[0001] L'invention concerne un interrupteur de position comprenant dans un boîtier :
- un poussoir de commande isolant ;
- un pont de contact mobile entre une position de repos dans laquelle il s'appuie
sur deux contacts fixes et une position de travail dans laquelle il est écarté de
ces deux contacts, le pont de contact étant déplaçable brusquement entre les deux
positions précitées sous l'effet de moyens élastiques bistables agissant entre le
poussoir isolant et une cage portant le pont de contact ;
- tandis qu'un levier d'ouverture, destiné à casser des soudures éventuelles entre
le pont de contact et les contacts fixes, et apte à pivoter autour d'un axe sensiblement
parallèle au pont de contact, est mis en mouvement par le poussoir lorsque ce dernier
atteint une position particulière de façon à faire coopérer, dans le sens de la séparation
entre pont de contact et contacts fixes, l'une des extrémités de ce levier avec une
région centrale du pont de contact.
[0002] Par interrupteur de position, on désigne un interrupteur du genre détecteur de fin
de course ou plus généralement sensible à la position d'un mobile.
[0003] De tels interrupteurs, qui trouvent de nombreuses applications dans les installations
nécessitant une garantie de l'ouverture d'un pont de contact qui s'est éventuellement
soudé avec les contacts fixes à la suite par exemple d'un court-circuit accidentel,
peuvent être illustrés par le brevet français 2 241 132, où un pont de contact unique
fait l'objet du déplacement brusque mentionné ci-dessus ; dans cet interrupteur connu,
le levier d'ouverture forcée est porté par un pivot du poussoir autour duquel il peut
basculer, et rencontre, avant que cette position particulière soit atteinte, une surface
inclinée appartenant au boîtier de façon à transformer son mouvement de translation
en mouvement de rotation ; l'angle de rotation effectué par le levier est ici relativement
réduit, et celui-ci doit avoir une propriété d'amplification de mouvement qui augmente
l'amplitude des forces excédentaires devant être appliquées au poussoir pour opérer
l'ouverture forcée et augmente dans une même proportion les inévitables tolérances
géométriques résultant de la rencontre d'une pièce mobile avec une rampe inclinée
fixe.
[0004] L'invention se propose de modifier cet appareil connu pour conférer au levier d'ouverture
forcée une meilleure précision de mouvement et diminuer les forces excédentaires nécessaires
à l'exécution de cette séparation forcée, tout en bénéficiant d'une localisation du
levier permettant de lui donner des dimensions relativement importantes et donc une
relativement bonne précision.
[0005] Selon l'invention, le but visé est atteint grâce au fait que ce levier est monté
à pivotement dans un palier placé dans une région fixe du boîtier qui est voisine
d'un plan passant sensiblement par les surfaces des contacts fixes, et présente d'une
part une première extrémité qui est accouplée au poussoir de façon à accompagner le
mouvement de celui-ci pendant toute sa course, et comporte d'autre part une seconde
extrémité qui se déplace en regard du pont de contact sans multiplication sensible
du mouvement.
[0006] On connaît déjà des interrupteurs à ouverture forcée du pont de contact dans lesquels
des premières extrémités de deux leviers, disposés de part et d'autre du poussoir,
retransmettent à celui-ci des efforts grâce à des poussées latérales communi quées
aux secondes extrémités ; dans ce dispositif connu, les volumes restreints dans lesquels
sont disposés les leviers, et par suite la taille réduite que ces derniers doivent
prendre, contribuent à une certaine fragilité des leviers et à une imprécision de
la position où le poussoir doit produire l'effet attendu.
[0007] L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description ci-dessous et à l'examen
des figures annexées, qui représentent :
- à la figure 1, une vue en perspective éclatée des principaux éléments qui déterminent
le fonctionnement de l'interrupteur, et à l'exclusion du boîtier qui les reçoit ;
- à la figure 2, une perspective éclatée locale d'un second mode de réalisation des
moyens d'accouplement entre un poussoir d'interrupteur et un levier d'ouverture forcée
;
- à la figure 3, une vue en coupe d'un dispositif élastique à compression bistable
pouvant être utilisé avec l'un des appareils selon les figures 1 ou 5 ;
- à la figure 4, une vue de côté de l'interrupteur, le boîtier étant coupé selon
un plan de symétrie PPʹ défini à la figure 2 ;
- à la figure 5, une vue en perspective éclatée d'une variante de réalisation de l'invention
; et
- à la figure 6, une vue de côté de l'interrupteur selon la figure 5, le boîtier
et la cage étant coupés selon le plan de symétrie PPʹ de cette figure.
