(57) @ Un couteau (22) dont la partie active est constituée par une pointe effilée (25)
en un matériau dur est réglable au moyen d'une vis (24) à l'intérieur d'un porte-couteau
(15, 17) pour que sa pointe dépasse d'une quantité choisie hors de ce porte-couteau
(15, 17). Le porte-couteau (15, 17) est monté de façon amovible dans le corps (1,
2) de l'appareil et une pince (6,7) permet de libérer le porte-couteau pour le réglage
du couteau (22, 25) et pour immobiliser simultanément par rapport au corps (1, 2)
de l'appareil. le couteau (22, 25) dans le porte-couteau (6, 7) et ce dernier dans
la pince (6, 7). La pointe (25) du couteau est enfoncée dans la feuille à découper
(27) jusqu'à ce que l'extrémité (26) du porte-couteau (15,17) soit en contact avec
cette feuille. Le corps de l'appareil (1, 2) est fixé à l'organe mobile (30) d'un
traceur commandé par programme, en lieu et place de la plume de ce traceur. Le mouvement
imparti à la pointe du couteau (25) par le traceur produit dans la feuille à découper
un sillon dont la forme est celle du dessin à réaliser. On sépare les parties utiles
de la feuille par déchirure le long du sillon. Le traceur peut être commandé par une
calculatrice programmable de table. Ainsi on peut réaliser de façon automatique, avec un matérial peu coûteux et généralement
disponible dans les laboratoires, grâce au couteau qui, de par sa forme de révolution,
permet d'exécuter n'importe quelles formes de découpage.
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