[0001] La présente invention a pour objet des équipements destinés à être embarqués à bord
d'un véhicule et à assurer la collecte, la mise en mémoire, le traitement et la transmission
(émission/réception) de données à échanger avec une ou plusieurs installations extérieures
au véhicule.
[0002] Actuellement, les installations les plus courantes pour la communication entre des
véhicules et des installations extérieures (le plus souvent fixes) sont des installations
radiophoniques ou radiotéléphoniques. C'est le cas aussi bien pour les véhicules terrestres
que maritimes, aériens ou spatiaux. Or, si dans le domaine de la marine, de l'aviation
ou de l'espace, on dispose de moyens actuellement très répandus pour repérer ou guider
les véhicules du fait de l'utilisation possible de systèmes électromagnétiques ou
autres (et notamment de radars), il est évident que l'encombrement des voies terrestres
en complique singulièrement l'usage au point que seul un émetteur embarqué puisse
permettre d'assurer un repérage.
[0003] Lorsqu'on veut suivre un parc important de véhicules, il faut s'orienter vers des
solutions aisées à mettre en oeuvre si, à bord du véhicule, on ne dispose que d'une
personne responsable, le conducteur comme c'est le cas sur les véhicules automobiles
ou les chemins de fer. Dans le domaine ferroviaire on obtient assez facilement des
repérages grâce aux ensembles de signalisation et d'aiguillages qui permettent l'enregistrement
du passage des convois en de nombreux points, ce qui permet de définir les sections
de voies occupées ou non.
[0004] Avec les véhicules automobiles (y compris camions, motocycles ou autres), le problème
est extrêmement complexe et présente à court terme peu de solutions pratiques aisées
à mettre en oeuvre.
[0005] Dans ce qui suit, à titre d'exemple et par simplification, on se référera à un parc
de taxis, ce qui représente l'exemple type d'organisation où il est utile de connaître
au moins approximativement la position instantanée de chaque véhicule, sa destination
et son heure approximative d'arrivée, ainsi que son état d'occupation ou de vacance.
En possédant toutes ces données, il est possible de répondre plus aisément et plus
rapidement aux demandes et éventuellement d'orienter les véhicules trop nombreux dans
une zone à faible demande vers des zones où la demande ne peut être satisfaite.
[0006] Or, à l'heure actuelle, le seul moyen de communication répandu est l'émetteur/récepteur
radiophonique ou radiotéléphonique et chaque fréquence de fonctionnement est encombrée
non seulement par les demandes de véhicules mais également par les échanges de renseignements
sur les positions et les destinations, si on désire contrôler la répartition et la
disponibilité des véhicules.
[0007] Dans la demande de brevet déposée le même jour par la demanderesse et intitulée "ensemble
de transmission de données entre véhicules et postes fixes", il est proposé un réseau
de communication avec des stations locales limitant l'encombrement des fréquences,
en ne transmettant pas dans une zone des informations concernant d'autres zones trop
éloignées; il est également proposé d'utiliser le réseau pour transmettre sur les
fréquences radiophoniques des données relatives à tout ce qui peut intéresser l'organisation
du réseau (demandes de véhicules, position, destination, heure estimée d'arrivée,
distance parcourue, occupation ou vacance, vitesse, données comptables, état technique
du véhicule, etc.). Pour cela, cette demande de brevet présente un ensemble pouvant
constituer une interface entre un émetteur-récepteur radiophonique et les équipements
conformes à la présente invention.
[0008] La liaison entre un tel interface ou tout équivalent et les équipements conforme
à l'invention étant réalisée par un certain nombre de conducteurs électriques formant
de préférence un ruban, un câble ou un faisceau, il est possible d'assurer par cette
même liaison le branchement d'autres équipements formant des périphériques.
[0009] Les équipements conformes à l'invention sont organisés autour d'un terminal transporté
qui doit être d'un usage et d'une lecture extrêmement simples pour être accessible
à un conducteur en activité et donc ne pas détourner son attention. Il doit par conséquent
être lisible d'un simple coup d'oeil, comme les constituants traditionnels du tableau
de bord et le système d'introduction des données de type clavier ou équivalent, doit
être suffisamment simple pour que le conducteur puisse envoyer ses messages en quelques
secondes, par exemple, lors de l'arret à un feu de signalisation au rouge.
[0010] Selon la présente invention, à côté de l'émetteur-récepteur radiophonique classique
avec microphone et haut-parleur ou écouteur, le conducteur peut introduire des données
par exemple par l'intermédiaire d'un clavier et recevoir des données par affichage,
des données pouvant également être automatiquement transmises à la station centrale
ou à des sous-stations. Des capteurs placés sur le véhicule peuvent transmettre des
indications concernant la vitesse, le chemin parcouru, le prix des courses, l'état
d'occupation ou de vacance et d'autres données techniques ou pratiques. Peuvent être
également transmises des données concernant la sécurité et l'alarme (panne, attaque,
accident, etc.).
