(19)
(11) EP 0 014 623 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
20.08.1980  Bulletin  1980/17

(21) Numéro de dépôt: 80400112.1

(22) Date de dépôt:  23.01.1980
(51) Int. Cl.3E04G 1/16, E04G 1/14
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE GB IT LU NL SE

(30) Priorité: 23.01.1979 FR 7901650

(71) Demandeur: SOMEFRAN Société d'Exploitation des BREVETS MEFRAN
F-34510 Florensac (FR)

(72) Inventeur:
  • Jean, Louis
    F-34520 Pezenas (FR)

(74) Mandataire: Weinstein, Zinovi et al
Cabinet Z. WEINSTEIN 20, Avenue de Friedland
F-75008 Paris
F-75008 Paris (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Entretoisement d'échafaudage


    (57) Lesentretoisements 14 d'unéchafaudagesontconstitués de deux entretoises 15 montées en croix, comprenant chacune une partie supérieure coudée 17 à axe vertical et une partie inférieure 16 à axe horizontal, accrochées sur les cadres 13 de l'échafaudage au moyen de pattes d'attache 25 et 24 respectivement.
    L'invention concerne généralement les échafaudages tubulaires préfabriqués.


    Description


    [0001] L'invention concerne un nouvel entretoisement d'échafaudage, ainsi que les éléments ou cadres d'échafaudage permettant le montage de cet entretoisement.

    [0002] Selon les règlements actuellement en vigueur, il est obligatoire que les échafaudages soient pourvus, sur leur face avant, d'entretoisements, ou bien de garde-corps et de plinthes, afin d'assurer la sécurité des ouvriers travaillant sur l'échafaudage.

    [0003] Dans la technique actuelle, les entretoisements sont en général constitués par deux tringles montées obliquement en croix entre deux cadres d'échafaudage situés au même niveau et écartés entre eux d'une distance prédéterminée correspondant en général à la longueur d'une section de plancher. Les barres formant entretoise sont fixées à leurs extrémités sur les montants verticaux des cadres au moyen de colliers coulissants à clavette.

    [0004] Cette technique présente certains inconvénients : la position de l'entretoisement par rapport aux cadres sur lesquels il est monté, n'est pas définie de façon précise, étant donné que les colliers de fixation des entretoises sont montés coulissants sur les montants verticaux des cadres. De plus, comme on utilise des fixations à clavette, les clavettes des colliers fixant les extrémités supérieures des entretoises ne peuvent être bloquées au moment du montage, et l'entretoisement n'est donc pas maintenu rigidement à sa partie supérieure.

    [0005] Un inconvénient majeur des systèmes d'entretoisement de la technique actuelle est qu'ils peuvent être montés à peu près n'importe comment, car ils ne comprennent aucun moyen destiné à empêcher leur montage dans uns position incorrecte ou de façon inadéquate.

    [0006] La présente invention a précisément pour but d'éviter tous les inconvénients présentés par les systèmes d'entretoisement de la technique actuelle.

    [0007] Elle propose à cet effet un entretoisement pour échafaudage, comprenant deux barres formant entretoise montées obliquement en croix sur la face avant de l'échafaudage entre des éléments ou cadre d'échafaudage verticaux parallèles écartés entre eux d'une distance prédéterminée, les deux barres entretoises étant fixées à leurs extrémités sur des montants verticaux desdits cadres, caractérisé en ce que chaque barre entretoise est constituée d'une barre droite, par exemple tubulaire cylindrique, dont les parties d'extrémité sont coudées de telle sorte qu'une de ces parties coudées s'étende horizontalement et l'autre s'étende verticalement quand ladite barre entretoise est montée en oblique dans la position désirée entre deux cadres d'échafaudage.

    [0008] Selon une autre caractéristique de l'invention, chaque partie coudée précitée est prolongée par une pièce de montage sur le cadre correspondant, et cette pièce de montage s'étend perpendiculairement à la partie coudée.

    [0009] Selon encore une autre caractéristique de l'invention, chaque barre entretoise est montée et fixée sur le montant vertical correspondant du cadre d'échafaudage, simplement par introduction d'une extrémité de sa pièce de montage comportant un téton à balourd dans un trou d'une patte de montage solidaire du montant du cadre.

    [0010] Ainsi, selon l'invention, l'entretoisement ne peut être monté que dans une seule position sur l'échafaudage, ce qui interdit toute erreur de montage de l'entretoisement, tout mauvais positionnement de l'entretoisement, etc.

