(19)
(11) EP 0 607 870 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
27.07.1994  Bulletin  1994/30

(21) Numéro de dépôt: 94100433.5

(22) Date de dépôt:  13.01.1994
(51) Int. Cl.5D06F 75/12
(84) Etats contractants désignés:
BE DE GB IT

(30) Priorité: 20.01.1993 FR 9300541

(71) Demandeur: MOULINEX S.A.
F-93170 Bagnolet (FR)

(72) Inventeurs:
  • Bondy, Roger, Moulinex S.A.
    F-61002 Alençon (FR)
  • Guillot, Gérard, Moulinex S.A.
    F-61002 Alençon (FR)
  • Paquay, Justinus, Moulinex S.A.
    F-61002 Alençon (FR)

(74) Mandataire: May, Hans Ulrich, Dr. 
Patentanwalt Dr.H.U.May, Thierschstrasse 27
D-80538 München
D-80538 München (DE)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Dispositif de repassage à vapeur


    (57) Ce dispositif de repassage à vapeur comporte un fer à repasser électrique (1) comprenant une semelle chauffante (5) et une chambre de vaporisation (6) pratiquée dans la semelle (5), fermée par un couvercle métallique (8) et communiquant avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie (7) ; un générateur de vapeur indépendant (2) ; et un tuyau souple d'amenée de vapeur (3) reliant le générateur (2) à la chambre de vaporisation (6) du fer via un conduit de vapeur (16).
    Selon l'invention, le conduit de vapeur (16) est un tube métallique rigide dont une extrémité (17) est directement raccordée au tuyau souple (3) et dont l'autre extrémité (18) débouche dans la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture (19) percée dans le couvercle (8) de la chambre de vaporisation du fer.




    Description


    [0001] La présente invention concerne un dispositif de repassage à vapeur, comportant :
    • un fer à repasser électrique comprenant une semelle chauffante et une chambre de vaporisation pratiquée dans la semelle, fermée par un couvercle métallique et communiquant avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie de vapeur ménagés dans la semelle ;
    • un générateur de vapeur indépendant ; et
    • un tuyau souple d'amenée de vapeur dont une extrémité est branchée en sortie du générateur de vapeur et dont l'autre extrémité est reliée à la chambre de vaporisation du fer à repasser par un conduit de vapeur logé dans ledit fer.


    [0002] On connaît déjà différents types classiques de fers à repasser électriques à vapeur, à usage domestique, comportant notamment une semelle métallique chauffante fermée par un couvercle, une calotte chapeautant la semelle et isolant thermiquement celle-ci de la carrosserie du fer, un réservoir d'eau et une chambre de vaporisation pratiquée dans la semelle et dans laquelle est produite une certaine quantité de vapeur d'eau sous pression projetée à travers des orifices de sortie ménagés dans la semelle du fer à repasser. L'eau, contenue dans le réservoir, est dirigée par un dispositif d'injection soumis à actionnement, vers la chambre de vaporisation chauffée par une résistance électrique noyée dans la semelle du fer. Au contact du métal chauffé, l'eau est transformée en vapeur et s'échappe par les orifices de sortie ménagés à cet effet.

    [0003] Ce type de fer à repasser à vapeur fonctionnant de manière autonome donne entière satisfaction.

    [0004] Cependant, actuellement, on utilise de plus en plus pour une production importante de vapeur sous pression, un générateur de vapeur d'eau qui est structurellement indépendant d'un fer à repasser, et qui est relié à l'arrière du fer à repasser par un tuyau souple d'amenée de vapeur.

    [0005] Dans ce type d'installation de repassage, il est souhaitable d'utiliser un fer à repasser qui existe déjà sur le marché, tel que celui décrit précédemment et pour lequel le dispositif d'injection d'eau est bien entendu hors service. On a alors proposé de relier le tuyau souple à la chambre de vaporisation du fer à repasser au moyen d'un conduit de vapeur souple et isolant, en faisant passer ce dernier soit au-dessous de la calotte d'isolation thermique dudit fer en le raccordant au tuyau souple par des pièces intermédiaires isolantes, d'où une certaine complexité de raccordement, et en le branchant directement à la chambre de vaporisation du fer à repasser, d'où un montage relativement difficile du conduit en raison de sa souplesse, soit au-dessus de la calotte d'isolation thermique ce qui nécessite inévitablement de profondes modifications du fer à repasser en question, voire une nouvelle conception spécifique du fer à repasser.

