| (19) |
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(11) |
EP 0 089 909 B1 |
| (12) |
FASCICULE DE BREVET EUROPEEN |
| (45) |
Mention de la délivrance du brevet: |
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21.08.1985 Bulletin 1985/34 |
| (22) |
Date de dépôt: 17.03.1983 |
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| (54) |
Dispositif de commande électromécanique pour porte basculante
Electromechanische Steuervorrichtung für ein Kipptor
Electromechanical control device for an up-and-over door
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| (84) |
Etats contractants désignés: |
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AT BE CH DE GB IT LI LU NL SE |
| (30) |
Priorité: |
22.03.1982 FR 8204955 11.03.1983 FR 8304193
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| (43) |
Date de publication de la demande: |
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28.09.1983 Bulletin 1983/39 |
| (71) |
Demandeur: Bubendorff, Richard |
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F-68220 Hegenheim (FR) |
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| (72) |
Inventeur: |
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- Bubendorff, Richard
F-68220 Hegenheim (FR)
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| (74) |
Mandataire: Aubertin, François |
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c/o Cabinet Innovations et Prestations SA
4, rue de Haguenau 67000 Strasbourg 67000 Strasbourg (FR) |
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| Il est rappelé que: Dans un délai de neuf mois à compter de la date de publication
de la mention de la délivrance de brevet européen, toute personne peut faire opposition
au brevet européen délivré, auprès de l'Office européen des brevets. L'opposition
doit être formée par écrit et motivée. Elle n'est réputée formée qu'après paiement
de la taxe d'opposition. (Art. 99(1) Convention sur le brevet européen). |
[0001] L'invention concerne un dispositif de commande électromécanique pour porte basculante,
notamment pour porte basculante de garage composée d'un ouvrant équilibré par des
contrepoids latéraux reliés audit ouvrant par des chaînes et coulissant dans des glissières
verticales solidaires des montants d'un dormant, ces chaînes étant actionnées par
des pignons dentés entraînés par un élément moteur.
[0002] Pour les garages et/ou les remises, on utilise des portes basculantes actionnées
par des dispositifs de commande assurant l'ouverture et/ou la fermeture automatique
de l'ouvrant.
[0003] Ainsi, on connaît déjà par le brevet FR-A-2 399 526 une porte basculante, en particulier
porte de garage, dont le battant est guidé par des tétons de guidage, ou similaires,
dans des rails verticaux des branches latérales du châssis de porte et par des barres-guides
fixées sur le battant au-dessus desdits tétons de guidage et, par leur autre extrémité,
dans la zone de la branche transversale supérieure du châssis de porte, et prend en
position d'ouverture une position semblable à celle occupée au-delà du point mort,
dans laquelle les tétons de guidage se trouvent plus haut que les points où sont articulées
les barres-guides sur le battant, tandis que des ressorts ou des poids attaquant,
de préférence, sur les tétons de guidage pour compenser le poids et un dispositif
d'entraînement équipé d'un moteur électrique à sens inversable, sont prévus pour le
battant de porte. Le moteur entraîne, de manière connue en soi, par l'intermédiaire
d'un mécanisme de transmission et d'un accouplement limitant le couple moteur transmissible,
un arbre placé parallèlement à la branche transversale supérieure du châssis mais
décalé par rapport aux points d'articulation des barres-guides, que sur l'arbre sont
prévus des leviers de butée ou similaires qui peuvent être amenés à partir du haut
d'une position hors contact en position de contact sur les barres-guides, lorsque
le battant est ouvert, et qui sont en complément reliés aux dites barres-guides par
l'intermédiaire de ressort sous tension en position hors contact, et par le fait que
pour l'entraînement du battant de porte à partir de la position d'ouverture jusqu'au
delà de la position du point mort, des bras de chasse ou similaires distincts sont
prévus qui agissent directement sur le battant de porte, sont entraînés par l'arbre
et de préférence reliés aux leviers.
[0004] De même, on connaît par le brevet FR-A-2375418 une commande électromécanique pour
porte basculante, notamment porte de garage, caractérisée en ce qu'un bandeau transversal
placé au-dessus de l'entrée du local et porté par des rails de guidage verticaux du
panneau de porte, prévus de part et d'autre de l'ouverture d'entrée, sert à la fixation
d'un moteur électrique associé à un mécanisme réducteur à arbre creux, ce moteur étant
en liaison dynamique par l'intermédiaire d'un embrayage avec un arbre traversant dont
chaque extrémité porte un pignon entraînant un ensemble constitué par une chaîne qui
est conduite sur trois pignons de renvoi et commande le mouvement de la porte par
l'intermédiaire d'un curseur monté sur un bras articulé sur l'un des côtés de l'ouverture
d'entrée du local.
[0005] Toutefois, il est nécessaire de prévoir, d'une part, des moyens assurant le fonctionnement
du mécanisme de commande afin qu'il déplace la porte vers la position d'ouverture
lorsque le circuit de commande est actionné alors que la porte se trouve dans une
autre position et, d'autre part, des moyens de sécurité provoquant la modification
du sens de rotation du moteur-réducteur entraînant l'ouvrant lorsque ce dernier rencontre
un obstacle.
[0006] Ainsi, on connaît par le brevet FR-A-2 433 092 un appareil de manoeuvre d'une porte
comprenant un mécanisme de commande qui peut être relié à une porte et qui peut être
actionné pour déplacer cette dernière dans un sens ou dans l'autre, entre des positions
d'ouverture et de fermeture, un moteur réversible, qui peut être mis en marche sélectivement
et qui est relié au mécanisme de commande afin d'actionner ce dernier pour déplacer
la porte entre les positions d'ouverture et de fermeture, et un circuit de commande
pouvant être actionné sélectivement et relié à une source d'alimentation en énergie
et au moteur afin de commander l'alimentation de ce dernier. Le circuit de commande
comprend un circuit d'initialisation du cycle de fonctionnement du moteur qui, sous
l'effet de l'application d'énergie après l'installation de l'appareil de manoeuvre
de la porte et sous l'effet du rétablissement de l'alimentation en énergie après une
coupure de cette alimentation, établit le cycle de fonctionnement du moteur afin que
ce dernier soit alimenté initialement pour actionner la mécanisme de commande afin
qu'il déplace la porte vers la position de fermeture lorsque le circuit de commande
est actionné alors que la porte se trouve en position d'ouverture, et afin que ledit
moteur soit mis en marche pour actionner le mécanisme de commande afin qu'il déplace
la porte vers la position d'ouverture lorsque le circuit de commande est actionné
alors que la porte se trouve dans une autre position.
[0007] Par ailleurs, on connaît par le certificat d'utilité FR-A-2 349 015 un dispositif
de sécurité pour portes basculantes à commande électrique, caractérisé en ce que le
pignon de chaîne d'entraînement de la porte est placé sous la dépendance d'un système
d'accouplement à limiteur d'effort dont l'un des éléments peut être déplacé sous l'effet
d'une augmentation du couple résistant appliqué audit pignon, ce déplacement étant
mis à profit pour commander un interrupteur interposé dans le circuit d'alimentation
du moto-réducteur d'entraînement. Le système d'accouplement est constitué par deux
plateaux d'entraînement, calés sur l'arbre de sortie du moto-réducteur, entre lesquels
est enserré et peut tourner le pignon de chaîne, ce dernier en étant rendu solidaire
au moyen de billes, logées dans des trous circonférentiels de sa partie centrale,
lesdites billes présentant un diamètre supérieur à son épaisseur afin de coopérer
avec des fraisures des faces en contact correspondantes des plateaux dont l'un, mobile
axialement, porte un disque de commande de l'interrupteur et est constamment soumis
à l'action d'un ressort l'appliquant contre ledit pignon.
