(19)
(11) EP 0 330 592 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
30.08.1989  Bulletin  1989/35

(21) Numéro de dépôt: 89420066.6

(22) Date de dépôt:  21.02.1989
(51) Int. Cl.4A47K 13/16
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES FR GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 26.02.1988 FR 8802663

(71) Demandeur: Rougemont, Jean
F-69450 Saint-Cyr-au-Mont d'Or (FR)

(72) Inventeur:
  • Rougemont, Jean
    F-69450 Saint-Cyr-au-Mont d'Or (FR)

(74) Mandataire: Karmin, Roger et al
Cabinet Lavoix Lyon 62, rue de Bonnel
69448 Lyon Cédex 03
69448 Lyon Cédex 03 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Protection temporaire pour les abattants de cuvette de W.C.


    (57) La protection temporaire comprend :
    . deux fentes courbes (5, 6) symétriques par rapport à l'axe longitudinal de la protection.
    . une ligne transversale (9) de prédécoupe reliant les deux fentes (5, 6) pour former deux langues (10, 11) solidaires de la protec­tion par les deux bandes extrêmes (12, 13) situées entre les cour­bes précitées et les arêtes terminales (2, 3) de la protection.
    . une fente longitudinale principale (7) ménagée dans l'axe longi­tudinal de la langue arrière (10) de la protection.
    . des rabats (16, 17) comportant des moyens (14, 15) de se déformer vers le bas et localisés à l'avant de la protection et sur ses cô­tés latéraux.




    Description


    [0001] La présente invention est relative à la protection des abattants de cu­vette de W.C. ou cabinets visant à éviter le contact du corps humain avec ledit abattant.

    [0002] Il existe de nombreux dispositifs traditionnels de protection des abat­tants de cuvette de W.C. Ceux-ci doivent être mis en place par l'usager puis retirés par celui-ci après qu'il ait utilisé ladite protection.

    [0003] On connait des dispositifs un peu améliorés qui présentent l'avantage de s'évacuer partiellement lors de l'actionnement de la chasse d'eau mais ils ne présentent pas de formes standardisées de telle sorte qu'il est nécessaire d'en fabriquer une grande quantité de plusieurs modèles.

    [0004] Tous les dispositifs connus à ce jour sont très peu stables sur l'abat­tant lors de leur mise en place et pendant l'utilisation de telle sorte qu'il y a presque toujours une partie du corps humain en contact direct avec l'abattant. En outre aucune des protections commercialisées actuel­lement ne peut s'évacuer seule si la sortie d'eau à l'intérieur de la cuvette de W.C est située à l'avant de celle-ci.

    [0005] En résumé les inconvénients des dispositifs traditionnels de protection des abattants de cuvettes de W.C peuvent être résumés ainsi :

    [0006] La protection doit être extraite ou retirée après usage ou au mieux il faut manuellement aider son évacuation.

    [0007] On assiste donc à une souillure éventuelle des mains de l'usager qui peut entraîner des contaminations.

    [0008] Il est nécessaire de prévoir un récipient de stockage des protections souillées à l'intérieur des cabinets.

    [0009] Il y a bien entendu des risques importants de voir certains utilisateurs laisser la protection en place après utilisation ou la déposer simple­ment sur le sol de telle sorte qu'il est indispensable de prévoir un service de nettoyage très efficace aussi bien pour veiller à la propreté du sol qu'à l'évacuation du récipient à déchets.

    [0010] Enfin et surtout certaines parties sensibles du corps humain, telles que les organes génitaux peuvent avoir des contacts avec l'avant de l'abat­tant ce qui peut entraîner des transmissions microbiennes, bactériennes ou virales.

    [0011] Les perfectionnements qui font l'objet de la présente invention visent à remédier à ces inconvénients et à permettre la réalisation d'une protec­tion pour abattant de cuvette de W.C qui répondent mieux que jusqu'à présent aux divers desiderata de la pratique.

    [0012] A cet effet la protection suivant l'invention comprend un flan de matière biodégradable et débitable pourvue de :
    . deux fentes courbes symétriques par rapport à l'axe longitudinal de la protection.
    . une fente transversale courbe destinée à constituer entre les deux fentes courbes deux langues solidaires de la protection par deux zones extrêmes non découpées situées entre les extrémités desdites fentes courbes et les arêtes terminales de la protection.
    . une fente longitudinale ménagée dans l'axe longitudinal de la langue arrière de la protection.
    . des rabats comportant des moyens de se déformer vers le bas et localisés à l'avant de la protection et sur ses côtés latéraux.

    [0013] Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer :

    Fig. 1 est une vue par dessus d'une protection établie conformément à l'invention et réalisée dans une bande continue de matière biodégradable à l'eau et délitable.

