(19)
(11) EP 0 020 997 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
07.01.1981  Bulletin  1981/01

(21) Numéro de dépôt: 80102655.0

(22) Date de dépôt:  13.05.1980
(51) Int. Cl.3B41J 3/02
(84) Etats contractants désignés:
DE FR GB

(30) Priorité: 27.06.1979 US 52692

(71) Demandeur: International Business Machines Corporation
Armonk, N.Y. 10504 (US)

(72) Inventeurs:
  • Harbour Jr., Wilmer Paul
    East Lexington KY 40503 (US)
  • Heard, Roderick Stacey
    Lexington KY 40502 (US)

(74) Mandataire: Combeau, Jacques 
Compagnie IBM France Département de Propriété Intellectuelle
06610 La Gaude
06610 La Gaude (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Imprimante à projection d'encre comportant un dispositif pour commander la position des gouttelettes d'encre sur un support d'impression


    (57) imprimante à projection d'encre comportant un dispositif pour commander la position des gouttelettes. Chacune des gouttelettes imprimées sur la surface d'enregistrement, animée d'un mouvement relatif par rapport au générateur de gouttelettes dans une première direction, fait partie d'un caractère et peut être placée dans n'importe quelle position dans une deuxième direction, perpendiculaire à la première, à partir d'une position prédéterminée qui est celle correspondant à la gouttière. L'information concernant la position sur la surface d'enregistrement de chacune des gouttelettes devant être imprimée par rapport à la position déterminée dans la deuxième direction et par rapport à la gouttelette imprimée précédente ou une marge dans la première direction est emmagasinée dans une mémoire morte (51). L'information relative à la position de la gouttelette dans la deuxième direction est une tension appliquée à une électrode de charge, tension emmagasinée dans le registre (64), dont l'amplitude conjointement à l'induction due aux gouttelettes précédentes, emmagasinée dans la mémoire morte (116), détermine la déviation de la gouttelette.




    Description

    Domaine technique



    [0001] La présente invention concerne un dispositif permettant, dans une imprimante à projection d'encre, de commander la position des gouttelettes d'encre sur un support d'impression.

    Etat de la technique antérieure



    [0002] Lorsqu'on imprime des caractères au moyen d'une imprimante à matrice de points, telle qu'une imprimante à projection d'encre dans laquelle les points sont constitués par des gouttelettes d'encre, ou qu'une imprimante à fils dans laquelle chaque point est obtenu au moyen d'un marteau actionné par un solénoïde qui frappe l'un des fils, la qualité de l'impression dépend en grande partie du diamètre des points et de la capacité de disposer les différents points aux emplacements désirés. Plus la taille des points et leur espacement diminue, plus la qualité de l'impression obtenue augmente. Toutefois, la taille des points ne saurait être inférieure, dans le cas d'une imprimante à projection d'encre, à la taille minimum des gouttelettes au-dessous de laquelle il n'est plus possible d'obtenir un positionnement stable de ces dernières, ou , dans le cas d'une imprimante à matrice de fils, au diamètre minimum des fils au-dessous duquel il n'est plus possible d'éviter qu'ils ne se cassent en frappant la surface d'impression.

    [0003] Pour une vitesse d'impression donnée, il faut imprimer davantage de petits points que de gros points dans un intervalle de temps fixe. L'obtention d'un rendement (ou "débit") déterminé d'une imprimante peut donc conduire à utiliser des points de grande taille, au détriment de la qualité de l'impression.

    [0004] Ainsi, la qualité de l'impression dépend dans une grande mesure de la position des points pour une taille donnée de ces derniers. L'un des procédés employés pour commander la position de chacun des points consiste à utiliser une grille ou une matrice fixe divisée en carrés, la longueur du côté de chacun desquels est égale à l'espacement minimum entre gouttelettes. Pour remplir chacun de ces carrés, selon la configuration d'impression requise, cet espacement ne devrait pas être supérieur au quotient du diamètre de la gouttelette divisé par la racine carrée de 2.

    [0005] On obtient alors des caractères présentant une apparence discontinue et comportant, dans le cas des courbes ou des lignes diagonales autres que celles inclinées à 45°, des gradins distincts, des segments minces et des segments épais. Cette apparence des caractères nuit à la qualité de l'impression.

    [0006] Cette dernière peut être améliorée dans une certaine mesure si l'on dispose d'une plus grande liberté en ce qui concerne le positionnement de la totalité des segments verticaux ou horizontaux des caractères tout en maintenant l'espacement minimum des points qui constituent chacun des segment. Par exemple, les gouttelettes constituant un second segment vertical peuvent être décalées vers le haut de la moitié de l'un des carrés de la grille par rapport aux gouttelettes constituant un premier segment vertical, de telle sorte qu'un chevauchement se produit. On peut procéder de même dans la direction horizontale. Cette souplesse dans la direction verticale a principalement pour effet d'améliorer la qualité des lignes faisant un angle de faible valeur avec l'horizontale cependant que la flexibilité obtenue horizontalement a principalement pour effet d'améliorer les lignes qui font un angle de faible valeur avec la verticale.

    [0007] Dans le cas d'une imprimante à projection d'encre du type à trame, cette souplesse d'impression verticale peut être obtenue assez aisément et sans nuire au rendement étant donné qu'un incrément de déviation peut être ajouté à la totalité de la trame. En revanche, on ne peut combiner la souplesse d'impression verticale et la souplesse d'impression horizontale dans une imprimante de ce type qu'au prix d'une diminution du rendement, étant donné qu'un temps supplémentaire doit être prévu pour imprimer des positions supplémentaires de la trame.

    [0008] Dans le cas d'une imprimante à matrice de fils, la souplesse d'impression horizontale peut aisément être obtenue si l'on peut éviter qu'elle n'interfère avec la durée minimum du cycle des marteaux. Toutefois, de même que dans le cas précédent, on ne peut combiner la souplesse d'impression horizontale et la souplesse d'impression verticale dans une telle imprimante qu'au prix d'une diminution du rendement, puisque l'impression de chaque ligne exige des passes ou des balayages supplémentaires.

    Exposé de l'invention



    [0009] La présente invention permet d'éviter l'apparence discontinue des caractères imprimés, indépendamment de l'angle que font les lignes qui les composent par rapport à l'horizontale ou à la verticale ou de leur courbure. Ce résultat est obtenu, selon l'invention, grâce à un positionnement dit "libre" des gouttelettes d'encre, chacune d'elles étant disposée à un emplacement désiré quelconque par rapport à la gouttelette imprimée qui la précède. L'invention permet en outre d'obtenir un rendement élevé.

    [0010] Ce positionnement libre des gouttelettes utilisées aux fins de l'impression est obtenu en appliquant à chacune d'elles une charge d'une valeur choisie de telle sorte que la gouttelette soit positionnée à un emplacement désiré dans une direction donnée, laquelle est pratiquement perpendiculaire à un axe le long duquel un mouvement relatif existe entre le support d'impression et le dispositif de génération des gouttelettes d'encre. L'instant où une gouttelette donnée frappe le support d'impression est fonction du temps où la gouttelette précédente a, elle aussi, frappé le support. Il est donc possible, selon la présente invention, de faire en sorte que chaque gouttelette utilisée aux fins de l'impression soit disposée sur le support relativement à une position prédéterminée dans ladite direction et non en fonction de la distance verticale qui la sépare de la gouttelette précédente dans cette même direction. Il est donc inutile que les gouttelettes soient protégées vers le support en une séquence ascendante monotone lors de l'impression d'une colonne donnée, par exemple.

    [0011] L'un des objets de la présente invention est donc de fournir une imprimante à projection d'encre plus perfectionnée que celles de l'art antérieur.

    [0012] Un autre objet de la présente invention est de fournir un dispositif permettant, dans une imprimante à projection d'encre, de commander la position sur le support de chacune des gouttelettes d'encre utilisées aux fins de l'impression.

    [0013] Un autre objet de la présente invention est de fournir une imprimante à projection d'encre permettant d'obtenir un positionnement "libre" des gouttelettes utilisées aux fins de l'impression.

    [0014] D'autres objets, caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront mieux de l'exposé qui suit, fait en référence aux dessins annexés â ce texte, qui représentent un mode de réalisation préféré de celle-ci.

    Brève description des figures



    [0015] 

    La Figure 1 représente schématiquement une partie d'une imprimante à projection d'encre avec laquelle le dispositif de commande de la présente invention est utilisé.

    La Figure 2 est un schéma synoptique du dispositif de commande de l'impression des gouttelettes d'encre dans l'imprimante à projection d'encre.

    Les Figures 3 et 4 sont des diagrammes des temps montrant les relations qui existent entre différents signaux engendrés par le dispositif de commande de la présente invention.

    La Figure 5 est un schéma synoptique représentant partiellement un pointeur maître faisant partie d'un pointeur que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 6 est schéma synoptique représentant partiellement un pointeur esclave faisant partie du pointeur que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 7 est un schéma synoptique représentant partiellement un compteur maître faisant partie d'un compteur de longueur de plage que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 8 est un schéma synoptique représentant partiellement un compteur esclave faisant partie du compteur de longueur de plage que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 9 est un schéma synoptique représentant une bascule dite de fin de caractère que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 10 est un schéma synoptique représentant une bascule dite de synchronisation (SYNC) que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 11 est un schéma synoptique représentant partiellement un registre de comptage de points que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 12 est un schéma synoptique d'une autre partie du registre de comptage de points du dispositif de commande de la présente invention.

    La Figure 13 est un schéma synoptique représentant partiellement un compteur maître faisant partie d'un compteur associé au réseau que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 14 est un schéma synoptique représentant partiellement un compteur esclave "bas" faisant partie du compteur associé au réseau du dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 15 est un schéma synoptique représentant partiellement un compteur esclave "haut" faisant partie du compteur associé au réseau que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 16 est un schéma synoptique représentant une paire de bascules faisant partie du détecteur de réseau que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 17 est un schéma synoptique représentant l'une des bascules d'un registre dit de tensions que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 18 est un schéma synoptique représentant partiellement une porte dite de tension d'électrode de charge que comporte le dispositif de commande de l'invention et qui permet de commander l'application d'une tension à une électrode de charge servant à impartir une charge aux gouttelettes d'encre.

    La Figure 19 est un schéma synoptique représentant l'une des bascules d'un registre dit d'inductance de gouttière que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 20 est un schéma synoptique représentant l'une des bascules d'un registre dit d'induction du premier ordre que comporte le dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 21 est un schéma synoptique représentant l'une des bascules d'un registre maître que comporte un registre dit d'induction du second ordre faisant partie du dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 22 est un schéma synoptique de l'une des bascules d'un registre esclave que comporte le registre dit d'induction du second ordre faisant partie du dispositif de commande de l'invention.

    La Figure 23 représente un caractère "W" idéal.

    La Figure 24 montre les positions des points d'encre qui constituent le caractère "W" lorsqu'on utilise une grille ou une matrice fixe.

    La Figure 25 montre les positions des points d'encre constituant le caractère "W" lorsqu'on utilise une grille ou une matrice fixe, les points faisant partie de chacun d'un certain nombre de segments verticaux adjacents étant décalés d'un demi-pas verticalement par rapport au segment vertical précédent.

    La Figure 26 montre les positions des points d'encre constituant le caractère "W" lorsqu'on utilise une grille ou une matrice fixe, les points faisant partie de chacun d'un certain nombre de segments verticaux adjacents étant décalés d'un demi-pas horizontalement par rapport au segment vertical précédent.

    La Figure 27 montre les positions des points d'encre nécessaires pour former le caractère "W" conformément à la présente invention lorsqu'on utilise une seule largeur de ligne de points.

    La Figure 28 montre les positions de tous les points d'encre employés pour constituer le caractère "W" lorsqu'on utilise le dispositif de commande de l'invention, certaines parties du caractère "W" étant plus épaisses que d'autres.

    La Figure 29 est un agrandissement d'une partie du caractère "W" délimitée au moyen d'une ligne pointillée sur la Figure 28 et montre les positions des différents points.


    Description d'un mode de réalisation de l'invention



    [0016] On a représenté sur la Figure 1 une imprimante à projection d'encre 10 du type décrit dans la demande de brevet européen No. 79103976.6 déposée le 12 octobre 1979 par la demanderesse. L'imprimante 10 comporte une tête d'impression 11 montée sur un chariot 12 qui est entraîné par un dispositif 12A par l'intermédiaire de circuits 13, de manière à se déplacer de gauche à droite et inversement par rapport à un support d'enregistrement 14, tel qu'une feuille de papier, disposé sur un tambour, par exemple. Il existe donc un mouvement relatif le long d'un premier axe entre la tête d'impression 11 et la surface du support 14.

    [0017] Par ailleurs, le support 14 se déplace dans une direction pratiquement perpendiculaire au premier axe dans la région dans laquelle l'impression s'effectue. Le support 14 peut être entraîné de façon continue ou avancé par incrément à la fin de chaque déplacement de la tête 11 le long du premier axe. Le support d'impression 14 pourrait également être disposé sur une surface plate et se déplacer verticalement, soit de façon continue, soit par incrément, comme dans le premier cas. Il existe donc un mouvement relatif entre la tête 11 et le support d'impression 14 dans une seconde direction pratiquement perpendiculaire au premier axe.

    [0018] Un réseau 15 permet de déterminer la position horizontale (c'est-à-dire le long du premier axe) de la tête 11 à différents instants. Un réseau de ce type est décrit dans la demande de brevet européen No. 79101561.3 déposée le 22 mai 1979 par la demanderesse.

    [0019] La tête d'impression 11 comprend une pompe 16 qui permet de diriger de l'encre sous pression provenant d'un réservoir 17 vers un générateur de gouttelettes 18. Ce dernier comprend un transducteur qui, lorsqu'il est excité par un circuit 19, applique des perturbations à l'encre. Le circuit 19 est excité par un oscillateur 19', faisant partie des circuits électroniques 20 du système, à une séquence relativement élevée, de l'ordre de 117KHZ, par exemple.

    [0020] Un jet d'encre 21 s'écoule d'une buse 22 que comporte le générateur de gouttelettes 18. Les perturbations appliquées au jet 21 depuis le générateur 18 ont pour effet de provoquer la division du jet 21 en gouttelettes 23 à l'intérieur d'une électrode de charge 24. Chacune des gouttelettes destinées à l'impression de caractères, symboles, etc, sur le support 14 reçoit une charge dont la valeur est commandée par la présente invention de telle sorte que la gouttelette soit déviée vers un emplacement désiré sur ledit support 14 après être passée entre une paire de plaques de déviation 25 et 26.

    [0021] Etant donné qu'un potentiel constant est appliqué aux bornes des plaques 25 et 26, c'est la valeur de la charge que reçoit chaque gouttelette 23 destinée à l'impression qui détermine l'importance de la déviation qu'elle subit pendant sa trajectoire en direction du support d'impression 14. Ainsi, l'amplitude de la tension appliquée à l'électrode de charge pour charger chacune des gouttelettes 23 servant à l'impression , ainsi que l'induction produite par les gouttelettes 23 qui précèdent immédiatement la gouttelette chargée, déterminent la position vers laquelle la gouttelette chargée 23 est déviée sur le support d'impression 14.

    [0022] Si une gouttelette 23 n'est pas utilisée aux fins de l'impression, elle est dirigée vers une gouttière 27 et transmise au réservoir 17 après avoir traversé un filtre 29. Les gouttelettes 23 qui ne sont pas utilisées pour former des caractères ne reçoivent aucune charge autre que celle nécessaire pour compenser l'induction produite par les gouttelettes 23 qui les précèdent immédiatement.

    [0023] On a représenté sur la Figure 23 un caractère "W" idéal. Ce dernier comporte un axe extérieur gauche 31, un axe intérieur gauche 32, un axe intérieur droit 33 et un axe extérieur droit 34. Les axes 31 et 32 se coupent dans leur partie inférieure, les axes 32 et 33 se coupent dans leur partie supérieure et les axes 33 et 34 se coupent dans leur partie inférieure et dans le même plan horizontal que les axes 31 et 32.

    [0024] Si l'on forme le même caractère "W" au moyen de points 35, en utilisant une grille ou une matrice fixe, on constate, comme le montre la Figure 24, que quelques-uns seulement des points 35 ont leur centre sur les axes 31, 32, 33 ou 34. Seuls les points 35 qui se trouvent au sommet et au bas de l'axe 31, au sommet et au bas de l'axe 34, et à l'intersection des axes 32 et 33 ont leur centre sur ces axes. On obtient donc un caractère "W" très irrégulier.

