[0001] La présente invention concerne un dispositif pour fixer en rotation un élément dans
un tube tel que par exemple un tube allongé d'échangeur pluritubulaire de chaleur,
condenseur de vapeur ou autre.
[0002] On connait des réalisations qui permettent de maintenir en permanence propre la surface
interne des tubes et d'améliorer le transfert thermique par diminution de l'épaisseur
de la couche laminaire en contact avec les parois internes des tubes ainsi que par
l'augmentation du nombre de Reynolds. Par exemple, un tel dispositif peut être constitué
par une vis d'Archimade, montée libre en rotation dans le tube de façon à pouvoir
être entrainée en rotation par le fluide qui circule dans le tube. Un tel dispositif
est en particulier décrit dans le brevet US n° 4 174 750. Selon ce brevet, chaque
vis d'Archimède est positionnée dans un tube par un système à émerillon maintenu en
place par un bouchon creux comprenant une collerette d'appui et un support constitué
par un fil métallique. Ce support présente sensiblement la forme d'un V dont les branches
sont insérées dans la collerette du bouchon et dont la pointe forme un anneau d'accrochage
pour l'émerillon qui est d'un type tout à fait classique. Ce mode de fixation des
vis d'Archimède, présente plusieurs inconvénients en particulier celui d'être en saillie
par rapport à la plaque tubulaire puisque non seulement le bouchon repose sur celle
ci par l'intermédiaire d'une collerette mais encore l'émerillon émerge au moins en
partie de cette collerette puisqu'il est fixé à l'intérieur des branches du V. Cette
réalisation empêche donc une utili- ..sation concomitante des vis d'Archimède et d'un
dispositif déplaçable sur la plaque tubulaire, par exemple un dispositif permettant
l'inspection de l'étanchéité de chaque tube avec la plaque tubulaire, par des caissons
de différentes dimensions glissant sur la plaque qui donc impérativement doit être
lisse pour cet usage.
[0003] C'est donc un premier objectif de l'invention que de prévoir un dispositif de fixation
d'un élément dans un tube qui ne présente aucune partie en saillie par rapport à la
plaque tubulaire.
[0004] Un autre inconvénient que l'on rencontre lors de l'utilisation de dispositifs d'attache
tels que ceux décrits plus haut apparait lorsque le liquide circulant à l'intérieur
du tube, qui est généralement de l'eau, n'est pas complètement exempt d'impuretés
et contient par exemple des débris végétaux. Ceux ci peuvent venir s'accrocher sur
l'émerillon ou le fil support limitant ainsi la surface de passage et/ou bloquant
la rotation du dispositif, soit mécaniquement, soit par bouchage de l'entrée du tube.
[0005] C'est un autre objectif de l'invention que de prévoir un dispositif qui est auto-nettoyant
par rapport aux debris végétaux ou autres qui peuvent se trouver dans le fluide et
se présenter à l'intérieur des tubes.
[0006] Enfin, un troisième objectif de l'invention est de prévoir un dispositif qui permette
de remonter au maximum vers l'entrée du tube l'effet de la vis d'Archimède en assurant
des turbulences même dans la partie du tube qui ne se trouve pas en contact avec la
vis d'Archimède ce qui permet d'éviter l'encrassement de cette zône.
[0007] Un autre objectif de l'invention est de prévoir le montage simple, rapide et industriel
du dispositif pour des séries importantes pouvant aller jusqu'à plus de 100.000 pièces
pour un seul appareil.
