[0001] La présente invention concerne une antenne réseau et plus particulièrement une antenne
de ce type qui soit non dispersive et présente un faible encombrement. Par antenne
réseau non dispersive on entend une antenne pour laquelle la direction de rayonnement
maximal est pratiquement indépendante de la fréquence. La présente invention concerne
également l'application d'une telle antenne à la réalisation d'une antenne à balayage
électronique.
[0002] On connait des antennes réseau qui répondent à la caractéristique de non dispersivité
et l'on pourra citer une antenne réseau dite en chandelier pour laquelle la voie d'alimentation
se divise et chaque nouvelle voie d'alimentation ainsi obtenue est connectée à des
éléments rayonnants pouvant constituer des sources élémentaires suivant la terminologie
utilisée dans les antennes réseau. Une telle structure d'antenne qui comporte un certain
nombre de Tés magiques ou de diviseurs, est pour le moins complexe, encombrante, et
risque d'être lourde et d'un prix de revient élevé.
[0003] Une autre structure d'antenne non dispersive est également connue qui comporte un
guide d'alimentation auquel sont couplés, par l'intermédiaire de coupleurs directifs
des guides alimentant des sources élémentaires, l'ensemble étant tel que les longueurs
électriques de chaque circuit d'alimentation d'une source élémentaire sont égales.
[0004] Cette structure d'antenne, bien que moins encombrante que la première citée, présente
le défaut d'être compliquée au point de vue de sa réalisation mécanique qui, à partir
d'un nombre de sources élémentaires important, de l'ordre de la centaine, entraîne
à nouveau un certain encombrement gênant.
[0005] D'autres réalisations d'antennes non dispersives peuvent encore être citées, notamment
les lentilles actives et les réseaux réflecteurs qui sont alimentés en espace libre
au moyen d'une simple source primaire. Toutefois ces antennes présentent l'inconvénient
d'un encombrement longitudinal égal à la distance focale du système qui est grande
; d'autre part, il y a risque de débordement du rayonnement primaire sur la périphérie
du réseau ce qui peut produire un rayonnement diffus gênant.
[0006] Une autre réalisation d'antenne réseau non dispersive a été proposée par la Demanderesse
dans sa demande de brevet français N° EN 77.07331 qui consiste en un premier réseau
dispersif alimentant un second réseau dont la direction générale fait un certain angle
avec le premier, l'alimentation du second réseau par le premier se faisant par propagation
en espace libre.
[0007] On a démontré pour une telle antenne, appelée antenne réseau prisme, que pour une
fréquence fo de l'onde progressive alimentant le réseau primaire, les valeurs de l'angle
0: entre les deux réseaux en fonction de la direction de rayonnement eo du réseau
primaire étaient données par la formule :

dans laquelle Ko est le nombre d'onde 2π/λo en espace libre et Kgo le nombre d'onde
dans le guide à fentes constituant le réseau primaire à la fréquence fo.
[0008] La figure 1 représente cette antenne réseau prisme de l'art antérieur dans laquelle
1 est le réseau primaire dispersif linéaire, un simple guide à fentes alimenté par
son extrémité 2 avec son autre extrémité fermée sur une charge absorbante 3. Un panneau
8 absorbant peut être prévu sur le troisème côté du triangle, absorbant les rayonnements
réfléchis liés au coefficient actif des réseaux. Le réseau secondaire 4, également
linéaire, fait un angle α avec le réseau primaire. Sur la figure 1, ce réseau secondaire
est un réseau double face dont les faces sont constituées d'éléments rayonnants du
genre cornet 5 et 6. Entre les deux faces du réseau secondaire sont disposés des déphaseurs
7, qui pour l'exemple décrit, ont une valeur fixe chacun, l'ensemble des déphasages
suivant une loi linéaire du premier déphaseur au dernier. Cette loi est telle que
. l'onde rayonnée par le réseau secondaire a une direction de rayonnement perpendiculaire
audit réseau. Il en résulte que le déphasage auquel est soumise l'onde alimentant
le réseau secondaire a pour effet de compenser la loi de phase produite par l'incidence
oblique sur le réseau secondaire de l'onde rayonnée primaire, déterminant ainsi sur
le réseau secondaire une loi de phase stationnaire.
[0009] Dans la demande de brevet citée précédemment on a étendu les enseignements tirés
de la réalisation monodimensionnelle de l'antenne réseau, à une antenne réseau bidimensionnelle
avec laquelle on veut effectuer un balayage électronique.
[0010] La figure 2 présente une réalisation de cette antenne relevant également de l'art
antérieur.
[0011] Le réseau 1 est formé par un certain nombre de guides à fentes 91 à 9n semblables
au guide 1 de la figure 1, comportant chacun un même nombre de fentes 10. Tous ces
guides sont alimentés en parallèle par une de leurs extrémités, par une voie 11. Des
déphaseurs 12 du type électronique par exemple sont prévus pour permettre d'effectuer
avec cette antenne un balayage électronique dans un plan vertical perpendiculaire
au plan de la figure.
