(19)
(11) EP 0 311 533 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
12.04.1989  Bulletin  1989/15

(21) Numéro de dépôt: 88420331.6

(22) Date de dépôt:  04.10.1988
(51) Int. Cl.4B25D 17/32, E02F 5/30, E01C 23/12, B28D 1/26, E21C 27/28
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES FR GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 06.10.1987 FR 8714146

(71) Demandeur: Picard, Jean
F-38490 Granieu (FR)

(72) Inventeur:
  • Picard, Jean
    F-38490 Granieu (FR)

(74) Mandataire: Maureau, Philippe et al
Cabinet Germain & Maureau Le Britannia - Tour C 20, bld Eugène Déruelle Boîte Postale 3011
69392 Lyon Cédex 03
69392 Lyon Cédex 03 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Véhicule support d'un appareil à percussions


    (57) Ce véhicule comprend un chassis (2) équipé à son extrémité avant d'une potence (7, 8) sous laquelle est monté avec articulation autour de deux axes croisés un support (20) pour au moins un vérin (23) dont la tige (29) porte l'appareil à percussions (30), le corps du vérin étant orientable par action de deux vérins (26, 27) sensiblement horizontaux et convergents vers l'avant, articulés sur le chassis.
    Application à la réalisation d'un véhicule de chantier.




    Description


    [0001] La présente invention a pour objet un véhicule support d'un appareil à percussions.

    [0002] Les appareils à percussions, notamment ceux dont le piston de frappe est entraîné hydrauliquement alternativement dans un sens et dans l'autre, sont utilisés dans de nombreuses applications, par exemple pour réaliser des saignées dans les chaussées de voies de circulation ou dans des trottoirs, préalablement à l'exécution de tranchées, et pour réaliser la destruction de dalles ou de carrelages dans des bâtiments.

    [0003] Ces appareils sont le plus souvent actionnés manuellement, ce qui constitue un travail extrêmement pénible pour l'opérateur.

    [0004] La présente invention vise à remédier à ces inconvénients en fournissant un véhicule motorisé et autonome équipé d'un appareil à percus­sions dont l'axe de travail est réglable.

    [0005] A cet effet, le véhicule qu'elle concerne comprend un châssis équipé, à son extrémité avant, d'une potence tournée vers l'avant sur laquelle est monté suspendu, avec possibilité de double articulation selon des axes horizontaux croisés, un organe support d'au moins un vérin dont la tige est dirigée vers le bas, le corps de ce ou ces vérins étant équipé à proximité de son autre extrémité d'un organe sur lequel sont montées, articulées par l'intermédiaire de rotules, les extrémités des tiges de deux vérins dont les corps sont montés par l'intermédiaire de rotules sur le châssis du véhicule, ces vérins étant d'axes sensiblement horizontaux et convergents vers l'avant, la tige du ou des vérins d'orientation générale verticale portant le corps de l'appareil à percussions.

    [0006] Cet agencement permet le réglage de la position de l'appareil à percussions. Le ou les vérins d'orientation générale verticale permettent son réglage en hauteur, tandis que les vérins d'axes sensiblement horizontaux permettent un réglage longitudinal et latéral, en jouant sur une sortie plus ou moins importante des tiges de ces deux vérins. Il est ainsi possible de faire travailler l'appareil jusque dans l'alignement des parois latérales du véhicule, ce qui- est avantageux lorsque l'appareil doit être utilisé le long d'un mur. Dans ce cas, l'axe de l'outil n'est pas vertical, mais cela importe peu, l'essentiel étant que la poussée exercée sur l'appareil soit axiale à l'outil. Il s'agit d'un avantage très conséquent par rapport au cas où un appareil est monté au bout d'un bras d'une pelle mécanique, solution préjudiciable à l'appareil et à son outil du fait que l'effort sur l'outil est réalisé selon une trajectoire circulaire.

    [0007] Selon une forme d'exécution, l'organe support d'au moins un vérin est monté sur la potence, avec interposition de deux axes horizontaux croisés, respectivement un axe longitudinal et un axe transversal au véhicule.

    [0008] Avantageusement, l'organe support, monté articulé sur la potence, est équipé de deux vérins d'axes parallèles, avec ménagement entre eux d'un espace au moins égal à la largeur de l'appareil à percussions.

    [0009] Il est ainsi possible de loger le corps de l'appareil à percussions entre les tiges de ces vérins, et pour partie entre les corps de ceux-ci, ce qui permet de réaliser un appareil de structure compacte, tout en assurant un dimensionnement correct des organes le constituant et notamment des vérins d'orientation générale verticale.

    [0010] Selon une autre caractéristique de l'invention, l'appareil à percus­sions est fixé sur les tiges des vérins d'orientation générale verticale, avec interposition d'éléments amortisseurs de vibrations, évitant la transmission totale au véhicule de chocs résultant de la percussion.

