[0001] La présenta invention concerne les montres électroniques qui ont un système de commande
placé dans le fond de leur boite.
[0002] L'expression "système de commande" désigne ici l'ensemble ou une partie des dispositifs
ou organes qui sont mis à la disposition du porteur pour lui permettre de mettre sa
montre à l'heure et, éventuellement, d'exercer son contrôle sur des fonctions supplémentaires
que celle-ci est à même de remplir, comme par exemple celle de calendrier ou de réveil.
Naturellement, cette définition n'exclut pas le cas où le système se limite à un seul
dispositif. Ceci peut arriver lorsque la montre est très simple et prévue pour indiquer
seulement les heures et les minutes ou parce qu'elle est capable de répondre différemment
selon que l'on actionne le dispositif pendant un temps très court ou relativement
long ou plus ou moins de fois pendant un temps déterminé.
[0003] Les dispositifs de commande que l'on connait actuellement et qui peuvent être placés
au fond d'une boite de montre sont nombreux. Il peut s'agir par exemple d'organes
mobiles ou non qui réagissent à une pression (boutons-poussoirs, membranes associées
à un contact électrique interne, touches piézo-électriques). Il peut s'agir aussi
de dispositifs qui fonctionnent suivant un principe purement électrique (touches capacitives,
contacts simples et isolés que l'on peut mettre à la masse en les touchant du doigt
ou en les reliant à la boite de la montre au moyen d'un objet métallique, paires de
contacts que l'on relie entre eux). Enfin, on peut citer aussi les dispositifs électromagnétiques
qui comprennent un relais logé entièrement dans la montre que l'on peut actionner
de l'extérieur en utilisant un petit aimant.
[0004] En fait, cette possibilité de mettre le système de commande d'une montre à l'arière
de celle-ci n'a été jusqu'à présent que très rarement utilisée. Pourtant elle permettrait
assez souvent de simplifier la réalisation du mouvement, de la boite ou des organes
de commande eux-mêmes, de faciliter leur assemblage ou de résoudre simplement des
problèmes d'étanchéité. Par exemple, dans les montres très minces, de trois millimètres
ou moins, il est très difficile de faire un ou plusieurs trous dans la carrure pour
y faire passer une tige de mise à l'heure ou y loger des boutons-poussoirs, en prévoyant
les moyens d'étanchéité nécessaires et sans risquer de rendre ces montres très fragiles.
Comme, en plus, il s'agit la plupart du temps de montres de haut de gamme il est exclu
de placer des organes voyants comme des boutons-poussoirs ou des contacts électriques
fixes à l'avant et même des dispositifs encore peu répandus comme les photodiodes
ou les touches capacitives sur la glace qui, entre paranthèses, sont difficiles à
mettre au point et nécessitent des circuits électroniques compliqués, ne conviendraient
que rarement. La solution des organes de commande au fond de la boite serait donc,
dans ce cas, très avantageuse. Pourtant, on n'y fait appel que lorsqu'on y est vraiment
contraint et ceci pour les mêmes raisons qu'on évite de l'utiliser pour certains styles
de montres où même la présence d'une tige devient inesthétique et où, par conséquent,
elle serait également intéressante.
[0005] L'une des raisons pour lesquelles on écarte cette solution est que, à quelques exceptions
près comme les montres montées en pendentif, elle oblige le porteur de la montre à
la poser lorsqu'il veut la corriger ou la commander. En réalité, ceci ne représente
pas un gros inconvénient car il n'est pas rare qu'on le fasse aussi avec une montre
munie d'un système de correction classique, trouvant que les manipulations sont alors
plus faciles.
[0006] L'autre raison c'est que généralement le porteur éprouve beaucoup plus de difficultés
pour mettre sa montre à l'heure et, le cas échéant, commander ses fonctions que si
le ou les dispositifs de commande étaient placés à l'avant de celle-ci ou sur le côté.
En effet, pour cela i1 doit commencer par regarder le dos de sa montre pour voir où
se trouve le dispositif qu'il doit actionner et, selon le cas, placer le bout du doigt
ou un objet adéquat sur ou très près de celui-ci. Sans cela il risquerait de tâtonner
longtemps et, si il y a plusieurs dispositifs, de se tromper.Ensuite, il doit retourner
la montre pour suivre les modifications de l'affichage pendant qu'il agit sur le dispositif
et il est tout à fait possible qu'à un moment donné, y compris celui où il retourne
la montre, son doigt ou l'objet en question glisse sur le fond de la boite ou s'en
éloigne. Il ne lui reste plus alors qu'à recommencer la même manoeuvre.
[0007] Cet inconvénient est donc oeaucoup plus gênant que le précédent et ce que l'invention
a pour but de faire c'est non pas de le supprimer car c'est quasiment impossible mais
de le minimiser.
