(19)
(11) EP 0 095 988 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
07.12.1983  Bulletin  1983/49

(21) Numéro de dépôt: 83401123.1

(22) Date de dépôt:  02.06.1983
(51) Int. Cl.3E05B 47/00, E05B 65/32
(84) Etats contractants désignés:
DE GB IT SE

(30) Priorité: 02.06.1982 FR 8209598

(71) Demandeur: ACIERS ET OUTILLAGE PEUGEOT Société dite:
F-25400 Audincourt (Doubs) (FR)

(72) Inventeurs:
  • Escaravage, Gérard
    F-25700 Valentigney (FR)
  • Antoine, Michel
    F-52200 Saint Geosmes (FR)

(74) Mandataire: Bressand, Georges et al
c/o CABINET LAVOIX 2 Place d'Estienne d'Orves
75441 Paris Cédex 09
75441 Paris Cédex 09 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Serrure de portière, notamment pour véhicule automobile


    (57) Cette serrure comprend un pêne (2) destiné à retenir une gâche (10) déplaçable par un mouvement relatif, par rapport à la serrure.
    Elle comporte un dispositif moteur (20, 21, 22, 23) pour l'ouverture assistée et ce dispositif moteur est associé à des moyens de transmission (25, 30) destinés à transmettre la force motrice au pêne (2) pour obtenir également le blocage assisté de la serrure en phase finale de fermeture de la portière.




    Description


    [0001] La présente invention est relative aux serrures de portière,notamment pour véhicule automobile, du type comprenant un pêne et une gâche mobile l'un par rapport à l'autre pour pouvoir s'accrocher ou se dégager mutuellement lors du blocage ou du déblocage de la serrure, le pêne étant associé à un organe de verrouillage qui est destiné à retenir le pêne dans sa position accrochée sur la gâche et qui est commandé par des moyens moteurs destinés à le dégager du pêne à l'encontre d'un organe élastique de rappel de cet organe de verrouillage, lesdits moyens moteurs étant en outre couplés au pêne par une transmission pour amener le pêne dans sa position accrochée pendant la phase finale de blocage de la serrure.

    [0002] On sait que les serrures de portière à action purement manuelle sont placées dans leur configuration de fermeture de la portière, sous l'action d'un effort du à une poussée manuelle conjuguée aux efforts d'inertie résultant du claquement de la portière. Cette action manuelle et les efforts d'inertie donnent aux joints d'étanchéité entre portière et carrosserie, une certaine compression qui permet d'obtenir l'étanchéité à l'air du véhicule. On peut reprocher aux portières des véhicu- les équipées de ces serrures un manque d'étanchéité qui se traduit par des bruits aérauliques perceptibles par les occupants, et la pénétration d'air froid ou chaud qui perturbent la climatisation. Ces phénomènes sont nuisibles au confort et sont donc à éviter.

    [0003] Par ailleurs, le gain de poids que recherchent tous les constructeurs pour diminuer la consommation énergétique, aboutit à une réduction de la masse des portières, ce qui diminue les efforts d'inertie dus aux claquements de la portière et entraîne donc une moins bonne compression du joint d'étanchéité en accentuant les défauts cités ci-dessus.

    [0004] On a déjà mis au point des serrures capables d'assurer automatiquement la fermeture d'un couvercle de coffre de voiture en phase finale du mouvement de celui-ci. De telles serrures sont décrites notamment dans les brevets US-A-3.378.291 et US-A-2.950.138.

    [0005] Toutefois, ces serrures de la technique antérieure qui sont utilisables également pour les portières ont l'inconvénient de reporter sur les moyens moteurs la force avec laquelle le couvercle est maintenu fermé et doit pouvoir être maintenu notamment en cas d'accident. Il en résulte un surdimensionnement du moteur sur le plan mécanique et de tous les organes assurant la transmission du mouvement.

    [0006] L'invention a pour but de remédier à ces inconvénients.

