(19)
(11) EP 0 218 136 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
15.04.1987  Bulletin  1987/16

(21) Numéro de dépôt: 86113000.3

(22) Date de dépôt:  20.09.1986
(51) Int. Cl.4E04F 21/16
(84) Etats contractants désignés:
AT DE FR GB IT

(30) Priorité: 30.09.1985 IT 8560085

(71) Demandeur: TONCELLI, Marcello
I-36061 Bassano Del Grappa (Vicenza) (IT)

(72) Inventeur:
  • TONCELLI, Marcello
    I-36061 Bassano Del Grappa (Vicenza) (IT)

(74) Mandataire: Bettello, Luigi, Dott. Ing. 
Studio Tecnico Ingg. Luigi e Pietro Bettello Via Col d'Echele
36100 Vicenza
36100 Vicenza (IT)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Tête roulant pour le stucage automatique des surfaces des pierres, marbres ou similaires


    (57) La tête present un certain nombre de spatules (4) chacune disposé sur un bras portespatule (3), solidaire à l'arbre (1) et disposée sur un axe vertical, en positions opportu­nément inclinées, ce qui permet d'effectuer le stucage auto­matique de la surface du material, avec n'importe quel tipe de mastic pour des materiels de pierre.




    Description


    [0001] La presente invention a le but de realiser une tête roulant, munie de spatules inclinées et orientables sur son axe ver­tical, avec laquelle est possible effectuer le stucage auto­matique de la surface des matériels de pierres, avec n'impor­te quel type de mastic, soit du type en ciment que des resi­nes.

    [0002] On connait que à l'état actuel de la tecnique on prevoit la possibilité de stuquer des surfaces de material en pierre ou agglomeré, seulement dans le cas ou le dite stucage est effectué avec un liant a base de ciment.
    Dans le cas des liants en matériel des resines, doivent être employé des dispositifs, munis de spatules, qui réalisent un mouvement alternatif ou aussi roulant.

    [0003] Soit dans le premier cas que dans le second cas toutefois doivent être prevus des recipients, pour éviter la fuite du mastic, qui a la tendance à éviter l'action des spatules.

    [0004] Soit dans le premier cas que dans le second cas toutefois doivent être prevus des recipients, pour eviter la fuite du mastic, qui a la tendance à éviter l'action des spatules.

    [0005] Le stucage, avec les dispositifs surcités, n'est toutefois toujours efficace pour les divers raisons, pour examples le reduit remplissage des pores, mais aussi pour les difficultés d'enduisage causée par le rapide durcissement du mastic.

    [0006] L'invention a le but d'obvier à ces inconvenients.

    [0007] On a en effect verifié, en raison de l'experience, que, pour obtenir un stucage obtimal, on doit tenir compte de la viscosité du mastic qu'on doit enduire, en raison du fait que l'interval de temps, qui doit s'écouler entre le passage des deux spatules successives sur un pore à stuquer, doit être plus grand de ce qui est du par le mastic, pour ce re­porter à la situation d'équilibre.

    [0008] On a pu en effect noter qu'une spatule, entrainant le mastic à ecouler, lorsqu'il passe sur une cavité qui est dans le marbre, fait confluer à l'intérieur de la même, une partie du mastic, en realisant une action de damage.

    [0009] La partie eccedente au contraire aura la tendence à s'écou­ler sur la partie déjà liberée de l'action de la spatule.

    [0010] Ce mouvement demand un temps determiné qui dépend du degré de la viscosité du mastic employé.

    [0011] Une fois établi l'équilibre dans le temps d'attente, on obtiendra une cavité recouverte d'une quantité de mastic excédant, delimitée par une surface convexe.

    [0012] On a noté que seulement lorsqu'y a été rejoint ce degré d'équilibre, il est possibile de faire passer une autre spa­tule sur le même, sans modifier le degré de recouvrement de la cavité.

    [0013] Si une spatule doit passer avant que le mastic a rattrapé l'équilibre à l'interieur du trou, il sera emporté une cer­taine quantité de mastic, donnant lieu à un pore non perfai­tement stuqué.

    [0014] Dans la disposition selon l'invention, on prevoit que les spatules, checune soutenue par un bras portespatules soli­dair à l'arbre, avec une disposition substantiellement ra­diale et à un certain interval l'une par rapport à l'autre et de plus que la velocité de rotation du disque soit tel qu'une fois effectué le remplissage d'une cavité, le succes­sif passage des spatules n'en modifie pas la situation.

    [0015] On a en suite remarqué qu'il semble opportun que le bord inferieur d'une des spatules, exactement celle qui tend à déplacer le mastic vers l'exterieur, soit dentelé, à fin d'augmenter la pressione spécifique appliquée sur la surfa­ce à stuquer.

    [0016] Pour ce qui concerne le nombre des tours de la tête rotati­ve on doit rélever qu'il depend du nombre des spatules mon­tées sur la même et en plus du degré de la viscosité du mastic.

    [0017] Clairement pour des mastics plus visqueux, la velocité de rotation devra être mineure en relation aux mastics plus flui­des.
    L'invention sera ici de suite descripte en détail à l'aide des tables de dessins ci jointes, dans lesquelles:

    la fig. 1 représente la vue complexive squematique de coté de la tête roulante, en partie sectionnée.

    La fig. 2 représente, dans la vue de profil une des spatules montées sur les bras qui porte la spatule duquel est visi­ble une part.

    La fig. 3 répresente, dans la vue en perspective, une spa­tule à bord dentelée, avec ses dispositifs de bloccage.

    La fig. 4 représente, toujours dans la vue en perspective, une spatule à bord lisse, avec ses dispositivs de mise en place.

