(19)
(11) EP 0 295 984 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
21.12.1988  Bulletin  1988/51

(21) Numéro de dépôt: 88401264.2

(22) Date de dépôt:  25.05.1988
(51) Int. Cl.4G08G 1/12
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 27.05.1987 FR 8707464

(71) Demandeur: G7, Société Anonyme dite
F-92110 Clichy (FR)

(72) Inventeur:
  • Rainsard, Jean-Yves
    F-92500 Rueil Malmaison (FR)

(74) Mandataire: Hirsch, Marc-Roger 
Cabinet Hirsch 34 rue de Bassano
75008 Paris
75008 Paris (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Equipements embarqués pour le traitement et la transmission de données


    (57) La présente invention a pour objet un équipement destiné à être embarqué à bord d'un véhicule, pour la collecte, la mise en mémoire, le traitement et la transmission à distance de données, caractérisé par le fait qu'il est connecté à un radio/émetteur (3) radiophonique à travers un interface (7) assurant les conversions et remises à niveau entre d'une part ledit équipement (1) de type terminal et périphériques (8, 9, 11, 12) et d'autre part l'émetteur/récepteur (3).
    Application aux compagnies de transport et en particulier aux taxis.




    Description


    [0001] La présente invention a pour objet des équipements destinés à être embarqués à bord d'un véhicule et à assurer la collecte, la mise en mémoire, le traitement et la transmission (émission/réception) de données à échanger avec une ou plu­sieurs installations extérieures au véhicule.

    [0002] Actuellement, les installations les plus courantes pour la communication entre des véhicules et des installations extérieures (le plus souvent fixes) sont des installations radiophoniques ou radiotéléphoniques. C'est le cas aussi bien pour les véhicules terrestres que maritimes, aériens ou spa­tiaux. Or, si dans le domaine de la marine, de l'aviation ou de l'espace, on dispose de moyens actuellement très répandus pour repérer ou guider les véhicules du fait de l'utilisation possible de systèmes électromagnétiques ou autres (et notamment de radars), il est évident que l'encombrement des voies terres­tres en complique singulièrement l'usage au point que seul un émetteur embarqué puisse permettre d'assurer un repérage.

    [0003] Lorsqu'on veut suivre un parc important de véhicules, il faut s'orienter vers des solutions aisées à mettre en oeuvre si, à bord du véhicule, on ne dispose que d'une personne responsable, le conducteur comme c'est le cas sur les véhicules automobiles ou les chemins de fer. Dans le domaine ferroviaire on obtient assez facilement des repérages grâce aux ensembles de signalisation et d'aiguillages qui permettent l'enregis­trement du passage des convois en de nombreux points, ce qui permet de définir les sections de voies occupées ou non.

    [0004] Avec les véhicules automobiles (y compris camions, motocycles ou autres), le problème est extrêmement complexe et présente à court terme peu de solutions pratiques aisées à mettre en oeuvre.

    [0005] Dans ce qui suit, à titre d'exemple et par simplifica­tion, on se référera à un parc de taxis, ce qui représente l'exemple type d'organisation où il est utile de connaître au moins approximativement la position instantanée de chaque véhicule, sa destination et son heure approximative d'arrivée, ainsi que son état d'occupation ou de vacance. En possédant toutes ces données, il est possible de répondre plus aisément et plus rapidement aux demandes et éventuellement d'orienter les véhicules trop nombreux dans une zone à faible demande vers des zones où la demande ne peut être satisfaite.

    [0006] Or, à l'heure actuelle, le seul moyen de communication répandu est l'émetteur/récepteur radiophonique ou radiotélé­phonique et chaque fréquence de fonctionnement est encombrée non seulement par les demandes de véhicules mais également par les échanges de renseignements sur les positions et les desti­nations, si on désire contrôler la répartition et la disponi­bilité des véhicules.

    [0007] Dans la demande de brevet déposée le même jour par la demanderesse et intitulée "ensemble de transmission de données entre véhicules et postes fixes", il est proposé un réseau de communication avec des stations locales limitant l'encombre­ment des fréquences, en ne transmettant pas dans une zone des informations concernant d'autres zones trop éloignées; il est également proposé d'utiliser le réseau pour transmettre sur les fréquences radiophoniques des données relatives à tout ce qui peut intéresser l'organisation du réseau (demandes de véhicules, position, destination, heure estimée d'arrivée, distance parcourue, occupation ou vacance, vitesse, données comptables, état technique du véhicule, etc.). Pour cela, cette demande de brevet présente un ensemble pouvant consti­tuer une interface entre un émetteur-récepteur radiophonique et les équipements conformes à la présente invention.

    [0008] La liaison entre un tel interface ou tout équivalent et les équipements conforme à l'invention étant réalisée par un certain nombre de conducteurs électriques formant de préférence un ruban, un câble ou un faisceau, il est possible d'assurer par cette même liaison le branchement d'autres équipements formant des périphériques.

    [0009] Les équipements conformes à l'invention sont organisés autour d'un terminal transporté qui doit être d'un usage et d'une lecture extrêmement simples pour être accessible à un conducteur en activité et donc ne pas détourner son attention. Il doit par conséquent être lisible d'un simple coup d'oeil, comme les constituants traditionnels du tableau de bord et le système d'introduction des données de type clavier ou équiva­lent, doit être suffisamment simple pour que le conducteur puisse envoyer ses messages en quelques secondes, par exemple, lors de l'arret à un feu de signalisation au rouge.

