[0001] On sait que les collecteurs des machines à courant continu doivent être rectifiés
de temps à autre pour fonctionner correctement. Il en va d'ailleurs de même des bagues
tournantes de liaison entre un rotor et les circuits fixes correspondants. Ce travail
de rectification peut s'effectuer au tour après dépose de l'induit ou rotor, mais
on peut aussi procéder par meulage, sans démontage préalable de celui-ci. C'est ainsi
qu'on opère souvent à l'aide d'une pierre abrasive fixée à un chariot approprié et
qu'on fait avancer progressivement en direction de l'axe jusqu'à éliminer tous les
défauts d'excentricité ainsi que toutes les irrégularités superficielles éventuelles.
Bien entendu le chariot doit être supporté par un dispositif rigidement solidaire
de la machine électrique considérée et cela pose des problè- les parfois très difficiles.
[0002] Dans le cas particulier des moteurs de véhicules électriques sur rails on procède
en général en ouvrant la porte de visite du moteur considéré, en enlevant le porte-balais
simple ou multiple qui lui fait face et en montant sur le support de celui-ci l'embase
ou socle qui porte le chariot auquel est fixée la pierre abrasive, le tout se trouvant
au moins en grande partie à l'intérieur du moteur, dans un espace réduit qui oblige
à utiliser des mécanismes de petites dimensions, difficiles à actionner par l'opérateur
et qui doivent être entièrement commandés à la main. Ce mode opératoire, qui doit
être répété pour chacun des moteurs du véhicule intéressé, est en pratique très long
et très délicat à mettre en oeuvre.
[0003] L'invention vise à remédier à cet inconvénient et à permettre de réaliser une machine
grâce à laquelle l'ensemble des opérations nécessaires peut être considérablement
simplifié.
[0004] Conformément à l'invention la machine est dimensionnée et agencée de façon à pouvoir
se fixer non seulement à une pièce intérieure du moteur, telle qu'un support de porte-balai,
mais également, si on le désire, à la partie extérieure de ce moteur.
[0005] On comprend qu'ainsi l'on n'est plus limité par le volume de l'espace interne disponible
à l'intérieur du moteur. On peut donc faire comporter à la machine tous les mécanismes
désirables pour faciliter sa manoeuvre et la rendre automatique, au moins en partie,
si on le désire.
[0006] Dans une forme d'exécution, la machine suivant l'invention, plus particulièrement
destinée à être placée dans une fosse usuelle d'entretien et de réparation des véhicules
sur rails, comprend un premier chariot propre à rouler au fond de la fosse suivant
la longueur de la voie, un second chariot monté sur le premier de façon à pouvoir
se déplacer transversalement à lui, une tourelle portée par le second chariot de manière
à pouvoir tourner sur lui autour d'un axe vertical, un bras, préférablement en forme
de parallélogramme articulé, fixé à cette embase, un premier support porté par ce
parallélogramme de manière à pouvoir tourner par rapport à lui autour d'un axe substantiellement
vertical, un second support articulé au premier autour d'un axe substantiellement
horizontal, des moyens permettant de fixer le second support à une pièce non tournante
du moteur ou autre comportant l'organe à rectifier, un chariot porte-outil porté par
le second support de façon à pouvoir se déplacer sur lui suivant une direction substantiellement
horizontale, des moyens pour entraîner en va-et-vient ce chariot porte-outil parallèlement
à l'axe du moteur, et des moyens pour faire avancer vers l'organe à rectifier l'outil
porté par le chariot porte-outil précité.
[0007] On comprend qu'une telle machine permet aux opérateurs d'amener aisément le chariot
porte-outil à la position exacte voulue, de l'y fixer, puis d'assurer la rectification.
[0008] Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention,
les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de
procurer :
Fig. 1 est une vue en bout d'une machine suivant l'invention disposée au fond d'une
fosse de visite et d'entretien de véhicules sur rails, le système de tuyère d'aspiration
supposé enlevé et les prolongements vers le bas des bras du parallélogramme articulé
étant coupés pour la clarté du dessin.
