[0001] La présente invention est relative aux claviers pour commandes électriques ou électroniques.
[0002] Les claviers actuellement en usage comportent des touches directement accessibles
à l'utilisateur, lequel peut toucher du doigt telle ou telle touche ouvrant ou fermant
tel ou tel circuit. Parmi les claviers les plus connus, on peut citer ceux dénommés
"digiclefs"utilisés notamment pour former un code prévu à l'avance (mais susceptible
d'être modifié périodiquement) tolérant l'ouverture d'une porte, ou une autre opération.
Les "digiclefs" ont amélioré la sécurité dans les immeubles, et leur emploi se généralise,
mais leur mise en place reste onéreuse. L'invention qui sera décrite ci-après est
applicable non aux "digiclefs", pris comme exemple, mais également aux claviers.
[0003] Les claviers actuellement en service pour l'ouverture des portes sont essentiellement
constitués d'une boite dont le couvercle comporte des lumières, des touches mécaniques
traversant ou accessibles à travers les lumières, et un dispositif électrique ou électronique
fermant un circuit lorsque le code est convenablement formé. En fait, chaque touche
commande un interrupteur dont les contacts sont fragiles. Pour éviter cet inconvénient
on a déjà construit des claviers avec des contacts contenus dans des ampoules étanches,
par exemple celles connues sous la dénomination "ILS". Dans ce cas, les axes des ampoules
sont parallèles au couvercle de la boîte, ce qui provoquent un emcombrement non négligeable
et lesdites ampoules sont commandées par des touches sur lesquelles l'usager doit
convenablement appuyer. On connait aussi le brevet français N°2.089.689 déposé le
15 avril 1979, intitulé "panneau de commande" et décrivant des contacts à lames situés
sur la face interne d'un panneau en matière non magnétique, et des signes visibles
sur sa face externe indiquant les zones sensibles correspondant aux contacts qui seront
iermés lorsqu'un aimant sera placé par l'utilisateur sur la face externe en regard
des dites zones. Les signes visibles, jouant le rôle des touches doivent être suffisament
espacés pour éviter que l'approche d'un aimant influence des contacts voisins, et
donc pour éviter des risques d'erreurs de commandes. Malgré l'éloignement des contacts
entre eux, les pupitres de ce type ne sont pas utiliser pour la commande de dispositifs
de sécurité. Ils sont de relatives grandes dimensions, et utilisés comme pupitre par
une ou plusieurs personnes- sélectionnées et en connaissant bien le fonctionnement,
telles que directeurs, chefs de services, professeurs. Ces touches sont forcément
accessibles de l'extérieur et susceptibles d'actions de vandalismes. La sécurité de
l'appareil lui-même ne peut pas être assurée_en raison de cette accessibilité extérieure.
[0004] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients. L'invention, telle
qu'elle est caractérisée dans les revendications, résoud le problème consistant à
créer un clavier utilisable par n'importe quel public, pour la formation de codes,
en vue de commander un dispositif de sécurité, tel que celui tolérant ou interdisant
l'ouverture d'une porte.
[0005] L'invention a pour objet un clavier du type précité comportant une boîte contenant
un dispositif comprenant une ou plusieurs ampoules à lames de contacts sensibles à
un champ magnétique provoqué par un aimant amovible présenté extérieurement à la boîte,
et une paroi appliquée sur l'ouverture de ladite boîte, clavier caractérisé en ce
que l'ouverture de cette boîte est obstruée par une paroi à lumières constituée en
une matière ne laissant pas passer le champ magnétique, et en ce que sous chaque lumière
sont disposées les lames d'une ampoule actionnable sous l'effet d'un champ magnétique
provoqué par un aimant amovible uniquement lorsqu'il est présenté devant ladite lumière,
extérieurement à la boite. Dans un tel clavier, les touches sont fictives, mais matérialisées
par les lumières bien visibles de l'extérieur.
[0006] La paroi ne laissant pas passer le champ magnétique, sauf à l'emplacement des lumières,
est constituée par une plaque ou feuille d'acier; elle est perforée d'autant d'orifices
circulaires (lumières) que d'ampoules. La boîte est avantageusement combinée avec
une plaque en une matière laissant passer le champ magnétique, par exemple en verre
transparent de sécurité. Cette plaque en verre peut constituer le couvercle de la
boîte, ou un double couvercle, fermant son ouverture de préférence de façon étanche,
et la protégeant. Au lieu de fixer une plaque en verre découpée à la dimension voulue
sur la boîte, on peut aussi fixer la boîte derrière une grande plaque en verre (vitre)
déjà existante, et obtenir également une fermeture étanche. Dans les deux cas les
orifices de la paroi (laissant passer le champ magnétique) demeurant visibles et chacun
d'eux est repéré par un signe, lettre ou chiffre particulier. En approchant convenablement
un petit aimant au-dessus de tel ou tel orifice, on modifie tel ou tel contact correspondant
à tel ou tel signe, lettre ou chiffre. On peut ainsi réalisé un code comme si on enfonçait
des touches mécanique d'un clavier classique.