    [0025] Une certaine amélioration est obtenue, comme le montre la Figure 25, en déplaçant les points 35 dans certains segments verticaux d'une distance verticale correspondant à la moitié de l'un des carrés de la grille.

    [0026] Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, le fait de déplacer les points 35 verticalement permet surtout d'obtenir une amélioration dans le cas des lignes qui font un angle de faible valeur avec l'horizontale. De ce fait, la qualité du caractère reproduit sur la Figure 25 n'est guère supérieure à celle du caractère de la Figure 24.

    [0027] Néanmoins, ainsi qu'on la précédemment observé, une impression de meilleure qualité est obtenue dans le cas des lignes qui font un angle de faible valeur 1vec la verticale en décalant horizontalement les points 35 que comportent certains segments verticaux. C'est ce que montre la Figure 26, sur laquelle les points 35 faisant partie de certains segments verticaux ont été décalés horizontalement d'une distance égale à la moitié de l'un des carrés de la grille, ce qui se traduit par un chevauchement des points 35. Ainsi, sur la Figure 26, les centres du point supérieur, du troisième point, du huitième point et du dernier point se trouvent sur l'axe extérieur gauche 31 du caractère. Cela constitue une amélioration par rapport au caractère représenté sur la Figure 24, dans lequel deux seulement des points 35 ont leur centre sur la ligne 31 et par rapport au caractère représenté sur la Figure 25, dans lequel trois seulement des points 35 ont leur centre sur l'axe 31.

    [0028] Lorsqu'on utilise le dispositif de commande de la présente invention, chacun des points 35 peut être disposé de telle sorte que, comme le montre la Figure 27, son centre se trouve sur l'un des axes 31 à 34, et il se produit un chevauchement de chacun des points. Si une seule rangée de points 35 devait être imprimée, le centre de chacun des ces derniers se trouverait, grâce à ce dispositif, sur l'un des axes 31 à 34.

    [0029] Il peut cependant être nécessaire dans certains cas que les différentes parties du caractère imprimé présentent une largeur variable, si bien que tous les points 35 ne pourraient pas avoir leur centre sur les axes 31 à 34. Le dispositif de commande de la présente invention permet de résoudre ce problème, ainsi que le montre le caractère "W" représenté sur la Figure 28.

    [0030] On a représenté sur la Figure 2 une mémoire morte à pointeur (PROS) 50 qui reçoit un code de caractère à huit bits qui constitue une adresse identifiant le caractère à imprimer. Cette mémoire peut emmagasiner 256 mots de 16 bits chacun. La sortie de la mémoire 50 permet d'identifier une position déterminée dans une mémoire morte dite d'assemblage de caractères (FROS) 51, position où doivent commencer les données servant à imprimer le caractère spécifié par le code à huit bits. La mémoire 51 contient un maximum de 65536 mots de seize bits. Il faut environ 16000 mots pour constituer un assemblage de cent caractères romains.

    [0031] Le mot de seize bits sortant de la mémoire 50 est transféré à un pointeur 52, qui comprend deux compteurs respectivement appelés pointeur maître (PCM) 53 et pointeur esclave (PCS) 54 qui travaillent ensemble. Le compteur PCM 53 adresse directement la mémoire FROS 51 et accède à chacune des lignes de cette dernière de façon séquentielle du bas vers le haut.

    [0032] Le mot de seize bits provenant de la mémoire PROS 50 est transféré au compteur PCM 53 du pointeur 52 pendant le dernier temps de gouttelette du caractère imprimé précédent. Comme le montrent les Figures 3 et 4, chaque temps de gouttelette est divisé en huit intervalles de temps égaux définis par des signaux d'horloge TO à T7 fournis par une horloge excitée par l'oscillateur 19' (voir Figure 1). Ce transfert coïncide avec le signal d'horloge T2 (voir Figure 3). Lors des ultimes temps de gouttelette (y compris le dernier) afférents au caractère imprimé précédent, une bascule dite de fin de caractère (EOC) 55 (voir Figures 2 et 9) engendre un signal EOC qui reste au niveau haut depuis l'instant où le signal d'horloge T7 (voir Figure 3) passe au niveau haut jusqu'à l'instant où le signal d'horloge T4 suivant passe lui aussi au niveau haut.

    [0033] Une bascule GD 55' (voir Figures 2 et 16) engendre un signal GD, qui reste au niveau haut pendant la première partie du dernier temps de gouttelette afférent à un caractère. Ce signal est engendré lors de la réception d'un signal GP de niveau haut émanant du réseau 15 (voir Figure 1) .

    [0034] Le transfert de la sortie de la mémoire 50 (voir Figure 2) au compteur PCM 53 est donc défini par l'équation logique:

    Dans l'équation (1), n représente chacun des seize bits d'un mot spécifique emmagasiné dans la mémoire 50, le transfert de chacun de ces bits coïncidant avec le signal d'horloge T2 lorsque le signal EOC et le signal GD sont tous deux au niveau haut.

    [0035] La valeur d: compteur PCM 53 est transférée au compteur PCS 54 lors de l'apparition du signal d'horloge T5 du même cycle. Après avoir été augmentée d'une unité, cette valeur est transférée au compteur 53 lors de l'apparition du signal d'horloge T2 du temps de gouttelette suivant, la valeur du compteur 53 se trouvant ainsi augmentée d'une unité.

    [0036] Les équations logiques ci-après afférentes au pointeur 52 peuvent donc s'écrire comme suit:







    Dans chacune des équations logiques (2) à (5), n = 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15 et 16 puisqu'il existe seize bits. Dans cette notation, "." représente "et", et "+" représente "ou".

    [0037] On a représenté à titre d'exemple sur les Figures 5 et 6 les circuits logiques qui constituent le pointeur 52. Les éléments logiques représentés sur ces deux figures sont commercialisés par la firme Texas Instruments et concernent respectivement les compteurs PCM 53 et PCS 54, étant entendu que dans cet exemple n = 14. Les compteurs 53 et 54 devraient évidemment comporter des éléments analogues pour chacun des autres bits du mot de seize bits provenant de la mémoire PROS 50 (voir Figure 2), c'est-à-dire pour les bits un à treize, quinze et seize.

    [0038] Le compteur PCM 53 représenté sur la Figure 5 comprend notamment des portes 56 et 57 dont chacune est constituée par trois portes NI à trois entrées chacune et à logique positive du type commercialisé par la firme Texas Instruments sous la désignation SN7410 (J). On notera que chacune des entrées logiques inutilisées des portes 56 et 57 est maintenue à un niveau logique haut.

    [0039] Les broches 1 et 2 de la porte 57 reçoivent respectivement le signal EOC de la bascule 55 (Figures 2 et 9) et le signal d'horloge T2. Lorsque chacune de ces entrées est au niveau haut, un niveau bas apparaît sur la broche 12 et est appliquée à la broche 1 d'un inverseur 57' que comporte également la porte 56. Cette inverseur peut être du type commercialisé par la firme Texas Instruments sous la désignation SN 7404 (J).

    [0040] La porte 56 reçoit respectivement sur ses broches 1, 2 et 13 le signal EOC.T2 émanant de la broche 2 de l'inverseur 57', le signal GD émanant de la bascule 55' (voir Figures 2 et 16), et un signal PROS 14 (le quatorzième bit de poids le plus élevé du mot de seize bits) émanant de la mémoire PROS 50 de la Figure 2 et qui peut être à un niveau logique haut ou bas. Lorsque ces trois signaux d'entrée sont au niveau haut, un niveau bas apparaît sur la broche 12 de la porte 56 (Figure 5) et est appliqué à l'entrée de pré- établissement P (broche 13) d'une bascule 58, qui peut être constituée par le flip-flop commercialisé par la firme Texas Instruments sous la désignation SN 74L71 (J). On notera que chacune des entrées logiques non utilisées de la bascule 58 est maintenue à un niveau logique haut.

    [0041] Lorsque la broche 13 (entrée P) de la bascule 58 est au niveau bas et que la broche 2 (entrée de vidage ou entrée C) est au niveau haut, ainsi qu'on le verra plus loin, la bascule 58 fournit un niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q), ce qui correspond au signal PCM14 dans l'exemple dans lequel n = 14. Cela permet de satisfaire l'une des deux parties de l'équation logique (2) relative à la mise du signal PCM14 au niveau logique "1" et de mettre au niveau haut la position du compteur CPM 53 correspondant au quatorzième bit de poids le plus élevé du mot de seize bits émanant de la mémoire PROS 50.

    [0042] Le compteur PCM 53 comprend également une porte 59 qui est une porte NI à treize entrées et à logique positive du type commercialisé par la firme Texas Instruments sous la désignation SN74S133 (J). Les broches 1 à 7 de la porte 59 reçoivent respectivement les signaux PCS à PCS7 émanant du compteur PCS 54 (Figure 2) et correspondant aux sept premiers bits contenus dans ce compteur, cependant que ces broches 10 à 15 reçoivent respectivement les signaux PCS8 à PCS13 émanant du compteur PCS 54 et correspondant aux bits huit à treize. Lorsque ces entrées sont au niveau haut, indiquant ainsi que le niveau du signal PCM14 devra changer au comptage suivant, la broche 9 de la porte 59 est au niveau bas. Le signal obtenu sur cette broche est inversé par l'inverseur 57' et appliqué aux broches 4 et 10 de la bascule 58.

    [0043] La broche 5 de la bascule 58 reçoit un signal PCS14 de la broche 6 (sortie Q) d'une bascule 61 (Figure 6), qui est du même type que la bascule 58 de la Figure 5 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. Le signal d'horloge T2 est appliqué à la broche 12 (entrée d'uorloge ou entrée CK) de la bascule 58.

    [0044] Les broches 3 et 9 de la bascule 58 reçoivent toutes deux un signal RLS= O.EOC émanant de la broche 6 de l'inverseur 57'. Le signal EOC est appliqué à la broche 10 de la porte 57 depuis la bascule EOC 55 (Figure 9) et le signal RLS= 0 est appliqué à la broche 11 de cette même porte depuis un compteur de longueur de plage 62 (voir Figure 7). Chacun des signaux RLS=0 et EOC est au niveau haut, ainsi qu'on le verra plus loin, lorsqu'une des gouttelettes d'encre 23 doit être utilisée aux fins de l'impression.

    [0045] Lorsque les'entrées reçues par les broches 10 et 11 de la porte 57 (Figure 4) sont toutes deux au niveau haut, chacun des signaux appliqués aux broches 3 et 9 de la bascule 58 est au niveau haut. De ce fait, lorsque le signal d'horloge T2 passe au niveau bas, le signal de sortie obtenu sur la broche 12 de l'inverseur 57' est au niveau haut, le signal PCS14 obtenu sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 61 (Figure 6) est au niveau haut, ainsi qu'on le verra plus loin, de même que le signal RSL=O.EOC provenant de la broche 6 de l'inverseur 57', la bascule 58 présentera un signal PCM14 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q). La seconde partie de l'équation logique (2), dans laquelle n=14, est donc satisfaite. Cela permet d'établir directement le niveau logique haut désiré sur la position du compteur PCM 53 qui correspond au quatorzième bit du mot reçu de la mémoire PROS 50, ou d'augmenter la valeur de ce compteur d'une unité, depuis le compteur PCS 54, pour obtenir ce niveau logique haut, une fois que l'une des gouttelettes 23 destinées à l'impression a été engendrée.

    [0046] La porte 56 (Figure 6) reçoit respectivement sur ses broches 11, 10 et 9 le signal EOC T2, le signal émanant de la bascule 55' (Figure 16) et le signal PROS14, qui est au niveau haut quand le quatorzième bit de poids le plus élevé du mot de seize bits reçu de la mémoire PROS 50 (Figure 2) est au niveau bas.

    [0047] De ce fait, lorsque les signaux appliquées aux broches 9, 10 et 11 de la porte 56 sont au niveau haut, un signal de niveau bas est obtenu sur la broche 8 de cette porte et appliqué à la broche 2 (entrée C) de la bascule 58, laquelle, étant donné que le signal obtenu sur sa broche 13 (entrée P) est au niveau haut puisque le signal PROS14 est au niveau bas lorsque le signal PROS14 est au niveau haut, fournit un signal PCM14 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q) puisque n=14 dans l'exemple cité. Cela satisfait l'une des eux parties de l'équation logique (3) relative à la mise à "0" du signal PCM14 de telle sorte que le compteur PCM 53 présente un niveau bas pour le quatorzième bit de poids le plus élevé du mot de seize bits fourni par la mémoire PROS 50.

    [0048] La broche 11 de la bascule 58 (Figure 5) reçoit un signal PCS14 de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 61 de la Figure 6. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, la broche 9 de cette bascule 58 reçoit de l'inverseur 57' le signal RLS=O.EOC.

    [0049] De ce fait, lorsque le signal d'horloge T2 est au niveau haut, la sortie de la broche 12 de l'inverseur 57' est également au niveau haut, de même que le signal PCS14 provenant de la broche 8 de la bascule 61, ainsi qu'on le verra plus loin, et lorsque le signal RLS=O.EOC, un signal PCM14 de niveau haut est présent sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 58 après le passage au niveau bas du signal d'horloge T2. La seconde partie de l'équation logique (3), qui concerne la mise à "0" de PCM lorsque n=14 est donc satisfait. Grâce à cette logique, la position du compteur PCM 53 du pointeur 52 correspondant au quatorzième bit du mot provenant de la mémoire PROS 50 peut être directement mise au niveau bas, ou sa valeur peut être augmentée d'une unité depuis le compteur PCS 54 pour obtenir un niveau bas après que l'une des gouttelettes 33 utilisées aux fins de l'impression ait été engendrée.

    [0050] La bascule 61 de la Figure 6, qui est l'une des seize bascules constituant le compteur PCS 54, reçoit sur sa borne 12 (entrée CK) le signal d'horloge T5, et sur sa broche 3 le signal PCM14 provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 58. En conséquence, lorsque le signal PCM14 et le signal d'horloge T5 sont tous deux au niveau haut, la bascule 61 reçoit sur sa broche 8 (sortie o) un- signal PCS14 de niveau haut après le passage au niveau bas du signal d'horloge T5. L'équation logique (4), qui concerne le passage au niveau haut du signal PCS14 lorsque n=14, est donc satisfaite. Cela permet de transférer au s compteur PCS 54 le signal de niveau haut fourni par le compteur PCM relativement au quatorzième bit de poids le w plus élevé contenu dans le compteur 53, pendant le même temps de gouttelette que lorsque le signal avait été transféré au compteur PCM 53 depuis la mémoire PROS 50 de la Figure 2 ou depuis le compteur PCS 54.

    [0051] Si le signal PCM14 est au niveau haut, la bascule 61 de la Figure 5 reçoit un signal PCS14 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q) après le passage au niveau bas du signal d'horloge T5. Cela est dû au fait que le signal PCM14 est appliqué à la broche 9 de la bascule 61 depuis la broche 6 (sortie Q) de la bascule 58 de la Figure 5.

    [0052] L'equation logique (5) relative au passage au niveau bas du signal PCS lorsque n=14 est donc satisfaite. Cela permet de mettre la position du compteur PCS 54 (voir Figure 2) correspondant au quatorzième bit de poids le plus élevé à un niveau bas désiré lorsque le quatorzième bit dé poids le plus élevé contenu dans le registre PCM 53 est à un niveau logique bas.

    [0053] Si la valeur de n était égale à 16, il serait nécessaire d'appliquer respectivement les signaux PCS13, PCS14 et PCS15 aux broches 3, 4 et 5 de la porte 56 représentée sur la Figure 5. Si tous ces signaux étaient au niveau haut, la porte 56 présenterait sur sa broche 6 un niveau bas qui serait appliqué à la broche 6 de l'inverseur 57'. On obtiendrait de ce fait sur la broche 4 de l'inverseur 57' un niveau haut destiné à être appliqué à la broche 15, qui reçoit le signal PCS13 lorsque n=14, de la porte 59.

    [0054] Si la valeur de n était égale à 15, le signal PCS15 ne serait pas appliqué à la broche 5 de la porte 56. Cette broche serait maintenue à un niveau logique haut, de même que toutes les entrées logiques utilisées de chacun des différents éléments.

    [0055] Si la valeur de n est inférieure à 13, une ou plusieurs des entrées de la porte 59 du compteur PCM 53 ne reçoit aucun signal. Ces entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0056] Il est sous-entendu que le compteur PCM 53 possède quinze circuits supplémentaires correspondant aux quinze autres bits et qui sont analogues aux circuits représentés sur la Figure 5. Ainsi qu'on 1'.3 précédemment mentionné, le compteur PCM 54 possède quinze bascules analogues à la bascule 61 et dont chacune correspond à l'un des quinze autres bits du mot de seize bits.