Fig. 2 est la vue de côté correspondant à fig. 1.
Fig. 3 est une vue de détail de l'ensemble des pièces portées par le parallélogramme
articulé, en supposant que la liaison entre la machine et l'ensemble non tournant
du moteur de traction intéressé s'effectue par l'intermédiaire du support de porte-balais.
Fig. 4 montre schématiquement comment on réalise la phase finale de nettoyage et de
polissage du collecteur rectifié.
Fig. 5 est une vue semblable à celle de fig. 3, mais en supposant que la liaison machine-moteur
est réalisée au niveau de l'ouverture de la porte de visite.
[0009] En fig. 1 et 2 la référence 1 désigne le niveau du sol. On a creusé une première
fosse à un niveau inférieur 2, puis une seconde plus étroite dans l'axe de la précédente
à un niveau 3. Les rails 4 de la voie sont portés par des piliers 5 à un niveau supérieur
à celui 1 du sol.
[0010] Sur le fond de la première fosse, soit donc au niveau 2, roule un chariot 6, ou chariot
primaire,-supporté par des roulettes 7 et guidé dans le sens longitudinal par rapport
à la voie par d'autres roulettes 8 à axe horizontal qui portent contre les parois
verticales bordant la fosse centrale (niveau 3). Le chariot 6 supporte à son tour
des rails transversaux 9 à profil en U, sur lesquels peuvent se déplacer les roulettes
10 d'un chariot secondaire 11. Sur ce dernier est montée à rotation une tourelle verticale
12 équipée de deux flasques 13 portant des roulettes 14 entre lesquelles peuvent se
déplacer des rails 15 solidaires d'un chariot horizontal 16 en forme de cage. Aux
faces intérieures du chariot 16 sont articulés quatre bras 17 dont les extrémités
sont attelées à une pièce 18 de manière à constituer deux parallélogrammes déformables
parallèles. En fig. 1, ces parallélogrammes sont disposés dans deux plans verticaux
symétriques par rapport au plan vertical moyen du chariot 16. Dans la coupe de fig.
2, l'on n'aperçoit qu'un seul d'entre eux. On notera que les deux bras 17 supérieurs
se prolongent à l'opposé de la pièce 18 de façon à porter un moteur à réducteur 19
propre à assurer la commande du déplacement de la pierre de rectification, ainsi qu'on
le verra plus loin, et qui en outre joue le rôle de contrepoids d'équilibrage au moins
approximatif de la charge que supportent les bras 17.
[0011] Fig. 1 montre bien la conformation de la pièce 18, savoir une partie centrale verticale
solidaire de deux traverses aux extrémités desquelles sont articulés les bras 17.
La partie centrale est creuse et sert de moyeu à un axe vertical qui porte en bout
une fourche 20 orientée vers le haut de façon à constituer un premier support. Aux
extrémités supérieures de celle-ci est prévu un axe horizontal 21 (fig. 3) qui supporte
un bâti ou second support fait de deux flasques latéraux 22 assemblés par des traverses
23 (fig. l).
[0012] Les traverses 23 forment guides à coulissement pour un chariot porte-outil 24 (fig.
1) qui peut ainsi se déplacer horizontalement sur eux en va et vient sous l'effet
d'une biellette 25 attelée à un maneton 26 porté de façon excentrée par un plateau
27 monté à rotation sur une oreille latérale du bâti 22-23. L'axe de ce plateau 27
est relié au moteur 19 par une transmission flexible 28 (fig. 2).
[0013] Le chariot 24 se prolonge vers le haut par une partie coulissante 29 propre à porter
la pierre abrasive 30 (fig. 3) destinée à rectifier le collecteur 31 considéré. On
notera que normalement cette pierre se trouve légèrement en aval de la génératrice
la plus basse de ce collecteur supposé en rotation dans le sens de la flèche F en
fig. 3 et 4. Immédiatement en aval de la pierre 30 il est prévu une buse d'aspiration
32 de section relativement importante, qui s'ouvre au voisinage immédiat du collecteur
31 et substantiellement dans l'axe de cette buse est disposée une tuyère de soufflage
33 de section beaucoup plus faible alimentée en air sous pression à partir d'une canalisation
non détaillée, qui peut être disposée à l'intérieur du tuyau souple 34 (fig. 3) auquel
la buse 32 est reliée. L'ensemble de cette buse 32 et de la tuyère 33 est fixé au
chariot 24 de façon à se déplacer en va-et-vient avec lui.
