(19)
(11) EP 0 230 398 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
29.07.1987  Bulletin  1987/31

(21) Numéro de dépôt: 87810019.7

(22) Date de dépôt:  13.01.1987
(51) Int. Cl.4B65B 27/06
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE FR GB IT LI NL SE

(30) Priorité: 15.01.1986 CH 129/86

(71) Demandeur: Maillefer S.A.
CH-1024 Ecublens Canton de Vaud (CH)

(72) Inventeur:
  • Thely, Alain
    CH-1170 Aubonne (CH)

(74) Mandataire: Rochat, Daniel Jean et al
Bovard SA Ingénieurs-Conseils ACP Optingenstrasse 16
3000 Bern 25
3000 Bern 25 (CH)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Installation de liage d'une torche sur un enrouleur


    (57) Lorsque le tambour (3) est arrêté dans une orientation telle que l'espace entre deux secteurs (15) est orienté vers la machine de liage (7), le support (10) des bras articulés (11, 12) est avancé de façon que les bras embrassent la section de la torche limitée par les flasques (16, 17). Le lien (20) est engagé dans les bras (11, 12) de façon à former une boucle qui est ensuite serrée en faisant tourner les galets (21, 22) en sens inverse et en avançant la tête de liage (13) entre les éléments de flasque (17, 16). La distance de recul a été calculée au préalable et mise en mémoire dans un dispositif de commande électronique. Les seuls déplacements effectués se font en direction radiale au voisinage du flasque (16) ayant une position axiale fixe.




    Description


    [0001] Lorsque des produits souples allongés, comme par exemple des tubes en matière plastique, des câbles ou des profilés souples sont enroulés en torches il est nécessaire de lier chaque torche au moyen d'un lien qui est disposé selon une boucle autour de la section de l'anneau formé par la torche, et cela à plusieurs endroits répartis sur tout le pourtour de cet anneau. On connaît des machines qui comportent deux bras articulés et un dispositif de liage situé entre les bras articulés. Ces machines font parcourir au lien le chemin en forme de boucle qu'il doit parcourir pour entourer la section de l'anneau et lient ensuite les deux extrémités de cette boucle dans une position serrée autour de la torche par exemple par une opération de soudage si le lien est une bande de matière plastique.

    [0002] Toutefois, jusqu'à maintenant, l'opération de liage des torches formées sur des enrouleurs automa­tiques comportant deux tambours de support des torches montés sur un barillet et basculant alternativement entre une position d'enroulement et une position de déchargement n'avait pas encore pu être automatisée complètement dans des conditions permettant d'adapter facilement l'installation au liage de torches dont les dimensions de la section de torches sont différentes.

    [0003] Le but de la présente invention est de combler cette lacune.

    [0004] Dans ce but, la présente invention a pour pre­mier objet un procédé de liage d'une torche formée par enroulement d'un produit souple allongé sur un tambour divisé en secteurs, dans un enrouleur automatique, caractérisé en ce que l'on utilise une lieuse compor­ tant deux bras articulés de guidage d'un lien et ayant un point de liage mobile, on place cette lieuse dans une position telle que son point de liage se trouve sensiblement sur une ligne droite définie comme l'in­tersection d'un plan formant une face frontale de la torche et d'un plan contenant l'axe du tambour, et on déplace le point de liage de la lieuse selon cette droite en direction de l'axe.

    [0005] L'invention a également pour objet une installation de liage d'une torche permettant la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, comportant un enrouleur équipé de deux tambours et présentant une position d'arrêt dans laquelle un des tambours est en position de déchargement et l'autre en position d'enroulement, caractérisée en ce que chaque tambour comprend un assemblage de secteurs répartis à distance les uns des autres autour de l'axe du tambour, chaque secteur comportant un premier élément de flasque situé à une extrémité du fût et un second élément de flasque mobile en translation le long du fût, et en ce qu'une lieuse comportant des bras articulés de guidage d'un lien et un point de liage situé entre les bases des dits bras est placée à proximité de l'enrouleur, cette lieuse étant mobile en translation selon une droite comprise dans un plan défini par les dits premiers éléments de flasque, cette droite étant en outre orientée en direction de l'axe du tambour situé en position de déchargement.

