[0001] La présente invention a pour objet une installation pour la réparation et le contrôle
de carrosseries de véhicules accidentés comprenant un marbre et une équerre de traction.
[0002] Un marbre est constitué par un cadre rectangulaire réalisé à partir de deux profilés
métalliques en U et en 1 à ailes parallèles, avec montage de deux entretoises entre
les deux profilés longitudinaux.
[0003] Sur le marbre peuvent être fixées les pinces d'ancrage de la carrosserie du véhicule
à réparer, ainsi que les traverses qui reçoivent des montages pour des réparations
de type positif, et pour des appareils de mesure.
[0004] Pour réaliser une réparation notamment par redressement des toles d'un véhicule,
est couramment utilisé un appareil appelé "équerre de traction". Une équerre de traction
comprend une embase constituée par une pièce allongée, telle qu'une poutre tubulaire
susceptible d'être glissée sous le marbre, équipée de moyens de fixation par pincement
sur les ailes de deux des profilés constitutifs du cadre du marbre.
[0005] A une extrémité de la poutre formant l'embase, est monté un bras articulé autour
d'un axe horizontal et transversal à la poutre. Une chaîne étant accrochée, d'une
part, sur la carrosserie du véhicule et, d'autre part, sur le bras, ce dernier peut
basculer autour de son axe et exercer une traction sur la chaîne, sous l'action d'un
vérin hydraulique.
[0006] Il est possible de réaliser une inclinaison latérale du bras pour permettre d'exercer
une traction selon l'angle le plus adapté.
[0007] Un premier inconvénient des marbres traditionnels réside dans leur manque de rigidité,
d'où il résulte que le marbre épouse les éventuelles inégalités du sol, ce qui peut
se traduire par des erreurs de mesure, si le sol sur lequel repose le marbre n'est
pas d'une parfaite planéité.
[0008] En outre, les équerres de redressement nécessitent pour leur mise en oeuvre une surface
au sol très importante en raison notamment de la longueur de la poutre formant l'embase.
Compte tenu de la longueur de cette poutre, il faut en effet disposer d'un recul important
vis-à-vis du marbre pour pouvoir dégager l'équerre de traction de celui-ci, et la
déplacer par rapport au marbre pour la fixer en un autre point de celui-ci.
[0009] Il est à noter que cette longueur des équerres de traction est encore accrue dans
la mesure où leur embase est constituée par deux parties telles que deux poutres dans
le prolongement l'une de l'autre et articulées l'une sur l'autre autour d'un axe vertical.
[0010] Le brevet français 2 511 272 concerne un appareil pour redresser les châssis et carrosseries
de véhicules comprenant un marbre tubulaire comportant un nez de renforcement tourné
sur sa face intérieure et à proximité ue son bord supérieur. A ce châssis est associée
une équerre de traction dont la partie avant est en forme d'étrier ouvert vers l'avant
délimité par deux plaques horizontales destinées à venir se placer, respectivement,
au-dessus et au-dessous du cadre du marbre, la plaque supérieure étant équipée d'un
crochet venant s'engager sur le nez de renforcement du cadre. Cependant, cet appareil
ne donne pas satisfaction en raison du fait qu'en conditions d'utilisation de l'équerre
de traction, la partie arrière de celle-ci, c'est-à-dire celle éloignée du marbre,
tend à basculer vers le haut, mouvement qu'aucun des organes de l'équerre ou du marbre
ne contrarie. Il n'est donc pas possible d'obtenir une bonne solidarisation du marbre
et de l'équerre.
[0011] La présente invention vise à remédier à ces inconvénients en fournissant un marbre
possédant une grande rigidité, auquel est associée une équerre de traction pouvant
être fixée sur le marbre, réglée par rapport à celui-ci et manipulée autour du marbre
sans nécessiter une surface importante.