[0014] Il est à noter que pour la clarté du dessin la buse aspirante 32 et la tuyère 33
ont été supposées enlevées en fig. 1.
[0015] Le châssis 22 est solidaire d'un cadre 35 propre à venir se disposer au-dessous de
l'ouverture d'accès 36 prévue à la façon habituelle dans le bas du carter du moteur
auquel correspond le collecteur 31. Dans ce cadre sont montés des pions de centrage
verticaux 37 sollicités vers le haut par des ressorts individuels 38, mais qu'on peut
abaisser à l'encontre de ceux-ci à l'aide de boutons 39, puis enclencher en position
effacée par des encoches à baïonnette 40 pratiquées dans des gaines de guidage 41.
D'autre part sur le châssis 22 peut venir se fixer une pièce de liaison 42 dont le
rôle sera exposé plus loin.
[0016] Pour commander l'avance verticale de la partie coulissante 29 du chariot 24 on a
prévu la disposition classique consistant en une manette de commande latérale 43 (fig.
1) qui entraîne une vis sans fin 44, laquelle entraîne à son tour par un système de
denture hélicoïdale un arbre vertical 45 comportant une partie filetée engagée à l'intérieur
d'un alésage fileté correspondant de ladite partie 29. Cet agencement étant bien connu
dans la technique on n'en a pas indiqué les détails sur le dessin. Mais un point particulier
à signaler est que pour éviter que la manette 43 ne soit entraînée dans le mouvement
de va-et-vient horizontal dont est animé le chariot 24, on a monté la vis sans fin
44 à clavette coulissante sur son arbre 46 en ayant soin de prévoir des moyens, tels
que des paliers de retenue latérale, pour qu'elle reste centrée par rapport à l'arbre
vertical 45. En outre en vue d'éviter toute fausse manoeuvre on a incorposé à la manette
43 un dispositif à friction intervenant dans le sens de l'avance pour limiter la pression
de la pierre sur le collecteur.
[0017] La machine qu'on vient de décrire s'utilise comme suit :
[0018] On commence par soulever la partie du véhicule où se trouve le moteur intéressé jusqu'à
ce que les roues dont celui-ci est solidaire en rotation ne touchent plus les rails
4. On enlève la porte pour découvrir l'ouverture 36, on démonte le ou les porte-balais
inférieurs à travers celle-ci, puis on déplace les deux chariots 6 et 11, et l'on
fait tourner la tourelle 12 de façon que le cadre 35 se trouve approximativement au-dessous
de l'ouverture 36 précitée. Les pions 37 étant en position effacée, on relève alors
progressivement les bras 27, on retouche plus ou moins grossièrement la position longitudinale
du chariot inférieur 6 et l'on parfait le réglage longitudinal en déplaçant le chariot
16 jusqu'à arriver à amener la pièce de liaison 42 contre le support 47 (fig. 2 et
3) du porte-balais démonté et à la fixer à celui-ci par le moyen de vis ou boulons
appropriés. Il est important de noter à cet égard que l'articulation de la fourche
20 aux flasques 22 permet de compenser les obliquités éventuelles dans le sens longitudinal
résultant par exemple du soulèvement d'un boggie. Celles correspondant au sens transversal
sont beaucoup moins importantes et sont absorbées en pratique par les jeux inévitables
et par l'élasticité des pièces.
[0019] On fait alors tourner dans le sens de la flèche F le moteur auquel correspond le
collecteur 31 à rectifier, ce qui ne. comporte aucune difficulté, puisque les roues
qu'il entraîne sont soulevées. On met en marche sur la machine le moteur 19 qui commande
par le flexible 28 le va-et-vient du chariot 24 et par conséquent de la pierre 30.