    [0006] On va décrire maintenant à titre d'exemple et en se référant au dessin annexé une forme d'exécution de l'installation selon l'invention.

    La fig. 1 est une vue en élévation, schéma­tique et à petite échelle, de l'ensemble de l'installa­tion,

    la fig. 2 est une vue en plan également à petite échelle de l'installation de la fig. 1,

    les fig. 3 et 4 sont des vues respectivement en plan de dessus partiellement coupées et en perspec­tives, partielles et à plus grande échelle montrant un détail de la lieuse représentée aux fig. 1 et 2,

    les fig. 5, 6 et 7 sont des vues en plan de dessus schématiques à une échelle plus grande que celle des fig. 1 et 2 montrant les positions relatives de l'enrouleur et de la lieuse dans trois conditions de fonctionnement différentes de l'installation, et

    la fig. 8 est une vue en perspective d'une torche liée.



    [0007] L'installation qui est représentée aux fig. 1 et 2 est destinée à former automatiquement des torches à partir d'un produit souple 1 qui provient d'une ligne de fabrication dont il n'est pas nécessaire de décrire les détails ici. Ce produit souple est guidé par un dispositif de trancannage 2 qu'il n'est pas non plus nécessaire de décrire en détail et au moment où une torche est terminée, il se trouve enroulé sur un tambour 3 qui se trouve en position de déchargement. Ce tambour est monté sur un barillet 4 et fait pendant à un autre tambour 5 qui lui se trouve alors en position d'enroulement. On comprend que, par un moyen non décrit ici, le produit souple 1, par exemple un tuyau en matière plastique, va être sectionné sur le tambour 5, l'extrémité du nouveau brin étant alors fixée au tambour 5 de sorte que l'enroulement d'une nouvelle torche commence sur ce tambour. Le tambour 3 doit alors être arrêté et la torche terminée 6 doit être liée, ceci au moyen d'une machine désignée de façon générale par 7 et qui se trouve au voisinage du tambour en position de déchargement. Cette machine 7 comporte de façon générale un socle 8 fixe à l'intérieur duquel est logé un tambour 9 supportant le lien qui servira à lier la torche 6. Sur ce socle est monté la lieuse proprement dite qui comporte un support 10 des bras articulés 11 et 12 ainsi qu'un dispositif de liage 13. D'autre part, pour comprendre le fonctionnement de la machine et le déroulement du procédé, il faut considérer que chacun des deux tambours 3 et 5 de l'enrouleur, dont le socle 14 supporte rotativement le barillet 4 est constitué d'une série de secteurs 15 comportant chacun un élément de flasque pivotant 16 et un élément de flasque 17 qui est mobile axialement sur l'élément de fût 18 correspondant au secteur 15. Les secteurs de tambour 15 sont portés par une étoile rotative 19 et sont ajustables radialement sur cette pièce, ce qui permet de régler à volonté le diamètre intérieur de la torche. D'autre part, la possibilité de déplacement des secteurs 17 parallèlement à eux-mêmes le long du fût permet de régler à volonté la largeur de la torche que l'on désire réaliser, alors que la possibilité de faire pivoter les éléments de flasque 16 sur l'extrémité du secteur de fût permet d'ouvrir le tambour pour assurer le déchargement de la torche.

