(19)
(11) EP 0 278 811 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
17.08.1988  Bulletin  1988/33

(21) Numéro de dépôt: 88400103.3

(22) Date de dépôt:  19.01.1988
(51) Int. Cl.4E05B 69/00, A47G 25/48, A47G 25/14
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES FR GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 19.01.1987 FR 8700492
30.10.1987 FR 8715042

(71) Demandeur: EMINENCE S.A.
F-30013 Nimes Cédex (FR)

(72) Inventeur:
  • Marlot, Jean-Marc
    F-34000 Montpellier (FR)

(74) Mandataire: Viard, Jean 
Cabinet VIARD 28 bis, avenue Mozart
75016 Paris
75016 Paris (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Cintre de présentation d'articles textiles


    (57) Cintre antivol pour présentation d'articles textiles, comprenant un crochet (2) solidaire d'un cadre (1) incluant deux montants (3), une barre inférieure horizontale (4) solidaire d'un montant par l'un de ses côtés et libre à son autre extrémité, le cadre comprenant des moyens de verrouillage (5, 7, 15, 18) et une étiquette antivol (22).




    Description


    [0001] La présente invention a pour objet un cintre de présentation destiné en particulier, mais non exclusivement, à des articles textiles, et permettant la prévention des vols à l'étalage, notamment dans les "grandes surfaces".

    [0002] On sait que certains articles textiles, et notamment les sous-vêtements du genre slip, sont présentés aux consommateurs sous des conditionnements divers. Malheureusement, ces conditionnements ne permettent pas en général de se faire une idée concrète de l'article inclus dans le conditionnement. Il apparaît donc préférable d'offrir au public l'article tel qu'il est réellement et de lui donner la possibilité, éventuellement, de toucher cet article. Mais cette présentation comporte un danger en ce qui concerne le vol puisque des articles du genre sous-vêtements peuvent être facilement dégagés de leur support et glissés dans une poche ou un sac. A cet égard le conditionnement constituait une protection puisque le vol impliquait presqu'obligatoirement l'extraciton de l'article hors de son emballage.

    [0003] Par ailleurs, on connaît des dispositifs de détection qui se sont avérés efficaces, constitués par des pastilles formant un circuit électromagnétique résonant, ces pastilles étant habituellement collées sur les emballages. Ainsi, lorsqu'un article ne passe pas par la caisse, un portail de sécurité déclenche une alarme. Mais pour être convenablement posées, ces étiquettes nécessitent une surface plane relativement rigide, ce qui n'existe pas dans le cas des sous-vêtements en maille. L'utilisation d'un tel système conduit à utiliser des pinces qui peuvent provoquer des trous.

    [0004] Dans DE-U-8 519 616 est décrit un cintre dont la branche inférieure peut pivoter dans le plan du cintre, l'extrémité de cette branche portant une cheville élastique pouvant s'insérer dans une ouverture formée du côté opposé à l'axe de pivotement. Ce document prévoit également des moyens pour pincer un article sur le cintre. Mais, il ne décrit pas un cintre dont la partie inférieure soit verrouillable et ne prévoit aucune mesure antivol.

    [0005] Dans FR-A-866 818 et dans US-A-2 123 518, la barre inférieure du cintre, destinée à recevoir un pantalon par exemple, est mobile pour permettre le passage d'un article.

    [0006] La présente invention a pour objet de remédier à ces inconvénients.

    [0007] Un premier objet de la présente invention est un cintre sur lequel l'article puisse être monté d'une manière inviolable.

    [0008] Ainsi, il est possible de disposer la pastille de protection directement sur le cintre, ce qui déclenche automatiquement une alarme en cas de vol, et en tout état de cause, l'article ne peut être dérobé qu'avec son cintre.

    [0009] Un second objet de la présente invention est la réalisation d'un cintre sur lequel l'article puisse être posé d'une manière inviolable en usine, dès la fin de sa fabrication.