[0008] De même, on connaît déjà un autre dispositif de sécurité composé d'une barre de touche
placée à la partie inférieure de l'ouvrant qui, en entrant en contact avec l'obstacle,
provoque dans un premier temps l'arrêt de l'élément moteur entraînant l'ouvrant et
dans un second temps la rotation inverse de cet élément moteur pour relever ledit
ouvrant.
[0009] On connaît également des dispositifs de sécurité comportant une cellule photo-électrique
agissant sur l'élément moteur lorsque le rayon de cette cellule est coupé par un objet
quelconque.
[0010] Toutefois, ces dispositifs connus présentent plusieurs inconvénients, notamment les
moyens électriques utilisés pour la fermeture et le verrouillage de l'ouvrant sont
très complexes et, de ce fait, non seulement leuir prix de revient est très onéreux
mais encore, en raison de la multiplicité des différents éléments peu fiables. De
plus, lors d'une coupure de courant, il est nécessaire de dissoudre la liaison entre
le moteur électrique et l'ouvrant. Cependant, le moteur électrique se trove à l'intérieur
et, de ce fait, il n'est pas possible d'accéder au moteur si le garage ne comporte
pas une ouverture supplémentaire.
[0011] En ce qui concerne les dispositifs de sécurité connus, ils ne présentent pas de sécurité
suffisante En effet, lorsque l'ouvrant pourvu d'une barre de touche se trouve dans
une certaine inclinaison, le contact entre l'obstacle et la barre de touche est insuffisant
pour actionner cette dernière. L'utilisation d'une cellule photo-électrique ne donne
pas de garantie de sécurité puisqu'il suffit que l'obstacle ne se trouve pas dans
l'axe du rayon de la cellule photo-électrique.
[0012] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients. L'invention, telle
qu'elle est caractérisée dans les revendications, se propose de remplacer, pour le
dispositif de commande de l'ouvrant d'une porte basculante, les moyens électriques
par des moyens électromécaniques assurant non seulement l'ouverture et la fermeture
de l'ouvrant mais également son déverrouillage et son verrouillage même en cas de
coupure de courant, la dissolution de la liaison entre les moyens électriques et les
moyens mécaniques se faisant depuis l'extérieur.
[0013] Les avantages obtenus grâce à cette invention consistent essentiellement en ce que
l'on augmente la sécurité du fait que le simple contact entre l'extrémité inférieure
de l'ouvrant et l'obstacle provoque le relèvement automatique dudit ouvrant. Par ailleurs,
on supprime toute interférence entre la commande électrique et la commande manuelle
du dispositif pour éviter qu'en de commande manuelle la porte se ferme inopinément.
[0014] L'invention est exposée ci-après plus en détail à l'aide de dessins représentant
seulement un mode d'exécution.
La figure 1 représente en vue en plan en coupe partielle le dispositif de commande
électromécanique d'une porte basculante conforme à l'invention.
La figure 2 représente en vue latérale les moyens de fermeture de la porte basculante.
La figure 3 représente en vue latérale les moyens de verrouillage de la porte basculante.
La figure 4 représente en vue en plan les moyens d'entraînement des pignons dentés
s'engrénant avec les chaînes reliant les contrepoids à l'ouvrant.
La figure 5 représente en vue en élévation le dispositif de sécurité.
La figure 6 représente en vue latérale ce dispositif de sécurité.
La figure 7 représente en vue en élévation une variante du dispositif de commande
électromécanique pour porte basculante.
La figure 8 représente en vue en plan le dispositif selon la figure 7.
La figure 9 représente une vue latérale selon flèche Fi de la figure 7.
La figure 10 représente une vue en coupe selon ligne de coupe X-X de la figure 7.
La figure 11 représente une vue en coupe selon ligne de coupe XI-XI de la figure 7.
[0015] On se réfère aux figures 1 à 3.
[0016] Comme connu en soi, une porte basculante, notamment une porte basculante de garage
comporte un dormant composé de deux montants reliés à leur partie supérieure par un
linteau 1 placé horizontalement et présentant sur sa face externe 2 un rebord vertical
3 dirigé vers le bas et contre lequel vient buter, en position de fermeture, l'ouvrant
4.
[0017] On fixe sur la face arrière 5 du linteau 1 une traverse 6 comportant à chacune de
ses extrémités 7, 8 deux supports 9, 10 placés perpendiculairement par rapport à la
face interne 11 de la traverse 6 et dirigés vers l'intérieur du garage. On pratique
dans l'un des supports 10 un alésage 12 dans lequel est logé un roulement à billes
13. La bague interne 14 de ce roulement à billes 13 coiffe un décrochement 15 réalisé
dans une des faces 16 d'un pignon moteur 17. Ce pignon moteur 17 est enfilé sur un
arbre 18 d'un élément moteur 19 tel qu'un moteur électrique. Un axe transversal 20
assure la liaison entre l'arbre 18 et le pignon moteur 17 pour rendre ce dernier solidaire
en rotation dudit arbre 18. L'élément moteur 19, comportant un frein mécanique (non
visible), est maintenu en place par un support 21 solidaire de la face interne 11
de la traverse 6.
[0018] Le pignon moteur 17 s'engrène avec un pignon mené 22 disposé à l'une des extrémités
23 d'un temporisateur mécanique 24. Ce dernier se compose d'un élément tubulaire 25
placé parallèlement à l'élément moteur 19. Le pignon mené 22 n'est pas solidaire en
rotation dudit élément tubulaire 25. Ce dernier renferme un élément élastique 26 tel
qu'un ressort hélicoïdal. Le diamètre intérieur de cet élément tubulaire 25 est pratiquement
identique au diamètre extérieur du ressort hélicoîdal 26 lorsque ce dernier est en
phase de repos. L'une des extrémités 27 de ce ressort hélicoïdal 26 est engagée dans
un orifice 28 réalisé dans un bossage 29 réalisé sur une des faces 30 du pignon mené
22, ce bossage 29 étant enfilé dans l'élément tubulaire 25. L'autre extrémité 31 dudit
ressort hélicoïdal 26 est engagée dans un orifice 32 réalisé dans une bague de réglage
33 solidaire en rotation de l'élément tubulaire 25, la bague de réglage 33 étant maintenue
par une vis de serrage 34.
[0019] En impliquant au pignon mené rotation dans un sens, on provoque la compression du
ressort hélicoïdal 26. En impliquant au pignon mené 22 une rotation de sens contraire
au précédent, on remet le ressort hélicoïdal 26 à sa position de repos. En continuant
à tourner le pignon mené 22 dans ce dernier sens, le ressort hélicoïdal 26, ne pouvant
se détendre en raison de l'élément tubulaire 25, transmet le mouvement de rotation
qu'il reçoit à l'une de ses extrémités 27 par le pignon mené 22 à l'aure extrémité
31 qui, elle, entraîne en rotation la bague de réglage 33 et, par voie de conséquence,
le temporisateur mécanique 24.
