[0001] L'invention concerne une ferrure de verrouillage pour fenêtre, porte ou analogue
pourvue d'au moins un panneton à saillie réglable solidaire d'une tringle de manoeuvre
par l'intermédiaire d'un élément fileté et traversant une lumière de guidage pratiquée
dans une têtière solidaire de l'ouvrant ou du dormant pour s'engager dans une gâche
solidaire du dormant ou de l'ouvrant de la fenêtre, porte ou analogue.
[0002] On connaît déjà, par le document DE-A-2.553.645, des ferrures pour le verrouillage
d'une fenêtre, porte ou analogue comportant un dispositif de réglage de la saillie
du panneton s'engageant dans une gâche di
sp
o- sée sur le dormant pour le verrouillage de l'ouvrant. Ce dispositif de réglage est
constitué d'un filetage de la queue du panneton et d'un trpu taraudé réalisé dans
la tringle de manoeuvre recevant le pa
n- neton. Pour éviter un déréglage inopiné du panneton, il est prévu que la queue filetée
du panneton se visse avec force dans le trou taraudé de la tringle de manoeuvre. Toutefois,
en raison des tolérances de
fa- brication, il est très difficile d'obtenir un vissage à force qui soit, à la fois,
suffisamment serré pour résister aux frottements tangentiels de la gâche sur la surface
périphérique du panneton obligatoirement rond et suffisamment souple pour permettre
le réglage de la saillie du panneton.
[0003] De plus, le vissage à force risque de relâcher après plusieurs opérations de réglage.
[0004] Par ailleurs, du fait que le panneton est obligatoirement rond, la résistance du
panneton au cisaillement engendré par l'application de l'ouvrant contre le dormant
est limitée car le diamètre de la queue filetée est tributaire de la largeur de la
têtière donc de l'épaisseur de la fenêtre, porte ou analogue.
[0005] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients. L'invention, telle
qu'elle est caractérisée dans les revendications, résout le problème consistant à
créer une ferrure de verrouillage p
ré- sentant des moyens de réglage de la saillie du panneton insensible aux tolérances
de fabrication et peu sujet à l'usure. Par ailleurs, l'invention recherche également
d'augmenter la résistance du panneton au cisaillement. Ce pannetdn comporte des moyens
de blocage en rotation coopérant avec la lumière de guidage de la têtière et que la
tringle de manoeuvre est écartée d'une distance déterminée de la face interne de la
têtière.
[0006] Selon une conception préférentielle de l'invention, les moyens de blocage en rotation
que comporte le panneton sont une embase parallélépipédique guidée dans la lumière
de guidage pratiquée dans la têtière.
[0007] Un mode de réalisation de l'invention prévoit que l'élément fileté est fixé sur l'embase
parallélépipédique et vissé dans un trou taraudé de la tringle de manoeuvre, tandis
qu'un autre mode de réalisation conçoit que l'élément fileté est fixé sur la tringle
de manoeuvre et que le panneton est vissé sur l'élément fileté.
[0008] Selon une variante de la présente invention, le panneton, présentant une embase oblongue,
comporte des moyens de déplacement selon un trajet rectiligne perpendiculaire à la
face externe de la têtière.
[0009] Selon un premier mode de réalisation, l'élément fileté est un axe solidaire axialement
mais libre en rotation du panneton, cet axe présentant, à l'extrémité vissée dans
la tringle de manoeuvre, un épaulement fileté et, à l'autre extrémité apparente, un
élément de retenue du panneton. L'extrémité apparente de cet axe comporte un moyen
de prise pour un outil permettant la rotation dudit axe.
[0010] Selon un autre mode de réalisation, l'élément fileté est solidaire axialement mais
libre en rotation de la tringle de manoeuvre et vissé dans le panneton. L'extrémité
appàrente de cet axe fileté comporte également un moyen de prise pour un outil.
[0011] Une variante de ces deux modes de réalisation rendant la tenue du panneton plus solide,
s'obtient dès lors qu'au moins un axe de guidage solidaire de la tringle de manoeuvre
est disposé en parallèle à l'axe fileté.