[0008] En d'autres termes, le but de l'invention est de chercher à rendre un système de
commande placé au fond de la boite d'une montre aussi pratique à utiliser que ceux
qui se trouvent sur le côté ou à l'avant et qui, eux non plus ne sont pas à ce point
de vue toujours parfaits.
[0009] Ce but est atteint grâce au fait que lorsqu'au moins un dispositif de commande est
solidaire du fond de la boite d'une montre conforme à l'invention, ce fond est muni
de moyens de positionnement qui déterminent au moins approximativement l'endroit où
des moyens externes à la boite doivenc être placés pour pouvoir actionner le dispositif
en question.
[0010] De plus, dans des modes préférés de mise en oeuvre de l'invention le fond de la boite
est également muni de moyens pour guider les moyens externes d'actionnement vers les
moyens de positionnement.
[0011] Lorsque la montre comprend également un bracelet avec un élément de fermeture, il
est avantageux de pouvoir utiliser une partie de cet élément comme moyens pour actionner
le dispositif de commande car on l'a toujours et immédiatement sous la main. Par conséquent,
dans ce cas les moyens de positionnement et éventuellement de guidage sont de préférence
adaptés à la forme et aux dimensions de cette partie de l'élément de fermeture et
le dispositif de commande est choisi de façon à pouvoir être actionné par celle-ci.
[0012] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de
la description qui suit de plusieurs formes possibles d'exécution choisies à titre
d'exemples. Cette description sera faite en référence aux dessins annexés sur lesquels:
- les figures 1 à 4, 5 et 6 représentent totalement ou partiellement six montres-bracelets
différentes, conformes à l'invention; et
- la figure 4a montre partiellement une variante du fermoir du bracelet Je la montre de la figure
4.
[0013] Les montres des figures 1 à 3 comprennent toutes une boite 1 qui contient les divers
éléments nécessaires à la réalisation d'une montre à affichage analogique, digital
ou mixte et à laquelle est attaché un bracelet souple 2 tout à fait classique, avec
un brin 2 a percé d'une série de trous non visibles sur le dessin et un autre 2
b à l'extrémité duquel se trouve une boucle métallique 3 avec un ardillon
3a.
[0014] La nature des brins du bracelet et la façon dont il sont fixés à la boite sont sans
importance. Par contre, pour une raison que l'on comprendra facilement par la suite,
il est souhaitable que la boucle 3 soit rectangulaire ou tout au moins que la partie
transversale 3
b contre laquelle l'extrémité libre de l'ardillon vient normalement prendre appui soit
sensiblement droite et s'étende à peu prés sur toute la largeur du bracelet.
[0015] En ce qui concerne la boite 1, elle a été représentée comme étant ronde sur les trois
figures mais elle pourrait tout aussi bien être rectangulaire, ovale ou d'une autre
forme. D'autre part sa structure peut être quelconque à condition qu'elle ait un fond
4 métallique.
[0016] Dans le cas de la montre de la figure 1, ce fond 4 présente dans sa partie centrale
un bossage 5 allongé et à peu près rectiligne disposé sensiblement perpendiculaire
à la direction longitudinale des brins 2
a et 2
b du bracelet. La forme de ce bossage peut être par exemple celle d'un parallélépipède
rectangle, celle d'un prisme à section trapézoïdale ou celle d'un demi-cylindre. D'une
manière générale cette forme du bossage 5 ainsi que ses dimensions sont choisies de
façon que, d'une part, il ne puisse pas gêner et soit de préférence invisible lorsque
l'on porte la montre au poignet et que, d'autre part, il constitue un obstacle que
l'on ne peut pas éviter ni franchir très facilement lorsque, comme on le verra plus
loin, on est amené à faire glisser la partie transversale 3
b de la boucle sur le fond de la boite, en direction de lui.
[0017] Cette montre comporte par ailleurs deux dispositifs de commande constitués par deux
contacts fixes 6 et 7 qui sont incorporés dans le fond de la boite de façon à en être
isolés électriquement et qui sont placés de part et d'autre du bossage 5, à une certaine
distance de lui et à peu près sur la ligne médiane du fond qui lui est perpendiculaire.
[0018] Pour le circuit électronique de la montre dont il font évidemment partie les deux
contacts 6 et 7 ne peuvent être considérés comme étant actionnés que lorsqu'ils sont
reliés au fond 4 par un objet métallique et pour qu'ils puissent l'être par la partie
transversale 3
b de la boucle du bracelet il faut au moins qu'ils affleurent à la surface externe
de ce fond. En fait, il est préférable qu'ils ressortent très légèrement mais sans
risquer de gêner le mouvement de glissement de la boucle sur le fond dont on a déjà
parlé. Ceci peut être obtenu en donnant à leur partie qui émerge la forme d'une calotte
sphérique. De plus, ils ne doivent pas être très éloignés du bossage 5 pour éviter
qu'ils soient actionnés involontairement, tout au moins si l'on vient à poser la montre
sur une surface métallique.