    [0057] Les dix premiers bits du mot de seize bits émanant de la mémoire FROS 51 de la Figure 2 sont transférés à un registre 64 dit de tension, les six bits restant étant transférés dans le même temps au compteur de longueur de plage 62. Ce dernier comprend un compteur maître (RLM 65) et un compteur esclave (RLS 66) travaillant ensemble. Le compteur 62 reçoit un nouveau mot de seize bits de la mémoire FROS 51 une fois que chacune des gouttelettes 53 utilisées aux fins de l'impression a reçu la charge requise.

    [0058] Le transfert des dix bits de la mémoire FROS 51 au registre de tension 64 est défini par l'équation logique:



    [0059] Le transfert des six bits restants de la mémoire FROS 51 au compteur 62 est défini par l'équation logique:



    [0060] A partir de l'équation logique (7), on peut écrire les équations logiques ci-après relativement au compteur de longueur de plage 62:













    Dans chacune des équations logiques (8) à (11) relatives au compteur 62, n= 1, 2, 3, 4, 5 ou 6.

    [0061] Les Figures 7 et 8 représentent respectivement, à titre d'exemple, les circuits logiques, réalisés au moyen de modules fabriqués par la firme Texas Instruments, constituant les compteurs RLM 65 et RLS 66 qui composent le compteur de longueur de plage 62. Dans cet exemple, n=5. Les compteurs 65 et 66 doivent comporter des éléments du même type que ceux représentés pour chacun des autres bits fournis au compteur 62 par la mémoire FROS 51.

    [0062] Comme le montre la Figure 7, le compteur RLM 65 comprend une porte 68, qui doit de préférence être constituée par le même module que celui de la porte 56 de la Figure 5. On notera que chacune des entrées logiques inutilisées de la porte f 68 de la Figure 7 est maintenue à un niveau logique haut.

    [0063] La porte 68 reçoit sur sa broche 9 le signal d'horloge T5, sur sa broche 11 un signal FROS15 (l'avant-dernier bit du mot de seize bits) émanant de la mémoire FROS 51, ce dernier signal étant au niveau haut ou au niveau bas selon que le quinzièm bit est lui-même au niveau haut ou au niveau bas, et sur sa broche 10 le signal RLS=0 émanant de la broche 12 d'un inverseur 69, qui est du même type que l'inverseur 57' de la Figure 5. Lorsque ces trois entrées sont au niveau haut, un signal de niveau bas apparaît sur la broche de sortie 8 de la porte 68 et est appliqué par l'intermédiaire d'un conducteur 70 à la broche 13 (entrée P) d'une bascule 71 qui est du même type que la bascule 58 de la Figure 5. Toutes les entrées logiques inutilisées de la bascule 71 de la Figure 7 sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0064] Lorsque, ainsi qu'on le verra plus loin, un signal de niveau bas et un signal de niveau haut apparaissent respectivement sur ses broches 13 (entrée P) et 2 (entrée C), la bascule 71 fournit un signal RLM5 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q), puisque n=5 dans l'exemple cité. De ce fait, l'une des deux parties de l'équation logique est satisfaite et le signal RLM,- est mis à un niveau haut lorsque le quinzième bit du mot de sortie de la mémoire FROS 51 de la Figure 2 est au niveau haut.

    [0065] Le signal RLS=0 qui est obtenu sur la broche 12 de l'inverseur 69 de la Figure 7, est engendré par une porte 72, qui est une porte du type NI à huit entrées et à logique positive commercialisée par la firme Texas Instruments sous la désignation SN 7430 (J). Chacune des entrées logiques inutilisées de la porte 72 est maintenue à un niveau logique haut. On notera qu'une seule porte 72 est nécessaire dans le compteur RLM 65 au lieu de l'être pour chaque bit.

    [0066] Les broches 1 à 6 de la porte 72 reçoivent respectivement les signaux RLS à RLS6. Chacun de ces signaux est fourni par une bascule correspondante du compteur RLS 66 de la Figure 8. Comme le montre cette figure, le compteur RLS 66 comporte une bascule 73, qui est du même type que la bascule 58 de la Figure 5 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, le signal RLS5 étant obtenu sur sa broche 6 (sortie Q). Lorsque tous les signaux reçus sur les bornes 1 à 6 de la porte 72 sont au niveau haut, la broche 8 de cette dernière fournit un signal RLS#0 de niveau bas. Ce signal est appliqué par l'intermédiaire d'un conducteur 74 à la broche 13 d'un inverseur 69. On obtient de ce fait sur la broche 12 de l'inverseur 69 un signal RLS=0 de niveau haut qui indique que la valeur du compteur RLS 66 est nulle, l'équation logique (12) étant satisfaite.

    [0067] L'inverseur 69 fournit sur sa broche 10 un signal RLM=0 qui résulte de l'inversion du signal RLM#0 appliqué à sa broche 11 depuis la broche 8 d'une porte 75, qui est du même type que la porte 72 et dont chacune des entrées logiques inutilisée est maintenue à un niveau logique haut. On notera que le compteur RLM 65 nécessite une unique porte 75, et qu'il n'y a pas lieu de prévoir une porte 75 pour chaque bit.

    [0068] Les broches 1 à 6 de la porte 75 reçoivent respectivement les signaux RLM1 à RLM6. Ces signaux sont fournis par la bascule 71 (dans le cas du signal RLM5) et par une bascule correspondante pour chacun des cinq autres bits. Lorsque tous les signaux reçus par ces broches 1 à 6 sont au niveau haut, la porte 75 fournit sur sa broche 8 un signal RLM≠0 qui est au niveau bas. L'équation logique (13) est donc satisfaite.

    [0069] Le signal RLS#0 obtenu sur la broche 8 de la porte 72 appartient à la seconde partie de l'équation logique (8) et est appliqué à la broche 4 de la bascule 71. La broche 5 de cette dernière reçoit le signal RLS5 de la bascule 73 (Figure 8) de la bascule RLS 66.

    [0070] La broche 3 de la bascule 71 reçoit la sortie inversée de la broche 6 d'une porte 76, qui est un module comportant deux portes NI à quatre entrées chacune et à logique positive du type commercialisé par Texas Instruments sous la désignation SN7420 (J). Toutes les entrées logiques inutilisées de la porte 76 sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0071] Les broches 1, 2, 4 et 5 de la porte 76 reçoivent respectivement les signaux RLS à RLS4 des bascules que comporte le compteur RLS 66 pour n = 1, 2, 3 et 4 et qui correspondent à la bascule 73 de la Figure 8. Lorsque tous ces signaux sont au niveau haut, la broche 6 de la porte 76 fournit un signal de sortie qui est au niveau bas. Cette broche est connectée à la broche 1 de l'inverseur 69 et, de ce fait, le signal obtenu sur la broche 2 de ce dernier passe au niveau haut lorsque le signal obtenu sur la broche 6 de la porte 76 est au niveau bas. Ainsi, lorsqu'un signal de niveau haut est obtenu sur la broche d'entrée 3 de la bascule 71 en raison du fait que chacun des signaux RLS. à RLS4 est au niveau haut, le signal RLS#0 émanant de la broche 8 de la porte 72 est au niveau haut de même que le signal RLS., et un signal RLM5 obtenu sur la broche 8 (sortie Q) de la bascule 71 passe au niveau haut lorsque le signal d'horloge T5 passe au niveau bas. La seconde partie de l'équation logique (8), relative à la mise à "1" du signal RLM lorsque n=5, est donc satisfaite. Grâce à cette logique, la position du compteur RLM 65 correspondant au cinquième bit reçu de la mémoire FROS 51 de la Figure 2 peut être mise au niveau haut désiré, soit directement, soit par l'intermédiaire du compteur RLS 66 après diminution d'une unité de la valeur du compteur 65, consécutivement à la génération de l'une des gouttelettes 23 utilisées aux fins de l'impression.

    [0072] Lorsque le quinzième bit (c'est-à-dire le cinquième bit reçu par le compteur RLM 65) du signal émanant de la mémoire FROS 51 est au niveau bas, on utilise la première partie de l'équation logique (9) relative à la mise à "0" du signal RLM5, ce qui revient à dire qu'un signal PLM5 de niveau haut est obtenu sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 71 de la Figure 7. Ce résultat est obtenu en appliquant un signal de niveau bas à la broche 2 (entrée C) de la bascule 71 depuis la broche 12 de la porte 68 lorsque la broche 13 (entrée P) de cette bascule présente un niveau haut.

    [0073] Un signal de niveau bas n'est obtenu sur la broche 12 de la porte 68 que lorsque les signaux respectivement obtenus sur ses broches 13, 1 et 2, à savoir le signal d'horloge T5, le signal RLS=0 et le signal FROS15 émanant de la mémoire FROS 51 de la Figure 2, sont tous trois au niveau haut. Le signal FROS15 ne peut être au niveau haut que lorsque le quinzième bit provenant de la mémoire FROS 51 est au niveau logique 0. De ce fait, lorsque le signal d'horloge T5 passe au niveau haut, un niveau bas est transmis à la broche 2 (entrée C) de la bascule 71 pour produire un signal de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). Cela satisfait l'une des deux parties de l'équation logique (9) afférente à la mise à "0" du signal RLMS et met à un niveau bas la position du compteur RLM 65 correspondant au cinquième des six bits emmagasinés dans celui- ci.

    [0074] Un signal RLM5 de niveau haut est également obtenu sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 71 lorsque les signaux d'entrée appliqués à ses broches 9, 10 et 11 sont au niveau haut et que le signal d'horloge T5, qui était au niveau haut, passe au niveau bas. Un signal au niveau haut est obtenu sur sa broche 11 lorsque chacun des signaux RLS1 à RLS4 est au niveau haut. Le signal RLS5 est appliqué à la broche 9 de la bascule 71 depuis la broche 8 (sortie Q) de la bascule 73 (Figure 8) du compteur RLS 66.

    [0075] Le signal RLS#0 est appliqué à la broche 10 de la bascule 71 de la Figure 7 depuis la broche 8 de la porte 72. Ce signal est au niveau haut chaque fois que l'une au moins des entrées de la porte 72 est au niveau bas.

    [0076] La seconde partie de l'équation logique (9), qui concerne la mise a "0" du signal RLM lorsque n=5, est donc satisfaite. Grâce à cette logique, la position du compteur RLM 65 correspond au quinzième bit (cinquième bit contenu dans ce compteur) émanant de la mémoire FROS 51 de la Figure 2 peut être mise au niveau bas désiré, soit directement, soit par l'intermédiaire du compteur 66 après avoir diminué la valeur du compteur 65 d'une unité à certains des temps de gouttelette.

    [0077] La broche 12 (entrée CK) de la bascule 73 de la Figure 8, qui est l'une des bascules que comporte le compteur RLS 66, reçoit le signal d'horloge Tl cependant que sa broche 4 reçoit le signal RLM, provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 71 de la Figure 7. Un signal SYNC reçu d'une bascule 77 (voir Figure 10) est appliqué à la broche 3 de la bascule 73.

    [0078] Ainsi qu'on le verra plus loin, la bascule 77 fournit un signal SYNC de niveau haut lorsque la valeur d'un compteur dit de réseau 78 (voir Figure 2) est égale à la valeur d'un compteur de points 79 et lorsque le signal d'horloge T7 passe au niveau haut. Le compteur 79 compte directement les gouttelettes d'encre 23 alors que le compteur 78 compte les gouttelettes 23 de zéro à trente-et-un et cesse ensuite de compter jusqu'à ce qu'il ait reçu une impulsion GD de niveau haut de la bascule 55'. Chacun des compteurs 78 et 79 compte de façon binaire à la cadence de génération des gouttelettes, à partir de zéro, lorsque l'impulsion GD initiale qui coïncide avec le début d'un caractère, est obtenue.

    [0079] Lorsque le signal SYNC fourni par la bascule 77 de la Figure 10 est au niveau haut, la bascule 73 de la Figure 8 fournit un signal RLS5 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q) lorsque le signal d'horloge Tl passe au niveau bas et que le signal RLM5 est au niveau haut. L'équation logique (10) est alors satisfaite.

    [0080] Le signal SYNC est également appliqué à la broche 9 de la bascule 73, et le signal RLM5 émanant de la broche 6 (sortie Q) de la bascule 71 est appliquée à sa broche 10. De ce fait, lorsque le signal d'horloge Tl appliqué à la broche 12 de la bascule 73 passe au niveau bas et que les signaux SYNC et RLM5 sont tous deux au niveau haut, la bascule 73 fournit un signal RLSS de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). L'équation logique (11) est alors satisfaite.

    [0081] La valeur du compteur RLM 65 (Figure 2) du compteur de longueur de plage 62 est diminuée d'une unité binaire chaque fG-s que le signal d'horloge T5 apparaît, tant que le signal SYNC fourni par la bascule 77 de la Figure 9 est au niveau haut lors de l'apparition du signal d'horloge Tl afférent au même temps de gouttelette. Cela est nécessaire pour transférer la valeur du compteur RLM 65 au compteur RLS 66 et pour satisfaire l'une des deux équations logiques (10) et (11). L'une au moins des six bascules du compteur RLS 66 ( telle la bascule 73 représentée sur la figure) change d'état chaque fois que ce transfert a lieu et permet de diminuer la valeur du compteur RLM 65.

    [0082] Le signal SYNC reste au niveau haut jusqu'à ce que la valeur du compteur de réseau 78 diffère de celle du compteur de points 79 et que la valeur du compteur RLM 65 soit supérieure à trois. Les équations logiques afférentes à la bascule 77 peuvent donc s'écrire comme suit: Mise à "0" de la bascule 77 (SYNC est au niveau haut) =

    Mise à "0" de la bascule 77 (SYNC est au niveau haut) =



    [0083] Le signal SYNC passe au niveau haut lorsque le signal d'horloge T7 est au niveau haut et qu'un signal GCM émanant du compteur de réseau 78 de la Figure 2 est égal à un signal DCM émanant du compteur de points 79. La bascule 77 (Figure 10) applique donc un signal GCM=DCM à la broche 2 de la porte 79A, dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, le signal d'horloge T7 étant appliqué à la broche 1 de cette même porte. Le module 79A peut, par exemple, être du type à quatre portes NI à deux entrées chacune et à logique positive commercialisé par Texas Instruments sous la référence SN7400 (J).

    [0084] Lorsque les signaux appliqués aux broches 1 et 2 de la porte 79A sont au niveau haut, un signal de niveau bas apparaît sur la broche 3 de cette porte et est appliqué à la broche 13 d'une porte 79B, dont les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 79 peut être du type commercialisé par Texas Instruments sous la référence SN74L55 (J).

    [0085] Un signal SYNC apparaît sur la broche de sortie 8 de la porte 79B et est appliqué à la broche 3 de l'inverseur 79C, qui fournit un signal SYNC sur sa broche 4. L'inverseur 79C est du même type que l'inverseur 57' de la Figure 5.

    [0086] Le signal SYNC obtenu sur la broche 4 de l'inverseur 79C est appliqué à la broche 12 de la porte 79B. Ainsi, lorsque les signaux T7 et GCM=DCM sont tous deux au niveau haut, la porte 79B présente un signal d'entrée de niveau bas sur sa broche 13 et, de ce fait, un signal SYNC de niveau haut sur sa broche 8, cependant que l'inverseur 79C présente un signal SYNC de niveau bas sur sa broche 4. Le passage au niveau haut du signal SYNC lorsque les signaux T7 et GCM=DCM sont au niveau hauc, satisfait l'équation logique (16) .

    [0087] Les broches 1, 2 et 3 de la porte 79B reçoivent respectivement le signal d'horloge T0, le signal RLM>3 et le signal GCM=DCM. Le signal SYNC reste au niveau haut jusqu'à ce que le signal d'horloge TO soit au niveau haut, de même que les signaux RLM>3 et GCM=DCM, et passe ensuite au niveau bas, le signal SYNC étant alors au niveau haut.

    [0088] Le signal RLM>3 n'est au niveau haut que lorsque la valeur binaire du compteur RLM 65 est supérieure à trois. Le = signal RLM>3 est obtenu sur la broche 8 de la porte 76 du compteur 65. Afin que la valeur de ce dernier soit supérieure à trois, n'importe quel bit correspondant à un signal supérieur au signal RLM2 permet d'obtenir une valeur supérieure à trois (par exemple, le signal RLM3 permet à lui seul d'obtenir une valeur de quatre). En conséquence, la porte 76 reçoit respectivement sur ses broches 13, 12 10 et 9 les signaux RLM3, RLM., RLMc et RLM6. Lorsque l'un quelconque de ces signaux est au niveau bas, indiquant ainsi que la valeur du compteur RLM 65 est supérieure à trois, le signal RLM>3 présent sur la broche 8 de la porte 76 est au niveau haut.

