(19) |
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(11) |
EP 0 102 301 B1 |
(12) |
FASCICULE DE BREVET EUROPEEN |
(45) |
Mention de la délivrance du brevet: |
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11.11.1987 Bulletin 1987/46 |
(22) |
Date de dépôt: 31.08.1983 |
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(54) |
Machine pour la fabrication de sacs en matière plastique pouvant être ouverts ou fermés
par un curseur, appareil de positionnement de curseurs, équipant un telle machine;
son mode de fonctionnement
Maschine und Arbeitsweise zum Herstellen von Kunststoffbeuteln mit Reissverschluss
und Vorrichtung zum Anbringen desselben
Machine and working cycle for making plastic bags with a zip fastener and device for
positioning them
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(84) |
Etats contractants désignés: |
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BE DE GB IT NL |
(30) |
Priorité: |
31.08.1982 FR 8214887
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(43) |
Date de publication de la demande: |
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07.03.1984 Bulletin 1984/10 |
(71) |
Demandeur: FLEXICO FRANCE S.A.R.L. |
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F-60119 Henonville (FR) |
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(72) |
Inventeurs: |
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- Hugues, Gilbert Paul Jean-Marie
F-92410 Ville d'Avray (FR)
- Heyka, Norbert Albert
F-60390 Auneuil (FR)
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(74) |
Mandataire: Picard, Jean-Claude Georges et al |
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Cabinet Plasseraud
84, rue d'Amsterdam 75009 Paris 75009 Paris (FR) |
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Il est rappelé que: Dans un délai de neuf mois à compter de la date de publication
de la mention de la délivrance de brevet européen, toute personne peut faire opposition
au brevet européen délivré, auprès de l'Office européen des brevets. L'opposition
doit être formée par écrit et motivée. Elle n'est réputée formée qu'après paiement
de la taxe d'opposition. (Art. 99(1) Convention sur le brevet européen). |
[0001] La présente invention concerne d'une façon générale une machine pour la fabrication
de sacs en matière plastique constitués de deux feuilles superposées soudées le long
de leurs bords latéraux, le fond restant ouvert ou étant fermé par une ligne de soudage
ou de pliage, ces sacs étant équipés d'éléments profilés d'accouplement s'étendant
le long des bords de leur ouverture et pouvant s'accoupler par déformation élastique
par pression sous l'effet du coulissement d'un curseur, cette machine comportant,
entre autres, de façon connue, en aval d'une extrudeuse produisant les feuilles, d'une
part un appareil de pose automatique de curseurs, en position opérationnelle, sur
des éléments profilés d'accouplement qui s'étendent selon les bords longitudinaux
de deux feuilles superposées en défilement, et d'autre part une lame de soudage et
de coupe propre à effectuer à la cadence voulue, et ceci lors d'arrêts périodiques
du défilement des feuilles, des lignes de soudage transversales constituant les bords
latéraux des sacs.
[0002] Actuellement, certains types de sacs de matière plastique sont élaborés à partir
de feuilles d'une telle matière et comportent deux parois opposées en principe soudées
par leurs bords latéraux, un pli de la feuille ou une autre ligne de soudure constituant
le fond, à moins que les.sacs ne soient fournis avec un fond ouvert (FR-A-1 537 729).
A l'opposé du fond s'étendent, le long des bords de l'ouverture du sac, deux éléments
profilés, à savoir un sur chaque paroi, lesquels éléments ont des formes complémentaires
et peuvent ainsi s'accoupler en se déformant élastiquement par pression sous l'effet
du coulissement d'un curseur, ce qui permet commodément à l'utilisateur d'ouvrir ou
de fermer le sac de façon répétitive, par simple déplacement du curseur le long desdits
éléments. Le curseur est arrêté à chaque extrémité par un point de soudure à l'emplacement
duquel les deux profilés sont aplatis et solidarisés, à proximité des bords latéraux
des sacs.
[0003] Ces sacs sont élaborés en continu à grande cadence, par un procédé d'extrusion, le
principe général de fabrication consistant pour l'essentiel à faire défiler deux feuilles
superposées qui se déplacent dans la direction de leur longueur, feuilles sur lesquelles
une lame de soudage et de coupe descend pour effectuer à la cadence voulue (en fonction
de la vitesse de défilement des feuilles et de la largeur désirée pour les sacs),
et ceci lors d'un arrêt du défilement, des lignes de soudage transversales constituant
les bords latéraux des sacs.
[0004] Lesdits éléments profilés d'accouplement peuvent être extrudés en même temps que
la feuille et constituer une partie intégrante de celle-ci, ou être élaborés séparément
et être rapportés en continu sur les bords longitudinaux respectifs des feuilles,
par soudage ou par collage.