    Fig. 2 est une vue en perspective de la protection illustrant les deux langues centrales rabattues verticalement.

    Fig. 3 est une vue en coupe transversale d'une cuvette de W.C dont l'abattant est revêtu d'une protection suivant l'invention.

    Fig. 4 est une vue semblable à la fig. 1 mais illustrant une va­riante de réalisation.

    Fig. 5 est une vue partielle par dessus d'une protection établie suivant une troisième variante de l'invention.

    Fig. 6 illustre une quatrième variante de l'invention.



    [0014] On a illustré en fig. 1 une bande de matière biodégradable par l'eau et délitable telle que de la ouate de cellulose simple, double ou triple épaisseur. On réalise dans cette bande une succession de flans découpés au moyen d'un rouleau comme on l'expliquera en détail ci-après en réfé­rence à une seule protection 1 illustrée en fig. 1.

    [0015] Un rouleau de découpage non illustré mais bien connu dans la technique considérée, sépare deux flans successifs 1, 1a, 1b au moyen d'une coupe déterminant la première arête terminale 2 de la protection 1 qui com­prend une ligne centrale courbe convexe vers l'arriere 2a se prolongeant latéralement par deux arrondis orientés vers l'extérieur 2b de telle sorte que ladite protection comporte deux oreilles latérales 3 qui se terminent en pointe. La coupe considérée détermine également l'autre arête terminale 4a du flan voisin 1a présentant une forme complémentaire à celle de l'arête 2 c'est-à-dire concave vers l'avant. Bien entendu l'arête terminale 4 de la protection 1 présente elle aussi la forme com­plémentaire à celle de l'arête 2 puisqu'elle a été découpée de la même manière dans la bande lors de la découpe lors de la protection précéden­te 1b. Grâce à la forme concave de l'arête terminamle 4, on évite tout dépassement de la protection en avant du siège de sorte qu'elle ne ris­que pas d'être accrochée à ce niveau par les vêtements.

    [0016] On appellera dans la suite des présentes l'arête 2, arête arrière et l'arête 4, arête avant de la protection.

    [0017] Cette dernière est pourvue de deux fentes courbes symétrique 5, 6 qui déterminent à elle deux une portion de courbe ovale et qui sont séparées par une distance inférieure à la largeur de l'ouverture interne des abattants des cuvettes de W.C. usuelles. Chacune des fentes courbes 5, 6 se prolonge en direction de l'arête arrière 2 par une partie divergente 5a, 6a déterminant avec l'axe longitudinal un angle α d'environ 25°. Le long de l'axe géométrique longitudinal de la protection 1 et entre les fentes courbes 5 et 6, on a ménagé dans la protection une fente 7 dont l'origine se trouve à peu près entre l'arête 2 et l'extrémité des prolongements 5a, 6a et qui s'arrête en un point situé environ au 1/3 de la longueur des fentes 5 et 6. Accessoirement on peut prévoir une secon­de fente 8 de faible longueur parallèle à celle 7 et située entre les fentes 5 et 6. Cette fente 7 peut être réalisée soit, dans l'axe géomé­trique longitudinal à la protection 1, soit obliquement par rapport à cet axe comme illustré en 7′ en fig. 6. Cette fente pourrait même être supprimée.

    [0018] Une ligne de découpe transversale 9 s'étend entre les deux fentes cour­bes 5 et 6 et dépasse d'une faible valeur au-delà de chacune en direc­tion de l'extérieur. La ligne de découpe 9 affecte la forme d'une demi sinusoïde à branches non symétriques de telle sorte qu'elle forme dans la protection 1 une langue arrière 10 et une langue 11 articulées res­pectivement à une bande arrière continue 12 adjacente à l'arête 2, res­pectivement à une bande avant 13 adjacente à l'arête avant 4. Du fait de la présence de la ligne 9 la langue 10 présente une arête libre courbe convexe dont le sommet est décalé, tandis qu'au contraire la langue avant 11 qui présente une arête libre de forme complémentaire à celle de la langue 10 est prohéminente dans le sens opposé à celui de la langue 10.

    [0019] De manière à éviter la séparation des langues 10 et 11 du reste de la protection 1 l'on prévoit de munir les fentes courbes 5 et 6 et la ligne de découpage 9 de parties non découpées 5b, 6b, 9a munies seulement de petites perforations séparées que l'on découpera lors de l'utilisation de la protection 1.

    [0020] Les deux côtés latéraux de la protection considérée sont pourvus au niveau de l'extrémité des deux fentes courbes 5 et 6 de deux entailles 14, 15 qui déterminent avec l'arête 4 deux rabats 16, 17. Dans chacun de ceux-ci on prévoit une perforation 18, 19 permettant la suspension d'une pile de protections 1 qui ne seraient par présentées en rouleau. Dans le cas ou les protections seraient présentées en rouleau, il va de soi qu'il serait préférable que les lignes de découpe déterminant les arêtes 2 et 4 soient incomplètes comme celles séparant les feuillets successifs du papier hygiènique présenté en rouleau.