    [0011] L'invention sera mieux comprise, et d'autres buts, caractéristiques, détails et avantages de celle-ci apparaîtront plus clairement au cours de la description explicative qui va suivre faite en référence aux des- sirs schématiques annexés donnés uniquement à titre d'exemple illustrant un mode de réalisation de l'invention et dans lesquels :

    la figure 1 est une vue partielle de face d'un échafaudage dont la face avant comprend un entretoisement selon l'invention ; la figure 2 est une vue en élévation latérale d'un cadre d'échafaudage permettant le montage de l'entretoisement selon l'invention ; les figures 3 et 4 sont des vues agrandies en coupe selon les lignes III-III et IV-IV respectivement de la figure 2 ; la figure 5 est une vue en élévation d'un cadre d'échafaudage différent de celui représenté en figure 2, et permettant également le montage de l'entretoisement selon l'invention ; la figure 6 représente une entretoise selon l'invention ; et les figures 7 et 8 sont respectivement des vues partielles agrandies des deux extrémités de l'entretoise de la figure 6 montées sur les pattes d'attache correspondantes d'un cadre d'échafaudage.



    [0012] On a donc représenté, dans les dessins annexés, un mode de réalisation préféré d'un entretoisement selon l'invention, et de deux cadres d'échafaudage permettant le montage de cet entretoisement.

    [0013] Une partie d'échafaudage monté, comportant l'entretoisement selon l'invention, est représentée schématiquement en figure 1.

    [0014] Cette partie d'échafaudage est destinée par exemple à être montée le long d'un mur vertical, non représenté, qui serait parallèle au plan du dessin et situé derrière l'échafaudage.

    [0015] Cet échafaudage comprend deux rangées verticales 11 et 12 de cadres ou d'éléments 13 d'échafaudage, montés les uns en bout des autres. Deux entretoisements 14 s'étendant entre les deux rangées verticales 11 et 12 de cadres 13, ont été représentés en figure 1. Chaque entretoisement 14 est formé de deux barres entretoises 15 disposées en croix et qui sont fixées par leurs extrémités sur des montants verticaux des cadres 13, comme cela va être décrit plus en détail dans ce qui suit.

    [0016] Chaque entretoise 15, dans l'exemple de réalisation représenté, est constituée d'une barre tubulaire cylindrique rectiligne, dont les deux extrémités sont coudées. On voit en figure 6 qu'une première extrémité 16 de l'entretoise 15 est coudée de telle sorte que son axe longitudinal fait un angle α de 142° avec l'axe longitudinal de la partie rectiligne de la barre 15, tandis que la seconde extrémité 17 de la barre 15 est coudée de telle sorte que son axe longitudinal fait avec l'axe longitudinal de la partie droite de la barre 15 un angle t de 128°. De la sorte, les axes longitudinaux des parties coudées d'extrémité 16 et 17 sont perpendiculaires entre eux.

    [0017] Cette disposition est telle que, quand l'entretoise 15 est montée en place sur un échafaudage comme représenté en figure 1, l'axe longitudinal de la partie coudée d'extrémité 16 est horizontal, tandis que l'axe longitudinal de la partie coudée 17 d'extrémité est vertical.

    [0018] On notera encore que, comme représenté en figure 6, les axes longitudinaux des parties coudées 16 et 17 et l'axe longitudinal de la partie droite de l'entretoise 15 se trouvent dans un même plan.

    [0019] Chaque partie coudée 16 et 17 est prolongée, perpendiculairement à son axe longitudinal, par une pièce de montage 18 qui est représentée plus en détail dans ' les figures 7 et 8. Ces pièces de montage ont sensiblement la forme d'un L et sont montées emboîtées et soudées, par leur petit côté, sur l'extrémité de la partie coudée 16, 17 correspondante. Le grand côté de la pièce de montage 18 s'étend donc perpendiculairement à l'axe longitudinal de la partie coudée 16, 17.

    [0020] Chaque pièce de montage est formée par pliage d'une plaque métallique de façon à avoir une section transversale sensiblement en forme de U. L'extrémité du grand côté de chaque pièce de montage 18 comprend un téton 19 de verrouillage à balourd qui est monté pivotant, à l'intérieur de la pièce 18 au voisinage de son extrémité, autour d'un axe transversal 20 de façon à pouvoir occuper uniquement une position de verrouillage représentée en figure 8 et une position inactive dans laquelle le téton 19 est relevé de 90° par rapport à la position de verrouillage, et est ainsi logé entièrement à l'intérieur de la pièce 18. Comme le centre de gravité du téton 19 est écarté de son axe de pivotement 20, on comprend que, quand la pièce 18 est dans la position représentée en figure 8, le téton 19 bascule de lui-même dans la position de verrouillage représentée sous l'effet de son propre poids.