[0005] Un appareil approprié, tel par exemple celui qui fait l'objet du brevet d'invention
français FR-A-2 491 742 effectue automatiquement la pose desdits curseurs, qui viennent,
en position opérationnelle, coiffer lesdits éléments profilés d'accouplement sur chaque
largeur de sac. Cette pose automatique des curseurs s'effectue - bien entendu également
à la cadence voulue - en amont du poste de soudage et de coupe transversale des feuilles.
[0006] Ceci étant, le problème se pose du_ positionnement de chaque curseur selon la longueur
desdits éléments profilés d'accouplement, compte tenu du fait que la machine doit
pouvoir livrer des sacs de largeur variable. Pour éviter que certains curseurs se
trouvent positionnés à l'emplacement auquel il est prévu d'effectuer les points de
soudure mentionnés plus haut, ce qui serait la cause d'un incident de fonctionnement,
il est en général nécessaire, lorsque l'on passe d'une largeur de sac à une largeur
différente, de déplacer l'appareil de pose de curseurs, pour modifier la distance
qui le sépare de la lame précitée de soudage et de coupe, et faire en sorte que cette
distance reste un multiple exact de la largeur des sacs. Autrement, en effet, les
curseurs pourraient se trouver positionnés en des emplacements de la largeur des sacs
qui se décaleraient progressivement vers l'un des bords latéraux de ceux-ci, ce qui
aboutirait inévitablement à l'incident de fonctionnement précité.
[0007] L'un des buts de la présente invention est d'éviter l'inconvénient que représente
le fait d'avoir à déplacer plus ou moins fréquemment l'appareil de pose de curseurs,
qui est relativement lourd et encombrant, et de faire en sorte qu'il puisse être fixe,
tout en évitant aussi, automatiquement et en toute sécurité, le risque de tout incident
de fonctionnement.
[0008] A cet effet, une machine du type général indiqué au début est, conformément à la
présente invention, caractérisée en ce qu'elle comporte en outre, entre ledit appareil
de pose de curseurs et ladite lame de soudage et de coupe, un appareil de positionnement
automatique desdits curseurs sur lesdits éléments profilés d'accouplement, propre
à les amener à une distance déterminée de l'emplacement prévu pour lesdites lignes
de soudage transversales, quelle que soit la largeur prévue pour lesdits sacs.
[0009] On évite ainsi tout risque qu'un curseur distribué par l'appareil de pose « tombe
à l'emplacement prévu pour lesdites lignes de soudage transversales, et donc tout
risque de voir se produire le type d'incident de fonctionnement consistant en ce que
la lame de soudage et de coupe écrase un curseur.
[0010] De la sorte, l'appareil de pose de curseurs pourra être fixe, ce qui pourra être
plus particulièrement avantageux lorsqu'il est prévu que cet appareil travaille sur
des feuilles en défilement dont au moins une partie du parcours est verticale, disposition
qui rend plus simples et plus fiables les moyens d'alimentation de l'appareil en curseurs,
puisque ceux-ci se déplacent alors par simple gravité dans une goulotte verticale.
[0011] Ainsi, une caractéristique complémentaire d'une machine conforme à l'invention pourra
consister en ce que ledit appareil de pose de curseurs est fixe et opère sur une partie
verticale du parcours des feuilles en défilement.
[0012] La présente invention concerne par ailleurs, et plus particulièrement, la structure
et le mode de fonctionnement dudit appareil de positionnement automatique des curseurs.
[0013] Selon une caractéristique de l'invention, à cet égard, ledit appareil sera caractérisé
en ce qu'il comporte pour l'essentiel un châssis, un passage prévu pour permettre
le défilement desdits éléments profilés d'accouplement qui s'étendent le long des
bords longitudinaux de deux feuilles superposées, et, de part et d'autre de ce passage,
deux galets se faisant face, montés aux extrémités libres de deux bras pivotants et
aptes, entre autres mouvements, soit à s'écarter l'un de l'autre, pour laisser libre
le passage à un curseur monté sur lesdits éléments profilés, soit à se rapprocher
l'un de l'autre, et empêcher momentanément ce passage, ce qui, le défilement des feuilles
se poursuivant, provoque un déplacement longitudinal, d'amplitude déterminée, dudit
curseur sur lesdits éléments.
[0014] On peut ainsi amener automatiquement et commodément les curseurs en un emplacement
déterminé de l'espace séparant les emplacements de deux lignes de soudage et de coupe
transversales successives, ce qui évite de façon absolument fiable les inconvénients
décrits plus haut.
[0015] Un tel appareil de positionnement de curseurs conforme à la présente invention comporte
d'autres caractéristiques intéressantes, dont il sera plus explicitement question
ci-après, et en particulier des moyens permettant la livraison de sacs terminés ouverts
ou fermés, ainsi que d'effectuer un essai du bon fonctionnement de chaque curseur.