[0012] Le réseau secondaire IV est constitué par un panneau 13 comportant un certain nombre
d'éléments rayonnants qui sont dans le cas décrit, des hélices rotatives 14 alimentées
par des dipôles 15. L'utilisation d'hélices rotatives rend inutile l'interposition
de déphaseurs entre les deux faces du réseau IV. La troisième face du trièdre est
un panneau absorbant 16.
[0013] Une antenne à balayage électronique telle que celle qui a été décrite présente les
avantages d'être apériodique au premier ordre et de ne présenter ni effet de masque,
ni débordement. Toutefois l'optimisation de la non dispersivité du pointage en fonction
de la fréquence n'est pas réalisée pour tous les sites balayés. En effet, lors d'un
dépointage dans le plan site, la propagation de l'onde entre le réseau primaire 1
et le réseau secondaire IV ne se fait plus rigoureusement dans le plan de gisement,
mais dans un plan incliné de la valeur de l'angle de site considéré. De ce fait, au
cours du balayage électronique, il se crée des différences de longueur électrique
pour les ondes se propageant entre les deux réseaux, différences qui ne sont plus
compensées par le réseau secondaire.
[0014] Un but de l'invention est de remédier à cet inconvénient.
[0015] Suivant l'invention, une antenne réseau non dispersive comportant un réseau primaire
directif constitué par une superposition de réseaux primaires monodimensionnels, alimentés
chacun à travers un déphaseur, un réseau secondaire sous la forme d'un panneau comprenant
des sources élémentaires sur les faces interne et externe du panneau, avec des déphaseurs
passifs introduits entre les deux faces, le réseau secondaire faisant un angle α avec
le réseau primaire, et un panneau absorbant fermant l'angle défini entre les deux
réseaux, est caractérisée en ce que la propagation des ondes entre les réseaux primaire
et secondaire s'effectue en espace guidé par des plans parallèles disposés de façon
telle qu'ils matérialisent l'antenne comme un empilement d'une pluralité d'antennes
élémentaires non dispersives monodimensionnelles, pour chacune desquelles la propagation
entre le réseau primaire et le réseau secondaire est guidée.
[0016] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront dans la description
qui suit, donnée à l'aide des figures qui représentent outre les figures 1 et 2 relatives
à l'art antérieur :
- la figure 3, une antenne réseau monodimensionnelle suivant l'invention ;
- la figure 4, une antenne réseau bidimensionnelle suivant l'invention ;
- la figure 5, un exemple de réseau primaire photogravé en technologie ligne à fente
;
- la figure 6, un exemple du réseau primaire photogravé en technologie ligne microstrip.
[0017] On a vu dans ce qui précède que l'on pouvait réaliser une antenne dite prisme sous
une forme monodimensionnelle et sous une forme bidimensionnelle, cette dernière permettant
d'effectuer un balayage électronique de l'espace.
[0018] Ces antennes ont pour caractéristique principale que la direction du rayonnement
maximal est pratiquement indépendante de la fréquence, cette caractéristique étant
liée au fait que les réseaux primaire et secondaire qui constituent cette antenne
forment entre eux un angle lX qui peut être choisi et déterminé de façon optimale
pour que la phase de l'onde alimentant le réseau secondaire soit stationnaire, la
propagation entre le réseau primaire et le réseau secondaire se faisant en espace
libre.
[0019] En fonctionnement, une telle antenne principalement lorsqu'elle est monodimensionnelle,
ne pose pas de problème, sauf en cas de débordement où une partie de l'onde directement
émise par le réseau primaire peut se recombiner à l'onde sortant du réseau secondaire
et en altérer la direction. Il est remédié à un tel inconvénient en supprimant le
débordement, en fermant l'espace libre existant entre les réseaux primaire et secondaire.
Dans ces conditions l'onde émise se propage en espace guidé et le débordement ne peut
avoir lieu. Les performances de l'antenne dont la structure est ainsi modifiée par
rapport à l'antenne réseau de l'art antérieur, ne sont pas modifiées. De fait, un
calcul, en Tout point semblable à celui qui a été fait dans la demande de brevet déjà
citée montre que, aussi bien avec une propagation en espace libre qu'avec une propagation
en espace guidé entre les réseaux primaire et secondaire, on peut obtenir des valeurs
de l'angle α entre les deux réseaux linéaires pour lesquelles le réseau secondaire
est alimenté avec une onde dont la phase est stationnaire. Cette valeur de l'angle
α en fonction de la direction de rayonnement Go du réseau primaire à la fréquence
fo est donnée par la formule

dans laquelle pour la fréquence fo, Ko(Z) est la constante de propagation dans l'espace
entre les réseaux, que cette propagation soit libre ou guidée, c'est-à-dire qu'en
espace libre, Ko(Z) prend une valeur Ko et qu'en espace guidé, Ko(Z) prend la valeur
Kgo, sauf dans le cas où le vecteur polarisation est vertical et alors Ko(Z) est égal
à Ko, et Ko(R1) est la constante de propagation dans le guide que constitue le réseau
primaire. Cette formule est identique à celle donnée pour la réalisation suivant l'art
antérieur pour laquelle la propagation se fait en espace libre.