    [0010] Selon la présente invention, à côté de l'émetteur-récepteur radiophonique classique avec microphone et haut-parleur ou écouteur, le conducteur peut introduire des données par exemple par l'intermédiaire d'un clavier et recevoir des données par affichage, des données pouvant également être automatiquement transmises à la station centrale ou à des sous-stations. Des capteurs placés sur le véhicule peuvent transmettre des indica­tions concernant la vitesse, le chemin parcouru, le prix des courses, l'état d'occupation ou de vacance et d'autres données techniques ou pratiques. Peuvent être également transmises des données concernant la sécurité et l'alarme (panne, attaque, accident, etc.).

    [0011] Les dispositifs conformes à l'invention qui ont été expérimentés présentent des dimensions restreintes (de l'ordre de celles des récepteurs radiophoniques classiques des automo­biles de série) avec un clavier dont le nombre de touches est réduit et un affichage alphanumérique. Un système d'éclairage permet une bonne lisibilité quel que soit l'éclairement régnant dans le véhicule à l'instant considéré. Diverses autres caractéri tiques apparaîtront dans la description de l'exemple de réali­sation ci-dessous analysé.

    [0012] On notera que du fait de l'évolution actuelle du rôle de l'électronique de bord des véhicules, les équipements conformes à l'invention pourront aisément être associés aux systèmes les plus variés, non seulement pour la transmission de données techniques mais par exemple dans le cadre du repérage et de la cartographie électroniques, auquel cas l'écran d'affichage pourrait être utilisé également, au moins en partie, dans le cadre de la présente invention. Pour mieux faire comprendre les caractéristiques techniques et les avantages de la pré­sente invention, on va en décrire un mode de réalisation, étant bien entendu que celui-ci n'est pas limitatif quant à son mode de mise en oeuvre et aux applications qu'on peut en faire.

    [0013] On se reportera aux figures suivantes qui représentent schématiquement:

    - la figure 1 un synoptique de l'ensemble embarqué dans lequel s'intègre un équipement conforme à l'invention qui pour simplifier sera ci-après dénommé le terminal;

    - la figure 2 un synoptique du terminal;

    - la figure 3 le montage d'un exemple de microprocesseur en lui-même;

    - la figure 4 la commande du bus du microprocesseur;

    - la figure 5 l'ensemble des mémoires;

    - la figure 6 l'ensemble d'alimentation;

    - la figure 7 la commande de l'alimentation et du système marche/arrêt;

    - la figure 8 le système de détection de perte de cou­rant;

    - la figure 9 l'alimentation des équipements lumineux;

    - la figure 10 l'ensemble d'affichage;

    - la figure 11 l'interface avec l'imprimante;

    - la figure 12 l'interface avec le réseau local;

    - la figure 13 le capteur de température.



    [0014] La figure 1 est destinée à illustrer l'association d'un terminal conforme à la présente invention avec d'autres équi­pements embarqués à bord du véhicule et en particulier avec l'émetteur-récepteur radiophonique.

    [0015] Le terminal 1 communique par un certain nombre de conduc­teurs 2 avec ces autres équipements et en particulier avec l'émetteur-récepteur 3 de tout type classique à microphone 4, haut-parleur 5 et antenne 6. Un interface 7 assure la trans­mission, les conversions et remises à niveau nécessaires entre d'une part les signaux du terminal 1, d'autres périphériques éventuels tels que 8 et d'autre part l'émetteur-récepteur 3. Cet interface 7 peut être du type faisant l'objet de la de­mande de brevet français déposé le même jour que la présente demande et ci-dessus mentionnée.

    [0016] Le terminal 1 reçoit de son côté un certain nombre d'informations par son clavier 9 et par diverses entrées 10 branchées par exemple sur des capteurs, alarmes, ou autres. L'affichage 11 permet de lire les données tant à l'émission qu'à la réception. Le tout peut être complété par une impri­mante 12. La présente invention porte donc essentiellement sur l'ensemble 1, 9, 10, 11, 12 et le branchement des conduc­teurs 2. Comme cela a été décrit plus haut, cet ensemble peut être réalisé en pratique sous une forme simple et de petit volume.

    [0017] A la figure 1, on n'a pas détaillé les rôles des conduc­teurs 2 sauf en ce qui concerne la masse.

    [0018] En pratique, comme on le verra ci-après, l'émetteur-­récepteur 1 est connecté aux conducteurs suivants indiqués avec les références qui seront utilisées ci-après:
        . arrêt/marche      1/0
        . remise à zéro      RESET
        . horloge      CLK
        . réception de données      RX
        . transmission de données      TX

    [0019] On peut y ajouter la masse et éventuellement une alimen­tation. Du côté du terminal, on retrouve les mêmes connexions. Sur la figure 1, on n'a pas représenté divers auxiliaires et notamment les alimentations des divers constituants qui seront analysées plus en détail ci-après.