[0016] Un mode d'exécution d'un appareil de positionnement de curseurs conforme à l'invention
va maintenant être décrit à titre d'exemple nullement limitatif, avec référence aux
figures du dessin annexé dans lequel :
la figure 1 est une vue en plan schématique et partielle de cet appareil ;
la figure 2 est une vue en coupe axiale par la ligne II-II de la figure 1 ; et
la figure 3 montre schématiquement la cinématique des galets de l'appareil.
[0017] Sur les différentes figures, ce que l'on peut appeler le châssis de l'appareil a
été référencé en 1 et les deux galets, formant entre eux un passage pour les profilés
d'accouplement, en 2. Ces galets, qui sont rotatifs autour d'axes 2a, et comportent
une gorge 2b, sont montés chacun à l'extrémité libre d'un bras 3 monté pivotant autour
d'un axe 4. L'autre extrémité des bras 3 est reliée par une biellette 5 à un axe commun
6 solidaire d'un support mobile 7. Les axes reliant de façon articulée les bras 3
aux biellettes 5 ont été reférencés en 8.
[0018] La position, en butée, du support mobile 7 par rapport au châssis 1, peut être réglée
grâce à la rotation d'un bouton moleté 9 monté à l'extrémité d'une vis 10 vissée dans
le support et dont l'extrémité libre vient buter, en 11, sur une extrémité du châssis
1. Un contre-écrou 12 permet, après réglage, et par serrage sur la paroi 13 du support
7, de fixer la position de la vis 10 par rapport au support 7.
[0019] Grâce à ces moyens, on pourra régler le degré de pincement maximum des deux galets
2 l'un sur l'autre.
[0020] Le déplacement du support mobile 7, qui commandera le pivotement des biellettes 5
et leviers 3, et par suite l'ouverture et la fermeture des galets 2, est produit par
un vérin pneumatique 14 fixe par rapport au châssis 1 et dont l'extrémité filetée
15 de tige de piston, sur laquelle est monté aussi un contre-écrou de réglage 16,
est vissée dans ledit support. La commande automatique de l'alimentation du cylindre
du vérin 14 s'effectue au moyen d'une électro-vanne et de tous moyens détecteurs appropriés
(non représentés), ceci en fonction de l'avancement et des arrêts périodiques des
feuilles superposées de matière plastique en défilement (dans le sens de la flèche
F), lesquelles ont été référencées en 17 et portent sur leurs bords libres longitudinaux
des éléments profilés d'accouplement 18 (sur la figure 2, un curseur monté en position
opérationnelle sur les profilés 18 a été référencé en 19).
[0021] Quant aux axes d'articulation 4, ils sont solidaires d'un chariot 20 monté coulissant
sur le châssis 1. Le coulissement du chariot 20 par rapport au châssis 1 est assuré
de chaque côté par des coulisses latérales 21, avec retenue assurée par l'intermédiaire
de deux gorges latérales 22 du châssis, sur chacune desquelles coulisse la tête 23
d'une vis 24 fixée dans ledit chariot 20.
[0022] Enfin, et dans un but qui sera vu par la suite, le chariot 20 peut être verrouillé
élastiquement sur le châssis 1 par l'extrémité arrondie 25, sollicitée vers l'extérieur
par un ressort interne, d'une vis de verrou élastique 26 à écrou 27 fixée sur le chariot
20, cette extrémité pouvant venir occuper l'une de deux encoches 28 ou 29 du châssis
1.
[0023] Ceci étant, le fonctionnement de l'appareil qui vient d'être décrit est le suivant
: un curseur 19 étant arrivé dans la position représentée à la figure 3, le vérin
14 a été commandé, lors du temps précédent du cycle, de sorte que sa tige est rentrée
au maximum dans son corps, ce qui a amené le support mobile 7 dans la position avant
de butée représentée à la figure 2. L'extrémité arrondie 25 du verrou élastique 26
occupe alors l'encoche 29.
[0024] Ce déplacement du support mobile 7 vers l'avant, c'est-à-dire vers le bas, a provoqué
le rapprochement maximum des deux galets 2 l'un vers l'autre, par suite du pivotement
des biellettes 5 et bras 3 ; ces galets empêchent alors le passage vers l'avant dudit
curseur 19, lequel reste bloqué derrière les galets 2, tandis que les feuilles 17
continuent à défiler dans le sens de la flèche F. L'emplacement de la ligne de soudage
et de coupe transversale arrière des feuilles avance donc vers le curseur 19, lequel
se trouvera ainsi, sur le sac correspondant une fois terminé, à proximité de l'extrémité
arrière des profilés d'accouplement 18.