[0012] A cet effet, l'installation qu'elle concerne , du type comprenant un cadre rectangulaire
réalisé à partir d'éléments tubulaires, et une équerre de traction dont l'extrémité
avant est équipée de moyens de fixation sur le marbre, est caractérisée en ce que
le cadre rectangulaire est équipé, sur sa face tournée vers l'intérieur et à proximité
de son bord inférieur, d'un élément métallique de plus faible section, tandis que
l'équerre de traction comporte une embase destinée à être engagée sous le cadre, équipée
d'une part, à son extrémité avant et du côté de son bord supérieur, d'un étrier ouvert
vers l'arrière, destiné à venir s'engager sur l'élément métallique en forme de carré
du marbre et, d'autre part, proximité de cette même extrémité avant, d'un sabot qui,
tourné
"ers l'avant, déplaçable axialement et verrouillable dans la position souhaitée, est
destiné à venir prendre appui contre la face extérieure de l'un des profilés tubulaires
constitutifs du cadre du marbre.
[0013] Cette solution est avantageuse en ce sens que l'utilisation d'éléments tubulaires
confère au marbre une excellente rigidité évitant toute déformation de celui-ci, même
si le sol sur lequel il repose comporte quelques irrégularités.
[0014] Cette rigidité du marbre est renforcée par la présence du carré plein de plus faible
section, qui sert également à la fixation de l'équerre de traction.
[0015] En pratique, le sabot étant en position reculée, il est procédé à l'engagement de
l'extrémité avant de l'embase de l'équerre sous le marbre, puis au recul de l'équerre
pour que l'étrier vienne se crocheter derrière le carré monté à l'intérieur du cadre.
[0016] Il est alors procédé au déplacement vers l'avant du sabot, à sa mise en appui contre
la paroi extérieure de l'un des éléments tubulaires constitutifs du marbre et à son
verrouillage dans cette position.
[0017] Il ressort de ce qui précède que cette équerre de traction est de mise en oeuvre
très simple, et d'un encombrement réduit par rapport aux équerres traditionnelles,
puisque son embase ne nécessite pas la fixation sur deux des éléments du cadre, mais
sur un seul de ceux-ci.
[0018] En outre, cette structure permet, lors de l'utilisation de l'équerre de traction,
un auto-blocage de celle-ci sur le marbre. En effet, lors du fonctionnement de l'équerre
de traction, l'extrémité postérieure de celle-ci tend à basculer vers le haut, mouvement
au cours duquel l'étrier, monté à l'extrémité avant de l'équerre, vient s'accrocher
sur l'élément rapporté sur la face intérieure du cadre, sans pouvoir échapper à celui-ci,
éliminant ainsi tous les jeux entre l'équerre et le cadre.
[0019] Selon une caractéristique de l'invention, le retour formant l'aile supérieure de
l'étrier d'accrochage de l'équerre sur le marbre est de largeur inférieure à celle
du carré contre lequel l'étrier prend appui.
[0020] Cette disposition est avantageuse car l'étrier coiffe simplement le carré intérieur
du marbre, sans prendre appui contre les profilés principaux de celui-ci, ce qui évite
tout risque de détérioration du marbre.
[0021] Selon une autre caractéristique de l'invention, les moyens de verrouillage du sabot
d'appui contre la paroi extérieure de l'un des profilés du marbre, sont constitués
par une clavette à bords convergents engagée dans une ouverture transversale ménagée
dans le manchon de guidage, solidaire de l'embase, de la tige du sabot, et prenant
appui contre l'extrémité postérieure de ladite tige.
[0022] Lors de l'opération de mise en place de l'équerre, la clavette est retirée, ce qui
permet un libre déplacement du sabot d'appui. Lorsque le sabot d'appui sur le marbre
est en position de fixation de l'équerre, la clavette est engagée sur le manchon de
guidage avec appui contre la tige du sabot, et sa forme permet un verrouillage de
l'appui du sabot contre le marbre.