[0011] Les dispositifs conformes à l'invention qui ont été expérimentés présentent des dimensions
restreintes (de l'ordre de celles des récepteurs radiophoniques classiques des automobiles
de série) avec un clavier dont le nombre de touches est réduit et un affichage alphanumérique.
Un système d'éclairage permet une bonne lisibilité quel que soit l'éclairement régnant
dans le véhicule à l'instant considéré. Diverses autres caractéri tiques apparaîtront
dans la description de l'exemple de réalisation ci-dessous analysé.
[0012] On notera que du fait de l'évolution actuelle du rôle de l'électronique de bord des
véhicules, les équipements conformes à l'invention pourront aisément être associés
aux systèmes les plus variés, non seulement pour la transmission de données techniques
mais par exemple dans le cadre du repérage et de la cartographie électroniques, auquel
cas l'écran d'affichage pourrait être utilisé également, au moins en partie, dans
le cadre de la présente invention. Pour mieux faire comprendre les caractéristiques
techniques et les avantages de la présente invention, on va en décrire un mode de
réalisation, étant bien entendu que celui-ci n'est pas limitatif quant à son mode
de mise en oeuvre et aux applications qu'on peut en faire.
[0013] On se reportera aux figures suivantes qui représentent schématiquement:
- la figure 1 un synoptique de l'ensemble embarqué dans lequel s'intègre un équipement
conforme à l'invention qui pour simplifier sera ci-après dénommé le terminal;
- la figure 2 un synoptique du terminal;
- la figure 3 le montage d'un exemple de microprocesseur en lui-même;
- la figure 4 la commande du bus du microprocesseur;
- la figure 5 l'ensemble des mémoires;
- la figure 6 l'ensemble d'alimentation;
- la figure 7 la commande de l'alimentation et du système marche/arrêt;
- la figure 8 le système de détection de perte de courant;
- la figure 9 l'alimentation des équipements lumineux;
- la figure 10 l'ensemble d'affichage;
- la figure 11 l'interface avec l'imprimante;
- la figure 12 l'interface avec le réseau local;
- la figure 13 le capteur de température.
[0014] La figure 1 est destinée à illustrer l'association d'un terminal conforme à la présente
invention avec d'autres équipements embarqués à bord du véhicule et en particulier
avec l'émetteur-récepteur radiophonique.
[0015] Le terminal 1 communique par un certain nombre de conducteurs 2 avec ces autres
équipements et en particulier avec l'émetteur-récepteur 3 de tout type classique à
microphone 4, haut-parleur 5 et antenne 6. Un interface 7 assure la transmission,
les conversions et remises à niveau nécessaires entre d'une part les signaux du terminal
1, d'autres périphériques éventuels tels que 8 et d'autre part l'émetteur-récepteur
3. Cet interface 7 peut être du type faisant l'objet de la demande de brevet français
déposé le même jour que la présente demande et ci-dessus mentionnée.
[0016] Le terminal 1 reçoit de son côté un certain nombre d'informations par son clavier
9 et par diverses entrées 10 branchées par exemple sur des capteurs, alarmes, ou autres.
L'affichage 11 permet de lire les données tant à l'émission qu'à la réception. Le
tout peut être complété par une imprimante 12. La présente invention porte donc essentiellement
sur l'ensemble 1, 9, 10, 11, 12 et le branchement des conducteurs 2. Comme cela a
été décrit plus haut, cet ensemble peut être réalisé en pratique sous une forme simple
et de petit volume.
[0017] A la figure 1, on n'a pas détaillé les rôles des conducteurs 2 sauf en ce qui concerne
la masse.
[0018] En pratique, comme on le verra ci-après, l'émetteur-récepteur 1 est connecté aux
conducteurs suivants indiqués avec les références qui seront utilisées ci-après:
. arrêt/marche 1/0
. remise à zéro RESET
. horloge CLK
. réception de données RX
. transmission de données TX
[0019] On peut y ajouter la masse et éventuellement une alimentation. Du côté du terminal,
on retrouve les mêmes connexions. Sur la figure 1, on n'a pas représenté divers auxiliaires
et notamment les alimentations des divers constituants qui seront analysées plus en
détail ci-après.
[0020] De préférence, les connexions sont réalisées par l'intermédiaire d'interfaces par
exemple du type à collecteurs ouverts pour permettre des interventions en parallèle
sur chaque élément (tel que 8 par exemple) monté sur le réseau de conducteurs 2. Ce
type de montage est nécessaire pour la ligne RX.
[0021] A la figure 2, est représenté schématiquement le synoptique du terminal 1 de la
figure 1 (y compris clavier 9, affichage 11 et imprimante 12).
[0022] Ce terminal est centré sur un microprocesseur µP incluant les dispositifs traditionnels
(mémoire vive RAM, mémoire morte ROM ou mieux REPROM, bus de commande, d'adresse et
de données, etc.). Le microprocesseur µP reçoit des impulsions de l'horloge CLK et
est alimenté en tension régulée V
C et en tension V
S secourue à partir de la batterie BAT, par le bloc d'alimentation POW. Ce microprocesseur
µP est également relié au système de contrôle de température TEMP, à la commande d'imprimante
PRINT.CONT, à la commande d'affichage DISP.CONT, à la commande d'alimentation POW.CONT
et au détecteur de pertes d'alimentation DET, dans des conditions et par des moyens
qui seront analysés ci-après. Le microprocesseur µP est associé à un signal sonore
représenté en 13 et reçoit des signaux d'alarme AL, par exemple à partir d'une pédale,
et d'occupation ou de vacance du véhicule OC à partir de la mise en route ou de l'arrêt
du compteur de distance et de prix.
