[0001] L'invention concerne les bacs pour la collecte de déchets et plus particulièrement
les émissions sonores dues au dépôt de déchets dans de tels bacs.
[0002] Pour trier les déchets lors de la collecte, il est connu de disposer plusieurs bacs,
côte à côte. Chaque bac est destiné à recevoir un type particulier de déchets, par
exemple un bac est destiné à recevoir des déchets comprenant majoritairement du plastique
et un autre bac est destiné à recevoir des déchets comprenant majoritairement du verre.
[0003] Dans le cas des déchets comprenant du verre, notamment les bouteilles vides, l'utilisation
du bac dédié peut être relativement bruyante. En effet, lorsque le bac est vide, une
bouteille en verre, en chutant dans le bac, peut se briser en percutant les parois
du bac. Même lorsque le bac est partiellement rempli de tessons de verre, un déchet
en verre qui chute dans le bac se brise sur les tessons et génère du bruit. De même,
même sans se briser, la bouteille qui chute dans le bac et percute d'autres bouteilles
génère du bruit.
[0004] Le bruit produit lors du dépôt de déchets comprenant du verre dans des bacs dédiés
est susceptible de gêner les personnes à proximité des bacs. Notamment, dans les environnements
urbains, des bacs pour la collecte de déchets en verre peuvent être positionnés à
proximité de fenêtres d'habitations.
[0005] Pour limiter le bruit généré par le bac, il est connu d'utiliser des bacs avec des
parois plus épaisses afin d'absorber le bruit émis à l'intérieur du bac. Toutefois,
le bruit est faiblement atténué et le coût de fabrication du bac est augmenté.
[0006] Un but de l'invention est donc de fournir un bac pour la collecte de déchets plus
silencieux.
[0007] Pour ce faire, on prévoit, selon l'invention, un bac pour la collecte de déchets,
caractérisé en ce qu'il comprend une cuve dont au moins une paroi est recouverte,
sur une face interne, par une feuille souple qui comprend un matériau alvéolaire et/ou
un élastomère comprenant un groupe butyle, le matériau alvéolaire (24, 124) et le
matériau élastomère ont la propriété d'être absorbant et/ou isolant acoustique.
[0008] Ainsi, le bruit généré par la chute et/ou le bris du déchet dans la cuve est soit
absorbé par le matériau alvéolaire, soit reste confiné dans la cuve si le matériau
alvéolaire est un isolant acoustique. De même, l'élastomère comprenant le groupe butyle
peut absorber les ondes sonores émises lors de la chute du déchet ou alors se comporter
comme un isolant acoustique. Dans tous les cas, des personnes se trouvant à proximité
du bac sont moins gênés par le bruit de la collecte du déchet dans le bac.
[0009] On notera ainsi que grâce au bac selon l'invention, on encourage le tri sélectif
du verre, notamment dans des environnements urbains. En effet, en raison du bruit
habituellement générés par le dépôt de déchets en verre dans des bacs dédiés, de nombreux
immeubles d'habitations n'installent pas de tels bacs. Or, le verre est un matériau
qui se recycle facilement. En installant le bac selon l'invention dans des immeubles
d'habitations, on encourage les habitants à procéder au tri sélectif des déchets en
verre car le bruit généré par le tri sélectif n'est plus gênant pour les habitants.
[0010] De préférence, la feuille appartient à une enveloppe qui recouvre toutes les faces
internes de la cuve.
[0011] De cette façon on accroit la capacité du bac à confiner le bruit émis à l'intérieur
de celui-ci.
[0012] Avantageusement, le matériau alvéolaire comprend une mousse solide.
[0013] Les inventeurs ont constaté que la mousse solide produit de bons résultats en termes
d'absorption et/ou d'isolation acoustique, tout en étant légère et en occupant un
volume faible dans le bac.
[0014] Selon un mode de réalisation, la mousse solide comprend du polyéthylène basse densité,
de préférence à cellules fermées ou semi-fermées.
