(19)
(11) EP 0 231 718 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
12.08.1987  Bulletin  1987/33

(21) Numéro de dépôt: 86450027.7

(22) Date de dépôt:  29.12.1986
(51) Int. Cl.4A61G 5/00
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES FR GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 30.12.1985 FR 8519574

(71) Demandeur: Arnas, Joseph
F-31320 Castanet (FR)

(72) Inventeur:
  • Arnas, Joseph
    F-31320 Castanet (FR)

(74) Mandataire: Ravina, Bernard 
Cabinet Bernard RAVINA 24, boulevard Riquet
31000 Toulouse
31000 Toulouse (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Fauteuil roulant pliant et élévateur


    (57) Le fauteuil roulant, pliant et élévateur est du type comprenant un châssis (1) doté d'organes de roulement, le dit châssis (1) étant pliant en sorte de rapprocher les uns des autres les organes de roulement latéraux par réduction de leur écartement.
    Le fauteuil comporte une structure élévatrice (2) articulée au châssis (1) et constituée de deux parallélogrammes déformables, entre lesquels est monté le siège et qui sont mobi­les d'une position dite assise sensiblement horizontale à une position dite debout sensiblement verticale.
    Le fauteuil est doté entre les éléments laté­raux du châssis (1) d'un compas axial à une branche inférieure fixe (6) duquel sont reliés de manière articulée et repliable les élé­ments du châssis (1) roulant et à l'autre branche (22) duquel la dite branche (22) étant articulée et mobile, sont reliés de manière articulée les parallélogrammes déformables de la structure élé­vatrice (2), au moyen d'une traverse (16) à pliage central avec verrou (21) qui commande le pliage ou le blocage en ouverture de la structure élévatrice (2) et du châssis (1) roulant, un vérin à gaz (24) à action com­mandée étant disposé entre les branches (6, 22) du compas.




    Description


    [0001] La présente invention concerne un fauteuil roulant pliant et élé­vateur pour handicapé.

    [0002] Il est connu de réaliser des fauteuils roulants capables d'être repliés par rapprochement des organes de roulement latéraux par rapport à l'axe médian du siège pour réduire leur encombrement. On a depuis de nombreuses années adjoint à ce type de fauteuils roulants ainsi qu'aux fauteuils roulants non pliants une fonction élévatrice.
    Cette fonction élévatrice permet de faire passer l'utilisateur, handicapé physique, d'une position assise à une position debout, verticale ou sensiblement verticale.
    C'est un progrès important au niveau du mode de vie des handica­pés et de ses conséquences sur leur santé physique et psychique.

    [0003] C'est ainsi que la demande de brevet européen 83.420190.7/0146660 (International Diffusion Consommateur) décrit un dispositif élé­vateur pour fauteuil roulant.
    Ce dispositif élévateur comprend deux ensembles élévateurs dispo­sés de part et d'autre du siège, pliant ou non, constitué respec­tivement par un parallélogramme déformable articulé.
    L'extension ou le repliement de chaque parallélogramme est com­mandé par un système de levier à blocage géométrique en position qui libère l'ensemble pliant et permet son expansion sous l'ac­tion d'un ressort à gaz ou sa rétraction et son blocage en posi­tion replié.

    [0004] Il est nécessaire, selon ce brevet, à l'utilisateur de manoeuvrer deux leviers à blocage géométrique, ce qui, d'une part, nécessite une certaine force physique et d'autre part, interdit l'usage autonome aux personnes qui ne disposent que d'un seul bras. D'autre part, selon ce brevet, le maintien de l'utilisateur en positions intermédiaires, entre la position assise et la position verticale, positions où la structure élévatrice est bloquée, nécessite de la part de celui-ci un effort, pas toujours possi­ble, sur les leviers pour contrarier l'action du ressort à gaz.

