(19)
(11) EP 0 224 030 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
03.06.1987  Bulletin  1987/23

(21) Numéro de dépôt: 86114631.4

(22) Date de dépôt:  22.10.1986
(51) Int. Cl.4G04C 3/00
(84) Etats contractants désignés:
DE FR GB IT

(30) Priorité: 31.10.1985 CH 4692/85

(71) Demandeur: Montres Rado S.A.
2543 Lengnau b. Biel (CH)

(72) Inventeur:
  • Gogniat, Paul
    CH-2502 Bienne (CH)

(74) Mandataire: Barbeaux, Bernard et al
ICB Ingénieurs Conseils en Brevets SA Rue des Sors 7
2074 Marin
2074 Marin (CH)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Montre électronique avec système de commande dans le fond de la boîte


    (57) Le but de l'invention est de faciliter le plus possible l'actionnement de dispositifs de commande placés à l'arrière d'une boite de montre.
    Pour cela, le fond (15) de la boite (12) est muni de moyens de positionnement qui déterminent avec plus ou moins de précision l'endroit où des moyens externes à cette boite doivent être placés pour pouvoir actionner chaque dispositif de commande.
    Ces moyens de positionnement peuvent être par exemple des gorges (16, 17) au fond de chacune desquelles se trouve un dispositif de commande (18,19, respectivement 20, 21) et dans lesquelles peut pénétrer une partie (14d ou 14e) de l'élément de fermeture (14) du bracelet (13).
    Il peut s'agir également de bossages ou de parties de reliefs ou d'évidements de forme plus compliquée dont le restant constitue des moyens pour guider les moyens externes d'actionnement vers ces moyens de positionnement.




    Description


    [0001] La présenta invention concerne les montres électroniques qui ont un système de commande placé dans le fond de leur boite.

    [0002] L'expression "système de commande" désigne ici l'ensemble ou une partie des dispositifs ou organes qui sont mis à la disposition du porteur pour lui permettre de mettre sa montre à l'heure et, éventuellement, d'exercer son contrôle sur des fonctions supplémentaires que celle-ci est à même de remplir, comme par exemple celle de calendrier ou de réveil. Naturellement, cette définition n'exclut pas le cas où le système se limite à un seul dispositif. Ceci peut arriver lorsque la montre est très simple et prévue pour indiquer seulement les heures et les minutes ou parce qu'elle est capable de répondre différemment selon que l'on actionne le dispositif pendant un temps très court ou relativement long ou plus ou moins de fois pendant un temps déterminé.

    [0003] Les dispositifs de commande que l'on connait actuellement et qui peuvent être placés au fond d'une boite de montre sont nombreux. Il peut s'agir par exemple d'organes mobiles ou non qui réagissent à une pression (boutons-poussoirs, membranes associées à un contact électrique interne, touches piézo-électriques). Il peut s'agir aussi de dispositifs qui fonctionnent suivant un principe purement électrique (touches capacitives, contacts simples et isolés que l'on peut mettre à la masse en les touchant du doigt ou en les reliant à la boite de la montre au moyen d'un objet métallique, paires de contacts que l'on relie entre eux). Enfin, on peut citer aussi les dispositifs électromagnétiques qui comprennent un relais logé entièrement dans la montre que l'on peut actionner de l'extérieur en utilisant un petit aimant.

    [0004] En fait, cette possibilité de mettre le système de commande d'une montre à l'arière de celle-ci n'a été jusqu'à présent que très rarement utilisée. Pourtant elle permettrait assez souvent de simplifier la réalisation du mouvement, de la boite ou des organes de commande eux-mêmes, de faciliter leur assemblage ou de résoudre simplement des problèmes d'étanchéité. Par exemple, dans les montres très minces, de trois millimètres ou moins, il est très difficile de faire un ou plusieurs trous dans la carrure pour y faire passer une tige de mise à l'heure ou y loger des boutons-poussoirs, en prévoyant les moyens d'étanchéité nécessaires et sans risquer de rendre ces montres très fragiles. Comme, en plus, il s'agit la plupart du temps de montres de haut de gamme il est exclu de placer des organes voyants comme des boutons-poussoirs ou des contacts électriques fixes à l'avant et même des dispositifs encore peu répandus comme les photodiodes ou les touches capacitives sur la glace qui, entre paranthèses, sont difficiles à mettre au point et nécessitent des circuits électroniques compliqués, ne conviendraient que rarement. La solution des organes de commande au fond de la boite serait donc, dans ce cas, très avantageuse. Pourtant, on n'y fait appel que lorsqu'on y est vraiment contraint et ceci pour les mêmes raisons qu'on évite de l'utiliser pour certains styles de montres où même la présence d'une tige devient inesthétique et où, par conséquent, elle serait également intéressante.