[0008] Un interrupteur selon l'invention comporte dans un boîtier 31, représenté généralement
par des pointillés, un poussoir 1 dont une extrémité 32 traverse une ouverture supérieure
33 du boîtier 31 et qui reçoit d'un mobile extérieur des déplacements longitudinaux
de sens F et G et d'axe XXʹ qui l'aménent d'une position inactive I vers une position
active A, ou inversement en comprimant ou détendant un ressort de rappel 26 placé
entre un fond 34 du boîtier et l'extrémité opposée 35.
[0009] Des premiers organes d'appui transversaux tels que 2 qui sont portés par le poussoir
symétriquement par rapport à un plan central et longitudinal PPʹ du poussoir, transmettent
des compressions à des extrémités de dispositifs tels que 3 dont l'une des lignes
d'action est représentée en trait mixte ; ces dispositifs qui sont bien connus en
soi, et peuvent prendre des formes variées telles que le vérin à ressort illustré
à la figure 3, possèdent tous la propriété de se détendre brusquement en restituant
l'énergie qu'ils ont accumulée dans un ressort 84 au cours d'une compression instable
préalable. Les appuis 2 peuvent alors être constitués par des arêtes parallèles qui
reçoivent des encoches telles que 82 prévues à l'une des extrémités du dispositif
3 de façon que chaque appui 2 constitue un pivot pour le dispositif 3 associé.
[0010] Des seconds organes d'appui 4 tels que des arêtes parallèles, qui reçoivent des extrémités
opposées de ces dispositifs, et qui sont disposés symétriquement par rapport au plan
PPʹ, font partie d'un équipage isolant ou cage mobile 9 comportant une cloison 5 parallèle
à XXʹ et perpendiculaire au plan PPʹ et deux ailes parallèles 6, 7 perpendiculaires
à l'axe XXʹ ; ces ailes comportent des retours 8
a, 8
b dirigés l'un vers l'autre dans un même plan, qui forment des logements ouverts aptes
à recevoir chacun un pont de contact conducteur 10, respecti tivement 11. La cloison
5 est élargie pour porter les organes 4 sur sa face dorsale opposée aux ailes 6 et
7.
[0011] Chaque pont porte à ses extrémités des pastilles de contact qui sont dirigées à l'opposé
de l'autre pont. Les pastilles du pont 10 peuvent s'appuyer contre deux surfaces de
contact fixes placées dans un plan Q. Lorsque les pastilles du pont 10 sont écartées
du plan Q, les pastilles du pont 11 peuvent s'appuyer contre deux autres surfaces
de contact fixes, dont l'une est représentée avec la référence 90, placées dans un
plan R. Ces deux plans parallèles sont perpendiculaires à XXʹ.
[0012] Des pièces intermédiaires isolantes 12, 13 qui sont appliquées contre les ponts de
contact en sens F et G et qui sont guidées le long de la cage (par exemple le long
des rertours 8
a, 8
b), communiquent aux ponts des poussées de sens opposé développées par un même ressort
de compression 14 placé entre elles.
[0013] La cage mobile 9 peut se déplacer parallèlement à XXʹ dans un plan T, entre une
position inférieure stable de repos J et une position supérieure stable de travail
H. Grâce à la présence des dispositifs bistables 3 ces déplacements sont opérés brusquement
en sens G et F, lorsque le poussoir se déplace, même progressivement, en sens F et
respectivement G de la position I vers la position A et inversement ; dans le sens
F correspondant à l'enfoncement du poussoir à partir de la position repos, le déplacement
brusque se produit pour une position particulière E du poussoir.