[0015] La mousse solide en polyéthylène basse densité est simple à produire et présente
des capacités de résistance aux contraintes mécaniques, qui peuvent être imposées
par les déchets, satisfaisantes. De plus, lorsque le polyéthylène basse densité est
à cellules fermées ou semi-fermées, il ne se dégrade pas sous l'action d'un liquide,
par exemple de l'eau de pluie, ou du lixiviat. La mousse solide est donc lavable.
[0016] De préférence, la feuille comprend une toile comprenant du polypropylène et/ou du
polyester enduit d'une pellicule de polychlorure de vinyle.
[0017] La feuille est donc plus résistante aux contraintes mécaniques imposées par les déchets.
La feuille présente notamment moins de risques de déchirure en étant plus résistante
au cisaillement. De plus, la toile peut être lavée car elle n'est également pas dégradée
par l'action de l'eau.
[0018] Avantageusement, la feuille entoure totalement le matériau alvéolaire.
[0019] Ainsi, la feuille protège le matériau alvéolaire. En outre, la feuille contraint
la forme du matériau alvéolaire. La feuille agit alors comme une gaine protectrice
pour le matériau alvéolaire. On peut donc aisément remplacer la feuille et par conséquent
le matériau alvéolaire par simple décrochage de la feuille. La maintenance du bac
est donc plus simple.
[0020] Selon un mode de réalisation, la feuille fixée au matériau alvéolaire au moyen d'au
moins une couture et/ou d'une colle.
[0021] De préférence, une extrémité de la feuille est pliée de manière à enserrer une extrémité
du matériau alvéolaire afin de fixer la feuille au matériau alvéolaire.
[0022] Il s'agit de moyens simples et efficaces pour relier la feuille au matériau alvéolaire.
[0023] Avantageusement, la feuille est fixée à la cuve au moyen d'au moins un rivet et/ou
d'une vis.
[0024] Ainsi, on peut remplacer la feuille facilement en cas de détérioration.
[0025] De préférence, une extrémité de la feuille est fixée à la cuve.
[0026] Selon un mode de réalisation, l'extrémité de la feuille est fixée à une collerette
de la cuve.
[0027] On peut donc aisément remplacer la feuille et par conséquent le matériau alvéolaire
par simple décrochage de la feuille. La maintenance du bac est donc plus simple.
[0028] Il est donc possible de remplacer facilement la feuille si celle-ci est par exemple
déchirée par un déchet en verre.
[0029] Avantageusement, le bac comporte un couvercle dont une surface interne comporte la
feuille comprenant le matériau alvéolaire.
[0030] La capacité du bac à émettre peu de bruit lorsqu'un utilisateur y dépose des déchets
est donc accrue.
[0031] On va maintenant décrire, à titre d'exemple non limitatif, deux modes de réalisation
de l'invention, à l'aide des figures suivantes :
- la figure 1 est une vue en perspective d'un bac selon un premier mode de réalisation
de l'invention,
- la figure 2 est une vue en perspective et en transparence de ce bac,
- la figure 3 est une vue de dessus d'un bac, selon un second mode de réalisation de
l'invention, dans lequel on n'a pas représenté un couvercle et une feuille, et
- la figure 4 est une vue de dessus de ce bac, dans lequel seul le couvercle n'est pas
représenté.
[0032] On a représenté à la figure 1, un bac 10 pour la collecte de déchets, selon un premier
mode de réalisation de l'invention.
[0033] Le bac 10 comprend une cuve 12 essentiellement constituée d'une matière plastique,
à savoir du polyéthylène, de préférence partiellement ou intégralement recyclé, mais
peut, selon une variante du présent mode de réalisation, comprendre un autre matériau
plastique ou du métal. La cuve 12 est issue d'un procédé de moulage par injection
et est monobloc.
[0034] Le bac 10 est ici destiné à recevoir des déchets comprenant essentiellement du verre.