[0020] Ce dernier, ainsi que le pignon mené 22, sont traversés de part en part par un arbre
d'entraînement 35 solidaire en rotation uniquement du temporisateur mécanique 24 mais
non pas du pignon mené 22. L'arbre d'entraînement 35 est maintenu par des roulements
à billes 36, 37 engagés dans des logements 38, 39 réalisés dans les supports 9, 10.
Cet arbre d'entraînement 35 comporte à ses extrémités 40, 41 un cardan 42,43 rendu
solidaire en rotation dudit arbre d'entraînement 35 par des axes transversaux 44,
45.
[0021] On pratique dans le décrochement 15 de la face 16 du pignon moteur 17 deux trous
taraudés 46, 47 dans lesquels sont vissées deux vis 48, 49 servant d'éléments de fixation
à un flasque 50. Sur la face externe 51 de ce flasque 50 est fixé un levier de fermeture
52. L'extrémité libre 53 de ce levier de fermeture 52 comporte un galet 54 pivotant
autour d'un axe 55 faisant saillie latéralement par rapport au levier de fermeture
52. Ce galet 54 coopère avec un poussoir vertical 56 solidaire de la face interne
57 de l'ouvrant 4. Sur la face avant 58 du poussoir vertical 56 prend appui l'une
des extrémités 59 d'un élément élastique 60 tel qu'un ressort hélicoïdal. L'autre
extrémité 61 de cet élément élastique 60 est enfilée dans un logement 62 réalisé dans
la face arrière 5 du linteau 1. Lorsque l' ouvrant 4 est en position de fermeture,
l'élément élastique 60 est comprimé.
[0022] La face interne 57 de l'ouvrant 4 comporte au moins une gâche 63, dont la face active
64 coopère avec l'extrémité 65 d'un verrou élastique 66 pouvant pivoter autour d'un
axe d'articulation 67. L'autre extrémité 68 du verrou 66 est pourvue d'un levier de
commande 69 coopérant avec des plots de déverrouillage 70, 71, 72 faisant saillie
par rapport à la face 30 du pignon mené 22. La position de ces plots de verrouillage
70, 71, 72 est telle que l'action de ces plots 70, 71, 72 sur le verrou 66 se fait
pendant que l'élément élastique 26 du temporisateur mécanique 24 passe de la phase
sous tension à la phase de repos.
[0023] En cas de coupure de courant, il est nécessaire de prévoir des moyens pour permettre
la rotation libre de l'arbre 18 de l'élément moteur 19. A cet effet, on relie le frein
mécanique (non visible) à l'une des extrémités 73 d'un câble de débrayage 74 dont
l'autre extrémité 75 s'enroule autour d'un excentrique 76 maintenu par des paliers
77, 78 solidaires de la face externe 79 du support 9. Cet excentrique 76 est rendu
solidaire en rotation d'une tige de commande 80 dont une des extrémités 81 est solidaire
d'un levier de déverrouillage 82 pouvant être actionné depuis l'intérieur du garage
et dont l'autre extrémité 83 est solidaire en rotation d'un barillet 84 pouvant être
actionné depuis l'extérieur par une clé de déverrouillage 85.
[0024] On se réfère à la figure 4.
[0025] Chaque cardan 42, 43 de l'arbre d'entraînement 35 est relié par un axe transversal
86 à l'une des extrémités 87 à un arbre intermédiaire 88 dont l'autre extrémité 89
est logée dans un alésage 90 pratiqué dans un pignont denté 91. Ce dernier s'engrène
avec une chaîne 92 reliant les contrepoids coulissant verticalement dans des glissières
93 réalisées dans les montants 94 du dormant. Un axe transversal 95 assure la liaison
en rotation entre l'arbre intermédiaire 88 et le pignon denté 91, ce dernier pivotant
autour d'un axe 96 sur lequel est enfilée une douille 97 pourvue d'un roulement à
billes 98 logé dans un évidement 99 réalisé dans le pignon denté 91. Un palier lisse
100 assure le maintien de l'arbre intermédiaire 86.
[0026] Du fait que l'ouverture et/ou la fermeture de l'ouvrant 4 se fait électriquement,
il est nécessaire de prévoir des moyens de sécurité agissant lorsque l'ouvrant 4 rencontre
un obstacle et sollicitant l'élément moteur 19 pour l'arrêter respectivement pour
le faire tourner dans l'autre sens en vue de relever l'ouvrant. A cet effet, l'invention
préconise un contact électrique 101 dont le palpeur 102, en position comprimée, est
en contact avec la face 30 du pignon mené 22. Cette face 32 comporte un perçage 103.
Le contact électrique 101 est relié par une conduite électrique 104 à un contact circulaire
105 agissant sur l'élément moteur 19 (voir figures 1, 5 et 6). Ainsi, lorsqu'un obstacle
arrête la descente de l'ouvrant 4, le temporisateur mécanique 24 s'arrête de tourner
puisqu'il est bloqué par l'arbre d'entraînement 35, lui-même bloqué par les pignons
dentés 91 maintenus immobiles par les chaînes 92 reliant l'ouvrant 4 aux contrepoids.
Par contre, le pignon mené 22, entraîné par l'élément moteur 19 par l'intermédiaire
du pignon moteur 17, continue de tourner. A un moment donné, le perçage 103 se trouve
en face du palpeur 102 et de dernier vient s'engager dans ledit perçage 103 provoquant
l'arrêt immédiat de l'élément moteur 19, voire l'inversion du sens de rotation de
l'arbre 18.
[0027] Le fonctionnement du dispositif est le suivant: on considère que l'ouvrant 4 est
entrain de se fermer, la face d'attaque 106 de la gâche 53 repousse vers le haut l'extrémité
65 du verrou élastique 66. Simultanément, le galet 54 rentre en contact avec le poussoir
56 qui, lui, comprime le ressort 60. Lorsque l'ouvrant 4 vient buter contre le rebord
vertical 3 du linteau 1 du dormant, l'ouvrant 4 est immobilisé alors que l'élément
moteur 19 continue à tourner. Par voie de conséquence, le temporisateur mécanique
24 est bloqué alors que le pignon mené 22 entraîné par le pignon moteur 17 continue
à tourner. Le pignon mené 22 entraînant l'extrémité 27 de l'élément élastique 26 met
ce dernier sous tension. On préconise que la rotation du pignon mené 22 est de l'ordre
d'un demi-tour. A ce moment là, le frein mécanique agit sur l'élément moteur 19.