    [0005] L'une des raisons pour lesquelles on écarte cette solution est que, à quelques exceptions près comme les montres montées en pendentif, elle oblige le porteur de la montre à la poser lorsqu'il veut la corriger ou la commander. En réalité, ceci ne représente pas un gros inconvénient car il n'est pas rare qu'on le fasse aussi avec une montre munie d'un système de correction classique, trouvant que les manipulations sont alors plus faciles.

    [0006] L'autre raison c'est que généralement le porteur éprouve beaucoup plus de difficultés pour mettre sa montre à l'heure et, le cas échéant, commander ses fonctions que si le ou les dispositifs de commande étaient placés à l'avant de celle-ci ou sur le côté. En effet, pour cela i1 doit commencer par regarder le dos de sa montre pour voir où se trouve le dispositif qu'il doit actionner et, selon le cas, placer le bout du doigt ou un objet adéquat sur ou très près de celui-ci. Sans cela il risquerait de tâtonner longtemps et, si il y a plusieurs dispositifs, de se tromper.Ensuite, il doit retourner la montre pour suivre les modifications de l'affichage pendant qu'il agit sur le dispositif et il est tout à fait possible qu'à un moment donné, y compris celui où il retourne la montre, son doigt ou l'objet en question glisse sur le fond de la boite ou s'en éloigne. Il ne lui reste plus alors qu'à recommencer la même manoeuvre.

    [0007] Cet inconvénient est donc oeaucoup plus gênant que le précédent et ce que l'invention a pour but de faire c'est non pas de le supprimer car c'est quasiment impossible mais de le minimiser.

    [0008] En d'autres termes, le but de l'invention est de chercher à rendre un système de commande placé au fond de la boite d'une montre aussi pratique à utiliser que ceux qui se trouvent sur le côté ou à l'avant et qui, eux non plus ne sont pas à ce point de vue toujours parfaits.

    [0009] Ce but est atteint grâce au fait que lorsqu'au moins un dispositif de commande est solidaire du fond de la boite d'une montre conforme à l'invention, ce fond est muni de moyens de positionnement qui déterminent au moins approximativement l'endroit où des moyens externes à la boite doivenc être placés pour pouvoir actionner le dispositif en question.

    [0010] De plus, dans des modes préférés de mise en oeuvre de l'invention le fond de la boite est également muni de moyens pour guider les moyens externes d'actionnement vers les moyens de positionnement.

    [0011] Lorsque la montre comprend également un bracelet avec un élément de fermeture, il est avantageux de pouvoir utiliser une partie de cet élément comme moyens pour actionner le dispositif de commande car on l'a toujours et immédiatement sous la main. Par conséquent, dans ce cas les moyens de positionnement et éventuellement de guidage sont de préférence adaptés à la forme et aux dimensions de cette partie de l'élément de fermeture et le dispositif de commande est choisi de façon à pouvoir être actionné par celle-ci.

    [0012] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description qui suit de plusieurs formes possibles d'exécution choisies à titre d'exemples. Cette description sera faite en référence aux dessins annexés sur lesquels:

    - les figures 1 à 4, 5 et 6 représentent totalement ou partiellement six montres-bracelets différentes, conformes à l'invention; et

    - la figure 4a montre partiellement une variante du fermoir du bracelet Je la montre de la figure 4.



    [0013] Les montres des figures 1 à 3 comprennent toutes une boite 1 qui contient les divers éléments nécessaires à la réalisation d'une montre à affichage analogique, digital ou mixte et à laquelle est attaché un bracelet souple 2 tout à fait classique, avec un brin 2 a percé d'une série de trous non visibles sur le dessin et un autre 2b à l'extrémité duquel se trouve une boucle métallique 3 avec un ardillon 3a.

    [0014] La nature des brins du bracelet et la façon dont il sont fixés à la boite sont sans importance. Par contre, pour une raison que l'on comprendra facilement par la suite, il est souhaitable que la boucle 3 soit rectangulaire ou tout au moins que la partie transversale 3b contre laquelle l'extrémité libre de l'ardillon vient normalement prendre appui soit sensiblement droite et s'étende à peu prés sur toute la largeur du bracelet.

    [0015] En ce qui concerne la boite 1, elle a été représentée comme étant ronde sur les trois figures mais elle pourrait tout aussi bien être rectangulaire, ovale ou d'une autre forme. D'autre part sa structure peut être quelconque à condition qu'elle ait un fond 4 métallique.

    [0016] Dans le cas de la montre de la figure 1, ce fond 4 présente dans sa partie centrale un bossage 5 allongé et à peu près rectiligne disposé sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale des brins 2a et 2b du bracelet. La forme de ce bossage peut être par exemple celle d'un parallélépipède rectangle, celle d'un prisme à section trapézoïdale ou celle d'un demi-cylindre. D'une manière générale cette forme du bossage 5 ainsi que ses dimensions sont choisies de façon que, d'une part, il ne puisse pas gêner et soit de préférence invisible lorsque l'on porte la montre au poignet et que, d'autre part, il constitue un obstacle que l'on ne peut pas éviter ni franchir très facilement lorsque, comme on le verra plus loin, on est amené à faire glisser la partie transversale 3b de la boucle sur le fond de la boite, en direction de lui.

