[0001] La présente invention concerne les convertisseurs d'aciérie constitués par une cornue
portée par une ceinture qui l'entoure avec un jeu radial et est munie de deux tourillons
diamétralement opposés et permettant de faire basculer la cornue autour d'un axe horizontal.
[0002] La liaison entre la cornue et la ceinture doit être conçue pour supporter et maintenir
la cornuè en toutes positions et permettre sa libre dilatation par rapport à la ceinture.
[0003] Généralement, la cornue est munie de chaises ou consoles qui reposent sur la face
supérieure de la ceinture quand la cornue est verticale et son bec en haut, et différents
moyens sont prévus pour reprendre les efforts qui apparaissent lorsqu'on fait basculer
la cornue. Une première solution consiste à prévoir une seconde série de chaises fixées
à la cornue, sous la ceinture, et venant s'appuyer sur la face inférieure de celle-ci
lorsque la cornue est basculée. Avec cette construction, il apparaît à chaud, par
suite des dilatations différentes dela cornue et de la ceinture, un jeu entre les
chaises et la ceinture qui est la cause de chocs importants au cours du basculement.
On a cherché à améliorer cette solution en inclinant les surfaces de contact chaise-ceinture
de telle sorte qu'elles restent en contact lorsque la cornue et la ceinture se dilatent.
Mais en pratique cette solution ne s'est pas révélée satisfaisante et on a constaté
qu'il y avait grippage des surfaces de glissement empêchant la dilatation de la cornue
et engendrant des déformations de cette dernière.
[0004] Une autre solution consiste à fixer les chaises supérieures sur la ceinture au moyen
de boulons. Cette solution ne donne pas non plus satisfaction car il est impossible
de- régler le serrage des boulons de telle sorte qu'en toutes circonstances il permette
le glissement des chaises sur la ceinture et évite l'apparition d'un jeu générateur
de chocs ;
[0005] si les boulons sont trop serrés la cornue ne pourra pas se dilater librement et s'ils
ne sont pas assez serrés, un jeu risque d'apparaître entre les chaises et la cornue
dans certaines conditions d'utilisation, entraînant rapidement la détérioration et
la rupture des boulons.
[0006] Une troisième solution consiste à maintenir les chaises sur la ceinture au moyen
de pièces épaulées ou clames fixées sur la ceinture et qui supportent la cornue lorsque
celle-ci est placée verticalement avec le bec en bas. Ces clames sont disposées aux
extrémités des chaises qui sont de ce fait soumises à des contraintes de flexion élevées.
De plus, la surface d'appui des chaises sur les clames est relativement faible et
le matage est important.
[0007] Le but de la présente invention est de réaliser une liaison entre cornue et ceinture
remplissant les conditions imposées, à savoir : permettre la libre dilatation de la
cornue et maintenir celle-ci en toutes positions, et permettant de réduire les contraintes
dans les chaises et éventuellement de diminuer le nombre de chaises.
[0008] Le convertisseur objet de l'invention est caractérisé en ce que les chaises solidaires
de la cornue et reposant sur la face supérieure de la ceinture lorsque la cornue est
verticale avec le bec en haut sont liées à la ceinture par des pièces en forme de
champignon dont le chapeau se trouve au-dessus de ladite semelle et dont le pied qui
traverse la semelle de la chaise repose sur la face supérieure de la ceinture et est
rendu solidaire de celle-ci par des tiges de fixation qui traversent la ceinture parallèlement
à son axe et exercent sur les dites pièces des efforts de serrage prédéterminés permettant
de les mettre en précontrainte et de les maintenir assemblées sans jeu avec la ceinture
quelles que soient les conditions d'utilisation, les ouvertures prévues dans la semelle
pour le passage du pied des dites pièces ayant des dimensions supérieures à celles
du dit pied et inférieures à celles du chapeau de ces pièces et un jeu étant ménagé
au montage entre le chapeau des dites pièces et la semelle des chaises de telle sorte
que les chaises peuvent glisser sur la ceinture dans-toutes les directions et en toutes
circonstances.
[0009] Les pièces en forme de champignon peuvent être percées d'un alésage axial pour le
passage des tiges de fixation, ces tiges étant filetées à au moins une de leurs deux
extrémités et étant munies d'écrous permettant d'assembler les dites pièces et la
ceinture avec un effort de serrage prédéterminé et d'exercer sur ces pièces un effort
de compression pour les mettre en précontrainte.
[0010] Dans un mode de réalisation préféré, les forces parallèles à l'axe de la cornue sont
transmises à la ceinture seulement par deux chaises qui sont situées au-dessus des
tourillons, chaque chaise reposant sur la ceinture, quand la cornue est verticale
avec le bec en haut, en deux zones d'appui situées symétriquement par rapport au plan
contenant les axes de la cornue et des tourillons, et la liaison entre chaque chaise
et la ceinture est assurée par deux pièces en forme de champignon fixées chacune sur
une des dites zones d'appui de la ceinture.
