[0001] La présente invention concerne des machines à laver le linge étroites et encastrables,
la réunion nouvelle de ces deux caractéristiques importantes étant possible grâce
à un agencement particulier de la carcasse de la machine et de l'ensemble des moyens
nécessaires à son fonctionnement.
[0002] Il est connu jusqu'à présent des machines encastrables, c'est-à-dire dont la hauteur
(non compris le plan de travail normalisé à 3 cm sous lequel elles viennent s'encastrer)
est légèrement inférieure à 82 cm et dont la profondeur est inférieure à 60 cm, de
l'ordre de 57 cm par exemple. Ainsi la machine peut être glissée sous le plan de travail
et est alors parfaitement équivalente à un élément normalisé de cuisine dont la hauteur
est 85 cm et la profondeur de l'ordre de 57 cm, la profondeur des meubles étant inférieure
à celle des plans de travail de manière à être légèrement en retrait.
[0003] De telles machines encastrables sont toujours des machines à chargement frontal,
c'est-à-dire des machines dont le tambour de lavage a son axe de rotation perpendiculaire
à la paroi frontale de la machine, le chargement du linge s'effectuant par une porte
frontale donnant accès à une ouverture du tambour pratiquée dans le flasque circulaire
avant du tambour.
[0004] Cette disposition du tambour, qui tourne parallèlement à la paroi frontale de la
machine, entraîne inévitablement une largeur assez importante de la machine puisque
le diamètre du tambour, dont dépend cette largeur, est lui-même assez important.
[0005] Les dimensions habituelles de ces machines encastrables sont ainsi, généralement,
non compris le plan de travail : hauteur H = 82 cm, profondeur P = 57 cm et largeur
L = 60 cm.
[0006] Ces dimensions permettent, certes, d'obtenir des machines parfaitement encastrables
et assimilées aux éléments de cuisine maintenant normalisés ; toutefois, elles présentent
un inconvénient, c'est que l'encombrement de la machine est important puisque sa largeur
est de 60 cm.
[0007] Le problème de l'encombrement des appareils électro-ménagers est un problème connu
depuis longtemps par les constructeurs qui ont cherché à réduire la largeur des lave-linge
en réalisant les machines à chargement par le haut, cette technique permettant d'obtenir
des machines étroites, de l'ordre par exemple de 40 ou 45 cm. Une telle largeur L
= 40 ou 45 cm est bien entendu très intéressante et permet de faciliter l'équipement
des petites cuisines notamment.
[0008] Dans les machines à chargement par le haut, le tambour est positionné à 90° de ce
qu'il est dans les machines à chargement frontal, c'est-à-dire que son axe de rotation
est parallèle à la paroi frontale de la machine et qu'il tourne perpendiculairement
à cette paroi. Il est bien clair que cette technique permet de réduire la largeur
L de la machine puisque l'épaisseur e du tambour dont dépend cette largeur L, c'est-à-dire
l'épaisseur de sa virole cylindrique, est bien inférieure à son diamètre.
[0009] Par contre, si ces machines à chargement par le haut (par une porte s'ouvrant dans
la virole du tambour) résolvent un problème d'encombrement en largeur intéressant
pour les petites cuisines par exemple, elles interdisent, jusqu'à présent, l'encastrement
intégral des cuisines qu'elles équipent.
[0010] En effet, dans les machines à chargement frontal, la faible épaisseur e du tambour,
par rapport à la profondeur P (de l'ordre de 57 cm) de la machine, laisse disponible
un volume assez important pour loger sans problème, entre la carcasse de la machine
et la cuve dans laquelle tourne le tambour, tous les moyens nécessaires au fonctionnement
de la machine (moyens de support de la cuve, moteur, circuits d'eau, moyens de commande
tels que programmateur, boîtes à produits lessiviels, de rinçage, d'assouplissement
etc...).