[0019] Si la montre est très simple et n'a pas d'autres fonctions que d'indiquer l'heure
courante les contacts peuvent servir par exemple l'un à l'avancer et l'autre à la
retarder ou bien l'un à effectuer des changements de fuseau horaire, c'est-à-dire
à modifier l'affichage d'une ou plusieurs heures entières, et l'autre à faire une
mise à l'heure, c'est-à-dire à corriger l'indication des minutes conjointement ou
non avec celle des heures. Si la montre est plus compliquée l'un d'eux peut être prévu
pour sélectionner une information (heures, minutes, jour de la semaine, quantième,
heure de réveil, minute de réveil, etc) et l'autre pour la corriger.
[0020] Pour agir sur l'un des contacts, on peut tout d'abord appliquer la partie transversale
3
b de la boucle 3 contre le fond de la boîte dans la zone qui se trouve entre ce contact
et le brin du bracelet le plus proche, comme le montre la figure, puis la déplacer
en direction du bossage 5. Le contact est actionné au moment où la boucle passe sur
lui. Pour qu'il le soit une deuxième fois il suffit de ramener la boucle en arrière
et si ce n'est pas assez on peut alors faire effectuer à celle-ci un mouvement de
va-et-vient sur le fond jusqu'à ce que le contact ait été actionné le nombre voulu
de fois.
[0021] Lorsque l'on en a terminé tout au moins temporairement avec ce contact on peut, si
besoin est, agir ensuite de la même façon sur l'autre aprèt avoir amené la partie
3
b au contact du fond orès de l'endroit où est attaché l'autre brin du bracelet ou bien,
simplement, après avoir fait passer la boucle par dessus le bossage.
[0022] Comme on l'imagine, on peut faire cela très facilement sans avoir besoin de regarder
le dos de la montre, même au début, et sans perdre de vue les moyens d'affichage.
De plus, gràce à la présence du bossage, on ne risque pas lorsque l'on agit sur l'un
des contacts d'aller actionner involontairement l'autre, même lorsque l'on soumet
la boucle à un mouvement de va-et-vient rapide. Par conséquent, on n'a pas plus de
difficultés pour commander la montre et on n'a pas plus de chances de se tromper en
le faisant que si elle était munie de dispositifs de commande-sur le côté de la boite
ou à l'avant.
[0023] Naturellement, ceci est dû en grande partie au fait que la partie 3
b de la boucle est droite et suffisamment longue. Il n'en serait pas de même si elle
était par exemple très arrondie.
[0024] Par contre, il est bien clair que, la plupart du temps, ces avantages que la montre
de la figure 1 présente, comme toutes celles qui sont conformes à l'invention, par
rapport aux montres connues munies de systèmes de commande à l'arrière subsistent
même si on ne procède pas de la manière qui a été indiquée pour actionner les contacts.
Cette façon de faire a été choisie comme exemple car elle est très commode mais il
en existe évidemment d'autres. En effet, rien n'oblige à commencer par placer la partie
transversale de la boucle entre le contact que l'on veut actionner et le brin du bracelet
qui en est le plus près. On peut l'amener au contact du fond en veillant seulement
à ce que ce soit du bon côté du bossage et si on ne tombe pas tout de suite sur le
contact on peut le trouver très vite en déplaçant la boucle. De même, on n'est pas
forcé de faire subir à la boucle un mouvement de va-et-vient sur le fond pour agir
plusieurs fois sur le même contact. Quand on l'a actionné une première fois on peut
écarter la partie transversale de la boucle de lui en maintenant ou non une de ses
extrémités appuyée contre le fond, la ramener dessus et ainsi de suite, mais la manipulation
est alors moins facile et moins rapide. D'autre part, rien n'empêche d'utiliser autre
chose que la boucle pour actionner les contacts. On peut se servir par exemple d'une
pièce de monnaie, d'une clef, d'un stylo si il est métallique ou de l'élément qui
sert à l'accrocher dans une poche.
[0025] Dans le cas de la montre de la figure 1 le bossage 5 constitue des moyens de positionnement
notamment pour la partie 3
b de la boucle en ce sans qu'il limite les déplacements de celle-ci sur le fond de
la boite à des zones dans lesquelles se trouvent les contacts et qu'il peut aider
à la maintenir parallèle à lui dont à diminuer la probabilité toujours très faible
qu'elle passe à côté de ces contacts lorsqu'on la soumet au mouvement de va-et-vient
dont on a parlé.