    [0005] De même, le brevet CH 608.186 (VALUTEC Ag) décrit un fauteuil roulant pliant et élévateur.
    Ce fauteuil est constitué par deux ensembles formant châssis roulant, maintenus à l'écartement par un ensemble de biellettes articulées.
    Chaque ensemble est doté d'un élément de structure élévatrice, constitué par un parallélogramme déformable articulé.
    Le passage de la position horizontale, assise, à la position ver­ticale debout est commandé par un moteur électrique.
    Le fauteuil décrit dans ce brevet est particulièrement lourd, ce qui est contraire au but recherché qui est d'assurer un maximum d'autonomie et de liberté de mouvement à des handicapés dépourvus de force physique.

    [0006] Un autre inconvénient des fauteuils de type connu tels que dé­crits par les brevets cités, est qu'ils présentent deux systèmes de pliage indépendants, un pour le châssis roulant et un pour la structure élévatrice.
    Cela oblige l'utilisateur à une double manoeuvre.

    [0007] L'invention vise à obvier aux inconvénients ci-dessus en réali­sant un fauteuil roulant, pliant et élévateur, qui soit léger, facile à manipuler, qui autorise sans effort de l'utilisateur des positions intermédiaires entre la position assise et la position debout (verticale) et dont le pliage ou le dépliage soit simpli­fié.
    A cet effet, le fauteuil roulant, pliant et élévateur selon la présente invention est du type comprenant un châssis doté d'or­ganes de roulement, le dit châssis étant pliant suivant l'axe du siège, et doté d'une structure élévatrice articulée au châs­sis et constituée de deux parallélogrammes déformables, sur et entre lesquels est monté la siège et qui sont mobiles d'une posi­tion dite assise, sensiblement horizontale, à une position dite debout, sensiblement verticale.

    [0008] Le fauteuil selon l'invention est doté entre les éléments longi­tudinaux du châssis roulant d'un compas axial à une branche inférieure fixe duquel sont reliés de manière articulée et rep­liable les éléments du châssis roulant et à l'autre branche duquel, la dite branche étant articulée à la précédente et mobile selon un mouvement de monte-baisse, sont reliés de manière arti­culée les parallélogrammes déformables de la structure élévatrice au moyen d'une traverse à pliage central avec verrou qui commande l'ouverture ou le pliage du châssis, un vérin à gaz commandé par un levier étant disposé entre les branches du compas.

    [0009] D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaî­tront à la lecture de la description ci-après d'une forme de réa­lisation de l'invention donnée à titre d'exemple non limitatif et illustrée par les dessins joints dans lesquels :

    - la figure 1 est une vue latérale du fauteuil selon l'invention représenté en position repliée dite assise,

    - la figure 2 est une vue latérale du fauteuil selon l'invention représenté en position d'élévation,

    - la figure 3 est une vue du fauteuil selon l'invention en posi­tion élévation (vue de l'arrière),

    - la figure 4 est une vue des moyens d'actionnement du ressort à gaz.

    - la figure 5 est une vue de face du châssis roulant suivant une autre forme de réalisation du fauteuil selon l'invention.



    [0010] Tel que représenté aux dessins annexés, le fauteuil roulant, pliant et élévateur selon l'invention, comprend un châssis rou­lant désigné par la référence générique 1 et une structure élé­vatrice désignée par la référence générique 2.

    [0011] Le châssis roulant est constitué de deux cadres 3 parallèles de forme rectangle dotés respectivement d'une roue motrice et d'une roue directionnelle.
    Chaque cadre est relié par deux traverses, une avant 4 et une arrière 5 à la branche inférieure 6 d'un compas central et axial au châssis et au siège.
    La branche inférieure 6 est fixe en position.

    [0012] Les traverses 4/4 et 5/5 sont montées articulées pour permettre le repliement du châssis par rapprochement des cadres 3 vers la branche 6 fixe du compas central formant poutre.
    Chacune de ces traverses 4/5 est de conformation rectangle ou trapézoïdale avec chape d'articulation sur les montants du ca­dre correspondant et sur la branche fixe inférieure 6 du compas.

    [0013] Selon une forme de réalisation de l'invention représentée à la figure 5, chacun des cadres 3 du châssis roulant est monté oscillant.
    A cet effet, sur la poutre centrale 6 du compas sont disposées, à chacune de ses extrémités des chapes 6A articulées à la poutre 6 et dans lesquelles sont montées les biellettes 4-5 qui sont éga­lement fixées de manière articulées au cadre 3 du châssis cor­respondant.