[0014] Au terme de ces déplacements, les ponts de contact 11 et 10 sont appliqués contre
les contacts fixes pour des positions de repos J et respectivement de travail H de
la cage 9, qui sont elles-mêmes déterminées lorsque celle-ci rencontre des butées
fixes 28, respectivement 27 du boîtier 31.
[0015] Ainsi qu'on le voit sur la figure 1, la course d₃ du poussoir est supérieure à la
course d₂ de la cage.
[0016] On notera par ailleurs que l'amplitude des déplacements d₂ de la cage, ainsi que
les distances plus faibles d₁ séparant les contacts fixes et mobiles ouverts, sont
choisies pour qu'une pression de contact soit développée par une compression supplémentaire
du ressort 14.
[0017] On aura, par exemple :
d₁ = 1 mm, d₂ = 2,3 mm, d₃ = 6,75 mm.
[0018] S'il advenait que les contacts mobiles du pont de contact 11 soient soudés contre
les pastilles de contact fixes correspondantes lorsque la cage est dans la position
J, le mouvement brusque de commutation de la cage en sens G ne pourrait s'opérer
lorsque le poussoire atteint la position particulière d'équilibre E, pour laquelle
l'alignement des saillies ou arêtes 2 et 4 vient juste d'être dépassé en sens F ;
cette impossibilité résulte du fait que les dispositifs 3 ne peuvent eux-mêmes développer
des forces suffisantes pour casser les points de soudure.
[0019] Afin d'opérer un soulèvement forcé de la cage 9, et donc une cassure de ces éventuelles
soudures, un levier 24 reçoit de l'extrémité 35 du poussoir 1 une poussée qu'il communique
dans le sens convenable à cette cage si celle-ci est restée stationnaire.
[0020] Ce levier, dont deux tourillons 21, 22 sont reçus dans des paliers tels que 29, 29ʹ
d'axe YYʹ parallèle au/et voisin du plan R appartenant à une cloison voisine 36 du
boîtier, voir aussi figure 3, comprend un bras de commande central 19 qui est engagé
entre deux ailes parallèles 35ʹ de l'extrémité 35 et dont deux bossages cylindriques
transversaux opposés 17, 18 sont accouplés avec deux rainures d'entraîne ment transversales
parallèles 15, 16 des ailes 35ʹ.
[0021] Le levier 24 comprend en outre à l'opposé du bras 19 un bras de soulèvement central
20 qui présente une surface active ou arête 23 placée en regard de la face inférieure
38 de la cage ; les longueurs b₂ et b₁ de ces bras de leviers sont choisies pour
que les efforts nécessaires à la cassure de la soudure soient supérieurs ou sensiblement
égaux à ceux qu'il sera nécessaire de communiquer au poussoir pour les produire.
[0022] En d'autres termes, le levier 24 n'opère pas d'amplification du mouvement reçu du
poussoir 1.
[0023] La faible distance entre la butée 28 et le plan R, de même qu'entre l'axe YYʹ et
la plan R confère au dispositif décrit, une grande précision au point particulier
de fonctionnement K qui est situé juste en dessous du point E et pour lequel s'opère
le soulèvement forcé de la cage.
[0024] Selon un autre mode d'exécution visible à la figure 2, l'extrémité 35
a du poussoir 1
a présente deux rainures transversales parallèles 15
a, 16
a qui sont placées extérieurement au corps du poussoir de part et d'autre du plan PPʹ,
et le levier 24
a présente deux bras de commande latéraux 19
a, 19
b dont les extrémités portent des tétons d'accouplement cylindriques 17
a, respectivement 18
a se faisant face ; la position centrale du bras 20
a procure comme précédemment une poussée équilibrée à une cage inchangée par rapport
à celle de l'exemple précédent. Ce mode de réalisation qui laisse libre le volume
interne de l'extrémité 35
a permet d'utiliser celui-ci pour disposer un logement 39 ouvert vers la paroi 34 du
boîtier pour recevoir et guider le ressort de rappel 26
a.