    [0017] Cette montre comporte par ailleurs deux dispositifs de commande constitués par deux contacts fixes 6 et 7 qui sont incorporés dans le fond de la boite de façon à en être isolés électriquement et qui sont placés de part et d'autre du bossage 5, à une certaine distance de lui et à peu près sur la ligne médiane du fond qui lui est perpendiculaire.

    [0018] Pour le circuit électronique de la montre dont il font évidemment partie les deux contacts 6 et 7 ne peuvent être considérés comme étant actionnés que lorsqu'ils sont reliés au fond 4 par un objet métallique et pour qu'ils puissent l'être par la partie transversale 3b de la boucle du bracelet il faut au moins qu'ils affleurent à la surface externe de ce fond. En fait, il est préférable qu'ils ressortent très légèrement mais sans risquer de gêner le mouvement de glissement de la boucle sur le fond dont on a déjà parlé. Ceci peut être obtenu en donnant à leur partie qui émerge la forme d'une calotte sphérique. De plus, ils ne doivent pas être très éloignés du bossage 5 pour éviter qu'ils soient actionnés involontairement, tout au moins si l'on vient à poser la montre sur une surface métallique.

    [0019] Si la montre est très simple et n'a pas d'autres fonctions que d'indiquer l'heure courante les contacts peuvent servir par exemple l'un à l'avancer et l'autre à la retarder ou bien l'un à effectuer des changements de fuseau horaire, c'est-à-dire à modifier l'affichage d'une ou plusieurs heures entières, et l'autre à faire une mise à l'heure, c'est-à-dire à corriger l'indication des minutes conjointement ou non avec celle des heures. Si la montre est plus compliquée l'un d'eux peut être prévu pour sélectionner une information (heures, minutes, jour de la semaine, quantième, heure de réveil, minute de réveil, etc) et l'autre pour la corriger.

    [0020] Pour agir sur l'un des contacts, on peut tout d'abord appliquer la partie transversale 3b de la boucle 3 contre le fond de la boîte dans la zone qui se trouve entre ce contact et le brin du bracelet le plus proche, comme le montre la figure, puis la déplacer en direction du bossage 5. Le contact est actionné au moment où la boucle passe sur lui. Pour qu'il le soit une deuxième fois il suffit de ramener la boucle en arrière et si ce n'est pas assez on peut alors faire effectuer à celle-ci un mouvement de va-et-vient sur le fond jusqu'à ce que le contact ait été actionné le nombre voulu de fois.

    [0021] Lorsque l'on en a terminé tout au moins temporairement avec ce contact on peut, si besoin est, agir ensuite de la même façon sur l'autre aprèt avoir amené la partie 3b au contact du fond orès de l'endroit où est attaché l'autre brin du bracelet ou bien, simplement, après avoir fait passer la boucle par dessus le bossage.

    [0022] Comme on l'imagine, on peut faire cela très facilement sans avoir besoin de regarder le dos de la montre, même au début, et sans perdre de vue les moyens d'affichage. De plus, gràce à la présence du bossage, on ne risque pas lorsque l'on agit sur l'un des contacts d'aller actionner involontairement l'autre, même lorsque l'on soumet la boucle à un mouvement de va-et-vient rapide. Par conséquent, on n'a pas plus de difficultés pour commander la montre et on n'a pas plus de chances de se tromper en le faisant que si elle était munie de dispositifs de commande-sur le côté de la boite ou à l'avant.

    [0023] Naturellement, ceci est dû en grande partie au fait que la partie 3b de la boucle est droite et suffisamment longue. Il n'en serait pas de même si elle était par exemple très arrondie.

    [0024] Par contre, il est bien clair que, la plupart du temps, ces avantages que la montre de la figure 1 présente, comme toutes celles qui sont conformes à l'invention, par rapport aux montres connues munies de systèmes de commande à l'arrière subsistent même si on ne procède pas de la manière qui a été indiquée pour actionner les contacts. Cette façon de faire a été choisie comme exemple car elle est très commode mais il en existe évidemment d'autres. En effet, rien n'oblige à commencer par placer la partie transversale de la boucle entre le contact que l'on veut actionner et le brin du bracelet qui en est le plus près. On peut l'amener au contact du fond en veillant seulement à ce que ce soit du bon côté du bossage et si on ne tombe pas tout de suite sur le contact on peut le trouver très vite en déplaçant la boucle. De même, on n'est pas forcé de faire subir à la boucle un mouvement de va-et-vient sur le fond pour agir plusieurs fois sur le même contact. Quand on l'a actionné une première fois on peut écarter la partie transversale de la boucle de lui en maintenant ou non une de ses extrémités appuyée contre le fond, la ramener dessus et ainsi de suite, mais la manipulation est alors moins facile et moins rapide. D'autre part, rien n'empêche d'utiliser autre chose que la boucle pour actionner les contacts. On peut se servir par exemple d'une pièce de monnaie, d'une clef, d'un stylo si il est métallique ou de l'élément qui sert à l'accrocher dans une poche.