[0023] L'ensemble du circuit de la figure 2 est relié par l'interface au réseau local symbolisé
par les sorties 2. Le système d'alimentation POW est lui-même alimenté à partir de
l'alimentation générale du véhicule V
B et de la batterie BAT en tension V
B réservée au secours du circuit conforme à l'invention. Ce système d'alimentation
fournit la tension régulée V
C aux constituants logiques dudit circuit et la tension de secours V
S au microprocesseur µP. Il fournit également une tension de référence V
réf aux constituants analogiques (commande d'alimentation POW.CONT, contrôle de température
TEMP et interface INT avec le réseau local). Le système d'alimentation POW est commandé
par le dispositif POW.CONT qui est lui même alimenté en tension générale V
B du véhicule par l'intermédiaire d'un interrupteur 14 et communique dans les deux
sens avec alimentation POW et microprocesseur µP.
[0024] Un détecteur de pertes d'alimentation DET branché sur le circuit d'alimentation général
V
B transmet les informations correspondantes au microprocesseur µP pour compensation
des pertes.
[0025] L'horloge CLK envoie des impulsions non seulement au microprocesseur µP mais à un
dispositif d'alimentation des signaux lumineux LIT, à l'interface INT et au dispositif
de contrôle de température TEMP. Ce dernier TEMP., associé à une thermistance de précision,
envoie au microprocesseur µP des signaux d'indication de dépassement de températures
dans les conditions qui seront analysées ci-après.
[0026] Le système d'alimentation assure également la commutation d'une tension V
P, ci-après dénommée tension commutée, qui est fournie au système sonore 13 à l'interface
INT, à la commande d'impression PRINT.CONT et à l'alimentation des dispositifs lumineux,
ainsi qu'au réseau local 2. L'ensemble 11 de la figure 2 associé au clavier 9 est
essentiellement constitué par l'afficheur lui-même DISP. et sa commande DISP.CONT
alimentés tous deux par le système d'alimentation des dispositifs lumineux LIT. Ce
dernier fournit les tensions nécessaires V
A V
A′, à l'affichage et alimente les voyants et les ampoules d'éclairage 16 du clavier;
il fournit également à la commande d'affichage DISP.CONT une tension V
M sur laquelle on reviendra ci-après. Cette alimentation des dispositifs lumineux LIT
est associée à une photorésistance 17 qui tient compte de l'éclairement environnant.
[0027] Le microprocesseur µP est également en relation avec le système d'impression 12 constitué
essentiellement par l'imprimante elle-même PRINT et sa commande PRINT.CONT.
[0028] Le BUS assure la transmission des données issues du microprocesseur µP aux commandes
d'affichage DISP.CONT et d'impression PRINT.CONT ainsi qu'à l'interface INT connecté
en 2 au réseau local.
[0029] On reviendra ci-après sur les divers constituants du terminal de la figure 2 mais
on peut noter quelques points importants.
[0030] La tension de secours V
S est de l'ordre de celle V
B′ de la batterie de secours.
[0031] La tension commutée V
P est celle V
B de l'alimentation générale du véhicule après commutation.
[0032] L'horloge CLK envoie ses impulsions au microprocesseur µP, mais également au système
d'alimentation des dispositifs lumineux LIT pour en assurer la commande générale
alternative, à l'interface INT et au contrôleur de température TEMP pour assurer
l'échantillonnage.
[0033] La figure 3 représente schématiquement le montage du microprocesseur µP lui-même,
c'est-à-dire sans le bus et les mémoires. Dans l'exemple considéré, il s'agit d'un
circuit intégré de type CMOS, de référence 146805, fabriqué par Motorola, qui est
un microprocesseur à 8 bits incluant, entre autres, une mémoire vive et des dispositifs
d'entrée et de sortie, présentant l'avantage d'une faible consommation d'énergie
et d'un prix de revient relativement bas, ce qui est appréciable pour un équipement
embarqué.
[0034] Prenant en considération, successivement les connexions du microprocesseur, on rencontre
les éléments suivants: V
CC/RESET branchement sur la tension régulée V
C d'une entrée de déclencheur d'où le recours à un simple ensemble RC pour la constante
de temps.
GND masse.
PA0 à PA7 et PB0 à PB7 correspondant à des portes d'entrée et de sortie.
PB7 entrée du signal OC de la figure 2 (occupation/vacance).
PB6 INH.DISP.: inhibition de l'affichage qui sert à éviter la rémanence d'un
caractère précédent.
PB5 TEMP: entrée des signaux d'indication de dépassement de températures envoyées
par le controleur.