    [0021] La pièce de montage 18 qui est prévue à l'extrémité coudée 16 de l'entretoise 15 s'étend perpendiculairement à cette extrémité coudée, dans le plan défini par les axes de la partie droite de l'entretoise 15 et de la partie coudée 16. Au contraire, la pièce de montage 18 prévue à l'extrémité coudée 17 s'étend perpendiculairement au plan défini par l'axe de la partie droite de l'entretoise 15 et l'axe de la partie coudée 17.

    [0022] Ainsi, quand une entretoise 15 est montée en position correcte sur un échafaudage comme représenté en figure 1, la pièce de montage 18 de l'extrémité coudée 16 est verticale, tandis que la pièce de montage 18 de l'extrémité coudée 17 est horizontale.

    [0023] Chaque cadre 13 de l'échafaudage comprend essentiellement, comme on le voit mieux en figure 2, deux montants verticaux 21 qui sont réunis entre eux, au voisinage de leurs extrémités supérieures, par une barre transversale 22. Des renforts 23 obliques sont prévus entre la barre transversale 22 et chacun des montants verticaux 21, comme représenté en figure 2.

    [0024] On notera encore que l'extrémité inférieure d'un des montants 21 constitue un élément mâle d'emboîtement, et son extrémité supérieure constitue un élément femelle d'emboîtement, tandis que l'extrémité inférieure de l'autre montant 21 constitue un élément femelle, et son extrémité supérieure constitue un élément mâle d'emboîtement.

    [0025] Selon l'invention, chaque montant 21 comprend une patte horizontale 24 d'attache ou d'accrochage d'une extrémité d'une entretoise 15, et une patte verticale 25 d'attache ou d'accrochage de l'extrémité opposée d'une autre entretoise 15. Ces pattes 24 et 25 sont représentées plus en détail dans les figures 3,8 et 4, 7 respectivement.

    [0026] Chaque patte horizontale 24 comprend deux demi-pattes 26 de forme sensiblement triangulaire, qui sont disposées symétriquement et au même niveau autour du montant vertical tubulaire 21, et qui comprennent un collet semi-circulaire 27 au moyen duquel elles sont soudées par bossages sur le montant 21. Ces demi-pattes horizontales 26 s'étendent horizortalement, et perpendiculairement au plan défini par le cadre 13. Elles comportent chacune un trou circulaire 29 permettant le passage du grand côté d'une pièce de montage 18, comme représenté en figure 8.

    [0027] Chaque patte verticale 25 est formée d'une seule pièce, et comprend deux ailes droites 30 réunies entre elles par une partie semi-circulaire 31 au moyen de laquelle elles sont soudées par bossages sur le montant 21. Chaque aile droite 30 comprend un trou 32 permettant le passage du grand côté d'une pièce de montage 18 d'une entretoise 15.

    [0028] Comme les pattes horizontales 24, les pattes verticales 25 s'étendent perpendiculairement au plan défini par un cadre 13.

    [0029] Dans l'exemple de réalisation représenté sur les dessins, les pattes 24 et 25 de chaque montant 21 sont prévues au voisinage de l'extrémité supérieure du montant, la patte horizontale 24 étant située au-dessus de la traverse 22 du cadre 13, et la patte verticale 25 étant située au-dessous de cette traverse.

    [0030] En figure 5, on a représenté une variante de réalisation d'un cadre 13a, qui diffère du cadre 13 en ce qu'il comprend un seul renfort 23 entre la traverse 22 et l'un des montants 21, et en -ce qu'une échelle 33 est formée entre l'autre montant 21 et la traverse 22, dans le plan du cadre 13a. Comme le cadre 13, le cadre 13a comprend des pattes horizontales et verticales 24 et 25 d'attache ou d'accrochage des entretoises.

    [0031] On remarquera encore que les montants 21 des cadres 13 et 13a comprennent, un peu au-dessus de leur extrémité inférieure, deux pattes horizontales 35 d'attache ou d'accrochage, qui sont identiques aux pattes horizontales 24, et qui sont destinées par exemple à l'accrochage d'un garde-corps. Pour cela, les montants latéraux verticaux des garde-corps comprennent chacun deux pièces de montage, identiques aux pièces de montage 18 des entretoises 15, permettant de les accrocher sur les pattes horizontales 35.

