[0001] La présente invention concerne un coupe-circuit thermique et plus particulièrement
un coupe-circuit thermique à température prédéterminée pour assurer la protection
d'appareils éléctroménagers chauffants, notamment des fers à repasser.
[0002] Ce type de coupe-circuit n'est pas destiné à agir comme organe de régulation de la
température de l'appareil ménager dans lequel il est monté mais seulement à agir comme
sécurité dans le cas où le système de régulation n'a pas fonctionné et où l'appareil
ménager est donc soumis à une élévation de température anormale.
[0003] Pour remplir sa fonction, le coupe-circuit doit fonctionner dès qu'une température
inhabituelle est atteinte et avant que l'appareil à protéger ne soit détérioré. Pour
cela il est nécessaire d'assurer une bonne transmission thermique entre l'élément
chauffant à contrôler et le coupe-circuit.
[0004] Pour cette raison, le coupe-circuit est de préférence en contact direct avec l'élément
chauffant à contrôler. Toutefois, dans le cas d'appareils ménagers de petites dimensions,
par exemple des fers à repasser, la place disponible pour mettre le coupe-circuit
en contact avec l'élément chauffant est faible en raison des différents accessoires
qui entourent l'élément chauffant et sont nécessaires au fonctionnement de l'appareil
ménager. Ainsi, dans le cas d'un fer à repasser à vapeur, l'élément chauffant est
constitué par la semelle du fer dont une grande partie est rendue indisponible par
la présence de la résistance chauffante, de la zone de formation de la vapeur et de
la zone de contact avec les moyens de régulation.
[0005] Il est donc nécessaire que le coupe-circuit soit aussi miniaturisé que possible.
[0006] En outre, et compte tenu des impératifs de coût, il est nécessaire que la structure
du coupe-circuit soit compatible avec des opérations de montage en série très rapide
notamment au moyen de machines automatiques.
[0007] On connaît déjà des coupe-circuit thermiques miniaturisés ayant une bonne transmission
thermique. En particulier, le brevet américain 3 291 945 décrit un coupe-circuit thermique
comportant un boîtier conducteur de la chaleur, deux bornes portées par un bouchon
électriquement isolant et un élément mobile conducteur de l'électricité maintenu en
contact avec chacune des bornes par une pastille fusible elle-même en contact avec
le boîtier. Toutefois, selon l'enseignement de ce brevet, la pastille fusible doit
être réalisée en matériau électriquement isolant, faute de quoi les conducteurs sont
électriquement reliés au boîtier, ce qui constitue un court-circuit permanent ou une
mise à la masse même lorsque la pastille est fondue en raison d'une élévation de la
température. Par ailleurs, il est connu que les pastilles fusibles électriquement
isolantes sont généralement réalisées à partir d'un matériau organique qui se sublime
lentement aux températures d'utilisation normales d'un appareil électro-ménager chauffant.
Si l'on utilise un coupe-circuit du type décrit dans le document américain 3 291 945
dans un appareil ménager chauffant, la pastille fusible se sublime donc progressivement
au fur et à mesure des utilisations normales de l'appareil et le coupe-circuit se
déclenche finalement alors que l'appareil ménager n'a été soumis à aucune élévation
de température anormale. Ce vice de fonctionnement nécessite le remplacement du coupe-circuit,
ce qui est incompatible avec une commercialisation de l'appareil auprès d'utilisateurs
non professionnels.
[0008] La demande de brevet britannique 2 005 477 décrit un coupe-circuit thermique rechargeable
à contacts rotatifs de structure relativement complexe qui n'est pas compatible avec
des opérations de montage en série très simple.
[0009] Un but de la présente invention est de réaliser un coupe-circuit thermique qui, tout
en étant suffisamment sensible et miniaturisé, maintienne en service l'appareil ménager
sur lequel il est monté tant que la température de cet appareil n'est pas anormale.
