donc le numéro
d'ordre donnant la position de la ligne en cours de balayage dans la hauteur d'écran
(cette ligne étant repérée sur la figure 4 par un 0, les deux lignes immédiatement
supérieures et inférieures étant repérées respectivement par +1, +2 et -1, -2), six
positions relatives des échantillons correspondent, comme le montre la figure 4, a
ces situations où le traitement antipapillotement doit être utilisé dans le dispositif
d'affichage.
[0012] Un circuit de comparaison et de décision 120 génère un signal indicateur particulier
(appelé AP) si l'existence de l'une de ces positions relatives est constatée, et ce
signal indicateur commande alors la mise en fonctionnement d'un générateur 130 de
traitement antipapillotement, qui piloté à la même cadence de restitution des échantillons
que précédemment (5 mégahertz dans l'exemple précédent) pour assurer la synchronisation
ultérieure avec le signal vidéo de la trace interpolée, consiste en une bascule bistable
convertissant le signal indicateur en un segment horizontal de durée égale à celle
qui sépare deux échantillons successifs devant apparaître sur l'une seulement ou,
selon le cas, sur les deux lignes de numéro (L-1) et (L+1) de l'autre trame. Lorsque
le circuit de comparaison et de décision 120 constate au cours du balayage de la ligne
courante "L" d'une trame l'existence de l'une des six positions relatives d'échantillons
précisées sur la figure 4, c'est-à-dire l'existence graphique d'une partie de signal
horizontale ou faiblement inclinée située sur l'une ou sur l'autre des deux lignes
graphiques voisines appartenant à la deuxième trame, le générateur 130 commande la
construction, sur ladite ligne courante de la première trame, d'un segment parmi un
ou deux segments de suppression du phénomène de papillotement, parallèles, de même
longueur et d'énergie ici deux fois plus faible que celle du segment d'interpolation
graphique situé sur ladite deuxième trame ; le deuxième segment d'antipapillotement
sera alors construit au cours du balayage de la prochaine ligne courante de la même
première trame. Le principe de cette construction est représenté sur la figure 5,
où, en vue très agrandie, est représenté sur une ligne, la ligne 328 de la trame paire
par exemple, un tel segment horizontal P de la trace lumineuse reconstruite par interpolation,
porteur d'une énergie Wp ; les lignes 15 et 16 de la trame impaire, encadrant la ligne
328, portent alors deux segments I
A et I
B qui encadrent le segment P et sont porteurs chacun d'une énergie W
r = Wp/2, avec une longueur égale à celle des segments d'interpolation et une amplitude
deux fois plus faible que ceux-ci.
[0013] Dans le cas où le segment marqué par le phénomène de papillotement est non pas horizontal
mais faiblement incliné, il est possible (voir la figure 6) de n'effectuer la construction,
sur la deuxième trame, que d'un seul des deux segments parallèles d'antipapillotement
encadrant le segment initial : celui qui se trouve, par rapport audit segment initial
P , du côté vers lequel s'effectue la progression inclinée de la trace, c'est-à-dire
le segment I
n situé du côté où se trouve le prochain segment initial P
n+1 également marqué par le phénomène de papillotement.
[0014] L'un des modes de réalisation possibles du circuit 120 de comparaison et de décision
présent dans la voie 10 est le suivant. Si le numéro de la ligne "L" peut varier de
0 à 511 (on se limite à 512 lignes utiles) et également la valeur "E" définissant
la position des échantillons, "L" et "E" sont définis par des nombres binaires de
9 bits à partir desquels on peut définir l'expression Delta = D = E - L avec 9 bits
plus 1 bit éventuel de retenue, soit dix bits B
0 à B
8 plus le bit de retenue C. L'examen de la figure 4 a montré que le traitement antipapillotement
est utilisable dans six situations déterminées de l'échantillon E (n + 1) par rapport
à l'échantillon E (n). Le signal indicateur AP de commande du générateur 130 apparaît
donc seulement dans ces six situations, conformément à l'équation logique suivante
:
avec :
les opérateurs étant bien entendu dans ces expressions des opérateurs logiques (le
signal AP doit être utilisé globalement pour des traces rigoureusement horizontales,
sinon l'énergie d'antipapillotement résultante ne pourrait pas garder le même centre
de gravité que l'énergie correspondant à la trace exacte du signal, et le traitement
antipapillotement générerait alors une vibration apparente vertieale de cette trace
restituée).