    [0025] Dans le cas de la montre de la figure 1 le bossage 5 constitue des moyens de positionnement notamment pour la partie 3b de la boucle en ce sans qu'il limite les déplacements de celle-ci sur le fond de la boite à des zones dans lesquelles se trouvent les contacts et qu'il peut aider à la maintenir parallèle à lui dont à diminuer la probabilité toujours très faible qu'elle passe à côté de ces contacts lorsqu'on la soumet au mouvement de va-et-vient dont on a parlé.

    [0026] Il jouerait le même rôle ou à peu près si il était non pas perpendiculaire mais parallèle à la direction des brins du bracelet, les contacts continuant bien entendu à être placés de chaque côté de lui. Par contre, il formerait des moyens de positionnement nettement plus précis si il restait perpendiculaire à la direction des brins et si les contacts étaient placés non pas à une certaine distance mais juste à côté de lui. Ces deux variantes de la montre de la figure 1 sont tout à fait envisageables. La deuxième permettrait même de limiter davantage les risques d'actionnement involontaire des contacts mais, toujours dans le cas de la méthode la plus simple du va-et-vient de la boucle sur le fond, il faudrait plus de temps pour les actionner un même nombre de fois.

    [0027] Ce qui est parfaitement envisageable aussi c'est de remplacer le bracelet à boucle 2 par un autre pour lequel le bossage 5 et les contacts 6 et 7 conviendraient tout aussi bien et en particulier par celui dont sont équipées les montres des figures 4 et 5. Pour ne pas avoir à revenir sur ce sujet on peut dire tout de suite que cela s'applique aussi aux mode d'exécution des figures 2 et 3 et que, inversement le bracelet représenté sur les figures 4 et 5 pourrait très bien être associé aux boites des figures 1 à 3. En disant cela on ne tient évidemment pas compte de la façon dont les bracelets peuvent être fixés aux boites.

    [0028] Le fond métallique 4 de la montre de la figure 2 présente lui aussi un bossage 8 mais celui-ci a sensiblement la forme d'un H. La barre transversale 8 a du H est disposée de la même façon que le bossage 5 de la montre de la figure 1 et a une longueur égale ou légèrement supérieure à celle de la partie transversale 3b de la boucle 3 du bracelet. Par ailleurs, les deux barres latérales 8b et 8c du H sont conformées de manière à avoir des flancs en regard 8d et Be à peu près perpendiculaires au fond 4 bu tout au moins assez fortement inclinés par rapport à celui-ci et qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne de la barre transversale 8a. Enfin la montre comporte là encore deux contacts électriques fixes qui sont désignés par les mêmes repères 6 et 7 que ceux de la figure 1 car ils sont identiques et doivent être actionnés de la même façon. La seule différence est qu'ils ne se trouvent pas à une certaine distance du bossage mais à proximité immédiate de la barre transversale 8a si bien que, pour les actionner, la partie 3b de la boucle doit être amenée-en butée contre cette barre.

    [0029] La barre transversale 8 a du bossage et une petite partie de chaque barre latérale située près d'elle forment donc dans ce cas des moyens de positionnement précis pour la partie 3b de la boucle. Le reste des barres latérales 8b et 8c sert à guider la partie 3b vers ces moyens de positionnement lorsqu'on l'amène au contact du fond 4 et qu'on la fait glisser sur celui-ci.

    [0030] Naturellement, la meilleure façon de s'y prendre pour actionner les contacts 6 et 7 est la même qu'avec la montre de la figure 1 mais, lorsqu'on doit agir plusieurs fois sur le même contact, on peut aussi utiliser plus facilement la solution qui consiste à écarter la partie transversale de la boucle de ce contact en maintenant une de ses extrémités appuyée contre le fond.

    [0031] A noter que cette forme d'exécution peut faire penser à une autre dans laquelle le bossage en forme de H serait remplacé par un bossage en forme de X et dans laquelle des contacts actionnables non plus par la partie transversale 3b de la boucle mais par l'ardillon 3a seraient placés à proximité du point de croisement des barres du X. On pourrait ainsi prévoir jusqu'à quatre contacts qui, au lieu d'affleurer à la surface du fond pourraient être en renfoncement par rapport à celle-ci, donc mieux protégés. On pourrait même remplacer ces contacts par des boutons-poussoirs ce qui dispenserait d'avoir un fond de boite métallique.