PB4 entrée du signal AL de la figure 2 (alarme par exemple par pédale).
PB0 à 3 MAP.EPROM: changement de système d'adressage permettant d'augmenter
la capacité nominale de la mémoire morte EPROM.
PA0 et 1 L0 et Ll: état de la matrice du clavier.
PA2 circuit de marche de l'avertisseur sonore (type buzzer, par exemple) monté
de sorte qu'il soit inactif tant que le microprocesseur µP est hors service.
PA3 IT.PR: signal de demande d'interruption en provenance de la commande d'imprimante.
PA4 et 5 MAP.RAM: même système que pour MAP.EPROM afin d'augmenter la capacité
de la mémoire vive RAM.
PA6 VL: signal de perte de tension provenant du détecteur DET.
PA7 INH.PR: inhibition de l'imprimante permettant de s'assurer de l'état pendant
la remise à zéro RESET, et de garantir les valeurs initiales à l'électronique en
attendant la mise en marche du microprocesseur.
OSC1 et OSC2 correspondent à des entrées d'oscillateurs. Dans le cas de l'utilisation
d'une horloge externe, on branche sur OSC1 la sortie A de l'horloge CLK.
B0 à 7 bus de données et d'adresses d'ordre inférieur multiplexées MA.
A8 à 12 bus de données et d'adresses d'ordre supérieur non multiplexées MA.
DS commande de sortie de données (data strobe).
AS commande de sortie d'adresses (address strobe).
IRQ entrée de demande d'interruption.
[0035] A la figure 4, qui représente le circuit de commande du bus du microprocesseur, on
retrouve les signaux AS, DS, ainsi que ceux issus des portes A₈ à A₁₂ et B₀ à B₇ du
microprocesseur µP de la figure 3, auxquels il faut ajouter le signal R/W de commande
de lecture/écriture (read/write) issu du microprocesseur et le signal INH.RAM issu
de la commande d'alimentation POW.CONT (figure 2).
[0036] Cette commande de bus assure le démultiplexage de B₀ à B₇, c'est-à-dire des données
et des adresses d'ordre inférieur, en D₀ à D₇ (données) et A′₀ à A′₇ (adresses).
Par ailleurs, elle assure le décodage des signaux pour donner les diverses impulsions
de validation :
CSRAM (pour la mémoire vive),
CSEPRF et CSEPRM (pour les mémoires mortes),
CSIMP (pour l'imprimante, et
CSSEG et CSCAR (pour les segments et les caractères de l'affichage sur lesquels
on reviendra plus loin).
[0037] Cet ensemble est organisé autour des constituants principaux suivants :
Un dispositif de verrouillage de bus (BL) assurant le démultiplexage. Il peut être
constitué par tout système classique tel qu'un circuit intégré de type HC 373.
[0038] Il est connecté d'une part par ses entrées I₀ à I₇ au bus B₀ à B₇ de données et d'adresses
d'ordre inférieur, d'autre part par son entrée I à la validation de sortie d'adresse
AS (address strobe).
[0039] Les signaux véhiculés en B₀ à B₇ donnent d'une part les signaux D₀ à D₇ en transmission
directe, d'autre part les signaux A′₀ et A′₇ à travers le verrou BL commandé par les
signaux de sortie d'adresses AS. Le verrou BL est mis à la masse en E et GND et alimenté
en V
CC en tension régulée V
C.
[0040] Les signaux de commande de lecture/écriture R/W sont d'une part transmis directement
et, d'autre part sont inversés (par exemple par arrivée aux deux entrées de la porte
NON-ET1, ce qui permet avec les autres portes NON-ET utilisées ci-après d'employer
les quatre portes de même type d'un seul composant tel qu'un circuit HCO3 à collecteurs
ouverts).
[0041] Le signal issu de cette porte OERAM sert à l'activation de sortie de la mémoire vive
et est, par ailleurs, amené à l'une des entrées d'une seconde porte NON-ET2 dont l'autre
entrée reçoit les signaux INH.RAM. Elle émet les signaux d'autorisation d'écriture
WERAM.
[0042] Les signaux de commande de sortie de données DS sont d'une part transmis directement
en E et d'autre part amenée à une entrée d'une troisième porte NON-ET3 recevant sur
son autre entrée les signaux INH.RAM. Sa sortie est connectée aux entrées E
a et E
b d'un décodeur D (par exemple un circuit intégré de type LS 156). Le bus de données
et d'adresses d'ordre supérieur A₈ à A₁₂ est connecté, pour A₈ et A₉ directement
en A′₈ et A′₉ à l'ensemble mémoire, comme on le verra ci-après, pour A₁₀ également
en A′₁₀ à l'ensemble mémoire mais également à l'entrée E
a et à une seconde entrée E
b du décodeur D, pour A₁₁ et A₁₂ respectivement aux entrées A₀ et A₁ du décodeur D.
[0043] On notera sur la figure 4, les séries de résistances de rappel montées entre lignes
de bus (sur B₀ à B₇, A′₀ à A′₇, A₈ à A₁₀) et masse, c'est-à-dire sur toutes les lignes
aboutissant aux boîtier de mémoire. Elles servent à la sauvegarde de la mémoire et
évitent des présences erratiques de niveau élevé quand le système n'est pas alimenté
ce qui évite des consommations élevées.