[0028] Pour l'ouverture, on actionne l'élément moteur 19 et le pignion moteur 17 entraîne
le pignon mené 22. Pendant le premier demi-tour du pignon mené 22, l'élément élastique
26 se détend et se met en phase de repos sans agir sur la bague 33 et, par voie de
conséquence, sans agir sur le temporisateur mécanique 24. Pendant ce demi-tour du
pignon mené 22, les plots de déverrouillage 70, 71, 72 agissent sur le levier de commande
69 provoquant la rotation du verrou 66 autour de l'axe d'articulation 67. De ce fait,
la face active 64 du verrou 63 se soulève et libère la gâche 63. Simultanément, le
galet 54 s'écarte du poussoir 56 et le ressort 60 se détend en exerçant une poussée
sur le poussoir 56. L'extrémité supérieure de l'ouvrant 4 s'écarte du linteau 1 du
dormant. Après cette phase de déverrouillage, le pignon mené 22 entraine en rotation
l'extrémité 27 de l'élément élastique 26. Du fait que le diamètre extérieur de l'élément
élastique 26 en phase de repos est pratiquement identique au diamètre intérieur de
l'élément tubulaire 25, les spires de l'élément élastique 26 ne peuvent se dérouler
et la rotation de l'extrémité 27 est transmise à travers l'élément élastique 26 à
l'extrémité 31 et, par voie de conséquence, au temporisateur mécanique 24 par l'intermédiaire
de la bague 33.
[0029] Le temporisateur mécanique 24 entraîne l'arbre 35 qui, par l'intermédiaire de ses
cardans 42, 43 entraîne les arbres intermédiaires 88 actionnant les pignons dentés
91 s'engrènant avec les chaînes 92 qui, reliées à l'ouvrant 4, provoquent le relèvement
de ce dernier.
[0030] Selon une variante représentée dans les figures 7, 8, 9, le levier 52, en plus du
premier galet 54 pivotant autor de l'axe 55, un second galet 107 est disposé à l'autre
extrémité 108 dudit levier 52. Ce second galet 107 pivote autour d'un axe 109 diamétralement
opposé à l'axe 55 par rapport au centre de rotation 110 du flasque 50. Ces deux galets
54, 107 coopèrent avec un poussoir vertical 111. Ce poussoir 111 se compose d'une
plaque 112 rendue solidaire de la face interne 57 de l'ouvrant 4 par des éléments
de fixation 113. Sur cette plaque 112 est fixée, par l'intermédiaire d'éléments de
fixation 114, une chape 115 dont la paroi superieure 116 comporte une rampe inclinée
117, le point bas 118 de cette rampe inclinée 117 étant situé du côté du linteau 1
du dormant. On dispose entre les deux ailes 119, 120 de la chape 115 un arrêt réglable
121. Celui-ci comporte une butée 122 logée entre les deux ailes 119,120 traversée
par une vis de réglage 123 dont la tête 124 coulisse à travers un trou 125 réalise
dans l'aile 119 et dont l'extrémité filetée 126 est vissée dans un trou taraudé 127
pratiqué dans l'aile 120. La tête 124 prend appui contre une des faces 128 de la butée
122. Contre l'autre face 129 de la butée 122 prend appui l'extrémité 130 d'un élément
élastique 131 enfilé sur l'extrémité filetée 126 de la vis de réglage 123 dont l'autre
extrémité 132 est engagée dans un logement 133 réalisé dans l'aile 120. On rigidifie
les deux ailes 119, 120 de la chape 115 par une entretoise 134.
[0031] Lors de l'ouverture de l'ouvrant 4, le second galet 107, en raison de la rotation
du flasque 50, rentre en contact avec la rampe inclinée 117 et la coopération de cette
dernière avec ledit galet 107 provoque l'écartement de l'extrémité supérieure de l'ouvrant
4 du linteau 1 du dormant. En cas de fermeture de l'ouvrant 4, le premier galet 54
pousse le poussoir 111 par l'intermédiaire de la vis de réglage 123 et prend appui
contre le poussoir 111 de façon à bloquer l'ouvrant 4 en position de fermeture.
[0032] Par ailleurs, on fixe sur le dormant un contact électrique 135 qui n'est plus actionné
par le bras de manoeuvre mais directement par l'ouvrant 4. De ce fait, l'ouvrant 4
reste en sécurité jusqu'à sa fermeture totale.
[0033] Selon une autre variante visible dans les figures 7 et 8, l'élément tubulaire 25
comporte un doigt de commande 136 coopérant avec un contact électrique 137 lorsqu'on
actionne manuellement l'ouvrant 4, ce contact électrique 137 coupant une des phases
de l'arrivée du courant électrique alimentant l'élément moteur 19. On prévoit également
un autre contact électrique 138 pouvant être actionné par une tringle de manoeuvre
139 d'une crémone. En cas de manoeuvre manuelle de l'ouvrant 4, il y a la possibilité
d'une fermeture à l'aide de la crémone. En effet, si la crémone est en position fermée,
elle dèclenche le contact électrique 138 et coupe également une des phases de l'arrivée
du courant électrique alimentant l'élément moteur 19.
[0034] Selon une autre variante visible dans les figures 7, 8 et 10, l'élément moteur 19
comporte à sa partie inférieure 140 un support en forme d'équerre 141. L'aile verticale
142 est traversée par un axe de rotation 143 autour duquel pivote un galet 144. Contre
ce galet 144 vient buter une traverse 145 solidaire de la face interne 57 de l'ouvrant
4.
[0035] Selon une autre variante, visible dans les figures 7, 8 et 11, on rallonge le câble
de débrayage 74 de façon qu'il soit accessible soit de l'intérieur, soit de l'extérieur,
ceci aussi bien en position ouverte ou fermée de l'ouvrant 4. Ainsi, lorsque l'ouvrant
4 est en position ouverte et qu'une coupure de courant électrique interviendrait,
il y a la possibilité d'actionner le câble de débrayage 74 et de fermer manuellement
l'ouvrant4. Le câble de débrayage 74 est à rappel élastique et, à cet effet, l'extrémité
75 du càble de débrayage 74 est solidaire de l'extrémité 146 d'un élément élastique
1147 dont l'autre extrémité 148 est solidaire d'un câble de rallonge 149. Celui-ci
traverse une lumière 150 pratiquée dans un bras 151 pouvant pivoter autour d'un axe
d'articulation vertical 152 maintenu par un support 153 solidaire du linteau 1 du
dormant. Ce câble de rallonge 149 s'enroulant partiellement autour d'une poulie de
renvoi 154 pivotant autour d'un axe 155 maintenu par une chape 156, présente à son
extrémité libre 157 une poignée de manoeuvre 158.
[0036] Par ailleurs, en actionnant manuellement l'ouvrant 4, on provoque la coopération
entre l'ouvrant 4 et un contact électrique 159 coupant également une des phases de
l'arrivée du courant électrique alimentant l'élément moteur 19. A cet effet, la plaque
112 comporte une butée 160 en forme d'équerre dont l'aile horizontale 161, dirigée
vers l'intérieur du garage agit sur une rampe de guidage 162 réalisée à l'une des
extrémités 163 d'un levier 164. Ce levier 164 peut pivoter autor d'un axe d'articulation
165. Ce dernier est disposé de façon que la longueur 166 entre l'extrémité 163 et
l'axe d'articulation 165 est nettement plus longue que celle 167 entre le même axe
d'articulation 165 et l'autre extrémité 168 du levier 164. De ce fait, l'extrémité
163 a toujours tendance à basculer vers le bas et on assure ainsi le contact entre
l'extrémité 163 et donc le levier 164 et l'aile horizontale 161 de la butée 160. Cependant,
pour limiter le basculement vers le bas de cette extrémité 163, on prévoit un arrêt
169 contre lequel vient buter le chant supérieur 170 du levier 164. Sur ce chant supérieur
170 prend appui le contact électrique 159.