[0026] Il jouerait le même rôle ou à peu près si il était non pas perpendiculaire mais parallèle
à la direction des brins du bracelet, les contacts continuant bien entendu à être
placés de chaque côté de lui. Par contre, il formerait des moyens de positionnement
nettement plus précis si il restait perpendiculaire à la direction des brins et si
les contacts étaient placés non pas à une certaine distance mais juste à côté de lui.
Ces deux variantes de la montre de la figure 1 sont tout à fait envisageables. La
deuxième permettrait même de limiter davantage les risques d'actionnement involontaire
des contacts mais, toujours dans le cas de la méthode la plus simple du va-et-vient
de la boucle sur le fond, il faudrait plus de temps pour les actionner un même nombre
de fois.
[0027] Ce qui est parfaitement envisageable aussi c'est de remplacer le bracelet à boucle
2 par un autre pour lequel le bossage 5 et les contacts 6 et 7 conviendraient tout
aussi bien et en particulier par celui dont sont équipées les montres des figures
4 et 5. Pour ne pas avoir à revenir sur ce sujet on peut dire tout de suite que cela
s'applique aussi aux mode d'exécution des figures 2 et 3 et que, inversement le bracelet
représenté sur les figures 4 et 5 pourrait très bien être associé aux boites des figures
1 à 3. En disant cela on ne tient évidemment pas compte de la façon dont les bracelets
peuvent être fixés aux boites.
[0028] Le fond métallique 4 de la montre de la figure 2 présente lui aussi un bossage 8
mais celui-ci a sensiblement la forme d'un H. La barre transversale 8 a du H est disposée
de la même façon que le bossage 5 de la montre de la figure 1 et a une longueur égale
ou légèrement supérieure à celle de la partie transversale 3
b de la boucle 3 du bracelet. Par ailleurs, les deux barres latérales 8
b et 8
c du H sont conformées de manière à avoir des flancs en regard 8
d et B
e à peu près perpendiculaires au fond 4 bu tout au moins assez fortement inclinés par
rapport à celui-ci et qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne de la barre
transversale 8
a. Enfin la montre comporte là encore deux contacts électriques fixes qui sont désignés
par les mêmes repères 6 et 7 que ceux de la figure 1 car ils sont identiques et doivent
être actionnés de la même façon. La seule différence est qu'ils ne se trouvent pas
à une certaine distance du bossage mais à proximité immédiate de la barre transversale
8a si bien que, pour les actionner, la partie 3
b de la boucle doit être amenée-en butée contre cette barre.
[0029] La barre transversale 8 a du bossage et une petite partie de chaque barre latérale
située près d'elle forment donc dans ce cas des moyens de positionnement précis pour
la partie 3
b de la boucle. Le reste des barres latérales 8
b et 8
c sert à guider la partie 3
b vers ces moyens de positionnement lorsqu'on l'amène au contact du fond 4 et qu'on
la fait glisser sur celui-ci.
[0030] Naturellement, la meilleure façon de s'y prendre pour actionner les contacts 6 et
7 est la même qu'avec la montre de la figure 1 mais, lorsqu'on doit agir plusieurs
fois sur le même contact, on peut aussi utiliser plus facilement la solution qui consiste
à écarter la partie transversale de la boucle de ce contact en maintenant une de ses
extrémités appuyée contre le fond.
[0031] A noter que cette forme d'exécution peut faire penser à une autre dans laquelle le
bossage en forme de H serait remplacé par un bossage en forme de X et dans laquelle
des contacts actionnables non plus par la partie transversale 3
b de la boucle mais par l'ardillon 3a seraient placés à proximité du point de croisement
des barres du X. On pourrait ainsi prévoir jusqu'à quatre contacts qui, au lieu d'affleurer
à la surface du fond pourraient être en renfoncement par rapport à celle-ci, donc
mieux protégés. On pourrait même remplacer ces contacts par des boutons-poussoirs
ce qui dispenserait d'avoir un fond de boite métallique.
[0032] La montre de la figure 3 ne comporte, elle, qu'un seul contact 9 placé au milieu
du fond et identique aux contacts 6 et 7 des montres des figures 1 et 2. D'autre part,
le fond 4 ne présente plus seulement un bossage, désigné ici par le repère 10, mais
aussi une gorge 11 qui sont tous les deux à peu près rectilignes et perpendiculaires
à la direction longitudinale du bracelet et qui sont situés de part et d'autre du
contact 9, sensiblement à égale distance de lui. La gorge 11 qui se trouve du côté
du brin 2
b du bracelet qui porte la boucle 3 a une longueur un peu supérieure à celle de la
partie transversale 3
b de cette dernière et, de préférence, une forme semi-cylindrique ou à peu près afin
que cette partie transversale puisse s'y engager et en ressortir assez facilement
lorsqu'on la fait glisser sur le fond. Le bossage 10, lui, a une forme et des dimensions
qui lui permettent de répondre aux mêmes exigences et de jouer le même rôle notamment
vis-à-vis de la boucle que celui de la montre de la figure 1.