[0044] Le décodeur D est également alimenté en V
CC en tension régulée V
C. Par ailleurs, les entrées E
a et E
b du décodeur D connectées à la sortie de la porte NON-ET3 et les sorties a₀ et b₀
reçoivent l'alimentation en tension V
S, c'est-à-dire qu'elles sont constamment sous tension. Les sorties a₁, b₁, a₂, b₂,
a₃ et b₃ du décodeur D sont alimentées en tension régulée V
C. Les sorties des portes NON-ET1 à 3 sont toutes alimentées en tension V
S.
[0045] Les alimentations maintenues en permanence assurent la connaissance constante de
tous les signaux échangés avec les mémoires.
[0046] Les sorties du décodeur D donnent les impulsions de validations suivantes:
a₀ et b₀ CS.RAM pour la mémoire vive;
a₁ CS.SEG pour les segments d'affichage à travers une immersion assurée par la
porte NON-ET4 et dont les entrées sont connectées entre elles et à l'alimentation
V₃, elle-même alimentant également la sortie,
b₁ CS.CAR pour les caractères d'affichage;
et CS.IMP pour l'imprimante;
a₂ et b₂ CSEPRM pour des mémoires EPROM.
a₃ et b₃ CSEPRF pour une mémoire EPROM.
[0047] La figure 5 représente schématiquement l'ensemble mémoire associé au microprocesseur
µP de la figure 3 et constitué par une association mémoire vive, mémoire morte de
préférence reprogrammable.
[0048] Dans l'exemple de réalisation représenté à cette figure 5, la mémoire vive RAM peut
être constituée par un circuit intégré de type 6264 et la mémoire morte reprogrammable
EPROM pour trois circuits intégrés EPROM 1, 2 et 3 pouvant être respectivement :
une de type 2716 et deux de type 27128.
[0049] Toutes ces mémoires sont connectées au bus de données D₀ à D₇ et au bus d'adresses
A′₀ à A′₁₀ (voir figure 4). La mémoire vive RAM alimentée en tension régulée V
C (en CS2) reçoit en CS1 la validation CSRAM, en OE et en WE les commandes d'activation
de sortie EORAM et d'autorisation d'écriture WERAM. Les signaux PA₄ et PA₅ issus du
microprocesseur µP arrivant en A₁₁ et A₁₂ assurent l'adressage augmentation (mapping).
La mémoire morte reprogrammable EPROM1 alimentée également en tension régulée V
C (en V
PP) reçoit en OE (autorisation de sortie) les signaux de commande CSEPRF. Quant aux
mémoires mortes reprogrammables EPROM2 et 3, elles reçoivent en OE les signaux de
validation CSEPRM. Les signaux PB3 commandent également les mémoires, le transistor
T intercalé entre les entrées des deux mémoires, assurant l'inversion de signal pour
passer d'une mémoire à l'autre; l'ensemble des signaux PB0 à PB3 assure l'augmentation
de l'adressage (mapping) des EPROM 2 et 3.
[0050] De telles dispositions de mémoires permettent dans le cas de l'exemple de réalisation
de la figure 5 d'assurer en mémoire vive RAM 8 kilo-octets et en mémoires mortes 2
+ 2 x 16 = 34 kilo-octets, que l'on peut porter à 42 kilo-octets grâce à 8 kilo-octets
d'adressage. A la figure 6, est schématiquement représenté un exemple de réalisation
du bloc d'alimentation POW de la figure 2.
[0051] Entre les bornes ± V
B de la batterie d'alimentation du véhicule est montée une varistance V qui assure
la protection contre d'éventuelles surtensions, suivie d'un système à couplage inductif
dont un élément C1 est entre -V
B et la masse, l'autre C₂ entre +V
B et le reste du bloc d'alimentation.
[0052] Le bloc est piloté par la commande d'alimentation POW.CONT (figure 2) qui agit sur
un relais R en parallèle avec une diode D1 lorsque le bloc d'alimentation est au repos,
la diode électroluminescente ELD est alimentée; lorsque le bloc travaille, la diode
ELD est éteinte. La tension V
B de batterie est alors amenée d'une part directement en aval pour les alimentations
ne nécessitant aucune précaution spéciale, d'autre part à l'ensemble qui va être décrit
et qui fournit les diverses tensions nécessaires. Un premier jeu de capaci tés K1,
K2 amortit le fonctionnement du régulateur de tension pour éviter les effets des signaux
indésirables.
[0053] On retrouvera en aval du régulateur proprement dit REG des capacités K₃, K₄ qui assurent
un courant de décharge pendant quelques dizaines de microsecondes lors de la coupure.
[0054] La diode D₁ empêche les décharges et la diode D₂ évite les chutes de tension vers
la masse.
[0055] On notera que si l'on utilise un relais R mais à doubles contacts d'entrée et de
sortie, on peut éviter ces diodes. Le régulateur REG est constitué par un circuit
intégré, associé au transistor T1.