[0037] Ainsi, en poussant l'ouvrant 4, l'aile horizontale 161 de la butée 160 soulève l'extrémité
163 du levier 164. Ce dernier agit sur le contact électrique 159 et, de ce fait, on
obtient la coupure électrique voulue pour l'actionnement manuel de l'ouvrant 4.
1. Dispositif de commande électromécanique pour porte basculante, notamment pour porte
basculante de garage composée d'un ouvrant (4) équilibré par des contrepoids latéraux
reliés audit ouvrant (4) par des chaînes (92) et coulissant dans des glissières verticales
(93) solidaires des montants (94) d'un dormant, ces chaînes (92) étant actionnées
par des pignons dentés (91) entraînés par un élément moteur (19), caractérisé en ce
qu'il comporte un temporisateur mécanique (24) provoquant un décalage de la phase
d'ouverture et/ou de fermeture de l'ouvrant par rapport à la phase de déverrouillage
et/ou de verrouillage, ce temporisateur (24) étant placé entre l'élément moteur (19),
pourvu d'un frein mécanique à débrayage manuel à distance (74 à 85), et les moyens
d'entraînement (35 à 45) des pignons dentés (91) s'engrénant avec les chaînes (92)
reliant les contrepoids à l'ouvrant (4).
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le temporisateur mécanique
(24) comporte un élément tubulaire (25) dans lequel est logé un élément élastique
(26) tel qu'un ressort hélicoïdal relié à ses deux extrémités (27) et (31), d'une
part, à un pignon mené (22) coopérant avec un pignon moteur (17) monté sur l'arbre
(18) de l'élément moteur (19) et, d'autre part, à une bague de réglage (33) solidaire
en rotation de l'élément tubulaire (25), le pignon mené (22) disposé à l'une des extrémités
(23) du temporisateur mécanique (24) n'étant pas solidaire en rotation de l'élément
tubulaire (25).
3. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que l'élément tubulaire
(25) comporte un diamètre intérieur pratiquement identique au diamètre extérieur de
l'élément élastique (26) lorsque ce dernier est en phase de repos pour la transmission
de la rotation du pignon mené (22) à la bague de réglage (33) par l'intermédiaire
du ressort (26).
4. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que l'élément élastique
(26) comporte une phase de repos située entre la phase de déverrouillage et la phase
d'ouverture de l'ouvrant (4).
5. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que l'élément élastique
(26) est sous tension lorsque la porte de garage est en position verrouillée.
6. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu'il comporte un
arbre d'entraînement (35) pourvu à ses extrémités (40, 41) à un cardan (42,43) reliant
l'arbre d'entraînement (35) à un arbre intermédiaire (88) entraînant en rotation les
pignons dentés (91) s'engrènant avec les chaînes (92) reliant les contrepoids à l'ouvrant
(4), cet arbre d'entraînement (35) traversant de part en part le pignon mené (22)
et le temporisateur mécanique (23) étant solidaire en rotation uniquement de ce dernier.
7. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pignon moteur (17),
solidaire en rotation de l'arbre (18) de l'élément moteur (19), comporte un levier
de fermeture (52), monté sur un flasque (50) solidaire du pignon moteur (17), pourvu
d'un galet (54) coopérant avec un poussoir vertical (56) solidaire de la face interne
(57) de l'ouvrant (4), ce poussoir vertical (56) coopérant avec un élément élastique
(60) partiellement enfilé dans un logement (62) réalisé dans la face arrière (5) du
linteau (1) du dormant, l'élément élastique (60) étant en phase comprimée lorsque
l'ouvrant (4) est en position de fermeture.
8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que la levier de fermeture
(52) comporte un second galet (107), diamétralement opposé au premier galet (54) par
rapport au centre de rotation (110) du flasque (50) et coopérant avec le poussoir
vertical (111) en sens contraire par rapport à la coopération du premier galet (54)
avec le poussoir vertical (111) pour provoquer, lors de la phase d'ouverture, l'écartement
de l'extrémité supérieure de l'ouvrant (4) du linteau (1) du dormant.
9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que le poussoir vertical
(111), fixé par l'intermédiaire d'une plaque (112) sur la face interne (57) de l'ouvrant
(4), comporte une chape (115) dont la paroi supérieure (116) présente une rampe inclinée
(117) dont le point bas (118) est situé du côté du linteau (1) du dormant et coopérant
avec le second galet (107) pour décaler l'ouvrant (4) du linteau (1 ).
10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que le poussoir vertical
(111) comporte entre les deux ailes (119, 120) de la chape (115), un arrêt réglage
(121) composé d'une butée (122), d'une vis de réglage (123) dont la tête (124) coulisse
à travers un trou (125) réalisé dans l'aile (119) et dont l'extrémité filetée (126)
est vissée dans un trou taraudé (127) pratiqué dans l'aile (120), et d'un élément
élastique (131), enfilé sur l'extrémité filetée (126) de la vis de réglage (123) et
intercalé entre la butée (122) et l'une des ailes (120) de la chape (115).
11. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'il comporte un contact
électrique (137) coopérant avec un doigt de commande (136) de l'élément tubulaire
(25) pour couper une des phases de l'arrivée du courant lectrique alimentant l'élément
moteur (19) lors d'un maniement manuel de l'ouvrant (4).
12. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce qu'il comporte un contact
électrique (138) coopérant avec une tringle de manoeuvre (139) d'une crémone pour
couper l'arrivée du courant électrique alimentant l'élément moteur (19).
13. Dispositif selon la revendication 8, caracté- risè en ce que le dormant comporte
un contact électrique (135) coopérant directement avec l'ouvrant (4) maintenant ce
dernier en sécurité jusqu'à sa fermeture totale.
14. Dispositif selon les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le pignon mené
(22) comporte des plots de déverrouillage (70, 71, 72) coopérant avec l'extrémité
(68) d'un verrou (66) dont l'autre extrémité coopère avec la face active (64) d'une
gâche (63) solidaire de la face interne (57) de l'ouvrant (4).
15. Dispositif selon la revendication 14, caractérisé en ce que les plots de déverrouillage
(70, 71, 72) comportent une position telle que leur action sur le verrou (66) se fait
pendant que l'élément élastique (26) du temporisateur mécanique (24) passe de la phase
sous tension à la phase de repos.
16. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens pour le
débrayage manuel du frein mécanique de l'élément moteur (19) sont un câble de débrayage
(74) dont une des extrémités (73) est solidaire du frein mécanique et dont l'autre
extrémité s'enroule autor d'un excentrique (76) rendu solidaire en rotation d'une
tige de commande (80).
17. Dispositif selon la revendication 16, caractérisé en ce que la tige de commande
(80) comporte à l'une de ses extrémités (81) un levier de déverrouillage (82) pouvant
être actionné depuis l'intérieur du garage.
18. Dispositif selon la revendication 16, caractérisé en ce que l'autre extrémité
(83) de la tige de commande (80) est solidaire en rotation d'un barillet (84) pouvant
être actionné depuis l'extérieur par une clé de déverrouillage (85).