    [0089] Le signal GCM=DCM est appliqué à la broche 5 d'un inverseur 81 faisant partie du compteur de points 79 depuis la broche 9 d'une porte 80 (voir Figure 11). Cette dernière est du même type que la porte 59 (voir Figure 5) du compteur PCM 53 et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. L'inverseur 81 est du même type que l'inverseur 57' (Figure 5) que comporte le compteur 53. Le signal GCM=DCM est appliqué depuis la broche 6 de l'inverseur 81 de la Figure 11.

    [0090] Le signal SYNC engendré par la bascule 77 permet donc de diminuer la valeur du compteur RLM 65 jusqu'à ce que le signal GCM=DCM obtenu sur la broche 9 de la porte 80 du compteur de points 79 passe au niveau haut et que le signal RLM>3 obtenu sur la broche 8 de la porte 76 soit alors au niveau haut. Le compteur 62 cesse par conséquent de compter lorsque le signal SYNC passe au niveau bas jusqu'à ce que le signal GCM=DCM passe de nouveau au niveau haut. Cela ne se produit que lorsque la valeur du compteur de réseau 78 et celle du compteur 79 sont de nouveau égales, la valeur du compteur 78 augmentant et le compteur 79 cessant de compter.

    [0091] Le signal SYNC étant au niveau haut, la présence d'un signal de niveau haut sur chacune des broches 1, 2 et 3 de la porte 79B de la Figure 9, ceci étant dû au fait que le signal d'horloge T0, le signal RLM>3 et le signal GCM=DCM sont tous trois au niveau haut, provoque le passage au niveau bas du signal SYNC sur la broche 8 de la porte 79B, le signal SYNC passant alors au niveau haut sur la broche 4 de l'inverseur 79C. L'équation logique (15) est donc satisfaite.

    [0092] Le signal SYNC étant au niveau haut, les signaux appliqués aux broches 12 et 13 de la porte 79B sont au niveau haut afin de maintenir le signal SYNC au niveau bas en dépit du passage du signal d'horloge TO au niveau bas. Ainsi, le signal SYNC reste au niveau bas jusqu'à ce que le signal GCM=DCM passe de nouveau au niveau haut et que le signal d'horloge T7 soit au niveau haut. Le signal SYNC passe alors au niveau haut et le signal SYNC au niveau bas, si bien que le compteur de longueur de plage 62 peut se remettre à compter.

    [0093] A titre d'exemple, on supposera qu'il existe au moins 7680 temps de gouttelette par pouce linéaire (soit 3023,622 temps de gouttelette par centimètre linéaire) de déplacement du chariot 12 (Figure 1). Si le réseau 15 permet d'obtenir 240 impulsions par pouce (soit 94,488 impulsions par centimètre) du réseau, on obtient au mimmum 32 (7680/240 ou environ 3024/95) temps de gouttelette entre impulsions émanant du réseau 15. Afin d'avoir la certitude que l'on disposera d'au moins trente-deux gouttelettes 23 entre lesdites impulsions, il est nécessaire de commander de façon appropriée la vitesse à laquelle se déplace le chariot 12. Lors de l'impression d'un caractère, il se produira donc une accumulation des temps de gouttelette supplémentaires dont on doit pouvoir disposer sans affecter le positionnement des gouttelettes 23 voisines et sans créer des erreurs de positionnement horizontal perceptibles.

    [0094] A cette fin, le compteur de réseau 78 (voir Figure 2) comprend un compteur maître "bas" (GCML) 82, qui compte de zéro à trente-et-un (trente-et-une gouttelettes 23) et un compteur maître "haut" (GCMH) 83, qui compte une unité chaque fois que le compteur 82 est restauré de trente-et-un à zéro (trente-deux gouttelettes 23). Le compteur 78 comprend également un compteur exclave "bas" (GCSL) 84, qui compte de la même façon que le compteur 82, et un compteur esclave "haut" (GCSH) 85, qui compte de la même façon que le compteur 83.

    [0095] Le compteur de points 79 comprend un compteur maître (DCM) 86 et un compteur esclave (DCS) 87. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, le compteur 79 compte chacune des gouttelettes 23, sauf lorsque le signal SYNC engendré par la bascule 77 passe au niveau haut, ce signal provoquant la mise hors fonction du compteur.

    [0096] On peut écrire les équations logiques ci-après pour les compteurs 82 et 84, équations dans lesquelles n= 1, 2, 3, 4 ou 5, étant donné que chacun de ces compteurs ne contient que cinq bits:









    Il est sous-entendu que la seconde partie de l'équation (18) ne s'applique pas lorsque n=25 puisque seules les première et troisième parties de cette équation sont requises.

    [0097] On peut écrire les équations logiques ci-après pour les compteurs 83 et 85, équations dans lesquelles n= 6, 7, 8, 9 ou 10 étant donné que chacun des ces compteurs ne contient que cinq bi s:









    [0098] Un exemple de réalisation des circuits constituant le compteur 78 est illustré par les Figures 13, 14 et 15 qui représentent respectivement les divers éléments logiques constituant les compteurs 82 et 83, l'unique élément logique constituant le compteur 84 et l'unique élément logique constituant le compteur 85, ces différents éléments logiques étant fabriqués par la firme Texas Instruments. Sur la Figure 13, on a choisi n=4 pour le compteur 82 et n=10 pour le compteur 83. Sur les Figures 14 et 15, on a respectivement choisi n=4 et n=10 pour les compteurs 84 et 85. Il est sous-entendu que chacun des compteurs 82 et 83 doit comprendre des types analogues d'éléments pour chacun des premier, second, troisième et cinquième bits, et que chacun des compteurs 84 et 85 doit comprendre des types analogues d'éléments pour chacun des sixième, septième, huitième et neuvième bits.

    [0099] Comme le montre la Figure 13, le compteur de réseau 78 comprend une porte 90, qui est analogue à la porte 76 de la Figure 7 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 90 reçoit respectivement sur ses broches 13, 12 et 10 un signal GCSL , un signal GCSL2 et un signal GCSL3. Chacun de ces signaux est reçu du compteur GCSL 84 (voir Figures 2 et 14).

    [0100] Lorsque ces trois signaux d'entrée sont au niveau haut, la porte 90 présente sur sa broche 8 un signal de niveau bas, qui est appliqué à la broche 13 d'un inverseur 91. Ce dernier est du même type que l'inverseur 57' de la Figure 5.

    [0101] L'inverseur 91 inverse le signal de niveau bas appliqué à sa broche 13 et le convertit en un signal de niveau haut disponible sur sa broche 12. Ce dernier signal est appliqué aux broches 3 et 10 d'une bascule 92, qui est du même type que la bascule 58 de la Figure 5 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0102] Un signal GCSL4 est appliqué à la broche 5 de la bascule 92 (Figure 13) depuis la broche 6 (sortie Q) d'une bascule 93 (Figure 14) que comporte le compteur GCSL 84. Le signal GCSL4 passe au niveau haut lorsque le quatrième bit présent dans le compteur GCML 82 (Figure 13) est un zéro logique (le signal GCSLM4 présent sur la broche 6 de la bascule 92 est au niveau haut) lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T5.

    [0103] La bascule 93 (voir Figure 14) reçoit sur sa broche 12 (entrée CK) le signal d'horloge T5 et sur sa broche 11 le signal GCSLM4 provenant de la broche 6 (sortie Q) de la bascule 92. Ainsi, si le signal GCML4 est au niveau haut lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T5, la bascule 93 présente un signal GCSL4 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q).

    [0104] En conséquence, lorsque le signal d'horloge Tl appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 92 passe au niveau bas et que le signal GCSL. et le signal d'entrée appliqué à la broche 3 de la bascule 92 sont tous deux au niveau haut, la bascule 92 présente sur sa broche 8 (sortie Q) un signal GCML4 de niveau haut. Cela a pour effet d'augmenter la valeur binaire du compteur GCML 82 d'une unité, satisfaisant ainsi l'équation logique (17).

    [0105] La bascule 92 reçoit sur sa broche 11 un signal GCSL4 provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 93 du compteur GCSL 84. Lorsque le signal GCML4 appliqué à la broche 3 de la bascule 93 depuis la broche 8 (sortie Q) de la bascule 92 est au niveau haut et que le signal d'horloge T5 appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 93 passe au niveau bas, le signal GCSL4 passe au niveau haut.

    [0106] La bascule 92 reçoit sur sa broche 9 un signal GCSL≠31. Ce signal est au niveau haut, sauf lorsque la valeur du compteur GCSL 84 est égale à trente-et-un. En conséquence, lorsque le signal d'horloge Tl passe au niveau bas et que le signal GCSL4 est au niveau haut, de même que le signal présent sur la broche 10 de la bascule 92 et que le signal GCSL#31, la bascule 82 présente un signal GCML4 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). Ceci correspond à un zéro logique dans la quatrième position de bit du compteur GCML 82. La seconde partie de l'équation (18) est donc satisfaite.

    [0107] Le signal GCSL≠31 est transmis depuis la broche 8 d'une porte 94 (Figure 13), qui est du même type que la porte 72 de la Figure 7 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. Les broches 1 à 5 de la porte 94 reçoivent respectivement les signaux GCSL à GCSL5. La porte 94 présente donc un signal de niveau haut sur sa broche 8, sauf lorsque ces cinq entrées sont toutes au niveau haut, ce qui ne peut se produire que lorsque le compteur GCSL 84 a compté trente-et-une fois (c'est-à-dire de zéro à trente-et-un), si bien que les cinq positions de bit du compteur 84 sont toutes au niveau haut. A titre d'exemple, ceci est illustré par le signal GCLS4 de niveau haut présent sur la broche 8 de la bascule 93.

    [0108] Le signal GCML4 présent sur la broche 6 (sortie O) de la bascule 92 passe également au niveau haut lorsqu'un signal d'entrée de niveau bas est reçu sur sa broche 2 (entrée C) étant donné que le signal présent sur sa broche 13 (entrée P) est toujours au niveau haut. Cette broche 2 est connectée à la broche 6 d'une porte 95, qui est du même type que la porte 79A de la Figure 10. Il est sous-entendu qu'une seule porte 95 est requise pour toutes les bascules (la bascule 92 correspond au cas où n=4) afférentes aux cinq bits du compteur GCML 82. Un signal de niveau bas est présent sur la broche 6 de la porte 95 lorsque le signal d'horloge T2 présent sur sa broche 5 est au niveau haut de même que le signal présent sur sa broche 4.

    [0109] La broche d'entrée 4 de la porte 95 est connectée à la broche de sortie 3 de cette même porte. La broche 3 présente un signal de sortie de niveau haut chaque fois que les signaux appliqués aux broches 1 et 2 de la porte 95 ne sont pas au niveau haut.

    [0110] La broche 1 de la porte 95 reçoit un signal EOC de la bascule 55 (voir Figures 2 et 9). Le signal GD est appliqué à la broche 2 de la porte 95 depuis la bascule 55' (voir Figures 2 et 16). La bascule 55' est conçue de manière à satisfaire l'équation logique suivante:





    [0111] Comme le montre la Figure 16, la bascule 55' comprend des portes 96, 97 et 98 et un inverseur 99. Les portes 96 et 97 sont du même type que la porte 79B de la Figure 10 faisant partie de la bascule 77 et toutes leurs entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 98 est du même type que la porte 79B de la bascule 77, et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. L'inverseur 99 est du même type que l'inverseur 57' de la Figure 5.

    [0112] La porte 96 reçoit sur sa broche d'entrée 2 un signal GP du réseau 15 (voir Figure 1). Le signal GP passe au niveau haut chaque fois qu'une des lignes du réseau 15 est détectée par les circuits associés à ce dernier.

    [0113] La porte 96 (Figure 16) reçoit sur sa broche 3 un signal GPL provenant de la broche 8 de la porte 97. Lorsque le signal GP passe au niveau haut, le signal GPL est au niveau haut.

    [0114] La porte 96 reçoit sur sa broche 1 le signal d'horloge T7. Ainsi, lorsque ce dernier signal passe au niveau haut après le passage au niveau haut des signaux GP et GPL, la porte 96 présente un signal GD de niveau bas sur sa broche 8 qui est connectée à la broche 13 de l'inverseur 99.

    [0115] Ce dernier signal est alors converti en un signal GD de niveau haut disponible sur la broche 12 de l'inverseur 99. L'équation logique (26) est donc satisfaite.

    [0116] Le signal GD présent sur la broche 12 de l'inverseur 99 est appliqué à la broche 11 de la porte 96 et à la broche 2 de la porte 97. Tant que le signal appliqué à la broche 13 de la porte 96 est au niveau haut, le signal GD présent sur la broche 12 de l'inverseur 99 reste au niveau haut, même après le passage au niveau bas du signal d'horloge T7. La broche 13 de la porte 96 est connectée à la broche de sortie 8 de la porte 98. Cette dernière reçoit respectivement sur ses broches 9 et 10 le signal d'horloge T5 et un signal GPL provenant de la broche 2 de l'inverseur 99.

    [0117] Lorsque le signal GD passe au niveau haut, le signal GPL provenant de la broche 2 de l'inverseur 99 est au niveau bas. Etant donné que le signal d'horloge T5 est également au niveau bas à cet instant, le signal d'entrée appliqué à la broche 13 de la porte 96 est au niveau haut, si bien que le signal GD présent sur la broche 12 de l'inverseur 98 reste au niveau haut après le passage au niveau bas du signal d'horloge T7.

    [0118] Le signal GD étant au niveau haut, le passage au niveau haut du signal d'horloge Tl suivant, qui est appliqué à la broche 3 de la porte 97, permet d'obtenir sur la broche 8 de la porte 97 un signal GPL de niveau bas. Cette broche 8 est connectée à la broche 1 de l'inverseur 99, si bien que l'apparition d'un signal GPL de niveau bas se traduit par l'obtention d'un signal GPL de niveau haut sur la broche 2 de cet inverseur. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, la broche 8 de la porte 97 est également connectée à la broche 3 de la porte 96.

    [0119] En conséquence, le signal GPL passant au niveau haut en raison du passage au niveau haut du signal d'horloge Tl après le passage au niveau haut du signal GD, l'application du signal d'horloge T5 suivant à la broche 9 de la porte 98 provoque l'apparition d'un signal de niveau bas sur la broche 8 de cette porte. De ce fait, le signal appliqué à la broche 13 de la porte 96 passe au niveau bas, si bien que la broche 8 de cette même porte présente un signal GD de niveau haut. Cela a pour effet de faire passer au niveau bas le signal GD présent sur la broche 12 de l'inverseur 99. L'équation logique (27) est donc satisfaite.

    [0120] Le signal GPL est appliqué à la broche 10 de la porte 97, dont la broche 11 est connectée à la broche 3 de la porte 98. Ainsi, si le signal appliqué à la broche 11 de la porte 97 est au niveau haut alors que le signal GPL est également au niveau haut, ce dernier signal reste au niveau haut après le passage au niveau bas du signal d'horloge Tl.

    [0121] Le signal présent sur la broche 3 de la porte 98 est au niveau haut, sauf lorsque les signaux appliqués aux broches 1 et 2 de cette même porte sont au niveau haut. La broche 1 de la porte 98 reçoit un signal GP de L, broche 8 de l'inverseur 99, qui reçoit sur sa broche 9 le signal GP. La porte 98 reçoit sur sa broche 2 le signal d'horloge T7.

    [0122] En conséquence, tant que le réseau 15 de la Figure 1 engendre un signal GP de niveau haut, le signal GP présent sur la broche 1 de la porte 98 (Figure 16) reste au niveau bas afin qu'un signal de niveau haut reste présent sur la broche 3 de cette porte. Le signal GPL reste donc au niveau haut tant que le réseau 15 continue à fournir un signal GP de niveau haut.

    [0123] Il est sous-entendu que le signal GP émanant du réseau 15 reste au niveau haut pendant trois temps de gouttelette au minimum. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, il existe au moins trente-deux temps de gouttelette entre le début de chacun de deux signaux GP consécutifs.