[0025] Sur la figure 3, les galets et les différents axes du système sont dans la position
pour laquelle les références qui les désignent, et qui sont les mêmes que sur les
autres figures, sont affectées de l'indice 1 (et ainsi de suite : 2, 3 et 4 pour les
temps suivants du cycle de fonctionnement).
[0026] A ce moment, l'arrêt des feuilles 17 est produit par un frein électrique agissant
sur les rouleaux, avec production d'un signal de commande du second temps du cycle
: la tige du vérin 14 sort et écarte le support mobile 7 du châssis 1, ce qui provoque
l'ouverture des galets 2 (leurs axes viennent en 2a
2 sur la figure 3).
[0027] Lorsque les galets sont à pleine ouverture et que les bras 3 sont alors bloqués (dans
la position de la figure 1), une poursuite de la manoeuvre du vérin 14 provoque un
déplacement du chariot 20 vers l'arrière, c'est-à-dire vers le haut, l'extrémité arrondie
25 du verrou élastique 26 quittant l'encoche 29 du châssis pour venir occuper l'encoche
28. Le système est alors arrivé au troisième temps du cycle de son fonctionnement
(indices 3 des références sur la figure 3).
[0028] Les galets 2 (axes en position 2a
3) sont alors toujours en position ouverte, mais derrière le curseur 19.
[0029] Le vérin 14 est alors commandé en sens inverse, ce qui provoque la fermeture des
galets 2 derrière le curseur 19. Les galets sont alors dans la position 2a
4 de la figure 3 (quatrième temps du cycle).
[0030] Les galets 2 étant fermés sur les profilés 18, les bras pivotants 3 se trouvent à
nouveau bloqués et une poursuite de la manoeuvre du vérin 14 ne peut plus que ramener
le chariot 20 vers l'avant, c'est-à-dire vers la position qu'il occupait lors du premier
temps du cycle, l'extrémité arrondie 25 du verrou élastique 26 quittant cette fois
l'encoche 28 du châssis pour revenir dans l'encoche 29.
[0031] Lors de ce déplacement vers l'avant du chariot 20 avec les galets 2 fermés (les feuilles
17 étant toujours à l'arrêt), le curseur 19 est légèrement déplacé vers l'avant sur
les profilés 18, en provoquant leur accouplement sur une faible longueur.
[0032] Cette disposition présente l'avantage de tester le bon fonctionnement du curseur
19 qui, s'il est défectueux ou mal engagé sur les profilés 18, est éjecté, ce qui
permet une constatation facile et rapide du défaut. En outre, cela laisse suffisamment
de place à l'extrémité arrière des profilés 18 (derrière le curseur) pour permettre
d'effectuer le point de soudure sur les profilés, ce point de soudure constituant
une butée d'arrêt pour le curseur sur le futur sac.
[0033] Ensuite de quoi, étant revenu au premier temps du cycle, les feuilles sont remises
en défilement et le fonctionnement du système recommence de la même manière.
[0034] On peut obtenir des sacs ouverts (à l'exception de la petite longueur fermée à l'arrière,
dont il vient d'être question), si les galets 2, étant en position fermée maximale,
ne provoquent pas un inter-engagement des profilés d'accouplement 18 pendant le premier
temps du cycle. En effet, lorsque le curseur est bloqué par les galets 2 en position
2
1 et que les feuilles avancent, ce curseur provoque un désengagement des profilés 18,
lesquels sont accouplés au niveau de l'appareil de pose des curseurs.
[0035] En agissant sur le bouton moleté 9, on peut toutefois faire en sorte qu'en position
fermée au maximum les galets 2 pincent suffisamment les profilés 18 pendant le premier
temps du cycle pour en provoquer l'accouplement. On obtient alors des sacs entièrement
fermés.
[0036] On voit ainsi que l'invention permet d'obtenir des sacs ouverts ou fermés, de largeurs
variables, sans qu'il soit nécessaire de modifier la distance qui sépare l'appareil
de pose de curseurs de la lame de soudage et de coupe, avec des curseurs dont le bon
fonctionnement a été testé, et qui se trouvent toujours à une distance déterminée
de l'extrémité arrière des profilés, sur chaque sac.
[0037] Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention
ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application et de réalisation qui ont
été plus particulièrement envisagés ; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.