[0056] On recueille en aval des capacités K₃, K₄ la tension régulée V
C et par un diviseur de tension la tension de référence V
ref. Un étage constitué autour du transistor T2 de la diode D₂ et de la batterie de secours
B
S assure l'alimentation en tension de secours V
S. La batterie B
S est chargée par le circuit associé dans lequel on utilise de préférence une diode
D2 au germanium pour éviter des pertes de tension. La tension V
P recueillie en aval des capacités K₁, K₂ est une tension égale à V
B mais commutée. La figure 7 représente un exemple de réalisation de dispositif de
commande d'alimentation et d'arrêt/marche (POW.CONT, figure 2).
[0057] Un interrupteur poussoir de mise en marche 14 met sous la tension de batterie V
B cet ensemble POW.CONT qui commande le relais R de la figure 6.
[0058] Le transistor T₃ est mis en conduction temporairement par l'interrupteur poussoir
14, et à demeure par le comparateur COMP.; la tension de base du transistor T₃ correspond
à V
B grâce à l'ensemble de résistances R₂ formant diviseur de tension, à coefficient k
associé à une diode D3 et à une capacité K₅. Le collecteur du transistor T₃ suivi
de la diode D₄ assure la commande d'alimentation POW.CONT. Les signaux CSCAR prélevés
sur le bus décrit plus haut permettent de fournir des impulsions d'entretien à un
ensemble monostable de tout type classique tel celui organisé autour des deux portes
NON.ET 5 et 6, qui fournissent des signaux en dents de scie grâce au déchargement
du circuit RC qu'il comprend. Ces signaux ne remontant en principe jamais au niveau
V
Réf, le comparateur reste au niveau et assure la conduction du transistor T₃.
[0059] Si l'entretien n'est plus assuré; le comparateur arrête la conduction du transistor
T₃.
[0060] Les diodes D₅ et D₆ évitent pertes et déchargements intempestifs.
[0061] Le petit circuit organisé autour de la diode D₇ assure la mise en marche et permet
d'inhiber le fonctionnement du comparateur COMP tant que le microprocesseur n'est
pas en état de fournir les signaux d'entretien.
[0062] Ces circuits sont, comme indiquées sur la figure, alimentés en tension régulée V
C A la sortie du comparateur, on recueille les signaux INHRAM inhibant l'accès à la
mémoire vive en période de non fonctionnement.
[0063] La figure 8 représente un exemple de réalisation du détecteur de perte de tension
DET (figure 2). Il reçoit la tension de batterie V
B telle quelle ou commutée V
P. On la compare (COMP2) à la tension de référence V
réf, ce qui engendre des signaux de perte de tension VL envoyés au microprocesseur
µP si V
B ou V
P sont inférieurs à V
réf. On peut éventuellement donner en INH un ordre d'inhibition. On peut également à
la sortie du comparateur, après inversion, obtenir un signal de demande d'interruption
pour le microprocesseur µP.
[0064] La figure 9 représente un schéma d'exemple de réalisation de l'alimentation des
circuits lumineux (LIT figure 2).
[0065] Cet ensemble est alimenté en tension commutée V
p et reçoit les signaux d'horloge CLK, B ainsi que les informations sur la lumière
ambiante sur un capteur 17 tel qu'une photorésistance. Il doit émettre une tension
V
M continue vers la commande d'affichage DISPCONT et des tensions à haute fréquence
V
ATV′ vers l'affichage DISP proprement dit (par exemple de l'ordre de 150 kHz, 4V).
Il assure également l'alimentation de l'éclairage 16 du clavier compte tenu de l'éclairage
ambiant détecté en 17. L'ensemble DS détecte un seuil d'éclairage et l'ensemble RC
assure une constante de temps pour obtenir l'allumage et l'extinction sans variation
en cas de variation rapide de la lumière. L'affichage est de préférence de type fluoresant.
[0066] Ce circuit de commande de l'éclairage 16 du clavier est alimenté à partir de V
H. L'allumage lui-même est commandé par le transistor T₄, lui même commandé à partir
de la photo-résistance 17 et associé à la capacité K₆ d'entrée assurant le démarrage.
[0067] L'alimentation V
A, V
A′ est obtenu par un étage de transistors T5 à T8 couplés à émetteurs suiveurs dont
la base est commandée grâce aux inverseurs I₁ à I₆ par des signaux en oppostion de
phase rythmés par l'horloge CLK,B; l'alimentation V
H est obtenue grâce au tripleur de tension TR à diodes rapides, Schotthy.
