(19)
(11) EP 0 319 855 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
14.06.1989  Bulletin  1989/24

(21) Numéro de dépôt: 88120141.2

(22) Date de dépôt:  02.12.1988
(51) Int. Cl.4D06F 81/06, A47B 5/04
(84) Etats contractants désignés:
DE ES IT

(30) Priorité: 11.12.1987 FR 8717350

(71) Demandeur: MOULINEX
F-93170 Bagnolet (FR)

(72) Inventeurs:
  • Weiss, Roger
    11, rue Jules-Ferry F-93170 Bagnolet (FR)
  • Louis, Michel André Georges Roger
    11, rue Jules-Ferry F-93170 Bagnolet (FR)

(74) Mandataire: May, Hans Ulrich, Dr. 
Patentanwalt Dr.H.U.May, Thierschstrasse 27
D-80538 München
D-80538 München (DE)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Table à repasser destinée à être fixée sur une paroi verticale


    (57) Table à repasser comprenant une planche (24) solidaire d'un piétement (26) à structure déformable qui est monté mobile sur une paroi verticale (12) et qui est destiné à faire passer la planche (24) d'une position horizontale dite de travail à une position pratiquement verticale di­te de rangement.
    Selon l'invention, la table à repasser comporte un dis­positif motorisé (42) de transformation de la structure du piétement apte à faire passer la planche de sa position de travail à sa position de rangement et inversement.
    L'invention s'applique aux tables à repasser à usage mé­nager destinées à être montées dans une armoire.




    Description


    [0001] L'invention se rapporte aux tables à repasser destinées à être fixées sur une paroi verticale telle que, par exemple, la paroi de fond d'une armoire.

    [0002] Elle concerne, plus précisément, une table à repasser qui comprend une planche à repasser solidaire d'un pié­tement à structure déformable qui est agencé entre la paroi et ladite planche, et qui est destiné à faire pas­ser ladite planche d'une position de travail pour la­quelle la structure est dépliée et en laquelle elle est disposée horizontalement et maintenue fixe par rapport à ladite paroi, à une position de rangement pour laquelle la structure est pliée tandis que la planche est basculée autour d'un axe horizontal, et en laquelle elle est pla­cée sensiblement dans un plan parallèle voisin de ladite paroi verticale.

    [0003] La présente invention a notamment pour but de rendre pra­tiquement automatique les opérations de rangement et de mise en position de travail de la planche.

    [0004] Selon une première caractéristique, la table à repasser comprend, en outre, un dispositif motorisé de transfor­ mation de la structure apte à faire passer de façon auto­matique ladite structure de sa forme dépliée à sa forme pliée et inversement, ainsi que des moyens de commande du­dit dispositif motorisé.

    [0005] Ce dispositif motorisé supprime ainsi tout effort de ma­nipulation à l'utilisateur et assure également une trans­formation correcte de la structure du piétement puisqu' aucune mauvaise contrainte ne peut être exercée sur cette structure par l'utilisateur.

    [0006] L'invention a également pour but, dans le cas où la table à repasser est installée dans une armoire, de mettre à la disposition de l'utilisateur de la table à repasser, un nécessaire de repassage qui peut également être rangé, de façon commode, dans ladite armoire.

    [0007] Selon une seconde caractéristique, au moins une des parois de l'armoire porte un panier qui est destiné à recevoir un nécessaire de repassage comprenant au moins un fer à repas­ser, et qui est monté mobile verticalement dans ladite armoire entre une position basse pour laquelle il est si­tué à une hauteur convenable pour l'usager, et une position haute pour laquelle il est situé dans la région supérieure de l'armoire et en laquelle il est amené plus particuliè­rement au moyen d'un butoir solidaire du support de la planche lorsque celle-ci passe de sa position de travail à sa position de rangement.

    [0008] Cet agencement du panier assure de façon automatique le rangement et la mise à la disposition de l'utilisateur du nécessaire de repassage.