Toutefois, il ne s'agit nullement d'une caractéristique limitative, et selon des variantes
de ce mode de réalisation, le bac 10 est destiné à recevoir des déchets en plastique
ou encore tous types de déchets.
[0035] En outre, le bac 10 comprend un couvercle 14, constituée du même matériau que la
cuve 12, et comprend un orifice d'introduction 16.
[0036] On a représenté à la figure 2, le bac 10 en perspective et en transparence de façon
à laisser apparaître l'intérieur du bac 10.
[0037] La cuve 12 comprend une poignée 15 qui permet la préhension du bac 10 et son déplacement
par un opérateur.
[0038] De plus, la cuve 12 comprend, sur une partie supérieure selon la direction verticale,
une collerette 18. En outre, la cuve 12 est portée par deux roues 20, bien qu'une
seule roue 20 soit représentée sur la figure 2. Le bac représenté ici n'a que deux
roues mais des bacs à quatre roues sont également concernés par l'invention, de même
que des bacs sans roues.
[0039] Les parois de la cuve 12 sont recouvertes, sur leurs faces internes, par une feuille
souple 22. Comme toutes les faces internes des parois de la cuve 12 sont recouvertes
par la feuille souple 22, cette dernière forme une enveloppe pour les parois de la
cuve 12. Selon une variante du présent mode de réalisation, la feuille souple 22 recouvre
simplement une ou plusieurs faces internes des parois de la cuve 12, sans recouvrir,
au moins partiellement, d'autres faces internes de parois de la cuve 12.
[0040] Cette feuille souple 22 peut être tissée ou thermoformée et comprend alors par exemple
une matière plastique telle que le polyester. Dans le présent mode de réalisation,
il s'agit d'une toile qui comprend du polypropylène. Selon une variante, la toile
comprend du polyester enduit d'une pellicule de chlorure de vinyle, également désigné
par l'acronyme PVC. Selon une autre variante, la toile comprend un mélange des deux
compositions suscitées. Le polyester enduit de chlorure de vinyle a notamment pour
propriété de se déchirer difficilement. L'utilisation de ce matériau est donc indiquée
dans le cas de bacs pour la collecte de déchets comprenant principalement du verre.
La feuille souple 22 présente ainsi une probabilité faible de se déchirer sous l'effet
du frottement des tessons de verre contre la feuille souple 22, elle est donc résistante
au cisaillement. Par contre, la feuille souple 22 peut être percée, ce qui permet
de fixer facilement la feuille souple 22 à la cuve 12 par des moyens que l'on va décrire
plus loin.
[0041] La feuille souple 22 forme un réservoir et comprend, à l'intérieur de ce réservoir,
un matériau alvéolaire 24 qui a la propriété d'être un matériau absorbant acoustique.
La feuille souple 22 entoure donc totalement le matériau alvéolaire 24.
[0042] Ici, le matériau alvéolaire 24 se présente sous la forme d'une mousse solide qui
comprend essentiellement un polymère. Dans ce mode de réalisation, le polymère est
constitué de polyéthylène basse densité, également désigné par l'acronyme PEBD. Le
polyéthylène est ici à cellules fermées, mais peut, selon une variante, être à cellules
semi-fermées de façon, dans les deux cas, à être étanche. On limite ainsi les infiltrations
de lixiviat dans le matériau alvéolaire 24.
[0043] Selon une variante du présent mode de réalisation, le matériau alvéolaire 24 est
remplacé par un matériau élastomère qui comprend un groupe butyle. Le matériau élastomère
est un isolant acoustique. De façon avantageuse, on peut également associer les compositions
suscitées. On utilise alors le matériau alvéolaire 24 en tant qu'absorbant acoustique
et le matériau élastomère en tant que isolant acoustique.