[0011] Bien au contraire, dans les machines étroites à chargement par le haut, le volume
nécessaire au logement de tous ces moyens nécessite une profondeur P de la machine
et/ou une hauteur H supérieures à celles des machines à chargement frontal. Il en
résulte qu'aucune de ces machines étroites n'est encastrable dans les dimensions normalisées.
Ceci apparaît d'ailleurs clairement dans les catalogues des constructeurs où seules
sont présentées comme machines encastrables les machines à chargement frontal.
[0012] La présente invention concerne une machine à laver le linge qui, tout en étant étroite,
c'est-à-dire en conservant la technique des machines à chargement par le haut, et
bien entendu, en ayant un tambour et donc une cuve de dimensions standard, est encastrable,
c'est-à-dire a une hauteur H fi 82 cm et une profondeur P inférieure à 60 cm, et par
exemple de l'ordre de 57 cm.
[0013] Une machine selon l'invention, qui va à l'encontre des deux lignes actuelles, machines
larges encastrables et machines étroites non encastrables, est caractérisée en ce
que :
- sa hauteur totale H est inférieure ou égale à 82 cm de manière à être encastrable
sous un plan de travail normalisé à 85 cm et d'épaisseur 3 cm ;
- sa profondeur totale P est inférieure à 60 cm de manière à ne pas dépasser d'un
plan de travail normalisé à 60 cm de profondeur et à être alignée avec la face avant
des meubles l'entourant ;
- son tableau de bord est situé en haut de sa face frontale sans dépasser des dimensions
du plan de travail ;
- les différents moyens nécessaires au lavage du linge, et logés dans la carcasse
de la machine, autres que les organes de commande directement connectés au tableau
de bord et les boîtes à produits, et notamment, la cuve, son tambour, et les moyens
de support de cette cuve sur la carcasse sont agencés de manière à laisser libre,
à la partie supérieure de ladite carcasse, l'espace nécessaire aux dits
. organes de commande directement connectés au tableau de bord et aux dites boîtes
à produits.
[0014] D'autres objets, caractéristiques et résultats de l'invention ressortiront de la
description suivante donnée à titre d'exemple non limitatif (et illustrée par les
figures annexées qui représentent :
- les figures 1 et 2, des vues schématiques, respectivement en coupe et de face d'une
machine selon l'invention, encastrée sous un plan de travail normalisé ;
- la figure 3, une vue éclatée des principales parties constituant le châssis et l'habillage
d'une machine selon l'invention ;
- la figure 4, une vue schématique, en coupe d'une machine selon l'invention dans
une version à "cuve suspendue" ;
- la figure 5, une vue montrant comment peut être avantageusement réalisé l'habillage
frontal d'une machine selon l'invention.
[0015] Les figures 1 et 2 représentent schématiquement en coupe de côté, et de face, une
machine à laver étroite à chargement par le haut et encastrable conformément à la
présente invention.
[0016] On voit sur ces figures le plan de travail 1 sous lequel doit être glissée la machine.
Ce plan de travail dont la surface supérieure se trouve, selon les normes actuellement
en vigueur, à 85 cm du sol 2, a une épaisseur également normalisée de 3 cm. L'espace
restant entre le sol et ce plan de travail est donc approximativement de 82 cm. Par
ailleurs sa profondeur normalisée est de 60 cm.
[0017] L'invention se propose, grâce à des agencements qui seront mieux expliqués à l'aide
des figures suivantes, de réaliser une machine étroite, c'est-à-dire dont la largeur
L (voir figure 2) est très nettement inférieure aux dimensions courantes de 60 cm,
et est par exemple de l'ordre de 40 à 45 cm. Comme il a déjà été dit, l'invention
concerne une machine dont la hauteur H est inférieure à 82 cm et dont la profondeur
P est nettement inférieure à 60 cm et par exemple de l'ordre de 57 cm. Ainsi d'une
part la machine peut être aisément glissée sous le plan de travail 1 ; d'autre part
la machine ne dépasse pas en profondeur -du plan de travail 1 malgré les éventuelles
tuyauteries qui peuvent se trouver sur le mur derrière la machine.