[0025] Le maintien et le pivotement du levier 24
a autour de l'axe YYʹ peuvent également être assurés soit à l'aide de deux dégagements
annulaires 22
a, 21
a qui sont ménagés dans un corps cylindrique du levier 24
a entre le bras 20
a et chacun des bras 19
a, 19
b et qui viennent se placer dans deux paliers ouverts 29
a, 29
b appartenant à deux nervures parallèles solidaires de la cloison 36, soit à l'aide
de tourillons analogues à ceux de la figure 1 et reçus dans des demi-paliers ouverts
solidaires de la cloison 36.
[0026] Dans les exemples de réalisation qui viennent d'être décrits, les pièces et organes
1, 2, 3 4 se déplacent dans un même plan S passant par l'axe XXʹ qui est parallèle
au plan T, dans lequel se déplacent l'équipage mobile 9 et l'ensemble mobile 30.
[0027] Selon une variante d'exécution 60 visible à la figure 5, le poussoir 50 possède un
bossage transversal 51 portant des arêtes latérales 52, 53 ayant les mêmes fonctions
que les arêtes 2 de l'exemple précédent. Les organes élastiques à compression instable
et détente bistable 54, 55 se trouvent placés dans un même plan Tʹ que celui recevant
la cage isolante 56 et ses arêtes correspondantes 58, 59.
[0028] Cette cage, qui prend par suite ici une forme échancrée pour permettre la circulation
du bossage 51 dans un dégagement central 57, porte des ponts de contact opposés 61,
62 qui sont fixés sur les faces extérieures de cloisons transversales opposées supérieure
et inférieure 63, 64 de la cage.
[0029] Le levier d'ouverture forcée 65 dont la fonction et les propriétés sont analogues
à celles du levier 24 respectivement 24
a fait ici appel à ds moyens de pivotement différents.
[0030] Les deux bras de soulèvement 66, 67 sont ici constitués par deux cames parallèles
68, 69 qui sont placées de part et d'autre d'un tourillon central 70 engagé dans un
palier ouvert 71 d'une nervure 72 du boîtier 73.
[0031] La présence de ces deux bras 66, 67 qui, lorsqu'une soudure s'est formée, reçoivent
du pont de contact 62 deux forces résistantes symétriques de sens F, présente l'avantage
de mettre en jeu un système de forces équilibré par rapport à l'unique palier. Les
tétons 78,79 portés l'un vers l'autre par deux bras de commande 76, 77 coopèrent ici
encore avec des rainures transversales 80, 81 du poussoir dans lesquelles ils restent
constamment engagés.
[0032] Dans cette variante de réalisation, les positions H et J de la cage sont déterminées
par l'appui des ponts de contact contre les contacts fixes, non représentés, et l'axe
YYʹ est ici également disposé au voisinage du plan R passant par les surfaces de contact
fixes qui coopèrent avec le pont de contact 62 adjacent au bras d'ouverture forcée.
[0033] On remarquera que dans les deux variantes de réalisation, une portion de surface
ou arête 23 ou 23
a respectivement 66, 67 qui représente l'extrémité du bras de soulèvement, est prolongée
par une surface sensiblement cylindrique 74 respectivement 74
a, 75, coaxiale à YYʹ, voir figures 1, 2 et 5, de façon que cette surface cylindrique
puisse glisser sous la cage lorsque le poussoir s'enfonce au-delà de la position où
l'arête 23, 23
a, 66, 67 entre en contact avec la cage. Un rapport de réduction r2/r1 est établi ici
entre la course du poussoir et celle communiquée au pont de contact 62, r2 représentant
la longueur nominale des bras 76, 77 et r1 la distance entre l'arête 66, 67 et l'axe
YYʹ. Le maintien positif des cages en position H a l'avantage particulier d'empêcher
une refermeture des ponts de contact 11 respectivement 62 si des organes ou dispositifs
bistables viennent à casser dans cette position. A la figure 4, la surface inférieure
38
a de la cage 9 présente à cet effet une surface concave 86 qui coopère avec la surface
arrondie 74
a après que le bossage 85, qui précède la surface 86, aura été franchi par l'arête
23
a.