[0020] La figure 3 représente une antenne réseau de type mono- dimensionnel suivant l'invention.
Cette figure n'est pas très différente de celle de la figure 1 de sorte que les éléments
communs aux deux figures portent les mêmes références. On retrouve ainsi le réseau
primaire 1 alimenté par son extrémité 2, l'autre extrémité étant fermée par une charge
absorbante 3, le réseau secondaire 4 avec pour sources rayonnantes dans le cas de
la figure, des hélices 6 alimentées sur la face interne du réseau 4 par les dipôles
5. On notera que l'utilisation d'hélices permet de supprimer l'étage de déphaseurs
entre la face interne et la face externe du réseau secondaire 4. En 17 on a représenté
la plaque fermant l'ouverture supérieure de l'espace de propagation entre les réseaux
1 et 4. Une plaque identique se trouve du côté de l'ouverture inférieure qui n'est
pas visible sur la figure 3.
[0021] En 8 on a représenté une charge absorbante fermant l'angle α entre les réseaux linéaires
1 et 4.
[0022] On constate que, suivant l'invention donc, on a réalisé un module compact, utilisable
en tant que tel comme une antenne réseau non dispersive monodimensionnelle.
[0023] Suivant l'invention, un tel module est utilisé pour constituer un élément d'une antenne
réseau bidimensionnelle, une telle antenne étant constituée par un empilement d'une
pluralité de ces éléments. Réalisée de la sorte, une telle antenne ne présente plus
l'inconvénient signalé dans le cas du balayage électronique.
[0024] De fait on a vu, dans la définition de l'art antérieur qu'une antenne réseau non
dispersive à balayage électronique n'était pas optimisable pour toute valeur de l'angle
de site et que pour les sites balayés, la compensation des longueurs électriques dans
l'espace de propagation libre entre les réseaux n'est plus correctement réalisée par
le réseau de sortie et qu'il s'ensuit une erreur dans la direction du pointage en
gisement.
[0025] En constituant, suivant l'invention, l'antenne bidimensionnelle par un empilement
de modules, tels qu'ils ont été définis précédemment et décrits à l'appui de la figure
3, modules dans lesquels la propagation est guidée, on constate qu'au niveau de chaque
module, c'est-à-dire au niveau des antennes réseaux élémentaires horizontales dans
l'exemple décrit qu'ils constituent, le déphasage introduit par le déphaseur, disposé
à l'entrée des guides d'alimentation d'une antenne élémentaire, est intégralement
retransmis au réseau secondaire de sorte que pour l'ensemble de l'antenne la loi de
phase appliquée à ces déphaseurs est intégralement transmise dans le plan de site
à la sortie du réseau secondaire.
[0026] La figure 4 représente une antenne réseau bidimensionnelle suivant l'invention, représentation
qui ne diffère pas beaucoup de la représentation de la figure 2 où la propagation
entre les réseaux linéaires primaire ou d'entrée et secondaire ou de sortie s'effectuent
en espace libre. Dans ces conditions, les parties communes aux deux figures portent
les mêmes références.
[0027] On retrouve ainsi le panneau I, réseau constitué par un certain nombre de guides
à fentes 91 à 9n avec chacun un même nombre de fentes 10. L'entrée de chacun de ces
guides comporte un déphaseur, dont l'ensemble est repéré par 12 et l'alimentation
est assurée par un guide 11. Les déphaseurs 12 de type électronique permettent d'effectuer
un balayage électronique dans un plan vertical perpendiculaire au plan de la figure.
[0028] Le réseau IV secondaire est constitué par un panneau 13 comportant un certain nombre
d'éléments rayonnants, des hélices rotatives par exemple 14 alimentées par des dipôles
15. Un panneau absorbant 16 est prévu pour compléter le trièdre que constitue cette
antenne réseau bidimensionnelle. Cette structure d'antenne est complétée par des plans
parallèles 18 qui matérialisent, à l'intérieur de l'antenne réseau bidimensionnelle,
les antennes réseaux élémentaires ou modules conformes à la figure 3, dans lesquels
la propagation est guidée.
[0029] On notera que dans la structure d'antenne suivant l'invention, dans laquelle la propagation
entre les réseaux primaire et secondaire est guidée que la polarisation des ondes
transmises est de type horizontal ou vertical ; par contre la polarisation de l'onde
sortant du réseau secondaire peut être quelconque, dépendant uniquement des éléments
rayonnants.