    [0006] De plus, le conduit de vapeur utilisé est en général réalisé en un silicone qui est relativement sujet à une déformation avec l'usage du fer à repasser, un tel conduit risquant par ailleurs de se débrancher, notamment au niveau de la chambre de vaporisation du fer, sous l'action de la pression de la vapeur véhiculée.

    [0007] L'invention a pour but de pallier ces inconvénients et de réaliser un dispositif de repassage à vapeur, du type exposé ci-dessus, mettant en oeuvre une liaison entre le tuyau souple d'amenée de vapeur et la chambre de vaporisation d'un fer à repasser, qui soit simple, fiable, économique et facile à établir, et qui puisse aisément s'adapter sur un fer à repasser de constitution classique connue, c'est-à-dire conçu pour fonctionner en autonomie.

    [0008] Selon l'invention, le conduit de vapeur assurant la liaison entre le tuyau souple d'amenée de vapeur et la chambre de vaporisation du fer à repasser est un tube métallique rigide dont une extrémité dite arrière est directement raccordée au tuyau souple et dont l'autre extrémité dite avant débouche dans la chambre de vaporisation du fer à repasser en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture percée dans le couvercle de la chambre de vaporisation dudit fer.

    [0009] Ainsi, on obtient une liaison tuyau souple - chambre de vaporisation du fer à repasser, qui est à la fois simple à réaliser et fiable dans le temps puisqu'elle ne fait intervenir qu'un seul tube métallique rigide de conduite de vapeur. Une telle simplicité de montage est bien adaptée à une fabrication automatique en grande série.

    [0010] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront d'ailleurs de la description qui va suivre d'un mode particulier de réalisation pris à titre d'exemple non limitatif illustré aux dessins annexés dans lesquels :
    • la figure 1 est une vue schématique en coupe partielle du dispositif de repassage à vapeur selon l'invention ;
    • la figure 2 est une vue en perspective éclatée de certains constituants, représentés en coupe transversale, de la partie inférieure du fer à repasser illustré à la figure 1 ;
    • la figure 3 est une vue en coupe transversale des constituants de la figure 2 une fois assemblés ; et
    • la figure 4 est une vue schématique de dessus de l'ensemble semelle-tube du fer à repasser de la figure 1, avec représentation des liaisons électriques du fer.


    [0011] En référence à la figure 1, un dispositif de repassage à vapeur comporte un fer à repasser 1, un générateur de vapeur indépendant 2 et un tuyau souple 3 d'amenée de vapeur, reliant le générateur de vapeur au fer à repasser.

    [0012] Le générateur de vapeur 2, destiné à produire une grande quantité de vapeur d'eau sous pression, est d'une structure connue en soi. A titre purement indicatif, ce générateur de vapeur est par exemple du type comportant :
    • soit un réservoir prévu pour contenir une quantité déterminée d'eau et de vapeur produite à partir de cette eau, et une résistance plongeante pour chauffer l'eau et engendrer cette vapeur,
    • soit une chaudière alimentée en eau contenue dans un réservoir séparé via une micropompe.


    [0013] En regard des figures 1 et 2, le fer à repasser 1 (figure 1) comporte un sous-ensemble (semelle) désigné par le repère général 4 sur la figure 2 et comprenant une semelle métallique moulée 5, par exemple en aluminium, dans laquelle est pratiquée une chambre de vaporisation 6 qui communique avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie 7 ménagés dans la face inférieure de la semelle 5.

    [0014] La chambre de vaporisation 6 est fermée par un couvercle 8 en tôle emboutie. A cet effet, le couvercle 8 présente un bord périphérique courbé 9 qui est encastré dans une rainure complémentaire 10 pratiquée dans la face supérieure de la semelle 5. Le couvercle 8 est de plus maintenu sur la semelle 5 au moyen d'éléments de serrage (non figurés).

    [0015] Dans la semelle 5 est noyée une résistance électrique blindée 12 en forme de U dont seules les deux extrémités 12a, 12b sont visibles sur la figure 4.

    [0016] Le sous-ensemble 4, figure 2, comprend également une plaque 13 en tôle, de section droite en forme de Z, qui est disposée fixement sur la face supérieure de la semelle 5, en surplomb relativement à l'extrémité arrière de cette dernière, et qui supporte de façon solidaire un conducteur de terre 14 coudé verticalement vers le haut.

    [0017] Conformément à l'invention, le tuyau souple 3, figure 1, branché en sortie du générateur de vapeur 2 et entrant dans la partie arrière 15 du fer à repasser 1, est relié à la chambre de vaporisation 6 dudit fer par un seul tube métallique rigide 16 de conduite de vapeur, réalisé par exemple en aluminium, dont une extrémité dite arrière 17 est directement raccordée au tuyau souple 3 et dont l'autre extrémité dite avant 18 débouche dans la chambre de vaporisation 6 du fer en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture 19 percée dans le couvercle 8 de la chambre de vaporisation 6 du fer à repasser.