    [0020] De préférence, les connexions sont réalisées par l'in­termédiaire d'interfaces par exemple du type à collecteurs ouverts pour permettre des interventions en parallèle sur chaque élément (tel que 8 par exemple) monté sur le réseau de conducteurs 2. Ce type de montage est nécessaire pour la ligne RX.

    [0021] A la figure 2, est représenté schématiquement le synop­tique du terminal 1 de la figure 1 (y compris clavier 9, affichage 11 et imprimante 12).

    [0022] Ce terminal est centré sur un microprocesseur µP incluant les dispositifs traditionnels (mémoire vive RAM, mémoire morte ROM ou mieux REPROM, bus de commande, d'adresse et de données, etc.). Le microprocesseur µP reçoit des impul­sions de l'horloge CLK et est alimenté en tension régulée VC et en tension VS secourue à partir de la batterie BAT, par le bloc d'alimentation POW. Ce microprocesseur µP est également relié au système de contrôle de température TEMP, à la commande d'imprimante PRINT.CONT, à la commande d'affichage DISP.CONT, à la commande d'alimentation POW.CONT et au détecteur de pertes d'alimentation DET, dans des conditions et par des moyens qui seront analysés ci-après. Le microprocesseur µP est associé à un signal sonore représenté en 13 et reçoit des signaux d'alarme AL, par exemple à partir d'une pédale, et d'occupation ou de vacance du véhicule OC à partir de la mise en route ou de l'arrêt du compteur de distance et de prix.

    [0023] L'ensemble du circuit de la figure 2 est relié par l'interface au réseau local symbolisé par les sorties 2. Le système d'alimentation POW est lui-même alimenté à partir de l'alimentation générale du véhicule VB et de la batterie BAT en tension VB réservée au secours du circuit conforme à l'in­vention. Ce système d'alimentation fournit la tension régu­lée VC aux constituants logiques dudit circuit et la tension de secours VS au microprocesseur µP. Il fournit également une tension de référence Vréf aux constituants analogiques (com­mande d'alimentation POW.CONT, contrôle de température TEMP et interface INT avec le réseau local). Le système d'alimenta­tion POW est commandé par le dispositif POW.CONT qui est lui même alimenté en tension générale VB du véhicule par l'inter­médiaire d'un interrupteur 14 et communique dans les deux sens avec alimentation POW et microprocesseur µP.

    [0024] Un détecteur de pertes d'alimentation DET branché sur le circuit d'alimentation général VB transmet les informations correspondantes au microprocesseur µP pour compensation des pertes.

    [0025] L'horloge CLK envoie des impulsions non seulement au microprocesseur µP mais à un dispositif d'alimentation des signaux lumineux LIT, à l'interface INT et au dispositif de contrôle de température TEMP. Ce dernier TEMP., associé à une thermistance de précision, envoie au microprocesseur µP des signaux d'indication de dépassement de températures dans les conditions qui seront analysées ci-après.

    [0026] Le système d'alimentation assure également la commuta­tion d'une tension VP, ci-après dénommée tension commutée, qui est fournie au système sonore 13 à l'interface INT, à la commande d'impression PRINT.CONT et à l'alimentation des dispositifs lumineux, ainsi qu'au réseau local 2. L'ensem­ble 11 de la figure 2 associé au clavier 9 est essentiellement constitué par l'afficheur lui-même DISP. et sa commande DISP.CONT alimentés tous deux par le système d'alimentation des dispositifs lumineux LIT. Ce dernier fournit les tensions nécessaires VA VA′, à l'affichage et alimente les voyants et les ampoules d'éclairage 16 du clavier; il fournit également à la commande d'affichage DISP.CONT une tension VM sur laquelle on reviendra ci-après. Cette alimentation des dispositifs lumineux LIT est associée à une photorésistance 17 qui tient compte de l'éclaire­ment environnant.

    [0027] Le microprocesseur µP est également en relation avec le système d'impression 12 constitué essentiellement par l'impri­mante elle-même PRINT et sa commande PRINT.CONT.

    [0028] Le BUS assure la transmission des données issues du microprocesseur µP aux commandes d'affichage DISP.CONT et d'impression PRINT.CONT ainsi qu'à l'interface INT connecté en 2 au réseau local.

    [0029] On reviendra ci-après sur les divers constituants du terminal de la figure 2 mais on peut noter quelques points importants.

    [0030] La tension de secours VS est de l'ordre de celle VB′ de la batterie de secours.

    [0031] La tension commutée VP est celle VB de l'alimentation générale du véhicule après commutation.

    [0032] L'horloge CLK envoie ses impulsions au microproces­seur µP, mais également au système d'alimentation des disposi­tifs lumineux LIT pour en assurer la commande générale alter­native, à l'interface INT et au contrôleur de température TEMP pour assurer l'échantillonnage.

    [0033] La figure 3 représente schématiquement le montage du microprocesseur µP lui-même, c'est-à-dire sans le bus et les mémoires. Dans l'exemple considéré, il s'agit d'un circuit intégré de type CMOS, de référence 146805, fabriqué par Motorola, qui est un microprocesseur à 8 bits incluant, entre autres, une mémoire vive et des dispositifs d'entrée et de sortie, présentant l'avantage d'une faible consommation d'éner­gie et d'un prix de revient relativement bas, ce qui est appréciable pour un équipement embarqué.