[0011] Les forces perpendiculaires au plan contenant les axes de la cornue et des tourillons
sont reprises par des éperons solidaires de la cornue et engagés dans des échancrures
formées dans la ceinture, au-dessus et au-dessous des tourillons, les faces des éperons
et des échancrures coopérant pour reprendre ces forces étant parallèles au dit plan,
et ces éperons ne transmettant à la ceinture aucune force parallèle à l'axe de la
cornue.
[0012] Les forces parallèles aux faces de la ceinture et au plan contenant les axes de la
cornue et des tourillons sont reprises par des éperons solidaires de la cornue et
engagés dans des échancrures formées dans la ceinture à 90° des tourillons, les faces
des éperons et des échancrures coopérant pour reprendre ces forces étant perpendiculaires
au dit plan et ces éperons ne transmettant à la ceinture aucune force parallèle à
l'axe de la cornue.
[0013] D'autres caractéristiques de l'invention apparaîtront à la lecture de la description
qui suit et se réfère aux dessins l'accompagnant qui montrent, à titre d'exemple non
limitatif, un mode de réalisation de l'invention et sur lesquels :
[0014] La figure 1 est une vue en élévation d'un convertisseur réalisé conformément à l'invention
; la figure 2 est une coupe transversale suivant 2-2 du convertisseur de la figure
1 ; la figure 3 est une coupe transversale suivant 3-3 du convertisseur de la figure
1 ; la figure 4 est une vue suivant la flèche A et à plus grande échelle d'une partie
du convertisseur, certains éléments étant montrés en coupe ; la figure 5 montre un
détail de la fixation des chaises sur la ceinture ; la figure 6 est une vue suivant
la flèche B et à plus grande échelle d'une partie du convertisseur ; la figure 7 est
une vue partielle, en coupe, du convertisseur de la figure 1, le plan de coupe contenant
les axes de la cornue et des tourillons ; la figure 8 montre un détail de la fixation
des chaises sur la ceinture suivant une variante ; la figure 9 est une vue suivant
9-9 du détail de la figure 8 ; et les figures 10 à 13 montrent en coupe et en plan
différentes formes de réalisation des pièces de fixation des chaises sur la ceinture.
[0015] Le convertisseur représenté sur les dessins comporte une cornue 10 et une ceinture
12 munie de deux tourillons 14 destinés à être montés sur des paliers fixes.
[0016] Lorsque la cornue est en position verticale, bec en haut ou en bas, elle est supportée
uniquement par deux chaises 16 solidaires de la cornue, placées au droit des tourillons
et liées à la ceinture par des moyens qui vont être décrits.
[0017] Chaque chaise 16 comprend une semelle inférieure 18'et une semelle supérieure 20
soudées sur la paroi de la cornue et des nervures de raidissement reliant les deux
semelles. Sur la face inférieure de la semelle 18 sont fixées deux plaques de glissement
22 disposées symétriquement par rapport au plan contenant les axes des tourillons
et de la cornue et dont la trace sur la figure 4 est représentée par l'axe x-x. Lorsque
la cornue est verticale avec le bec en haut, comme représenté sur la figure 1, les
plaques 22 reposent sur des plaques de glissement 24 fixées sur la face supérieure
de la ceinture. Les plaques 22 et/ou 24 sont réalisées en un métal ayant un faible
coefficient de frottement ou ont subi un traitement de surface pour réduire les forces
de frottement et permettre la libre dilatation de la cornue.
[0018] Pour supporter la cornue lorsqu'elle est renversée, bec en bas, chaque chaise 16
est liée à la ceinture par deux pièces 26 fixées à la ceinture, sur les plaques 24,
au moyen de tiges filetées 28 parallèles à l'axe de la cornue.
[0019] Comme on le voit sur la figure 5, les pièces 26 sont de révolution et ont la forme
de champignons ; elles comportent un pied 29 dont le diamètre décroît de bas en haut
et un chapeau 30 dont le diamètre est nettement supérieur au diamètre maximal du pied.
Le pied est raccordé au chapeau par une surface dont le rayon de courbure est relativement
important pour éviter une concentration des contraintes dans la zone de raccordement
; celle-ci est située au-dessus du plan de la face inférieure du chapeau.
[0020] En variante, le chapeau des pièces 26 pourrait être carré (figures 9 à 13) et leur
pied pourrait avoir une forme cylindrique (figures 8, 9 et 11 à 13). Ces pièces peuvent
être monobloc (figures 5 et 10) ou en deux parties ; dans ce dernier cas, les deux
parties peuvent être assemblées par soudage ou par encastrement de l'extrémité du
pied dans une rainure (figure 12) ou dans un logement circulaire (figure 13) du chapeau.
