[0001] L'invention concerne un volet roulant pour porte, fenêtre et autres ouvertures composé
d'un arbre d'enroulement et/ou de déroulement d'un tablier formé de lames pourvues
de moyens de préhension coopérant avec des moyens d'entraînement solidaires en rotation
d'un second arbre disposé en aval par rapport à l'arbre d'enroulement maintenu par
des flasques latéraux du caisson et de rails de guidage dans lesquels glissent les
extrémités latérales des lames du tablier.
[0002] Pour protéger les toits de vérandas en verre, les lucarnes des toitures contre le
soleil, on utilise un volet roulant dont le tablier se déplace pratiquement horizontalement.
Contrairement aux volets roulants disposés verticalement, le déploiement du tablier
n'est plus soumis à l'effet de la pesanteur et il est nécessaire de prévoir des moyens
assurant le déplacement du tablier dans les deux sens.
[0003] On connaît déjà, par le document DE-A-2 947 501, un volet roulant correspondant au
préambule de la revendication 1. Les différentes lames du tablier sont reliées entre-elles
par une articulation constituée par un profilé de section en "C" dont les deux extrémités
recourbées coulissent à travers des fentes réalisées dans les chants longitudinaux
des différentes lames. Ces extrémités recourbées coopèrent avec des bossages solidaires
de l'une des parois desdites fentes. Les chants latéraux des lames sont pourvus d'embouts
enfilés à l'intérieur des lames. Ces embouts comportent plusieurs tétons dont l'entr'axes
correspond au pas des roues dentées d'entraînement.
[0004] Cependant, pour le bon fonctionnement, il est nécessaire que l'entr'axes du dernier
téton de la lame en amont et le premier téton de la lame en aval soit identique à
l'entr'axes des différents tétons solidaires de l'embout. Toutefois, cet entr'axes
du dernier téton de la lame en amont et du premier téton de la lame en aval est variable
en fonction du sens de déplacement du tablier.
[0005] Dans un sens, le déplacement du tablier s'effectue par poussée transmise d'une lame
à l'autre. A cet effet, les chants longitudinaux des deux lames consécutives se touchent
et l'entr'axes entre le dernier téton de la lame en amont et le premier téton de la
lame en aval a une valeur minima.
[0006] Par contre, dans l'autre sens, le déplacement du tablier s'effectue par traction
transmise d'une lame à l'autre par l'intermédiaire du profilé en forme de "C". Il
y a donc étirement et l'entr'axes entre le dernier téton de la lame en amont et le
premier téton de la lame en aval a une valeur maxima.
[0007] La valeur de l'entr'axes entre les tétons de l'embout ne peut correspondre que soit
à la valeur minima, soit à la valeur maxima mais en aucun cas il ne peut correspondre
aux deux valeurs à la fois. Ainsi, dans l'un des sens il y a obligatoirement une alternance
entre l'entr' axes des tétons d'une même lame et l'entr'axes des tétons entre deux
axes consécutifs. Cette alternance est incompatible avec le pas régulier des roues
dentées.
[0008] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients. L'invention telle
qu'elle est caractérisée dans les revendications résout le problème consistant à créer
un volet roulant se composant d'un arbre d'enroulement et/ou de déroulement d'un tablier
et d'un second arbre pourvu à chaque extrémité de moyens d'entraînement présentant
une course à vide appropriée au pas variable séparant deux moyens de préhension de
deux lames consécutives, ces moyens d'entraînement étant sollicités par des moyens
moteurs assurant la rotation de l'arbre d'enroulement.
[0009] Les avantages obtenus grâce à cette invention consistent essentiellement en ceci
que les moyens d'entraînement présentent un pas s'adaptant au pas variable résultant
du déplacement de sens contraire des différentes lames, ce qui permet un déplacement
horizontal dans les deux sens du tablier.
[0010] L'invention est exposée ci-après plus en détail à l'aide de dessins représentant
seulement un mode d'exécution.
La figure 1 représente, en vue en élévation, un volet roulant conforme à l'invention.