    [0011] Le châssis du véhicule comporte, à son extrémité avant, un cadre vertical et orienté transversalement à l'axe du véhicule, dont l'extrémité supérieure est équipée d'un prolongement vers l'avant formant la potence destinée au montage de l'appareil à percussions.

    [0012] Cette disposition permet de dégager une large ouverture vers l'avant, laissant une parfaite visibilité de l'appareil à un opérateur assis sur le véhicule.

    [0013] Avantageusement, le cadre est réalisé à partir de profilés, dont ceux verticaux sont ouverts vers l'extérieur et délimitent une cavité servant au logement d'un vérin servant à l'actionnement pivotant d'une jambe qui, dans une position, vient fermer le logement ménagé dans un profilé vertical et qui, dans une autre position, vient prendre appui sur le sol et sert de stabilisateur.

    [0014] Cette solution permet de disposer de stabilisateurs, sans que ceux-ci augmentent la largeur du véhicule, ce qui est intéressant notamment pour la réalisation d'un véhicule de faible largeur, de l'ordre de 700 mm par exemple, susceptible de passer par une porte d'un bâtiment.

    [0015] Selon une autre caractéristique de l'invention, le véhicule est équipé de deux chenilles dont chacune comprend :
    - une plaque verticale et longitudinale dont une extrémité forme un arc de cercle et à l'autre extrémité duquel est disposé un pignon d'entraînement,
    - une chaîne constituée par des maillons de deux largeurs diffé­rentes, montés de façon alternée, afin de pouvoir s'emboîter les uns dans les autres, assemblés les uns aux autres à l'aide d'axes dont chacun porte un galet d'appui sur le guide ou le pignon, chaque maillon comportant, faisant saillie de l'une de ses faces, deux ailes destinées à venir s'engager de part et d'autre de la plaque et, sur sa face opposée, des patins d'appui sur le sol, et
    - des moyens de réglage de la tension de la chaîne.

    [0016] Avantageusement, les moyens de réglage de la tension de la chaîne sont constitués par la plaque elle-même qui est montée coulissante longitudinalement par engagement d'au moins deux lumières qu'elle comporte sur des tiges siolidaires du châssis, le réglage de la position de la plaque et son blocage étant réalisés par des vis engagées dans la plaque et prenant appui sur une patte solidaire du châssis.

    [0017] Cette technique permet de réaliser des chenilles de façon simple et économique, sans avoir à recourir à des moyens complexes, volumineux et très onéreux, et notamment aux roues de tension utilisées habituellement.

    [0018] Selon une forme de réalisation préférée, ce véhicule est équipé d'un moteur thermique, entraînant une pompe hydraulique alimentant les moteurs hydrauliques associés aux chenilles, l'appareil à percussions, les vérins de commande de la position de l'appareil à percussions et, éventuel­lement, des appareils annexes raccordables à au moins un flexible.

    [0019] A cet effet, la face supérieure de la potence est équipée d'un enrouleur d'au moins un flexible destiné au montage amovible d'un appareil annexe tel que perforateur, visseuse, etc... .

    [0020] Le circuit hydraulique du véhicule est conçu de façon à interdire tout mouvement d'avance de celui-ci en période d'utilisation de l'appareil à percussions, ce qui limite encore les risques de détérioration de l'outil.

    [0021] De toute façon, l'invention sera bien comprise à l'aide de la description qui suit, en référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemple non limitatif, une forme d'exécution de ce véhicule :

    Figure 1 en est une vue en perspective ;

    Figure 2 en est une vue de côté ;

    Figure 3 en est une vue de face ;

    Figure 4 en est une vue en coupe selon la ligne IV-IV de figure 2 ;

    Figure 5 en est une vue de dessus ;

    Figure 6 est une vue de côté à échelle agrandie d'une chenille après retrait du carter de protection de celle-ci ;

    Figures 7 et 8 sont deux vues en coupe transversale et à échelle agrandie de cette chenille selon les lignes VII-VII et VIII-VIII de figure 6.



    [0022] Le véhicule, représenté au dessin, comprend un châssis 2 équipé d'un moteur thermique et d'une centrale hydraulique recouverts par un capot 3, et déplaçable à l'aide de chenilles 4. Le capot 3 porte un siège 5 pour l'opérateur en avant duquel sont disposés un certain nombre de leviers de manoeuvre 6 pour des organes identifiés plus loin.

    [0023] A l'extrémité avant du châssis 2 est monté un cadre 7 vertical et d'orientation transversale au véhicule à la partie supérieure duquel est montée en porte-à-faux vers l'avant une pièce 8 formant potence. Il est à noter que l'ouverture centrale 9 du cadre assure une parfaite visibilité vers l'avant pour un opérateur assis sur le siège 5.