    [0007] Elle a donc pour objet une serrure du type indiquée ci-dessus qui est caractérisée en ce que le pêne et l'organe de verrouillage sont tous deux articulés sur le boîtier renfermant le mécanisme de serrure et en ce que lesdits moyens moteurs comprennent un organe d'entraînement qui est agencé pour agir séparément et successivement d'une part sur ledit organe de verrouillage lors du déblocage de la serrure et d'autre part sur ladite transmission pour le blocage de celle-ci.

    [0008] Il résulte de_ces caractéristiques que la force de retenue de la portière est directement transmise sur le boîtier ce qui évite l'inconvénient précité.

    [0009] L'invention est exposée ci-après plus en détail à l'aide de dessins représentant seulement un mode d'é- xécution, sur lesquels :

    - la Fig. 1 est une vue en plan et en coupe d'une serrure suivant l'invention;

    - les Fig.2,3 et 4 sont des vues prises respectivement conformément aux lignes de coupe 2-2, 3-3 et 4-4 de la Fig. 1;

    - les Fig.5a à 5d représentent, à plus petite échelle, quatre phases de fonctionnement de la serrure suivant l'invention;

    - les Fig.6a à 6d représentent un schéma électrique associé à la serrure suivant l'invention, les quatre figures correspondant à des phases différentes de fonctionnement de celle-ci.



    [0010] Conformément au mode de réalisation représenté sur les Fig., la serrure suivant l'invention comporte un boîtier 1 qui présente en section à peu près la forme d'un U et dans lequel est logé un pêne 2 monté articulé autour d'une broche 3 fixée sur le fond du boîtier. Il est à noter que sur l'ensemble des Fig., le couvercle du boîtier 1 n'a pas été représenté.

    [0011] Le pêne 2 présente généralement une forme triangulaire dont l'un des sommets est articulé sur la broche 3 et qui présente à l'opposé de ce sommet, une encoche 4 délimitant sur le pêne deux branches 5 et 6 situées de part et d'autre de cette encoche. La branche 6 est pourvue d'un talon 7 qui s'étend au-delà du contour du triangle formé par le pêne 2. Cette même branche 6 porte un ergot de verrouillage 8.

    [0012] Dans le boîtier est ménagé un passage 9 qui s'évase vers le côté du boîtier et dans lequel est des- tinéeà pénétrer une gâche 10 pour être retenue dans l'encoche 4 du pêne lorsque celui-ci se trouve dans sa position de blocage de la serrure.

    [0013] Le pêne 2 coopère avec des moyens de verrouillage 11 qui comportent tout d'abord un levier de verrouillage 12 ayant généralement la forme d'un S. Ce levier est articulé sur une broche 13 fixe dans le boîtier et comporte une première branche 14 de verrouillage proprement dit, destinée à coopérer avec l'ergot 8 du pêne et comprenant deux encoches adjacentes 15 et 16, l'une 15 dite de " premier cran" et l'autre 16 dite de " second cran ". La première branche du levier de verrouillage 12 est prolongée par une portion de liaison 17 s'étendant à peu près à angle droit par rapport à cette branche et qui relie celle-ci à une seconde branche 18 d'actionnement de ce levier de verrouillage. Cette seconde branche s'étend à peu près à angle droit par rapport à la portion de liaison, mais en sens opposé par rapport à la première branche, la zone de liaison étant traversée par la broche d'articulation 13.

    [0014] Dans la zone reliant la portion de liaison 17 à la première branche 14, est prévue une patte d'actionnement 19 qui est repliée latéralement par rapport au plan général du levier 12 et dont la fonction est essentiellement d'assurer une possibilité d'ouverture de secours de la serrure comme cela sera expliquée par la suite.

    [0015] Les moyens de verrouillage 11 comprennent également une roue dentée 20 montée à rotation sur une broche 21 fixe dans le boîtier, cette roue engrenant avec une vis sans fin 22 qui est couplée à l'arbre d'un moteur électrique d'entraînement 23. Cette roue est pourvue d'un bossage profilé 24 formant poussoir qui se présente sous la forme d'une saillie dressée sur l'une des faces de la roue.

