[0001] La présente invention concerne un dispositif de marquage agencé pour être monté sur
un appareil comprenant, monté dans un canon, un piston destiné à y être entraîné en
translation sous l'action des gaz de combustion d'une charge propulsive, dispositif
comportant un boîtier contenant au moins un poinçon agencé pour être déplacé sous
l'action du piston de l'appareil.
[0002] La présente invention concerne donc le marquage, à froid, réalisé à l'aide d'un appareil
particulier qui, le plus souvent est un appareil de scellement à tir indirect.
[0003] Par marquage, il faut entendre le poinçonnage, sur des pièces, d'informations particulières,
comme par exemple, une date - il s'agit alors d'un datage.
[0004] Les dispositifs de marquage connus et utilisés jusqu'à maintenant sont constitués
d'un boîtier métallique, généralement en deux parties, fixé sur le canon de l'appareil
et contenant une masselotte libre en déplacement, le plus souvent poussée vers les
poinçons par un ressort, et qui, sous l'action du piston de l'appareil, entraîne à
son tour les poinçons en déplacement, ces derniers étant parfois maintenus dans des
couloirs ménagés dans le boîtier, comme enseigné par les documents FR-A-2 389 425
et 2 456 570, et ce, pour effectuer le marquage. Les poinçons pouvant d'ailleurs être
remplacés par des molettes rotatives pour permettre un changement rapide de caractères.
[0005] Ces dispositifs sont relativement chers et d'un poids excessif.
[0006] La présente invention vise donc à proposer un dispositif de marquage de faible poids,
d'un coût réduit et d'une seule pièce.
[0007] A cet effet, la présente invention concerne un dispositif du type mentionné ci-dessus,
caractérisé par le fait que le boîtier est monobloc, son matériau est souple, il est
monté mobile relativement au canon de l'appareil et il contient une enclume pour transmettre
l'énergie du piston de l'appareil au poinçon.
[0008] La mobilité du boîtier par rapport au canon permet d'absorber facilement l'inertie
due au recul de l'appareil.
[0009] Le matériau du boîtier du dispositif de l'invention, en matériau souple, peut de
surcroit être léger et donc déformable élastiquement pour bien s'écraser sur la pièce
à marquer lors de l'impact du piston sur l'enclume. Le boîtier peut être obtenu par
moulage, être en matière plastique, élastique, en polyuréthane ou même être réalisé
en plusieurs parties de matières différentes assemblées entre elles, par exemple par
des vis, pour préserver le caractère monobloc du boîtier. Grâce au caractère mobile,
ou télescopique, du boîtier du dispositif, un bon contact, entre le ou les poinçons
de marquage et les pièces ou le matériau à marquer, est assuré.
[0010] L'enclume peut être surmoulée dans le boîtier ou être rendue solidaire de ce dernier,
par exemple, par des axes s'appuyant sur le boîtier et maintenant toujours l'enclume
dans sa position initiale du fait de la souplesse du boîtier.
[0011] Le boîtier peut comporter des moyens, avantageusement des évidements en forme de
rainure, pour faciliter l'écrasement du boîtier lors du marquage.
[0012] La partie arrière du canon, située vers la charge, peut comporter un ensemble d'amortissement
pour absorber l'inertie due au recul brutal du piston après que celui-ci ait rebondi
sur l'enclume et préserver ainsi la durée de vie du piston.
[0013] Le boîtier peut être agencé pour être déplacé sous l'action du piston de l'appareil
contre l'action de moyens de rappel, en appui contre un épaulement du boîtier et un
épaulement d'un embout du canon ou du canon lui-même.
[0014] Dans une forme de réalisation particulière du dispositif de l'invention, il est prévu
au moins un disque de marquage monté rotatif dans le boîtier portant une série de
portions utiles de poinçonnage et des moyens d'immobilisation en rotation du disque.
[0015] Dans une autre forme de réalisation, et notamment pour pouvoir utiliser le dispositif
sur des surfaces courbes, l'enclume contenue dans le boîter est munie de couloirs
de guidage des poinçons, le boîtier, grâce à la souplesse et l'élasticité de son matériau,
contenant le mouvement de l'enclume.
[0016] De préférence, la partie avant du boîtier du dispositif de l'invention, éloignée
de l'appareil, est pourvue d'un bourrelet agencé pour parfaire l'appui du boîtier
sur la pièce à marquer et absorber une partie de l'énergie excédentaire, non nécessaire
au poinçonnage, et améliorer ainsi la qualité du marquage, en évitant une déformation
trop importante de la pièce ou du matériau à marquer, notamment s'il s'agit de plaques
de faible épaisseur et en limitant le phénomène de rebond préjudiciable à cette qualité.