[0023] Avantageusement, et dans la mesure où l'embase de l'équerre est cosntituée par deux
poutres en alignement l'une avec l'autre, et articulées autour d'un axe vertical,
la poutre située du côté de fixation de l'embase sur le marbre, comporte une douille
cylindrique verticale, tandis que l'autre poutre comporte, en-dessous de ladite douille,
une pluralité d'évidements verticaux tronconiques, ouverts vers le haut, répartis
sur un secteur circulaire centré sur l'axe de pivotement des deux poutres l'une sur
l'autre, tandis que l'extrémité du vérin, corps ou tige, opposée à celle articulée
sur le bras, est équipée avec articulation autour d'un axe horizontal, d'un embout
comportant une extrémité tronconique de forme complémentaire de celle des évidements
précités, et une partie cylindrique de forme correspondant au diamètre intérieur de
la douille.
[0024] En pratique, pour réaliser le réglage angulaire des deux parties de l'embase de l'équerre,
il convient, l'embout du vérin étant retiré, de faire pivoter l'une des deux parties
par rapport à l'autre pour les amener à former l'angle souhaité, étant précisé que
la douille de l'élément appartenant à la partie avant doit se trouver en regard de
l'un des évidements appartenant à la partie arrière de l'équerre. Il est alors procédé
à l'engagement de l'embout du vérin dont l'extrémité tronconique vient s'engager dans
l'un des évidements de même forme et dont la partie cylindrique vient s'engager dans
la partie cylindrique de la douille.
[0025] Il n'y a aucun risque de déverrouillage accidentel en période de fonctionnement,
puisque, lorsque le vérin est actionné dans un sens de sortie de la tige de celui-ci,
l'embout tronconique associé à l'une des extrémités du vérin a tendance à s'engager
plus fortement dans l'évidement qui lui est destiné.
[0026] La pente de l'extrémité tronconique de l'embout, ainsi que la pente des évidements
correspondants sont choisies pour éviter qu'il y ait un auto-blocage empêchant, dans
des conditions normales de manipulation, le retrait de l'embout hors de l'évidement
dans lequel il est engagé.
[0027] De toute façon, l'invention sera bien comprise à l'aide de la description qui suit/en
référence au dessin schématique annexé, représentant, à titre d'exemple non limitatif,
une forme d'exécution de ce marbre et de l'équerre de traction qui lui est associée
:
Figure 1 en est une vue en perspective
Figure 2 est une vue en coupe longitudinale par un plan vertical, selon la ligne II-II
de figure 3 de l'équerre de traction et de l'extrémité du marbre sur laquelle elle
est fixée ;
Figure 3 est une vue de dessus correspondant aux éléments représentés à la figure
2 ;
Figure 4 est une vue d'un détail du dispositif de fixation de l'équerre sur le marbre
;
Figure 5 est une vue en coupe longitudinale et à échelle agrandie du dispositif de
verrouillage l'une sur l'autre des deux parties de l'embase du marbre.
[0028] Le dispositif représenté à la figure 1 comprend un marbre 2 auquel est associée une
équerre de traction 3.
[0029] Selon la caractéristique essentielle de l'invention, le marbre 2 comprend un cadre
réalisé à partir de quatre éléments tubulaires 4, entre les deux grands côtés duquel
sont montées deux entretoises transversales 5.
[0030] D'une façon connue, ce marbre est équipé de roues 6 permettant son déplacement sur
le sol, de pinces 7 de fixation de la carrosserie du véhicule à réparer et. d'un dispositif
désigné par la référence générale 8, permettant le montage de divers accessoires de
contrôle.
[0031] Comme cela ressort du dessin, le cadre rectangulaire est équipé, sur sa face intérieure
et à proximité de son bord inférieur, d'un élément métallique 9 de section carrée.
Ce carré a pour double fonction de renforcer la rigidité du cadre tubulaire et de
permettre la fixation d'une équerre de traction sur celui-ci.
[0032] L'équerre de traction 3, représentée plus en détails aux figures 2 et 3, comprend
une embase constituée par deux poutres 12 et 13 située en alignement, et articulées
l'une sur l'autre autour d'un axe 14.