[0010] En vue de la réalisation de ce but, on prévoit selon l'invention un coupe-circuit
thermique comportant un boîtier comprenant au moins une partie de boîtier conductrice
de la chaleur, deux bornes portées par un bouchon électriquement isolant, et un élément
mobile conducteur de l'électricité maintenu en contact avec chacune des bornes par
une pièce déformable par la chaleur, elle-même en contact avec la partie de boîtier
conductrice de la chaleur, caractérisé en ce qu'il comporte un organe mobile électriquement
isolant,mobile en translation, disposé entre l'élément mobile et la pièce déformable
par la chaleur, cet organe mobile formant une séparation entre la pièce déformable
par la chaleur d'une part et les bornes et l'élément conducteur de l'électricité d'autre
part.
[0011] Ainsi, la pièce déformable par la chaleur est sans inconvénient réalisée sous forme
d'une pastille conductrice, par exemple en un alliage métallique ayant une température
de fusion précise supérieure à la température normale d'utilisation de l'appareil
sur lequel le coupe-circuit est monté et ne se sublimant pas à des températures inférieures
à la température normale d'utilisation. De plus, lors d'une fusion de la pastille,
l'organe mobile forme une cloison empêchant le matériau fondu de remonter vers les
bornes et de rétablir le circuit électrique interrompu ou de créer une mise à la masse
de l'appareil.
[0012] Selon une version avantageuse de l'invention, la pièce déformable par la chaleur
est une pastille fusible et l'organe mobile comporte une partie de poinçon s'étendant
vers la pastille fusible. Ainsi, lorsque la pastille fond, l'organe mobile se déplace
pour ouvrir le coupe-circuit sans entraîner un déplacement important de matière fondue.
[0013] Selon une version préférée de l'invention, la partie de boîtier conductrice de la
chaleur comporte une cloison annulaire s'étendant vers l'organe mobile et entourant
la pastille fusible. Ainsi le volume de la pastille est réduit au volume délimité
par la cloison annulaire et on réalise un coupe-circuit thermique ayant une très faible
inertie.
[0014] Selon un autre aspect de l'invention, le bouchon comporte une rainure périphérique
et le boîtier est serti dans cette rainure. Ainsi, lors de la réalisation et du montage
du coupe-circuit, le sertissage est efficacement effectué à un niveau constant sans
qu'il soit nécessaire de tenir compte des variations de hauteur de l'empilage des
pièces, lesquelles résultent des tolérances de fabrication de chaque pièce.
[0015] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention résulteront encore de la description
ci-après d'exemples non limitatifs en référence aux dessins annexés parmi lesquels
:
[0016]
- la figure 1 est une vue en coupe axiale d'un premier mode de réalisation de l'invention
;
- la figure 2 est une vue en coupe axiale d'un second mode de réalisation de l'invention
;
- la figure 3 est une vue en coupe axiale d'un troisième mode de réalisation de l'invention.
[0017] En référence à la figure 1, on a représenté sur la moitié de gauche le coupe-circuit
en posiiton normale d'utilisation et sur la moitié de droite le coupe-circuit après
déclenchement à la suite d'une élévation anormale de la température de l'appareil
sur lequel il a été monté. Pour des raisons de clarté, le coupe-circuit est représenté
très agrandi. Le coupe-circuit comprend un boîtier généralement désigné en 1 comportant
une paroi latérale cylindrique 2 et un fond 3. Le boitier 1 est réalisé en un matériau
conducteur de la chaleur 1 et de préférence en une seule opération, par exemple par
fluage d'une pastille d'aluminium.
[0018] A l'extrémité opposé au fond 3, le boîtier 1 est fermé par un bouchon 4 traversé
par des bornes électriques 5 disposées côte-à-côte. Le bouchon 4 est réalisé en une
matière électriquement isolante, par exemple de la céramique, et les bornes 5 sont
donc électriquement isolées du boîtier 1 conducteur de la chaleur.