[0068] La figure 10 représente la commande d'affichage (DISP,CONT, figure 2). Les informations
à afficher arrivent du microprosseur µP par le BOS à savoir les signaux commandés
de caractères CSCAR et de segments CSSBG, les signaux de données D₀ à D₇ et d'adresse
A₃A₄ ainsi que ceux d'inhibition INH. Cet ensemble constitue donc l'interface entre
le microprosseur µP et le bus d'une part et l'affichage à 16 caractères de 16 segments
chacun. Selon l'exemple représenté à la figure 10, il est essentiellement constitué
par deux circuits intégrés de verrouillage LTC1 et LTC2 pour les segments SEG recevant
les signaux de données D₀/D₇, les signaux d'adresses A₃ (pour LTC1) et A₄ (pour LTC2)
et les signaux de commande CSSEG ainsi que les signaux d'inhibition INH. Ils sont
par ailleurs alimentés en tensions V
c et V
H et leurs sorties sont connectées aux entrées segments SEG de l'affichage alphanumérique
de tout type classique. Ces verrous assurent la mémorisation du dessin de chaque caractère.
[0069] En ce qui concerne les caractères CAR le dispositif comprend essentiellement deux
registre à décodage SHR1 et SHR2 assurant les entrées séquentielles des 16 caractères
sélectionnés. Ces registres SHR1 et SHR2 reçoivent les signaux de commande CSCAR sur
leurs entrées horloge CLK et les signaux de données (en cascade) sur leurs entrées
In (D₄ sur In de SHR1 et sortie O₇ de SHR1 sur In de SHR2). Les registres sont alimentés
en tension V
c. Leurs sorties O₀ à O₇ de SHRl et O′₀ et O′₁ de SHR2 sont reliées au clavier par
des diodes. Les signaux de sélection de caractère sont donc utilisés pour scruter
le clavier 9, les diodes évitant l'allumage de 2 caractères. Les informations de lignes
L0, L1 sont recueillies sur les colonnes. Les sorties O₀ à O₇ et O′₀ à O′₇ des verrous
sont reliées aux entrées caractères CAR de l'affichage par des dispositifs de translation
de niveau LTl et LT2 alimentés en V
C, V
M.
[0070] La figure 11 représente un exemple de réalisation de l'interface d'imprimante (PRINT
CONT, figure 2).
[0071] Ce dispositif est essentiellement constitué par un circuit de verrouillage LTC3 recevant
du bus les signaux de données D₀ à D₇, les signaux d'adresse A₂, les signaux de commande
d'impression CSIMP (sur l'entrée STR) et les signaux d'inhibition INH (sur l'entrée
BLK). Il est alimenté en tension V
c et V
p. Le verrou LTC3 assure l'alimentation en courant continu d'entrainement et de freinage
du moteur MOT de l'imprimante; il assume également par d'autres circuits l'alimentation
id des solénoïdes SOL d'impression à aiguilles.
[0072] Les commandes sont stabilisées en tension ce qui nécessite une translation de niveau
à partir de V
p grâce au verrouillage, et ceci en faisant appel à des transistors DT en montage
Darlington NPN discret.
[0073] Dans l'alimentation du moteur la capacité élimine le bruit, la diode assurant un
fonctionnement en "roue libre". Par ailleurs, le verrouillage LTC3 assure la détection
de remise à zéro RST DET et la détection de temps TIM DET. La détection de remise
à zéro donne l'information sur la position du "chariotage" (le point à gauche correspondant
au début de ligne tandis que la détection de temps est nécessaire à l'information
sur le fonctionnement des solénoïdes).
[0074] Le signal recueilli à la sortie S du verrou LTC3 commande le circuit de détection
de remise à zéro, le circuit RC introduisant une constante de temps pour effacer
les rebonds de relais. A la sortie de la porte NON ET 7, on recueille 1 en début de
ligne, O lorsqu'il n'y a pas de changement d'état.
[0075] En ce qui concerne la détection de temps à la sortie de la porte NON ET 8, on transforme
en signaux carrés les signaux reçus, pour les amener à la bascule FF. Une résistance
et des diodes limitent la surcharge à l'entrée de la porte NON ET 8.
[0076] La bascule FF donne donc des informations sur les fronts montants et descendants.
Q est à 0 pour un front montant. Le verrou LTC 3 émet des signaux d'inhibition de
la bascule complémentaires des signaux S.
[0077] Les diodes à la sortie Q de la bascule FF constituent deux portes OU donnant les
signaux de demande d'interruption IRQ et d'interruption d'imprimante ITIMP. La bascule
peut être de tout type adéquat tel que le circuit HC74.
[0078] La figure 12 représente schématiquement un exemple de réalisation de l'interface
de réseau local (INT, figure 2). Ce dispositif peut être essentiellement organisé
autour d'un circuit intégré d'interface de communication, tel le MC 6850 produit par
Motorola qui est de type MOS à canal N et à portes de silicium. Ce cirduit est particulièrement
adapté pour coopérer avec le microprocesseur MC 146805 mentionné plus haut. Le rôle
de ce dispositif est d'assurer la communication entre l'ensemble objet de la présent
einvention et le dispositif de radiocommunication tel celui faisant l'objet de la
demande de brevet français ci-dessus mentionnée déposée le même jour que la présente.