    [0016] Ce bossage est destiné à coopérer, au cours de la rotation de la roue 20, avec un levier de manoeuvre 25 qui est articulé autour d'une broche 26 fixée sur le fond du boîtier 1. Ce levier porte à son extrémité opposée par rapport à la broche 26, un galet 27 avec lequel le bossage 24 peut venir en contact au cours d'une partie de son trajet parcouru pendant la rotation de la roue 20. Le levier de manoeuvre 25 présente une aile latérale 28 dont le bord extérieur forme chemin de came 29 constitue par une partie en forme d'encoche à fond arrondi à laquelle est adjacente une saillie également à forme arrondie.

    [0017] Le chemin de came 29 coopère avec un galet 31 qui est porté par un levier de transmission 30 articulé sur le fond du boîtier par l'intermédiaire d'une broche 32. Le levier de transmission présente à peu près la forme d'un L et est -articulé autour de la broche 32 à peu près au milieu de la grande branche de ce L. La petite branche du levier de transmission 30 porte à son extrémité libre un autre galet 33 qui est destiné à venir en contact avec le talon 7 du pêne 2 au cours du fonctionnement de la serrure.

    [0018] Il est à noter que les galets 27, 31 et 33 sont montés à rotation sur les leviers correspondant respectivement à l'aide de pivots 34,35 et 36.

    [0019] Le levier 25 est sollicité en permanence en direction d'une butée fixe 37 qui est solidaire du boîtier 1, sous l'action d'un ressort 38 par l'intermédiaire d'une partie du levier de transmission 30, s'appuyant à son tour par le galet 31 sur ce levier 25. Le ressort 38 du type hélicoïdal, est monté autour de la broche 32 et est accroché d'une part en 39 sur le boîtier 1 et d'autre part en 40 sur la branche correspondante du levier 30.

    [0020] De même, le levier de verrouillage 12 est pourvu d'un ressort hélicoïdal 41 qui est monté autour de la broche 13 et qui est accroché par l'une de ses extrémités sur ce levier et qui par son autre extrémité est en appui contre une paroi latérale du boîtier 1. Ainsi, le levier de verrouillage 12 est sollicité dans le sens des aiguilles d'une montre, comme vu sur les Fig.l et 5 A à 5 D.

    [0021] Enfin, un troisième ressort 42 monté flottant est associé au pêne 2 pour le solliciter dans le sens de l'ouverture de la serrure, ce ressort étant accroché d'une part sur une paroi latérale du boîtier 1 et d'autre part dans le bord latéral du pêne 2, respectivement en les points 43 et 44.

    [0022] Comme représenté sur les Fig.6A à 6D, le moteur électrique 23 est monté dans un circuit d'alimentation raccordé à une source de tension ( non représentée) qui peut être la batterie du véhicule. Ce moteur est monté en série avec un premier commutateur 45 qui est monté fixe dans le boîtier et qui est pourvu d'un palpeur 46 placé sur le trajet du bossage 24 de la roue 20. Sur la Fig.l, le contact mobile de ce commutateur est placé dans une position correspondant au blocage de la serrure et cette position est appelée " position 1 " dans la suite de la description, sa position opposée étant appelée "O".

    [0023] Le moteur électrique 23 est également monté en série avec un autre commutateur 47 fixé dans le boîtier et dont le contact mobile est pourvu d'un palpeur 48 qui est destiné à être actionné par le bord du pêne 2 lorsque celui-ci se trouve dans le position correspondant au " premier cran ". De même que pour le commutateur 45, on admet que le commutateur 47 se trouve dans sa position "1" lorsque la serrure est bloquée, le cas contraire correspondant à sa position "O".

    [0024] La serrure peut être commandée par un dispositif permettant d'actionner la serrure tant de l'intérieur que de l'extérieur du véhicule.

    [0025] Cependant, pour simplifier l'explication du fonctionnement de la serrure que l'on vient de décrire, on a prévu dans le circuit électrique d'alimentation du moteur 23, un simple commutateur à deux positions 49. Bien entendu, les modifications du schéma qui s'imposent pour permettre une commande de l'intérieur et de l'extérieur du véhicule sont à la portée des spécialistes et il n'est donc pas nécessaire d'en faire une description détaillée ici.