[0019] Les bornes 5 débouchent d'une part vers l'extérieur du coupe-circuit où elles peuvent
être raccordées au circuit électrique de l'appareil chauffant dont on souhaite assurer
la sécurité, et d'autre part vers l'intérieur où elles sont connectées électriquement
par un élément mobile conducteur de l'électricité 6 maintenu en contact avec chacune
des bornes 5 par un organe mobile isolant 7 supporté par une pièce 8 déformable par
la chaleur en contact avec le fond 3 du boîtier. La pièce 8 déformable par la chaleur
est par exemple une pastille fusible en.alliage métallique à base de plomb, d'étain
et de bismuth.
[0020] Dans ce premier exemple de réalisation, l'élément mobile conducteur 6 est une plaque
métallique en forme de coupelle disposée vis-à-vis des bornes 5 et sur laquelle des
ressorts 9 et 10 agissent de façon antagoniste, le ressort 9 étant disposé au-dessus
de la coupelle 6 et le ressort 10 en-dessous de la coupelle 6. La coupelle 6 comporte
un rebord 11 et un fond 12 reliés par une paroi latérale. Le ressort 10 est un ressort
hélicoidal cylindrique de diamètre sensiblement égal à celui du rebord 11 et le ressort
9 est un ressort hélicoïdal cylindrique dont le diamètre est voisin du diamètre du
disque 12 formant le fond de la coupelle de sorte que, lors du montage, les ressorts
9 et 10 et la coupelle 6 se trouvent automatiquement centrés les uns par rapport aux
autres. Le ressort 10 est dimensionné pour exercer, lorsqu'il est comprimé, une force
supérieure à celle du ressort 9 et maintenir ainsi le rebord 11 contre les bornes
5 afin de fermer le circuit électrique entre ces bornes.
[0021] L'organe mobile 7 également réalisé en matière isolante, par exemple en céramique,
comporte à sa partie inférieure une partie de poinçon 13 s'étendant vers la pastille
déformable 8. Le fond 3 du boîtier 1 comporte une cloison annulaire 14 s'étendant
vers l'organe mobile 7 et entourant la pastille déformable 8.
[0022] Selon ce mode de réalisation préféré, le bouchon 4 comporte également une rainure
périphérique 15 située à une distance d de la face supérieure du bouchon 4.
[0023] Le montage du coupe-circuit selon l'invention est de préférence réalisé à l'envers,
c'est-à-dire que le bouchon 4 est disposé sur une surface de référence, puis on empile
successivement le ressort 9, la coupelle 6, le ressort 10, l'organe mobile 7 et le
boîtier 1 dans lequel la pastille 8 a été préalablement mise en place. On constate
alors que le boitier 1 s'engage plus au moins sur le bouchon 4 en fonction de la hauteur
de l'organe mobile 7 et de l'épaisseur de la pastille 8 qui varie un peu selon les
tolérances de fabrication. Un sertissage automatique peut néanmoins être réalisé aisément,
la seule contrainte pour cette opération étant la constance de la distance d entre
la face externe du bouchon 4 et la rainure 15. Après le montage, les pièces sont dans
la position représentée sur la moitié gauche de la figure 1, c'est-à-dire que la coupelle
6 assure un contact électrique entre les bornes 5, celles-ci étant par ailleurs isolées
du boîtier par le bouchon 4 et l'organe mobile 7. A ce propos, on notera que dans
le mode de réalisation préféré, les bornes 5 sont disposées dans une cavité 16 du
bouchon 4 et l'organe mobile 7 comporte une cavité 17 en vis-à-vis de la cavité 16,
une partie de surface 18 de l'organe mobile 7 étant en contact avec le bouchon 4.
Ainsi, le coupe-circuit peut être disposé sans dommages dans une atmosphère très chargée,
par exemple à proximité de la chambre de formation de vapeur d'un fer à repasser électrique.