    [0010] Selon l'invention, le cintre pour présentation d'articles textiles, comprenant un crochet solidaire d'un cadre comprenant une barre inférieure transversale et une étiquette antivol, est caractérisé en ce que la barre longitudinale inférieure est solidaire par l'un de ses côtés du cadre, et libre à son autre extrémité, des moyens permettant de verrouiller l'intérieur de cadre après introduction d'une partie de l'article.

    [0011] Ainsi, la barre transversale inférieure peut être soit ouverte pour permettre le passage d'une partie de l'article par exemple l'entrejambe d'un slip, soit fermée pour bloquer l'article sur le cintre.

    [0012] Un autre but de la présente invention, est de permettre l'utilisation d'un cintre avec verrouillage ou sans verrouillage, les moyens de verrouillage et de sécurité antivol étant solidaires de la barre longitudinale inférieure.

    [0013] Selon une autre caractéristique de l'invention, le cintre antivol pour articles textiles comprenant un crochet solidaire d'un cadre comprenant deux montants et des moyens de clipsage de l'article textile sur le cintre, une barre solidaire du cintre étant verrouillable à la partie inférieure des montants, est caractérisé en ce que la barre longitudinale inférieure du cintre comporte au moins un moyen de verrouillage magnétique sur l'un des montants.

    [0014] La barre inférieure longitudinale peut être, soit articulée, sur l'un des montants, l'autre côté portant un moyen de verrouillage magnétique, soit comporter deux moyens de verrouillage magnétique latéraux, cas dans lequel la barre est complètement amovible, le cintre pouvant être utilisé sans barre transversale inférieure.

    [0015] La barre destinée à fermer le cadre du cintre inclut une étiquette portant un circuit résonnant lorsqu'elle est placée dans un champs électromagnétique à haute fréquence, ou plus généralement tout moyen permettant de déclencher une alarme en cas de passage frauduleux d'un article.

    [0016] D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre d'un mode particulier de réalisation, donné uniquement à titre d'exemple non limitatif, en regard des dessins qui représentent :

    - la figure.1, un cintre antivol selon la présente invention ;

    - les figures 2 et 3, des vues de détails du verrouillage prévu sur le cintre ;

    - la figure 4, une vue montrant un article monté sur le cintre après verrouillage de celui-ci ;

    - la figure 5, une vue de l'article plié sur le cintre.

    - la figure 6, une vue d'un cintre selon l'addition dans un premier mode de réalisation ;

    - la figure 7, une vue en coupe horizontale selon la ligne II-II de la figure 1;

    - la figure 8, une vue en coupe verticale d'un dispositif de verrouillage selon la ligne III-III de la figure 2 ;

    - la figure 9, un second mode de réalisation d'un cintre selon l'addition, dans lequel l'un des côtés comprend un verrouillage magnétique, l'autre côté étant simplement articulé sur l'un des montants ;

    - la figure 10, une vue en perspective d'une barre longitudinale inférieure utilisable dans le premier mode de réalisation.



    [0017] Sur la figure 1 le cintre, désigné d'une manière générale par la référence 1, se compose d'un cadre de forme générale rectangulaire comprenant deux montants 3, présentant à sa partie supérieure un crochet 2 permettant d'accrocher le cintre sur un support approprié tel qu'une barre ou tige horizontale. Le cadre 3 présente, à sa partie inférieure, une barre transversale 4 qui n'est solidaire d'un montant 3 que par l'un de ses côtés, l'autre extrémité étant libre. Le cintre proprement dit est obtenu, par exemple par injection d'une matière plastique telle que du polystyrène, du polypropylène ou du nylon, présentant une certaine souplesse. La barre 4 peut ainsi être éloignée momentanément du plan du cadre 3 afin de permettre le glissement d'un contour fermé de l'article. Dans la direction où s'étend la barre 4, est prévu un verrouillage constitué par une barre 6 horizontale, articulée autour d'une charnière 8, et dont l'extrémité libre présente la partie mâle 7 d'un dispositif d'enclipsage. Cette partie mâle est destinée à coopérer avec une partie femelle 5 prévue au voisinage de l'extrémité libre de la barre 4. Comme celà sera expliqué ultérieurement, la liaison réalisée par pénétration de la pièce 7 dans la pièce 5 est inviolable, de sorte qu'après pivotement de la barre 6 et fermeture de l'enclipsage 5, 7, le cadre 3 est complètement fermé et la partie du vêtement ou sous-vêtement glissée sur la branche 4 est ainsi emprisonnée définitivement.