Il suffit alors d'approcher progressivement cette dernière par la manette 43 pour
qu'elle vienne porter contre le collecteur et assurer sa rectification sur toute sa
longueur.
[0020] Au cours de ce travail les poussières métalliques dégagées passent devant la tubulure
d'aspiration 32 qui les élimine, la tuyère 33 détachant celles qui tendraient à rester
adhérentes au collecteur.
[0021] Bien entendu, ce qui précède suppose que la course du chariot 24 correspond à la
longueur du collecteur, mais si tel n'est pas le cas, il est facile de régler cette
course, par exemple par mise en oeuvre des dispositifs de manetons à rayon de longueur
réglable, bien connus dans la technique.
[0022] On notera encore qu'en fig. 1 on a supposé que les bras 17 se trouvaient exactement
dans un plan longitudinal. Mais on conçoit qu'il puisse en aller autrement, notamment
quand le collecteur est fortement déporté sur le côté par rapport à l'axe de la voie.
En pareil cas on fait tourner la tourelle 12 de l'angle voulu et l'on rattrape l'obliquité
grâce à la possibilité de rotation de la fourche 20 dans la pièce 18. Il est à remarquer
à cet égard que lorsqu'on se trouve entre deux piliers 5 successifs on peut toujours
décaler fortement le chariot 11 dans le sens latéral en utilisant à cet effet des
rails latéraux 9' (fig. 1) qui dépassent sur chaque côté, mais qu'on peut soulever
à la position indiquée en traits mixtes quand on passe au droit d'un pilier 5.
[0023] Une fois le travail de rectification terminé, on démonte la pierre 30 et on la remplace
par une brosse 48 (fig. 4), par exemple en Nylon. En continuant à faire tourner le
moteur de la motrice et celui 9 de la machine, on achève d'éliminer les poussières
et de polir le collecteur.
[0024] On notera qu'en fig. 4 on a représenté une pointe 49 venant au contact du collecteur
31. Il s'agit d'un palpeur qu'on fixe à la partie coulissante 29 du chariot porte-outil
24 de façon à vérifier que le travail de rectification a bien été correctement effectué
et que le collecteur est parfaitement cylindrique.
[0025] Il suffit ensuite de démonter la fixation au porte-balais 45, d'abaisser les bras
27, de retirer la machine, de remonter le porte-balai, de refermer la porte de visite
et enfin d'abaisser le véhicule sur ses rails.
[0026] Dans certains cas les locomotives ou autres véhicules sur rails dont on désire rectifier
le collecteur comportent une porte de visite usinée de façon à se trouver à une position
très exactement définie par rapport au collecteur du moteur considéré. En pareil cas
on peut avoir avantage à procéder un peu différemment de ce qu'on vient d'exposer.
La pièce de liaison 42 étant enlevée, avant de relever les bras on prend soin de dégager
les pions 37 de façon qu'ils dépassent nettement au-dessus du cadre 35 (fig. 5). On
les introduit alors dans les perforations 47 prévues dans le rebord de l'ouverture
36 de la porte de visite. On peut ainsi centrer très exactement le cadre 35, puis
le fixer à l'ouverture 36 par le moyen de boulons appropriés. Il est notamment possible
de prévoir un nombre de pions 37 nettement inférieur à celui des perforations 47 et
d'utiliser celles de ses dernières non traversées par de tels pions pour recevoir
les boulons de fixation. On procède ensuite à la façon exposée plus haut.
[0027] Il doit d'ailleurs être entendu que la description qui précède n'a été donnée qu'à
titre d'exemple et qu'elle ne limite nullement le domaine de l'invention dont on ne
sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution décrits par tous autres équivalents.
On conçoit notamment que bien que la machine suivant l'invention ait été décrite dans
son application au matériel ferroviaire, elle peut s'utiliser dans tous les cas posant
des problèmes analogues. C'est ainsi qu'elle peut parfaitement assurer la rectification
des bagues des rotors d'alternateurs dans les centrales toutes les fois qu'il a été
prévu un espace suffisant au-dessous des bagues considérées.