[0024] Lors d'une surchauffe anormale de l'appareil ménager sur lequel le court-circuit
est monté, la pastille 8 fond et l'organe mobile 7 s'enfonce dans le matériau fondu
sous l'action des ressorts 9 et 10. Lors de ce mouvement, le ressort 10 se détend
jusqu'au moment où la force exercée par celui-ci sur la coupelle 6 devient inférieure
à l'effort exercé par le ressort 9, lequel écarte alors la coupelle 6 des bornes 5
et ouvre le circuit électrique entre ces bornes. On remarque que le matériau fondu
de la pastille 8 peut s'écouler librement dans la cavité 19 entourant la partie inférieure
de l'organe mobile 7. A ce propos, on notera que l'organe mobile 7 peut présenter
avec la paroi latérale du boîtier 1 un jeu 20 qui, dans le cas d'un matériau fusible
conducteur, doit cependant être suffisamment faible pour créer une résistance à l'écoulement
empêchant le matériau fusible conducteur de s'écouler vers les bornes 5 et de rétablir
le circuit électrique entre celle-ci.
[0025] La figure 2 illustre un second mode de réalisation du coupe-circuit selon l'invention.
Dans ce mode de réalisation, comme dans le précédent, le coupe-circuit comporte un
boitier 1 comprenant une paroi latérale 2 et un fond 3, et fermé par un bouchon 4
dans lequel sont disposées des bornes 5 traversant le bouchon 4. L'élément mobile
conducteur 6 est cette fois un ressort hélicoïdal dont au moins une spire 6a à un
diamètre différent des autres et est disposée par rapport aux bornes 5 pour être en
contact avec celle-ci avant un échauffement de la pastille 8 et être écartée d'au
moins l'une d'entre elle lors d'un échauffement de cette pastille. De préférence,
le ressort 6 est sensiblement tronconique en position de repos.
[0026] Dans l'exemple particulier représenté, le resssort hélicoïdal 6 a son extrémité de
plus grand diamètre tournée vers le bouchon 4 et insérée dans une gorge annulaire
21 réalisée sur la face inférieure du bouchon 4, et son extrémité de petit diamètre
en appui sur la surface supérieure de l'organe mobile 7 et maintenu centrée sur celui-ci
par un épaulement circulaire 22. Dans l'application préférentielle envisagée, le coupe-circuit
est monté dans une cavité cylindrique 23 d'une semelle 24 d'un fer à repasser et est
maintenu en place dans cette cavité par une rondelle 25 fixée à la partie supérieure
de la semelle 24 par un picot 26 formé à la surface supérieure de la semelle 24 à
proximité de la cavité 23 et dont la tête est écrasée sur la rondelle 25, de sorte
que le bord de la rondelle 25 surplombe la partie supérieure du coupe-circuit et maintient
ainsi le fond 3 du boîtier 1 en contact avec le fond de la cavité 23.
[0027] Dans ce mode de réalisation, l'organe mobile 7 comporte également une partie de paroi
annulaire 27 entourant la partie inférieure du bouchon. Ainsi, même lorsque le coupe-circuit
est en position déclenchée, la partie de paroi 27 forme avec la partie en regard du
bouchon 4 une chicane empêchant de façon complémentaire une remontée du matériau fusible
fondu vers les bornes 5.
[0028] La figure 3 illustre un troisième mode de réalisation comportant comme dans le premier
mode de réalisation, un élément mobile conducteur 6 formé par une plaque métallique
sollicitée dans le sens de l'ouverture du contact par un ressort hélicoïdal 9. Toutefois,
dans ce ca-s, la plaque métallique 6 est directement supportée par l'organe mobile
7 et le ressort-10 antagoniste au ressort 9 est disposé en dessous de l'organe mobile
7. Ainsi, lors de la fusion de la pastille 8, le ressort 10 se détend dans le matériau
fusible fondu et provoque un faible déplacement. de cette matière fondue qui reste
ainsi totalement contenue dans la paroi annulaire 14.
[0029] Bien entendu, l'invention n'est pas limitée au mode de réalisation décrit ci-dessus
et on peut y apporter des variantes d'exécution.
[0030] Par exemple, la pastille 8 déformable par la chaleur peut être remplacée par un bilame
où une spire de métal à mémoire de forme.