    [0032] Les entretoises et les cadres d'échafaudage selon l'invention sont utilisés de la façon suivante : Pour le montage de l'échafaudage, les cadres 13 et/ou 13a sont montés les uns en bout des autres, de la façon représentée en figure 1, les parties mâle et femelle formées aux extrémités inférieures des montants 21 d'un cadre étant emmanchées dans les parties femelle et mâle respectivement d'emboîtement formées aux extrémités supérieures des montants 21 d'un cadre 13 ou 13a inférieur. Pour monter les entretoisements 14 sur l'échafaudage, on procède de la façon suivante : un ouvrier prend une entretoise 15, et, en la tenant obliquement à peu près dans la position représentée en figure 1, il introduit la pièce de montage 18 de la partie inférieure coudée 16 dans le trou 29 de la demi-patte horizontale 26 d'attache ou d'accrochage qui est située vers l'intérieur de la partie d'échafaudage à entretoiser, comme représenté en figure 1. Il suffit pour cela de faire passer le grand côté de la pièce 18 dans le trou 29, le téton 19 se relevant alors de lui-même dans sa position inactive où il estrentré à l'intérieur de la pièce 18, et retombant ensuite dans sa position de verrouillage représentée en figure 8 dès qu'il se trouve sous la demi-patte 26.

    [0033] Ensuite, l'ouvrier introduit la pièce de montage 18 de l'extrémité supérieure coudée 17 de l'entretoise 15 dans le trou 32 de la patte verticale 25 du cadre 13 ou 13a qui est situé au niveau supérieur, et sur le côté opposé de la partie d'échafaudage à entretoiser. Comme pour l'accrochage de la partie inférieure 16 de l'entretoise 15, il suffit de pousser le grand côté de la pièce de montage 18 dans le trou 32, le téton 19 se plaçant de lui-même dans la position de verrouillage dès qu'il est sorti du trou 32.

    [0034] L'ouvrier procède ensuite de façon semblable avec l'autre entretoise 15, qu'il dispose en croix par rapport à la première entretoise 15, comme représenté en figure 1.

    [0035] On comprend que, de cette façon, l'entretoisement 14 permet de réunir rigidement les deux cadres 13 d'un niveau de l'échafaudage aux deux cadres 13 du niveau immédiatement inférieur de l'échafaudage ce qui évite tout risque de désemboitement accidentel des cadres 13 montés verticalement les uns à la suite des autres.

    [0036] De plus, la configuration particulière des entretoises 15 interdit absolument tout risque de montage à l'envers de ces entretoises. En effet, la partie 17 d'une entretoise ne peut être accrochée sur une patte horizontale 24, et de même, la partie coudée 16 d'une entretoise 15 ne peut être accrochée sur une patte verticale 25.

    [0037] Enfin, cette configuration particulière des entretoises et des pattes d'attache correspondantes donne le résultat suivant : les deux entretoises 15 d'un entretoisement 14, qui sont disposées en croix l'une par rapport à l'autre, ne se touchent pas et sont séparées l'une de l'autre d'une distance qui est légèrement supérieure à l'épaisseur d'un garde-corps. Celui-ci peut donc être monté, sur les pattes d'attache 35 correspondantes, en étant disposé entre les deux entretoises 15 qui se croisent en oblique.

    [0038] Les traits fantômes horizontaux 40 de la figure 1 représentent schématiquement les planchers d'échafaudage, qui sont portés directement par les traverses 22 des cadres 13 et/ou 13a.

    [0039] Pour démonter les entretoisements 14, on comprend qu'il suffit de relever à la main les tétons de verrouillage 19 pour pouvoir sortir les pièces de montage 18 des trous des pattes d'attache 24 et 25.

    [0040] On notera encore que la longueur du grand côté des pattes de montage 18 est largement supérieure à ce qui est nécessaire pour le montage précis des entretoises. Cette grande longueur permet de compenser les différences de hauteur dues aux tolérances de fabrication et aux légers défauts de montage.

    [0041] On remarquera encore que, comme les entretoises 15 sont simplement fixées par leurs pièces de montage 18 introduites dans des trous ronds, elles n'ont pas besoin d'occuper une orientation angulaire déterminée au moment de leur montage, ce qui facilite les opérations.

    [0042] Bien entendu, l'invention n'est nullement limitée au mode de réalisation décrit et représenté qui n'a été donné qu'à titre d'exemple. En particulier, elle comprend tous les moyens constituant des équivalents techniques des moyens décrits, ainsi que leurs combinaisons, si celles-ci sont exécutées suivant son esprit et mises en oeuvre dans le cadre des revendications qui suivent.