    [0009] Les caractéristiques et avantages de l'invention ressor­tiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'exemple, en référence aux dessins annexés, dans lesquels :
    la figure 1 est une coupe verticale, selon la ligne IV-IV de la figure 4, d'une armoire dans laquelle est montée une table à repasser selon l'invention, il­lustrant la planche à repasser en position de travail ainsi qu'un panier destiné à recevoir un nécessaire de repassage ; la figure 2 est une vue analogue à la figure 1 dans laquelle la planche à repasser est placée en position de rangement et le panier est en position haute ; la figure 3 représente en coupe partielle une épingle de liaison agencée entre le panier et le piétement de la table ; la figure 4 est une vue partielle en perspective de l'armoire et de la table à repasser, illustrant la structure du piétement sous la forme dépliée et le panier en posi­tion basse.

    [0010] L'armoire représentée comprend un socle 10, une paroi de fond verticale 12, deux parois latérales 14, et une paroi supérieure 16 supportant un magasin 18 de logement d'un ri­deau 20 de fermeture de l'armoire constitué de lames arti­culées et monté coulissant dans des rainures 22 prati­quées respectivement dans les parois latérales 14. Cette armoire renferme une table à repasser qui est fixée sur la paroi de fond 12 et qui comprend une planche à repas­ser 24 solidaire d'un piétement 26 à structure déformable agencé entre ladite paroi 12 et ladite planche 24. Cette planche à repasser 24 présente une forme oblonge et est disposée longitudinalement dans un plan tranversal à la paroi de fond 12, notamment en position de travail. Cette planche est également montée ajustable en hauteur par rap­port au piétement au moyen d'un mécanisme de réglage 28 à tringles mobiles croisées.

    [0011] Comme on le voit bien sur la figure 4, la structure du pié­tement 26 comprend un support comportant deux tringles pa­rallèles 30 réunies en une de leurs extrémités par une traverse 31 et montées articulées respectivement, d'une part, dans leur région médiane, autour d'un axe horizontal 32-32 parallèle à la paroi 12, sur deux pieds 34 dont les extrémités inférieures sont pivotantes autour d'un axe éga­lement horizontal 36-36 parallèle à la paroi 12 et agencé au voisinage de la paroi 12 et passant par deux chapes 38 solidaires du socle 10, et d'autre part, sur deux coulis­seaux 40 qui sont constitués par des tiges solidaires res­pectivement des extrémités libres des tringles 30 situées en regard de la paroi de fond 12, et qui sont guidés selon une direction verticale au moyen de glissières verticales 41 pratiquées respectivement dans les parois latérales 14. Ainsi, ce piétement est monté mobile par rapport à la pa­roi de fond 12 et est apte à faire passer la planche 24 d'une position de travail (figure 1) pour laquelle ladite structure est dépliée et en laquelle elle est disposée ho­rizontalement et maintenue fixe par rapport à ladite paroi, à une position de rangement (figure 2) pour laquelle ladi­te structure est pliée tandis que la planche 24 est bascu­lée autour de l'axe horizontal 32-32 et en laquelle elle est placée sensiblement dans un plan parallèle voisin de la paroi de fond 12.

    [0012] Selon l'invention, la table à repasser comprend, en outre, un dispositif motorisé 42 de transformation de la structu­re du piétement 26 apte à faire passer de façon automati­que ladite structure de sa forme dépliée à sa forme pliée et inversement, ainsi que des moyens de commande 44 dudit dispositif motorisé 42. Ce dispositif motorisé 42 comprend un groupe moteur électrique 46 (représenté schématiquement) qui est agencé sur le support au moyen des tiges des cou­lisseaux 40, entre les extrémités libres des tringles 30, et dont l'arbre de sortie rotatif (non représenté) est en prise avec des moyens mécaniques de transformation de mou­vement qui comprennent une roue à pourtour denté 48 qui est solidaire en rotation dudit arbre de sortie et dont un secteur faisant saillie d'un carter entourant ledit groupe vient en prise avec un chemin de roulement consti­tué par une créamillère 50 fixée verticalement sur la paroi de fond 12.