[0033] Ainsi, lorsqu'après avoir appliqué la partie 3
b de la boucle sur le fond, près de l'endroit où est fixé le brin 2
b du bracelet, on la déplace en direction de l'autre brin, 2. on rencontre tout d'abord
la gorge 11 qui permet de placer cette partie 3
b au milieu du fond et à peu près parallèlement à elle et au bossage 10 si elle n'y
était pas déjà et qui, par conséquent, garantit l'actionnement ultérieur du contact.
La gorge 11 sert donc de moyens de préposi- tionnement pour la boucle. De plus, lorsqu'on
fait exécuter à cette boucle un mouvement de va-et-vient sur le fond, la gorge s'associe
au bossage 10 pour limiter l'amplitude de ce mouvement et pour maintenir plus ou moins
la partie 3
b dans la direction qu'elle lui a imposée au départ.
[0034] La montre de la figure 4 comprend une boite 12, par exemple rectangulaire, à laquelle
est fixé d'une manière quelconque un bracelet métallique 13 muni d'un fermoir pliant
14 formé de trois plaquettes articulées 14a, 14
b et 14
c.
[0035] La façon dont est réalisée la boite 12 est encore plus indifférente que dans le cas
des montres précédentes car il n'est même pas nécessaire que son fond 15 soit métallique.
[0036] Le fond 15 présente deux gorges 16 et 17 sensiblement parallèles entre elles qui
s'étendent dans le sens de la largeur de la boite et au fond de chacune desquelles
émergent deux contacts électriques fixes 18, 19, respectivement 20, 21, qui, pour
être actionnés, doivent être reliés entre eux par un objet métallique. Naturellement,
si le fond de la boite est lui-même métallique les contacts doivent en être isolés.
[0037] En ce qui concerne les gorges 16 et 17 il faut encore préciser que leur longueur
et leur largeur sont choisies de façon que l'on puisse facilement y engager les parties
du fermoir dans lesquelles se trouvent les charnières 14
d et 14
e qui réunissent la plaquette du milieu 14
b aux deux autres 14a et 14
c ou, tout au moins, Tune de ces parties. De plus il y a intérêt à ce qu'elles soient
assez éloignées l'une de l'autre mais pas trop près des bords de la boite. Un bon
compromis consiste à leur faire diviser la longueur de cette dernière à peu près en
trois parties égales.
[0038] Compte tenu de ce que l'on vient de dire la manière d'actionner l'une ou l'autre
des paires de contacts au moyen du fermoir 14 est évidente. Il suffit d'amener la
charnière 14
d ou 14
e dans la bonne gorge, comme le montre la figure. Si l'on veut actionner à plusieurs
reprises la même paire de contacts on peut soit sortir chaque fois la charnière de
la gorge et l'y ramener ensuite, soit maintenir celle-ci appuyée sur l'un des contacts
et l'écarter seulement de l'autre. La première solution est peut-être plus commode
du point de vue manipulation mais si on l'utilise on risque de mettre plus longtemps
pour actionner les contacts un même nombre de fois qu'en faisant appel à la deuxième.
[0039] La montre de la figure 4 présente certains avantages par rapport à celles des figures
1 à 3. Les contacts sont mieux protégés contre un actionnement involontaire et, contrairement
à ce qui peut se passer avec des bossages, les gorges 16 et 17 ne risquent pas de
nuire à l'esthétique de la montre et il n'y a pas de précautions à prendre pour que
le porteur ne soit pas gêné par leur présence. Par contre, bien qu'il soit encore
facile d'actionner les contacts, ça l'est un peu moins que dans le cas des montres
précédentes.
[0040] Une variante de cette montre de la figure 4 pourrait être obtenue en remplaçant les
gorges 16 et 17 par deux trous cylindriques ou, de préférence, coniques situés sur
la ligne médiane longitudinale du fond, dont l'ouverture serait suffisamment grande
pour qu'on puisse les trouver facilement et au fond de chacun desquels serait placé
un contact que l'on pourrait actionner en le reliant au fond 15 qui, dans ce cas,
serait nécessairement métallique ou un bouton-poussoir, Pour pouvoir continuer à utiliser
le fermoir du bracelet comme moyen d'actionnement il suffirait que l'une des plaquettes
14 , 14
b ou 14 se prolonge au-delà de la a charnière qui la relie à une autre par une pointe
adaptée à la forme et aux dimensions des trous, comme celle que l'on peut voir sur
la figure 4
a et qui est désignée par le repère 14
f. Bien entendu, cette pointe devrait en plus être conformée et placée de façon à ne
pas gêner ni risquer de blesser le porteur.