    [0018] Dans l'exemple de réalisation illustré à la figure 1, l'extrémité arrière 17 du tube 16 comporte un bourrelet annulaire 20 sur lequel est emmanché à force le tuyau 3, l'ensemble étant fermement maintenu en place par exemple au moyen d'un ruban de cerclage approprié 21.

    [0019] Dans cet exemple, figure 1, l'extrémité avant 18 du tube 16 est emmanchée à force dans un joint tubulaire souple d'étanchéité 22 réalisé en un élastomère, de préférence un silicone, et monté sans jeu dans l'ouverture 19 d'entrée dans la chambre de vaporisation 6 du fer à repasser 1 afin d'empêcher toute fuite de vapeur.

    [0020] On notera qu'une fois le joint souple 22 inséré dans l'ouverture 19, l'emmanchement à force de l'extrémité avant du tube 16 dans ledit joint provoque une expansion radiale de ce dernier, assurant ainsi un parfait serrage du joint dans l'ouverture 19 et partant, une excellente étanchéité.

    [0021] En regard des figures 1 et 2, le joint tubulaire d'étanchéité 22 est constitué présentement par une collerette cylindrique 23, à entrée conique (voir figure 2), qui est appliquée à plat contre le couvercle 8 et qui se prolonge axialement par une queue ou embout cylindrique 24 faisant saillie dans la chambre de vaporisation 6 et pourvu d'un bourrelet 25 se clipsant derrière un soyé cylindrique 26 (figure 2) pratiqué dans l'ouverture 19 du couvercle 8 et venu d'emboutissage.

    [0022] Le tube métallique 16 est de préférence préformé et présente une partie avant 16a en forme de col de cygne dont la partie antérieure 28 (figure 2) s'étend verticalement dans le joint 22 sur toute la hauteur de ce dernier, et dont la partie postérieure 29 (figure 2) a un tronçon d'extrémité 30, opposé au coude 27 du col de cygne, qui est en appui contre le couvercle 8 de la chambre de vaporisation 6, comme bien visible aux figures 1 et 3. Ce tronçon d'extrémité 30 de la partie postérieure 29 du col de cygne est éventuellement maintenu en appui contre le couvercle 8 au moyen d'un élément de serrage, tel que par exemple un ruban adhésif (non figuré).

    [0023] On indiquera que le fait de conformer la partie avant 16a du tube 16 en un col de cygne permet, grâce à son tronçon d'extrémité 30 en appui contre le couvercle 8, de limiter la hauteur d'emmanchement du tube dans le joint en garantissant une distance déterminée d entre le débouché de l'extrémité avant 18 du tube et le fond de la chambre de vaporisation 6 du fer à repasser, voir figures 1 et 3.

    [0024] A partir de la partie postérieure 29 de sa conformation en col de cygne, le tube 16 présente une partie intermédiaire 16b dirigée vers l'arrière du fer à repasser et disposée partiellement en appui, sur une première portion, contre le couvercle 8 de la chambre de vaporisation 6, et sur une seconde portion, contre la plaque 13 de la semelle 5 (voir figure 4), ainsi qu'une partie arrière 16c prolongeant la partie intermédiaire 16b, coudée verticalement vers le haut et raccordée au tuyau souple 3, comme on le voit sur la figure 1.

    [0025] Il convient de noter que le tube 16, en contact avec le couvercle 8 solidaire de la semelle 5, est lui-même chauffé par la résistance électrique 12 et partant, contribue à éliminer d'éventuelles gouttes d'eau qui sont entraînées par la vapeur produite par le générateur 2 et qui sont susceptibles de pénétrer dans la chambre de vaporisation 6 du fer à repasser où elles sont définitivement vaporisées, la vapeur s'échappant alors par les orifices de sortie 7. La présence de ces gouttes d'eau entraînées par la vapeur est notamment due à une condensation de la vapeur dans le tuyau souple de liaison 3. Leur élimination par chauffage du tube 16 est d'autant plus efficace que le tube 16 est de grande longueur, de petite section et possède des chicanes.

    [0026] Il convient également de signaler ici que le fer à repasser 1 n'est jamais soumis au problème connu d'entartrage car le calcaire se dépose entièrement dans le générateur 2, de sorte que les éventuelles gouttes d'eau entraînées dans le tuyau 3 et le tube 16 par la vapeur produite par le générateur 2 sont des gouttes d'eau déminéralisée.