    [0013] Les moyens de commande 44 du groupe moteur électrique 46 comprennent un commutateur 52 qui est relié électriquement au moteur au moyen d'un enrouleur 53 connecté au secteur d'alimentation électrique et qui comporte deux touches de commande 54 et 56 dont l'une 54 est actionnable par une pédale 58 commandée par l'usager et dont l'autre 56 est actionnable par un doigt 60 solidaire du piétement 26.

    [0014] Cette pédale 58 commande, au moyen d'une tringlerie 62, un verrou 64 destiné à venir en prise avec un crochet 66 solidaire du groupe moteur 46 et apte à maintenir la plan­che en position horizontale de travail. Ce verrou 64 est monté pivotant sur une chape 67 solidaire de la paroi de fond 12 et comporte un bec 68 dont la face tournée vers la paroi 12 est inclinée (figure 1) de manière à permettre l'accrochage automatique du bec 68 sur le crochet 66.

    [0015] Selon une autre caractéristique de l'invention, l'armoire est équipée d'un panier 70 destiné à recevoir un nécessai­re de repassage tel qu'un fer à repasser 71 pouvant être associé à un générateur de vapeur 72 (représenté en traits interrompus). Ce panier 70 est monté mobile verticalement sur la paroi de fond 12, au moyen de deux paires d'ergots 73 introduits respectivement dans les glissières 41, entre une position basse (figure 1) pour laquelle il est situé à une hauteur convenable pour l'usager et en laquelle l'­usager peut saisir et utiliser le fer 71 même si ce dernier est relié par un tube souple 75 au générateur de vapeur 72, et une position haute pour laquelle il est situé dans la région supérieure de l'armoire et en laquelle il est amené par un butoir 74, qui est constitué,par exemple, par la face supérieure du carter du groupe moteur 46, et qui vient en prise avec une partie de la face inférieure 76 du fond du panier 70.

    [0016] Afin de ne pas surcharger le moteur électrique, le panier 70 est monté coulissant à l'encontre de deux ressorts d' équilibrage 78 qui tendent à rappeler le panier 70 vers le haut et qui ont respectivement deux extrémités 80 fixées sur la face arrière de la paroi de fond 12 et les deux autres extrémités opposées 82 reliées respectivement à deux liens 84 attachés en 86 aux faces latérales du pa­nier 70 (voir figures 1 et 4 par exemple). En outre, pour amener et maintenir le panier 70 en la position bas­se, ce panier 70 est relié au support 26 au moyen de deux épingles rigides 88 présentant chacune une fente lon­gitudinale 90 (figure 3) dans laquelle est monté coulis­sant un glisseur 40′ constitué par un tronçon de la tige formant le coulisseau 40 du support (30-31) ; la longueur de chaque fente 90 étant telle que : lorsque la planche passe de sa position de rangement à sa position de travail, ledit glisseur 40′ vient en butée sur le fond inférieur de cette fente 90 et tire le panier vers le bas jusqu'à l'amener en sa position basse, et que lorsque la planche passe de sa position de travail à sa position de range­ment, le glisseur 40′ vient en butée sur le fond supérieur de cette fente 90 pratiquement en même temps que le butoir 74 vient en prise avec la face inférieure 76 du panier 70.