    Revendications

    1. Entretoisement pour échafaudage, comprenant deux barres formant entretoise montées obliquement en croix sur la face avant de l'échafaudage entre des éléments ou cadres d'échafaudage verticaux parallèles écartés entre eux d'une distance prédéterminée, les deux barres entretoises étant fixées ou accrochées à leurs extrémités sur des montants verticaux desdits cadres,
    caractérisé en ce que chaque barre entretoise est constituée d'une barre droite, par exemple tubulaire cylindrique, dont les parties d'extrémité sont coudées de telle sorte qu'une de ces parties coudées s'étende horizontalement et l'autre s'étende verticalement quand ladite barre entretoise est montée en oblique dans la position désirée entre deux cadres d'échafaudage.
     
    2. Entretoisement selon la revendication 1, caractérisé en ce que chaque partie coudée précitée est prolongée par une pièce de montage sur le cadre correspondant, et cette pièce de montage s'étend perpendiculairement à la partie coudée.
     
    3. Entretoisement selon la revendication 2, caractérisé en ce que la pièce de montage d'une première partie coudée s'étend dans le plan défini par l'axe de la barre entretoise et l'axe de la première partie coudée, et la pièce de montage de la seconde partie coudée s'étend perpendiculai- rement au plan défini par l'axe de la barre entretoise et l'axe de la seconde partie coudée.
     
    4. Entretoisement selon l'une des revendications précédentes,
    caractérisé en ce que les axes de la barre entretoise, de la première et de la seconde parties coudées s'étendent dans un même plan.
     
    5. Entretoisement selon l'une des revendications 2 à 4,
    caractérisé en ce que chaque pièce de montage est une pièce en forme de L qui est rapportée et par exemple soudée par une extrémité sur l'extrémité de la partie coudée correspondante, et qui comprend à son autre extrémité un téton de verrouillage à balourd monté de façon à pouvoir basculer de 90° à partir d'une position inopérante.
     
    6. Entretoisement selon la revendication 5, caractérisé en ce que chaque pièce de montage est une pièce métallique obtenue par pliage et ayant une section transversale en U.
     
    7. Entretoisement selon l'une des revendications
    2 à 6,
    caractérisé en ce que chaque barre entretoise est montée, au moyen de ses pièces de montage, sur des pattes d'attache ou d'accrochage fixes portées par les montants des cadres précités.
     
    8. Entretoisement selon la revendication 7, caractérisé en ce que chaque patte d'attache ou d'accrochage comprend un trou dans lequel est introduite l'extrémité de la pièce de montage pourvue du téton à balourd.
     
    9. Entretoisement selon l'une des revendications précédentes,
    caraetérsé en ce que chaque barre entretoise relie un cadre de l'échafaudage à un autre cadre situé à un niveaù immédiatement inférieur ou supérieur au niveau du premier cadre cité.
     
    10. Cadre d'échafaudage, permettant le montage de l'entretoisement décrit dans aumoins lune des revendications précédentes, ce cadre comprenant deux montants verticaux reliés fixement entre eux par au moins une barre transversale,
    caractérisé en ce que chacun des montants comprend au moins deux pattes d'attache ou d'accrochage écartées verticalement l'une de l'autre et destinées à recevoir chacune une extrémité d'une barre entretoise précitée, une de ces pattes d'attache s'étendant dans un plan horizontal et l'autre s'étendant dans un plan vertical.
     
    11. Cadre selon la revendication 10,
    caractérisé en ce que la patte d'attache horizontale et la patte d'attache verticale s'étendent perpendiculairement au plan du cadre.
     
    12. Cadre selon la revendication 10 ou 11, caractérisé en ce que les deux pattes d'attache sont prévues au voisinage de 1'extrimité supérieure du montant, en étant écartées l'une de l'autre d'une distance relativement faible.
     
    13. Cadre selon la revendication 12,
    caractérisé en ce que les pattes d'attache horizontale et verticale précitées sont disposées sur le montant du cadre, l'une au-dessus et l'autre au-dessous de la barre transversale précitée.
     
    14. Cadre selon l'une des revendications 10 à 13, caractérisé en ce que chaque patte d'attache est double et s'étend symétriquement par rapport au montant correspondant.
     
    15. Cadre selon l'une des revendications 10 à 14, caractérisé en ce que chaque montant du cadre comprend encore deux pattes d'attache horizontales, identiques à la patte horizontale précitée, disposées au voisinage de son extrémité inférieure, et permettant l'accrochage d'un garde-corps.
     




    Dessins













    Rapport de recherche