[0015] On a choisi, dans l'exemple ici décrit, d'exprimer Delta en code binaire complément
à deux, ce qui donne pour cette expression le tableau de décodage de la figure 7,
avec en abscisse les numéros des bits et en ordonnées les numéros des lignes. On constate
sur ce tableau qu'on peut définir les fonctions logiques auxiliaires suivantes, à
l'aide de deux portes ET (voir les figures 8a et 8b respectivement) :
[0016] De l'expression de ces deux fonctions, on déduit les expressions logiques de D (n
+ 1) = +1 et de D (n + 1) = -1, à l'aide également d'une simple porte ET dans chaque
cas (voir les figures 8c et 8d respectivement) :
[0017] On peut alors définir les fonctions logiques auxiliaires FA
3 et FA
4 destinées à exprimer AP et AP
2 (voir les figures 8e et 8f respectivement) :
[0018] Finalement, le signal indicateur AP apparaît si l'une au moins des fonctions FA
3 ou FA
4 est présente sur les entrées d'une porte OU, représentée sur 1 figure 8g et en sortie
de laquelle est présent AP, signal de commande du générateur 130 de traitement antipapillotement,
qui reçoit par ailleurs d'un circuit 150 de synchronisation relié au séquenceur 170
la cadence de restitution des échantillons.
[0019] Le signal antipapillotement, composé comme on l'a vu de deux segments portés par
une trame entourant le segment initial d'interpolation porté par l'autre trame, est
alors délivré en sortie de la voie 10 de test et de traitement, pour composition dans
un additionneur analogique 140 avec le signal vidéo de la trace interpolée issu du
circuit 160 de reconstruction du signal par les vecteurs d'interpolation et avec le
signal de synchronisation du récepteur et le signal de réticule électronique tous
deux issus d'un séquenceur 170, puis est envoyé sur l'écran d'affichage 40. On notera
ici que la voie vidéo 20 de restitution de la trace par interpolation comprend un
circuit à retard, non représenté, apportant aux signaux qui la traversent un retard
multiple de la période de restitution T
R et destiné à permettre au niveau de l'additionneur 140 la synchronisation avec les
signaux de sortie de la voie 10.
[0020] La nouvelle trace lumineuse obtenue, un peu plus large mais non doublée, est désormais
exempte de tout papillotement. En outre, comme la somme de l'énergie des deux segments
d'antipapillotement ajoutés est égale à l'énergie du segment d'interpolation initial,
le centre de gravité de cette nouvelle énergie est identique à celui de l'énergie
de ce segment initial, et il n'y a aucune génération d'erreur sur la position de la
trace lumineuse, aucun décalage du centre de celle-ci par rapport aux autres parties
de la trace qui n'ont pas subi le traitement antipapillotement, ce qui préserve la
précision des mesures.
[0021] Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée aux exemples de réalisation
ci-dessus décrits et représentés, à partir desquels des variantes peuvent être proposées
sans pour cela sortir du cadre de l'invention. En particulier, il est possible, en
ce qui concerne les figures 8a à 8g, d'utiliser un jeu de circuits logiques différent
si l'on veut tenir compte des résultats partiels issus de la voie 20 d'interpolation.
Par ailleurs, il est possible, bien que cette solution soit actuellement plus coûteuse,
de prévoir une mémoire de trame stockant le résultat des opérations faites sur la
trame précédente.
1. Dispositif d'affichage à balayage récurrent entrelacé de type télévision, comprenant,
pour supprimer l'effet de pulsation lumineuse des segments de la trace lumineuse à
afficher, des moyens de traitement (130) associant à des segments (P) d'énergie déterminée
portés par une ligne de l'une des trames d'autres segments parallèles (I) dit d'antipapillotement,
d'énergie plus faible et portés chacun par l'une des deux lignes de l'autre trame
qui encadrent la ligne considérée dans la première trame, caractérisé en ce que lesdits
moyens de traitement (130) ne sont mis en action qu'après détection, à l'aide d'une
voie (10) dite de test, de l'existence des situations qui correspondent à la présence
de parties horizontales dans l'une des trames.
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que cette voie (10) de test
comprend un circuit logique comparant les positions d'échantillons successifs de la
trace lumineuse par rapport à la ligne courante (L) du balayage et délivrant un signal
indicateur de commande des moyens de traitement (130) si l'existence de l'une de ces
situations est déduite du résultat de ladite comparaison.
3. Dispositif selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que l'énergie
du ou des segments d'antipapillotement est deux fois plus faible que celle du segment
d'interpolation graphique.
4. Oscilloscope numérique à balayage récurrent entrelacé de type télévision, caractérisé
en ce qu'il comprend un dispositif d'affichage selon l'une des revendications 1 et
2.