19. Dispositif selon la revendication 16, caractérisé en ce que le câble de débrayage
(74) est à rappel élastique et comporte un élément élastique (147) intercalé entre
ce câble de débrayage (74) et un câble de rallonge (149) traversant une lumière (150)
pratiquée dans un bras (151) pivotant autour d'un axe d'articulation vertical (152)
maintenu par un support (153) solidaire du linteau (1) du dormant, ce câble de rallonge,
s'enroulant partiellement autour d'une poulie (154) pivotant autour d'un axe (155)
maintenu par une chape (156), présente à son extrémité libre (157) une poignée de
manoeuvre (158).
20. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens
de sécurité constitués d'un contact électrique (101) relié par une conduite électrique
(104) à un contact circulaire (105) agissant sur l'élément moteur (104), et dont le
palpeur (102) coopère avec un perçage (103) réalisé dans une des faces (30) du pignon
mené (22).
21. Dispositif selon la revendication 20, caractérisé en ce que les moyens de sécurité
sont un contact électrique (159) coopérant avec un levier (164) pivotant autor d'un
axe d'articulation (165) et dont une des extrémités (163) comporte une rampe de guidage
(162) coopérant avec une butée (160) solidaire de l'ouvrant (4).
22. Dispositif selon la revendication 21, caractérisé en ce que le levier (164) comporte
une longueur (166) entre l'extrémité (163) et l'axe d'articulation (165) supérieur
à la longueur (167) entre ce même axe d'articulation (165) et l'autre extrémité (168)
pour conférer à l'extrémité (163) une tendance à basculer vers le bas pour assurer
sa coopération avec la butée (160).
23. Dispositif selon les revendications 21 et 22, caractérisé en ce que le levier
(164) comporte un basculement vers le bas limité par un arrêt (169) contre lequel
vient buter son chant supérieur (170).
1. Elektromechanische Steuervorrichtung für ein Kipptor, insbesondere Garagenkipptor,
bestehend aus einem Öffnungsteil (4), das durch mit dem Öffnungsteil (4) verbundenen
und in den an den Trägern (94) des Torrahmens befestigten senkrechten Gleitschienen
(93) beweglichen Ketten (92) seitliche Gegengewichte im Gleichgewicht gehalten wird,
wobei die Ketten (92) über durch ein Antriebselement (19) angetriebene Zahnritzel
(91) angetrieben werden, gekennzeichnet durch einen mechanischen Verzögerer (24),
durch den eine Versetzung der Öffnungs-und/oder Schließphase gegenüber der Ent- und/
oder Verriegelungsphase bewirkt wird, und dadurch, daß der Verzögerer (24) zwischen
dem Antriebselement (19) liegt, wobei eine mechanische Bremse vorgesehen ist, die
von Hand aus durch Fernbedienung ausgekuppelt werden kann (74 bis 85), und wobei die
Antriebsmittel (35 bis 45) der Zahnritzel (91) mit den Ketten (92) in Eingriff kommen,
die die Gegengewichte mit dem Öffnungsteil (4) verbinden.
2. Vorrichtung nach Anspruch 1, dadurch gekennzeichnet, daß der mechanische Verzögerer
(24) ein Röhrenteil (25) aufweist, in dem ein elastisches Teil (26) wie eine zylindrische
Schraubenfeder untergebracht ist, die an beiden Enden (27 und 31) festgelegt ist,
und zwar einserseits mit einem getriebenen Rad (22), das mit einem Triebrad (17) zusammenarbeitet,
das auf der Welle (18) des Antriebselements (19) sitzt, und andererseits mit einem
Einstellring (33), der drehbar mit dem Röhrenteil (25) verbunden ist, wobei das getriebene
Rad (22), das an einem der Enden (23) des mechanischen Verzögerers (24) angeordnet
ist, mit dem Röhrenteil (25) nicht drehbar verbunden ist.
3. Vorrichtung nach den Ansprüchen 1 und 2, dadurch gekennzeichnet, daß das Röhrenteil
(25) einen Innendurchmesser aufweist, der praktisch identisch ist mit dem Außendurchmesser
des elastischen Teils (26), wenn dieses sich für die Übertragung der Drehbewegung
des getriebenen Rades (22) mittels der Feder (26) an den Einstellring (33) in der
Ruhephase befindet.
4. Vorrichtung nach den Ansprüchen 1 und 2, dadurch gekennzeichnet, daß das elastische
Teil (26) eine Ruhephase aufweist, die zwischen der Entriegelungsphase und der Öffnungsphase
des Öffnungsteils (4) liegt.
5. Vorrichtung nach den Ansprüchen 1 und 2, dadurch gekennzeichnet, daß das elastische
Teil (26) mit Spannung belegt ist, wenn sich das Garagentor in Verriegelungsstellung
befindet.
6. Vorrichtung nach den Ansprüchen 1 und 2, dadurch gekennzeichnet, daß sie eine Antriebswelle
(35) besitzt, die an ihren Enden (40, 41) mit einem Kardangelenk (42, 43) versehen
ist, das die Antriebswelle (35) mit einer Zwischenwelle (88) verbindet, die das Zahnritzel
(91) in Drehung versetzt, das mit den die Gegengewichte mit dem Öffnungsteil (4) verbindenden
Ketten (92) in Eingriff kommt, wobei die Antriebswelle (35) das getriebene Rad (22)
vollkommen durchläuft und der mechanische Verzögerer (23) allein mit letzterem drehbar
verbunden ist.
7. Vorrichtung nach Anspruch 1, dadurch gekennzeichnet, daß das Triebrad (17), das
mit der Welle (18) des Antriebselementes (19) drehbar verbunden ist, einen Schließhebel
(52) aufweist, der auf einem fest mit dem Triebrad (17) verbundenen Flansch (50) angeordnet
ist und eine Rolle (54) aufweist, die mit einem senkrechten Stößel (56) zusammenarbeitet,
der an der Innenfläche (57) des Öffnungsteils (4) befestigt ist und der mit einem
elastischen Teil (60) zusammenarbeitet, das zum Teil in eine an der Rückseite (5)
des Torrahmensturzes (1) ausgebildeten Lagerung (62) eingefädelt ist, wobei das elastische
Teil (60) während der Schließstellung des Öffnungsteils (4) in der Phase der Zusammendrükkung
ist.
8. Vorrichtung nach Anspruch 7, dadurch gekennzeichnet, daß der Schließhebel (52)
eine zweite Rolle (107) aufweist, die gegenüber dem Rotationszentrum (110) des Flansches
(50) der ersten Rolle (54) diametral gegenüberliegt und gegenüber der Zusammenarbeit
der ersten Rolle (54) mit dem senkrechten Stößel (111) in entgegengesetzter Richtung
mit dem Stößel (111) zusammenarbeitet, um während der Öffnungsphase ein Versetzen
des oberen Endes des Öffnungsteils (4) des Torrahmensturzes (1) zu bewirken.