    [0124] Lorsque le signal GP passe au niveau bas, le signal GP présent sur la broche 1 de la porte 98 passe au niveau haut. Lorsque le signal d'horloge T7 passe au niveau haut, les signaux appliqués aux broches 1 et 2 de la porte 98 sont tous deux au niveau haut si bien qu'un signal de niveau bas est obtenu sur la broche 11 de la porte 97. De ce fait, le signal GPL passe au niveau haut et fait passer le signal GPL au niveau bas. Le signal GPL reste donc au niveau haut tant que le signal GP est présent, puis passe au niveau bas lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T7 suivant. Le signal GPL est donc au niveau haut lorsque le signal-GP passe au niveau haut.

    [0125] La première partie de l'équation logique (18) est donc satisfaite lorsque le signal GD est au niveau haut pour indiquer qu'une impulsion a été engendrée par le réseau 15 et le signal d'horloge T2 passe au niveau haut. La bascule 92 (Figure 13) et chacune des bascules correspondant à chacun des quatre autres bits du compteur GCML 82 sont alors mises à zéro afin que le compteur 82 puisse commencer à compter. La première partie de l'équation logique (18) est donc satisfaite lorsque le compteur 82 recommence à compter.

    [0126] Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, la broche 1 de la porte 95 (Figure 13) reçoit le signal EOC de la bascule 55. Ce signal passe au niveau bas après l'impression d'un caractère, ainsi qu'on le verra plus loin. Le signal EOC de niveau bas provoque la mise à zéro de toutes les bascules que comporte le compteur GCML 82 lorsque le signal d'horloge T2 passe au niveau haut. La troisième partie de l'équation logique (18) est alors satisfaite.

    [0127] Ainsi qu'on l'a précédemment indiqué, seules les première et troisième parties de l'équation logique (18) sont nécessaires lorsque n=5. Cela est dû au fait que le compteur GCML 82 effectue un comptage sans bouclage, c'est-à-dire compte de zéro à trente-et-un puis s'arrête jusqu'à ce qu'il soit mis à zéro par l'apparition d'un signal EOC de niveau haut ou d'un signal GD de niveau haut. La seconde partie de l'équation logique (18) est donc inutile lorsque n=5 puisque le signal GCML;- ne doit être au niveau haut qu'afin d'atteindre la valeur trente-et-un. En conséquence, les broches 9, 10 et 11 de la bascule 92 dans le cas où n=5 sont inutilisées et maintenues à un niveau logique haut.

    [0128] Le signal GCSL4 présent sur la broche 8 (sortie Q) de la bascule 93 faisant partie du compteur GCSL 84 passe au niveau haut lorsque le signal GCML4 est au niveau haut et que le signal d'horloge T5 passe au niveau bas. Ce résultat est obtenu en appliquant le signal GCML4 à la broche 3 de la bascule 93 et le signal d'horloge T5 à la broche 12 (entrée CK) de cette même bascule.

    [0129] Si le signal GCML4 (au lieu du signal GCML4) est au niveau haut, le signal GCSL4 présent sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 93 passe au niveau haut lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T5. Les équations logiques (19) et (20) sont donc satisfaites, le compteur GCSL 84 étant mis à la même valeur que le compteur GCML 82 au signal d'horloge T5 après que la valeur du compteur 82 ait été augmentée d'une unité au signal d'horloge Tl.

    [0130] La valeur du compteur GCMH 83 est augmentée d'une unité chaque fois. que le compteur GCML 82 a atteint la valeur trente-et-un. En conséquence, pour n=10, une bascule 100 (voir Figure 13) fournit un signal GCMHI0 sur sa broche 8 (sortie Q) et un signal GCMHI0 sur sa broche 6 (sortie Q). La bascule 100 est du même type que la bascule 58 de la Figure 5 et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La broche 12 (entrée CK) de la bascule 100 reçoit un signal Tl.GD.GCSL=31 de la broche 6 de l'inverseur 91 de la Figure 13. Ce signal ne peut être au niveau haut que lorsque le signal d'horloge Tl, le signal GD et le signal GCSL=31 sont tous trois au niveau haut.

    [0131] Une porte 101, qui est du même type que la porte 56 de la Figure 5 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, reçoit respectivement sur ses broches 9, 10 et 11 le signal GCSL=31, le signal GD et le signal d'horloge Tl. Lorsque ces trois signaux d'entrée sont au niveau haut, la porte 101 présente un signal de niveau bas sur sa broche 8. Cette dernière est connectée à la broche 5 de l'inverseur 91, et de ce fait le signal de niveau bas présent sur la broche 8 est converti en un signal de niveau haut qui est obtenu sur la broche 6 de l'inverseur 91 et appliqué à la broche 12 de la bascule 100 lors de l'apparition du signal T1.GD.GCSL=31.

    [0132] La porte 90 reçoit respectivement sur ses broches 1, 2, 4 et 5 un signal GCSH6, un signal GCSH7, un signal GCSH8 et un signal GCSH9 depuis les bascules correspondant à la bascule 100. Lorsque tous ces signaux sont au niveau haut, la bascule 90 applique un signal de niveau bas à la broche 3 de l'inverseur 91 depuis sa broche 6, ce signal étant converti en un signal de niveau haut présent sur la broche 4 de l'inverseur et appliqué aux broches 3 et 10 de la bascule 100.

    [0133] Cette dernière reçoit sur sa broche 5 un signal GCSH10 depuis la broche 6 (sortie Q) d'une bascule 102 (voir Figure 15) que comporte le compteur GCSH 85. La bascule 102 est du même type que la bascule 58 de la Figure 6 et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0134] En conséquence, lorsque les signaux appliqués aux broches 3 et 5 de la bascule 100 sont au niveau haut et que le signal appliqué à la broche 12 de cette bascule passe au niveau bas, la bascule présente un signal GCSMH10 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q). Cela se traduit par l'augmentation d'une unité de la valeur du compteur GCMH 83. L'équation logique (22) est donc satisfaite pour n=6, 7, 8, 9, 10.

    [0135] La bacule 100 reçoit sur sa broche 11 un signal GCSH10 de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 102 que comporte le compteur GCSH 85. Lorsque ce dernier signal est au niveau haut, que le signal présent sur la broche 10 de la bascule 100 est au niveau haut et que le signal présent sur la broche 12 passe au niveau bas en raison du passage au niveau bas du signal d'horloge Tl, la bascule 100 présente un signal GCSMH10 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q).

    [0136] Le signal GCSH10 présent sur la broche 8 de la bascule 102 est au niveau haut lorsque le signal d'horloge T5 passe au niveau bas et que le signal GCMH10 est au niveau haut. Le signal GCSH10 présent sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 102 est au niveau haut lorsque le signal d'horloge T5_passe au niveau bas et que le signal GCSMH10 est au au niveau haut. Les équations logiques (24) et (25) sont donc satisfaites pour n=6, 7, 8, 9 ou 10.

    [0137] D'autre part, la broche 2 (entrée C) de la bascule 100 est connectée à la broche 6 de la porte 101. Les broches 3 et 4 de cette dernière reçoivent respectivement le signal d'horloge T2 et le signal EOC. Lorsque ces deux signaux sont au niveau haut, un signal de niveau bas est obtenu sur la broche 6 de la porte 101 et appliqué à la broche 2 (entrée C) de la bascule 100. Etant donné que le signal appliqué à la broche 13 (entrée P) de la bascule 100 est toujours au niveau haut, le signal GCMH10 présent sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 100 passe au niveau haut.

    [0138] Chacune des deux parties de l'équation logique (23) est donc satisfaite pour n=6, 7, 8, 9 ou 10.

    [0139] Bien que la description ci-dessus de la bascule 100 concerne le cas dans lequel n=10, on notera que le signal GCML10 ne passe en principe jamais au niveau haut en cours de comptage parce que cela indiquerait que le compteur 78 ne présente pas une capacité suffisante. Cependant, pour chacune des bascules correspondant à la bascule 100 dans le cas où n=6, 7, 8 et 9, le signal GCML peut normalement passer au niveau haut en cours de comptage.

    [0140] On peut écrire les équations logiques suivantes relativement aux différents états des compteurs DCM 86 et DCS 87 que comporte le compteur de points 79:













    [0141] Dans chacune des équations logiques ci-dessus, n=1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 ou 10. On notera que le signal GCML ou GCMLn est utilisé dans l'équation logique (33) dans le cas où n=1, 2, 3, 4 ou 5, et que le signal GCMH ou GCMH est employé dans le cas où n=6, 7, 8, 9 ou 10.

    [0142] Un exemple de réalisation, au moyen d'éléments logiques fabriqués par la firme Texas Instruments, des circuits logiques constituant le compteur de points 79 est représenté sur les Figures 11 et 12 dans le cas où n=10. Il est sous-entendu que le compteur 79 comporte des éléments analogues pour chacun des neuf autres bits (n= 1,..9).

    [0143] Le compteur 79 comprend une porte 105 (Figure 11) qui est du même type que la porte 59 (voir Figure 4) du compteur PCM 53, et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 105 reçoit respectivement sur ses broches 1 à 10 les signaux DCS, à DCS9. Lorsque chacun de ces signaux est au niveau haut, un signal de niveau bas apparaît sur la broche 9 de la porte 105 et est appliqué à la broche 13 de l'inverseur 81, qui le convertit en un signal de niveau haut disponible sur la broche 12. Ce dernier signal est appliqué aux broches 4 et 10 d'une bascule 106 qui est du même type que la bascule 58 (voir Figure 4) du compteur PCM 53 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0144] La bascule 106 reçoit sur sa broche 5 un signal DCSI0 émanant de la broche 6 (sortie Q) d'une bascule 107, qui est l'une des dix bascules constituant le compteur DCS 87 que comporte le compteur de points 79. La bascule 107 est du même type que la bascule 58 (voir Figure 5) du compteur PCM 53 et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0145] Les broches 3 et 11 de la bascule 106 sont toutes deux connectées à la broche 2 de l'inverseur 81. Le signal appliqué à cette dernière broche est obtenu, après inversion, sur la broche 1 de l'inverseur et appliqué à la broche 8 d'une porte 108, qui est du même type que la porte 56 (voir Figure 5) du compteur PCM 53 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 108 reçoit sur sa broche 9 le signal EOC émanant de la bascule EOC 55 (voir Figures 2 et 9) et, sur sa broche 1 , le signal SYNC émanant de la bascule 77 (voir Figures 2 et 10). En conséquence, lorsque le signal EOC et le signal SYNC sont tous deux au niveau haut, la porte 108 présente un signal de niveau bas sur sa broche 8, si bien qu'un signal de niveau haut est appliqué à chacune des broches 3 et 11 de la bascule 106.

    [0146] La bascule 106 reçoit sur sa broche 12 (entrée CK) le signal d'horloge Tl. Ainsi, lorsque les signaux SYNC et EOC sont tous deux au niveau haut, le signal DCS10 est au niveau haut et le signal d'entrée reçu de la broche 12 de l'inverseur 81 est au niveau haut, la bascule 106 fournit un signal DCMI0 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q) lorsque le signal d'horloge Tl passe au niveau bas, si le signal DCM10 était au niveau bas, ou le maintient à son niveau haut s'il était déjà à ce dernier niveau. Chaque fois que le signal DCM10 passe au niveau haut, la valeur du compteur DCM 86 augmente d'une unité. L'équation logique (28) est donc satisfaite.

    [0147] La bascule 107 reçoit sur sa broche 12 (entrée CK) le signal d'horloge T5 et sur sa broche 10 le signal DCMI0 provenant de la broche 6 (sortie Q) de la bascule 106. De ce fait, si le signal DCM10 est au niveau haut lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T5, la bascule 107 présente un signal DCS de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). Si le signal DCS10 est déjà au niveau haut, il reste à ce dernier niveau.

    [0148] La bascule 106 reçoit sur sa broche 9 un signal DCS10 provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 107. Ce signal est au niveau haut lorsque le signal DCM10 provenant de la broche 8 de la bascule 106 est au niveau haut étant donné qu'il est appliqué à la broche 4 de la bascule 107. Le signal DCSI0 ne passe au niveau haut que lorsque le signal d'horloge T5 appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 107 passe au niveau bas. Il reste à ce dernier niveau jusqu'à ce que le signal DCM10 obtenu sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 106 passe au niveau haut, ce qui fait passer le signal DCS10 au niveau haut et le signal DCS10 au niveau bas. Les équations logiques (30) et (31) sont ainsi satisfaites.

    [0149] Lorsque la bascule 106 reçoit sur ses broches 10 et Il des signaux de niveau haut émanant respectivement des broches 12 et 2 de l'inverseur 81, et reçoit sur sa broche 9 un signal DCS10 de niveau haut provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 107, la bascule 106 présente un signal DCMI0 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q) lorsque le signal d'horloge Tl passe au niveau bas. Il s'agit en l'occurrence d'un zéro logique qui occupe la dixième position de bit dans le compteur DCM 86. Cela satisfait la première partie de l'équation logique (29).

    [0150] Par ailleurs, le compteur de points 79 ne peut pas compter lorsque le signal SYNC ou EOC est au niveau bas. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, cela se produit lorsqu'on désire interrompre l'opération de comptage effectuée par ce compteur de manière à ce que sa valeur puisse devenir égale à celle du compteur 78.

    [0151] Bien que la description ci-dessus des bascules 106 et 107 corresponde au cas dans lequel n=10, on notera que les signaux DCMI0 et DCS10 ne passent en principe jamais au niveau haut en cours de comptage parce que cela indiquerait que le compteur 79 ne possède pas une capacité suffisante. Cependant, dans le cas de toutes les bascules correspondant aux bascules 106 et 107 pour n=l, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9, les signaux DCM et DCS peuvent normalement passer au niveau haut en cours de comptage.

    [0152] La porte 108 de la Figure 11 reçoit respectivement sur ses broches 3 et 5 le signal d'horloge T2 et le signal EOC provenant de la bascule 55 (voir Figure 9). Lorsque ces deux signaux d'entrée sont au niveau haut, la porte 108 présente un signal de niveau bas sur sa broche 6. Ce dernier signal est appliqué à la broche 2 (entrée C) de la bascule 106 afin que cette dernière puisse présenter un signal DCMI0 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q) étant donné que sa broche 13 (entrée P) est toujours au niveau haut.

    [0153] La seconde partie de l'équation logique (29) est donc satisfaite lorsque le signal d'horloge T2 et le signal EOC sont tous deux au niveau haut parce que la fin d'un caractère se produit. La bascule 106 et les bascules correspondant à chacun des neuf autres bits dans le compteur DCM 86 que comporte le compteur de points 79 sont mises à zéro afin que ce dernier compteur recommence à compter depuis zéro. La seconde partie de l'équation logique (29) est donc satisfaite lorsque le compteur 79 recommence à compter au début d'un autre caractère. Cette remise à zéro se produit pour la dernière fois lors de l'apparition du signal d'horloge T2 pendant le dernier temps de gouttelette afférent au caractère précédent.

    [0154] Le compteur 79 comprend une porte 110 (voir Figure 12) dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. Cette porte peut, par exemple, être du type commercialisé par Texas Instruments sous la référence SN7451 (J).

    [0155] La porte 110 reçoit respectivement sur ses broches 2 et 3 un signal GCMH10 émanant de la bascule 100 (Figure 11) du compteur GCMH 83 et le signal DCM10 émanant de la broche 6 (sortie Q) de la bascule 106. Lorsque ces deux signaux sont au niveau haut, la porte 110 présente un signal BTT10≠ de niveau bas sur sa broche 6.

    [0156] De même, la bascule 110 reçoit respectivement sur ses broches 4 et 5 un signal GCMH10 émanant de la bascule 100 et le signal DCMI0 émanant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 106. Lorsque ces signaux sont tous deux au niveau haut, le signal BIT10≠ obtenu sur la broche 106 de la porte 110 est au niveau bas. L'équation logique (33) est donc satisfaite.

    [0157] La porte 110 reçoit respectivement sur ses broches 1 et 13 un signal GCML1, émanant de l'une des bascules, correspondant à la bascule 92 de la Figure 13, du compteur GCML 82, et un signal DCM, émanant de l'une des bascules, qui correspond à la bascule 106 de la Figure 11, du compteur DCM 86. Lorsque ces deux signaux sont au niveau haut, un signal BIT1≠ de niveau bas est présent sur la broche 8 de la porte 110.

    [0158] De même, la porte 110 reçoit respectivement sur ses broches 10 et 9 un signal GCML1, provenant d'une bascule correspondant à la bascule 92 d'un signal DCM1 provenant d'une bascule correspondant à la bacule 106. Lorsque ces deux signaux sont au niveau haut, le signal BIT1≠ présent sur la broche 8 de la porte 110 est au niveau bas. Ces signaux satisfont également l'équation logique (33).