[0007] Pour mieux faire comprendre l'invention, il est donné ci-après un exemple de réalisation
en référence aux dessins annexes :
Fig. 1 est une vue en perspective d'ensemble,
Fig. 2 est une coupe schématisée suivant II-II de la Fig.l
Fig. 3 est- une coupe schématique d'un clavier collé sur une vitre.
[0008] La Fig. 2 montre l'ouverture de la boîte obstruée par par une paroi 2 placée extérieurement
sur sa bordure. Cette paroi 2 est constituée par un panneau rigide formant couvercle
et comportant les orifices 3 à 12, elle est en outre protégée par une plaque de verre
13 collée ou fixée sur elle par tout moyen connu. Les orifices circulaires 3 à 12
sont visibles à travers la plaqua 13 et sont appelés lucarnes.
[0009] A l'intérieur de la.boîte 1, sous chaque lucarne, se trouve fixée une ampoule 14
connue avec ses lames 15-16 pouvant se toucher ou s'éloigner sous l'effet d'un champ
magnétique. Ces ampoules peuvent être disposées, suivant les modèles, parallèlement
au couvercle, ou perpendiculairement. Dans ce dernier cas la profondeur de la boîte
doit être sensiblement plus grande que dans le premier cas, mais par contre l'encombrement
en façade est bien moindre. Le diamètre des orifices 3 à 12 est relativement faible
on obtient ainsi un clavier miniaturisé. L'exemple donné illustre ce cas et l'on voit
que les axes des ampoules coïncident avec ceux des lucarnes. Le montage des ampoules
est effectué de façon connue de l'homme de métier, entre deux tablettes 17-19 formant
châssis. Ces tablettes sont en une matière ne conduisant pas l'électricité.
[0010] Ces tablettes 17-19 comportent des circuits imprimés 18-20 auxquels sont reliés les
fils qui sortent de: extrémités -les ampoules. Le châssis et ses ampoules sont fixés
dans la boîte par des moyens usuels.
[0011] Suivant une variante, au lieu de placer la paroi obstructive à l'extérieur de l'ouverture,
comme panneau-couvercle, on peut la placer à l'intérieur. Dans ce cas, le panneau
2 est supprimé et remplacé par une feuille métallique 2' collée sur la face avant
ou arrière de la tablette 17, évidemment avec les orifices nécessaires au bon fonctionnement
de l'appareil. Dans cet exemple de réalisation, c'est exclusivement la plaque en verre
13 qui protège la boîte et son contenu.
[0012] Lorsqu'on approche le pôle Nord d'un petit barreau 21 aimanté de la lucarne 3, le
champ magnétique passe uniquement par cette lucarne. La partie pleine de la paroi
(panneau 2 ou feuille 2'), en matière ne laissant pas passer le champ magnétique,
empêche toute influence de l'aimant 21 sur les autres ampoules, et l'on peut dire
que la lucarne canalise le champ magnétique. Ce champ peut être recueilli par une
plaquette métallique prévue dans l'ampoule, et qui le conduit à proximité des lames
15-16. Les lames 15-16 se trouvent ainsi attirées l'une contre l'autre et ferment
un contact pendant toute la durée de présentation convenable de l'aimant devant la
lucarne.
[0013] En présentant cet aimant 21 successivement devant différentes lucarnes choisies volontairement,
on agit exactement comme si on appuyait sur les différentes touches d'un clavier,
et on peut ainsi former le code désiré permettant de fermer le circuit de commande
d'un moteur ou autre. On peut par exemple autoriser l'ouverture d'une porte.
[0014] Dans les deux exemples représentés on voit des ampoules 14 à deux lames 15-16, une
par lucarne, mais on pourrait les remplacer par une seule ampoule contenant autant
de paire de lames que de lucarnes, et disposées pareillement sous elles.
[0015] Dans les Fig. 1 et 2, la plaque de protection 13 a été découpée spécialement à la
dimension de la boîte 1 fixée dessus comme un couvercle. Un tel clavier est utilisable
de façon usuelle, c'est-à-dire placé à l'extérieur du coffre ou de l'immeuble à ouvrir.
[0016] L'invention permet un mode original d'utilisation du clavier. On peut en effet appliquer
un tel clavier derrière une vitre, et donc à l'intérieur d'un coffre ou d'un immeuble
à protéger, y compris le clavier. Dans ce cas, la vitre 23 de la porte (ou autre vitre)
joue le rôle de la plaque 13.