[0041] La montre de la figure 5 a la même boite 12, le même bracelet 13 et les mêmes paires
de contacts 18, 19 et 20, 21 que celle de la figure 4. La seule différence est que
les gorges 16 et 17 sont remplacées par deux évidements 22 et 23 de forme plus compliquée.
Chaque évidement présente du côté du milieu du fond 15 un flanc longitudinal abrupt
22a, respectivement 23a, au pied duquel se trouve la paire de contacts, un autre flanc
longitudinal 22
b, respectivement 23
b, faiblement incliné, en regard du précédent, et deux flancs latéraux qui de part
et d'autre du fond où se trouve la paire de contacts sont parallèles entre eux et
qui s'écartent ensuite l'un de l'autre lorsqu'ils bordent le plan incliné.
[0042] A noter qu'il n'y aurait pas d'inconvénient à ce que les flancs abrupts soient tous
les deux orientés du même côté et les plans inclinés de l'autre.
[0043] On voit tout de suite la similitude qu'il y a entre le passage de la montre de la
figure 4 à celle de la figure 5 et celui de la montre de la figure 1 à celle de la
figure 2. Alors que la montre de la figure 4 ne comporte que des moyens de positionnement
pour le fermoir 14, constitués par les gorges 16 et 17, celle de la figure 5 a à la
fois des moyens de positionnement formés par les flancs abrupts 22a, 23a et les parties
des flancs latéraux 22
c, 22
d, 23
c, 23
d qui sont parallèles entre elles et des moyens de guidage formés par les plans inclinés
22
b, 23
b et le reste des flancs latéraux.
[0044] Par ailleurs, il est facile d'imaginer une variante de la montre de la figure 5 qui
correspondrait à celle envisagée pour la montre de la figure 4. Ce serait celle dans
laquelle chaque évidement n'aurait plus qu'un plan incliné et deux flancs formant
un V au fond duquel serait placé un bouton-poussoir ou un contact actionnable par
une pointe que présenterait le fermoir.
[0045] Dans le dernier exemple de montre selon l'invention que l'on a choisi de décrire
et qui est représenté par la figure 6, le fond 25 de la boite 24 présente un évidement
unique 26 avec un flanc abrupt 27 un peu en forme de sinusoïde dont la direction générale
est sensiblement perpendiculaire à la direction longitudinale du bracelet 29 et un
plan 26 incliné vers ce flanc.
[0046] Dans les trois renfoncements 27 , 27
b et 27 que présente le a c flanc 27 se trouvent trois boutons-poussoirs 30, 31, 32
ou, éventuellement, trois contacts électriques fixes si le fond de la boîte est métallique
qui, si la montre est simple, peuvent servir par exemple le premier 30 à corriger
l'indication des heures, le deuxième 31 à corriger l'indication des minutes et le
troisième 32 à remettre celle des secondes à zéro.
[0047] Pour agir sur l'un de ces dispositifs de commande il suffit de se munir d'un objet
pointu qui peut être l'ardillon de la boucle si le bracelet en a une, de l'amener
au contact du fond de la boite approximativement en face du renfoncement correspondant
et de le faire glisser à peu près perpendiculairement à la direction générale de l'évidement
jusqu'à ce qu'il vienne buter contre le flanc 27. Si l'on a la chance de tomber tout
de suite sur le dispositif il n'y a plus ensuite qu'à l'actionner de façon adéquate.
Si ce n'est pas le cas, il n'y a qu'à se laisser guider par le flanc 27 pour l'at-
teindre. Ce flanc 27 peut également servir à passer d'un dispositif à l'autre.
[0048] Sur la figure 6 l'avancée du fond qui sépare le renfoncement 27
b du renfoncement 27a est beaucoup moins proéminente que celle qui le sépare du renfoncement
27 . Cela signifie qu'il n'est pas très gênant que l'on vienne actionner l'un des
dispositifs 30 et 31 alors que l'on voulait agir sur l'autre mais qu'il ne faut pas
que la même chose puisse se produire en ce qui concerne les dispositifs 31 et 32.
Cela signifie aussi que l'on veut supprimer le risque que le dispositif 32 soit actionné
involontairement lorsque l'on cherche à passer rapidement du dispositif 30 au dispositif
31. Il est clair en effet que moins les avancées sont saillantes plus les chances
d'erreur sont grandes mais il arrive aussi assez souvent que l'on n'amène pas une
tige de mise à l'heure tout de suite dans la bonne position axiale pour faire la correction
voulue ou qu'on commence par la tourner dans un sens alors qu'en fait il faut la faire
pivoter dans l'autre.