    [0024] Comme montré au dessin, les deux montants verticaux 10 du cadre sont conformés de façon à ménager un logement 12 ouvert vers l'extérieur. Ce logement sert au montage d'un vérin hydraulique 13 actionnant en rotation autour d'un axe 14 une jambe 15 formant stabilisateur qui, en position de travail de l'appareil, est en appui sur le sol, comme montré notamment à la figure 1, et en période de déplacement de l'appareil est escamoté à l'intérieur du montant 12.

    [0025] Sur la face supérieure de la potence 8 est disposé un enrouleur 16 pour un flexible double 17 destiné à alimenter un appareil annexe. Ce flexible 17 est alimenté à partir de la centrale hydraulique par un joint tournant 18.

    [0026] Après utilisation de l'appareil annexe et débranchement de celui-­ci, le flexible 17 est enroulé sur l'enrouleur 16 par actionnement d'une manivelle 19.

    [0027] Sur sa face inférieure, la potence est équipée d'un organe support 20 monté sur celle-ci avec interposition d'une pièce 22 comportant deux axes croisés, à savoir un axe longitudinal et un axe transversal. Sur l'organe support 20 sont fixés, parallèlement l'un à l'autre et à distance l'un de l'autre, les corps 23 de deux vérins hydrauliques.

    [0028] A proximité de leur autre extrémité, les corps de vérins sont reliés par une entretoise 24 sur laquelle sont articulées, à l'aide de rotules 25, les extrémités des tiges 26 de deux vérins hydrauliques dont les corps 27 sont articulés par des rotules 28 sur les montants verticaux 10 du cadre 7. Les vérins 26, 27 sont sensiblement horizontaux et leurs axes convergent vers l'avant.

    [0029] Les tiges 29 des deux vérins 23 portent, pour leur part, un appareil à percussions 30 fixé sur elles avec interposition d'éléments amortis­seurs 32.

    [0030] Comme cela ressort du dessin, l'écartement entre les deux vérins 23 est suffisant pour réaliser le montage de l'appareil à percussions 30 entre les tiges 29 et pour partie entre les corps des vérins 23.

    [0031] Comme montré au dessin et notamment aux figures 1 à 4, l'action sur les vérins 27 permet de réaliser à la fois un réglage longitudinal et un réglage transversal de la position de l'appareil à percussions par rapport au véhicule. Pour leur part, les vérins 23 permettent de réaliser un réglage vertical de l'appareil à percussions.

    [0032] Il est intéressant de noter que l'outil 33 de l'appareil à percussions peut être déplacé latéralement pour travailler au moins jusque dans le plan de chacun des deux côtés du véhicule, ce qui permet, par exemple, d'intervenir le long d'un mur.

    [0033] Les figures 6 à 8 représentent le détail de réalisation des chenilles. Chaque chenille comprend un fuide 34 en forme de plaque, vertical et longitudinal dont une extrémité 35 forme un arc de cercle et à l'autre extrémité duquel est disposé un pignon d'entraînement 36.

    [0034] Chaque plaque 34 comporte deux lumières allongées 37 engagées sur deux axes 38 solidaires du châssis, le blocage de la plaque dans la position axiale souhaitée étant réalisé par appui de vis 39 engagées dans la plaque prenant appui sur une patte 40 solidaire du châssis.

    [0035] La chenille proprement dite est constituée par une chaîne compor­tant des maillons de deux largeurs, à savoir des maillons intérieurs 42 et des maillons extérieurs 43 disposés de façon alternée et assemblés les uns aux autres à l'aide d'axes 44 et de vis 45, chaque axe 44 portant un galet 46 destiné à prendre appui sur la plaque de guidage 34.

    [0036] Les maillons 42, 43 comportent, sur leur face tournée vers la plaque de guidage 34, deux ailes respectivement 47, 48 destinées à coiffer ladite plaque.

    [0037] Sur leur face opposée, les maillons 42, 43 sont équipés chacun d'un patin en caoutchouc 49 fixé avec interposition d'un insert métallique central 50.

    [0038] La structure de ces chenilles est extrêmement simple, leur guidage et leur mise en tension etant réalisés par la seule plaque 34.

    [0039] Comme il ressort de ce qui précède, l'invention apporte une grande amélioration à la technique existante, en fournissant un véhicule support d'un appareil à percussions, de conception simple, de structure extrêmement compacte permettant son passage par une porte de 80 cm de large, et d'une utilisation très pratique, en raison des capacités importantes de réglage de la position de l'outil.

    [0040] Comme il va de soi, l'invention ne se limite pas à la seule forme d'exécution de ce véhicule, décrite ci-dessus à titre d'exemple ; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes de réalisation.