    [0008] Selon la fig. 1, le support 10 des bras pivotants 11 et 12 est monté dans une coulisse sur le socle 8, de sorte que ce support peut être déplacé radialement, c.à.d. dans une direction qui est située dans un plan horizontal à la hauteur de l'axe du tambour 3 en position de déchargement. Dans la position de retrait représenté à la fig. 1, le support 10 est placé de telle façon que les bras 11 et 12 se trouvent entièrement à l'extérieur des flasques 16 et 17. En revanche, une fois que le tambour 3 situé en position de déchargement a été arrêté dans une orientation telle que l'espace entre deux secteurs 15 se trouve dans le plan horizontal au niveau de l'axe, on peut, en déplaçant le support 10 sur le socle 8 amener les bras pivotant 11 et 12 à s'engager entre deux secteurs 15 jusqu'à une distance de l'axe qui est inférieure au rayon sur lequel s'étend l'élément de fût 18. C'est ce que représente la fig. 2. On comprend donc qu'il est possible que lors de ce mouvement les bras pivotant 11 et 12 embrassent la torche terminée et que d'autre part un lien entraîné par des galets et guidé le long de la face interne des deux bras 11 et 12 parcourt un chemin tel qu'il entoure complètement la section de la torche.

    [0009] L'agencement qui permet ce déplacement est représenté plus en détail aux fig. 3 et 4. A la fig. 3, on voit tout d'abord une partie de la tête de liage 13. D'autre part, sur une partie proéminente du support 10 on voit les moyens qui sont prévus pour amener un lien 20 à se déplacer le long des bras pivotants et en particulier du bras 12 dont l'embase est visible à cette fig. 3. Le lien 20 est conduit de façon à passer entre deux galet 21 et 22. Le galet 21 est monté selon un axe fixe sur le support 10. Il est entraîné par un moteur et entraîne par deux engrenages le galet 22 qui est monté sur un levier de support 23 pivotant en 24 sur le support 10 et sollicité par un ressort 25 réglable au moyen d'une vis 26 sur une butée 27. Le lien 20 est conduit de façon à passer entre les deux galets 21 et 22, puis autour du galet 22 et dirigé ensuite le long de la façe frontale de la tête de liage 13. Après avoir passé devant l'élément 29 qui joue un rôle particulier comme on l'expliquera plus loin, le lien 20 pénètre dans une coulisse de guidage 28. Cette dernière a la forme visible à la fig. 4. Elle est constituée d'une enveloppe souple présentant une fente à sa partie médiane. Cette coulisse recouvre l'extrémité gauche de la tête de liage 13 à la fig. 3, ainsi que les faces internes des deux bras pivotants 11 et 12. On comprend que l'extrémité du lien étant poussée par les galets 21 et 22 dans la coulisse 28, elle va suivre progressivement toute la longueur de la face interne du bras 11 puis celle du bras 12 et décrire ainsi une boucle fermée, l'extrémité arrivant finalement devant le moyen de blocage 29. A cet endroit cette extrémité peut être bloquée, par exemple par un élément magnétique ou par tout autre moyen de fixation temporaire. Si ensuite on entraîne les galets 21 et 22 dans le sens inverse à celui de l'enroulement du lien autour de la torche, l'extrémité du lien restant fixée à l'élément 29, alors le lien est sollicité de façon à se dégager de la coulisse 28 en soulevant les deux languettes opposées de cette coulisse. C'est ce qui permet le serrage de la torche et finalement la fixation du lien.