[0018] On voit sur la figure 1 notamment la carcasse 3 de la machine qui sera mieux expliquée
à l'aide de la figure 3, carcasse qui enferme et soutient la quasi totalité des organes
nécessaires au fonctionnement de la machine, et notamment la cuve et son tambour.
Cette carcasse 3 est fermée à sa partie supérieure par un dessus 4 sur lequel pivote
le couvercle 40 de la machine qui donne accès à la cuve (non visible sur la figure
1). Elle est fermée à sa partie frontale d'une part par un panneau 5 et d'autre part
par le tableau de bord 6 sur lequel sont disposés les boutons de commande, de la machine.
La partie inférieure de la façade de cette carcasse est enfin fermée par une plinthe
7 traditionnellement un peu en retrait par rapport à la façade du panneau d'habillage
5. Enfin l'ensemble de cette carcasse est muni de pieds réglables 8 qui permettent
d'adapter exactement la hauteur de la machine à la place disponible sous le plan de
travail 1. On a très schématiquement représenté en 9, une boîte à produits destinée
à recevoir l'un ou l'autre des produits nécessaires au lavage du linge.
[0019] Il est clair que pour pourvoir accéder au couvercle 40 de la machine pour le chargement
et le déchargement du linge, le plan de travail 1 doit être muni d'une plaque pivotante
ou amovible 10. Cette plaque peut soit être une partie directement coupée dans le
plan de travail, soit être un repose-plat ou bien encore une planche à découper, tout
ustensile qui peut être utile dans une cuisine.
[0020] La figure 3 illustre schématiquement en une vue éclatée comment est constitué autour
de la carcasse 3, le châssis d'une machine à laver conforme à l'invention, tandis
que la figure 4 illustre un exemple de réalisation à cuve suspendue par des ressorts.
[0021] Selon l'invention, la carcasse 3 de la machine est constituée d'une tôle emboutie
et repliée en U, ouverte vers la partie frontale de la machine. Cette tôle comporte
avantageusement sur ses bords des parties repliées assurant sa solidité mécanique,
tandis qu'elle comporte à sa partie arrière un embouti 11 destiné à loger la partie
la plus proéminente du tambour et de sa cuve, tandis que les parties latérale et inférieure
moins épaisses permettent par. exemple au tuyau d'alimentation et de vidange en eau
de la machine de se loger. Cette carcasse 3 reçoit à sa partie inférieure des traverses
12 et 13 servant notamment de support aux roulettes et aux pieds réglables, et à sa
partie supérieure une traverse 14 disposée à l'avant et des goussets 15 disposés à
l'arrière.
[0022] Le châssis ainsi constitué forme une structure rigide assemblée par exemple par soudure
et susceptible de supporter l'ensemble des composants nécessaires au fonctionnement
de la machine, et notamment l'ensemble suspendu constitué par la cuve, son tambour
et le moteur d'entraînement comme on va le voir sur la figure 4.
[0023] La partie frontale de cette carcasse 3 est fermée à l'avant par un panneau d'habillage
5 surmonté du tableau de bord 6 ; le bas de cette face avant est fermé par la plinthe
7 légèrement en retrait par rapport à l'ensemble de la façade.
[0024] La figure 4 illustre, dans une variante à cuve suspendue comment un agencement particulier
de la cuve et de ses moyens de fixation à la carcasse 3 permet de loger dans l'espace
réduit de cette machine encastrable l'ensemble des composants nécessaires à son fonctionnement.
[0025] Dans l'exemple de réalisation illustré à cette figure, l'ensemble "suspendu" est
constitué par une cuve 20 dans laquelle tourne un tambour 21 entraîné par un moteur
22. L'ensemble "suspendu" est ici effectivement suspendu à la carcasse 3 par des ressorts
dont deux sont visibles en 23 et 24 sur cette figure.
[0026] La technique des cuves suspendues par des ressorts est bien connue en elle-même ;
un amortissement est en outre nécessaire qui est réalisé par des amortisseurs classiques,
non représentés ici pour ne pas alourdir les figures.