    [0159] La porte 80 représentée sur la Figure 10 reçoit respectivement sur se broches 1 à 7 et 10 à 12 les signaux BIT1≠ à BIT7≠ et BIT8≠ à BIT10≠. Lorsque tous ces signaux sont au niveau haut, la porte 80 présente sur sa broche 9 un signal GCM=DCM de niveau bas. De ce fait, un signal GCM=DCM de niveau haut est obtenu sur la broche 6 de l'inverseur 81, ce qui permet de satisfaire l'équation logique (32).

    [0160] Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, le registre de tensions 64 de la Figure 2 reçoit les dix premiers bits provenant de la mémoire FROS 51. On peut écrire les équations logiques ci-après relativement à ce registre:





    [0161] Dans les équations logiques ci-dessus relatives au registre 64, n=1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 ou 10.

    [0162] Le registre 64 comporte dix bascules (l'une d'elles est représentée en 111 sur la Figure 17 pour n=l). La bascule 111 est du même type que la bascule 58 de la Figure 5, et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0163] La bascule 111 reçoit sur chacune de ses broches 3 et 10 le signal RLS=0 provenant de la broche 12 de l'inverseur 69 (Figure 7) que comporte le compteur de longueur de plage 62. Par ailleurs, la bascule 111 reçoit respectivement sur ses broches 5 et 12 (entrée CK) un signal FROS provenant de la mémoire FROS 51 (Figure 2) et le signal d'horloge T5.

    [0164] Lorsque les signaux RLS=0 et FROS1 sont tous deux au niveau haut, la bascule 111 fournit sur sa broche 8 (sortie Q) un signal V1 de niveau haut lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T5, satisfaisant ainsi l'équation logique (34) pour n=1.

    [0165] La bascule 111 reçoit de la mémoire FROS 51 un signal FROS1 qui est appliqué à sa broche 9. De ce fait, si les signaux RLS=0 et FROS1 sont tous deux au niveau haut, la bascule 111 fournit un signal V1 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q) lorsque le signal d'horloge T5 passe au niveau bas. Cela satisfait l'équation logique (35) pour n=1.

    [0166] En conséquence, lorsque le compteur RLM 65 de la Figure 2 que comporte le compteur de longueur de course 62 est à une valeur nulle, l'état de chacun des bits contenus dans le registre de tensions 64 est appliqué à un convertisseur numérique/analogique 112, qui convertit le signal numérique reçu du registre 64 en une tension analogique appliquée à un circuit d'excitation d'électrode de charge 113, lequel amplifie la tension analogique reçue du convertisseur.

    [0167] Les équations logiques relatives à une porte dite de tension d'électrode de charge 115, qui détermine l'instant où la tension est appliquée au convertisseur 112, sont les sui-





    [0168] La porte 115 détermine si c'est le registre dit de tensions 64 ou une mémoire morte dite de compensation d'induction (GIROS) 116 qui doit fournir au convertisseur 112 le signal numérique représentant la tension qui doit être appliquée à l'électrode de charge 24. Cette électrode doit en effet recevoir une tension permettant de compenser les charges induites dans les gouttelettes d'encre 23 qui ne servent pas aux fins de l'impression par les gouttelettes chargées qui les précède.

    [0169] Seules les tensions induites par les deux gouttelettes chargées qui précèdent une gouttelette inutilisée aux fins de l'impression sont employées pour compenser l'induction. Toutefois, le nombre de gouttelettes précédentes pourrait éventuellement être supérieur à 2, auquel cas des circuits supplémentaires seraient nécessaires.

    [0170] On a représenté sur la Figure 18 un exemple de réalisation de la porte 115 qui fait appel à l'emploi de divers éléments logiques fabriqués par la firme Texas Instruments. Il est sous-entendu que la porte 115 doit comporter des éléments analogues à ceux représentés sur la Figure 18 pour chacun des neuf bits restants, c'est-à-dire du second au dixième bit, de la même façon que celles représentées dans le cas où n=1 sur la Figure 18.

    [0171] La porte 115 comprend des portes 117, 118 et 118', un inverseur 119 et une porte 120. Les portes 117 et 118 sont toutes deux du même type que la porte 76 (voir Figure 7) utilisée dans le compteur RLM 65 que comporte le compteur de longueur de course 62 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut. La porte 117 reçoit respectivement sur ses broches 1, 2, 4 et 5 les signaux TO, Tl, T2 et T3, qui sont les inverses des signaux d'horloge T0, Tl, T2 et T3. Chaque fois que l'un quelconque des signaux T0, Tl, T2 et T3 est au niveau bas, indiquant ainsi que le signal d'horloge inverse corres-pondant est au niveau haut (le signal TO, par exemple, étant au niveau bas lorsque le signal TO est au niveau haut), la porte 117 de la Figure 18 présente un signal de niveau haut sur sa broche 6. Ce signal est appliqué aux broches 1 et 13 de la porte 118 et à la broche 2 de la porte 118', qui est du même type que la porte 56 de la Figure 5.

    [0172] Le signal V1 obtenu sur la broche 8 (sortie Q) de la bascule 111 (Figure 17) du registre 64 est appliqué à la broche 5 de la porte 118. Cette dernière reçoit sur sa broche 2 le signal RLM=0 provenant de la broche 10 de l'inverseur 79 (voir Figure 7) du compteur RLM 65 que comporte le compteur 62. La porte 118 de la Figure 18 reçoit sur sa broche 4 un signal V≠1 émanant de la broche 9 de la porte 120, qui est du même type que la porte 59 (Figure 5) du compteur PCM 53 que comporte le compteur 52 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0173] Lorsque tous les signaux appliqués aux broches 1, 2, 4 et 5 de la porte 118 de la Figure 18 sont au niveau haut, cette porte présente sur sa broche 6 un signal de niveau bas qui est appliqué à la broche 10 de la porte 118'. De ce fait, lorsqu'un signal de niveau bas est présent sur la broche 10 de la porte 118', cette dernière présente sur sa broche 8 un signal CEV1 de niveau haut. Cela satisfait la première partie de l'équation logique (36).

    [0174] La porte 118 reçoit sur sa broche 9 un signal GI1 d'un registre 121 dit de compensation d'induction (voir Figure 2). La porte 118 reçoit sur sa broche 12 le signal RLM=0 provenant de la broche 10 de l'inverseur 69 (voir Figure 7) du compteur RLM 65 que comporte le compteur 62, et, sur sa broche 10, un signal V=1 émanant de la broche 8 de l'in- verseur 79, lequel reçoit sur sa broche 9 le signal V≠1 provenant de la broche 9 de la porte 120.

    [0175] Lorsque les signaux appliqués aux broches 9, 10, 12 et 13 de la porte 118 sont tous au niveau haut, la porte 118 présente un signal de niveau bas sur sa broche 8, laquelle est connectée à la broche 9 de la porte 118'. Lorsqu'un signal de niveau bas est présent sur la broche 9 de cette dernière porte, elle présente sur sa broche 8 un signal CEV1 de niveau haut. Cela satisfait la troisième partie de l'équation logique (36).

    [0176] La porte 118' reçoit sur sa broche 13 un signal GI1 provenant du registre 121 de la Figure 2. La porte 118' reçoit sur sa broche 1 le signal RLM#O provenant de la broche 8 de la porte 75 (voir Figure 7) du compteur RLM que comporte le compteur 62.

    [0177] Lorsque tous les signaux appliqués aux broches 1, 2 et 13 de la porte 118' sont au nivau haut, cette porte fournit sur sa broche 11 un signal de niveau bas et présente de ce fait sur sa broche 8 un signal CEV1 de niveau haut. Cela satisfait la seconde partie de l'équation logique (36).

    [0178] La porte 120 de la Figure 18 reçoit respectivement sur ses broches 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 10, 11 et 12 les signaux V1, V2, V3, V4, V5, V6, V71 V8, V9 et V10. Le signal V1 est obtenu sur la broche 8 (sortie Q) de la bascule 111 (Figure 17) du registre 64 cependant que les tensions V2 à V10 sont les inverses des signaux relatifs aux bits 2 à 10 qui sont emmagasinés dans le registre 64 et sont obtenus à la sortie Q des bascules correspondant à la bascule 111. Lorsque tous les signaux d'entrée appliqués aux broches 1 à 7 et 10 à 12 de la porte 120 sont au niveau haut, cette porte présente sur sa broche 9 un signal V≠1 de niveau bas qui est appliqué à la broche 9 de l'inverseur 119 et converti en un signal V=1 de niveau haut qui est disponible sur la broche 8 de ce dernier. Cela satisfait l'équation logique (37).

    [0179] On notera que le signal V=1 n'est au niveau haut que lorsque la valeur binaire du registre 64 des Figures 2 et 17 est égale à 1, ce qui signifie que tous les bits sauf le premier sont au niveau bas. Le signal V=1 est utilisé dans la bascule EOC 55 de la Figure 9 pour faire passer le signal EOC au niveau haut. Les équations logiques ci-après sont utilisées relativement à la bascule 55:





    [0180] La bascule 55 comprend une porte 123 (voir Figure 9), qui est du même type que la porte 79B (voir Figure 10) de la bascule SYNC 77 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, ainsi qu'un inverseur 124 (voir Figure 9), qui est du même type que l'inverseur 57' de la Figure 5. La porte 123 reçoit respectivement sur ses broches 2, 3 et 1 le signal V=1 provenant de la broche 8 de l'inverseur 119, le signal RLM=0 provenant de la broche 10 de l'inverseur 69, et le signal d'horloge T7.

    [0181] Lorsque tous les signaux appliqués aux broches 1, 2 et 3 de la porte 123 sont au niveau haut, le signal EOC présent sur la broche 8 de cette porte passe au niveau bas. Le signal EOC est appliqué à la broche 1 de l'inverseur 124, où il est inversé, un signal EOC de niveau haut étant obtenu lorsque le signal d'horloge T7, le signal V=1 et le signal RLM=0 sont tous trois au niveau haut.

    [0182] Ce signal EOC de niveau haut indique que le caractère suivant peut commencer au temps de gouttelette suivant si un signal GP de niveau haut émanant du réseau 15 de la Figure 1 commence à apparaître pendant ce temps de gouttelette. Ce signal EOC de niveau haut est utilisé, ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, aux fins du transfert de données de la mémoire PROS 50 (Figure 2) au pointeur 52 et de la mise à zéro du compteur de points 79.

    [0183] La porte 123 de la Figure 9 reçoit respectivement sur ses broches 12 et 13 le signal EOC, provenant de la broche 2 de l'inverseur 124, et un signal d'horloge T4, qui est l'inverse du signal d'horloge T4. De ce fait, lorsque le signal EOC passe au niveau bas lors de l'apparition du signal d'horloge T7, les signaux appliqués aux broches 12 et 13 sont au niveau haut de façon à maintenir le signal-EOC à son niveau haut après le passage au niveau bas du signal d'horloge T7.

    [0184] Lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T4 associé au temps de gouttelette suivant après le passage au niveau haut du signal EOC, le signal T4 présent sur la broche 13 de la porte 123 passe au niveau bas afin de provoquer le passage au niveau haut du signal EOC et le passage au niveau bas du signal EOC. La bascule 55 reste dans cet état jusqu'au passage suivant au niveau haut des signaux appliqués aux bornes 1, 2 et 3 de la porte 123. La bascule 55 satisfait donc les équations logiques (38) et (39) .

    [0185] Les sept bits de poids le plus élevé obtenus à la sortie de la porte 115 (Figure 2) sont également transmis à un registre d'induction dit du premier ordre (FOI) 125, les trois bits de poids le plus élevé de ce groupe de sept bits étant transmis à un registre d'induction dit du second ordre (SOI) 126, qui comprend un registre maître (SOIM) 127 et un registre esclave (SOIS) 128.

    [0186] Le registre FOI 125 comprend sept bascules, dont l'une a été représentée en 129 sur la Figure 20 dans le cas où n=2. La bascule 129, qui est du même type que la bascule 128 (voir Figure 5) du compteur PCM 53 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, satisfait les deux équations logiques suivantes dans lesquelles n= 1, 2, 3, 4, 5, 6 ou 7:





    [0187] La bascule 129 reçoit sur sa broche 3 le signal CEVS provenant de la porte 115. Lorsque le signal d'horloge T2, qui est appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 129, passe au niveau bas et que le signal CEV5 est au niveau haut, la bascule 129 reçoit sur sa broche 8 (sortie Q) un signal FOI2 de niveau haut. Cela satisfait l'équation logique (40), le second bit contenu dans le registre 125 étant le cinquième des dix bits reçus de la porte 115. Cela est dû au fait que le registre 125 emmagasine les signaux numériques correspondant aux sept bits de poids le plus élevé des dix bits reçus du registre 64.

    [0188] Si le signal CEV5, qui est appliqué à la broche 10 de la bascule 129 depuis la porte 115, est au niveau haut, la bascule 129 fournit sur sa broche 6 (sortie Q) un signal FOI2 de niveau haut. Cela satisfait l'équation logique (41) .

    [0189] Le registre SOIM 127 (Figure 2) reçoit les trois bits de poids le plus élevé obtenus à la sortie de la porte 115 cependant que les sept bits de poids le plus élevé restants sont appliqués au registre FOI 125. Les deux équations logiques ci-après sont donc applicables au registre SOIM 127 dans le cas où n=1, 2 ou 3:





    [0190] On a représenté sur la Figure 21 une bascule 130 faisant partie du registre SOIM 127, dans le cas où n=2 (cas correspondant à celui de la bascule 129 de la Figure 20). La bascule 130, qui est du même type que la bascule 58 (Figure 4) du compteur PCM 53 que comporte le pointeur 52 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, reçoit sur sa broche 3 le signal CEV9 émanant de la porte 115. Lorsque ce dernier signal est au niveau haut et que le signal d'horloge T2 appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 130 passe au niveau bas, la bascule 130 fournit un signal SOIM2 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q). Cela satisfait l'équation logique (42) pour n=2.

    [0191] La bascule 130 reçoit sur sa broche 10 le signal CEVq depuis la porte 115. Lorsque ce signal est au niveau haut et que le signal d'horloge T2 passe au niveau bas, la bascule 130 fournit un signal SOIM2 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). Cela satisfait l'équation logique (43) pour n=2.

    [0192] Il est sous-entendu que le registre SOIM 127 contient deux autres bascules, qui sont identiques à la bascule 130. Ces bascules correspondent aux cas où n=1 et n=3.

    [0193] Les trois bits contenus dans le registre SOIM 127 sont transférés au registre SOIS 128 (Figure 2) lors de l'apparition du signal d'horloge T6. Cela se produit après que la mémoire 116 a été adressée au moyen des sept bits contenus dans le registre FOI 125 et des trois bits contenus dans le registre SOIS 128. Ainsi,le transfert des trois bits contenus dans le registre 128 est effectué un cycle avant celui des bits du registre 125 étant donné que le transfert des bits du registre 127 au registre 128 a lieu lors de l'apparition du signal d'horloge T6 étant donné que le transfert de la sortie de la mémoire 116 au registre 121 coïncide avec le signal d'horloge T4.

    [0194] Le registre SOIS 128 comporte trois bascules, l'une desquelles est représentée en 131 sur la Figure 22 pour n=2. La bascule 131 est du même type que la bascule 58 (voir Figure 5) du compteur PCM 53 que comporte le pointeur 52 et toutes ses entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut.

    [0195] Les deux équations logiques ci-après sont applicables au registre SOIS 128 de la Figure 2 pour n=1, 2 ou 3:





    [0196] La bascule 131 reçoit sur sa broche 3 le signal SOIM2 provenant de la broche 8 (sortie Q) de la bascule 130 (Figure 21) du registre SOIM 127, et sur sa broche 12 le signal d'horloge T6. De ce fait, lorsque le signal SOIM2 est au niveau haut et que le signal d'horloge T6 passe au niveau bas, la bascule 131 présente un signal SOIS2 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q). Cela satisfait l'équation logique (44) pour n=2.

    [0197] La bascule 131 reçoit par ailleurs sur sa broche 10 le signal SOIM2 provenant de la broche 6 (sortie Q) de la bascule 130 (Figure 19) que comporte le registre SOIM 127. En conséquence, lorsque le signal SOIM2 est au niveau haut et que le signal d'horloge T6 passe au niveau bas, la bascule 131 reçoit un signal SOIS2 de niveau haut sur sa broche 6 (sortie Q). Cela satisfait l'équation logique (45) .