    [0017] Dans un but de clarté, on va récapituler et préciser ci-­après le fonctionnement des mécanismes décrits ci-dessus. La table à repasser étant considérée au départ dans la po­sition de la figure 2 avec le rideau 20 relevé, l'usager, n'ayant pas appuyé sur la pédale 58 d'actionnement de la touche de mise en marche 54 du moteur, saisit la planche 24 et lui imprime une légère traction dirigée vers l'exté­rieur de l'armoire (flèche F de la figure 2) provoquant, dans un premier temps, un pivotement des pieds 34 autour de l'axe 36-36 de manière à les faire passer au-delà d'­une position instable correspondant pratiquement à leur position verticale, et dans un deuxième temps, un déploie­ment de la structure du piétement 26 uniquement entretenu par le poids combiné, du groupe moteur 46, du panier 70 et de la planche 24 qui bascule autour de l' l'axe 32-32. Du fait qui le moteur n'est pas alimenté électriquement, ce déploiement s'effectue selon un mouvement ralenti ré­sultant principalement, d'abord, de l'effet de freinage provoqué par l'entraînement des pièces rotatives internes au groupe moteur au moyen de la roue 48 engrenant avec la crémaillère 50, puis, par la réduction du poids du panier 70 qui s'effectue dès que les ressorts 78 commencement à contrebalancer le poids dudit panier, et également, en fin de mouvement, par la traction exercée sur le panier 70 par les glisseurs 40′ qui sont en butée dans les fentes 90 des épingles 88. En fin de mouvement, le crochet 66 vient en prise avec la face inclinée du bec 68 du verrou 64 pro­voquant ainsi le basculement de ce verrou et le verrouil­lage automatique du verrou 64 sur le crochet 66. On note­ra aussi que lorsque les pieds 34 basculent vers l'exté­rieur, le doigt 60 libère la touche 56 du commutateur 52.

    [0018] Une fois l'opération de repassage terminée, l'usager re­pose le fer 71 dans le panier 70,et appuie sur la pédale 58 qui libère le crochet 66 du verrou 64 et qui actionne la touche 54 du commutateur 52 mettant ainsi en marche le groupe moteur 46. Dès ce moment, les coulisseaux 40 sont entraînés le long des glissières 41, d'une part, par le groupe moteur 46 dont la roue 48 engrène avec la crémail­lère 50, et d'autre part, par les épingles 88 qui tirent sur les tiges des coulisseaux au niveau des glisseurs 40′; le groupe moteur 46 n'est donc pas surchargé au démarrage et peut donc être choisi parmi les moteurs de petite puis­sance et de type asynchrone.

    [0019] Au cours du mouvement d'ascension du groupe moteur 46, la structure du piétement 26 est amenée à passer de sa forme dépliée vers sa forme pliée et le support 30-31 fait pas­ser la planche 24 de sa position de travail vers sa posi­tion de rangement. En outre, pendant ce mouvement d'ascen­sion, le panier 70 arrive en une position stable d'équili­bre obtenue par les ressorts 78 ; les glisseurs 40′ coulis­sent alors dans les fentes 90 jusqu'à ce que le butoir 74 viennent en butée sur le fond du panier 70 ; la course du groupe moteur 46 se poursuit, amenant le panier en sa po­sition haute, tandis que le doigt 60 du piétement 26 action­ne la touche 56 qui coupe l'alimentation électrique dudit groupe moteur 46.


    Revendications

    1. Table à repasser destinée à être fixée sur une paroi verticale (12) et comprenant une planche à repasser (24) solidaire d'un piétement (26) à structure déformable qui est agencé entre ladite paroi (12) et ladite planche (24), et qui est destiné à faire passer ladite planche (24) d' une position de travail pour laquelle la structure est dé­pliée et en laquelle elle est disposée horizontalement et maintenue fixe par rapport à ladite paroi (12), à une po­sition de rangement pour laquelle la structure est pliée tandis que la planche (24) est basculée autour d'un axe horizontal, et en laquelle elle est placée sensiblement dans un plan parallèle voisin de ladite paroi verticale (12),
    caractérisée en ce qu'elle comprend, en outre, un dispositif motorisé (42) de transformation de la struc­ture du piétement (26) apte à faire passer, de façon au­tomatique, ladite structure de sa forme dépliée à sa forme pliée et inversement, ainsi que des moyens de commande (44) dudit dispositif motorisé (42).
     
    2. Table à repasser selon la revendication 1,
    caractérisée en ce que le dispositif motorisé (42) de transformation de la structure du piétement (26) comprend un groupe moteur électrique (46) dont l'arbre de sortie rotatif est en prise avec des moyens mécaniques de transformation de mouvement (48-50) agencés entre la paroi verticale (12) et le piétement (26).
     