    [0034] Prenant en considération, successivement les connexions du microprocesseur, on rencontre les éléments suivants: VCC/RESET      branchement sur la tension régulée VC d'une entrée de déclencheur d'où le recours à un simple ensem­ble RC pour la constante de temps.
    GND      masse.
    PA0 à PA7 et PB0 à PB7      correspondant à des portes d'entrée et de sortie.
    PB7      entrée du signal OC de la figure 2 (occupation/va­cance).
    PB6      INH.DISP.: inhibition de l'affichage qui sert à éviter la rémanence d'un caractère précédent.
    PB5      TEMP: entrée des signaux d'indication de dépasse­ment de températures envoyées par le controleur.
    PB4      entrée du signal AL de la figure 2 (alarme par exemple par pédale).
    PB0 à 3      MAP.EPROM: changement de système d'adressage per­mettant d'augmenter la capacité nominale de la mémoire morte EPROM.
    PA0 et 1      L0 et Ll: état de la matrice du clavier.
    PA2      circuit de marche de l'avertisseur sonore (type buzzer, par exemple) monté de sorte qu'il soit inactif tant que le microprocesseur µP est hors service.
    PA3      IT.PR: signal de demande d'interruption en prove­nance de la commande d'imprimante.
    PA4 et 5      MAP.RAM: même système que pour MAP.EPROM afin d'augmenter la capacité de la mémoire vive RAM.
    PA6      VL: signal de perte de tension provenant du détec­teur DET.
    PA7      INH.PR: inhibition de l'imprimante permettant de s'assurer de l'état pendant la remise à zéro RESET, et de garantir les valeurs initiales à l'électro­nique en attendant la mise en marche du micropro­cesseur.
    OSC1 et OSC2      correspondent à des entrées d'oscillateurs. Dans le cas de l'utilisation d'une horloge externe, on branche sur OSC1 la sortie A de l'horloge CLK.
    B0 à 7      bus de données et d'adresses d'ordre inférieur multiplexées MA.
    A8 à 12      bus de données et d'adresses d'ordre supérieur non multiplexées MA.
    DS      commande de sortie de données (data strobe).
    AS      commande de sortie d'adresses (address strobe).
    IRQ      entrée de demande d'interruption.

    [0035] A la figure 4, qui représente le circuit de commande du bus du microprocesseur, on retrouve les signaux AS, DS, ainsi que ceux issus des portes A₈ à A₁₂ et B₀ à B₇ du microproces­seur µP de la figure 3, auxquels il faut ajouter le signal R/W de commande de lecture/écriture (read/write) issu du micropro­cesseur et le signal INH.RAM issu de la commande d'alimenta­tion POW.CONT (figure 2).

    [0036] Cette commande de bus assure le démultiplexage de B₀ à B₇, c'est-à-dire des données et des adresses d'ordre infé­rieur, en D₀ à D₇ (données) et A′₀ à A′₇ (adresses). Par ailleurs, elle assure le décodage des signaux pour donner les diverses impulsions de validation :
        CSRAM (pour la mémoire vive),
        CSEPRF et CSEPRM (pour les mémoires mortes),
        CSIMP (pour l'imprimante, et
        CSSEG et CSCAR (pour les segments et les caractères de l'affichage sur lesquels on reviendra plus loin).

    [0037] Cet ensemble est organisé autour des constituants prin­cipaux suivants :
    Un dispositif de verrouillage de bus (BL) assurant le démul­tiplexage. Il peut être constitué par tout système classique tel qu'un circuit intégré de type HC 373.

    [0038] Il est connecté d'une part par ses entrées I₀ à I₇ au bus B₀ à B₇ de données et d'adresses d'ordre inférieur, d'au­tre part par son entrée I à la validation de sortie d'adres­se AS (address strobe).

    [0039] Les signaux véhiculés en B₀ à B₇ donnent d'une part les signaux D₀ à D₇ en transmission directe, d'autre part les signaux A′₀ et A′₇ à travers le verrou BL commandé par les signaux de sortie d'adresses AS. Le verrou BL est mis à la masse en E et GND et alimenté en VCC en tension régulée VC.

    [0040] Les signaux de commande de lecture/écriture R/W sont d'une part transmis directement et, d'autre part sont inversés (par exemple par arrivée aux deux entrées de la porte NON-ET1, ce qui permet avec les autres portes NON-ET utilisées ci-après d'employer les quatre portes de même type d'un seul composant tel qu'un circuit HCO3 à collecteurs ouverts).

    [0041] Le signal issu de cette porte OERAM sert à l'activation de sortie de la mémoire vive et est, par ailleurs, amené à l'une des entrées d'une seconde porte NON-ET2 dont l'autre entrée reçoit les signaux INH.RAM. Elle émet les signaux d'autorisation d'écriture WERAM.

    [0042] Les signaux de commande de sortie de données DS sont d'une part transmis directement en E et d'autre part amenée à une entrée d'une troisième porte NON-ET3 recevant sur son autre entrée les signaux INH.RAM. Sa sortie est connectée aux entrées Ea et Eb d'un décodeur D (par exemple un circuit intégré de type LS 156). Le bus de données et d'adresses d'ordre supérieur A₈ à A₁₂ est connecté, pour A₈ et A₉ direc­tement en A′₈ et A′₉ à l'ensemble mémoire, comme on le verra ci-après, pour A₁₀ également en A′₁₀ à l'ensemble mémoire mais également à l'entrée Ea et à une seconde entrée Eb du déco­deur D, pour A₁₁ et A₁₂ respectivement aux entrées A₀ et A₁ du décodeur D.