    [0027] En regard des figures 1 et 2, le fer à repasser 1 (figure 1) comporte également une calotte d'isolation thermique 32 réalisée par moulage en une matière isolante et destinée à venir se fixer sur la semelle 5 du fer à repasser par exemple au moyen de vis telles qu'illustrées en 33 sur la figure 1. Cette calotte 32 présente un orifice de guidage 34 qui est traversé par la partie arrière verticale coudée 16c du tube 16 et qui possède une nervure interne verticale 35, venue de moulage, et appliquée contre cette partie arrière coudée 16c du tube, sensiblement au niveau du coude de celle-ci, de manière à maintenir en place la partie arrière 16c du tube 16 contre la plaque 13 solidaire de la semelle 5.

    [0028] La calotte 32 présente également une ouverture 36 au travers de laquelle passe le conducteur de terre coudé 14. Le tube 16, au niveau de sa partie arrière 16c, est de préférence relié électriquement au conducteur de terre 14.

    [0029] Comme on le voit sur la figure 1, le tube 16 est donc en quasi-totalité agencé en dessous de la calotte d'isolation thermique 32, moyennant un léger jeu j au niveau de sa partie avant 16a en col de cygne.

    [0030] En regard de la figure 2, après réalisation du sous-ensemble 4 (semelle) du fer à repasser, le joint d'étanchéité 22 est alors monté serré dans l'ouverture 19 du couvercle 8, puis la partie avant 16a en col de cygne du tube 16 est emmanchée à force dans le joint 22 et la calotte 32 est rapportée sur le sous-ensemble 4 avec passage en saillie, d'une part, de la partie arrière coudée 16c du tube 16 au travers de l'orifice 34 et, d'autre part, du conducteur de terre 14 au travers de l'ouverture 36.

    [0031] La figure 3 montre un tel assemblage ou montage qui est donc aisé et rapide à exécuter, sans risque d'erreurs, et ce de façon manuelle ou de préférence automatisée. Après ce montage, le tuyau souple 3 (représenté en traits interrompus sur la figure 3) est directement raccordé sur l'extrémité arrière 17 du tube 16.

    [0032] On a désigné par 37 sur la figure 1 un câble ou cordon électrique destiné à assurer l'alimentation électrique du fer à repasser 1 et entrant, comme le tuyau souple 3, dans la partie arrière 15 du fer à repasser.

    [0033] Les fils électriques (non figurés) du cordon 37 sont reliés respectivement à des conducteurs électriques désignés en 38 sur la figure 4. Comme on le voit sur cette figure 4, le tube 16 s'étend à distance appropriée de ces conducteurs électriques 38.

    [0034] Selon la figure 1, le fer à repasser 1 comporte un capot de protection 39 formant corps avec une poignée creuse 40 et rapporté sur la calotte d'isolation thermique 32.

    [0035] De plus, le fer à repasser utilisé 1 (figure 1) est conçu de façon classique pour fonctionner en autonomie, donc sans générateur de vapeur indépendant, et fait intervenir à cet égard :
    • une réserve à eau 41 délimitée par la calotte 32 et une partie du capot 39 ;
    • un dispositif commandé d'injection d'eau 42 adapté pour alimenter en eau la chambre de vaporisation 6 au travers d'une ouverture 43 pratiquée dans le couvercle 8 et rendue étanche au moyen d'un joint 44, l'eau étant vaporisée dans la chambre 6 grâce à la chaleur de la résistance électrique 12 et la vapeur ainsi produite sortant par les orifices 7 ;
    • un dispositif commandé de pulvérisation d'eau 45 agencé en saillie hors du capot 39 ;
    • un dispositif 46 de commande de thermorégulateur.


    [0036] Evidemment, un tel fer à repasser 1, lorsqu'il est utilisé avec le générateur de vapeur extérieur 2, est adapté de manière à ce que son dispositif d'injection 42 soit mis hors service.

    [0037] On indiquera, comme le montre d'ailleurs la figure 4, que l'ouverture 19 est de préférence décalée par rapport à l'ouverture 43 qui est pratiquée sur l'axe longitudinal XX de la semelle 5 du fer à repasser.

    [0038] Ainsi, suivant l'invention, on a réalisé une adaptation simple mais efficace d'un fer à repasser à vapeur de type classique dans le but de pouvoir l'utiliser avec un générateur de vapeur indépendant, ce qui entre autres est particulièrement intéressant sur le plan du coût de fabrication de l'ensemble.