[0044] Le matériau alvéolaire 24 est un absorbant acoustique. Cela signifie que lorsque
le couvercle 14 est dans une position fermée, visible aux figures 1 et 2, c'est-à-dire
rabattu sur la cuve 12, le bruit produit dans le bac 10 est fortement atténué de sorte
qu'un utilisateur à proximité du bac 10, perçoive faiblement les sons émis depuis
l'intérieur du bac 10. Les inventeurs ont notamment constaté que le bruit s'échappant
de l'intérieur d'un bac 10 tel que décrit, lorsqu'une bouteille en verre y est introduire,
est atténué d'au moins 10 décibels, voire plus, par rapport à un bac qui ne comporte
pas la feuille souple 22 et le matériau alvéolaire 24.
[0045] La feuille souple 22 est ici cousue au matériau alvéolaire 24. Selon une variante,
la feuille souple 22 est collée au matériau alvéolaire 24. Pour renforcer la longévité
de la liaison entre la feuille souple 22 et le matériau alvéolaire 24, on peut également
associer la colle et la couture.
[0046] La feuille souple 22 est fixée aux faces internes des parois de la cuve 12, par son
extrémité supérieure, selon la direction verticale, à proximité mais en dessous de
la collerette 18. Cette fixation peut se faire au moyen de rivets ou de vis, ou encore
d'une association de ces deux moyens. Optionnellement, la fixation de la feuille souple
22 aux faces internes des parois de la cuve 12 s'effectue au moyen d'au moins une
baguette rigide, qui comprend essentiellement du métal ou du plastique. La baguette
rigide permet de plaquer la feuille souple 22 contre les faces internes des parois
de la cuve 12, à l'aide de vis ou de rivets, et d'éviter ainsi que des déchets s'insèrent
entre la feuille souple 22 et les parois de la cuve 12. De cette façon, on diminue
le risque de blessures pour l'opérateur qui procède au vidage du bac 10 et la liaison
entre la feuille souple 22 et les faces internes des parois de la cuve 12 est renforcée.
[0047] Comme la feuille souple 22 est fixée à la cuve par une extrémité supérieure, le remplacement
de la feuille souple 22, qui comporte le matériau alvéolaire 24, est simple. Cette
caractéristique se vérifie d'autant mieux lorsque la feuille souple 22 est fixée au
moyen d'au moins un ensemble vis/écrou.
[0048] On va maintenant décrire, à l'aide des figures 3 et 4, un second mode de réalisation
de l'invention. Seules les différences avec le premier mode de réalisation vont être
explicitées.
[0049] On a représenté à la figure 3 un bac 100 selon un second mode de réalisation de l'invention,
qui comprend une cuve 112 munie d'une collerette 118. Dans cette illustration, le
couvercle n'est pas représenté, tout comme la feuille souple 122 (qui est en revanche
représenté à la figure 4).
[0050] Comme on le voit sur la figure 3, et par superposition avec la figure 4, le matériau
alvéolaire 124 est formé d'un seul tenant et comprend deux parties 124A et 124B. La
partie 124A recouvre les faces internes des parois latérales de la cuve 112. En outre,
la partie 124B recouvre une face interne du fond de la cuve 112. La partie 124A recouvre
entièrement les faces internes des parois latérales de la cuve 112 à l'exception de
la partie de paroi de cuve 112 qui comprend un organe de verrouillage 119, complémentaire
d'un organe de verrouillage du couvercle du bac 100.
[0051] Pour protéger le matériau alvéolaire 124 des déchets introduits dans le bac 100,
celui-ci est recouvert par une feuille souple 122, visible à la figure 4. Ici, une
extrémité supérieure, selon la direction verticale, de la feuille souple 122 ne comprend
pas de matériau alvéolaire 124 et est plaquée contre les faces internes des parois
de la cuve 112.
[0052] Selon une variante, la feuille souple 122 est repliée, en son extrémité supérieure
selon la direction verticale, de manière à enserrer une extrémité supérieure, selon
cette même direction verticale, du matériau alvéolaire 124. Ainsi, l'eau ou le lixiviat
ne peuvent s'infiltrer dans le matériau alvéolaire 124.