    [0014] Sur chaque cadre 3 est monté en articulation un parallélogramme déformable constituant élément de la structure élévatrice 2. Chaque parallélogramme est constitué (figure 1) d'un montant su­périeur horizontal 7 articulé en 8 sur le montant frontal verti­cal du cadre 3 et d'un montant inférieur 9 articulé en 10 sur le montant horizontal 11 du cadre 3 en arrière du point d'articula­tion 8 précédemment décrit.
    Les montants 7 et 9 du parallélogramme déformable sont reliés par une biellette arrière 12 articulée à l'un et à l'autre.

    [0015] La biellette 12 est constituée par une plaque métallique sensi­blement en forme de losange, qui se prolonge au-dessus du point d'articulation du montant 7 autour duquel elle fait un mouvement de rotation.
    Elle se prolonge au-dessus du dit point d'articulation pour ser­vir de base de fixation articulée du montant 13 du dossier.
    La dite biellette est dotée à l'arrière du point d'articulation sur le montant 7 du parallélogramme déformable d'une chape de fixation d'une traverse pliante horizontale qui réunit les paral­lélogrammes déformables de la structure élévatrice et sera décri­te plus loin.

    [0016] Le montant 13 du dossier est doté d'un accoudoir 14 monté sur une articulation et relié à l'arrière de son point d'articulation par une chainette 15 représentée en trait discontinu fixée, soit dans le prolongement du montant 7, soit dans le prolongement du mon­tant 9 en sorte que l'accoudoir soit soumis à inclinaison ou soit maintenu en position perpendiculaire au dossier lors de l'éléva­tion.

    [0017] Une toile tendue entre les parallélogrammes déformables constitue le siège et une autre toile est tendue entre les montants du dos­sier.

    [0018] La traverse pliante horizontale qui réunit les parallélogrammes déformables à l'arrière au niveau des biellettes 12 dans les cha­pes desquelles elle est fixée, est constituée de deux tronçons 16 et 17 fixés chacun de manière articulée dans l'une des chapes de la biellette 12 correspondante et également fixés de manière articulée dans une chape 18 d'une platine de jonction 19 avec poignée 20 de manoeuvre.

    [0019] La platine de jonction 19 est dotée d'un montant horizontal 20A sur lequel s'alignent les tronçons 16/17 du blocage de la traver­se.
    Elle est également dotée d'un verrou mobile 21 constituée par une lame articulée à la platine entre les points d'articulation des tronçons 16/17 et qui, lors de leur alignement entre eux et avec le montant 20 formant épaulement, recouvre les dits tronçons 16, 17 et le montant 20 en empêchant leur écartement.

    [0020] La platine 19 est dotée d'une chape inférieure 21A à laquelle est fixée de manière articulée la branche supérieure 22 du compas central reliée à la branche inférieure 6 du dit compas, la dite branche 6 constituant une poutre axiale.

    [0021] La branche 6 présente une portion horizontale et une portion frontale 23 vericale à l'extrémité de laquelle est articulée la branche 22.
    Entre l'extrémité arrière de la branche 22 et l'extrémité avant de la branche 6 est monté de manière articulé un ressort à gaz 24.
    Le ressort à gaz est monté articulé sur l'extrémité arrière de la branche 22 du compas axial et il est monté articulé sur la branche inférieure 6 à la jonction de sa portion horizontale et de sa portion frontale verticale 23.

    [0022] A cet effet, une came 25 à deux branches est articulée en son centre 26 sur la poutre du compas.
    Sa branche supérieure de la came reçoit l'extrémité du ressort à gaz et sa branche inférieure est bloquée en position sur la pou­tre 6 autour du point d'articulation.
    Le blocage en position de la came 25 s'effectue par un goupille traversant sa branche inférieure et venant se loger dans un des orifices 27 ménagés suivant un arc de cercle sur la poutre 6. Cette disposition réalise un réglage du point d'action du ressort à gaz pour l'adapter au poids de l'utilisateur.