Les pièces 26 peuvent être montées ajustées (figure 5) ou avec jeu (figure 8) sur
les tiges 28. Le pied des pièces 26 peut être encastré dans les plaques 24 (figure
8).
[0021] Les pièces 26 sont percées d'un alésage axial pour le passage des tiges 28. Celles-ci
traversent de part en part les pièces 26 et la ceinture, et des écrous 32 vissés sur
leurs extrémités permettent d'exercer sur les pièces 26 et les plaques 24 un effort
de compression suffisant pour les mettre en précontrainte de façon qu'aucun jeu n'apparaisse
entre les pièces et les plaques ou entre celles-ci et la ceinture quelles que soient
les conditions d'utilisation, notamment quand la cornue est renversée avec le bec
en bas.
[0022] Le pied des pièces 26 traverse la semelle inférieure des chaises 16 et leur chapeau
se trouve au-dessus de ladite semelle. Les ouvertures 34 prévues dans la semelle pour
le passage du pied des pièces 26 sont oblongues et ont des dimensions nettement supérieures
au diamètre du pied de manière à permettre à la cornue de se dilater ou se déformer
librement par rapport à la ceinture. Ces ouvertures pourraient aboutir au bord extérieur
de la semelle des chaises pour former des échancrures. Un jeu j est ménagé à froid
entre le chapeau des pièces 26 et la semelle inférieure des chaises ; ce jeu est choisi
pour être pratiquement complètement résorbé à chaud, sans que la semelle 18 puisse
être serrée entre le chapeau des pièces 26 et les plaques de glissement 24 et que
ses déplacements par rapport à la ceinture puissent être gênés. Ce jeu est obtenu
au montage par l'emploi de plaques 24 d'épaisseur convenable.
[0023] Un éperon 36 est soudé sur la semelle inférieure des chaises 16, et est engagé dans
une échancrure 38 de la ceinture. Le plan médian des éperons et des échancrures coïncide
avec le plan x-x contenant les axes de la cornue et des tourillons et leurs faces
coopérantes sont parallèles à ce plan ; un jeu est ménagé entre ces faces pour que,
à chaud, l'éperon puisse glisser librement dans l'échancrure. Un jeu beaucoup plus
important-est ménagé entre le fond des échancrures et la face en regard des éperons
de façon que les éperons ne puissent jamais porter sur le fond des échancrures et
qu'aucun effort parallèle à l'axe de la cornue ne soit transmis à la ceinture par
l'éperon celui-ci ne peut transmettre à la ceinture que des forces perpendiculaires
au plan x-x.
[0024] Lorsque la cornue est inclinée ou horizontale, les deux éperons 36 transmettent à
la ceinture une partie des forces perpendiculaires au plan x-x s'exerçant sur la cornue.
L'autre partie est transmise par deux autres éperons 40 diamétralement opposés aux
éperons 36 par rapport à l'axe des tourillons et coopérant avec des échancrures 42
de la ceinture, de la même manière que les éperons 36 avec les échancrures 38. Les
éperons 40 sont soudés sur des chaises 44 fixées sur la paroi de la cornue au moyen
de boulons pour qu'il soit possible de les démonter lorsqu'on veut séparer la cornue
de la ceinture. Les chaises 16 et 44 sont placées de part et d'autre de la ceinture.
Comme les éperons 36, les éperons 40 ne peuvent pas porter sur le fond des échancrures
et ne peuvent transmettre à la ceinture que des efforts perpendiculaires au plan x-x.
A froid, les chaises 44 peuvent être en contact avec la ceinture, mais à chaud, il
apparaît un jeu de plusieurs millimètres dû à la dilatation de la cornue, qui est
supérieure à celle de la ceinture.
[0025] Deux autres chaises 46 munies d'éperons 48 sont fixées à la cornue en deux points
diamétralement opposés, le plan médian des éperons étant le plan diamétral perpendiculaire
au plan x-x contenant les axes de la cornue et des tourillons. Ces chaises se trouvent
au-dessus de la ceinture, quand la cornue est verticale, bec en haut, et les éperons
sont engagés dans des échancrures 50 formées sur la face supérieure de la ceinture.
Les faces coopérantes des éperons 48 et des échancrures 50 sont perpendiculaires au
plan x-x et un jeu suffisant est ménagé entre le fond des échancrures et la face en
regard des éperons de sorte que ceux- ci ne peuvent transmettre à la ceinture que
des efforts parallèles au plan x-x et perpendiculaires à l'axe de la cornue ; ces
efforts sont essentiellement ceux crées par la dilatation dissymétrique de la cornue.
Les chaises 46 sont suffisamment écartées de la face supérieure de la ceinture pour
que celle-ci ne vienne jamais à leur contact.