    La fig. 5 représente en manière schematisée la disposition de certaines spatules radiales sur les relatifs bras por­tants les spatules.



    [0018] Comme on peut voir en particulier en fig. 1, la tête roulante comprend un arbre 1, qui est mis en rotation par un motova­riateur 2, duquel la velocité est disposé en fonction du diamètre des spatules 4.

    [0019] Le motoriducteur 5, au moyen de la vis 6, provoque le dépla­cement dans le sens vertical de la tête par rapport aux gui­des 7, en consentent le soulevement des bras porte-spatules 3 et des relatives spatules 4.
    Les spatules 4 (fig. 2) sont bloquèes entre deux mâchoires 8 et 9, de forme hémicylindrique, retenues entre une étau (fig. 3) à la fois monté sur le bras porte-spatule 3, au moyen des étaux 11 et 12, qui en permettent la variation de l'orientation, respect à la direction radiale des bras por­tespatules 3.
    Sur l'étau 10 (fig. 3) sont pratiquées deux series de troux 13 et 14, pour example de trois troux chacune, pour permet­tre le déplacement en sens longitudinal de l'étau 10, dans la direction radiale du bras portespatule 3.

    [0020] En sens angulair au contraire l'orientation de chaque spatu­le peut être variée, à cause de la présence des troux oblongs à secteur 15 et 16 (fig. 5) parmi lesquels passent les vis de bloquage 11 et 12, qui fixent la position de l'étau 10.

    [0021] On notera que tandis les spatules 4, illustrées en fig. 3, présentent un bord dentelé, les spatules 4, illustrées en fig. 4 présentent un bord lisse.

    [0022] Soit les spatules 4, soit les spatules 4' sont montées en manière à pouvoir se disposer en manière different respect le cours de la direction radiale du bras portespatule 3, étants prevues des rainures à secteur circulair 15 et 16, qui en permettent la variation de l'orientation.

    [0023] En particulièr on prevoit que les spatules 4 soient disposées en manière à tendre à renvoyer le mastic vers l'extérieur tandis que les spatules 4' tendent à approcher le mastic vers le centre de la tête tournant quand le sens de rotation du même disque est ce qui est indiqué par la flêche 17.

    [0024] En telle manière on évite que la mastic soit centrifugué vers l'exterieur ou l'interieur de la surface interessée à l'operation de stucage.

    [0025] On notera aussi que chaque spatule 4 ou 4' est saisie entre deux machoires demicilindriques 8 et 9, ayant la possibili­té d'être inclinées plus ou moin selon les necessités, respect le plan de travail 18 (fig. 1).
    Les coupilles 19 et 20 évitent le defilage accidental des spatules 4 et 4' du étau 10.
    Les spatules 4 et 4' évidemment se penchent pendant le tra­vail roulant jusqu'à s'appuier contre le bord de l'étau 10 (voir le dessin à hachure en fig. 2).
    Ce au but d'exerciter sur la dalle en travail toujours le même degré de pression.

    [0026] Naturellement les particuliers constructifs de detail de la machine de l'invention pourrons assumer des formes et d'aspects differents, toujours etant les mêmes les caracté­ristiques exentiels de l'inventions, sans pour cela sortir du cadre du brévêt.


    Revendications

    1. Tête roulant pour le stucage automatique des surfaces des pierres, marbres ou similaires, avec une serie de bras por­tespatules mis en rotation par un motovariateur sur un axe vertical et un dispositif automatique pour approcher ou éloi­gner les bras du plan de la surface à travailler, caractéri­sé en ce qu'il comprende un certain numero de spatules (4 et 4') montées sur des bras portespatules, qui pourvoient à l'étalement du mastic sur la surface qui avance longitu­dinalement en direction trasversal à l'axe de rotation de la tête tournant, à fin de stuquer complétement l'éntière surface de la dalle, avec une operation entièrement automa­tisée.
     
    2. Tête roulant, selon la revendication 1, caracterisé en ce que la velocité de rotation des bras portespatules (3) est reglable parmi un motovariateur (2), à fin de l'adapter aux besoins particuliers du type de mastic en travail, pour exemple aux caractéristiques de viscosité du mastic et en raison des caractéristiques physiques du même mastic, à fin de donner lieu à un parfait stucage des pores de la surface à travailler.
     
    3. Tête roulant, selon la revendication 2, caracterisé en ce que les spatules (4) sont monté su une couple d'etaux hémicylindriques (9) inserés en un étau (10), ce qui permet d'incliner les mêmes spatules par rapport à la surface à travailler, selon les necessités particulières.
     
    4. Tête roulant, selon les revendications 1 à 3 caracterisé en ce que chaque lame a la possibilité d'être orienté di­versement, par rapport à la direction radial du bras porte­spatule sur lequel elle est monté de la sorte à pouvoir disposer les lames alternativement inclinées en façon à tendre à porter à nouveau le mastic respectivement vers l'exterieur et vers l'interieur de la tête, ce qui assure que le mastic vient entièrement étendu à l'interieur de la surface en travail, sans déborder et sans la necessité des bords de délimitation.
     
    5. Tête roulant, selon les revendications de 1 à 4, caracte­risé en ce que les spatules présentent alternativement un bord lisse et dentelé, à fin d'exerciter sur les pores à stuquer des différents degrés de pression et partant fair suivre à une action de damage forcé une action de nivelle­ment du mastic, tout au fin d'obtenir une parfaite action de stucage, à niveau constant des cavités presentes sur le plau de la surface à travailler.
     




    Dessins










    Rapport de recherche