    3. Table à repasser selon la revendication 1 ou la revendication 2,
    caractérisée en ce que le piétement (26) com­portant un support (30-31) relié à la planche et monté articulé dans sa région médiane autour d'un axe horizon­tal (32-32) parallèle à la paroi verticale (12), sur au moins un pied (34) dont l'extrémité inférieure est montée pivotante autour d'un axe horizontal (36-36) parallèle à ladite paroi 12 et agencé au voisinage de la région infé­rieure de ladite paroi (12), l'extrémité du support située en regard de ladite paroi verticale (12) comporte au moins un coulisseau (40) qui est monté coulissant verticalement sur une glissière (41) solidaire de la paroi verticale (12), et qui est entraîné selon un mouvement de translation ver­ticale par les moyens mécaniques de transformation de mouve­ment (48-50).
     
    4. Table à repasser selon la revendication 3,
    caractériséeen ce que le groupe moteur (46) est agencé sur l'extrémité porte-coulisseau du support (30-31) et les moyens mécaniques comprennent une roue (48) qui est solidaire en rotation de l'arbre de sortie dudit groupe (46) et dont le pourtour est adapté à venir en pri­se avec une partie d'un chemin de roulement (50) solidaire de la paroi verticale (12) et disposé verticalement.
     
    5. Table à repasser selon la revendication 4,
    caractérisée en ce que la roue d'entraînement (48) étant une roue dentée, le chemin de roulement (50) est constitué par une crémaillère montée fixe sur la paroi (12).
     
    6. Table à repasser selon l'une quelconque des revendica­tions 2 à 5,
    caractérisé en ce que les moyens de commande (44) comportent un commutateur (52) d'alimentation élec­trique comprenant deux touches (54 et 56) dont l'une (54) est actionnable par une pédale (58) commandée par l'usager de manière à mettre en marche le groupe moteur électrique(46) et dont l'autre (56) est actionnable par un doigt (60) so­lidaire du piétement (26) et est destinée à couper l'ali­mentation électrique du groupe moteur (46) lorsque ledit piétement arrive en une position de fin de course corres­pondant à la position de rangement de la planche.
     
    7. Table à repasser selon l'une quelconque des revendica­tions 3 à 6, associée à une armoire dont la paroi de fond constitue la paroi verticale et qui comporte au moins deux parois latérales,
    caractérisée en ce que l'armoire est équipée d'un panier qui est destiné à recevoir un nécessaire de repassage comprenant au moins un fer à repasser, et qui est monté mobile verticalement dans ladite armoire entre une position basse pour laquelle il est situé à une hauteur convenable pour l'usager, et une position haute pour laquelle il est situé dans la région supérieure de l'armoire et en laquelle il est amené plus particulière­ment au moyen d'un butoir solidaire du support de la plan­che lorsque celle-ci passe de sa position de travail à sa position de rangement.
     
    8. Table à repasser associée à une armoire selon la re­vendication 7,
    caractérisée en ce que le panier étant monté coulissant au moyen d'au moins deux ergots introduits res­pectivement dans deux glissières solidaires respective­ment des parois latérales de l'armoire, ledit panier est, d'une part, soumis à des moyens élastiques qui ten­dent à le rappeler vers le haut, et d'autre part, relié à l'extrémité porte-coulisseau du support de la planche au moyen d'au moins une épingle rigide présentant une fen­te longitudinale dans laquelle est monté coulissant un glisseur 40′ solidaire dudit support ; la longueur de la fente étant telle que lorsque la planche arrive en sa po­sition de travail, le glisseur 40′ vient en butée sur le fond inférieur de cette fente et tire le panier, à l'en­contre des moyens élastiques, au delà d'une position d'é­quilibre, jusqu'à l'amener en sa position basse.
     
    9. Table à repasser associée à une armoire selon la reven­dication 8,
    caractérisée en ce que les glissières de ré­ception des ergots du panier, et le glisseur solidaire du support sont constitués respectivement par les glis­sières du support, et un tronçon du coulisseau du support de planche.
     




    Dessins













    Rapport de recherche