    Revendications

    1. Dispositif de repassage à vapeur, comportant :

    - un fer à repasser électrique (1) comprenant une semelle chauffante (5) et une chambre de vaporisation (6) pratiquée dans la semelle, fermée par un couvercle métalique (8) et communiquant avec l'extérieur au moyen d'orifices de sortie de vapeur (7) ménagés dans la semelle ;

    - un générateur de vapeur indépendant (2) ; et

    - un tuyau souple d'amenée de vapeur (3) dont une extrémité est branchée en sortie du générateur de vapeur (2) et dont l'autre extrémité est reliée à la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser (1) par un conduit de vapeur (16) logé dans ledit fer,

    caractérisé en ce que le conduit de vapeur (16) assurant la liaison entre le tuyau souple (3) et la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser est un tube métallique rigide dont une extrémité dite arrière (17) est directement raccordée au tuyau souple (3) et dont l'autre extrémité dite avant (18) débouche dans la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser en étant encastrée de façon étanche dans une ouverture (19) percée dans le couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) dudit fer.
     
    2. Dispositif de repassage selon la revendication 1,
    caractérisé en ce qu'un joint tubulaire souple d'étanchéité (22) est monté dans l'ouverture (19) du couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser, et est adapté à recevoir par emmanchement à force l'extrémité avant (18) du tube (16).
     
    3. Dispositif de repassage selon la revendication 2,
    caractérisé en ce que l'ouverture (19) du couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) du fer à repasser présente un soyé (26), et en ce que le joint d'étanchéité (22) présente une collerette cylindrique (23) s'appliquant sur ledit couvercle et se prolongeant axialement par un embout cylindrique (24) pourvu d'un bourrelet (25) venant se clipser derrière le soyé (26) de l'ouverture (19) dudit couvercle.
     
    4. Dispositif de repassage selon la revendication 2 ou 3,
    caractérisé en ce que le tube (16) est préformé et présente, au niveau de son extrémité avant (18), une partie dite avant (16a) conformée en un col de cygne dont la partie antérieure (28) s'étend verticalement dans le joint (22), sur toute la hauteur de ce dernier, et dont la partie postérieure (29) présente un tronçon d'extrémité (30), opposé au coude (27) dudit col, qui est en appui contre le couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) dudit fer.
     
    5. Dispositif de repassage selon la revendication 4,
    caractérisé en ce que le tube (16) présente, à partir de la partie postérieure (29) de son col de cygne, une partie dite intermédiaire (16b) dirigée vers l'arrière du fer à repasser et disposée partiellement en appui sur le couvercle (8) de la chambre de vaporisation (6) dudit fer, ainsi qu'une partie dite arrière (16c) coudée dans le prolongement de ladite partie intermédiaire et s'étendant verticalement vers le haut pour venir se raccorder au tuyau souple (3).
     
    6. Dispositif de repassage selon la revendication 5, dans lequel l'ensemble formé par la semelle (5) et le couvercle (8) du fer à repasser (1) est chapeauté par une calotte d'isolation thermique (32),
    caractérisé en ce que le tube (16), depuis sa partie avant jusqu'au coude de sa partie arrière, s'étend sous la calotte d'isolation thermique (32), et en ce que la partie arrière verticale (16c) du tube (16) fait saillie hors de la calotte (32) par passage au travers d'un orifice (34) pratiqué dans ladite calotte.
     
    7. Dispositif de repassage selon la revendication 6,
    caractérisé en ce que la calotte d'isolation thermique (32) est pourvue intérieurement d'une nervure verticale isolante (35) prenant appui sur la partie arrière (16c) du tube (16), sensiblement au niveau du coude de celle-ci, de manière à maintenir en place cette partie arrière du tube contre la semelle du fer à repasser.
     
    8. Dispositif de repassage selon l'une quelconque des revendications précédentes,
    caractérisé en ce que l'extrémité arrière (17) du tube (16) comporte un bourrelet (20) sur lequel vient s'emmancher à force le tuyau souple (3).
     
    9. Dispositif de repassage selon la revendication 8,
    caractérisé en ce que l'extrémité arrière (17) du tube (16) est maintenue en place à l'intérieur du tuyau souple (3) au moyen d'au moins un organe de serrage (21).
     
    10. Dispositif de repassage selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le fer à repasser (1) comporte des conducteurs électriques (38) dont l'un d'entre eux constitue un conducteur de terre (14) auquel est reliée électriquement la semelle (5) dudit fer,
    caractérisé en ce que le tube (16) est relié électriquement au conducteur de terre (14).
     




    Dessins













    Rapport de recherche