    [0043] On notera sur la figure 4, les séries de résistances de rappel montées entre lignes de bus (sur B₀ à B₇, A′₀ à A′₇, A₈ à A₁₀) et masse, c'est-à-dire sur toutes les lignes aboutis­sant aux boîtier de mémoire. Elles servent à la sauvegarde de la mémoire et évitent des présences erratiques de niveau élevé quand le système n'est pas alimenté ce qui évite des consomma­tions élevées.

    [0044] Le décodeur D est également alimenté en VCC en tension régulée VC. Par ailleurs, les entrées Ea et Eb du décodeur D connectées à la sortie de la porte NON-ET3 et les sorties a₀ et b₀ reçoivent l'alimentation en tension VS, c'est-à-dire qu'elles sont constamment sous tension. Les sorties a₁, b₁, a₂, b₂, a₃ et b₃ du décodeur D sont alimentées en tension régulée VC. Les sorties des portes NON-ET1 à 3 sont toutes alimentées en tension VS.

    [0045] Les alimentations maintenues en permanence assurent la connaissance constante de tous les signaux échangés avec les mémoires.

    [0046] Les sorties du décodeur D donnent les impulsions de validations suivantes:
    a₀ et b₀      CS.RAM pour la mémoire vive;
    a₁      CS.SEG pour les segments d'affichage à travers une immersion assurée par la porte NON-ET4 et dont les entrées sont connectées entre elles et à l'alimentation V₃, elle-même alimentant également la sortie,
    b₁      CS.CAR pour les caractères d'affichage;
    et      CS.IMP pour l'imprimante;
    a₂ et b₂      CSEPRM pour des mémoires EPROM.
    a₃ et b₃      CSEPRF pour une mémoire EPROM.

    [0047] La figure 5 représente schématiquement l'ensemble mé­moire associé au microprocesseur µP de la figure 3 et consti­tué par une association mémoire vive, mémoire morte de préfé­rence reprogrammable.

    [0048] Dans l'exemple de réalisation représenté à cette figure 5, la mémoire vive RAM peut être constituée par un circuit inté­gré de type 6264 et la mémoire morte reprogrammable EPROM pour trois circuits intégrés EPROM 1, 2 et 3 pouvant être respecti­vement : une de type 2716 et deux de type 27128.

    [0049] Toutes ces mémoires sont connectées au bus de données D₀ à D₇ et au bus d'adresses A′₀ à A′₁₀ (voir figure 4). La mémoire vive RAM alimentée en tension régulée VC (en CS2) reçoit en CS1 la validation CSRAM, en OE et en WE les commandes d'activation de sortie EORAM et d'autorisation d'écriture WERAM. Les signaux PA₄ et PA₅ issus du micropro­cesseur µP arrivant en A₁₁ et A₁₂ assurent l'adressage augmentation (mapping). La mémoire morte reprogrammable EPROM1 alimentée également en tension régulée VC (en VPP) reçoit en OE (autorisation de sortie) les signaux de commande CSEPRF. Quant aux mémoires mortes reprogrammables EPROM2 et 3, elles reçoivent en OE les signaux de validation CSEPRM. Les signaux PB3 commandent également les mémoires, le transistor T intercalé entre les entrées des deux mémoires, assurant l'inversion de signal pour passer d'une mémoire à l'autre; l'ensemble des signaux PB0 à PB3 assure l'augmentation de l'adressage (mapping) des EPROM 2 et 3.

    [0050] De telles dispositions de mémoires permettent dans le cas de l'exemple de réalisation de la figure 5 d'assurer en mémoire vive RAM 8 kilo-octets et en mémoires mortes 2 + 2 x 16 = 34 kilo-octets, que l'on peut porter à 42 kilo-­octets grâce à 8 kilo-octets d'adressage. A la figure 6, est schématiquement représenté un exemple de réalisation du bloc d'alimentation POW de la figure 2.

    [0051] Entre les bornes ± VB de la batterie d'alimentation du véhicule est montée une varistance V qui assure la protection contre d'éventuelles surtensions, suivie d'un système à cou­plage inductif dont un élément C1 est entre -VB et la masse, l'autre C₂ entre +VB et le reste du bloc d'alimentation.

    [0052] Le bloc est piloté par la commande d'alimentation POW.CONT (figure 2) qui agit sur un relais R en parallèle avec une diode D1 lorsque le bloc d'alimentation est au repos, la diode électroluminescente ELD est alimentée; lorsque le bloc travaille, la diode ELD est éteinte. La tension VB de batterie est alors amenée d'une part directement en aval pour les alimentations ne nécessitant aucune précaution spéciale, d'autre part à l'ensemble qui va être décrit et qui fournit les diverses tensions nécessaires. Un premier jeu de capaci­ tés K1, K2 amortit le fonctionnement du régulateur de tension pour éviter les effets des signaux indésirables.