1. Machine pour la fabrication de sacs en matière plastique constitués de deux feuilles
superposées soudées le long de leurs bords latéraux, le fond restant ouvert ou étant
fermé par une ligne de soudage ou de pliage, ces sacs étant équipés d'éléments profilés
d'accouplement s'étendant le long des bords de leur ouverture et pouvant s'accoupler
par déformation élastique par pression sous l'effet du coulissement d'un curseur,
cette machine comportant, entre autres, de façon connue, en aval d'une extrudeuse
produisant les feuilles, d'une part un appareil de pose automatique de curseurs, en
position opérationnelle, sur des éléments profilés d'accouplement qui s'étendent selon
les bords longitudinaux de deux feuilles superposées en défilement, et d'autre part
une lame de soudage et de coupe propre à effectuer à la cadence voulue, et ceci lors
d'arrêts périodiques du défilement des feuilles, des lignes de soudage transversales
constituant les bords latéraux des sacs, caractérisée en ce qu'elle comporte en outre,
entre ledit appareil de pose de curseurs et ladite lame de soudage et de coupe, un
appareil de positionnement automatique desdits curseurs sur lesdits éléments profilés
d'accouplement, propre à les amener à une distance déterminée de l'emplacement prévu
pour lesdites lignes de soudage transversales, quelle que soit la largeur prévue pour
lesdits sacs.
2. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que ledit appareil de pose
de curseurs est fixe et opère sur une partie verticale du parcours des feuilles en
défilement.
3. Appareil de positionnement automatique de curseurs destiné à équiper une machine
conforme à la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comporte pour l'essentiel
un châssis (1), un passage prévu pour permettre le défilement desdits éléments profilés
d'accouplement (18) qui s'étendent le long des bords longitudinaux de deux feuilles
superposées (17), et, de part et d'autre de ce passage, deux galets se faisant face
(2), montés aux extrémités libres de deux bras pivotants (3) et aptes, entre autres
mouvements, soit à s'écarter l'un de l'autre, pour laisser libre le passage à un curseur
(19) monté sur lesdits éléments profilés, soit à se rapprocher l'un de l'autre, et
empêcher momentanément ce passage, ce qui, le défilement des feuilles se poursuivant,
provoque un déplacement relatif longitudinal, d'amplitude déterminée, dudit curseur
sur lesdits éléments.
4. Appareil selon la revendication 3, caractérisé en ce que les extrémités opposées
aux extrémités libres des deux bras (3) sont reliées de façon articulée chacune à
une biellette (5), les deux biellettes (5) étant reliées à un axe commun (6) monté
sur un support mobile (7), lequel est relié opérativement à un moyen moteur - vérin
pneumatique (14) ou analogue - commandé automatiquement en fonction de l'avancement
et des arrêts périodiques desdites feuilles (17).
5. Appareil selon la revendication 4, caractérisé en ce que la position de rapprochement
maximale entre ledit support mobile (7) et le châssis (1) est déterminée par une butée
réglable (9, 10).
6. Appareil selon la revendication 5, caractérisé en ce que la mise en butée est assurée
par l'extrémité libre d'une vis (10) vissée dans le support mobile (7), laquelle extrémité
peut venir en appui sur une paroi (11) dudit châssis (1), l'autre extrémité de cette
vis étant pourvue d'un bouton moleté de réglage (9).
7. Appareil selon l'une quelconque des revendications 4 à 6, caractérisé en ce que
lesdits bras (3) sont montés rotatifs chacun autour d'un axe (4), les deux axes (4)
étant solidaires d'un chariot (20) guidé de façon coulissante, en direction longitudinale,
sur ledit châssis (1).
8. Appareil selon la revendication 7, caractérisé en ce que ledit chariot coulissant
(20) peut être verrouillé élastiquement en deux positions différentes, espacées longitudinalement,
sur ledit châssis (1).
9. Appareil selon la revendication 8, caractérisé en ce que le verrouillage élastique
est assuré par l'extrémité arrondie (25) d'une vis de verrou élastique (26) solidaire
du chariot (20), cette extrémité pouvant s'engager élastiquement et sélectivement
dans l'une ou l'autre de deux encoches (28, 29) dudit châssis.
10. Mode de fonctionnement d'un appareil conforme à l'une quelconque des revendications
3 à 9, caractérisé par un premier temps du cycle de fonctionnement, pendant lequel
les deux galets (2) sont rapprochés au maximum en pinçant lesdits éléments profilés
(18), ce qui bloque l'avance du curseur (19), lequel vient buter derrière les galets.
11. Mode de fonctionnement selon la revendication 10, caractérisé par un second temps
du cycle de fonctionnement, pendant lequel, le défilement desdites feuilles superposées
(17) étant momentanément stoppé, les deux galets (2) sont ouverts, de sorte à pouvoir
passer de part et d'autre du curseur (19), et ceci lorsque l'emplacement prévu sur
lesdites feuilles pour la future ligne transversale de soudage et de coupe est arrivé
à une distance déterminée - relativement courte - derrière ledit curseur (19).