    [0018] De préférence, les montants du cadre 3 présentent deux ouvertures 9 à l'intérieur desquelles sont prévues des pattes 10 montées sur des parties de largeur plus réduite 11 permettant un débattement des pattes 10 par rapport aux montants 3 avec rappel élastique dans la position de repos. Afin d'éviter que l'article ne glisse sur le cintre, il est possible de prévoir sur les pattes 10 des parties en saillie 12 tournées ici vers l'arrière au niveau de saillies correspondantes de direction opposée, de sorte que l'article soit pincé par les pattes 10 et ne glisse pas, les parties de rattachement 11 créant, compte-tenu de l'épaisseur de l'article, une pression sur celui-ci s'exerçant sensiblement dans la direction perpendiculaire à leur plan. Toute autre forme de pinces permettant de maintenir l'article peut, bien entendu, être utilisée.

    [0019] La figure 2 représente la partie mâle du verrouillage. Elle se compose, comme indiqué précédemment, d'une barre 6 qui occupe une position horizontale lorsque le cintre est en position verticale, qui peut pivoter, autour d'une ligne 8 charnière de moindre épaisseur, d'environ 180°. Dans l'exemple représenté, la partie mâle 7 du verrouillage se compose d'une sphère ou boule 13 solidaire d'une plaque 14 de forme générale trapézoïdale (Figure 2).

    [0020] L'ensemble 13, 14, va pénétrer à l'intérieur de la pièce 5 formée ou rapportée sur la barre horizontale 4, représentée sur la figure 3, en vue de face. La pièce 5 comporte une rainure horizontale 15 destinée à recevoir le méplat 14, alors que dans le centre est prévu un orifice 16 présentant, du côté opposé, deux lèvres 17, les lèvres 17 s'écartant pour laisser le passage à la sphère 13 dans un premier temps, puis se rabattant sur le méplat 14 lorsque le mouvement de pénétration se poursuit. Il est alors impossible d'ouvrir la liaison ainsi établie, les lèvres 17 s'opposant à tout retour en arrière de la partie mâle 14. Elles peuvent en effet s'écarter de l'avant vers l'arrière, mais leur mouvement dans l'autre sens est interdit par la face de la pièce 5. Le retrait de la boule 13 est ainsi bloqué.

    [0021] Pour certaines applications, le client emmène le cintre avec l'article, et il ne peut dégager l'article qu'en brisant le cintre. Par contre, pour d'autres applications, l'article est séparé du cintre au niveau de la caisse de sortie. A cet effet, la caissière dispose d'une pince spéciale permettant de dégager la partie mâle 7 de la partie femelle 5. Elle fait alors glisser l'article le long de la barre 4 et le remet au client. Dans ces conditions, le cintre peut être réutilisé plusieurs fois.

    [0022] La figure 4 représente un article monté sur le cintre 1, en position dépliée. C'est la position que l'article S occupe avant son pliage en usine, et lors de son extraction, hors du cintre, à la caisse d'un magasin. Dans l'exemple représenté, l'article S est constitué par un slip. Pour ce type d'articles, on glisse sur la barre 4 l'entrejambe. On sait en effet que, quelle que soit leur taille, les slips ont une même largeur d'entrejambe, de sorte qu'un même type de cintre peut être utilisé pour toutes les tailles.