[0033] De façon traditionnelle, cette équerre de traction 3 est équipée de roues 15, d'une
poignée de manutention 16, ainsi que d'un bras 17 présentant des crans 18 pour l'accrochage
d'une chaîne dont l'autre extrémité est accrochée à la carrosserie du véhicule à réparer.
[0034] Ce bras 17 est susceptible de pivoter autour d'un axe 19 horizontal et transversal
à la poutre 13, après avoir été réglé en inclinaison latérale par pivotement autour
d'un axe 20 et blocage à l'inclinaison désirée à l'aide d'une broche 22.
[0035] La poutre 12, située du côté de l'extrémité de l'équerre à fixer sur le marbre est
équipée, à son extrémité avant, d'un étrier 23 comportant deux mâchoires parallèles,
situé du côté du bord supérieur de la poutre 12 et dont l'ouverture est tournée vers
l'arrière.
[0036] Comme montré au dessin, cet étrier est destiné à venir coiffer le carré 9 monté sur
la face intérieure du cadre, et la largeur de la branche supérieure 24 de l'étrier
est inférieure à la largeur du tube 9, afin d'éviter que l'extrémité des branches
supérieures de l'étrier viennent en appui contre un élément tubulaire 4 et détériorent
celui-ci.
[0037] Il ressort notamment de la figure 2 que l'engagement de l'extrémité avant de l'équerre
se fait très facilement compte tenu de la faible hauteur de l'étrier 23, et que la
longueur de l'équerre engagée sous le marbre est très faible, ce qui se traduit par
une longueur hors tout de l'équerre également faible.
[0038] Sur la face supérieure de la poutre 12 est fixé un ensemble mécanosoudé 25 comprenant
notamment un manchon 26 longitudinal permettant le guidage d'une tige 27 dont l'extrémité
avant est équipée d'un sabot 28 destiné à venir en appui contre la face extérieure
du profilé tubulaire 4 du marbre sur lequel l'équerre est à fixer. Ce sabot 28 est
équipé d'un retour supérieur 28a venant en recouvrement de la face supérieure du profilé
tubulaire 4 du marbre, ce qui permet de rendre l'équerre solidaire du marbre pendant
un mouvement ascendant de celui-ci, par exemple lorsqu'il est fixé à un élévateur.
[0039] Comme montré au dessin, le sabot 28 peut être déplacé axialement par coulissement
de la tige 27 dans le manchon 26, le sabot pouvant être bloqué en position d'appui
contre un profilé 4 par une clavette 29 à bords convergents engagée dans une ouverture
transversale du manchon 26 et prenant appui sur l'extrémité arrière de la tige 27
du sabot 28.
[0040] Comme montré notamment aux figures 2 et 5, l'ensemble mécanosoudé 25 est équipé,
sur sa face tournée vers l'arrière, d'une douille cylindrique 30 d'axe vertical.
[0041] Par ailleurs, la poutre 13 est équipée d'un manchon 32 s'évasant horizontalement
en direction de la poutre 12, et destiné à venir en recouvrement partiel de celle-ci.
Sur la face supérieure de ce manchon 32, sont ménagés, disposés selon un secteur circulaire
centré sur l'axe 14 d'articulation des deux poutres 12 et 13, plusieurs évidements
tronconiques 33 d'axe vertical.
[0042] En outre, l'équerre est équipée, de façon traditionnelle, d'un vérin hydraulique
34. Le corps 35 de ce vérin est monté avec articulation autour d'un axe horizontal
36 sur le bras 17, tandis que l'extrémité de la tige 37 est équipée, avec articulation
autour d'un axe horizontal 38, d'un embout désigné par la référence générale 39, comprenant
une extrémité tronconique 40 de forme complémentaire de celle des évidements 33 et
une partie cylindrique 42 de diamètre correspondant au diamètre interne de la douille
30.