[0012] Les avantages obtenus grâce à cette invention consistent essentiellement en ce que,
pour procéder au réglage du panneton, il suffit d'exercer une traction sur ce dernier
pour rapprocher la tringle de manoeuvre de la têtière et de dissoudre ainsi la coopération
entre les moyens de blocage en rotation du panneton et la lumière de guidage réalisée
dans la têtière. De ce fait, il est possible de tourner le panneton et de modifier
la saillie du panneton par rotation de ce dernier.
[0013] Un autre avantage consiste en ce que l'invention augmente la résistance du panneton
au cisaillement en prévoyant que l'embase parallélépipédique guidée dans la lumière
de guidage de la têtière est oblongue.
[0014] L'invention est exposée ci-après plus en détail à l'aide de dessins représentant
seulement plusieurs modes d'exécution.
La figure 1 représente, en vue en élévation en coupe, une ferrure de verrouillage
pourvue d'un panneton à saillie réglable conforme à l'invention, le panneton ayant
une section circulaire.
La figure 2 représente une vue en plan en coupe selon ligne de coupe II-II de la figure
1.
La figure 3 représente, en vue en élévation en coupe, une ferrure de verrouillage
pourvue d'un panneton à saillie réglable de section oblongue.
La figure 4 représente une vue en plan en coupe selon ligne de coupe IV-IV de la figure
3.
La figure 5 représente, en vue en élévation en coupe, une ferrure de verrouillage
dont le panneton se déplace perpendiculairement à la face externe de la têtière selon
un trajet rectiligne par l'intermédiaire d'un axe fileté solidaire du panneton.
La figure 6 représente une vue en plan en coupe selon ligne de coupe VI-VI de la figure
5.
La figure 7 représente, en vue en élévation en coupe, une ferrure de verrouillage
dont le panneton se déplace perpendiculairement à la face externe de la têtière selon
un trajet rectiligne par l'intermédiaire d'un axe fileté solidaire de la tringle de
manoeuvre.
La figure 8 représente une vue en plan en coupe selon ligne de coupe VIII-VIII de
la figure 7.
La figure 9 représente, en vue en élévation en coupe, une ferrure de verrouillage
dont la tenue du panneton est consolidée par au moins un axe de guidage.
La figure 10 représente une vue en plan en coupe selon ligne de coupe X-X de la figure
9.
[0015] On se réfère aux figures 1 et 2.
[0016] La ferrure de verrouillage 1 comporte une tringle de manoeuvre 2 coulissant dans
une rainure 3 pratiquée dans le chant 4 de l'ouvrant ou du dormant 5 de la fenêtre,
porte ou analogue. La rainure 3 est recou- verte d'une têtière 6 encastrée dans une
seconde rainure 7 de largeur supérieure à la rainure 3. Cette têtière 6 est fixée
sur le chant 4 de l'ouvrant ou du dormant 5. On pratique dans cette têtière 6 au moins
une lumière de guidage 8 traversée par un panneton 9. Celui-ci présente un élément
fileté sous forme d'une queue filetée 10 engagée dans un trou taraudé 11 réalisé dans
la tringle de manoeuvre 2 présentant à l'emplacement du panneton 9 une partie élastique.
Le panneton 9 fait saillie par rapport à la face externe 12 de la têtière 6. Cette
saillie 13 coopère avec une gâche solidaire du dormant ou de l'ouvrant (la gâche sur
le dormant ou l'ouvrant n'est pas représentée dans les figures). Entre cette saillie
13 et la queue filetée 10, le panneton 9 présente une embase parallélépipédique 14.