[0049] Enfin, pour terminer il faut encore préciser que si, dans les six montres que l'on
vient de décrire et dans les variantes possibles que l'on a signalées, les moyens
de positionnement et de guidage sont toujours constitués par des reliefs ou des évidements
c'est parce que c'est la façon la plus simple et la plus économique de mettre en oeuvre
l'invention. En effet, dans le cas d'une boite ou, tout au moins, d'un fond métallique
il sera possible la plupart du temps de former ces reliefs ou ces creux par étampage
et comme cette technique est déjà très largement utilisée pour la fabrication de fonds
ou de boîtes en une pièce cela ne nécessitera souvent aucune opération supplémentaire.
Si il est exclu ou si il n'est pas avantageux d'employer cette méthode on pourra se
rabattre sur une autre, par exemple celle du fraisage. Dans le cas d'une boite en
matière plastique il suffira de donner la forme adéquate au moule qui permet de la
réaliser.
[0050] D'autre part, si l'on tient compte du fait que les différents types de dispositifs
de commande utilisables sont, comme on l'a vu, nombreux, que le nombre de ces dispositifs
peut aller de un à quatre dans une même montre, et même plus si nécessaire, que les
organes de fermeture de bracelet qui existent actuellement sont très variés, que l'on
peut en trouver d'autres, que l'on peut très bien prévoir des moyens de positionnement
adaptés non pas à ces organes mais à autre chose, par exemple à la forme d'un doigt,
et enfin que l'invention n'est pas réservée à des montres- bracelets, on imagine très
bien que, déjà, rien qu'avec la solution des évidements, celle des bossages et leur
combinaison , les possibilités de réaliser une montre conforme à l'invention sont
innombrables, surtout si l'on ne considère pas ces évidements et ces bossages seulement
sous l'aspect pratique mais aussi sous l'aspect esthétique.
[0051] Il n'empêche que l'invention n'est pas limitée à ce genre de moyens de positionnement
et de guidage et, pour montrer qu'il est possible de rester dans le cadre de celle-ci
même en s'éloignant beaucoup des formes d'exécution qui ont été décrites on peut citer
l'exemple d'une montre dans le fond de laquelle serait incorporée au moins une pastille
en matériau magnétique, avec juste derrière, un relais électro-magnétique, et dont
l'organe de fermeture du bracelet pourrait être muni d'un petit aimant permanent permettant
d'actionner le relais. On pourrait même prévoir en plus, comme moyens de guidage dans
le fond, une ou plusieurs pistes également en matériau magnétique qui aboutiraient
à la pastille.
1. Montre électronique comportant une boite (1; 12; 24) munie d'un fond (4; 15; 25)
et au moins un dispositif de commande (6; 7; 9; 18-21; 30-32) solidaire de ce fond,
caractérisée par le fait que ledit fond est muni de moyens de positionnement (5; 8;
10, 11; 16, a 17; 22a, 23a; 27a-27c) qui déterminent au moins approximativement l'endroit où des moyens externes (3b; 14d, 14e) à la boite doivent être placés pour pouvoir actionner ledit dispositif de commande.
2. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le fond (4; 15; 25)
de la boite (1; 12; 14) est également muni de moyens (8, 8c; 22b, 22c, 23b, 23c; 28) pour guider lesdits moyens externes (3b; 14d, 14e) vers lesdits moyens de positionnement (8a; 22a, 23a; 27a-27c).
3. Montre selon la revendication 1, comportant en plus un bracelet (2; 13; 29) muni
d'un élément de fermeture (3; 14), caractérisée par le fait que ledit dispositif de
commande (6, 7; 18-21; 30-32) est choisi et placé dans le fond (4; 15; 25) de la boite
(1; 12; 24) de façon qu'une partie au moins (3b; 14d, 14e) dudit élément de fermeture puisse être utilisée comme moyens externes pour l'actionner
et que lesdits moyens de positionnement (5; 8a; 10, 11; 16, ) 17; 22a, 23a; 27a-27c) sont adaptés à la forme et aux dimensions de cette partie de l'élément de fermeture.
4. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (4) de la
boite (1) présente à peu près en son milieu un bossage (5) de forme allongée qui sert
de moyens de positionnement pour l'actionnement de deux dispositifs de commande (6,
7) placés de part et d'autre de lui, sensiblement sur la ligne médiane du fond qui
est perpendiculaire à la direction dans laquelle il s'étend.
5. Montre selon la revendication 4, caractérisée par le fait que ledit bossage (5)
s'étend dans le sens de la largeur du bracelet ) (2).
6. Montre selon la revendication 5, caractérisée par le fait que lesdits dispositifs
de commande (6, 7) sont placés au voisinage immédiat du bossage (5), de façon à pouvoir
être actionnés par ladite partie (3b) de l'élément de fermeture (3) lorsque celle-ci est en appui à la fois contre le
fond (4) et contre ledit bossage.
7. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le dispositif de
commande (9) est placé à peu près au centre du fond (4) de la boite (1) et que lesdits
moyens de positionnement comprennent un bossage (10) de forme allongée et une gorge
(11) sensiblement rectilignes et parallèles entre eux, orientés dans le sens de la
largeur du bracelet (2) et placés de part et d'autre dudit dispositif de commande,
ladite gorge ayant des dimensions telles que la partie (3b) de l'élément de fermeture (3) puisse s'y engager.
8. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (4) de la
boite (1) présente un bossage (8) sensiblement en forme de H avec une barre transversale
(8a) orientée dans le sens a de la largeur du bracelet (2), de longueur au moins égale
à la dimension qu'a dans ce même sens la partie (3b) de l'élément de fermeture (3) et deux barres latérales (8b, 8c) qui ont des flancs en regard (8d, 8e) qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne de la barre transversale, et
par le fait qu'elle comporte deux dispositifs de commande (6, 7) placés de part et
d'autre et au voisinage immédiat de la barre transversale du bossage, ladite barre
transversale pouvant ainsi servir avec une partie de chaque barre latérale située
près d'elle de moyens de positionnement pour l'actionnement de chacun desdits dispositifs
de commande et le reste desdites barres latérales à guider ladite partie de l'élément
de fermeture vers ces moyens de positionnement.
9. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (15) de la
boite (12) présente une gorge (16) qui s'étend sensiblement dans le sens de la largeur
du bracelet (13) et au fond de laquelle est placé ledit dispositif de commande (18,
19), ladite gorge ayant des dimensions suffisantes pour que ladite partie (14d, 14 ) de l'élément de fermeture (14) puisse s'y engager.
10. Montre selon la revendication 9, caractérisée par le fait que le fond (15) de
la boite (12) présente une autre gorge (17) sensiblement de même orientation et de
mêmes dimensions que la première (16), au fond de laquelle est placé un autre dispositif
de commande (20, 21).
11. Montre selon la revendication 3, caractérisée par le fait que le fond (15) de
la boite (12) présente un évidement (22) avec un premier flanc longitudinal (22a)
abrupt et sensiblement droit, orienté dans le sens de la largeur du bracelet (13)
et de longueur au moins égale à la dimension qu'a dans ce même sens la partie (14d, 14c) de l'élément de fermeture, un fond dans lequel est placé le dispositif de commande
(18, 19), un deuxième flanc longitudinal (22b) faiblement incliné, en regard du premier, et deux flancs latéraux abrupts (22c, 22d) qui s'écartent l'un de l'autre lorsqu'on s'éloigne du fond dudit évidement, ledit
premier flanc longitudinal et les parties des flancs latéraux qui bordent ledit fond
pouvant ainsi servir de moyens de positionnement pour l'actionnement dudit dispositif
de commande et le deuxième flanc longitudinal et les parties des flancs latéraux qui
le bordent à guider ladite partie de l'élément de fermeture vers ces moyens de positionnement.
12. Montre selon la revendication 11, caractérisée par le fait que le fond (15) de
la boite (12) présente un autre évidement (23) sensiblement identique du premier (22),
au fond duquel est placé un autre dispositif de commande (20, 21).
13. Montre selon l'une des revendications 3 à 12, dont le bracelet (2) comprend deux
brins (2a, 2b) et une boucle (3) avec une partie transversale (3b) contre laquelle vient prendre appui l'extrémité libre d'un ardillon (3a), caractérisée
par le fait que ladite partie de l'élément de fermeture est ladite partie transversale
de la boucle.
14. Montre selon l'une des revendications 3 à 12, dont le bracelet (13) comprend deux
parties réunies entre elles par un fermoir pliant (14) qui comporte au moins deux
plaquettes (14a, 14b) articulées entre elles par une charnière (14d), caractérisée par le fait que ladite partie de l'élément de fermeture est la partie
du fermoir dans laquelle se trouve ladite charnière.
15. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de
positionnement comprennent un bossage (5; 10) que présente extérieurement le fond
(4) de la boite (1) et qui délimite une zone dans lquelle est placé ledit dispositif
de commande (6, 7; 9).
16. Montre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de
positionnement comprennent un évidement (16, 17) que présente le fond (15) de la boite
(12) et au fond duquel est placé ledit dispositif de commande (18, 19, 20, 21).
17. Montre selon la revendication 2, caractérisée par le fait que lesdits moyens de
positionnement et de guidage sont formés par un relief (8) que présente extérieurement
le fond (4) de la boite (1).
18. Montre selon la revendication 2, caractérisée par le fait que lesdits moyens de
positionnement et de guidage sont formés par au moins un évidement (22, 23; 26) que
présente extérieurement le fond (15; 25) de laboîte (12; 24) et au fond duquel est
placé ledit dispositif de commande (18, 19, 20, 21; 30, 31, 32).