    [0023] Sur la figure 4, l'ensemble est représenté vu de l'arrière. Après verrouillage par les pièces 5 et 7, l'article S est replié sur le cintre et sa partie supérieure, constituée par exemple par l'élastique de taille, est immobilisée par les palettes 10 et l'on obtient le résultat représenté sur la figure 5 dans laquelle le verrouillage n'apparaît pas, ce qui représente une sécurité supplémentaire.

    [0024] Sur la figure 6, on voit que le cintre comporte, comme précédemment, un crochet d'accrochage 2 et un cadre 1, constitué par une barre longitudinale supérieure et deux montants 3 perpendiculaires à ladite barre supérieure.

    [0025] On obtient, comme précédemment, un clipsage de l'article dans la ou dans les pinces 10, 11, qui maintiennent l'article en position verticale lorsque le cintre est suspendu.

    [0026] Les montants 3 sont fermés à leur partie inférieure par une barre 4 qui, peut étre amovible (figure 1) ou montée pivotante sur l'une des branches 3 (figure 4).

    [0027] Dans ce mode de réalisation, la barre 4 est munie d'une étiquette 22 de protection contre le vol. Dans l'exemple représenté sur la figure 6, la barre 4 est totalement amovible. C'est-à-dire qu'elle est munie de deux dispositifs de verrouillage magnétique 18. Dans la position de verrouillage représentée en trait plein, la barre 4 vient entourer les extrémités inférieures des montants 3 qui pénètrent dans les fentes 20 (figure 10), de manière à fermer complètement l'espace intérieur au cadre 1. Ainsi, il suffit d'introduire sur la barre 4 un contour fermé, et par exemple l'entre-jambes d'un slip, pour que, après verrouillage, l'article ne puisse pas être séparé du cintre, à moins, bien entendu, de posséder les moyens de déverrouillage adéquats.

    [0028] Ainsi, si le cintre portant l'article est volé, une alarme est déclenchée lors du passage à travers une barrière de contrôle, en raison de la présence de l'étiquette résonnante. Par contre, lorsque l'article passe normalement à la caisse, la caissière déverrouille l'un des côtés de la barre 4 et extrait l'article du cintre pour le remettre au client, le cintre restant à la caisse en vue d'une réutilisation ultérieure.

    [0029] Pour un cintre normal dont l'extrémité inférieure est ouverte, la seule opération nécessaire consiste à prévoir dans la partie inférieure des montants 3, des orifices 17 et 17a. De préférence, des plans inclinés 21 sont prévus sur le bord inférieur des montants 3 pour correspondre, à la périphérie, à une partie de moindre épaisseur formant une rampe inclinée vers les orifices 17 et 17a.

    [0030] Avantageusement, le dispositif de verrouillage est un dispositif magnétique tel que celui qui est représenté sur la figure 8. Sur cette figure, les moyens de verrouillage sont représentés en position de verrouillage. Ils comprennent, à l'intérieur un plot cylindrique 18, une tige de verrouillage 15 munie d'une tête 16 formant piston à l'intérieur du plot 18, la tige 15 étant armée par un ressort de rappel 19. Ainsi, en l'absence de toute sollicitation, la tige 15 fait saillie à l'extérieur du logement 18 sous l'action du ressort 19.

    [0031] Un tel type de verrouillage présente l'avantage de pouvoir être débloqué par insertion des plots 18 à l'intérieur d'aimants à champ magnétique circulaire. Lorsqu'un plot 18 est introduit dans un tel aimant, la tige 15 recule par rapport à la position représentée sur la figure 3 en écrasant le ressort 19. La tige 15 est ainsi dégagée de l'orifice 17 du montant 3, et la barre 4 peut être dégagée de son montant comme représenté en trait mixte sur la figure 1 par pivotement de la seconde extrémité autour de l'axe 15, 17. Bien entendu, on peut dégager simultanément l'autre côté de la barre pour extraire complètement celle-ci du cintre comme celà apparaît sur la figure 10. Lors d'une ouverture à la caisse, le cintre êtant récupéré, il n'est en général nécessaire de n'ouvrir qu'un seul côté.