    [0026] La position déverrouillée ou débloquée de la serrure apparaît sur la Fig.5A, le schéma électrique du moteur 23 se trouvant alors dans la configuration représentée sur la Fig.6A. ,

    [0027] On voit que le pêne 2 se trouve dans sa position haute dans laquelle d'une part, l'ergot de verrouillage 8 se trouve dégagé des encoches 15 et 16 du levier de verrouillage 12 et d'autre part, le galet 33 se trouve appuyé dans la portion arrondie du talon 7 du pêne 2. Le levier de transmission 30 sollicité par le ressort 38 appuie le levier de manoeuvre 25 contre la butée fixe 37 du boîtier.

    [0028] On suppose maintenant que la portière va être fermée, ce qui entraîne un mouvement relatif de la serrure par rapport à la gâche 10. Celle-ci pénétrant dans le passage 9 va s'engager dans l'encoche 4 du pêne en repoussant celui-ci vers sa position " premier cran" (Fig.5B). Pendant ce mouvement, les autres pièces de la serrure sont encore immobiles.

    [0029] Dès que la position " premier cran " est atteinte, l'ergot de verrouillage 8 se trouve dans l'encoche 15 du levier de verrouillage 12 et à cet instant, le commutateur 47 qui est associé au pêne 2 bascule vers la position "1" en fermant le circuit d'alimentation du moteur 23. Celui-ci entraîne en rotation la vis 22 et la roue 20 qui commence à tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Le bossage 24 de cette roue en contact avec le galet 27 du levier 25 pousse ce dernier vers la gauche en le faisant pivoter autour de la broche 26. Ce- ` ci entraîne par l'intermédiaire du chemin de came 29 et du galet 31, le basculement du levier 30 autour de la broche 32 de sorLe que le galet 33 vient en contact avec le talon 7 du pêne 2. Le moteur 23 continuant son fonctionnement, le pêne est donc repoussé en entraînant la gâche 10 vers une position qui est représentée sur la Fig.5C dans laquelle on a montrée les positions extrêmes des pièces au cours du mouvement assisté de fermeture de la portière.

    [0030] On voit que l'ergot de verrouillage 8 du pêne se trouve alors présenté devant le " second cran " du levier de verrouillage 12, cependant que ce levier n'est pas encore en contact avec cet ergot. Dans cette position les joints de la portière sont comprimés légèrement au-delà de la valeur de compression normale de fermeture de la portière.

    [0031] Cependant, la roue 20 continuant son mouvement, le bossage 24 rentre dans la zone où se trouve le commutateur 47 et dès l'instant où ce bossage entre en contact avec le palpeur 46, ce commutateur bascule en coupant le circuit du moteur. En même temps, toutes les pièces qui étaient précédemment en mouvement effectuent un bref déplacement en sens inverse, jusqu'à la position de blocage de la serrure qui est représentée sur la Fig.5D.

    [0032] Le schéma électrique correspondant apparaît sur la Fig.6C et on voit que dans cette configuration, le commutateur 45 ayant basculé, le moteur 23 se trouve court circuité et s'arrête donc brusquement. La roue 20 a alors effectué une rotation sur un demi-tour. L'ergot de verrouillage se trouve appuyé dans le second cran"du levier de verrouillage et la serrure se trouve dans sa position de blocage qui apparaît sur la Fig.5D.

    [0033] Lorsque la portière doit être ouverte, l'utilisateur actionne le bouton de commande 49 ce qui de nouveau met en circuit le moteur électrique 23 par l'intermédiaire des commutateurs 45 et 47 (Fig-6D). Dans ces conditions, la roue 20 est de nouveau entraînée par le moteur, si bien que le bossage 24 entre en contact avec la branche inférieure du levier de verrouillage 12 qui bascule dans le sens contraire des aiguilles d'une montre autour de sa broche d'articulation 13.