[0053] La feuille souple 22 et le matériau alvéolaire 124 sont fixés à la cuve 112 au moyen
de plusieurs rivets 126. Huit rivets, sans que ce nombre ne soit une caractéristique
limitative vis-à-vis de l'invention, sont disposés sur l'extrémité supérieure, selon
la direction verticale, de la feuille souple 122 et parcourent le contour horizontal
de cette extrémité supérieure. L'extrémité supérieure de la feuille 122 est fixée
à une face interne de la collerette 118 de la cuve 112.
[0054] Bien entendu, on peut apporter à l'invention de nombreuses modifications sans sortir
du cadre de celle-ci.
[0055] On pourra utiliser des matériaux alvéolaires qui ont la propriété d'être isolant
acoustique et des matériaux élastomères qui ont la propriété d'être absorbant acoustique.
[0056] On pourra utiliser tous types de matériau alvéolaire 124 et notamment associer ces
matériaux entre eux.
[0057] On pourra notamment associer des matériaux qui ont la propriété d'être isolant et/ou
absorbant acoustique à des fréquences particulières de façon à couvrir l'ensemble
du spectre des fréquences audibles.
[0058] On pourra également fixer la feuille souple 122 ou le matériau alvéolaire 124 par
tous moyens à la cuve 112.
[0059] Optionnellement, le couvercle 14 peut comporter, sur une surface interne, la feuille
souple 22, qui comprend elle-même le matériau alvéolaire 24.
[0060] De façon avantageuse, on peut associer un dispositif, de type compensateur ou roue
à poudrette, qui réduit le bruit provoqué par le déplacement du bac sur ses roues.
[0061] Le bac 10 peut également comprendre simplement la feuille souple 22 sans matériau
alvéolaire 24 ou élastomère comprenant un groupe butyle.
[0062] La feuille souple 122 peut aussi être conformée pour être un sac pour la collecte
de déchets du bac 100.
1. Bac (10, 100) pour la collecte de déchets, caractérisé en ce qu'il comprend une cuve (12, 112) dont au moins une paroi est recouverte, sur une face
interne, par une feuille souple (22, 122) qui comprend un matériau alvéolaire (24,
124) et/ou un élastomère comprenant un groupe butyle, le matériau alvéolaire (24,
124) et le matériau élastomère ont la propriété d'être absorbant et/ou isolant acoustique.
2. Bac (10, 100) selon la revendication précédente, dans lequel la feuille (22, 122)
appartient à une enveloppe qui recouvre toutes les faces internes de la cuve (12,
112).
3. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le
matériau alvéolaire (24, 124) comprend une mousse solide.
4. Bac (10, 100) selon la revendication précédente, dans lequel la mousse solide comprend
du polyéthylène basse densité, de préférence à cellules fermées ou semi-fermées.
5. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la
feuille (22, 122) comprend une toile comprenant du polypropylène et/ou du polyester
enduit d'une pellicule de polychlorure de vinyle.
6. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la
feuille (22, 122) entoure totalement le matériau alvéolaire (24, 124).
7. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la
feuille (22, 122) est fixée au matériau alvéolaire (24, 124) au moyen d'au moins une
couture et/ou d'une colle.
8. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel une
extrémité de la feuille (22, 122) est pliée de manière à enserrer une extrémité du
matériau alvéolaire (24, 124) afin de fixer la feuille (22, 122) au matériau alvéolaire
(24, 124).
9. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lequel la
feuille (22, 122) est fixée à la cuve (12, 112) au moyen d'au moins un rivet (126)
et/ou d'une vis.
10. Bac (10, 100) selon la revendication précédente, dans lequel une extrémité de la feuille
(22, 122) est fixée à la cuve (12, 112).
11. Bac (10, 100) selon la revendication précédente, dans lequel l'extrémité de la feuille
(22, 122) est fixée à une collerette (18, 118) de la cuve (12, 112).
12. Bac (10, 100) selon l'une quelconque des revendications précédentes, comportant un
couvercle (14) dont une surface interne comporte la feuille (22, 122) comprenant le
matériau alvéolaire (24, 124).