    [0198] Chacune des trois bascules (y compris la bascule 131) du registre SOIS 128 contient donc le même bit que la bascule correspondante du registre SOIM 127. Cependant, le transfert des bits du registre 127 au registre 128 est retardé, si bien qu'ils sont appliqués à la mémoire 116 un cycle plus tard que les bits du registre FOI 125, les deux parties de l'adresse de la mémoire 116 constituées par le contenu du registre 128 et par celui du registre 125 concernant respectivement la compensation de la tension induite dans une gouttelette donnée (qui n'a reçu aucune charge) par la seconde et par la première gouttelettes chargées qui la précèdent.

    [0199] Le registre 121 comporte huit bascules (l'une desquelles est représentée en 132 sur la Figure 19 pour n=2), chaque bascule correspondant à un bit différent dans le cas où n varie de 1 à 8. Ainsi, la sortie à huit bits de la mémoire 116 de la Figure 2 est transférée au registre 121 lorsque le signal d'horloge T4 passe au niveau bas. Si la valeur du compteur RLM 65 (Figure 6) du compteur de longueur de plage 62 n'est pas nulle, le signal RLMiO étant au niveau haut, la porte 115 de la Figure 2 transmet les huit bits du registre 121 au convertisseur 112.

    [0200] La bascule 132, qui est du même type que la bascule 58 de la Figure 4 faisant partie du compteur PCM 53 que comporte le pointeur 52 et dont toutes les entrées logiques inutilisées sont maintenues à un niveau logique haut, reçoit sur sa broche 3 le signal GIROS2 fourni par la mémoire 116. Lorsque le signal d'horloge T4, qui est appliqué à la broche 12 (entrée CK) de la bascule 132, passe au niveau bas, le signal GIROS2 étant au niveau haut, la bascule 132 présente un signal GI2 de niveau haut sur sa broche 8 (sortie Q).

    [0201] La bascule 132 reçoit un signal GIROS2, qui est l'inverse du signal GIROS2, sur sa broche 10. Si le signal GIROS2 est au niveau haut, un signal GI2 de niveau haut est obtenu sur la broche 6 (sortie Q) de la bascule 132 lorsque le signal d'horloge T4 passe au niveau bas. Cela se produit immédiatement après l'application au convertisseur 112 du signal de tension précédent par l'intermédiaire de la porte 115 étant donné que ce dernier signal est appliqué pendant l'intervalle de temps qui s'écoule entre le passage au niveau haut du signal d'horloge TO et le passage au niveau bas du signal d'horloge T3. Cet intervalle de temps est celui pendant lequel la tension est appliquée à l'électrode de charge 24, la formation des gouttelettes 23 se produisant approximativement lors du passage au niveau bas du signal d'horloge Tl, comme le montre la Figure 3. En utilisant les signaux d'horloge T2 et T3 après la formation des gouttelettes pour permettre à l'électrode de charge 24 (Figure 2) de continuer à recevoir la tension requise, on , garantit l'application d'une charge a une gouttelette 23 même si la formation de cette dernière a lieu après le passage au niveau bas du signal d'horloge Tl.

    [0202] Les signaux d'horloge sont synchronisés avec la formation des gouttelettes 23 de telle sorte que celle-ci se produise aussi précisément que possible entre le passage au niveau haut des signaux d'horloge Tl et T2. Une technique qui permet d'obtenir ce résultat est décrite dans le brevet des E.U.A. No. 4 150 384.

    [0203] La bascule 132 satisfait les deux équations logiques suivantes pour n=2:





    [0204] Il est sous-entendu que des bascules analogues doivent être employées pour n=1, 3, 4, 5, 6, 7 et 8 afin de satisfaire les deux équations logiques (46) et (47).

    [0205] En ce qui concerne le fonctionnement de l'appareil de la présente invention, l'impression d'un caractère nécessite le transfert à la mémoire PROS 50 (Figure 2) d'un code de caractère à huit bits constituant une adresse et identifiant le caractère à imprimer. On obtient alors à la sortie de la mémoire 50 un mot de seize bits définissant la position de la mémoire FROS 51 où commencent les données servant à l'impression de ce caractère.

    [0206] Le mot de seize bits provenant de la mémoire 50 est transféré au compteur PCM 53 du pointeur 52 pendant le dernier temps de gouttelette du caractère précédent, comme le montre la Figure 3. Cela se produit lorsque le signal d'horloge T2 passe au niveau bas, que le signal EOC provenant de la bascule EOC 55 (Figures 2 et 9) est au niveau haut, et que le signal GD provenant de la bascule GD 55' (voir Figures 2 et 16) est au niveau haut.

    [0207] Cela se produirait, même s'il n'existait aucun caractère précédent, pendant un temps de gouttelette correspondant immédiatement avant le premier temps de gouttelette du caractère à imprimer. Il faudrait pour cela que la bascule 55 provoque le passage au niveau haut du signal EOC appliqué à la broche 2 de l'inverseur 124 pendant que le signal d'horloge T7 est au niveau haut durant un temps de gouttelette correspondant à celui qui précède le dernier temps de gouttelette du caractère précédent.

    [0208] Dans un cas comme dans l'autre, le mot de seize bits provenant de la mémoire 50 est transféré au compteur PCM 53 pendant le temps de gouttelette qui précède le premier temps de gouttelette du caractère à imprimer. Ce mot est transféré au compteur PCS 54 du pointeur 52 lors de l'apparition du signal d'horloge T5 afférent au dernier temps de gouttelette du caractère précédent.

    [0209] Le mot de seize bits contenu dans le compteur 53 est directement transféré à une adresse de la mémoire FROS 51. Cette adresse identifie la partie de la mémoire 51 depuis laquelle on obtiendra le mot de seize bits.

    [0210] Dix des seize bits de ce mot définissent une tension et sont transférés au registre de tensions 64 lors de l'apparition du signal d'horloge T5 afférent au même temps de gouttelette que celui pendant lequel le mot de seize bits est transféré au compteur PCM. Dans le même temps, les six bits restants du mot, qui définissent une longueur de plage, sont transférés au compteur RLM 65 du compteur de longueur de plage 62. La valeur de ce dernier spécifie le nombre de temps de gouttelettes inutilisées aux fins de l'impression qui doit s'écouler avant l'impression d'une gouttelette 23. Cette valeur peut varier de zéro à soixante-trois et représente la distance séparant la gouttelette 23 à imprimer de la gouttelette 23 imprimée ou d'une marge, si elle est la première des gouttelettes à imprimer. Il est sous-entendu que l'une des gouttelette 23 peut n'être pas imprimée chaque fois que le compteur 62 est mis à la valeur soixante-trois, par exemple lorsque le caractère considéré est un point.

    [0211] Il est également sous-entendu qu'aucune des gouttelettes 23 ne peut être imprimée pendant l'intervalle de temps durant lequel un caractère doit être imprimé. Cela correspondrait, par exemple, à un espace vide entre caractères. A cette fin, on met le compteur PCM 53 à une valeur telle que le registre 64 et le compteur RLM 65 soient respectivement mis à une valeur de un et à une valeur de zéro par la mémoire FROS 51, et ce, de façon permanente.

    [0212] Le compteur de points 79 compte directement les gouttelettes 23, sauf quand il est nécessaire d'interrompre cette opération pour permettre au compteur de réseau 78 d'atteindre la même valeur que le compteur 79. Cela ne se produit que lorsque quatre gouttelettes 23 consécutives ou davantage ne doivent pas être utilisées aux fins de l'impression.

    [0213] Le compteur 79 est mis à zéro pendant la présence du signal d'horloge T2 durant le dernier temps de gouttelette afférent au caractère précédent. Il faut pour cela que le signal EOC et le signal d'horloge T2 soient tous deux au niveau haut. Les compteurs GCML 82 et GCMH 83 que comporte le compteur 78 sont également mis à zéro à cet instant.

    [0214] Le compteur 78 compte de zéro à trente-et-un, ce qui correspond, si l'on tient compte de sa remise à zéro, au minimum de trente-deux temps de gouttelette entre les impulsions afférentes au réseau, puisque le réseau 15 (Figure 1) fournit 240 impulsions par pouce de 2,54 centimètres, (soit 94,488 lignes par centimètre) et qu'il existe un total d'au moins 7680 temps de gouttelette par pouce linéaire (soit 3023,622 temps de gouttelette par centimètre linéaire) de déplacement du chariot 12.

    [0215] Le compteur 78 compte à la même fréquence que celle à laquelle les gouttelettes 23 sont engendrées. Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, la vitesse à laquelle se déplace le chariot 12 (Figure 1) est telle qu'il ne couvre pas la distance séparant les impulsions engendrées par le réseau 15 en trente-deux temps de gouttelette. Il est donc nécessaire que le compteur 78 cesse de compter jusqu'à l'apparition du signal GD de niveau haut suivant fourni par la bascule GD 55'. Cependant, le compteur de points 79 continue son comptage progressif.

    [0216] Le compteur 79 cesse de compter lorsqu'il atteint une valeur supérieure à celle du compteur de réseau 78 et que la valeur atteinte par le compteur RLM 65 que comporte le compteur de longueur de plage 62 est supérieure à trois (le signal RLM>3 est au niveau haut) pour indiquer qu'il existe quatre gouttelettes 23 consécutives ou davantage qui ne doivent pas être utilisées aux fins de l'impression. Lorsque cela se produit, un signal SYNC de niveau haut apparaît sur la broche 4 de l'inverseur 79C (voir Figure 9) de la bascule 77 pour interrompre le fonctionnement du compteur 79 (Figure 2) et du compteur 62. Cela a pour effet de synchroniser la position du chariot 12 (Figure 1) et celle où les gouttelettes 23 utilisées aux fins de l'impression doivent frapper la feuille de papier ou autre support 14.

    [0217] Dès que la valeur du compteur 78 est égale à celle du compteur 79, la bascule 77 (Figure 10) change d'état lorsque le signal d'horloge T7 passe au niveau haut, si bien que le signal SYNC passe au niveau haut et que le signal SYNC passe au niveau bas. Cela permet aux compteurs 79 et 62 de recommencer à compter.

    [0218] La mise hors fonction et en fonction du compteur 79 sont illustrées sur la Figure 4. Comme le montre cette figure, la valeur atteinte par le compteur RLM 65 pendant la première partie du temps de gouttelette est égale à x+1 > 4, où x est au moins égal à quatre. La valeur atteinte par le compteur GCML 82 pendant le temps de gouttelette précédent le premier temps de gouttelette est égale à trente-et-un. La valeur atteinte par le compteur GCMH 83 pendant le même intervalle de temps est de 32m, où m représente le nombre de fois où le compteur 82 a compté trente-deux temps de gouttelette après la mise à zéro du compteur 83.

    [0219] La valeur du compteur DCM 86 est égale à la somme des valeurs des compteurs 82 et 83 pendant le temps de gouttelette précédant le premier temps de gouttelette, soit 32m + 31. C'est ce que montre la Figure 4, sur laquelle le signal GCM=DCM est au niveau haut pendant le temps de gouttelette qui précède le premier temps de gouttelette.

    [0220] Pendant le premier temps de gouttelette représenté sur la Figure 4, aucune modification de la valeur du compteur 82 ou 83 ne se produit. Cela est dû au fait que le compteur 82 ne peut passer de la valeur trente-et-un à zéro avant le passage au niveau haut du signal GD engendré par la bascule 55' lors du passage au niveau haut de l'un des signaux d'horloge T2. La valeur du compteur 83 ne peut être modifiée que lorsque celle du compteur 82 passe de trente-et-un à zéro.

    [0221] Pendant le premier temps de gouttelette représenté sur la Figure 4, la valeur du compteur DCM 86 augmente d'une unité et devient égale à 32m + 32, cependant que la valeur du compteur RLM 65 devient égale à x lors de l'apparition du signal d'horloge T5. Au début du second temps de gouttelette signalé par l'apparition du signal d'horloge TO, le signal SYNC passe au niveau haut parce que le signal GCM=DCM est au niveau bas et que la valeur du compteur RLM 65 est supérieur à trois puisque x est égal à au moins quatre.

    [0222] Pendant le second temps de gouttelette, la valeur du compteur DCM 86 ne peut pas augmenter puisque le signal SYNC est au niveau haut. De ce fait, pendant ce second temps de gouttelette, aucun des compteurs 82, 83 et 86 ne peut compter. Par ailleurs, la valeur du compteur RLM 65 ne diminue pas en raison du fait que le signal SYNC est passé au niveau haut lors de l'apparition du signal d'horloge TO indiquant le début du second temps de gouttelette.

    [0223] Sur la Figure 4, on a supposé que le réseau 15 (Figure 1) engendrait un signal GP de niveau haut pendant le second temps de gouttelette et que cela se produisait avant l'apparition du signal d'horloge T7. Le signal GD passe donc au niveau haut à l'instant d'horloge T7 pendant le second temps de gouttelette.

    [0224] De ce fait, pendant le troisième temps de gouttelette, la valeur du compteur GCML 82 passe de trente-et-un à zéro lors de l'apparition du signal d'horloge T2 parce que le signal GD fourni par la bascule 55' est au niveau haut. Cela a également pour effet d'augmenter d'une unité la valeur du compteur GCMH 83 puisque le compteur 82 a compté trente-deux fois. Il est sous-entendu que la valeur du compteur 83 a augmenté lors du passage au niveau bas du signal d'horloge Tl conformément à l'équation logique (22) et à la seconde partie de l'équation logique (23) cependant que la valeur du compteur 82 a changé lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T2.

    [0225] Cependant, le signal SYNC étant toujours au niveau haut lors de l'apparition du signal d'horloge T2 pendant le troisième temps de gouttelette, le compteur DCM 86 continue à ne pas compter. La valeur du compteur 86 reste donc telle qu'elle était pendant le second temps de gouttelette.

    [0226] En conséquence, le signal GCM=DCM passe de nouveau au niveau haut lors de l'apparition du signal d'horloge T2 pendant le troisième temps de gouttelette. De ce fait, le signal SYNC fourni par la bascule 77 passe au niveau bas lors de l'apparition du signal d'horloge T7 pendant ce troisième temps de gouttelette. Le signal GD émanant de la bascule 55' est passé au niveau bas lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T5.

    [0227] De ce fait, étant donné que c'est le signal SYNC et non le signal SYNC qui est de nouveau au niveau haut, la valeur du compteur DCM 86 peut de nouveau augmenter d'une unité pendant le quatrième temps de gouttelette représenté sur la Figure 4. Etant donné que la valeur du compteur RLM 65 change lors du passage au niveau haut du signal d'horloge T5, sa valeur reste la même pendant les second et troisième temps de gouttelette parce que le signal SYNC est toujours au niveau haut pendant l'intervalle de temps durant lequel le signal d'horloge T5 est au niveau haut.

    [0228] La valeur du compteur RLM 65 ne change donc pas jusqu'à ce que le signal d'horloge T5 passe au niveau haut au cours du quatrième temps de gouttelette. Pendant ce dernier temps, la valeur de chacun des compteurs 82 et 86 augmente d'une unité.

    [0229] Le compteur DCM 86 que comporte le compteur de points 79 n'est mis à zéro que lors de l'apparition du signal d'horloge Tl, le signal EOC étant au niveau haut. Le compteur DCS 87 que comporte également le compteur 79 est mis à zéro lors de l'apparition du signal d'horloge T5 pendant le même temps de gouttelette, qui est le dernier temps de gouttelette du caractère précédent.

    [0230] La valeur zéro du compteur GCML 82 est transférée au compteur GCSL 84 à l'instant où le signal d'horloge T5 passe au niveau bas. De même, la valeur zéro du compteur GCMH 83 est transférée au compteur GCSH 85 lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T5 faisant partie du dernier temps de gouttelette afférent au caractère précédent.

    [0231] Les gouttelettes 23 sont comptées par les compteurs 79 et 78 au fur et à mesure qu'elles sont engendrées. Cependant, le compteur 78 s'arrête après avoir compté trente-et-une gouttelettes et ne recommence à compter que lors du passage au niveau haut d'un autre signal GD engendré par la bascule 55'.

    [0232] La valeur du compteur RLM 65 que comporte le compteur de longueur de plage 62 est transférée au compteur RLS 66 lors de l'apparition du signal d'horloge Tl pendant le premier temps de gouttelette du caractère à imprimer. Le compteur RLS 66 provoque un comptage dégressif du compteur RLM 65 lors de l'apparition du signal d'horloge T5 pendant le premier temps de gouttelette afférent au caractère à imprimer.