[0027] Par contre dans l'exemple de machine décrit ici le mode de fixation des ressorts
est nouveau et original et contribue à permettre la réalisation d'une machine encastrable
selon l'invention.
[0028] En effet, tandis que les deux ressorts tels que 23 disposés à l'arrière de la machine
sont, assez classiquement, montés entre la partie supérieure de la face arrière de
la carcasse 3, ici dans les trous 25 pratiqués dans les goussets 15 (figure 3), et
la partie supérieure de la cuve 20, les deux ressorts avants sont montés d'une façon
nouvelle, vers la partie inférieure de la cuve.
[0029] Cette disposition originale des deux ressorts avant de suspension, entre les bords
frontaux de la carcasse 3 et le bas de la cuve 20 assurent une suspension efficace
tout en libérant de l'espace à la partie frontale supérieure de la machine. Cet espace
libre est mis à profit pour loger les organes de commande 25 associés au tableau de
bord 6.
[0030] Dans un exemple de réalisation, les deux ressorts avant 24 peuvent être accrochés
entre des pièces de fixation 26 fixées au bas de la cuve 20 et des ailes 27 découpées
dans les rebords 28 de la partie frontale de la carcasse 3 (figure 3) et repliées
vers l'avant. Cette fixation sur des ailes 27 perpendiculaires à la paroi frontale
de la machine, et notamment au rebord 28, donne une meilleure rigidité à l'ensemble.
[0031] Il apparaît clairement sur la figure 4 notamment, que cette disposition de la cuve
et de ses organes de fixation à la carcasse (ici les quatre ressorts tels que 23 et
24) laisse disponible l'intérieur de la carcasse 3 à la partie supérieure de la face
frontale de la machine, un espace assez important pour y loger les organes de commande
25 qui doivent être associés au tableau de bord 6.
[0032] Une disposition particulièrement avantageusement consiste comme schématisé sur la
figure 4 à disposer à l'avant de la machine derrière son tableau de bord 6, tous les
organes de commande nécessaires à son fonctionnement et devant être associés à son
tableau de bord, tandis que les boîtes à produits sont disposées à l'arrière de la
machine au-dessus de la cuve 20. Une telle boîte à produits 29 a été schématiquement
représentée. Elle comporte un accès non visible sur la figure lorsque la porte 5 de
la machine est ouverte ; elle déverse le produit qu'elle contient dans la cuve 20
au moment choisi par les organes programmateurs. La boîte 29 symbolisée sur la figure
4 a une forme un peu particulière ; elle correspond en effet à une boîte à poudre
brevetée par la Compagnie Demanderesse le 14 Avril 1980 dans la demande de brevet
français N° 80/08275. Cette forme de boîte particulièrement avantageuse dans le contexte
de cette machine étroite et encastrable n'est, bien entendu, pas la seule possible.
[0033] Il est clair que la partie arrière supérieure de la machine peut comporter un ou
plusieurs boîtes à produits ; il est également clair qu'il est encore possible notamment
grâce à la position basse des ressorts 24 de disposer des boîtes à produits sur la
partie- supérieure avant de la cuve 20, puisque tout l'espace y est laissé disponible.
[0034] La figure 5 représente schématiquement comment les différentes pièces d'habillage
(tableau de bord 6, panneau 5, plinthe 7) peuvent être facilement montées sur la carcasse
3 de la machine. Le panneau avant 5 comporte par exemple des lumières 30 qui viennent
se positionner sur des têtons 31 dépassant des rebords avants 28 de la carcasse 3.
[0035] Le verrouillage de ce panneau 5 est réalisé par des vis 32 pénétrant dans des ouvertures
33 pratiquées à la base du panneau 5 et dans des trous 34 pratiqués à la base des
rebords 28 de la carcasse 3 de la machine. Ces vis 32 servent simultanément à fixer
les plinthes 7 qui viennent recouvrir le bas de la machine.