La figure 2 représente une vue partielle en plan de ce volet roulant.
La figure 3 représente, en vue en plan et en coupe, les moyens d'entraînement du tablier
du volet roulant.
La figure 4 représente, en vue latérale, le principe de fonctionnement des moyens
d'entraînement.
La figure 5 représente, en vue en plan et en coupe, les moyens d'entraînement de l'arbre
d'enroulement et de déroulement du tablier.
[0011] On se réfère aux figures 1 et 2.
[0012] Le volet roulant 1 comporte essentiellement un tablier 2 composé d'une pluralité
de lames 3, 4, 5... reliées entre-elles par un moyen quelconque. Ce tablier 2 est
maintenu latéralement par deux rails de guidage 6 ayant une section en forme de "U".
Les deux ailes parallèles des rails de guidage 6 coiffent les extrémités latérales
7, 8, 9 des lames 3, 4, 5, ces dernières coulissant entre lesdites ailes parallèles.
Les deux rails de guidage 6 sont reliés entre-eux, à l'une de leur extrémité 10, par
une traverse 11 contre laquelle viendra buter la dernière lame 12 du tablier déployé
2. L'autre extrémité 13 des glissières 6 est solidaire de flasques latéraux servant
de support à un arbre d'enroulement 15 sur lequel s'enroule et duquel se déroule le
tablier 2 dont la première lame est fixée par un moyen approprié 16 sur ledit arbre
15.
[0013] Selon l'invention, le volet roulant 1 comporte un second arbre 17 parallèle à l'arbre
d'enroulement 15. Cet arbre 17 est situé en aval de l'arbre d'enroulement 15 et il
est également maintenu par les flasques latéraux. Le second arbre 17 comporte des
moyens d'entraînement coopérant avec des moyens de préhension solidaires des différentes
lames 3, 4, 5 du tablier 2. A cet effet, on dispose sur les deux côtés 18 de l'arbre
17 des moyens d'entraînement constitués de roues à cames 19 s'engrènant avec des moyens
de préhension formés pour chaque lame 3, 4, 5 d'un téton unique 22, 23, 24 faisant
saillie par rapport aux deux chants latéraux 25, 26 des lames 3, 4, 5. Ces roues à
cames 19, solidaires en rotation du second arbre 17, comportent une course à vide
et, à cet effet, présentent une configuration d'étoiles dont les branches 20, 21 sont
constituées d'une développante de cercle (voir figure 4). Lesdites branches 20, 21
sont reliées entre-elles par un segment curviligne 27. En raison de la forme particulière
des branches 20, 21 les tétons 22, 23, 24 peuvent effectuer une course à vide en glissant
le long des flancs 28, 29 de ces branches 20, 21 et se positionner en fonction du
pas 30 entre deux tétons consécutifs 22, 23. En effet, le pas 30 est variable en fonction
du mouvement du tablier 2. Lorsque le tablier 2 est en phase de déroulement, chaque
lame 4 exerce une poussée sur la précédente 3. De ce fait, les chants longitudinaux
31, 32 des lames 3, 4 sont accolés et le pas 30 a une valeur minima. Par contre, lorsque
le tablier 2 est en phase d'enroulement, il y a traction et les différentes lames
3, 4 s'écartent les unes des autres. Ainsi, le pas 30 a une valeur maxima. La différence
des valeurs maxima et minima du pas 30 est absorbée par le coulissement des tétons
22 , 23, 24 le long des flancs 28, 29 des branches 20, 21 de la roue à cames 19.
[0014] Du fait que l'on exerce un entraînement dans les deux sens du tablier 2, il est possible
de disposer horizontalement le volet roulant 1 ou de placer l'ensemble arbre d'enroulement
15 et arbre d'entraînement 17 à la partie inférieure du volet roulant vertical. Il
est évident que le volet roulant peut occuper une position intermédiaire entre la
position horizontale et la position verticale.