    [0032] La montre de la figure 3 ne comporte, elle, qu'un seul contact 9 placé au milieu du fond et identique aux contacts 6 et 7 des montres des figures 1 et 2. D'autre part, le fond 4 ne présente plus seulement un bossage, désigné ici par le repère 10, mais aussi une gorge 11 qui sont tous les deux à peu près rectilignes et perpendiculaires à la direction longitudinale du bracelet et qui sont situés de part et d'autre du contact 9, sensiblement à égale distance de lui. La gorge 11 qui se trouve du côté du brin 2b du bracelet qui porte la boucle 3 a une longueur un peu supérieure à celle de la partie transversale 3b de cette dernière et, de préférence, une forme semi-cylindrique ou à peu près afin que cette partie transversale puisse s'y engager et en ressortir assez facilement lorsqu'on la fait glisser sur le fond. Le bossage 10, lui, a une forme et des dimensions qui lui permettent de répondre aux mêmes exigences et de jouer le même rôle notamment vis-à-vis de la boucle que celui de la montre de la figure 1.

    [0033] Ainsi, lorsqu'après avoir appliqué la partie 3b de la boucle sur le fond, près de l'endroit où est fixé le brin 2b du bracelet, on la déplace en direction de l'autre brin, 2. on rencontre tout d'abord la gorge 11 qui permet de placer cette partie 3b au milieu du fond et à peu près parallèlement à elle et au bossage 10 si elle n'y était pas déjà et qui, par conséquent, garantit l'actionnement ultérieur du contact. La gorge 11 sert donc de moyens de préposi- tionnement pour la boucle. De plus, lorsqu'on fait exécuter à cette boucle un mouvement de va-et-vient sur le fond, la gorge s'associe au bossage 10 pour limiter l'amplitude de ce mouvement et pour maintenir plus ou moins la partie 3b dans la direction qu'elle lui a imposée au départ.

    [0034] La montre de la figure 4 comprend une boite 12, par exemple rectangulaire, à laquelle est fixé d'une manière quelconque un bracelet métallique 13 muni d'un fermoir pliant 14 formé de trois plaquettes articulées 14a, 14b et 14c.

    [0035] La façon dont est réalisée la boite 12 est encore plus indifférente que dans le cas des montres précédentes car il n'est même pas nécessaire que son fond 15 soit métallique.

    [0036] Le fond 15 présente deux gorges 16 et 17 sensiblement parallèles entre elles qui s'étendent dans le sens de la largeur de la boite et au fond de chacune desquelles émergent deux contacts électriques fixes 18, 19, respectivement 20, 21, qui, pour être actionnés, doivent être reliés entre eux par un objet métallique. Naturellement, si le fond de la boite est lui-même métallique les contacts doivent en être isolés.

    [0037] En ce qui concerne les gorges 16 et 17 il faut encore préciser que leur longueur et leur largeur sont choisies de façon que l'on puisse facilement y engager les parties du fermoir dans lesquelles se trouvent les charnières 14d et 14e qui réunissent la plaquette du milieu 14b aux deux autres 14a et 14c ou, tout au moins, Tune de ces parties. De plus il y a intérêt à ce qu'elles soient assez éloignées l'une de l'autre mais pas trop près des bords de la boite. Un bon compromis consiste à leur faire diviser la longueur de cette dernière à peu près en trois parties égales.

    [0038] Compte tenu de ce que l'on vient de dire la manière d'actionner l'une ou l'autre des paires de contacts au moyen du fermoir 14 est évidente. Il suffit d'amener la charnière 14d ou 14e dans la bonne gorge, comme le montre la figure. Si l'on veut actionner à plusieurs reprises la même paire de contacts on peut soit sortir chaque fois la charnière de la gorge et l'y ramener ensuite, soit maintenir celle-ci appuyée sur l'un des contacts et l'écarter seulement de l'autre. La première solution est peut-être plus commode du point de vue manipulation mais si on l'utilise on risque de mettre plus longtemps pour actionner les contacts un même nombre de fois qu'en faisant appel à la deuxième.

    [0039] La montre de la figure 4 présente certains avantages par rapport à celles des figures 1 à 3. Les contacts sont mieux protégés contre un actionnement involontaire et, contrairement à ce qui peut se passer avec des bossages, les gorges 16 et 17 ne risquent pas de nuire à l'esthétique de la montre et il n'y a pas de précautions à prendre pour que le porteur ne soit pas gêné par leur présence. Par contre, bien qu'il soit encore facile d'actionner les contacts, ça l'est un peu moins que dans le cas des montres précédentes.