    [0053] On retrouvera en aval du régulateur proprement dit REG des capacités K₃, K₄ qui assurent un courant de décharge pendant quelques dizaines de microsecondes lors de la coupure.

    [0054] La diode D₁ empêche les décharges et la diode D₂ évite les chutes de tension vers la masse.

    [0055] On notera que si l'on utilise un relais R mais à doubles contacts d'entrée et de sortie, on peut éviter ces diodes. Le régulateur REG est constitué par un circuit intégré, associé au transistor T1.

    [0056] On recueille en aval des capacités K₃, K₄ la tension régulée VC et par un diviseur de tension la tension de réfé­rence Vref. Un étage constitué autour du transistor T2 de la diode D₂ et de la batterie de secours BS assure l'alimenta­tion en tension de secours VS. La batterie BS est chargée par le circuit associé dans lequel on utilise de préférence une diode D2 au germanium pour éviter des pertes de tension. La tension VP recueillie en aval des capacités K₁, K₂ est une tension égale à VB mais commutée. La figure 7 représente un exemple de réalisation de dispositif de commande d'alimenta­tion et d'arrêt/marche (POW.CONT, figure 2).

    [0057] Un interrupteur poussoir de mise en marche 14 met sous la tension de batterie VB cet ensemble POW.CONT qui commande le relais R de la figure 6.

    [0058] Le transistor T₃ est mis en conduction temporairement par l'interrupteur poussoir 14, et à demeure par le compara­teur COMP.; la tension de base du transistor T₃ correspond à VB grâce à l'ensemble de résistances R₂ formant diviseur de tension, à coefficient k associé à une diode D3 et à une capacité K₅. Le collecteur du transistor T₃ suivi de la diode D₄ assure la commande d'alimentation POW.CONT. Les signaux CSCAR prélevés sur le bus décrit plus haut permettent de fournir des impulsions d'entretien à un ensemble monostable de tout type classique tel celui organisé autour des deux portes NON.ET 5 et 6, qui fournissent des signaux en dents de scie grâce au déchargement du circuit RC qu'il comprend. Ces signaux ne remontant en principe jamais au niveau VRéf, le comparateur reste au niveau et assure la conduction du transistor T₃.

    [0059] Si l'entretien n'est plus assuré; le comparateur arrête la conduction du transistor T₃.

    [0060] Les diodes D₅ et D₆ évitent pertes et déchargements intempestifs.

    [0061] Le petit circuit organisé autour de la diode D₇ assure la mise en marche et permet d'inhiber le fonctionnement du comparateur COMP tant que le microprocesseur n'est pas en état de fournir les signaux d'entretien.

    [0062] Ces circuits sont, comme indiquées sur la figure, ali­mentés en tension régulée VC A la sortie du comparateur, on recueille les signaux INHRAM inhibant l'accès à la mémoire vive en période de non fonctionnement.

    [0063] La figure 8 représente un exemple de réalisation du détecteur de perte de tension DET (figure 2). Il reçoit la tension de batterie VB telle quelle ou commutée VP. On la compare (COMP2) à la tension de référence Vréf, ce qui engen­dre des signaux de perte de tension VL envoyés au microproces­seur µP si VB ou VP sont inférieurs à Vréf. On peut éventuel­lement donner en INH un ordre d'inhibition. On peut également à la sortie du comparateur, après inversion, obtenir un signal de demande d'interruption pour le microprocesseur µP.

    [0064] La figure 9 représente un schéma d'exemple de réali­sation de l'alimentation des circuits lumineux (LIT figure 2).

    [0065] Cet ensemble est alimenté en tension commutée Vp et reçoit les signaux d'horloge CLK, B ainsi que les informations sur la lumière ambiante sur un capteur 17 tel qu'une photorésis­tance. Il doit émettre une tension VM continue vers la commande d'affichage DISPCONT et des tensions à haute fréquence VATV′ vers l'affichage DISP proprement dit (par exemple de l'ordre de 150 kHz, 4V). Il assure également l'alimentation de l'éclai­rage 16 du clavier compte tenu de l'éclairage ambiant détecté en 17. L'ensemble DS détecte un seuil d'éclairage et l'ensemble RC assure une constante de temps pour obtenir l'allumage et l'extinction sans variation en cas de variation rapide de la lumière. L'affichage est de préférence de type fluoresant.

    [0066] Ce circuit de commande de l'éclairage 16 du clavier est alimenté à partir de VH. L'allumage lui-même est commandé par le transistor T₄, lui même commandé à partir de la photo-résis­tance 17 et associé à la capacité K₆ d'entrée assurant le démarrage.

    [0067] L'alimentation VA, VA′ est obtenu par un étage de tran­sistors T5 à T8 couplés à émetteurs suiveurs dont la base est commandée grâce aux inverseurs I₁ à I₆ par des signaux en oppostion de phase rythmés par l'horloge CLK,B; l'alimentation VH est obtenue grâce au tripleur de tension TR à diodes rapides, Schotthy.