12. Mode de fonctionnement selon la revendication 10 ou 11, caractérisé par un troisième
temps du cycle de fonctionnement, pour lequel, à partir de la pleine ouverture des
galets (2), le chariot coulissant (20) est déverrouillé élastiquement par rapport
audit châssis (1), grâce à quoi il peut coulisser vers l'arrière, sous l'action dudit
moyen moteur, jusqu'en une position relative pour laquelle il se reverrouille élastiquement
sur ledit châssis, les galets (2) restant toujours en position de pleine ouverture,
mais se situant alors en arrière dudit curseur (19).
13. Mode de fonctionnement selon l'une quelconque des revendications 10 à 12, caractérisé
par un quatrième temps du cycle de fonctionnement, pendant lequel un actionnement
en sens inverse dudit moyen moteur provoque tout d'abord une fermeture desdits galets
sur les éléments profilés d'accouplement (18), puis, à partir du moment où les galets
sont fermés sur lesdits profilés, le déverrouillage élastique du chariot coulissant
(20) par rapport au châssis (1) et un avancement dudit chariot, mouvement pendant
lequel, jusqu'à ce que le chariot se reverrouille dans la première position de verrouillage
élastique précitée, le curseur est coulissé sur une faible longueur sur les profilés
d'accouplement, à partir de sa position la plus en arrière, be qui permet d'en tester
le bon fonctionnement.
1. A machine for making plastic bags comprising two superposed sheets welded along
their side edges, the base remaining open or being closed by a weld or fold line,
said bags being provided with connecting section members which extend along the edges
of their opening and which can be connected by elastic deformation by pressure in
response to the sliding of a slider, said machine comprising inter alia in known manner,
downstream of an extruder which produces the sheets, firstly, a device for automatically
fitting sliders in the operational position to the connecting section members extending
along the longitudinal edges of two superposed sheets in movement, and, second, a
welding and cutting blade adapted to effect transverse welding lines forming the side
edges of the bags at the required rate, during periodic stoppages of the movement
of the sheets, characterised in that the machine also comprises, between said slider
fitting device and said welding and cutting blade, a device for automatic positioning
of said sliders on said connecting section members adapted to bring them to a given
distance from the place required for said transverse weld lines irrespective of the
proposed width of said bags.
2. A machine according to claim 1, characterised in that the said slider fitting device
is stationary and operates on a vertical part of the path of the moving sheets.
3. A device for automatically positioning sliders for a machine according to claim
1 or 2, characterised in that it comprises essentially a frame (1), a passage adapted
to allow movement of said connecting section members (18) extending along the longitudinal
edges of two superposed sheets (17) and, on either side of said passage, two facing
rollers (2) mounted at the free ends of two pivoting arms (3) and adapted, in addition
to other movements, either to move apart to leave the passage free for a slider (19)
mounted on said section members, or move together and temporarily prevent such passage,
as a result of which, with continued movement of the sheets, there is a longitudinal
relative movement of a given amplitude of said slider on said members.
4. A device according to claim 3, characterised in that the ends remote from the free
ends of the two arms (3) are pivotally connected each to a link (5), the two links
(5) being connected to a common pivot (6) mounted on a movable support (7) operatively
connected to a drive means - a pneumatic jack (14) or the like - automatically controlled
in dependence on the feed and periodic stoppages of said sheets (17).
5. A device according to claim 4, characterised in that the position of maximum movement
of the movable support (7) and the frame (1) towards one another is determined by
an adjustable stop (9, 10).
6. A device according to claim 5, characterised in that abutment against the stop
is provided by the free end of a screw (10) screwed in the movable support (7), which
end can abut a wall (11) of the frame (1), the other end of said screw being provided
with a knurled adjusting knob (9).
7. A device according to any one of claims 4 to 6, characterised in that the said
arms (3) are each mounted for rotation about a pivot (4), the two pivots (4) being
connected to a carriage (20) guided for longitudinal sliding on said frame (1).
8. A device according to claim 7, characterised in that the said sliding carriage
(20) can be elastically locked in two different longitudinally spaced positions on
said frame (1).
9. A device according to claim 8, characterised in that the elastic locking is provided
by the rounded end (25) of an elastic locking screw (26) connected to the carriage
(20), said end being adapted to engage elastically and selectively in one or other
of two notches (28, 29) of said frame.
10. Method of operating a device according to any one of claims 3 to 9, characterised
by a first stage of the operating cycle during which the two rollers (4) are brought
towards one another to the maximum, clamping the said section members (18), thus blocking
the advance of the slider (19), which abuts behind the rollers.
11. A method of operation according to claim 10, characterised by a second stage of
the operating cycle during which, movement of said superposed sheets (17) being temporarily
stopped, the two rollers (2) are open so as to be able to pass on either side of the
slider (19), when the position intended on said sheets for the future transverse welding
and cutting line reaches a - relatively short - given distance behind said slider
(19).