[0043] Comme expliqué précédemment, le blocage des deux poutres 12 et 13 dans la position
angulaire souhaitée est réalisé par engagement de l'embout 39 de la tige du vérin,
d'une part, dans la douille 30 associée à la poutre 12 et, d'autre part, dans l'évidement
tronconique choisi, associé à la poutre 13.
[0044] Cette solution permet encore de réduire la longueur de la poutre par rapport au cas
où les dispositifs, respectivement, d'articulation de la tige du vérin sur l'embase
de l'équerre, et d'articulation des deux parties de l'équerre l'une sur l'autre, sont
décalées axialement.
[0045] Comme il ressort de ce qui précède, l'invention apporte une grande amélioration à
la technique existante en fournissant un dispositif de conception simple permettant
d'obtenir un marbre possédant une grande rigidité et, par conséquent, insensible aux
inégalités du sol sur lequel il repose, auquel est associée une équerre de traction
d'une manipulation très simple, et dont la longueur est particulièrement réduite,
ce qui permet son utilisation dans un atelier de surface restreinte, comme cela ressort
de plusieurs positions de travail illustrées à la figure 6.
1. Installation pour la réparation et le contrôle de carrosseries de véhicules, du
type comprenant un cadre rectangulaire réalisé à partir d'éléments tubulaires (4),
et une équerre de traction dont l'extrémité avant est équipée de moyens de fixation
sur le marbre, caractérisée en ce que le cadre rectangulaire est équipé, sur sa face
tournée vers l'intérieur et à proximité de son bord inférieur, d'un élément métallique
(9) de plus faible section, tandis que l'équerre de traction comporte une embase destinée
à être engagée sous le cadre, équipée d'une part, à son extrémité avant et du côté
de son bord supérieur d'un étrier (23) ouvert vers l'arrière, destiné à venir s'engager
sur l'élément métallique en forme de carré (9) du marbre et, d'autre part, à proximité
de cette même extrémité avant, d'un sabot (28) qui, tourné vers l'avant, déplaçable
axialement et verrouillable dans la position souhaitée, est destiné à venir prendre
appui contre la face extérieure de l'un des profilés tubulaires (4) constitutifs du
cadre du marbre.
2. Equerre de traction selon la revendication 1, caractérisé en ce que le retour formant
l'aile supérieure (24) de l'étrier (23) d'accrochage de l'équerre (3) sur le marbre
(2) est de largeur inférieure à celle du carré (9) contre lequel l'étrier prend appui.
3. Equerre de traction selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé
en ce que les moyens de verrouillage du sabot d'appui (28) contre la paroi extérieure
de l'un des profilés (4) du marbre, sont constitués par une clavette (29) à bords
convergents engagée dans une ouverture transversale ménagée dans le manchon de guidage
(26) de la tige (27), solidaire de l'embase, prenant appui contre l'extrémité postérieure
de ladite tige (27).
4. Equerre de traction selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé
en ce que dans la mesure où l'embase de l'équerre est constituée par deux poutres
(12,13) en aligne ent l'une avec l'autre, et articulées autour d'un axe vertical (14),
la poutre (12), située du côté de fixation de l'embase sur le marbre, comporte une
douille cylindrique verticale (30), tandis que l'autre poutre comporte, en-dessous
de ladite douille, une pluralité d'évidements verticaux tronconiques (33), ouverts
vers le haut, répartis sur un secteur circulaire centré sur l'axe (14) de pivotement
des deux poutres l'une sur l'autre, tandis que l'extrémité du vérin (34), corps (35)
ou tige (37), opposée à celle articulée sur le bras, est équipée avec articulation
autour d'un axe horizontal (38), d'un embout (39) comportant une extrémité tronconique
(40) de forme complémentaire de celle des évidements (33) précités, et une partie
cylindrique (42) de forme correspondant au diamètre intérieur de la douille.
5. Equerre selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisée en ce que
le sabot (28) destiné à prendre appui contre un élément tubulaire (4) du marbre, est
équipé d'un retour supérieur (28a) destiné à venir en recouvrement de la face supérieure
dudit élément (4).