[0017] Selon le mode de réalisation représenté dans ces figures, la saillie 13 a une section
circulaire et l'embase parallélépipédique 14 a une section d'un carré. Pour obtenir
une bonne résistance du panneton 9 au cisaillement, l'embase 14 prend une forme oblongue
comme indiqué en pointillé. Cette embase parallélépipédique 14 est engagée dans la
lumière de guidage 8 de la têtière 6 de sorte que les deux côtés parallèles 15, 16
de l'embase 14 coopèrent avec les deux parois parallèles 17, 18 de la lumière de guidage
8. Ainsi, on obtient des moyens de blocage annihilant toute rotation inopinée du panneton
9.
[0018] Conformément à l'invention, la tringle de manoeuvre 2 est écartée d'une certaine
distance de la face interne 19 de la têtière 6. L'écartement 20 entre la tringle de
manoeuvre 2 et la face interne 19 de la têtière 6 a une valeur égale à la hauteur
21 de l'embase 14.
[0019] Pour procéder au réglage du panneton 9, on exerce une traction sur ce dernier, cette
traction faisant rapprocher la tringle de manoeuvre 2 de la face interne 19 de la
têtière 6. De ce fait, on dégage entièrement l'embase parallélépipédique 14 de la
lumière de guidage 8 et on peut impliquer une rotation au panneton 9 en vissant ou
dévissant plus ou moins la queue filetée 10 dans le trou taraudé 11 de la tringle
de manoeuvre 2. En relâchant le panneton 9, en raison de l'élasticité de la tringle
de manoeuvre 2, cette dernière occupe à nouveau sa position initiale et l'embase parallélépipédique
14 s'engage dans la lumière de guidage 8, étant entendu que les côtés 15, 16 de cette
embase 14 doivent être parallèles aux parois 17, 18 de la lumière de guidage 8.
[0020] On se réfère aux figures 3 et 4.
[0021] Selon un autre mode de réalisation représenté dans ces figures, le panneton 109 a
une section oblongue. L'embase 114 située entre l'élément fileté et la saillie 113
est également oblongue. On réalise dans ce panneton 109 un trou taraudé 122 dans lequel
est vissé un axe fileté 123 faisant office d'élément fileté et dont l'extrémité 124
est solidaire de la tringle de manoeuvre 102. L'embase 114 est engagée dans la lumière
108 de la têtière 106. L'écartement 120 correspond à la hauteur 121 de l'embase 114.
L'avantage de conférer au panneton 109 ou tout au moins à l'embase 14 ou 114 une section
oblongue consiste en ce que l'on augmente la résistance au cisaillement du panneton
9 ou 109. Le réglage de ce dernier se fait de façon identique que décrit ci-dessus.
[0022] Toutefois, il s'avère parfois nécessaire d'avoir un réglage plus précis du panneton
que ceux des pannetons 9 et 109 ci-dessus. En effet, le réglage du panneton est saccadé
et correspond à un quart de tour de rotation lorsque son embase a une section carrée,
et à demi- tour de rotation lorsque son embase a une section oblongue. Par ailleurs,
il se peut que la tringle de manoeuvre ne comporte pas une élasticité suffisante pour
son rapprochement de la têtière en vue du dégagement total de l'embase parallélépipédique
hors de la lumière de guidage. Il est donc souhaitable d'avoir un réglage progressif
et que le déplacement du panneton se fasse selon un trajet rectiligne perpendiculaire
à la face avant de la têtière.
[0023] On se réfère aux figures 5 et 6.