12. A method of operation according to claim 10 or 11, characterised by a third stage
of the operating cycle during which, as from full opening of the rollers (2), the
sliding carriage (20) is elastically unlocked with respect to the frame (1), so that
it can slide rearwardly by the action of the drive means, into a relative position
in which it elastically relocks on said frame, the rollers (2) still remaining in
the fully open position but then being situated rearwardly of said slider (19).
13. A method of operation according to any one of claims 10 to 12, characterised by
a fourth stage in the operating cycle during which actuation of said drive means in
the reverse direction initially results in the rollers closing on the connecting section
members (18) and then, from the time when the rollers are closed on said section members,
elastic unlocking of the sliding carriage (20) with respect to the frame (1) and an
advance of said carriage, during which movement, until the carriage relocks in the
first elastic locking position aforesaid, the slider is slid a short length on the
connecting members from its most rearward position, thus enabling proper operation
thereof to be tested.
1. Maschine zur Herstellung von Kunststoffbeuteln, die aus zwei übereinander gelegten
Folienblättern bestehen, die an ihren Längskanten miteinander verschweißt sind wobei
der Boden offen bleibt oder durch eine Schweißnaht oder durch Umfalten (der Folienblätter)
geschlossen ist, wobei die Beutel mit verhakbaren Profilelementen ausgestattet sind,
die sich längs der Ränder ihrer Öffnung erstrecken und durch elastische Verformung
unter Druck verhakbar sind, und zwar unter dem Einfluß des Entlanggleitens eines Läufers,
wobei die Maschine unter anderem in bekannter Weise stromabwärts von einem die Folienblätter
erzeugenden Extruder einerseits einen Apparat zum automatischen Aufsetzen der Läufer
auf die verhakbaren, sich längs der Längskanten der vorbeilaufenden Folienblätter
erstreckenen Profilelemente in einer Betriebsstellung umfaßt und andererseits einen
Schweiß- und Schneid-Steg mit dessen Hilfe mit einer wählbaren Schrittbreite, und
zwar während periodischer Unterbrechungen des Vorrückens der Folienblätter, die in
Querrichtung verlaufenden Schweißnähte herstellbar sind, die die seitlichen Längskanten
der Beutel bilden, dadurch gekennzeichnet, daß sie (die Maschine) u. a. zwischen dem
genannten Apparat zum Aufsetzen der Läufer und dem genannten Schweiß- und Schneid-Steg
eine Vorrichtung zum automatischen Positionieren der Läufer auf den Profilelementen
umfaßt, mit deren Hilfe diese (die Läufer) in einen vorgegebenen Abstand von der Position
bewegbar sind, die für die genannten querlaufenden Schweißlinien vorgesehen ist, derart
daß sich die vorgegebene Breite für die genannten Beutel ergibt.
2. Maschine nach Anspruch 1, dadurch gekennzeichnet, daß der Apparat zum Aufsetzen
der Läufer fest angeordnet ist und in einem Bereich arbeitet in dem die Folienblätter
senkrecht daran vorbeilaufen.
3. Vorrichtung zum automatischen Positionieren von Läufern, die zum Ausrüsten einer
Maschine nach Anspruch 1 oder 2 bestimmt ist, dadurch gekennzeichnet, daß sie im wesentlichen
umfaßt : einen Rahmen (2), einen Kanal der vorgesehen ist, um das Vorbeilaufen der
verhakbaren Profilelemente (18) zu ermöglichen, die sich längs der Längskanten der
beiden übereinander gelegten Folienblätter (17) erstrecken und an der einen oder anderen
Stelle längs dieses Kanals zwei einander gegenüberliegende Rollen (2), die an den
freien Enden zweier Schwenkarme (3) befestigt sind, und die sich - neben anderen Bewegungen
- voneinander entfernen können, um einen freien Durchlaß für einen Läufer (19) zu
lassen, der auf den genannten Profilelementen montiert ist, und die sich einander
nähern können und zeitweilig diesen Durchlaß sperren, was bei weiterlaufenden Folienblättern
zu einer relativen Verlagerung des besagten Läufers bezüglich der genannten (Profil-)
Elemente in Längsrichtung (derselben) mit einer vorgegebenen Amplitude (über eine
vorgegebene Strecke) führt.
4. Vorrichtung nach Anspruch 3, dadurch gekennzeichnet, daß die den freien Enden der
beiden Arme gegenüberliegenden Enden derselben jeweils gelenkig mit einem Schwenkhebel
(5) verbunden sind, wobei die beiden Schwenkhebel (5) mit einer gemeinsamen Achse
(6) verbunden sind, die an einem beweglichen Träger (7) montiert ist, welcher in Wirkverbindung
mit einer Antriebseinrichtung steht - Pneumatikzylinder (14) oder eine analoge Einrichtung
-, welche automatisch in Abhängigkeit vom Vorrücken und vom periodischen Anhalten
der genannten Folienblätter (17) gesteuert wird.