    [0040] Une variante de cette montre de la figure 4 pourrait être obtenue en remplaçant les gorges 16 et 17 par deux trous cylindriques ou, de préférence, coniques situés sur la ligne médiane longitudinale du fond, dont l'ouverture serait suffisamment grande pour qu'on puisse les trouver facilement et au fond de chacun desquels serait placé un contact que l'on pourrait actionner en le reliant au fond 15 qui, dans ce cas, serait nécessairement métallique ou un bouton-poussoir, Pour pouvoir continuer à utiliser le fermoir du bracelet comme moyen d'actionnement il suffirait que l'une des plaquettes 14 , 14b ou 14 se prolonge au-delà de la a charnière qui la relie à une autre par une pointe adaptée à la forme et aux dimensions des trous, comme celle que l'on peut voir sur la figure 4a et qui est désignée par le repère 14f. Bien entendu, cette pointe devrait en plus être conformée et placée de façon à ne pas gêner ni risquer de blesser le porteur.

    [0041] La montre de la figure 5 a la même boite 12, le même bracelet 13 et les mêmes paires de contacts 18, 19 et 20, 21 que celle de la figure 4. La seule différence est que les gorges 16 et 17 sont remplacées par deux évidements 22 et 23 de forme plus compliquée. Chaque évidement présente du côté du milieu du fond 15 un flanc longitudinal abrupt 22a, respectivement 23a, au pied duquel se trouve la paire de contacts, un autre flanc longitudinal 22b, respectivement 23b, faiblement incliné, en regard du précédent, et deux flancs latéraux qui de part et d'autre du fond où se trouve la paire de contacts sont parallèles entre eux et qui s'écartent ensuite l'un de l'autre lorsqu'ils bordent le plan incliné.

    [0042] A noter qu'il n'y aurait pas d'inconvénient à ce que les flancs abrupts soient tous les deux orientés du même côté et les plans inclinés de l'autre.

    [0043] On voit tout de suite la similitude qu'il y a entre le passage de la montre de la figure 4 à celle de la figure 5 et celui de la montre de la figure 1 à celle de la figure 2. Alors que la montre de la figure 4 ne comporte que des moyens de positionnement pour le fermoir 14, constitués par les gorges 16 et 17, celle de la figure 5 a à la fois des moyens de positionnement formés par les flancs abrupts 22a, 23a et les parties des flancs latéraux 22c, 22d, 23c, 23d qui sont parallèles entre elles et des moyens de guidage formés par les plans inclinés 22b, 23b et le reste des flancs latéraux.

    [0044] Par ailleurs, il est facile d'imaginer une variante de la montre de la figure 5 qui correspondrait à celle envisagée pour la montre de la figure 4. Ce serait celle dans laquelle chaque évidement n'aurait plus qu'un plan incliné et deux flancs formant un V au fond duquel serait placé un bouton-poussoir ou un contact actionnable par une pointe que présenterait le fermoir.

    [0045] Dans le dernier exemple de montre selon l'invention que l'on a choisi de décrire et qui est représenté par la figure 6, le fond 25 de la boite 24 présente un évidement unique 26 avec un flanc abrupt 27 un peu en forme de sinusoïde dont la direction générale est sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale du bracelet 29 et un plan 26 incliné vers ce flanc.

    [0046] Dans les trois renfoncements 27 , 27b et 27 que présente le a c flanc 27 se trouvent trois boutons-poussoirs 30, 31, 32 ou, éventuellement, trois contacts électriques fixes si le fond de la boîte est métallique qui, si la montre est simple, peuvent servir par exemple le premier 30 à corriger l'indication des heures, le deuxième 31 à corriger l'indication des minutes et le troisième 32 à remettre celle des secondes à zéro.

    [0047] Pour agir sur l'un de ces dispositifs de commande il suffit de se munir d'un objet pointu qui peut être l'ardillon de la boucle si le bracelet en a une, de l'amener au contact du fond de la boite approximativement en face du renfoncement correspondant et de le faire glisser à peu près perpendiculairement à la direction générale de l'évidement jusqu'à ce qu'il vienne buter contre le flanc 27. Si l'on a la chance de tomber tout de suite sur le dispositif il n'y a plus ensuite qu'à l'actionner de façon adéquate. Si ce n'est pas le cas, il n'y a qu'à se laisser guider par le flanc 27 pour l'at- teindre. Ce flanc 27 peut également servir à passer d'un dispositif à l'autre.

    [0048] Sur la figure 6 l'avancée du fond qui sépare le renfoncement 27b du renfoncement 27a est beaucoup moins proéminente que celle qui le sépare du renfoncement 27 . Cela signifie qu'il n'est pas très gênant que l'on vienne actionner l'un des dispositifs 30 et 31 alors que l'on voulait agir sur l'autre mais qu'il ne faut pas que la même chose puisse se produire en ce qui concerne les dispositifs 31 et 32. Cela signifie aussi que l'on veut supprimer le risque que le dispositif 32 soit actionné involontairement lorsque l'on cherche à passer rapidement du dispositif 30 au dispositif 31. Il est clair en effet que moins les avancées sont saillantes plus les chances d'erreur sont grandes mais il arrive aussi assez souvent que l'on n'amène pas une tige de mise à l'heure tout de suite dans la bonne position axiale pour faire la correction voulue ou qu'on commence par la tourner dans un sens alors qu'en fait il faut la faire pivoter dans l'autre.