[0015] Selon un premier mode de réalisation, les moyens moteurs entraînent uniquement le
second arbre 17. Celui-ci, traversant un des flasques 14, est accouplé à un dispositif
de commande manuel ou automatique. Ce dispositif de commande entraîne en rotation
le second arbre 17 qui devient ainsi l'arbre moteur alors que l'arbre d'enroulement
15 du tablier 2 est un arbre mené. Ce dernier étant libre en rotation, la poussée
exercée sur le tablier 2 par le second arbre 17 provoque la rotation de l'arbre d'enroulement
15. On incorpore dans ce dernier un ressort mis sous tension en phase de déroulement
du tablier 2 et agissant lors de l'enroulement. De ce fait, il facilite la rotation
de l'arbre d'enroulement 15 au-fur-et-à-mesure de l'arrivée des lames 3, 4, 5 poussées
par les branches 20, 21 des roues à cames 19 du second arbre 17.
[0016] Cependant, à la longue, le ressort risque d'être sujet à une fatigue . De ce fait,
soit il doit être remplacé, soit il est nécessaire de prévoir des moyens de réglage
pour modifier le ressort défectueux. A cet effet, l'invention prévoit un second mode
de réalisation selon lequel les moyens moteurs assurent l'entraînement soit de l'arbre
d'enroulement 15, soit du second arbre 17.
[0017] On se réfère aux figures 3 et 4.
[0018] L'arbre 15 comporte à l'une de ses extrémités 33 un embout 34 pourvu d'un moyeu 35
engagé dans un palier 36 à roulement à billes 37. Ce palier 36 est solidaire de la
face interne 38 d'un des flasques latéraux 39 du caisson.
[0019] A l'autre extrémité 40, l'arbre 15 comporte un embout à roue libre 41 dans lequel
est enfilé un moyeu 42 présentant un pignon denté 43. La rotation de l'embout à roue
libre 41 est solidaire de celle de l'arbre 15 mais peut être indépendante de celle
du moyeu 42. Le moyeu 42 présente sur une de ses extrémités 44 une portée 45 engagée
dans un palier 46 à roulement à billes 47. Ce palier 46 est solidaire de la face interne
48 de l'autre flasque latéral 49 du caisson. Ce moyeu 42 comporte un alésage 50 dans
lequel est engagé le moyen de commande tel que l'arbre d'un treuil (non représenté).
[0020] L'embout à roue libre 41 comporte un ergot de blocage 51 sollicité en position d'action
par un élément élastique 52 maintenu par un élément de serrage tel qu'une vis 53.
L'ergot de blocage 51, l'élément élastique 52 et l'élément de serrage 53 sont logés
dans un orifice 54 dont l'axe 55 est perpendiculaire à l'axe longitudinal 56 de l'arbre
d'enroulement 15. L'extrémité inférieure 57 de l'ergot de blocage 51, en position
d'action de ce dernier, fait saillie par rapport au pourtour de l'alésage 58 réalisé
dans l'embout à roue libre 41 dans lequel est enfilé le moyeu 42. Ce dernier comporte
sur son pourtour extérieur 59 une encoche 60 dont la largeur correspond à celle de
l'ergot de blocage 51. Cette encoche 60 présente une face d'action 61 contre laquelle
vient buter l'ergot de blocage 51 lorsque l'arbre d'enroulement 15 est entraîné par
le treuil pour provoquer l'enroulement du tablier 2. Perpendiculairement à cette face
d'action 61, l'encoche 60 comporte une face d'effacement 62. La face d'action 61 est
parallèle à l'axe 55 de l'orifice 54, donc parallèle au sens de déplacement de l'ergot
de blocage 51. Lorsque le moyeu 42 tourne dans l'autre sens pour obtenir le déroulement
du tablier 2, la face d'effacement 62 provoque l'escamotage de l'ergot de blocage
51 de sorte que ce dernier prend appui sur le pourtour 63 du moyeu 42. De ce fait,
il n'y a plus de liaison entre ce dernier et l'embout à roue libre 41 et la rotation
de l'un 42 devient indépendante de la rotation de l'autre 41. Ainsi, en phase de déroulement
du tablier 2, l'arbre d'enroulement 15 tourne sans être entraîné par le treuil.