    [0233] Lorsque le compteur RLM 65 atteint la valeur zéro lors de l'apparition de l'un des signaux d'horloge T5, les dix bits contenus dans le registre 64 et représentant une tension sont transférés lors de l'apparition des sicriaux d'horloge T0, Tl, T2 et T3 pendant le temps de gouttelette suivant étant donné que le signal RLM=0 passe au niveau haut lors du signal d'horloge T5. Ainsi, lorsque le signal RLM=0 passe au niveau haut, le transfert de ces dix bits du registre 64 à la porte 115 provoque l'application à l'électrode de charge 24 de la tension désirée qui permet d'impartir à la gouttelette 23 la charge requise. Cela provoque une déviation verticale de la gouttelette 23 utilisée aux fins de l'impression, de telle sorte que celle-ci frappe la feuille de papier ou autre support 14 (voir Figure 1) à l'emplacement prédéterminé requis, cette déviation étant définie relativement à la trajectoire des gouttelettes qui ne sont pas utilisées aux fins de l'impression et qui sont interceptées par la gouttière. Par ailleurs, on notera que la valeur du compteur 65 ne peut passer de zéro à une autre valeur sans qu'un signal externe soit appliqué.

    [0234] Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, l'une des gouttelettes 23 peut n'être pas imprimée chaque fois que le compteur de longueur de plage 62 est mis à la valeur 63. En conséquence, lorsque l'une des gouttelettes 23 ne doit pas être imprimée après le comptage dégressif du compteur 62 jusqu'à la valeur zéro, le registre de tensions 64 est à la valeur V=2. Cette valeur est trop faible pour que la gouttelette 23 puisse éviter d'être interceptée par la gouttière 27.

    [0235] A l'expiration du signal d'horloge Tl, une fois que le . compteur RLM 65 faisant l'objet d'un comptage dégressif a atteint la valeur zéro, le compteur RLs 66 est mis à zéro. Ce signal d'horloge Tl est au niveau haut pendant l'intervalle de temps durant lequel le contenu du registre de tensions 64 est transfère à l'électrode de charge 24.

    [0236] Lorsque le compteur RLS 66 est à la valeur zéro, le signal RLS=0 est au niveau haut. Ce signal est utilisé pour provoquer une augmentation d'une unité, depuis le compteur PCS 54, du compteur PCM 53 que comporte le pointeur 52. De ce fait, lorsque l'électrode de charge 24 reçoit une tension correspondant à la sortie du registre 64, on accède à la ligne supérieure suivante de la mémoire FROS 51.

    [0237] De ce fait, lors de l'apparition du signal d'horloge T5 afférente au cycle pendant lequel l'électrode de charge 24 reçoit une tension, le registre 64 et le compteur de longueur de plage 62 reçoivent tous deux de nouvelles informations de la mémoire FROS 51.

    [0238] Les sept bits de poids le plus élevé des dix bits transmis au convertisseur 112 et représentant la tension destinée à l'électrode de charge 24 sont appliqués au registre FOI 125, cependant que les trois bits de poids le plus élevé des dix bits sont transférés au registre SOIM 127. Cela se produit pendant la présence du signal d'horloge T2.

    [0239] Le contenu du registre 125 et celui du registre 128 sont utilisés pour accéder à la mémoire 116. Cependant, les données provenant du registre 128 résultent du signal de tension précédent appliqué au convertisseur 112 par l'intermédiaire de la porte 115. Ce signal pourrait provenir du registre 121 au lieu du registre 64 à moins que deux des gouttelettes 23 ne frappent consécutivement le support d'impression.

    [0240] Dans un cas comme dans l'autre, la mémoire 116 fournit, lors de l'apparition du signal T4, une sortie à huit bits au registre 121. Cela se produit immédiatement après que la tension a cessé d'être appliquée à.l'électrode de charge 24 puisque l'application de cette tension est interrompue lors du passage au niveau bas du signal d'horloge T3. En conséquence, huit bits représentant la tension destinée à compenser la charge induite par les deux dernières gouttelettes 23 peuvent être appliqués au convertisseur DAC 112 si ce dernier ne doit pas recevoir les dix bits émanant du registre 64.

    [0241] Le registre FOI 125 ne reçoit que les cinq bits de poids le plus élevé du mot de huit bits émanant du registre 121 puisqu'on ne dispose pas de dix bits. Ainsi, ces deux derniers bits (les deux bits de poids le plus élevé provenant du registre 64) apparaissent sous la forme de zéros dans le convertisseur 112 et dans le registre FOI 125.

    [0242] Etant donné qu'aucune information relative à la tension n'est requise de la mémoire FROS 51 dans le cas des gouttelettes 23 qui ne sont pas utilisées aux fins de l'impression et qui sont par conséquent dirigées vers la gouttière 27 (Figure 1), 20% environ des configurations de bits du registre 64 représentant les valeurs des tensions les moins élevées qui sont appliquées à l'electrode 24, ne sont pas utilisées. L'une des configurations de bits constituant ce pourcentage pourrait donc servir à commander l'instant du passage au niveau haut du signal EOC fourni par la bascule 55.

    [0243] De ce fait, lorsque l'impression du caractère doit prendre fin, la valeur du registre 64 est égale à un, si bien que V=1. Lorsque le registre 64 atteint cette valeur et que le compteur RLM 65 que comporte le compteur de longueur de plage 62 atteint la valeur zéro, le signal d'horloge T7 passant au niveau haut, le signal EOC obtenu sur la broche 2 de l'inverseur 124 (Figure 9) de la bascule 55 passe au niveau haut. Ce résultat, qui est représenté sur la Figure 3, se produit au cours des ultimes temps de gouttelette, y compris le dernier temps de gouttelette afférent au caractère imprimé précédent.

    [0244] Le fonctionnement du compteur de réseau 78 de la Figure 2 pourrait éventuellement dépendre de la vitesse effective à laquelle se déplace le chariot 12 de la Figure 1 au lieu d'être lié à celui de l'oscillateur 19'. En pareil cas, le positionnement des gouttelettes 23 sur le support d'impression pourrait être synchronisé avec la position interpolée du chariot 12 chaque fois qu'une suite de quatre gouttelettes 23 n'est pas destinée à l'impression, au lieu d'attendre l'apparition de la première suite de quatre gouttelettes immédiatement après la génération d'une impulsion par le réseau 15. Cela permettrait d'obtenir un réajustement plus uniforme de la position horizontale et de rapprocher les points d'impact des gouttelettes 23 de leurs positions idéales, ce qui se traduirait par une impression de meilleurs qualité. Cette modification n'est toutefois pas indispensable pour obtenir un fonctionnement satisfaisant de la présente invention.

    [0245] La distance qui sépare les lignes du réseau 15 les unes des autres étant d'environ 0,0106 centimètre, une gouttelette 23 est engendrée chaque fois que le chariot 12 se déplace d'une distance d'environ 0,0003302 centimètre. Ce chiffre est obtenu en divisant la distance de 0,0106 centimètre par 32 gouttelettes engendrées pendant que le chariot 12 franchit la distance séparant deux lignes adjacentes du réseau 15. Etant donné que chacune des gouttelettes 23 présente un diamètre variant de 0,0508 centimètre à 0,000635 centimètre de manière à produire un point ou une tache d'encre d'un diamètre d'environ 0,014986 centimètre lorsqu'elle frappe le support d'impression 14, une seule gouttelette 23 doit frapper le support 14 à un emplacement vertical quelconque entre deux lignes adjacentes du réseau 15. Chacune de ces lignes a une largeur correspondant approximativment au diamètre obtenu lorsque deux ou trois gouttelettes 23 frappent le support d'impression 14. N'importe quel caractère peut donc être produit pendant une partie du déplacement du chariot 12 dans une direction donnée le long de l'axe horizontal ou dans la direction opposée.

    [0246] Ainsi qu'on l'a précédemment mentionné, il existe 7680 temps de gouttelette au total par pouce linéaire (soit 3023,622 temps de gouttelette par centimètre linéaire) de déplacement du chariot 12. Dans le cas d'une impression effectuée au pas de 12, on dispose, aux fins de l'impression de chaque caractère, d'un total de 640 temps de gouttelette. Dans le cas d'une impression au pas de 10, on disposerait de 768 temps de gouttelette par caractère.

    [0247] On a représenté sur la Figure 28 un caractère "W" imprimé au pas de 12. Un total de 640 temps de gouttelette a donc été disponible pour former les points 35 sur le support d'impression 14, ces points étant obtenus lors de l'impact des gouttelettes 23 sur ce support.

    [0248] On a représenté sur la Figure 29 un agrandissement de la partie du caractère "W" qui, sur la Figure 28, se trouve à l'intérieur d'un rectangle pointillé, le premier temps de gouttelette (non représenté) commençant au bord gauche de la région dans laquelle le caractère doit être imprimé. Chacun des points 35, qui est formé pendant la partie des temps de gouttelette indiqués sur la Figure 29, porte en son centre un numéro de référence correspondant au temps de gouttelette (voir Figures 28 et 29).

    [0249] L'inclinaison des lignes verticales sur la Figure 29 compense le déplacement du chariot 12 de gauche à droite et permet aux gouttelettes 23 engendrées à différents temps de gouttelette de frapper le support d'impression 14 à la même distance horizontale d'une marge, les lignes verticales pouvant donc être aisément formées. Cette inclinaison est obtenue en déplaçant légèrement les plaques de déviation 25 et 26 dans le sens anti-horaire par rapport à l'axe du jet d'encre 21 (Figure 1) lorsqu'on observe les plaques 25 et 26 depuis la position qu'occupe la buse 22.

    [0250] Comme le montre la Figure 29, il existe un certain nombre de positions dans lesquelles le compteur RLM 65 que comporte le compteur de longueur de plage 62 a une valeur supérieure à trois, si bien qu'une synchronisation peut se produire. Par exemple, neuf gouttelettes 23 sont inutilisées entre les temps de gouttelette 213 et 223, si bien que la synchronisation pourrait commencer au temps de gouttelette 214.

    [0251] On notera que chaque modification d'une unité de la valeur binaire du registre de tensions 64 correspond à une modification du positionnement vertical de la gouttelette 23 d'environ 0, 000508 centimètre, alors que le temps de gouttelette correspond à un espacement horizontal entre gouttelettes 23 d'environ 0,0003302 centimètre. Dans le présent contexte, le terme "position granulaire" se rapporte à chacun des 7680 temps de gouttelette où les gouttelettes 23 sont engendrées par pouce linéaire (soit 3023,622 temps de gouttelette par centimètre linéaire) de déplacement du chariot 12 et à chacune des 1024 positions définies par les 1024 tensions susceptibles d'être emmagasinées dans le registre de tensions 64.

    [0252] Bien que la présente invention n'envisage l'impression de caractères que lorsque le chariot 12 se déplace horizontalement de gauche à droite, cela n'est pas indispensable et l'impression des caractères pourrait également avoir lieu pendant le déplacement horizontal du chariot de droite à gauche.

    [0253] Bien que l'appareil de commande de la présente invention utilise un mot de seize bits, il est sous-entendu que le mot pourrait comporter un plus grand nombre de bits. Dans ce dernier cas, le compteur de longueur de plage 62 pourrait compter jusqu'à une valeur supérieure à 63.

    [0254] Si l'on disposait de suffisamment de bits, le compteur 62 pourrait utiliser un nombre suffisant de ces bits pour compter le nombre total de temps de gouttelette requis pour produire l'impression de l'un des caractères. Dans ce cas, le signal de tensions fourni par le registre 64 provoquerait toujours l'application d'une charge à l'une des gouttelettes 23 aux fins de l'impression lorsque le compteur 62 atteindrait la valeur zéro, à. l'exception du dernier temps de gouttelette afférent aux caractères.

    [0255] Dans le présent contexte, le terme "caractère" ne désigne pas uniquement une lettre ou un chiffre ou une zone particulière. Par exemple, ce terme pourrait se rapporter à des configurations de tout type.

    [0256] L'un des avantages de la présente invention est qu'elle permet d'obtenir une impression de meilleure qualité. Un autre avantage de l'invention est qu'elle permet d'éviter l'apparence discontinue des caractères imprimés. Un autre avantage de l'invention est qu'elle supprime la nécessité d'imprimer les gouttelettes suivant une séquence ascendante de façon monotone. Un autre avantage de l'invention réside dans le fait qu'elle ne nécessite aucun type de matrice d'impression, et qu'elle est indépendante du rendement.

    [0257] Bien que l'on ait décrit dans ce qui précède et représenté sur les dessins les caractéristiques essentielles de l'invention appliquées à un mode de réalisation préféré de celle-ci, il est évident que l'homme de l'art peut y apporter toutes modifications de forme ou de détail qu'il juge utiles, sans pour autant sortir du cadre de ladite invention.


    Revendications

    1.- Imprimante à projection d'encre, du type comprenant un dispositif engendrant une série de gouttelettes uniformément espacées, une surface d'enregistrement, des moyens engendrant un mouvement relatif entre le générateur de gouttelettes et la surface d'enregistrement selon une première direction et des moyens engendrant un mouvement relatif entre le générateur de gouttelettes et la surface d'enregistrement selon une deuxième direction pratiquement perpendiculaire à la première direction, caractérisée en ce qu'elle comprend:

    des moyens permettant d'imprimer chaque gouttelette à n'importe quelle position de gouttelette de la surface d'enregistrement dans la deuxième direction et selon la première direction en fonction de la position de la gouttelette précédemment imprimée ou d'une marge.


     
    2.- Imprimante à projection d'encre selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comprend:

    des moyens permettant de charger sélectivement chacune des gouttelettes jusqu'à ce qu'elle présente une charge prédéterminée,

    des moyens permettant de dévier chacune des gouttelettes dans la deuxième direction en fonction de la valeur de la charge qu'elle porte, et

    des moyens de positionnement de gouttelettes comportant des moyens pour emmagasiner l'information concernant chacun des caractères devant être imprimé, cette information comprenant l'amplitude de la tension appliquée aux moyens de charge pour chacune des gouttelettes imprimées faisant partie du caractère ainsi que l'espace dans la première direction entre chacune des gouttelettes et la gouttelette imprimée nrécé- demment ou une marge.


     
    3.- Imprimante à projection d'encre selon la revendication 1 ou 2, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens pour appliquer aux moyens de charge, pour chacune des gouttelettes devant être imprimées, une tension conformément aux informations contenues dans les moyens d'emmagasinage afin d'assurer à chacune des gouttelettes la valeur de charge nécessaire pour qu'elles soient déviées dans la deuxième direction jusqu'à la position choisie sur la surface d'enregistrement.
     
    4.- Imprimante à projection d'encre selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisée en ce qu'elle comprend:

    des moyens pour synchroniser le mouvement relatif entre le générateur de gouttelettes et la surface d'enregistrement dans la première direction par rapport à l'espacement entre l'une des gouttelettes devant être imprimées et la gouttelette précédemment imprimée dans la première direction à des intervalles de temps choisis conformément à des espacements choisis entre gouttelettes imprimées adjacentes.


     
    5.- Imprimante à projection d'encre selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée en ce qu'elle comporte:

    des moyens pour compenser l'induction engendrée entre gouttelettes adjacentes en appliquant sélectivement une tension aux moyens de charge lorsqu'une gouttelette ne doit pas servir aux fins de l'impression et est située à une distance prédéterminée de la dernière gouttelette imprimée.


     
    6.- Imprimante à projection d'encre selon la revendication 5, caractérisée en ce que lesdits moyens de compen- sation de l'induction comprennent:

    des moyens sensibles à la tension appliquée aux moyens de charge pour chacune des gouttelettes choisie dans un nombre de gouttelettes précédentes,

    des moyens pour emmagasiner l'information relative aux différentes tensions,

    des moyens sensibles à la tension engendrant une adresse dans les moyens d'emmagasinage afin d'y sélectionner l'information permettant l'application aux moyens de charge d'une tension lorsqu'une gouttelette ne devant pas servir aux fins de l'impression se trouve à une distance prédéterminée de la dernière gouttelette imprimée.


     
    7.- Imprimante à projection d'encre selon la revendication 5, caractérisé en ce que lesdits moyens de compensation de l'induction comprennent des moyens permettant de déterminer la valeur de la tension sélectivement appliquée pour les gouttelettes ne servant pas aux fins de l'impression conformément à la tension appliquée aux moyens de charge pour chacune des gouttelettes d'un nombre choisi de gouttelettes précédentes lorsque la gouttelette ne servant pas aux fins de l'impression se trouve à une distance prédéterminée de la dernière gouttelette imprimée.
     
    8.- Imprimante à projection d'encre selon la revendication 5, caractérisée en ce qu'elle comprend:

    des moyens pour commander le temps durant lequel une tension est appliquée aux moyens de charge.


     




    Dessins

















































    Rapport de recherche