    [0023] Selon la forme de réalisation de l'invention représentée aux des­sins, un ressort à gaz complémentaire 28 est monté entre la pou­tre 6 et la branche 22 du compas.
    La commande des ressorts à gaz, principale et éventuellement secondaire, s'effectue au moyen d'un des deux leviers 29 montés latéralement au châssis 3.
    Les leviers 29 sont portés dans une douille 30 inclinée avec laquelle ils coopèrent par un système d'encliquetage permettant, soit de les escamoter (figure 1), soit de les mettre en position opératoire (figure 2).
    Seul, un des leviers commande le ressort à gaz, l'autre étant utilisé comme point d'appui.
    Le levier 29 commandant le ressort à gaz est monté sur une pièce 30 reliée par un axe de rotation au châssis 3.

    [0024] L'extrémité de la pièce 30 reçoit une chainette 31 qui tourne 90° autour d'une roue 32.
    La chainette 31 est reliée à une pièce basculeur 33 montée mobile sur la chape recevant le ressort à gaz et qui actionne le clapet de celui-ci par une poussée vers l'arrière du levier 29 ou vers l'avant, ce qui commande la fonction élévation ou le repliement en position assise.
    Ainsi, pour se lever, l'invalide exerce une traction sur les leviers 29 et une poussée pour s'asseoir.

    [0025] Le fauteuil selon l'invention est doté en partie frontale d'un système de repose-pied articulé en sorte que les repose-pied soient au-dessus du niveau du sol lors de la position assise et viennent en appui sur le sol lors de l'élévation, ce qui confère une stabilité accrue et une plus grande sécurité à l'utilisateur.

    [0026] Le système de repose-pied est constitué par une plate-forme repo­se-pied 34 monté sur un support 35.
    Le support 35 est fixé de manière verrouillable ou déverrouillab­ le pour permettre son enlèvement ou sa rotation vers l'axe du châssis ou en écartement du dit axe sur une pièce 36 basculan­te.

    [0027] La pièce 36 est une chape qui enserre le montant frontal vertical du châssis 3 et qui est montée fixe sur une tige 37 inclinée et articulée au montant inférieur du châssis 3 sensiblement en son centre. La pièce basculante 36 est reliée par une tringle 38 à l'extrémité du montant inférieur 9 du parallélogramme déformable correspondant.
    La longueur de la tringle 38 dotée à cet effet d'un pas de vis, est réglable pour régler l'amplitude du basculement du système de cale-pieds.

    [0028] Lors de la fonction élévation, la pièce 36 bascule vers l'avant, ce qui amène les cale-pieds vers le sol et en appui sur celui-ci. Lors du retour à la position assise, la pièce 36 bascule vers l'arrière, ce qui relève les cale-pieds.

    [0029] La plate-forme 34 de l'un au moins des cale-pieds est dotée d'une butée inférieure 39 avec pas de vis de réglage et patin élastique d'appui au sol.
    Les plates-formes 34 des cale-pieds sont montées basculantes vers le haut pour les escamoter et sont dotées de moyens permettant de les solidariser dans le même plan.
    Ces moyens sont constitués par un pion 40 d'une des plates-formes sur lequel s'emboite un cavalier 42 de l'autre plate-forme.

    [0030] La structure élévatrice est dotée de manière connue de sangles de maintien au niveau du buste et des genoux de l'utilisateur.

    [0031] Le passage de la fonction assise à la fonction élévation et inversement s'effectue sans effort particulier de l'utilisateur par actionnement du levier qui commande le ressort à gaz. Au repos, la structure élévatrice est en appui sur le châssis. Son élévation maximum est limitée par la course du ressort à gaz.

    [0032] Le repliement de l'ensemble du fauteuil s'effectue après libéra­tion du verrou par repliement de la traverse horizontale arrière, ce qui entraine par rapprochement des cadres 3 du châssis, le repliement des biellettes 4/5 vers la poutre centrale 6. Le fauteuil selon l'invention présente l'avantage d'être facile à manipuler et léger.

    [0033] Il va de soi que la présente invention peut recevoir des aménage­ments et des variantes dans le domaine des équivalents techni­ques.