[0024] Le panneton 209 comporte un alésage 225 dont l'extrémité 226 dirigée vers la gâche
est pourvue d'un évidement cylindrique ou d'un fraisage tronconique 227. Dans cet
alésage 225 est enfilé un axe 228 dont l'extrémité 229 située du côté de la tringle
de manoeuvre 202 présente un épaulement 230. Le diamètre de l'alésage 225 est légèrement
supérieur au diamètre de l'axe 228 et ce dernier peut tourner librement sans entraîner
en rotation le panneton 209. L'épaulement 230 comporte un filetage et constitue une
queue filetée 210 vissée dans le trou taraudé 211 pratiqué dans la tringle de manoeuvre
202. La tenue en place du panneton 209 sur l'axe 228 se fait à l'aide d'un élément
de retenue 231 qui peut être une rondelle ou une tête rivetée sur l'extrémité apparente
242 de l'axe 228. De ce fait, le panneton 209 est emprisonné entre, d'une part, l'élément
de retenue 231 et, d'autre part, l'épaulement 230 de l'axe 228. Ainsi, ce dernier
est solidaire axialement mais libre en rotation du panneton 209. Pour actionner cet
axe 228, l'extrémité apparente comporte un moyen de prise 232 pour un outil tel qu'une
clé ou un tournevis. Ainsi, il est possible de procéder depuis l'extérieur au réglage
du panneton 209. Il est nécessaire que la tringle de manoeuvre 202 soit également
écartée d'une distance déterminée de la face interne 219 de la têtière 206. Cet écartement
220 doit être de préférence identique à l'écartement 237 entre le fond 236 de la rainure
203 et la face arrière de la tringle de manoeuvre 202. On obtient ainsi la course
de réglage 233 maxi possible sans que, lorsque la saillie 213 est en position minima,
le chant arrière 234 du panneton 209 frotte sur la face externe 212 de la têtière
206 et le sommet 235 de l'épaulement 230 frotte sur le fond 236 de la rainure 203.
[0025] On se réfère aux figures 7 et 8 représentant un autre mode de réalisation de l'invention.
Selon ce mode de réalisation, l'axe fileté 323 est solidaire en déplacement de la
tringle de manoeuvre 302 mais libre en rotation dans le trou lisse 339 pratiqué dans
ladite tringle de manoeuvre 302. Ce trou lisse 339 comporte un fraisage tronconique
340 s'évasant vers le fond 336 de la rainure 303 dans lequel vient se loger la tête
évasée 341 de l'axe fileté 323. L'extrémité apparente 342 de l'axe fileté 323 comporte
également un moyen de prise 343 pour un outil tel qu'une clé à six pans permettant
le réglage depuis l'extérieur du panneton 309. Il est nécessaire que la hauteur 321
de l'embase parallélépipédique 314 soit supérieure à l'écartement 320 pour que, lorsque
la saillie 313 est en position minima, le chant 344 de cette embase parallélépipédique
314 prenne appui contre la face avant 345 de la tringle de manoeuvre 302 alors qu'il
reste un jeu entre le chant arrière 334 du panneton 309 et la face externe 312 de
la têtière 306. Pour le réglage du panneton 309, il suffit d'impliquer une rotation
à l'axe fileté 323.
[0026] On se réfère aux figures 9 et 10 représentant une autre variante de la ferrure conforme
à l'invention. Pour consolider la tenue du panneton 409, on prévoit au moins un axe
de guidage 446, 447 solidaire de la tringle de manoeuvre 402. Cet axe de guidage 446,
447 est disposé en parallèle de préférence dans le même plan vertical que l'axe fileté
423. Cet axe 446, 447 coulisse dans un trou borgne 448, 449 réalisé dans le panneton
409. La longueur de cet axe 446, 447 est légèrement inférieure à la longueur de l'axe
fileté 423.
1. Ferrure de verrouillage pour fenêtre, porte ou analogue pourvue d'au moins un panneton
(9, 109, 209, 309, 409) à saillie réglable (13, 113, 213, 313, 413) solidaire d'une
tringle de manoeuvre (2, 102, 202, 302, 402) par l'intermédiaire d'un élément fileté
et traversant une lumière de guidage (8, 108, 208, 308, 408) pratiquée dans une têtière
(6, 106, 206, 306, 406) solidaire de l'ouvrant ou du dormant pour s'engager dans une
gâche solidaire du dormant ou de l'ouvrant de la fenêtre, porte ou analogue, caractérisée
en ce que le panneton (9, 109, 209, 309, 409) comporte des moyens de blocage en rotation
(14, 114, 214, 314, 414) coopérant avec la lumière de guidage (8, 108, 208, 308, 408)
de la têtière (6, 106, 206, 306, 406) et que la tringle de manoeuvre (2, 102, 202,
302, 402) est écartée d'une distance déterminée (20, 120, 220, 320, 420) de la face
interne (19, 119, 219, 319, 419) de la têtière (6, 106, 206, 306, 406).