[0008] Ces divers objectifs sont atteints par le dispositif selon l'invention qui comporte
:
- un fourreau conique destiné a être emmanché en force dans ledit tube et muni d'un
palier annulaire fixe, ledit palier étant réuni audit fourreau par au moins deux bras
qui sont inclinés vers ce palier;
- un crochet plat qui comporte une première et une second branches latérales réunies
entre elles par une branche supérieure et une branche inférieure, ladite branche supérieure
étant munie d'un alésage débouchant et d'au moins une languette souple d'encliquetage,
située sensiblement dans le prolongement de cet alésage, la première branche latérale
étant munie d'une ouverture;
- un tourillon, pour solidariser en traction ledit fourreau et ledit crochet tout
en permettant la rotation du crochet, constitué par un axe dont une première-extrémité
est munie d'une surface annulaire d'appui et dont l'autre extrémité est munie d'au
moins une encoche latérale, ledit tourillon étant engagé d'une part dans ledit palier
annulaire du fourreau et, d'autre part dans ledit alésage du crochet, dans une position
telle que ladite languette d'encliquetage vienne s'appuyer dans ladite encoche.
[0009] Selon une caractéristique complémentaire de l'invention, l'alésage de la branche
supérieure du crochet et l'axe du tourillon comportent chacun au moins une surface
plane qui sont situées en vis à vis quand le crochet et le fourreau sont solidarisés
par le tourillon, et la surface annulaire d'appui est solidaire de la base d'un cône
coaxial audit axe et ce cône est muni d'au moins une ailette radiale.
[0010] Selon une autre caractéristique de l'invention, la seconde branche latérale du crochet
comporte une ailette extérieure longitudinale.
[0011] Les avantages et autres caractéristiques de l'invention apparaitront plus clairement
à la lecture de la description suivante d'un mode de réalisation, faite d'une manière
illustrative mais nullement limitative en référence aux figures annexées dans lesquelles
:
- la figure 1 est une vue latérale du dispositif selon l'invention,
- la figure 2 est une vue en coupe latérale de là partie supérieure du dispositif,
- la figure 3 est une vue de l'arrière de la partie supérieure du dispositif, c'est
à dire côté sortie du fluide
- la figure 4 est une vue latérale du crochet
- la figure 5 est une coupe selon l'axe V-V de la figure 4,
- la figure 6 est une vue latérale du tourillon
- la figure 6a est une coupe selon l'axe A-A de la figure 6,
- la figure 7 est une vue de face du tourillon, c'est à dire côté entrée du fluide
- la figure 8 est une vue similaire à la figure 2 mais lorsque le tourillon est en
place sur le palier,
- la figure 9 est une vue en coupe d'un ensemble de tubes munis de dispositifs selon
l'invention.
[0012] Le dispositif représenté sur la figure 1 comporte une partie supérieure (1), un tourillon
(2) et un crochet (3). Il est destiné à être introduit dans un tube (4) - fig.9 -
afin de maintenir la spirale (5) par l'intermédiaire de la partie inférieure du crochet
(3) qui est engagée dans l'orifice (6) de la spirale.
[0013] La partie supérieure (1) est essentiellement constituée par un fourreau (7) conique
qui est destiné à être emmanché dans le tube (4), par exemple à l'aide d'un maillet.
[0014] Les dimensionnements de ce cône sont calculés de manière à permettre son ancrage
dans le tube (4) sous le simple effet de son emmanchement en force, de la souplesse
relative de la matière le constituant et du diamètre intérieur du tube.
[0015] Le fourreau (7) est relié par deux bras (11) et (12) à un palier annulaire (13) dont
la surface d'appui (14) est sphérique. Les bras (11) et (12) ont une section suffisante
pour supporter les efforts auxquels est soumis le palier et ils présentent une coupe
ovale de meilleure pénétration du fluide.
[0016] La figure (4) est une vue latérale du crochet (3) qui comporte deux branches latérales
(15) et (16) réunies entre elles par la branche supérieure (17) et la branche inférieure
(18). La branche supérieure (18) est cylindrique et les branches latérales (15) et
(16) se présentent sous la forme de segments cylindriques coaxiaux à la branche supérieure
(18). La branche latérale (15) est munie d'une ouverture (20) située à proximité de
la branche inférieure(18) Elle est munie d'une ailette (21) de section trapézoidale
qui s'étend depuis sa face antérieure jusqu'à une distance (d) de l'ouverture (20).