    [0049] Enfin, pour terminer il faut encore préciser que si, dans les six montres que l'on vient de décrire et dans les variantes possibles que l'on a signalées, les moyens de positionnement et de guidage sont toujours constitués par des reliefs ou des évidements c'est parce que c'est la façon la plus simple et la plus économique de mettre en oeuvre l'invention. En effet, dans le cas d'une boite ou, tout au moins, d'un fond métallique il sera possible la plupart du temps de former ces reliefs ou ces creux par étampage et comme cette technique est déjà très largement utilisée pour la fabrication de fonds ou de boîtes en une pièce cela ne nécessitera souvent aucune opération supplémentaire. Si il est exclu ou si il n'est pas avantageux d'employer cette méthode on pourra se rabattre sur une autre, par exemple celle du fraisage. Dans le cas d'une boite en matière plastique il suffira de donner la forme adéquate au moule qui permet de la réaliser.

    [0050] D'autre part, si l'on tient compte du fait que les différents types de dispositifs de commande utilisables sont, comme on l'a vu, nombreux, que le nombre de ces dispositifs peut aller de un à quatre dans une même montre, et même plus si nécessaire, que les organes de fermeture de bracelet qui existent actuellement sont très variés, que l'on peut en trouver d'autres, que l'on peut très bien prévoir des moyens de positionnement adaptés non pas à ces organes mais à autre chose, par exemple à la forme d'un doigt, et enfin que l'invention n'est pas réservée à des montres- bracelets, on imagine très bien que, déjà, rien qu'avec la solution des évidements, celle des bossages et leur combinaison , les possibilités de réaliser une montre conforme à l'invention sont innombrables, surtout si l'on ne considère pas ces évidements et ces bossages seulement sous l'aspect pratique mais aussi sous l'aspect esthétique.

    [0051] Il n'empêche que l'invention n'est pas limitée à ce genre de moyens de positionnement et de guidage et, pour montrer qu'il est possible de rester dans le cadre de celle-ci même en s'éloignant beaucoup des formes d'exécution qui ont été décrites on peut citer l'exemple d'une montre dans le fond de laquelle serait incorporée au moins une pastille en matériau magnétique, avec juste derrière, un relais électro-magnétique, et dont l'organe de fermeture du bracelet pourrait être muni d'un petit aimant permanent permettant d'actionner le relais. On pourrait même prévoir en plus, comme moyens de guidage dans le fond, une ou plusieurs pistes également en matériau magnétique qui aboutiraient à la pastille.


    Revendications

    1. Montre électronique comportant une boite (1; 12; 24) munie d'un fond (4; 15; 25) et au moins un dispositif de commande (6; 7; 9; 18-21; 30-32) solidaire de ce fond, caractérisée par le fait que ledit fond est muni de moyens de positionnement (5; 8; 10, 11; 16, a 17; 22a, 23a; 27a-27c) qui déterminent au moins approximativement l'endroit où des moyens externes (3b; 14d, 14e) à la boite doivent être placés pour pouvoir actionner ledit dispositif de commande.
     
    2. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le fond (4; 15; 25) de la boite (1; 12; 14) est également muni de moyens (8, 8c; 22b, 22c, 23b, 23c; 28) pour guider lesdits moyens externes (3b; 14d, 14e) vers lesdits moyens de positionnement (8a; 22a, 23a; 27a-27c).
     
    3. Montre selon la revendication 1, comportant en plus un bracelet (2; 13; 29) muni d'un élément de fermeture (3; 14), caractérisée par le fait que ledit dispositif de commande (6, 7; 18-21; 30-32) est choisi et placé dans le fond (4; 15; 25) de la boite (1; 12; 24) de façon qu'une partie au moins (3b; 14d, 14e) dudit élément de fermeture puisse être utilisée comme moyens externes pour l'actionner et que lesdits moyens de positionnement (5; 8a; 10, 11; 16, ) 17; 22a, 23a; 27a-27c) sont adaptés à la forme et aux dimensions de cette partie de l'élément de fermeture.
     
    4. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (4) de la boite (1) présente à peu près en son milieu un bossage (5) de forme allongée qui sert de moyens de positionnement pour l'actionnement de deux dispositifs de commande (6, 7) placés de part et d'autre de lui, sensiblement sur la ligne médiane du fond qui est perpendiculaire à la direction dans laquelle il s'étend.
     
    5. Montre selon la revendication 4, caractérisée par le fait que ledit bossage (5) s'étend dans le sens de la largeur du bracelet ) (2).
     
    6. Montre selon la revendication 5, caractérisée par le fait que lesdits dispositifs de commande (6, 7) sont placés au voisinage immédiat du bossage (5), de façon à pouvoir être actionnés par ladite partie (3b) de l'élément de fermeture (3) lorsque celle-ci est en appui à la fois contre le fond (4) et contre ledit bossage.
     