[0031] L'étanchéité entre le bouchon 4 et le boîtier 1 peut être obtenue en utilisant un
bouchon en matière organique légèrement déformable introduit à force dans le boîtier
au moment du montage.
[0032] Bien que la fixation des bornes 5 sur le bouchon 4 ait été représentée sous forme
d'uné partie écrasée 28, on peut prévoir de sertir la queue de la borne 5 à la façon
d'un rivet, le sertissage servant simultanément à maintenir une plaquette coudée en
contact avec la borne 5 en.vue d'une liaison ultérieure avec un raccord rapide.
1. Coupe-circuit thermique comportant un boîtier (1) comprenant au moins une partie
de boitier (3) conductrice de la chaleur, deux bornes (5) portées par un bouchon (4)
électriquement isolant, et un élément mobile (6) conducteur de l'électricité maintenu
avec chacune des bornes (5) par une pièce (8) déformable par la chaleur elle-même
en contact avec la partie de boîtier (3) conductrice de la chaleur, caractérisé en
ce qu'il comporte un organe
électriquement isolant (7), mobile en translation, disposé entre l'élément mobile
(6) et la pièce (8) déformable par la chaleur, cet organe mobile (7) formant une séparation
isolante entre la pièce (8) déformable par la chaleur d'une part et, les bornes (5)
et l'élément mobile (6) conducteur de l'électricité, d'autre part.
2. Coupe-circuit thermique conforme à la revendication 1, caractérisé en ce que la
pièce déformable par la chaleur est une pastille fusible (8) et en ce que l'organe
mobile (7) comporte une partie de poinçon (13) s'étendant vers la pastille fusible
(8).
3. Coupe-circuit thermique conforme à la revendication 2, caractérisé en ce que la
partie de boîtier (3) conductrice de la chaleur comporte une cloison annulaire (14)
s'étendant vers l'organe mobile (7) et entourant la pastille fusible (8).
4. Coupe-circuit thermique conforme à l'une des revendications 1 à 3, caractérisé
en ce que le bouchon (4) comporte une rainure périphérique (15) et en ce que le boitier
est serti dans cette rainure.
5. Coupe-circuit thermique conforme à l'une des revendications 1 à 4, caractérisé
en ce que l'organe mobile (7) a une partie de surface (18) en contact avec le bouchon
(4) et en ce que les bornes (5) et l'élément mobile conducteur de l'électricité (6)
sont enfermés à l'intérieur d'une cavité (16, 17) interne, délimitée par des parties
de paroi en regard du bouchon (4) et de l'organe mobile (7).
6. Coupe-circuit thermique conforme à l'une des revendications 1 à 5, caractérisé
en ce que l'organe mobile (7) comporte une partie de paroi annulaire (27) entourant
une partie du bouchon (4).
7. Coupe-circuit thermique conforme à l'une des revendications 1 à 6, caractérisé
en ce que l'élément mobile conducteur est un ressort hélicoïdal (6) dont au moins
une (6a) des spires a un diamètre différent des autres et est disposée par rapport
aux bornes (5) pour etre en contact avec celles-ci avant un échauffement de la piècé
(8) déformable par la chaleur, et être écartée d'au moins l'une d'entre elles lors
d'un échauffement de la pièce (8).
8. Coupe-circuit thermique conforme à la revendication 7, caractérisé en ce que le
ressort (6) est sensiblement tronconique en position de repos.
9. Coupe-circuit thermique conforme à l'une des revendications 1 à 6, caractérisé
en ce que l'élément mobile conducteur est une plaque métallique (6) disposée en regard
des bornes (5) et en ce que des ressorts (9, 10) agissent sur la plaque (6) selon
des directions antagonistes.
10. Coupe-circuit thermique conforme à la revendication 9, caractérisé en ce que la
plaque métallique (6) est supportée par l'organe mobile (7) et en ce que les ressorts
antagonistes agissent l'un (9) sur la plaque métallique (6) et l'autre (10) sur l'organe
mobile.