La partie de la branche (15) comprise entre l'ouverture (20) et l'extrémité aval (23)
de l'ailette (21) définit une languette souple (24).de longueur (d). La branche latérale(16)
est munie d'une ailette (25) de même section trapézoïdale que l'ailette (21). L'ailette
(25) s'étend sur toute la longueur de la branche (16).
[0017] La branche inférieure (18), l'extrémité de la branche latérale (15) et celle de la
branche latérale (16) définissent la zone d'accrochage de la spirale.
[0018] La branche supérieure (17) du crochet comporte un alésage (30) de section carrée
qui débute par un tronc de pyramide (31). Au niveau de la face de sortie de cet alésage
(30), la branche (17) comporte deux languettes dont uniquement une est visible sur
la figure (4) et repérée par le repère (35).
[0019] Le tourillon (2) est plus spécialement représenté sur les figures 6 et 7. Il comporte
un axe (40), une surface d'appui (41) portée par un cylindre (42) et une partie conique
(43).
[0020] L'axe (40) est divisé en quatre parties. La partie (44) qui est solidaire de la surface
d'appui (41) est cylindrique et a une longueur au moins égale à la hauteur du palier
annulaire (13). Le diamètre de cette partie cylindrique est légèrement inférieur au
diamètre intérieur dudit palier annulaire (13). La partie cylindrique (44) est reliée
a une partie intermédiaire (45) de section octogonale présentant quatre parois planes
(46), (47),(48) et (49) et quatre parois légèrement arrondies (50), (51), (52) et
(53).
[0021] La coupe de cette partie intermédiaire est représentée figure 6a,- L'épaisseur de
la partie intermédiaire est égale à la largeur de l'alésage (30) et sa hauteur est
légèrement supérieure à la profondeur du môme alésage (30).
[0022] Enfin, l'axe (40) comporte une zône extréme d'encliquetage (55), composée d'un axe
(56)
. cylindrique et d'un embout (57) octogonal qui définissent une encoche latérale (58).
La langueur de l'axe (57) est égale à celle des languettes (35).
[0023] La surface d'appui (41) présente la forme d'un anneau sphérique complémentaire de
la surface d'appui (14) du paliér annulaire (13). Elle est portée par une pastille
cylindrique (42) d'usure surmontée par le cône (43). La base du cône (43) a le même
diamètre que la pastille (42).
[0024] On a représenté sur la figure (8) la partie supérieure du tourillon (2) quand il
est ais en place pour l'assemblage du dispositif. Le cône (43) est muni de quatre
ailettes (60), (61), (62) et (63) - figure 7 - qui s'étendent selon quatre génératrices
orthogonales et sur toute la longueur de celles ci.
[0025] Chaque ailette a la forme d'un triangle dont le grand côte est porté-par une génératrice
du cône et dont le petit côté est orienté vers la base du cône (43). Les dimensions
respectives de ces pièces apparaissent nettement sur cette figure 8. La pointe (65)
du cône est située à l'intérieur du fourreau (7). La pointe (66) des ailettes est
située en vis à vis de la partie centrale des branches (11) et (12) et le petit côté
(67) de ces ailettes est sensiblement parallèle aux branches (11) et (12) - Le grand
côté (67) des ailettes s'étend entre la pointe (65) du cône et la pointe (66) du triangle.
[0026] La mise en place et le fonctionnement du dispositif ci-dessus représenté sont les
suivants.
[0027] On choisit un fourreau (7) dont les dimensions sont compatibles avec les dimensions
du tube dans lequel on veut insérer le dispositif. C'est en effet un avantage du dispositif
selon l'invention de pouvoir être installé dans des tubes de différents diamètres
puisqu'il suffit d'avoir à sa disposition des pièces supérieures (1) dont les fourreaux
différent par leurs tailles mais dont les dimensions du palier (13) et la hauteur
des branches sont identiques, les tourillons (2) et les crochets (3) restant identiques.