    [0021] L'utilisation de la protection suivant l'invention s'effectue de la manière suivante :

    [0022] L'usager saisit préférablement la protection par ses oreilles 3 puis la dépose sur l'abattant de la cuvette des W.C.. En rompant la ligne de perforation 9a et celles 5b et 6b les langues 10 et 11 tombent dans la cuvette comme illustré en fig. 2 et 3 en restant solidaires de la pro­tection par les bandes 12 et 13 et verrouillent la protection par rap­port à la cuvette dans le sens vertical. Ces deux langues centrent aussi la protection par rapport à l'abattant. Les deux rabats 16, 17 tombent par leur propre poids de part et d'autre de l'abattant à l'avant de celui pour participer au centrage de la protection. De même la coopé­ration des l'abattant améliore le centrage de la protection. On observe que l'importance de la largeur des bandes 12 et 13 est telle qu'elles recouvrent complètement l'arrière et l'avant de l'abattant tandis que les portions latérales de ladite protection recouvrent largement les deux branches latérales de cet abattant.

    [0023] On comprend aisément que la protection suivant l'invention est automati­quement centrée sur l'abattant suivant l'axe longitudinal et l'axe transversal de celui-ci comme indiqué plus haut. La stabilité est amé­liorée par la présence des deux rabats 16, 17 et des oreilles 3 qui évitent de surcroît aux vêtements de l'usager d'entrer en contact avec l'abattant tout en évitant que ce contact n'entraîne un déplacement de la protection.

    [0024] La matière choisie peut être, comme indiqué plus haut, de la ouate de cellulose ordinaire tissée, non tissée ou gauffrée dont les dépressions forment ventouses sur l'abattant pour améliorer sa tenue.

    [0025] La langue arrière 10 plongeant dans la cuvette intervient comme un amor­tisseur des excréments au moment de leur chute dans l'eau de la cuvette de telle sorte que celle-ci ne peut pas éclabousser l'usager car elle se projette au-dessous de la langue 10 et même sous celle 11 (fig. 3). Il en va de même de la langue avant 11.

    [0026] De plus bien entendu la langue 11 évite tout contact des organes géni­taux de l'usager avec l'abattant.

    [0027] Lorsque l'usager actionne la chasse d'eau, que la chute de l'eau dans la cuvette s'effectue par devant, par derrière ou des deux côtés à la fois, le tourbillonnement de l'eau dans la cuvette entraîne les langues, grâce en particulier à la fente 7 qui sous l'effet de la pression de l'eau permet à la langue 10 de former une espèce d'entonnoir. Les langues 10, 11 sont attirées dans la cuvette de telle sorte que la partie de la protection coopérant avec l'abattant l'essuie avant que celle-ci en entier ne tombe dans la cuvette.

    [0028] La rotation sur l'abattant puis à l'intérieur de la cuvette de la pro­tection fait qu'elle assure un auto-nettoyage de ces éléments avant de disparaître morcellée à l'intérieur des canalisations par le fait des amorces de rupture constituées par les prolongements 5a et 6a et par ceux 9b et 9c de la ligne de découpage 9 au-delà des fentes 5 et 6. On peut prévoir également des amorces de déchirage 20 et 21 issues de l'o­rigine des entailles 14 et 15 (fig. 4). Les zones de moindre résistances créées par les entailles 14 et 15 facilitent le morcelage de la protec­tion qui se réduit en huit sous-éléments dont les dimensions sont infé­rieures à celle d'une feuille de papier hygiènique classique. Tous les essais effectués dans des conduites transparentes identiques à celles des W.C. usuels ont montrés cette faculté de la protection suivant l'invention à se morceler en sous-éléments de faibles dimensions.

    [0029] Bien entendu et comme il va de soi, la forme de la ligne de découpage 9 peut varier. Elle peut par exemple, comme illustré en fig. 4 et 5 affec­ter la forme d'une courbe de Gauss aplatie 9′, 9˝ avec concavité vers l'avant ou vers l'arrière comme illustré en fig. 5. Chaque ligne 9′, 9˝ est pourvue aussi d'une zone incomplétement découpe 9′a, 9˝a.

    [0030] La protection suivant l'invention est standard c'est-à-dire qu'elle re­couvre intégralement le dessus de l'abattant de toutes les cuvettes et demeure stable même lorsqu'elle est heurtée par les vêtements de l'usa­ger pendant l'opération de déshabillage partiel.

    [0031] Elle protège enfin des éclaboussures d'eau éventuellement projetée par les extréments.