[0017] Le bourrelet peut s'étendre dans le plan du caractère de marquage du poinçon, être
en retrait par rapport à ce plan ou faire saillie au-delà de ce plan. A la place du
bourrelet, on peut aussi prévoir au moins un pion d'amortissement monté sur ressort.
[0018] L'invention sera mieux comprise à l'aide de la description suivante de plusieurs
formes de réalisation du dispositif de marquage de l'invention, en référence aux dessins
annexés, sur lesquels :
- la figure 1 est une vue schématique d'une première forme de réalisation du dispositif
de marquage de l'invention, monté sur un appareil de scellement, en coupe selon l'axe
de l'appareil ;
- la figure 2 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure 1
;
- la figure 3 est une vue analogue à celle de la figure 1, d'une deuxième forme de
réalisation du dispositif de l'invention ;
- la figure 4 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure 3
;
- la figure 5 est une vue analogue à celle de la figure 1, d'une troisième forme de
réalisation du dispositif de l'invention ;
- la figure 6 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure 5
;
- la figure 7 est une vue schématique en coupe d'une quatrième forme de réalisation
;
- la figure 8 est une vue schématique en coupe d'une cinquième forme de réalisation
;
- la figure 9 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure 8
;
- la figure 10 est une vue schématique en coupe d'une sixième forme de réalisation
;
- la figure 11 est une vue schématique en coupe d'une septième forme de réalisation
du dispositif de l'invention;
- la figure 12 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure
11 ;
- la figure 13 est une vue schématique en coupe, d'une huitième forme de réalisation
du dispositif de l'invention, pour surfaces concaves ;
- la figure 14 est une vue schématique en coupe, orthogonale à celle de la figure
13 ;
- la figure 15 est une vue schématique en coupe de l'enclume du dispositif de la figure
13, selon la ligne XV-XV ;
- la figure 16 est une vue en coupe du dispositif de la figure 14, selon la ligne
XVI-XVI ;
- les figures 17A et 17B sont des vues en coupe d'une première forme de réalisation
d'un bourrelet d'absorption pour le dispositif de l'invention, en position de repos
et en position de marquage, respectivement :
- les figures 18A et 18B sont des vues, analogues à celles des figures précédentes,
d'une deuxième forme de réalisation d'un bourrelet d'absorption ;
- les figures 19A et 19B sont des vues, analogues à celles des quatre figures précédentes,
d'une troisième forme de réalisation d'un bourrelet d'absorption.
[0019] En référence à la figure 1, le dispositif de marquage de l'invention, qui va être
décrit dans plusieurs de ses formes de réalisation, est destiné ici à être utilisé
avec et monté sur un appareil de scellement à tir indirect. C'est un appareil bien
connu et seuls ses éléments nécessaires à la compréhension du montage et du fonctionnement
du dispositif de marquage de l'invention seront décrits.
[0020] L'appareil de scellement comprend un canon 1 sur la partie arrière duquel est vissé
un porte-charge 2. Dans l'alésage 3 du canon est monté un piston 4, introduit ici
par l'arrière du canon, et destiné à être entraîné vers l'avant sous l'action des
gaz de combustion d'une charge propulsive, après sa percussion,logés dans le porte-charge
2. Le piston 4 comporte une tête 5 sensiblement de même section que l'alésage 3 du
canon. La tige 6 du piston 4 est maintenue en position axiale dans le canon par des
pions transversaux 7 soumis à la contrainte d'un jonc 8.
[0021] Un système d'amortissement du piston est disposé entre le canon et le porte-charge.
Il est constitué ici d'une bague en acier 30 sur laquelle vient prendre appui le piston,
et d'une bague élastique 31 qui peut s'écraser grâce à un espace de gonflement 32
ménagé autour ou dans la bague 31. Après montage, et blocage du porte-charge 2 sur
le canon 1, la bague en acier 30 maintenue vers l'avant contre le canon par la bague
élastique 31 peut être animée d'un mouvement de translation défini par la distance
d'amortissement sous l'action du retour du piston.
[0022] La partie antérieure du canon 1 comporte ici deux fraisages plans 9 diamétralement
opposés pour le montage du dispositif de marquage, comme expliqué ci-après.
[0023] Le dispositif de marquage des figures 1 et 2 est ici de forme généralement parallélépipédique.