[0028] Le tourillon (2) est introduit dans le palier (13) puis dans l'alésage (30) du crochet
(3) et l'ensemble est maintenu en place lors de l'encliquetage desailettes (35) contre
l'embout octogonal (57). La spirale (5) est fixée au crochet (3) et l'ensemble introduit
dans le tube (4) où il est emmanché en force jusqu'à ce que tout le fourreau(7) soit
introduit dans le tube (7) de façon à ce qu'aucune partie du dispositif ne fasse saillie
par rapport à plaque tabulaire (10) dans laquelle sont fixés les tubes (4). Un fluide
circule dans le tube de l'amont vers l'aual, c'est à dire depuis l'extrémité du tube
solidarisée à la plaque tubulaire (10). Ce fluide assure la mise en rotation de la
vis d'Archimède (5). D'une manière connue, la rotation de cette vis permet de maintenir
en permanence propre la surface interne des tubes et améliore le transfert thermique
par diminution de l'épaisseur de la couche laminaire en contact avec les parois internes
des tubes ainsi que par l'augmentation du nombre de Reynolds. La rotation de la vis
d'Archimède est transmise au tourillon (2) puisque celui ci et le crochet présentent
des surfaces prismatiques en vis à vis, à savoir les parois de l'alésage carré (30)
et les parois (46), (47), (48) et (49) de la partie intermédiaire (45) de l'axe (40).
Les ailettes (61), (62), (63) et (64) sont donc animées d'un mouvement de rotation.
Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, il peut arriver que le fluide qui circule dans
le tube (4) contienne différentes matières en suspension, en particulier des débris
végétaux. Le dispositif selon l'invention permet d'éviter que ces débris ne viennent
obstruer le tube dans la zône d'entrée,c'est à dire au niveau de l'accrochage de la
vis d'Archimède, obstruction qui pourrait être due à l'interception de ces débris
par les bras (11) et (12). En effet, du fait de l'orientation inclinée de ces bras,
les éventuels débris végétaux sont dirigés vers la base du cône (43), c'est à dire
en vis à vis des petits côtés (67) des ailettes. L'espace libre entre les bras (11)
et (12) et le volume généré par les ailettes, lors de leur rotation, en particulier
par la rotation des petits côtés, est suffisamment faible pour que ces particules
soient remises en circulation par arrachement.
[0029] Mais ce fluide peut aussi contenir d'autres matières en suspension, en particulier
des particules abrasives dont l'effet pourrait être néfaste pour la surface d'appui
du palier (13) et celle de l'émerillon (2). Ces particules sont ejectées vers l'extérieur
du palier, d'une part du fait de la forme conique de la partie supérieure du tourillon
(cône (43)), et d'autre part par l'effet de centrifugation dû à la rotation des ailettes.
On a donc réalisé un dispositif qui est parfaitement auto-nettoyant.
[0030] Ainsi qu'il a été indiqué plus haut, les branches latérales (15) et (16) du crochet
sont munies d'ailettes (21) et (25) qui permettent d'assurer le renfort du crochet
et de prevenir sa déformation. Mais ces ailettes présentent aussi une fonction complémentaire
qui est de générer des turbulences dans la zône comprise entre le palier (13)et l'extrémité
amont de la vis. Ces turbulences permettent donc de minimiser au maximum la longueur
du tube qui n'est pas soumise à l'effet de nettoyage. En outre, dans le cas où l'épaisseur
de la plaque tubulaire est telle que la z&ne du tube située en vis à vis desdites
ailettes participe à l'échange thermique, on améliore encore les performances de cet
échange.
[0031] On peut encore noter que le dispositif ainsi décrit assure un maintien parfait de
la vis d'Archimède même en cas d'inversion du sens de circulation du fluide du fait
de la présence de la languette souple (24) qui permet l'accrochage manuel de la vis
tout en l'empêchant de se décrocher lors de la circulation inverse du fluide. Cette
languette est une sécurité supplémentaire du décrochage de la vis d'Archimède qui,
étant en place dans le tube et fixée au dispositif ne peut s'en désolidariser du fait
de sa rigidité latérale puisque le crochet reste axé dans le tube par l'intermédiaire
du fourreau.