9. Vorrichtung nach Anspruch 8, dadurch gekennzeichnet, daß der senkrechte Stößel
(111), der mittels einer Platte (112) auf der Innenfläche (57) des Öffnungsteils (4)
befestigt ist, einen Bügel (115) aufweist, dessen obere Wand (116) eine geneigte Ebene
(117) besitzt, dessen Niederpunkt (118) seitlich des Torrahmensturzes (1) liegt und
mit der zweiten Rolle (107) zum Versetzen des Öffnungsteils (4) des Sturzes (1) zusammenarbeitet.
10. Vorrichtung nach Anspruch 9, dadurch gekennzeichnet, daß der senkrechte Stößel
(111) zwischen den beiden Schenkeln oder Flügeln (119, 120) des Bügels (115) eine
Einstellsperre (121) aufweist, die aus einem Anschlag (122), einer Stellschraube (123),
dessen Kopf (124) über ein Loch (125) gleitend geführt wird, das im Schenkel (119)
eingelassen ist, und dessen mit Gewinde versehenes Ende (126) in eine im Schenkel
(120) ausgebildete Gewindebohrung (127) eingeschraubt wird, und aus einem elastischen
Teil (131) besteht, das auf das mit Gewinde versehene Ende (126) der Stellschraube
(123) eingefädelt und zwischen dem Anschlag (122) und den Schenkeln (120) des Bügels
(115) zwischengeschaltet ist.
11. Vorrichtung nach Anspruch 8, dadurch gekennzeichnet, daß sie einen elektrischen
Kontakt (137) aufweist, der mit einem Steuerfinger (136) des Röhrenteils (25) zusammenarbeitet,
um eine der das Antriebselement (19) mit elektrischem Strom speisenden Zuführphasen
auszuschalten, wenn das Öffnungsteil (4) von Hand betätigt wird.
12. Vorrichtung nach Anspruch 8, dadurch gekennzeichnet, daß sie einen elektrischen
Kontakt (138) aufweist, der mit einer Stellstange (139) eines Schubriegels zusammenarbeitet,
um die Zuführung des das Antriebselement (19) speisenden elektrischen Strom zu unterbrechen.
13. Vorrichtung nach Anspruch 8, dadurch gekennzeichnet, daß der Torrahmen einen elektrischen
Kontakt (135) aufweist, der unmittelbar mit dem Öffnungsteil (4) zusammenarbeitet,
der dadurch bis zur vollständigen Schließung abgesichert gehalten wird.
14. Vorrichtung nach den Ansprüchen 1 und 2, dadurch gekennzeichnet, daß das getriebene
Rad (22) Entriegelungsklötzchen (70, 71, 72) aufweist, die mit dem Ende (68) eines
Riegels (66) zusammenarbeiten, wobei das andere Ende mit der aktiven Fläche (64) eines
Schließhakens (63) zusammenarbeitet, der fest mit der Innenfläche (57) des Öffnungsteils
(4) verbunden ist.
15. Vorrichtung nach Anspruch 14, dadurch gekennzeichnet, daß die Entriegelungsklötzchen
(70, 71, 72) eine Stellung einnehmen, die derart ist, daß deren Wirkung auf den Riegel
(66) einsetzt, während das elastische Teil (26) des mechanischen Verzögerers (24)
von der spannungsbelegten Phase in die Ruhephase übergeht.
16. Vorrichtung nach Anspruch 1, dadurch gekennzeichnet, daß als Einrichtung für die
Auskupplung von Hand der mechanischen Bremse des Antriebselements (19) ein Auskupplungskabel
(74) verwendet wird, dessen eines Ende (73) formschlüssig mit der mechanischen Bremse
verbunden ist und dessen anderes Ende sich um den Exzenter (76) wickelt, der mit einer
Steuerstange (80) drehbar verbunden wurde.
17. Vorrichtung nach Anspruch 16, dadurch gekennzeichnet, daß die Steuerstange (80)
an einem ihrer Enden (81) einen Entriegelungshebel (82) aufweist, der vom Innern der
Garage her betätigt werden kann.
18. Vorrichtung nach Anspruch 16, dadurch gekennzeichnet, daß das andere Ende (83)
der Steuerstange (80) mit einer Trommel (84) drehbar verbunden ist, die durch einen
Entriegelungsschlüssel (85) von außen her betätigt werden kann.
19. Vorrichtung nach Anspruch 16, dadurch gekennzeichnet, daß das Auskupplungskabel
(74) elastisch einziehbar ist und ein elastisches Teil (147) aufweist, das zwischengeschaltet
ist zwischen dem Kabel (74) und einem Verlängerungskabel (149), das ein Schlitzloch
(150) durchquert, das in einem Arm (151) eingelassen ist, der um eine senkrechte Drehachse
(152) schwenkbar ist, die von einer formschlüssig mit dem Torsturz
(1) des Torrahmens verbundenen Stütze (153) getragen wird, wobei das Verlängerungskabel,
das sich teilweise um eine Scheibe (154) rollt, die um eine von einem Bügel (156)
gehaltene Achse (155) drehbar ist, an seinem freien Ende (157) einen Bedienungsgriff
(158) bildet.
20. Vorrichtung nach Anspruch 1, dadurch gekennzeichnet, daß sie eine Sicherheitseinrichtung
aufweist, die durch einen elektrischen Kontakt (10) dargestellt wird, der über einen
elektrischen Leiter (104) an einem kreisförmigen Kontakt (105) liegt, der auf das
Antriebselement (104) wirksam wird und dessen Fühler (102) mit einer in einer der
Flächen (30) des getriebenen Rades (22) eingelassenen Bohrung (103) zusammenarbeitet.
21. Vorrichtung nach Anspruch 20, dadurch gekennzeichnet, daß als Sicherheitseinrichtung
ein elektrischer Kontakt (159) dient, der mit einem Hebel (164) zusammenarbeitet,
der um eine Drehachse (165) drehbar ist und dessen eines Ende (165) eine geneigte
Führungsebene (162) aufweist, die mit einem fest am Öffnungsteil (4) befestigten Anschlag
(160) zusammenarbeitet.
22. Vorrichtung nach Anspruch 21, dadurch gekennzeichnet, daß der Hebel (164) eine
Länge (166) zwischen dem Ende (163) und der Drehachse (165) hat, die größer ist als
die Länge (167) zwischen dieser Drehachse (165) und dem anderen Ende (168), dergestalt,
daß das Ende (163) nach unten kippen möchte, um das Zusammenarbeiten mit dem Anschlag
(160) zu gewährleisten.
23. Vorrichtung nach den Ansprüchen 21 und 22, dadurch gekennzeichnet, daß der Hebel
(164) eine Einrichtung zum Umkippen oder Umfallen nach unten besitzt, dessen Bewegung
von einer Sperre (169) begrenzt ist, gegen die deren obere Kante (170) anschlägt.
1. Electromechanical control device for an up-and-over door, particularly for an up-and-over
garage door, consisting of a leaf (4) balanced by lateral counterweights connected
to the said leaf (4) by means of chains (92) and sliding along vertical grooves (93)
built into the stiles (94) of a doorframe, these chains (92) being actuated by cogged
pinions (91) driven by a drive unit (19) characterised by the fact that it comprises
a mechanical timer (24) causing a time lag in the opening and/or closing phase of
the leaf in ratio to the unlocking and/or locking phase, this timer (24) being positioned
between the drive unit (19) having a mechanical brake and remote-control manual disengagement
(74 to 85) and the driving elements (35 to 45) of the cogged pinions (91) which mesh
with the chains (92) linking the counterweights to the leaf (4).