    [0041] C'est ainsi notamment que les moyens de suspension de l'ensemble porteur de l'appareil pourraient être différents et constitués non pas par une pièce comportant deux axes croisés, mais par un bloc de matière synthétique élastique, ou encore que le moteur thermique dont est équipé le véhicule décrit pourrait être remplacé par un moteur électrique avantageux, en raison de son caractère non polluant, sans que l'on sorte pour autant du cadre de l'invention.


    Revendications

    1 - Véhicule, support d'un appareil à percussions, caractérisé en ce qu'il comprend un chassis (2) équipé, à son extrémité avant, d'une potence (7,8) tournée vers l'avant sur laquelle est monté suspendu avec possibilité de double articulation selon des axes horizontaux croisés un organe support (20)d'au moins un vérin (23) dont la tige (29) est dirigée vers le bas, le corps de ce ou ces vérins étant équipé à proximité de son autre extrémité d'un organe (24) sur lequel sont montées articulées par l'intermédiaire de rotules les extrémités des tiges (26) de deux vérins dont les corps (27) sont montés par l'intermédiaire de rotules (28) sur le chassis du véhicule, ces vérins étant d'axes sensiblement horizontaux et convergents vers l'avant, la tige (29) du ou des vérins d'orientation générale verticale portant le corps (30) de l'appareil à percussions.
     
    2 - Véhicule selon la revendication 1 caractérisé en ce que l'organe support (20) d'au moins un vérin (23) est monté sur la potence (8) avec interposition de deux axes horizontaux croisés, respectivement un axe longitudinal et un axe transversal au véhicule.
     
    3 - Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que l'organe support (20) monté articulé sur la potence (8) est équipé de deux vérins (23) d'axes parallèles, avec ménagement entre eux d'un espace au moins égal à la largeur de l'appareil à percussions (30).
     
    4 - Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que l'appareil à percussions (30) est fixé sur les tiges (29) des vérins d'orientation générale verticale, avec interposition d'éléments (32) amortisseurs de vibrations.
     
    5 - Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que son chassis comporte, à son extrémité avant, un cadre vertical (7), et orienté transversalement à l'axe du véhicule, dont l'extrémité supérieure est équipée d'un prolongement (8) vers l'avant formant la potence destinée au montage de l'appareil à percussions.
     
    6 - Véhicule selon la revendication 5, caractérisé en ce que le cadre (7) est réalisé à partir de profilés, dont ceux verticaux (10) sont ouverts vers l'extérieur et délimitent une cavité (12) servant au logement d'un vérin (13), servant à l'actionnement pivotant d'une jambe (15) qui, dans une position, vient fermer le logement ménagé dans un profilé vertical et qui, dans une autre position, vient prendre appui sur le sol et sert de stabilisateur.
     
    7 - Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le véhicule est équipé de deux chenilles (4) dont chacune comprend une plaque (34) verticale et longitudinale dont une extrémité forme un arc de cercle (35) et à l'autre extrémité duquel est disposé un pignon d'entrainement (36), une chaîne constituée par des maillons (42,43) de deux largeurs différentes, montés de façon alternée afin de pouvoir s'emboiter les uns dans les autres, assemblés les uns aux autres à l'aide d'axes (44) dont chacun porte un galet (46) d'appui sur le guide ou le pignon, chaque maillon comportant, faisant saillie de l'une de ses faces, deux ailes (47,48) destinées à venir s'engager de part et d'autre de la plaque,et sur sa face opposée des patins (49) d'appui sur le sol et, des moyens de réglage de la tension de la chaîne.
     
    8 - Véhicule selon la revendication 7, caractérisé en ce que les moyens de réglage de la tension de la chaîne sont constitués par la plaque (34) elle-même qui est montée coulissante longitudinalement par engagement d'au moins deux lumières (37) qu'elle comporte sur des tiges (38) solidaires du chassis, le réglage de la position de la plaque et son blocage étant réalisés par des vis (39) engagées dans la plaque et prenant appui sur une patte (40) solidaire du chassis.
     
    9 - Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce qu'il est équipé d'un moteur thermique, entraînant une pompe hydraulique alimentant les moteurs hydrauliques associés aux chenilles (4), l'appareil à percussions (30), les vérins (23,27) de commande de la position de l'appareil à percussions, et éventuellement des appareils annexes raccordables à au moins un flexible.
     
    10 - Véhicule selon la revendication 9, caractérisé en ce que la face supérieure de la potence (8) est équipée d'un enrouleur (16) moins un flexible (17) destiné au montage amovible d'un appareil annexe tel que perforateur, visseuse et.
     
    11 - Véhicule selon la revendication 9, caractérisé en ce que le circuit hydraulique du véhicule est conçu de façon à .interdire tout mouve­ment d'avance de celui-ci en période d'utilisation de l'appareil à percussions, ce qui limite encore les risques de détérioration de l'outil.
     




    Dessins













    Rapport de recherche