    [0010] Ces deux dernières opérations sont décrites maintenant en se référant aux fig. 5, 6 et 7. A la fig. 5 on voit la lieuse 7 avec son support 10, les deux galets 21 et 22 et les deux bras pivotant 12 et 11 en position d'engagement sur un secteur 15 monté sur l'étoile 19 à une distance de l'axe du tambour qui correspond au diamètre maximum de la torche. De plus, le flasque mobile en translation 17 se trouve dans la position la plus écartée possible du flasque pivotant 16 et cette position permet de réaliser la torche susceptible de contenir la plus grande longueur de tube 1 possible. Lorsque le lien a été amené dans la position représentée à cette figure, le moteur d'entraînement des galets 21 et 22 est donc arrêté puis réenclenché dans le sens inverse après que le segment 29 a été commandé de façon à fixer l'extrémité du lien. En même temps, la tête de liage 13, qui détermine le point de liage, est déplacée par rapport au socle 8 (non représenté à la fig. 5) et au support 10 de façon que le point de liage se trouve sur la surface cylindrique externe de la torche au voisinage immédiat de la paroi frontale limitée par le flasque 16. On comprend que ceci permet de serrer le lien autour de la torche et d'exécuter automatiquement au moyen de la tête 13, la fixation des deux extrémités du lien et le coupage du lien au droit de la boucle ainsi formée. Cette opération étant effectuée le support 10 et la tête 13 peuvent être ramenés en arrière de façon à permettre la rotation du tambour d'un angle correspondant à la largeur angulaire des secteurs 15, de sorte qu'un nouvel espace situé entre deux secteurs se trouve dans le plan horizontal en regard de la lieuse. L'opération de liage peut alors recommencer et être répétée de manière à placer un lien dans chacun des espaces entre deux secteurs 15. On peut aussi se contenter de lier la torche au moyen d'une ou deux ou trois boucles 31 (fig. 8) le nombre maximum corres­pondant au nombre d'intervalles entres les secteurs du tambour.

    [0011] Si maintenant la torche que l'on désire fabriquer a le même diamètre qu'avec la disposition de la fig. 5, mais une largeur axiale réduite, les opérations à effectuer découlent de ce que l'on voit à la fig. 6. Le flasque coulissant 17 a été déplacé par rapport à l'élément de fût 18 du secteur 15. La tête 13 et l'élément 29 peuvent encore être déplacés radiale­ment en direction de l'axe jusqu'au moment où la tête de liage 13 se trouve appliquée contre la face cylin­drique externe de la torche à proximité immédiate flasque 16. Il est donc possible de lier une torche de largeur et de diamètre minimale après un réajustage du point de liage qui peut être programmé.

    [0012] Finalement la fig. 7 montre les positions relatives du support 10 de la tête 13 et de l'élément 29 par rapport à l'axe du tambour dans le cas où, les secteurs 15 sont placés à une distance de l'axe qui est minimale. On se rend compte ainsi que l'ensemble des réglages nécessaires pour adapter la machine à une torche de section quelconque se réduit à des réglages effectués selon une même ligne droite définie comme l'intersection de deux plans qui sont d'une part le plan perpendiculaire à l'axe du tambour et définissant la face frontale de la torche voisine des éléments de flasque 16, et d'autre part le plan horizontal passant par l'axe du tambour. Tous les réglages peuvent être effectués en déplaçant soit le support des bras pivotants soit la tête de liage dans cette direction.

    [0013] On notera encore que, pour assurer automa­tiquement le serrage du lien sur la torche quelle que soit sa section, une seule opération est nécessaire: avant de commencer l'opération de liage proprement dite sur une torche ou sur une série de torches de même section, on commence par mesurer le périmètre de sa section. Pour cela, le lien 20 (fig. 3) est avancé dans la coulisse 28 de façon à parcourir la face interne de l'ensemble des deux bras 11 et 12, et durant cette opération le nombre de tours du galet 21 est compté dans un dispositif électronique adéquat. Lorsque l'extrémité du lien est arrivée devant l'élément de fixation 29, le moteur est arrêté puis réenclenché dans le sens inverse une fois que l'extrémité du lien a été fixée à l'élément 29, le nombre de tours effectués dans le sens inverse par le moteur 21 étant également strictement compté. Ainsi il est possible de mémoriser les deux longueurs de déplacement du lien 20 permettant d'une part de fermer la boucle sur elle-même et d'autre part de diminuer sa longueur de manière qu'elle soit tendue sur la section de la torche. Ces deux valeurs étant mises en mémoire, l'ensemble de l'opération de liage peut s'effectuer automatiquement.