1. Machine pour la rectification des organes tournants de liaison électrique, et notamment
des collecteurs de moteurs de traction, avec système de chariot porte-outil se fixant
à une partie non tournante du moteur ou autre, caractérisée en ce qu'elle est dimensionnée
et agencée de façon à pouvoir se fixer non seulement à une pièce intérieure du moteur,
telle qu'un support de porte-balai, mais également, si on le désire, à la partie extérieure
de ce moteur.
2. Machine suivant la revendication 2, caractérisée en ce qu'elle comprend en combinaison
les éléments suivants dont certains au moins sont connus soit à l'état isolé, soit
dans des combinaisons différentes de celle ci-après :
- un chariot primaire (6) pouvant rouler dans une fosse située sous l'organe à rectifier
(31) ;
- un chariot secondaire (11) propre à se déplacer sur le chariot primaire (6) tranversalement
par rapport à celui-ci ;
- une tourelle (12) portée par le chariot secondaire (11) et pouvant tourner autour
d'un axe substantiellement vertical ;
- un système de bras (17) articulé à la tourelle (12) autour d'un axe substantiellement
horizontal ;
- un premier support (20) articulé aux bras (17) autour d'un axe substantiellement
vertical ;
- un second support (22) articulé au premier (20) autour d'un axe substantiellement
horizontal ;
- des moyens (35 ; 42) permettant de fixer le second support (22) à une pièce non
tournante (36 ; 42) du moteur ou autre comportant l'organe à rectifier ;
- un chariot porte-outil (24) porté par le second support (22) de façon à pouvoir
se déplacer sur lui suivant une direction substantiellement horizontale ;
- des moyens (25, 26, 27) pour entraîner en va-et-vient le chariot porte-outil (24)
;
- et des moyens (43, 46, 44) pour faire avancer vers l'organe à rectifier l'outil
porté par le chariot porte-outil précité.
3. Machine suivant la revendication 2, caractérisée en ce que le chariot primaire
(6) est prévu de façon à rouler longitudinalement au fond d'une fosse (2) ménagée
sous une voie ferrée (4) pour permettre la vérification et la réparation du matériel
roulant.
4. Machine suivant la revendication 3, caractérisée en ce que le chariot secondaire
(11) roule sur des.rails transversaux (9) comportant des prolongements latéraux (9')
susceptibles d'être effacés au droit des piliers (5) qui supportent la voie (4).
5. Machine suivant l'une quelconque des revendications 2 à 4, caractérisée en ce que
le bras (17) est établi sous la forme d'un parallélogramme articulé afin que l'axe
d'articulation du premier support (20) soit toujours vertical.
6. Machine suivant l'une quelconque des revendications 2 à 5, caractérisée en ce que
les moyens pour entraîner en va-et-vient le chariot porte-outil (24) comprennent un
moteur auxiliaire (19) porté par le système de bras de façon à former contre-poids.
7. Machine suivant l'une quelconque des revendications 2 à 6, caractérisée en ce que
le second support (22) est agencé de manière à pouvoir se fixer à un support de porte-balais
(47).
8. Machine suivant l'une quelconque des revendications 2 à 6, caractérisée en ce que
le second support (22) est agencé de manière à pouvoir se fixer à l'ouverture (36)
d'une porte de visite du moteur ou autre.
9. Machine suivant la revendication 8, caractérisée en ce que le second support (22)
est équipé de pions effaçables (37) qui permettent son centrage exact par rapport
aux orifices de fixation du couvercle de la porte de visite.
10. Machine suivant l'une quelconque des revendications qui précèdent, caractérisée
en ce qu'elle comprend un système de soufflage et d'aspiration (32, 33) des poussières
dégagées par la rectification.
11. Machine suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée
en ce que le porte-outil (24) est agencé de façon à pouvoir recevoir une pointe palpeuse
(49) permettant de vérifier le travail de rectification.
12. Machine suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée
en ce que le porte-outil (24) peut également recevoir une brosse (48) propre à balayer
les poussières restées adhérentes à la surface rectifiée.