[0032] Hais l'invention n'est pas limitée au mode de réalisation décrit, elle en englobe
au contraire toutes les variantes. Par exemples, les languettes (21) et (25) fixées
auxbranches latérales du crochet qui sont droites sur les dessins pourraient très
bien avoir une forme spiralée avec par exemple le même pas que la vis d'Archimède.
Il en est de même pour la forme et le nombre des ailettes (60), (61), (62) et (63)
qui ne sont pas limitatifs, l'important étant que ces ailettes assurent, lors de leur
rotation, la remise en circulation par arrachement des particules fibreuses qui peuvent
se déposer sur les branches inclinées de la partie supérieure.
[0033] Le dispositif décrit ci-dessus présente en outre l'avantage de pouvoir être facilement
fabriqué par moulage sous pression, et ceci pour chaque composant. Les matières .
plastiques utilisées peuvent être des matières plastiques composites ou pas, chargée
éventuellement d'additif, leurs qualités étant choisies en fonction des différentes
utilisations prévues. Dans un mode de réalisation préféré, on pourra choisir de réaliser
le fourreau et le crochet en polyacetal, le tourillon étant en polyacetal chargé de
bisulfure de molybdène.
1 - Dispositif de fixation rotative d'un élément dans un tube, caractérisé en ce qu'il
comporte :
- un fourreau conique (7) destiné a être emmanché en force dans ledit tube (4) et
muni d'un palier annulaire fixe (13), ledit palier étant réuni audit fourreau par
au moins deux bras (11) (12) Les deux bras étant inclinés vers ledit palier,
- un crochet (3) comportant au moins une première et une seconde branches Latérales
(15) (16) réunies entre elles par une branche supérieure (17) et une branche inférieure
(18), Ladite branche supérieure étant munie d'un alésage débouchant (30) et d'au moins
une Languette souple d'encliquetage (35) située sensiblement dans Le prolongement
dudit alésage, La première branche LatéraLe étant munie d'une ouverture (20),
- un tourillon (2), pour solidariser en traction ledit crochet et ledit fourreau tout
en permettant La rotation du crochet constitué par un axe (40) dont une première extrémité
est munie d'une surface annulaire d'appui (41) et dont L'autre extrémité est munie
d'au moins une encoche latérale (58), ledit tourillon étant engagé d'une part dans
Ledit paLier annuLaire du fourreau et d'autre part dans Ledit alésage du crochet dans
une position telle que ladite Languette d'encLiquetage vienne s'appuyer dans Ladite
encoche Latérale.
2 - Dispositif selon La revendication 1,caractérisé en ce que Ledit alésage (30) de
La branche supérieure du crochet et L'axe (40)dudit tourillon comportent chacun une
surface plane qui sont situées en vis à vis quand Le crochet et Le fourreau sont solidarisés
par Le touriLLon et en ce que Ladite surface annulaire d'appui est solidaire de La
base d'un cône (43) coaxiaL dudit axe, Ledit cône étant muni d'au moins une allette
radiale (60).
3 - Dispositif seLon La revendication 2, caractérisé en ce que Ladite ailette (50)
est triangulaire et comporte un côté (67) ayant sersiblement La même inclinaison que
Les bras de Liaison du fourreau au palier.
4 - Dispositif selon La revendication 2, caractérisé en ce qu'il comporte un cyLindre
(42) intercaLLé entre Ladite surface annulaire d'appui et La base dudit cône.
5 - Dispositif selon La revendication 2, caractérisé en ce que L'extrémité du cône
(43) est située à L'intérieur dudit fourreau.
6 - Dispositif seLon La revendication 1, caractérisé en ce que La seconde branche
LatéraLe (16) comporte une ailette extérieure LongitudinaLe (25).
7 - Dispositif selon La revendication 1, caractérisé en ce que Le fourreau et Le crochet
sont réaLisés en poLya- cétaL et Le touriLLon en poLyacetaL chargé de bisulfure de
moLybdène.