    [0068] La figure 10 représente la commande d'affichage (DISP,CONT, figure 2). Les informations à afficher arrivent du microprosseur µP par le BOS à savoir les signaux commandés de caractères CSCAR et de segments CSSBG, les signaux de données D₀ à D₇ et d'adresse A₃A₄ ainsi que ceux d'inhibition INH. Cet ensemble constitue donc l'interface entre le microprosseur µP et le bus d'une part et l'affichage à 16 caractères de 16 segments chacun. Selon l'exemple représenté à la figure 10, il est essentiellement constitué par deux circuits intégrés de verrouillage LTC1 et LTC2 pour les segments SEG recevant les signaux de données D₀/D₇, les signaux d'adresses A₃ (pour LTC1) et A₄ (pour LTC2) et les signaux de commande CSSEG ainsi que les signaux d'inhibition INH. Ils sont par ailleurs alimentés en tensions Vc et VH et leurs sorties sont connectées aux entrées segments SEG de l'affichage alphanu­mérique de tout type classique. Ces verrous assurent la mémorisation du dessin de chaque caractère.

    [0069] En ce qui concerne les caractères CAR le dispositif comprend essentiellement deux registre à décodage SHR1 et SHR2 assurant les entrées séquentielles des 16 caractères sélectionnés. Ces registres SHR1 et SHR2 reçoivent les signaux de commande CSCAR sur leurs entrées horloge CLK et les signaux de données (en cascade) sur leurs entrées In (D₄ sur In de SHR1 et sortie O₇ de SHR1 sur In de SHR2). Les registres sont alimentés en tension Vc. Leurs sorties O₀ à O₇ de SHRl et O′₀ et O′₁ de SHR2 sont reliées au clavier par des diodes. Les signaux de sélection de caractère sont donc utilisés pour scruter le clavier 9, les diodes évitant l'allumage de 2 caractères. Les informations de lignes L0, L1 sont recueillies sur les colonnes. Les sorties O₀ à O₇ et O′₀ à O′₇ des verrous sont reliées aux entrées caractères CAR de l'affichage par des dispositifs de translation de niveau LTl et LT2 alimentés en VC, VM.

    [0070] La figure 11 représente un exemple de réalisation de l'interface d'imprimante (PRINT CONT, figure 2).

    [0071] Ce dispositif est essentiellement constitué par un circuit de verrouillage LTC3 recevant du bus les signaux de données D₀ à D₇, les signaux d'adresse A₂, les signaux de commande d'impression CSIMP (sur l'entrée STR) et les signaux d'inhibition INH (sur l'entrée BLK). Il est alimenté en tension Vc et Vp. Le verrou LTC3 assure l'alimentation en courant continu d'entrainement et de freinage du moteur MOT de l'imprimante; il assume également par d'autres circuits l'alimentation id des solénoïdes SOL d'impression à aiguilles.

    [0072] Les commandes sont stabilisées en tension ce qui néces­site une translation de niveau à partir de Vp grâce au verrouil­lage, et ceci en faisant appel à des transistors DT en montage Darlington NPN discret.

    [0073] Dans l'alimentation du moteur la capacité élimine le bruit, la diode assurant un fonctionnement en "roue libre". Par ailleurs, le verrouillage LTC3 assure la détection de remise à zéro RST DET et la détection de temps TIM DET. La détection de remise à zéro donne l'information sur la position du "chariotage" (le point à gauche correspondant au début de ligne tandis que la détection de temps est nécessaire à l'infor­mation sur le fonctionnement des solénoïdes).

    [0074] Le signal recueilli à la sortie S du verrou LTC3 commande le circuit de détection de remise à zéro, le circuit RC intro­duisant une constante de temps pour effacer les rebonds de relais. A la sortie de la porte NON ET 7, on recueille 1 en début de ligne, O lorsqu'il n'y a pas de changement d'état.

    [0075] En ce qui concerne la détection de temps à la sortie de la porte NON ET 8, on transforme en signaux carrés les signaux reçus, pour les amener à la bascule FF. Une résistance et des diodes limitent la surcharge à l'entrée de la porte NON ET 8.

    [0076] La bascule FF donne donc des informations sur les fronts montants et descendants. Q est à 0 pour un front montant. Le verrou LTC 3 émet des signaux d'inhibition de la bascule complémentaires des signaux S.

    [0077] Les diodes à la sortie Q de la bascule FF constituent deux portes OU donnant les signaux de demande d'interruption IRQ et d'interruption d'imprimante ITIMP. La bascule peut être de tout type adéquat tel que le circuit HC74.

    [0078] La figure 12 représente schématiquement un exemple de réalisation de l'interface de réseau local (INT, figure 2). Ce dispositif peut être essentiellement organisé autour d'un circuit intégré d'interface de communication, tel le MC 6850 produit par Motorola qui est de type MOS à canal N et à portes de silicium. Ce cirduit est particulièrement adapté pour coopérer avec le microprocesseur MC 146805 mentionné plus haut. Le rôle de ce dispositif est d'assurer la communication entre l'ensemble objet de la présent einvention et le dispo­sitif de radiocommunication tel celui faisant l'objet de la demande de brevet français ci-dessus mentionnée déposée le même jour que la présente.