[0021] Le pignon denté 45 est relié par une chaîne 64 à un pignon denté 65 solidaire d'un
moyeu 66 disposé à l'une des extrémités 18 du second arbre 17 parallèle à l'arbre
d'enroulement 15. Le moyeu 66 comporte une portée 68 enfilée dans un palier 69 à roulement
à billes 70 solidaire de la face interne 48 du flasque latéral 49. Sur ce moyeu 66
est enfilé un embout à roue libre 71 engagé dans l'extrémité 18 du second arbre 17.
Cet embout à roue libre 71 est solidaire en rotation par un élément de fixation 72
de la roue à cames 19 s'engrènant avec les tétons latéraux 22, 23, 24 des différentes
lames 3, 4, 5 du tablier 2. Dans l'embout à roue libre 71 est réalisé au moins un
orifice 73 dans lequel sont engagés un ergot de blocage 74 et un élément élastique
75 maintenu sous tension par un élément de serrage 76. L'extrémité inférieure 77 de
l'ergot de blocage 74 fait saillie par rapport au pourtour de l'alésage 78 réalisé
dans l'embout à roue libre 71 et s'engage dans une encoche 79 pratiquée dans le moyeu
66. Cette encoche 79 comporte la même configuration que l'encoche 60, c'est-à-dire
comporte une face d'action 80 et une face d'effacement 81, perpendiculaire à la première
80. Cependant, si dans le cas de l'encoche 60, la face d'effacement 62 est située
à droite de la face d'action 61, dans le cas de l'encoche 79, la face d'effacement
81 est située à gauche de la face d'action 80. Ainsi, en phase d'enroulement, lorsque
l'ergot de blocage 51 est saillant et transmet l'entraînement du treuil à l'arbre
d'enroulement 15, l'ergot de blocage 74 est en position escamotée et le second arbre
17 peut tourner librement par rapport au pignon denté 65.
[0022] En phase de déroulement du tablier 2, le treuil entraîne le pignon denté 43, la chaîne
64 et le pignon denté 65. L'ergot de blocage 74 est en position saillante et le moyeu
66 entraîne en rotation le second arbre 17 par suite de l'action de l'ergot de blocage
74 contre la face d'action 80 de l'encoche 79, ce qui provoque la rotation de l'embout
à roue libre 71 et, par voie de conséquence, la rotation de la roue à cames 19 et
du second arbre 17.
[0023] Ce dernier présente à son autre extrémité 82 une seconde roue à cames 83 rendue solidaire
en rotation du second arbre 17 par l'intermédiaire d'un élément de fixation 84 assurant
la liaison entre la roue 83 et un embout 85 dont le moyeu 86 est engagé dans un palier
87 à roulement à billes 88, ce palier 87 étant solidaire de la face interne 38 du
flasque latéral 39 du caisson.
[0024] On se réfère à la figure 5.
[0025] Selon un autre mode de réalisation, l'arbre d'enroulement 15 comporte un moteur incorporé
89. L'arbre 90 de ce moteur incorporé 89 est relié par un accouplement 91 à un arbre
mené 92 rendu solidaire en rotation du moyeu 42 et de l'embout à roue libre 41. Tous
les autres éléments sont identiques à ceux décrits ci-dessus.
1. Volet roulant pour porte, fenêtre et autres ouvertures composé d'un arbre (15)
d'enroulement et/ou de déroulement, d'un tablier (2) formé de lames (3, 4, 5) pourvues
de moyens de préhension (22, 23, 24) coopérant avec des moyens d'entraînement (19)
solidaires en rotation d'un second arbre (17) disposé en aval par rapport à l'arbre
d'enroulement (15) maintenu par des flasques latéraux (39, 49) du caisson et des rails
de guidage (6) dans lesquels glissent les extré- mités latérales (7, 8, 9) des lames
(3, 4, 5) du tablier (2) caractérisé en ce que le second arbre (17) comporte à chaque
extrémité (18, 82) des moyens d'entraînement (19, 83) présentant une course à vide
appropriée au pas variable (30) séparant deux moyens de préhension (22, 23, 24) de
deux lames consécutives (3, 4, 5), ces moyens d'entraînement (19, 83) sollicités par
des moyens moteurs (41, 43, 64, 65, 71) assurant la rotation de l'arbre d'enroulement
(15).