[0026] Les éperons 36, 40 et 48 et les échancrures avec lesquelles ils coopèrent permettent
de maintenir en coïncidence les axes de la ceinture et de la cornue.
[0027] Il est bien entendu que toutes les modifications qui peuvent être apportées au mode
de réalisation décrit par l'emploi de moyens techniques équivalents entrent dans le
cadre de l'invention.
1. Convertisseur constitué par une cornue (10) portée par une ceinture (12) qui l'entoure
et est munie de deux tourillons (14) diamétralement opposés permettant le basculement
de la cornue autour d'un axe horizontal, la cornue étant munie de chaises (16) reposant
sur la face supérieure de la ceinture quand la cornue est verticale et son bec en
haut, caractérisé en ce que les dites chaises (16) sont liées à la ceinture par des
pièces (26) en forme de champignon dont le chapeau (30) se trouve au-dessus de la
semelle (18) des chaises (16) et dont le pied (29), qui traverse ladite semelle, repose
sur la face supérieure de la ceinture (12) et est rendu solidaire de celle-ci par
des tiges de fixation (28) qui traversent la ceinture (12) parallèlement à son axe
et exercent sur les dites pièces (26) des efforts de serrage prédéterminés permettant
de les mettre en précontrainte et de les maintenir assemblées sans jeu avec la ceinture
(12), en ce que les passages (34) prévus dans les semelles des chaises pour le pied
des dites pièces ont des dimensions supérieures à celles des dits pieds pour permettre
les dilatations différentielles de la cornue (10) et de la ceinture (12), et en ce
qu'un jeu (j) est ménagé au montage entre le chapeau (29) des dites pièces et la semelle
(18) des chaises de façon que celles-ci puissent glisser librement sur la ceinture
en toutes circonstances.
2. Convertisseur selon la revendication 1, caractérisé en ce que les pièces (26) en
forme de champignon sont percées d'un alésage axial pour le passage des dites tiges
(28).
3. Convertisseur selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les pièces (26)
en forme de champignon sont montées ajustées sur les tiges filetées (28).
4. Convertisseur selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les pièces (26)
en forme de champignon sont montées avec jeu sur les tiges filetées (28) et leur pied
est encastré dans la ceinture (12) ou dans une plaque (24) solidaire de celle-ci.
5. Convertisseur selon la revendication 1, 2, 3 ou 4, caractérisé en ce que les pièces
(26) en forme de champignon sont en deux parties et le pied (29) est lié au chapeau
(30) par encastrement.
6. Convertisseur selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que la cornue (10) est supportée, lorsqu'elle est verticale, seulement par deux
chaises (16) qui sont situées au droit des tourillons (14), chaque chaise reposant
sur la ceinture, quand la cornue est verticale avec le bec en haut, en deux zones
d'appui situées symétriquement par rapport au plan X-X contenant les axes de la cornue
et des tourillons, et la liaison entre chaque chaise et la ceinture est assurée par
deux pièces (26) en forme de champignon fixées chacune sur une des dites zones d'appui
de la ceinture.
7. Convertisseur selon la revendication 6, caractérisé en ce que chaque chaise (16)
est munie d'un éperon (36) dont le plan médian coïncide avec le plan X-X contenant
les axes des tourillons et de la cornue et qui est engagé dans une échancrure (38)
de la ceinture, les faces de l'éperon et de l'échancrure parallèles au dit plan coopérant
pour transmettre de la cornue à la ceinture les efforts perpendiculaires à ce plan,
et ces éperons (36) sont agencés de façon à ne transmettre à la ceinture aucun effort
parallèle à l'axe de la cornue.
8. Convertisseur selon la revendication 6 ou 7, caractérisé en ce que la cornue (10)
est munie de deux éperons (40) placés au droit des tourillons (14), à l'opposé des
dites chaises (16) par rapport à la ceinture (12), et chaque éperon est engagé dans
une échancrure (42) de la ceinture, les faces des éperons et des échancrures parallèles
au plan X-X contenant les axes des tourillons et de la cornue coopérant pour transmettre de
la cornue à la ceinture les efforts perpendiculaires à ce plan, et ces éperons (40)
sont agencés de façon à ne transmettre à la ceinture aucun effort parallèle à l'axe
de la cornue.
9. Convertisseur selon la revendication 6, 7 ou 8, caractérisé en ce que la cornue
(10) est munie de deux éperons (48) diamétralement opposés et dont le plan médian
est perpendiculaire au plan X-X contenant les axes des tourillons et de la cornue,
et chaque éperon est engagé dans une échancrure (50) de la ceinture (12), les faces
des éperons et des échancrures parallèles à leur plan médian coopérant pour transmettre
de la cornue à la ceinture les efforts perpendiculaires au dit plan médian, ces éperons
(48) étant agencés de façon à ne transmettre à la ceinture aucun effort parallèle
à l'axe de la cornue.