[0079] Le circuit d'interface est connecté comme suit :
V
cc tension V
c
E signaux d'horloge A
R/ω signaux lecture/écriture
CS2 signaux CSIMP
CS1 tension V
c
CS0 signaux d'adresses A1
RS émission de signaux d'adresses A0
D₀/D₇ signaux de données (dans les diviseurs)
IRQ demande d'interruption
RQ et IQ sortie Q d'une bascule FF2 divisant par deux la fréquence des signaux
d'horloge CLIC
CTS et DCD masse
RTS remise à zéro
RD signaux à la réception (active à l'état bas d'où le point de détection avec
hystéresis)
TD émission avec inversion à cause des émetteurs multiples sur le réseau local
[0080] Cet ensemble transmet également les signaux d'horloge et laisse passer accessoirement
les signaux marche arrêt O/1.
[0081] La figure 13 représente un détecteur de température à comparateur COMPTH monté entre
deux branches de pont dont l'une comporte une thermistance TH fonctionnant en capteur.
Entre deux seuils de température la sortie bascule au rythme de l'horloge. Selon les
températures, le système passe donc de l'état 0 à l'état 1 et réciproquement.
[0082] On notera que les équipements conformes à la présente invention et qui fonctionnent
en réseau privé assurent la gestion de l'utilisation de véhicules et en particulier
de taxis.
1.- Equipement en réseau privé pour la gestion de l'utilisation de véhicules, destiné
à être embarqué à bord d'un véhicule pour la collecte, la mise en mémoire, le traitement
et la transmission à distance de données, connecté à un émetteur-récepteur radiophonique
à travers un interface assurant les conversions et remises à niveau entre d'une part
ledit équipement comprenant terminal de traitement des données organisé de façon ouverte
autour d'un bus local et incluant un clavier, au moins un dispositif d'affichage et
des entrées connectées à ces sources de données et à d'éventuels périphériques, caractérisé
par le fait que l'ensemble émetteur-récepteur 3/interface 7 est connecté directement
à au moins un terminal 1 et aux éventuels périphériques 8 par un ensemble de connexions
2 constitué par des lignes dont certaines transmettent l'information marche/arrêt
(1,0), les signaux de remise à zéro RESET, d'horloge CLK, de réception de données
RX et de transmissions de données.
2.- Equipement selon la revendication 1, caractérisé par le fait que parmi les lignes
constituant les connexions (2), au moins celle de réception de données RX est reliée
au terminal (1) par un dispositif interface INT à collecteurs ouverts (REC/RD).
3.- Equipement selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que
le terminal (1) comprend essentiellement un microprocesseur µP incluant mémoires
et bus et transmettant à l'interface INT monté à l'entrée de l'ensemble de connexions
(2) en plus des données transmises par le bus BUS, les impulsions d'horloge CLK.
4.- Equipement selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le microprocesseur
µP assure la gestion commune du clavier de l'affichage en étant relié à un dispositif
de commande d'affichage DISP CONT par le bus BUS et en envoyant les signaux INH d'inhibition
de l'affichage pour éviter les rémanence d'un affichage instantané au suivant, le
microprocesseur µP recevant du dispositif de commande d'affichage DISP CONT les signaux
KB issus du clavier (9) qui, avec le microprocesseur est relié à l'affichage DISP.
5.- Equipement selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'un
dispositif d'alimentation des signaux lumineux LIT relié au microprocesseur µP, à
l'affichage DISP et au système (16) d'éclairage du clavier est muni d'un dispositif
de réglage de l'éclairage du clavier (16) et de l'affichage fluorescent DISP commandé
par un capteur photorésistant de lumière ambiante (17) temporisé grâce aux signaux
d'horloge CLK.
6.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait qu'une
horloge CLK envoie ses signaux au microprocesseur µP, à l'interface INT avec les lignes
de commande (2) à la commande d'affichage DISP-CONT et au dispositif d'alimentation
de l'éclairage LIT.
7.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que le
microprocesseur µP est relié à un dispositif de contrôle de température TEMP de l'enceinte.
8.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que le
microprocesseur µP est relié à un dispositif d'indication d'occupation/vacance OC.
9.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que l'ensemble
des constituants est alimenté par un dispositif d'alimentation POW lui-même relié
à l'alimentation générale embarquée VB.
10.- Dispositif selon la revendication 9, caractérisé par le fait qu'un détecteur
DET de perte d'alimentation générale VB informe le microprocesseur µP de toute défaillance lequel par l'intermédiaire de
la commande d'alimentation POW CONT ordonne au dispositif d'alimentation POW de passer
sur l'alimentation de batterie de secours pour la sauvegarde des données et maintien
de l'équipement en état cohérent.
11.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé par le fait que
le microprocesseur µP est relié à une commande d'impression PRINT CONT elle-même réliée
à une imprimante, le microprocesseur µP envoyant à la commande d'impression, en plus
des données transmises par le bus BUS les signaux d'inhibition INH et en recevant
les signaux d'interruption d'impression.
12.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisé par le fait qu'il
est embarqué à bord d'un véhicule équipé d'un radioémetteur appartenant à un ensemble
de véhicules communiquant avec au moins un poste central.
13.- Dispositif selon la revendication 12, caractérisé par le fait qu'il est appliqué
à des véhicules du type taxi.