    [0079] Le circuit d'interface est connecté comme suit :
    Vcc      tension Vc
    E      signaux d'horloge A
    R/ω      signaux lecture/écriture
    CS2      signaux CSIMP
    CS1      tension Vc
    CS0      signaux d'adresses A1
    RS      émission de signaux d'adresses A0
    D₀/D₇      signaux de données (dans les diviseurs)
    IRQ      demande d'interruption
    RQ et IQ      sortie Q d'une bascule FF2 divisant par deux la fréquence des signaux d'horloge CLIC
    CTS et DCD      masse
    RTS      remise à zéro
    RD      signaux à la réception (active à l'état bas d'où le point de détection avec hystéresis)
    TD      émission avec inversion à cause des émetteurs multiples sur le réseau local

    [0080] Cet ensemble transmet également les signaux d'horloge et laisse passer accessoirement les signaux marche arrêt O/1.

    [0081] La figure 13 représente un détecteur de température à comparateur COMPTH monté entre deux branches de pont dont l'une comporte une thermistance TH fonctionnant en capteur. Entre deux seuils de température la sortie bascule au rythme de l'horloge. Selon les températures, le système passe donc de l'état 0 à l'état 1 et réciproquement.

    [0082] On notera que les équipements conformes à la présente invention et qui fonctionnent en réseau privé assurent la gestion de l'utilisation de véhicules et en particulier de taxis.


    Revendications

    1.- Equipement en réseau privé pour la gestion de l'uti­lisation de véhicules, destiné à être embarqué à bord d'un véhicule pour la collecte, la mise en mémoire, le traitement et la transmission à distance de données, connecté à un émet­teur-récepteur radiophonique à travers un interface assurant les conversions et remises à niveau entre d'une part ledit équipement comprenant terminal de traitement des données organisé de façon ouverte autour d'un bus local et incluant un clavier, au moins un dispositif d'affichage et des entrées connectées à ces sources de données et à d'éventuels périphé­riques, caractérisé par le fait que l'ensemble émetteur-récep­teur 3/interface 7 est connecté directement à au moins un terminal 1 et aux éventuels périphériques 8 par un ensemble de connexions 2 constitué par des lignes dont certaines trans­mettent l'information marche/arrêt (1,0), les signaux de remise à zéro RESET, d'horloge CLK, de réception de données RX et de transmissions de données.
     
    2.- Equipement selon la revendication 1, caractérisé par le fait que parmi les lignes constituant les connexions (2), au moins celle de réception de données RX est reliée au termi­nal (1) par un dispositif interface INT à collecteurs ouverts (REC/RD).
     
    3.- Equipement selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé par le fait que le terminal (1) comprend essentiel­lement un microprocesseur µP incluant mémoires et bus et transmettant à l'interface INT monté à l'entrée de l'ensemble de connexions (2) en plus des données transmises par le bus BUS, les impulsions d'horloge CLK.
     
    4.- Equipement selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le microprocesseur µP assure la gestion commune du clavier de l'affichage en étant relié à un dispositif de commande d'affichage DISP CONT par le bus BUS et en envoyant les signaux INH d'inhibition de l'affichage pour éviter les rémanence d'un affichage instantané au suivant, le micropro­cesseur µP recevant du dispositif de commande d'affichage DISP CONT les signaux KB issus du clavier (9) qui, avec le micro­processeur est relié à l'affichage DISP.
     
    5.- Equipement selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait qu'un dispositif d'alimentation des signaux lumineux LIT relié au microprocesseur µP, à l'affi­chage DISP et au système (16) d'éclairage du clavier est muni d'un dispositif de réglage de l'éclairage du clavier (16) et de l'affichage fluorescent DISP commandé par un capteur photo­résistant de lumière ambiante (17) temporisé grâce aux signaux d'horloge CLK.
     
    6.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait qu'une horloge CLK envoie ses signaux au microprocesseur µP, à l'interface INT avec les lignes de commande (2) à la commande d'affichage DISP-CONT et au dispo­sitif d'alimentation de l'éclairage LIT.
     
    7.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que le microprocesseur µP est relié à un dispositif de contrôle de température TEMP de l'enceinte.
     
    8.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que le microprocesseur µP est relié à un dispositif d'indication d'occupation/vacance OC.
     
    9.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que l'ensemble des constituants est alimenté par un dispositif d'alimentation POW lui-même relié à l'alimentation générale embarquée VB.
     
    10.- Dispositif selon la revendication 9, caractérisé par le fait qu'un détecteur DET de perte d'alimentation générale VB informe le microprocesseur µP de toute défaillance lequel par l'intermédiaire de la commande d'alimentation POW CONT ordonne au dispositif d'alimentation POW de passer sur l'ali­mentation de batterie de secours pour la sauvegarde des données et maintien de l'équipement en état cohérent.
     
    11.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé par le fait que le microprocesseur µP est relié à une commande d'impression PRINT CONT elle-même réliée à une imprimante, le microprocesseur µP envoyant à la commande d'impression, en plus des données transmises par le bus BUS les signaux d'inhibition INH et en recevant les signaux d'in­terruption d'impression.
     
    12.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 11, caractérisé par le fait qu'il est embarqué à bord d'un véhi­cule équipé d'un radioémetteur appartenant à un ensemble de véhicules communiquant avec au moins un poste central.
     
    13.- Dispositif selon la revendication 12, caractérisé par le fait qu'il est appliqué à des véhicules du type taxi.
     




    Dessins































    Rapport de recherche