2. Ferrure de verrouillage selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens
de blocage en rotation sont une embase parallélépipédique (14, 114, 214, 314, 414)
engagée dans la lumière de guidage (8, 108, 208, 308, 408) et dont deux côtés parallèles
(15,16 ; 115, 116 ; 215,216 ; 315,316 ; 415,416) coopèrent avec les deux parois parallèles
(17,18 ; 117,118 ; 217,218 ; 317,318 ; 417,418) de la lumière de guidage (8,108, 208,308,408).
3. Ferrure de verrouillage selon les revendications 1 et 2, caractérisée en ce que
ladistance déterminée est un écartement (20,120) entre la tringle de manoeuvre (2,102)
et la face interne (19,119) de la têtière (6,106) de valeur égale à la hauteur (21,121)
de l'embase parallélépipédique (14,114) du panneton (9,109).
4. Ferrure de verrouillage selon les revendications 1 à 3, caractérisée en ce que
l'élément fileté comporte une queue filetée (10,210) disposée en dessous de l'embase
parallélépipédique (14,214) et étant vissée dans la tringle de manoeuvre (2, 202).
5. Ferrure de verrouillage selon la revendication 4, caractérisée en ce que la tringle
de manoeuvre (2, 102) comporte à l'emplacement du panneton (9, 109) une certaine élasticité
permettant son rapprochement de la têtière (6, 106) pour le dégagement de l'embase
parallélépipédique (14, 114 du panneton (9, -109) de la lumière de guidage (8, 108)
de la têtière (6, 106).
6. Ferrure de verrouillage selon les revendications 1 à 3, caractérisée en ce que
l'élément fileté est un axe fileté (123, 323, 423) solidaire de la tringle de manoeuvre
(102, 302, 402) et sur lequel est vissé le panneton (109, 309, 409) présentant un
trou taraudé (122, 322, 422).
7. Ferrure de verrouillage selon les revendications 4 et 6, caractérisée en ce que
le panneton (209, 309, 409) comporte des moyens de déplacement (228, 323, 423) selon
un trajet rectiligne perpendiculaire à la face externe (212, 312, 412) de la têtière
(206, 306, 406).
8. Ferrure de verrouillage selon les revendications 4 et 7, caractérisée en ce que
le panneton (209) comporte un axe (228) solidaire axialement mais libre en rotation
du panneton (209), cet axe (228) présentant, à l'une de ses extrémités (229), un épaulement
fileté (230) solidaire de la tringle de manoeuvre (202) et, à l'autre extrémité, un
élément de retenue (231) du panneton (209).
9. Ferrure de verrouillage selon les revendications 1 et 2, caractérisée en ce que
la distance déterminée est un écartement (220, 320, 420) entre la tringle de manoeuvre
(202, 302, 402) et la face externe (212, 312,412) de la têtière (206,306,406) de valeur
égale à la hauteur (221, 321, 421) de l'embase parallélépipédique (214, 314, 414)
du panneton (209,309,409).
10. Ferrure de verrouillage selon les revendications 6 et 7, caractérisée en ce que
l'axe fileté (323, 423) sur lequel est vissé le panneton (309, 409) est solidaire
axialement mais libre en rotation de la tringle de manoeuvre (302, 402).
11. Ferrure de verrouillage selon les revendications 8 et 10, caractérisée en ce que
l'extrémité apparente (242, 342, 442) de l'axe (228, 323, 423) comporte un moyen de
prise (232, 343, 443) pour un outil.
12. Ferrure de verrouillage selon la revendication 10, caractérisée en ce qu'elle
comporte au moins un axe de guidage (446, 447) solidaire de la tringle de manoeuvre
(402) et coulissant dans un trou borgne (448, 449) réalisé dans le panneton (409).