    [0032] Le mode d'utilisation du cintre est le suivant : après confection du vêtement, et de préférence en usine, on dispose le vêtement comme indiqué ci-dessus, en le bloquant par les deux pinces 10 et l'on passe la barre 4 à l'intérieur d'un contour fermé du vêtement. Puis, la barre 4 est verrouillée sur son support. Grâce aux plans inclinés 21, le verrouillage se produit par simple enfoncement sans qu'il soit nécessaire de faire appel à des outils ou moyens spéciaux. Comme celà apparaît sur les figures, la barre 4 est présentée au-dessous des montants 3, de manière à ce que ceux-ci soient emprisonnés dans les ouvertures 20. En raison de l'existence des plans inclinés 21, les tiges 15 des verrouillages 18 sont ramenées progressivement de la position représentée sur la figure 3 à leur position de retrait par contact de chacune des parties avant des tiges 15 sur les plans inclinés 21. Puis, lorsqu'elles rencontrent les orifices 17 et 17a, l'énergie des ressorts 19 est brusquement libérée et le verrouillage est assuré.

    [0033] Comme indiqué précédemment, lors du passage à la caisse, le plot 16 est ramené vers l'arrière, par un champ magnétique, et au moins l'un des côtés de la barre 4 peut être dégagé des montants 3 pour extraire l'article du cintre.

    [0034] Etant donné qu'au cours de l'utilisation il n'est nécessaire d'ouvrir qu'un seul côté, on peut comme représenté sur la figure 9, remplacer l'un des dispositifs de verrouillage sur un côté par un axe de pivotement 28, ce qui permet de réaliser une économie au niveau de la fabrication.


    Revendications

    1. Cintre antivol pour présentation d'articles textiles comprenant un crochet solidaire d'un cadre incluant deux montants (3), une barre inférieure horizontale (4), et au moins une pince (9, 10, 11) de clipsage de l'article, la barre longitudinale inférieure (4) étant solidaire par l'un de ses côtés du cadre (3), et libre à son autre extrémité, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens de verrouillage (5, 7, 15, 18) et une étiquette antivol (22).
     
    2. Cintre selon la revendication 1, caractérisé en ce que la barre (4) comporte une partie (5) d'un organe de verrouillage, la seconde partie (7) de cet organe étant portée par une barre (6) articulée (8) sur le bord vertical opposé du cadre (3).
     
    3. Cintre selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que la partie mâle (7) du verrouillage (5, 7) est constituée par une boule (13) montée sur une plaque trapézoïdale (14) de guidage, la partie femelle (5) comprenant des rainures (15) de guidage et une ouverture (16) obturée à sa partie arrière par des lèvres (17).
     
    4. Cintre selon la revendication 1, caractérisé en ce que la barre (4) comport au moins un moyen (18) de verrouillage magnétique sur le cadre (1).
     
    5. Cintre selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que la barre (4) est munie à ses deux extrémités, de plots (18) de verrouillage magnétique.
     
    6. Cintre selon la revendication 4, caractérisé en ce que la barre (4) est montée articulée par un axe de pivotement (28) sur l'un des montants (3) du cadre, l'autre extrémité portant un plot (18).
     
    7. Cintre selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les extrémités des montants (3) du cadre pénétrent dans les logements (20) formés dans la barre (4).
     
    8. Cintre selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que des plans inclinés (21) permettent le verrouillage des tiges (15) des plots de verrouillage magnétique (18) dans les orifices (17, 17a) par simple pression.
     




    Dessins
















    Rapport de recherche