[0017] La Fig. 3 illustre ce mode particulier d'application de l'invention. La face avant
de la boite 1 (sans plaque 13) est munie d'une feuille 22 autocollante sur ses deux
faces en une matière laissant bien passer le champ magnétique,de telle manière que
l'ensemble du clavier puisse être collé sur la face arrière de la vitre existante
23. Ainsi l'usager présente son aimant devant les lucarnes appropriées, de l'extérieur
de la porte qu'il veut ouvrir, et de ce fait le clavier se trouve donc bien parfaitement
protégé et à peu de frais. Les connexions extérieures d'un tel clavier à une gâche
électrique ou autre s'éffectuent de façon classique. Dans ce cas la paroi 2 peut se
présenter sous la forme d'un panneau (fig.l) ou d'une feuille 2'collée sur la tablette
17 (fig.3), mais elle peut aussi se présenter sous la forme d'une feuille d'acier
fixée sur la face interne de la feuille autocollante 22 qui est en une matière laissant
bien passer le champ magnétique. Dans ces derniers exemples exposés, la feuille 22
peut être pourvue d'une numérotation des lucarnes, parfaitement visible de l'extérieur.
Evide- mment l'invention permet la fabrication et l'usage de claviers ayant un nombre
varié de lucarnes; par exemple trois dans les cas simples à plus de cent dans les
cas complexes. La feuille autocollante 22 peut être remplacée par tout autre moyen
de fixation de la botte 1 sur la vitre 23.
[0018] Parmi les avantages que procure un tel clavier, il faut souligner les possibilitésde
miniaturisation, l'impossibilité de faire le code sans le barreau aimanté adapté à
cet effet, et surtout la protection de l'ensmble du clavier derrière une vitre 23
ou une plaque de verre de sécurité 13, robuste, lisse, facilement nettoyable.
[0019] Le clavier peut aussi être fixé derrière une paroi opaque se laissant traversé par
le flux magnétique. Cette plaque peut être du type quelconque, tel que par exemple
constituant le battant d'une porte, d'un immeuble ou du meuble Dans ce cas le clavier
est non seulement protégé, mais également invisible de l'extérieur, et de ce fait
l'existance même dudit clavier peut n'être révélé qu'aux personnes devant l'utiliser.
Un clavier conforme à l'invention est ainsi propre à assurer non seulement la sécurité
de l'immeuble ou le meuble dans lequel il est placé, mais également à assurer son
auto-protection.
1. Clavier permettant la formation de codes de commandes électriques, constitué d'une
boite (1) contenant un dispositif comprenant des ampoules à lames de contacts sensibles
à un champ magnétique provoqué par un aimant (21) amovible, présenté extérieurement
à la boîte (1), et un panneau ou paroi (2) fermant l'ouverture de la boite (1), caractérisé
en ce que la paroi (2) comporte des lumières et que sa partie pleine est constituée
en une matière ne laissant pas passer le champ magnétique, et en ce que sous chaque
lumière sont disposées les lames (15, 16) d'une ampoule (14) de façon à être actionnable
sous l'effet du champ magnétique provoqué par l'aimant (21) amovible uniquement lorsqu'il
est présenté devant la dite lumière, extérieurement à la boite.
2. Clavier selon la revendication 1, caractérisé en ce que la paroi (2) ou similaire
est constituée par un panneau ou une feuille d'acier.
3. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, dont le dispositif
comporte au moins deux lames dans une ampoule appropriée, caractérisé en ce que les
ampoules sont disposées dans la boite perpendiculairement aux lumières de la paroi
(2), l'axe de chaque groupe de lames (15, 16)colncidant approximativement avec l'axe
de la lumière correspondante de la paroi (2).
4. Clavier selon la revendication 3, caractérisé en ce que la ou les ampoules (14)
sont montées entre deux tablettes (17, 19) en matière isolante, munies de circuits
imprimés (18, 20) formant châssis et reliant électriquement les lames (15, 16).
5. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, dont l'ouverture
de la boite (1) est obstruée par une paroi (2), caractérisé en ce que cette paroi
(2) est fixée extérieurement, sur la bordure de l'ouverture, et forme couvercle à
la boîte (1).
6. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, dont l'ouverture de la
boite (1) est obstruée par une paroi (2), caractérisé en ce que la paroi (2) est disposé
à l'intérieur de l'ouverture, et fixée sur la face externe ou interne de la tablette
(17).
7. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce
qu'il comporte une seule ampoule munie de plusieurs paires de lames, chaque paire
de lames, ou chaque groupe de paires de lames étant disposé pour se trouver face à
une lucarne déterminée.
8. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce
que la face avant de la boîte (L) est protégée par une plaque (13) en une matière
laissant passer le champ magnétique, et constituant le couvercle ou un double couvercle.
9. Clavier selon la revendication 8, caractérisé en ce que la plaque (13) est en verre
de sécurité.
10. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que
la face avant de la boîte (1) est munie d'une feuille (22) autocollante en une matière
laissant passer le champ magnétique, de telle manière que l'ensemble du clavier puisse
être collé sur la partie arrière d'une vitre existante.
11. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 ou 7, caractérisé en ce
que la paroi (2) est fixée sur la face interne d'une feuille (22) autocollante en
une matière laissant bien passer le champ magnétique, et pourvu d'une numérotation
des lumières de la paroi (22) de telle manière que l'ensemble du clavier puisse être
fixé sur la face arrière d'une vitre existante.
12. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en
ce que sa face avant est appliquée derrière une paroi non métallique de meuble ou
immeuble, ou qu'il se trouve donc à l'intérieur dudit meuble ou immeuble et qu'il
est actionnable de l'extérieur par présentation d'un aimant successivent face aux
lumières appropriées, le clavier étant ainsi propre à assurer la protection du meuble
ou immeuble dans lequel il est placé et à assurer son auto-protection.
1. Clavier permettant la formation de codes de commandes électriques, constitué d'une
boite (1) contenant un dispositif comprenant une ou des ampoules: à lames de contacts
sensibles à un champ magnétique provoqué par un aimant (21) amovible, présenté extérieurement
à la boite (1), et un panneau ou paroi 2 fermant l'ouverture de la boite (1) caractérisé
en ce que la paroi (2) comporte des lumières, et que sa partie pleine est constituée
en une matière ne pas passer le champ magnétique, et en ce que sous chaque lumière
sont disposées les lames (15,16) d'une ampoule (14) de façon à être actionnable sous
l'effet du champ magnétique provoqué par l'aimant (21) amovible uniquement lorsqu'il
est présenté devent ladite lumière, extérieurement à la boîte.
2. Clavier selon la revendication 1, caractérisé en ce que la paroi (2) ou similaire
est constituée par un panneau ou une feuille d'acier.
3. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes,dont le dispositif
comporte au moins deux lames dans une ampoule appropriée, caractérisé en ce que les,
ampoules sont disposées dans la boite perpendiculairement aux lumières de la paroi
(2), l'axe de chaque groupe de lames (15,16) coïncidant approximativement avec l'axe
de la lumière correspondante de la paroi (2).
4. Clavier selon la revendication 3, caractérisé en ce que la ou les ampoules (14)
sont montées entre deux tablettes (17,19) en matière isolante, munies de circuits
imprimés (18,20) formant châssis et reliant électriquement les lames (15,16).
5. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, dont l'ouverture
de la boîte (1) est obstruée par une paroi (2), caractérisé en ce que cette paroi
(2) est fixée extérieurement, sur la bordure de l'ouverture, et forme couvercle à
la boîte (1).
6. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, dont l'ouverture de la
boite (1) est obstruée par une paroi (2), caractérisé en ce que la paroi (2) est disposé
à l'intérieur de l'ouverture, et fixée sur la face externe ou interne de la tablette
(17).
7. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce
qu'il comporte une seule ampoule munie de plusieurs paires de lames, chaque paire
de lames, ou chaque groupe de paires de lames étant disposé pour se trouver face à
une lucarne déterminée.
8. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce
que la face avant de la boîte (1) est protégée par une plaque (13) en une matière
laissant passer le champ magnétique, et constituant le couvercle ou un double couvercle.
9. Clavier selon la revendication 8, caractérisé en ce que la plaque (13) est en verre
de sécurité.
10. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que
la face avant de la boîte (1) est munie d'une feuille (22) autocollante en une matière
laissant passer le champ magnétique, de telle manière que l'ensemble du clavier puisse
être collé sur la partie arrière d'une vitre existante.
11. Clavier selon l'une quelconque des revendications 1 à 4 ou 7, caractérisé en ce
que la paroi (2) est fixée sur la face interne d'une feuille (22) autocollante en
une matière laissant bien passer le champ magnétique, et pourvu d'une numérotation
des lumières de la paroi (22) de telle manière que l'ensemble du clavier puisse être
fixé sur la face arrière d'une vitre existante.
12. Clavier selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en
ce que sa face avant est appliquée derrière une paroi non métallique de meuble ou
immeuble, ou qu'il se trouve donc à l'intérieur dudit meuble ou immeuble et qu'il
est actionnable de l'extérieur par présentation d'un aimant successivent face aux
lumières appropriées, le clavier étant ainsi propre à assurer la protection du meuble
ou immeuble dans lequel il est placé et à assurer son auto-protection.