    Revendications

    R1/ Fauteuil roulant, pliant et élévateur constitué d'un châs­sis (1) doté d'organes de roulement et pliant sur lequel est articulée une structure élévatrice (2) constituée de deux parallélogrammes déformables entre lesquels est monté le siè­ge et qui sont mobiles sous l'action d'un organe moteur d'une position dite assise sensiblement horizontale à une position dite debout sensiblement verticale caractérisé en ce qu'il est doté d'un compas axial à une branche inférieure (6) fixe duquel sont reliés de manière articulée et repliable les élé­ments du châssis roulant (1) et à l'autre branche mobile (22) duquel sont reliés de manière articulée les parallélog­rammes déformables de la structure élévatrice.
     
    R2/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que les parallélogrammes déformables de la structure éléva­trice sont reliés à la branche (22) mobile du compas par une traverse (16) à pliage central avec verrou (21) qui commande le pliage ou le blocage en ouverture de la structure éléva­trice et du châssis roulant.
     
    R3/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que l'organe moteur est un organe mobile (28) en extension ou rétraction disposé entre la branche (6) fixe et la branche (22) mobile du compas.
     
    R4/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 et la revendication 2 caractérisé en ce que la traverse (16) est constituée de deux tronçons (16), (17) montés articulés sur une platine (19) pourvue d'un verrou (21) de maintien de l'alignement des tronçons (16), (17) et d'une chape inférieure d'articulation de la branche supérieure (22) mobile du compas.
     
    R5/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que à la structure élévatrice (2) est adjoint un système de cale-pieds (34), (35) articulé et mobile qui s'abaisse jusqu'au contact avec le sol lors de l'élévation.
     
    R6/ Fauteuil roulant selon la revendication précédente caractéri­sé en ce que le système de cale-pieds est relié à une pièce (36) basculante commandée par une bielle (38) relié au paral­lélogramme déformable correspondant.
     
    R7/ Fauteuil roulant selon la revendication 5 et la revendication 6 caractérisé en ce que l'amplitude du basculement de la piè­ce (36) est réglable.
     
    R8/ Fauteuil roulant selon la revendication 5 caractérisé en ce que la plate-forme (34) d'un des cale-pieds est dotée d'une butée (39) réglable d'appui au sol.
     
    R9/ Fauteuil roulant selon la revendication 5 caractérisé en ce que le support (35) de chaque plate-forme (34) est monté rotatif et amovible sur la pièce (36).
     
    R10/ Fauteuil roulant selon la revendication 5 caractérisé en ce que les plates-formes (34) sont dotées de moyens permettant de les solidariser l'une à l'autre.
     
    R11/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que le point d'application de la poussée du ressort à gaz (24) sur la branche fixe (6) du compas central est réglable.
     
    R12/ Fauteuil roulant selon la revendication précédente caracté­risé en ce que le ressort à gaz (24) est relié à la branche (6) du compas central par une came articulée à la dite branche (6) et bloquée à une position déterminée par coopé­ration d'une goupille dans un des orifices (27) de la bran­che (6), en fonction du poids de l'utilisateur.
     
    R13/ Fauteuil roulant selon la revendication 1 caractérisé en ce que chaque cadre (3) du châssis est pourvu d'un levier (29) escamotable.
     
    R14/ Fauteuil roulant selon la revendication précédente caracté­risé en ce qu'un des deux leviers est monté sur une pièce articulée et qu'il commande par une liaison l'ouverture du clapet du ressort à gaz.
     
    R15/ Fauteuil selon la revendication 1 doté d'un dossier ménagé entre deux montants (13) pourvus chacun d'un accoudoir (14, caractéris en ce que l'accoudoir (14) est monté par une articulation solidaire du montant (13) et reliée à l'arrière de son point d'articulation par une chainette (15) fixée, soit dans le prolongement du montant (7), soit dans le pro­longement du montant (9) en sorte que l'accoudoir (14) soit soumis à l'inclinaison ou soit maintenu en position perpen­diculaire au dossier lors de l'élévation.
     




    Dessins
















    Rapport de recherche