    7. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le dispositif de commande (9) est placé à peu près au centre du fond (4) de la boite (1) et que lesdits moyens de positionnement comprennent un bossage (10) de forme allongée et une gorge (11) sensiblement rectilignes et parallèles entre eux, orientés dans le sens de la largeur du bracelet (2) et placés de part et d'autre dudit dispositif de commande, ladite gorge ayant des dimensions telles que la partie (3b) de l'élément de fermeture (3) puisse s'y engager.
     
    8. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (4) de la boite (1) présente un bossage (8) sensiblement en forme de H avec une barre transversale (8a) orientée dans le sens a de la largeur du bracelet (2), de longueur au moins égale à la dimension qu'a dans ce même sens la partie (3b) de l'élément de fermeture (3) et deux barres latérales (8b, 8c) qui ont des flancs en regard (8d, 8e) qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne de la barre transversale, et par le fait qu'elle comporte deux dispositifs de commande (6, 7) placés de part et d'autre et au voisinage immédiat de la barre transversale du bossage, ladite barre transversale pouvant ainsi servir avec une partie de chaque barre latérale située près d'elle de moyens de positionnement pour l'actionnement de chacun desdits dispositifs de commande et le reste desdites barres latérales à guider ladite partie de l'élément de fermeture vers ces moyens de positionnement.
     
    9. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (15) de la boite (12) présente une gorge (16) qui s'étend sensiblement dans le sens de la largeur du bracelet (13) et au fond de laquelle est placé ledit dispositif de commande (18, 19), ladite gorge ayant des dimensions suffisantes pour que ladite partie (14d, 14 ) de l'élément de fermeture (14) puisse s'y engager.
     
    10. Montre selon la revendication 9, caractérisée par le fait que le fond (15) de la boite (12) présente une autre gorge (17) sensiblement de même orientation et de mêmes dimensions que la première (16), au fond de laquelle est placé un autre dispositif de commande (20, 21).
     
    11. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (15) de la boite (12) présente un évidement (22) avec un premier flanc longitudinal (22a) abrupt et sensiblement droit, orienté dans le sens de la largeur du bracelet (13) et de longueur au moins égale à la dimension qu'a dans ce même sens la partie (14d, 14c) de l'élément de fermeture, un fond dans lequel est placé le dispositif de commande (18, 19), un deuxième flanc longitudinal (22b) faiblement incliné, en regard du premier, et deux flancs latéraux abrupts (22c, 22d) qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne du fond dudit évidement, ledit premier flanc longitudinal et les parties des flancs latéraux qui bordent ledit fond pouvant ainsi servir de moyens de positionnement pour l'actionnement dudit dispositif de commande et le deuxième flanc longitudinal et les parties des flancs latéraux qui le bordent à guider ladite partie de l'élément de fermeture vers ces moyens de positionnement.
     
    12. Montre selon la revendication 11, caractérisée par le fait que le fond (15) de la boite (12) présente un autre évidement (23) sensiblement identique du premier (22), au fond duquel est placé un autre dispositif de commande (20, 21).
     
    13. Montre selon l'une des revendications 3 à 12, dont le bracelet (2) comprend deux brins (2a, 2b) et une boucle (3) avec une partie transversale (3b) contre laquelle vient prendre appui l'extrémité libre d'un ardillon (3a), caractérisée par le fait que ladite partie de l'élément de fermeture est ladite partie transversale de la boucle.
     
    14. Montre selon l'une des revendications 3 à 12, dont le bracelet (13) comprend deux parties réunies entre elles par un fermoir pliant (14) qui comporte au moins deux plaquettes (14a, 14b) articulées entre elles par une charnière (14d), caractérisée par le fait que ladite partie de l'élément de fermeture est la partie du fermoir dans laquelle se trouve ladite charnière.
     
    15. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de positionnement comprennent un bossage (5; 10) que présente extérieurement le fond (4) de la boite (1) et qui délimite une zone dans lquelle est placé ledit dispositif de commande (6, 7; 9).
     
    16. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de positionnement comprennent un évidement (16, 17) que présente le fond (15) de la boite (12) et au fond duquel est placé ledit dispositif de commande (18, 19, 20, 21).
     
    17. Montre selon la revendication 2, caractérisée par le fait que lesdits moyens de positionnement et de guidage sont formés par un relief (8) que présente extérieurement le fond (4) de la boite (1).
     
    18. Montre selon la revendication 2, caractérisée par le fait que lesdits moyens de positionnement et de guidage sont formés par au moins un évidement (22, 23; 26) que présente extérieurement le fond (15; 25) de laboîte (12; 24) et au fond duquel est placé ledit dispositif de commande (18, 19, 20, 21; 30, 31, 32).
     




    Dessins










    Rapport de recherche