[0034] Dans les deux variantes, on remarque également que les cages mobiles sont supportées
et guidées transversalement par les composantes symétriques et opposées des organes
ou dispositifs élastiques bistables, les parois de boîtier telles que 36 ou le poussoir
ne procurant qu'un appoint de guidage lors de chocs importants.
1. Interrupteur de position comprenant dans un boîtier :
- un poussoir de commande isolant (1, 1a, 50),
- un pont de contact (11, 62) mobile entre une position de repos dans laquelle il
s'appuie sur deux contacts fixes (90) et une position de travail dans laquelle il
est écarté de ces deux contacts, le pont de contact étant déplaçable brusquement entre
ces deux positions sous l'effet de moyens élastiques bistables (3) agissant entre
le poussoir isolant et un équipage mobile (9, 56) portant le pont de contact,
- tandis qu'un levier d'ouverture (24, 24a, 65) destiné à casser des soudures éventuelles entre le pont de contact et les contacts
fixes, et apte à pivoter autour d'un axe sensiblement parallèle au pont de contact,
est mis en mouvement par le poussoir lorsque ce dernier atteint une position particulière
(K) de façon à faire coopérer, dans le sens de la séparation entre pont de contact
et contacts fixes, une des extrémités de ce levier avec une région centrale du pont
de contact, caractérisé en ce que ce levier (24 ; 24a ; 65) est monté à pivotement dans un palier (29, 29ʹ ; 29a, 29b ; 71) placé dans une région fixe du boîtier qui est voisine d'un plan R passant sensiblement
par les surfaces des contacts fixes, et présente d'une part une première extrémité
(17, 18 ; 17a, 18a ; 78, 79) qui est accouplée au poussoir (1 ; 1a ; 50) de façon à accompagner le mouvement de celui-ci pendant toute sa course, et
comporte d'autre part une seconde extrémité (20 ; 20a ; 68, 69) qui se déplace en regard du pont de contact (11, 62) sans multiplication
sensible du mouvement.
2. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pont de contact
(11) ainsi qu'un second pont de contact (10) sont portés par l'équipage mobile (9)
déplaçable dans un plan T et présentant des prolongements (4) aptes à se déplacer
dans un plan parallèle (S) contenant le poussoir (1, 1a) ainsi que les moyens élastiques bistables (3).
3. Interrupteur selon la revendication 2, caractérisé´en ce que les ponts de contacts
(11, 10) reçoivent en sens opposés les poussées d'un ressort de pression de contact
commun (14).
4. Interrupteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que le pont de contact
(62) ainsi qu'un second pont de contact (61) sont portés par l'équipage mobile (56)
déplaçable dans un plan Tʹ, et recevant à travers une échancrure (57) un prolongement
latéral (51) du poussoir (50) qui est mobile dans ce même plan en même temps que les
moyens élastiques bistables (54, 55).
5. Interrupteur selon la revendication 1 , caractérisé en ce que le levier d'ouverture
(24a) présente d'une part un second bras (20a) unique qui est placé dans un plan central (PPʹ) recevant le poussoir (1a) et l'équipage mobile (9), et d'autre part deux premiers bras parallèles (19a, 19b) placés symétriquement par rapport à ce plan.
6. Interrupteur selon la revendication 5, caractérisé en ce que le levier (24, 24a) est monté à pivotement dans deux paliers (29, 29ʹ ; 29a, 29b), qui sont portés par une paroi de boîtier (36) voisine de l'équipage mobile (9).
7. Interrupteur selon la revendication 5 , caractérisé en ce que le second bras (20,
20a ; 68) présente une arête ou bord actif (23, 23a, 66) qui est prolongé par une surface cylindrique (74, 75) concentrique à l'axe(YYʹ)
des paliers, venant effectuer un blocage longitudinal de l'équipage mobile (9, 56)
lorsque le poussoir est en position active (A).
8. Interrupteur selon la revendication 1 , caractérisé en ce que la première extrémité
(17, 18 ; 17a, 18a ; 78, 79) du levier d'ouverture (24 ; 24a ; 65) est engagée dans au moins une rainure transversale (15, 16 ; 15a, 16a ; 80, 81) du poussoir.