[0036] Le mode de réalisation à cuve "suspendue" par quatre ressorts tels que 23 et 24,
dont les deux ressorts avants sont déportés vers le bas de la machine par rapport
à ce qu'ils étaient dans l'art antérieur, n'est pas le seul exemple de réalisation
possible d'une machine étroite et encastrable conforme à l'invention. En effet, l'invention
consiste, de manière générale, à avoir prévu une disposition et un aménagement intérieur
à la carcasse 3 tels que les dimensions totales de la machine ne dépassent jamais
une hauteur totale de 82 cm et une profondeur totale de l'ordre de 57 cm, tout en
conservant une largeur faible, et notamment très inférieure à 60 cm.
1. Machine à laver le linge étroite, à chargement par le haut, caractérisée en ce
que :
- sa hauteur totale H est inférieure ou égale à 82 cm de manière à être encastrable
sous un plan de travail (1) normalisé à 85 cm et d'épaisseur 3 cm ;
- sa profondeur totale P est inférieure à 60 cm de manière à ne pas dépasser d'un
plan de travail (1) normalisé à 60 cm de profondeur et à être alignée avec la face
avant des meubles l'entourant ;
- son tableau de bord (6) est situé en haut de sa face frontale sans dépasser des
dimensions du plan de travail ;
- les différents moyens nécessaires au lavage du linge, et logés dans la carcasse
(3) de la machine, autres que les organes de commande (25) directement connectés au
tableau de bord (6) et les boîtes à produits (9, 29), et notamment, la cuve (20),
son tambour (21), et les moyens de support de cette cuve (20) sur la carcasse (3)
sont agencés de manière à laisser libre, à la partie supérieure de ladite carcasse,
l'espace nécessaire aux dits organes de commande (25) directement connectés au tableau
de bord (6) et aux dites boîtes à produits (9, 29).
2. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que, la cuve (20) étant une
cuve suspendue à la carcasse (3) de la machine par des ressorts montés entre la carcasse
et la cuve à l'avant et à l'arrière de la machine, les ressorts arrière (23) sont
fixés entre le haut de la carcasse (3) et le haut de la cuve tandis que les ressorts
avant (24) maintiennent la cuve (20) par sa partie basse, libérant l'espace situé
à la partie haute de la carcasse (3).
3. Machine selon la revendication 2, caractérisée en ce que l'espace situé au dessus
de la cuve, à la partie frontale de la machine est au moins partiellement occupé par
les moyens de commande (25) liés au tableau de bord (6) tandis que l'espace situé
au dessus de la cuve, à la partie arrière de la machine, est occupé par les boîtes
à produits (9, 29).
4. Machine selon la revendication 3, caractérisée en ce que l'espace situé au dessus
de la cuve, à la partie frontale de la machine comporte également au moins une boîte
à produit.
5. Machine selon la revendication 1, caractérisée en ce que la carcasse (3) est une
carcasse en U ouverte à l'avant de la machine, en ce que la porte (40) d'accès à la
cuve (20) et au tambour (21) est fixée sur un haut (4) venant fermer le haut de la
carcasse (3) et en ce que la partie frontale de la carcasse (3) est fermée, de haut
en bas, par le tableau de bord (6), par un panneau d'habillage (5) et par une plinthe
(7).
6. Machine selon la revendication 5, caractérisée en ce que la carcasse en U (3) est
complétée par des traverses frontales inférieures (12 et 13) et supérieure (14), et
par des goussets (15) fixés à sa partie arrière supérieure.
7. Machine selon les revendications 2 et 6, caractérisée en ce que les ressorts arrières
(23) de suspension de la cuve (20) sont accrochés, à leur extrémité supérieure, dans
des trous (25) pratiqués dans les goussets (15).
8. Machine selon la revendication 6, caractérisée en ce que les ressorts avant (24)
de suspension de la cuve (20) sont accrochés, à leur extrémité supérieure, dans des
trous pratiqués dans des ailes (27) perpendiculaires à la face frontale de la carcasse
(3).