    [0034] Il en résulte que l'ergot de verrouillage 8 est libéré et le pêne peut de nouveau basculer autour de sa broche d'articulation 3 en libérant la gâche 10. La portière est alors ouverte du fait de la compression des joints de porte et de l'action du ressort 42.

    [0035] La roue 20 retourne dans sa position initiale d'ouverture représentée sur la Fig.5A lorsque le pêne a de nouveau actionné le commutateur 47 (position "0").

    [0036] La serrure qué l'on vient de décrire peut être pourvue de moyens destinés à permettre une ouverture de secours de la portière au cas où la tension d'alimentation venait à disparaître. A cet effet, le levier de verrouillage comporte la patte 19 qui peut être couplée à une tringlerie pourvue d'un bouton de commande mécanique apparaissant par exemple sur le panneau intérieur de la portière.

    [0037] L'actionnement de ce bouton permet de faire basculer le levier de verrouillage 12 autour de son axe en dégageant l'ergot de verrouillage 8, le pêne 2 et par conséquent la gâche 10, le mouvement étant rappelé par le ressort 41.


    Revendications

    1. Serrure de portière, notamment pour véhicule automobile comprenant un pêne (2) et une gâche (10) mobile l'un par rapport à l'autre pour pouvoir s'accrocher ou se dégager mutuellement lors du blocage ou du déblocage de la serrure, le pêne étant associé à un organe de verrouillage (12) qui est destiné à retenir le pêne (2) dans sa position accrochée sur la gâche (10) et qui est commandé par des moyens moteurs (20, 22, 23) destinés à le dégager du pêne (2) à l'encontre d'un organe élastique de rappel (41) de cet organe de verrouillage, lesdits moyens moteurs (10, 22, 23) étant en outre couplés au pêne par une transmission (25, 30) pour amener le pêne (2) dans sa position accrochée pendant la phase finale de blocage de la serrure, caractérisé en ce que le pêne (2) et l'organe de verrouillage (12) sont tous deux articulés sur le boîtier (1) renfermant le mécanisme de serrure et en ce que lesdits moyens moteurs (10, 22, 23) comprennent un organe d'entraînement (20) qui est agencé pour agir séparément et successivement d'une part sur ledit organe de verrouillage lors du déblocage de la serrure et d'autre part sur ladite transmission (25, 30) pour le blocage de celle-ci.
     
    2. Serrure suivant la revendication 1, caractérisée en ce que ledit organe d'entraînement (20) est une roue dentée (20) montée rotative dans le boîtier (1) et pourvue d'un bossage (24) formant poussoir sur l'une de ses faces, cette roue étant couplée à un moteur électrique (23) par l'intermédiaire d'une vis sans fin, ledit bossage étant capable d'agir sur ledit organe de verrouillage (12) pendant un demi-tour de rotation de ladite roue (20) et sur ladite transmission (25, 30) pendant un autre demi-tour de rotation.
     
    3. Serrure suivant la revendication 2, caractérisée en ce que ledit organe de verrouillage (12) est un levier articulé sur le boîtier (1) en son milieu présentant à l'une de ses extrémités au moins un cran pour retenir le pêne (2), son extrémité opposée coopérant avec ledit bossage (24).
     
    4. Serrure suivant l'une quelconque des revendications 2 et 3, caractérisée en ce que ladite transmission comprend un premier levier oscillant (25) agencé pour être déplacé par ledit bossage (24) de la roue dentée (20) ainsi qu'un second levier (30) couplé au premier levier (25) d'une part et au pêne (2) d'autre part, pour repousser celui-ci dans sa position de blocage lorsque la roue (20) est tournée sur ledit autre demi-tour.
     
    5. Serrure suivant la revendication 4, caractérisée en ce que ledit second levier (30) comprend à l'une de ses extrémités un organe de poussée (33) destiné à coopérer avec un talon (7) prévu sur le pêne (2).
     
    6. Serrure suivant la revendication 5, caractérisée en ce que ledit second levier (30) est monté basculant et comporte près de son autre extrémité un organe de poussée coopérant avec une surface de came (29) ménagée sur le premier levier (25).
     




    Dessins
















    Rapport de recherche