    [0032] Elle est automatiquement entraînée dans la cuvette sous l'action de l'arrivée d'eau issue de la chasse d'eau que cette arrivée soit placée à l'arrière, à l'avant ou sur les côtés de la cuvette des W.C., son tour­billonnement dans celle-ci entraînant son morcellement en de nombreux morceaux évitant toutes obstruction des canalisations, l'évacuation de ladite protection assurant un nettoyage partiel de l'abattant et de la cuvette par rotation.

    [0033] On a ainsi réalisé une protection sanitaire et thermique des usagers par rapport aux abattants des cuvettes de W.C. qui peut facilement être mise dans la poche de l'usager du fait qu'elle peut être pliée et mise sous sachet individuel. Elle peut aussi être fournie en rouleau ou en paquet dans les lieux d'aisance.

    [0034] En particulier les oreilles 3 pourraient être chacune déterminées par une ligne de foulage 3a. Les parties divergentes 5a, 6a des fentes 5, 6 pourraient être plus longues (fig. 6) et affecter une forme courbe référencées 5′a, 6′a.

    [0035] Enfin la fente 9, 9′, 9˝ pourrait être supprimée afin qu'il n'existe qu'une seule langue 10-11 solidaire soit de l'avant, soit de l'arrière de la protection.


    Revendications

    1. Protection temporaire pour les abattants de cuvette de W.C. réalisée au moyen d'un flan de matière biodégradable par l'eau, caractérisée en ce qu'elle comprend :
    - des moyens (3, 10, 11, 16, 17) d'être centrée longitudinalement et transversalement par rapport à l'abattant ;
    - des moyens de préhension (3) ;
    - des moyens (8, 10, 11) assurant son évacuation complète en pro­voquant un nettoyage au moins partiel de l'abattant et de la cu­vette par action de l'eau provenant de la chasse d'eau ;
    - et des amorces de déchirure (14, 15, 20, 21) constituant des moyens de la morceler au moment de son tourbillonnement dans la cuvette.
     
    2. Protection suivant la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comporte :
    . deux fentes courbes (5, 6) symétriques par rapport à l'axe lon­gitudinal de la protection.
    . une ligne transversale (9) de prédécoupe reliant les deux fentes courbes (5, 6) pour former deux langues (10, 11) solidaires de la protection respectivement par les deux bandes extrêmes (12, 13) situées entre les fentes précitées et les arêtes terminales (2, 3) de la protection.
     
    3. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce qu'elle comprend une fente longitudinale principale (7, 7′) ménagée dans la langue arrière (10).
     
    4. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce que les deux fentes courbes (5, 6) comportent chacune un prolongement divergent (5a, 6a-5′a,6′a) en direction de l'arrière.
     
    5. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce que la ligne transversale de découpe (9) se prolonge au-delà des deux fentes courbe (5, 6) par des amorces de déchirage (9b, 9c).
     
    6. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce que la ligne transversale de découpe (9) affecte la forme d'une demi sinusoïde à branches non symétriques.
     
    7. Protection suivant la revendication 6, caractérisée en ce que la ligne transversale 9 affecte la forme d'une courbe de Gauss aplatie (9′) à concavité tournée vers l'avant.
     
    8. Protection suivant la revendication 6, caractérisée en ce que la ligne transversale affecte la forme d'une courbe de Gauss (9˝) aplatie avec concavité tournée vers l'arrière.
     
    9. Protection suivant la revendication 6, caractérisée en ce que la ligne transversale de découpe (9, 9′, 9˝) comporte une zone non complè­tement découpée (9a, 9′a, 9˝a).
     
    10. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce que les côtés extérieurs longitudinaux de la protection 1 comportent à proximité immédiate de l'avant de celle-ci deux entailles (14, 15), déterminant deux rabats (16, 17).
     
    11. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce que les deux arêtes terminales (2, 4) de la protection affectent des formes complémentaires dont l'une (2) présente à ses extrémités deux oreilles de préhension (3).
     
    12. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens (18, 19) d'être suspendue verticalement en pile.
     
    13. Protection suivant la revendication 2, caractérisée en ce qu'elle comporte des amorces de déchirage (20, 21) disposées à l'origine des entailles (14, 15).
     
    14. Protection suivant la revendication 1, caractérisée en ce qu'elle comporte :
    - deux fentes (5, 6) déterminant une langue unique solidaire de la protection par l'une des bandes extrêmes (12, 13) situées entre les fentes précitées et les arêtes terminales (2, 3) de la pro­tection ;
    - des rabats (16, 17) comportant des moyens (14, 15) de se déformer vers le bas et localisés à l'avant de la protection et sur ses côtés latéraux.
     




    Dessins













    Rapport de recherche