2. Volet roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'entraînement
sont des roues à cames (19, 83) comportant une course à vide.
3. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce, que les roues à cames
(19, 83) comportent une configuration d'étoiles dont les branches (20, 21) présentent
des flancs (28, 29) constitués d'une développante de cercle.
4. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que la course à vide
est située entre deux branches (20, 21) permettant le glissement des moyens de préhension
(22, 23, 24) le long des flancs (28, 29).
5. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de préhension
sont un téton unique (22, 23, 24) disposé à chaque chant latéral (25, 26) de chaque
lame (3, 4, 5) et faisant saillie par rapport à ce chant latéral (25, 26).
6. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens moteurs
sont des moyens entraînant uniquement le second arbre (17) et constitués d'un dispositif
de commande manuel ou automatique accouplé au second arbre (17), l'arbre d'enroulement
(15) étant libre en rotation.
7. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens moteurs
sont des moyens moteurs débrayables (41, 43, 64, 65, 71) entraînant alternativement
l'un ou l'autre des arbres (15, 17) en fonction du déplacement du tablier (2).
8. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens moteurs
débrayables sont une transmission (45, 64, 65) entraînant alternativement par l'intermédiaire
d'un embout à roue libre (41, 71) l'un ou l'autre arbre (15, 17) en fonction du déplacement
du tablier (2).
9. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que la transmission comporte
une chaîne (64) reliant entre-eux deux pignons (43, 65) solidaires en rotation d'un
moyeu (42, 66) présentant une portée (48, 68) enfilée dans un palier (36, 69) à roulement
à billes (32, 70) solidaires de la face interne (48) du flasque latéral (49) du caisson.
10. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'embout à roue
libre (41, 71) comporte une rotation solidaire de l'arbre (15, 17) et une rotation
libre par rapport à celle du moyeu (42, 66).
11. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'embout à roue
libre (41, 71) comporte un ergot de blocage (51, 74) sollicité en phase d'action par
un élément élastique (52, 75) maintenu par un élément de serrage (53, 76), l'ergot
de blocage (51, 74), l'élément élastique (52, 75) et l'élément de serrage (53, 76)
étant logés dans un orifice (54, 73) réalisé dans l'embout à roue libre (41, 71).
12. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'ergot de blocage
(51, 74) comporte en phase d'action une extrémité inférieure (57, 77) saillante par
rapport à l'alésage (58, 78) de l'embout à roue libre (41, 71).
13. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moyeu (42, 66)
pourvu du pignon (43, 65) comporte une encoche (60, 79) coopérant avec l'extrémité
inférieure (57, 77) de l'ergot de blocage (51, 74).
14. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'encoche (60, 79)
comporte une face d'action (61, 80) parallèle au déplacement de l'ergot de blocage
(51, 74) et une face d'effacement (62, 81) perpendiculaire à la première et provoquant
l'escamotage de l'extrémité inférieure (57, 77) de l'ergot de blocage (51, 74).
15. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que la face d'effacement
(62) de l'encoche (60) est de sens contraire à la face d'effacement (81) de l'encoche
(79) par rapport à la face d'action (61, 80).
16. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'arbre d'enroulement
(15) comporte un moyeu (42) solidaire en rotation d'un moyen de commande extérieur.
17. Volet roulant selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'arbre d'enroulement
(15) comporte un moyeu (42) solidaire en rotation d'un moyen de commande incorporé
dans l'arbre d'enroulement (15) et formé d'un moteur incorporé (89) dont l'arbre (90)
est relié par un accouplement (91) à un arbre mené (92) solidaire en rotation dudit
moyeu (42).