5. Vorrichtung nach Anspruch 4, dadurch gekennzeichnet, daß die Position der maximalen
Annäherung zwischen der beweglichen Halterung (7) und dem Rahmen (1) durch einen einstellbaren
Anschlag (9, 10) bestimmt ist.
6. Vorrichtung nach Anspruch 5, dadurch gekennzeichnet, daß das Verfahren in die Anschlagstellung
durch das freie Ende einer Schraube (10) gewährleistet ist, die in die bewegliche
Halterung (7) eingeschraubt ist und die sich an einer Wand (11) des Rahmens (1) abstützen
kann, wobei das andere Ende der Schraube mit einem Stellknopf (9) versehen ist.
7. Vorrichtung nach einem der Ansprüche 4-6, dadurch gekennzeichnet, daß die genannten
Schwenkarme (3) jeweils schwenkbar auf einer Achse (4) montiert sind, wobei die beiden
Achsen (4) fest mit einem Wagen (20) verbunden sind, der in Längsrichtung gleitverschieblich
an dem Rahmen (1) geführt ist.
8. Vorrichtung nach Anspruch 7, dadurch gekennzeichnet, daß der gleitverschiebliche
Wagen (20) elastisch in zwei verschiedenen in Längsrichtung im Abstand voneinander
vorgesehenen Positionen an dem Rahmen (1) festlegbar ist.
9. Vorrichtung nach Anspruch 8, dadurch gekennzeichnet, daß das elastische Festlegen
durch das abgerundete Ende (25) durch eine fest mit dem Wagen (20) verbundene Schraube
(26) aus elastischem Material gewahrleistet ist, wobei das Ende elastisch und selektiv
in die eine oder andere von zwei Vertiefungen (28, 29) des Rahmens eingreifen kann.
10. Funktion einer Vorrichtung nach einem der Ansprüche 3-9, dadurch gekennzeichnet,
daß ein erstes Zeitintervall des Funktionszyklus vorgesehen ist, in dessen Verlauf
sich die beiden Rollen (2) maximal annähern und dabei die genannten Profilelemente
(18) festklemmen, was das Vorrücken des Läufers (19) blockiert, der sich hinter den
Rollen abstützt.
11. Funktion nach Anspruch 10, dadurch gekennzeichnet, daß ein zweites Zeitintervall
des Funktionszyklus vorgesehen ist, in dessen Verlauf das Vorrücken der genannten
übereinanderliegenden Folienblätter (17) momentan angehalten wird, wobei die beiden
Rollen (2) geöffnet sind derart, daß sie den Läufer (19) hindurchlassen können, und
zwar bis die an den genannten Folienblättern für die zukünftige in Querrichtung verlaufende
Schweiß- und Schnittlinie vorgesehene Position in einem vorgegebenen Abstand - relativ
kurz - hinter dem Läufer (19) angekommen ist.
12. Funktion nach Anspruch 10 oder 11, dadurch gekennzeichnet, daß ein drittes Zeitintervall
des Funktionszyklus vorgesehen ist, für welches der gleitverschiebliche Wagen (20),
ausgehend von der vollen Öffnung der Rollen (2) elastisch bezüglich des genannten
Rahmens (2) entriegelt wird, so daß er dank dieser Tatsache unter der Wirkung der
genannten Antriebseinrichtung nach hinten gerade bis in eine Position gleiten kann,
relativ zu welcher er sich erneut elastisch an dem Rahmen verrastet, wobei die Rollen
(2) ständig in der Position der vollen Öffnung verbleiben, sich aber dann hinter dem
Läufer (19) befinden.
13. Funktion nach einem der Ansprüche 10 bis 12, dadurch gekennzeichnet, daß ein viertes
Zeitintervall des Funktionszyklus vorgesehen ist, in dessen Verlauf eine Betätigung
der benannten Antriebseinrichtung in umgekehrter Richtung zunächst ein Schließen der
genannten Rollen über den verhakbaren Profilelementen (18) hervorruft und dann beginnend
mit dem Moment, in dem die Rollen über den genannten Profilen geschlossen sind, das
elastische Entriegeln des gleitverschieblichen Wagens (20) bezüglich des Rahmens und
ein Vorrücken dieses Wagens bis im Verlauf dieser Bewegung der Wagen sich erneut in
der ersten obengenannten elastischen Verriegelungsposition verriegelt, wobei der Läufer
auf den verhakbaren Profilen um eine kurze Strecke verschoben wird, und zwar ausgehend
von seiner am weitesten hinten befindlichen Position, was das Prüfen seiner einwandfreien
Funktion ermöglicht.