2. Control device in accordance with Claim 1, characterised by the fact that the mechanical
timer (24) comprises a tubular element (25) housing an elastic element (26) such as
a helical spring, connected at both ends (27) and (31), firstly: to a driven pinion
(22) interacting with a driving pinion (17) mounted on the shaft (18) of the drive
unit (19); and secondly: to an adjusting ring (33) which rotates as a body with the
tubular element (25), as the driven pinion (22) fitted at one of the ends (23) of
the mechanical timer (24) does not rotate as a body with the tubular element (25).
3. Control device in accordance with Claims 1 and 2, characterised by the fact that
the tubular element (25) has an internal diameter whichis virtually identical to the
external diameter of the elastic element (26) when the latter is in its standby phase
for transmitting the rotary movement of the driven pinion (22) to the adjusting ring
(33) via the spring (26).
4. Control device in accordance with Claims 1 and 2, characterised by the fact that
the elastic element (26) comprises a standby phase coming between the unlocking phase
and the opening phase of the leaf (4).
5. Control device in accordance with Claims 1 and 2, characterised by the fact that
the elastic element (26) is under tension when the garage door is in the locked position.
6. Control device in accordance with Claims 1 and 2, characterised by the fact that
it comprises a driving shaft (35) fitted at each end (40, 41 ) with a universal joint
(42, 43) connecting the driving shaft (35) to an intermediate shaft (88) causing a
rotation of the cogged pinions (91) meshing with the chains (92) connecting the counterweights
to the leaf (4); this driving shaft (35) passes right through the driven pinion (22)
and the mechanical timer (23) but rotates as a body solely with the latter.
7. Control device in accordance with Claim 1, characterised by the fact that the driving
pinion (17), which rotates as a body with the shaft (18) of the drive unit (19), comprises
a locking lever (52) mounted on a cheek (50) built into the driving pinion (17), fitted
with a roller (54) which interacts with a vertical push-rod (56) built into the internal
surface (57) of the leaf (4), this vertical push-rod (56) interacting with an elastic
element (60) partially threaded into a housing (62) set into the rear side (5) of
the lintel (1) of the doorframe, the elastic element (60) being in the compressed
phase when the leaf (4) is in the closed position.
8. Control device in accordance with Claim 7, characterised by the fact that the locking
lever (52) comprises a second roller (107) diametrically opposed to the first roller
(54) in ratio to the rotation centre (110) of the cheek (50), and interacting with
the vertical push-rod (111) in the opposite direction compared to the interaction
of the first roller (54), with the vertical push-rod (111), so as to cause, during
the opening phase, the separation of the upper end of the leaf (4) from the lintel
(1) of the doorframe.
9. Control device in accordance with Claim 8, characterised by the fact that the vertical
push-rod (111), fixed by means of a plate (112) to the internal surface (57) of the
leaf (4), comprises a cap (115) the upper side of which (116) has a slope (117), the
lowest point (118) of which is located near the lintel (1) of the doorframe, and interacts
with the second roller (107) in order to shift the leaf (4) away from the lintel (1).
10. Control device in accordance with Claims 9, characterised by the fact that the
vertical push-rod (111) comprises, between the two flanges (119, 120) of the cap (115),
a regulator arresting device (121) consisting of a stop (122), an adjusting screw
(123) the head (124) of which slides through a hole (125) bored in the flange (119),
and the threaded end (126) of which is screwed into a hole tapped in the flange (120);
and an elastic element (131) screwed onto the threaded end (126) of the adjusting
screw (123) and inserted between the stop (122) and one of the flanges (120) of the
cap (115).
11. Control device in accordance with Claim 8, characterised by the fact that it comprises
an electrical contact (137) interacting with a control finger (136) on the tubular
element (25) in order to cut off one of the phases of the input of electrical current
supplying the drive unit (19) during manual operation of the leaf (4).
12. Control device in accordance with Claim 8, characterised by the fact that it comprises
an electrical contact (138) interacting with the switch bar (139) of an espagnolette
lock to cut off the input of electrical current supplying the drive unit (19).
13. Control device in accordance with Claim 8, characterised by the fact that the
doorframe comprises an electrical contact (135) interacting directly with the leaf
(4) to hold the latter safely until it is completely closed.
14. Control device in accordance with Claims 1 and 2, characterised by the fact that
the driven pinion (22) comprises unlocking studs (70, 71, 72) interacting with the
end (68) of a bolt (66), the other end of which interacts with the working side of
a catch (63) built into the internal surface (57) of the leaf (4).
15. Control device in accordance with Claim 14, characterised by the fact that the
unlocking studs (70, 71, 72) are positioned in such a way that their action on the
bolt (66) takes place while the elastic element (26) of the mechanical timer (24)
passes from the tension phase to the standby phase.
16. Control device in accordance with Claim 1, characterised by the fact that the
means provided for the manual disengagement of the mechanical brake on the drive unit
(19) are: a disengaging cable (74), one end (73) of which is built into the mechanical
brake, the other end being wound around an eccentric (76) designed to rotate as a
body with a control rod (80).
17. Control device in accordance with Claim 16, characterised by the fact that the
control rod (80) comprises, at one end (81), an unlocking lever (82) which can be
operated from inside the garage.
18. Control device in accordance with Claim 16, characterised by the fact that the
other end (83) of the control rod (80) is designed to rotate as a body with a drum
(84) which can be operated from the outside by means of an unlocking key (85).
19. Control device in accordance with Claim 16, characterised by the fact that the
disengaging cable (74) has a return spring and comprises an elastic element (147)
inserted between this disengaging cable (74) and an extension cable (149) led through
an opening (150) made in an arm (151) pivoting around a vertical jointed spindle (152)
held steady by a support (153) built into the lintel (1) of the doorframe; this extension
cable, winding partially around a pulley (154) pivoting around a spindle (155) held
in place by a cap (156), has on its free end (157) an operating handle (158).
20. Control device in accordance with Claim 1, characterised by the fact that it comprises
security mechanisms consisting of an electrical contact (101) connected by means of
an electrical lead (104) to a circular contact (105) acting on the drive unit (104),
the key of which (102) interacts with a hole drilled in on of the sides (30) of the
driven pinion (22).
21. Control device in accordance with Claim 20, characterised by the fact that the
security mechanisms are: an electrical contact (159) interacting with a lever (164)
pivoting around a jointed spindle (165), one end (163) of which comprises a guide-plate
(162) interacting with a stop (160) built into the leaf (4).
22. Control device in accordance with Claim 21, characterised by the fact that the
lever (164) comprises a length (166) between the end (163) and the jointed spindle
(165) in excess of the length (167) between that same jointed spindle (165) and the
other end (168) in such a way as to give the end (163) a tendency to tilt downwards
and thus ensure its interaction with the stop (160).
23. Control device in accordance with Claims 21 and 22, characterised by the fact
that the lever (164) comprises a downward tilting motion limited by an arresting device
(169) against which its upper edge (170) comes to rest.