    Revendications

    1. Procédé de liage d'une torche formée par en­roulement d'un produit souple allongé sur un tambour divisé en secteurs, dans un enrouleur automatique, caractérisé en ce que l'on utilise une lieuse comportant deux bras articulés de guidage d'un lien et ayant un point de liage mobile, on place cette lieuse dans une position telle que son point de liage se trouve sensiblement sur une ligne droite définie comme l'intersection d'un plan formant une face frontale de la torche et d'un plan contenant l'axe du tambour, et on déplace le point de liage de la lieuse selon cette droite en direction de l'axe.
     
    2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que pour ajuster la lieuse à des torches ayant des diamètres intérieurs différents on déplace le support des bras articulés dans la direction de la dite ligne droite.
     
    3. Procédé selon la revendication 1 ou la revendication 2 appliqué à un enrouleur dont les tambours ont un flasque placé dans une position axiale fixe et un flasque mobile axialement en translation pour permettre d'ajuster la largeur des torches, caractérisé en ce que l'on place la lieuse de manière que son point de liage soit à la même distance du plan de la face frontale de la torche définie par le flasque placé dans une position axiale fixe quelle que soit la largeur de la torche.
     
    4. Installation de liage d'une torche permettant la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, comportant un enrouleur équipé de deux tambours et présentant une position d'arrêt dans laquelle un des tambours est en position de déchargement et l'autre en position d'enroulement, caractérisée en ce que chaque tambour comprend un assemblage de secteurs répartis à distance les uns des autres autour de l'axe du tambour, chaque secteur comportant un premier élément de flasque situé à une extrémité du fût et un second élément de flasque mobile en translation le long du fût, et en ce qu'une lieuse comportant des bras articulés de guidage d'un lien et un point de liage situé entre les bases des dits bras est placée à proximité de l'enrouleur, cette lieuse étant mobile en translation selon une droite comprise dans un plan défini par les dits premiers éléments de flasque, cette droite étant en outre orientée en direction de l'axe du tambour situé en position de déchargement.
     
    5. Installation selon la revendication 4, caractérisée en ce que les bras pivotants sont agencés de manière à s'engager entre deux secteurs du tambour arréeté en position de déchargement.
     
    6. Installation selon la revendication 5, carac­térisée en ce que la lieuse comporte un premier équipage mobile comprenant des moyens de liage, un second équipage mobile comprenant un support des bras pivotants et un moyen d'entraînement et de commande capable de déplacer les dits équipages indépendemment l'un de l'autre selon un programme capable de réaliser automatiquement le liage d'une torche à plusieurs emplacements répartis sur son pourtour, ces emplacements étant espacés angulairement les uns des autres d'angles égaux à des multiples entiers de l'angle d'un secteur de tambour.
     
    7. Installation selon la revendication 5, caractérisée en ce que la lieuse comporte sur chacun des bras une coulisse de guidage et sur le support des bras un galet d'entraînement du lien et un galet de pression porté par un levier sollicité par un ressort, le lien passant entre les deux galets et ces derniers étant agencés de manière que le lien puisse être entraîné dans un sens pour son enroulement autour de la torche, et dans l'autre sens pour son serrage sur la torche, l'extrémité du lien étant alors fixée au point de liage et ce dernier étant déterminé par une tête de liage qui vient en contact avec la surface cylindrique latérale de la torche, alors que les galets sont entraînés dans le sens du serrage et que le pincement du lien entre les galets est augmenté par la force de traction s'exerçant sur le lien.
     
    8. Installation selon les revendications 6 et 7, caractérisée en ce qu'un des galets est associé à un compte-tours et en ce que les moyens de commande com­portent des moyens pour compter la longueur du chemin effectué par l'extrémité du lien dans la coulisse lors de chaque opération de liage, pour comparer ce comptage à une longueur de consigne qui a été mesurée dans une manoeuvre d'ajustage effectuée au préalable, pour faire tourner le galet d'entraînement dans le sens du serrage selon un nombre de tours prédéterminés en faisant avancer la tête de liage, pour interrompre le mouvement de recul après un comptage prédéterminé correspondant au fait que le lien est tendu sur la torche, et pour commander alors l'opération de liage proprement dite.
     




    Dessins













    Rapport de recherche