[0030] On notera également que dans les exemples de réalisation, on a considéré le réseau
primaire comme un guide à fentes alimenté par une onde progressive. Les fentes sont
disposées sur le petit ou le grand côté du guide. Cependant, le réseau primaire peut
tout aussi bien être un réseau composé d'éléments rayonnants couplés d'une manière
quelconque à une ligne d'alimentation. Cette ligne peut être un guide mais également
une ligne fabriquée par un procédé quelconque de photogravure c'est-à-dire déposée
sur un substrat en diélectrique, comme dans les technologies ligne à fente, ligne
bifilaire, microstrip, triplaque. Les éléments rayonnants, s'ils présentent une géométrie
plane, peuvent également être gravés sur ce même diélectrique. Ces éléments peuvent
être des brins quart d'onde, des dipoles, demi ou onde entière, yagis, zigzag, log
périodique, lignes à fentes rayonnantes évasées.
[0031] Les figures 5 et 6 montrent des exemples de réseau primaire photogravé. La figure
5 représente une réalisation en technologie ligne à fentes avec coupleurs 19 et lignes
évasées 20 et la figure 6 une réalisation en technologie microstrip avec coupleurs
19 et dipôles 21.
[0032] Les éléments internes et externes au réseau de sortie peuvent être constitués de
n'importe quel type d'éléments rayonnants photogravés ou non.
[0033] Si la polarisation émise sur les deux faces du réseau secondaire reste la même, l'ensemble
des éléments rayonnants de ce réseau secondaire avec des déphaseurs passifs intercalés
entre eux est réalisable par la métallisation d'une seule plaquette de diélectrique.
Les éléments photogravés sont les mêmes que ceux désignés pour le réseau primaire.
[0034] On a ainsi décrit une antenne réseau non dispersive de faible encombrement et de
poids réduit à balayage électronique, réalisable par un empilement d'une pluralité
de modules constituant eux- mêmes chacun une antenne monodimensionnelle non dispersive.
1. Antenne réseau non dispersive comportant un réseau primaire directif (I) constitué
par une superposition de réseaux primaires monodimensionnels (91 à 9n), alimentés
chacun à travers un déphaseur (12) pour permettre d'effectuer un balayage électronique,
un réseau secondaire (IV) sous la forme d'un panneau (13) comprenant des sources élémentaires
(15-14) sur ses faces interne et externe avec des déphaseurs passifs (7) introduits
entre les deux faces, le réseau secondaire faisant un angle c( avec le réseau primaire,
et un panneau absorbant (16) fermant l'angle défini entre les deux réseaux, caractérisée
en ce que la propagation des ondes entre les réseaux primaire (I) et secondaire (IV)
s'effectue dans un espace guidé par des plans parallèles (18) disposés de façon telle
qu'ils matérialisent l'antenne comme un empilement d'une pluralité d'antennes non
dispersives monodimensionnelles (figure 3) pour chacune desquelles la propagation
entre le réseau primaire (1) et le réseau secondaire (4) est guidée.
2. Antenne réseau non dispersive suivant la revendication 1, caractérisée en ce que
chaque antehne élémentaire monodimensionnelle (figure 3) constitue un module compact
optimisable reproductible.
3. Antenne réseau suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que
le réseau primaire (1) d'un module est un guide à fentes (9) alimenté par une onde
progressive, et que le réseau secondaire (4) est un réseau double face avec des éléments
rayonnants (5-6) sur les faces interne et externe et des éléments déphaseurs (7) situés
entre eux.
4. Antenne réseau suivant la revendication 3, caractérisée en ce que le réseau secondaire
(4) comporte des dipôles (15) sur la face interne du réseau et des hélices rotatives
(14) incorporant des déphaseurs sur la face externe.
5. Antenne réseau suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que
le réseau primaire (1) d'un module est une ligne réalisée sur un substrat en diélectrique
par photogravure, les éléments rayonnants du réseau étant, s'ils présentent une géométrie
plane, gravés sur ce substrat.
6. Antenne réseau suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que
le réseau secondaire d'un module est réalisé par photogravure sur substrat diélectrique.
7. Antenne réseau suivant l'une des revendications 1 ou 2, pour laquelle la polarisation
des ondes entrant et sortant du réseau secondaire reste la même, caractérisée en ce
que l'ensemble des éléments rayonnants du réseau secondaire et des déphaseurs passifs
situés entre eux est réalisé par métallisation d'une seule plaquette de diélectrique.
8. Antenne réseau suivant l'une des revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que
dans l'espace de propagation entre les réseaux primaire (1, 1) et secondaire (2, IV)
la polarisation des ondes transmises est indifféremment verticale ou horizontale.