Il comporte une enclume 10 en forme de barreau cylindrique, disposée et maintenue
dans un boîtier annulaire 11, affleurant par ses deux extrémités à la surface extérieure
du boîtier. Le boîtier 11 présente à l'arrière, une ouverture cylindrique 12 de réception
de la partie antérieure du canon s'étendant depuis l'enclume en constituant, d'un
côté, le fond. Il présente, à l'avant, une ouverture parallélépipédique 19 de réception
d'une série de poinçons de marquage 14,alignés suivant un plan diamétral du canon
de l'appareil, s'étendant depuis l'enclume 10 en constituant, de l'autre côté, aussi
le fond.
[0024] L'enclume est solidarisée au boîtier 11 par un axe traversant 24. Elle comporte une
partie plane 15 formant le fond de l'évidement 12 de réception du canon et servant
d'appui à son extrémité frontale.
[0025] Les poinçons 14 comportent, chacun, une gorge 16 de réception, avec jeu, d'un axe
de retenue 17, reçu, de l'autre côté, et toujours avec jeu, dans une gorge 18 du boîtier
11. Les poinçons 14 peuvent donc bouger dans le boîtier. La portion avant du boîtier
11 constitue un bourrelet d'absorption déformable 19, dont le plan d'extrémité, en
position de repos, se trouve ici sensiblement au même niveau que le plan des caractères
de marquage 20 des poinçons. Le montage du dispositif de marquage sur le canon 1 de
l'appareil s'effectue en le glissant, par son ouverture 12, sur la bouche du canon,
et en chassant à travers la paroi du boîtier, par deux ouvertures ménagées à cet effet,
les deux branches 21 d'une épingle de maintient venant coopérer avec les fraisages
9 du canon.
[0026] Le dispositif de marquage peut ainsi coulisser sur le canon.
[0027] Après la mise en appui du dispositif sur la pièce à marquer et la mise à feu, le
piston 4 est propulsé vers l'avant et percute l'enclume 10, ce qui provoque 1e déplacement
de l'ensemble du dispositif, enclume, poinçons et boîtier et assure ainsi le marquage,
la position choisie du bourrelet limitant la pénétration dans la pièce à marquer.
[0028] Des trous d'évent 22, dans le canon, permettent l'évacuation des gaz pour éviter
de pousser indûment le boîtier.
[0029] Le dispositif de la figure 7 est presque identique à celui des figures 1 et 2. Il
s'en distingue toutefois par son enclume 40, sur laquelle le boîtier a été directement
surmoulé. Par ailleurs, le bourrelet d'absorption déformable 44 du boîtier a un plan
d'extrémité qui, ici, est confondu avec le plan des caractères de marquage des poinçons.
[0030] En référence aux figures 3 et 4, dont les éléments semblables à ceux des figures
1, 2 portent les mêmes références, le maintien de l'enclume 50 dans le boîtier est
assuré par deux goupilles 51, 52. La partie arrière du canon est pourvu d'un dispositif
d'amortissement du piston constitué d'une seule bague 53 en acier de faible dureté
et qui de plus peut présenter une forme tronconique dans laquelle vient prendre appui
le piston.
[0031] Dans la forme de réalisation des figures 5, 6, dont les éléments semblables à ceux
des figures 1, 2 portent les mêmes références, l'enclume 60 est fixée par des vis
61, 62, lesquelles sont en appui sur le boîtier qui comporte un évidement 63 ménagé
à une certaine distance de la tête des vis pour permettre un déplacement de l'enclume
60 grâce à l'élasticité du boîtier. Une telle caractéristique est d'ailleurs intéressante
dans toutes les formes de réalisation, pour augmenter la souplesse du boîtier.
[0032] En référence aux figures 11 et 12, le dispositif comporte un boîtier 70, lequel reçoit
une embase 71 sur laquelle viennent prendre appui des ressorts 72, 73 qui la repoussent,
vers l'enclume 74, contre un épaulement 75 du boîtier. Le canon 76 est ici directement
vissé dans l'embase 71, mais il pourrait l'être par l'intermédiaire d'une pièce supplémentaire.
Le canon 76 comporte une ou plusieurs rainures 77 pour fixer le boîtier en rotation
sur le canon, le boîtier étant conformé de façon correspondante en 78 grâce à son
caractère élastique. Tout comme dans les formes de réalisation des figures 1 et 4,
par ailleurs analogues à celle des figures 11 et 12, le boîtier comporte des évidements
79 pour permettre une meilleure élasticité.
[0033] Le dispositif des figures 8 et 9 se distingue de ceux des figures précédentes essentiellement
par les poinçons de marquage qui sont ici des disques 80, toujours disposés côte à
côte, et portant, chacun, une série de caractères de marquage 81 répartis à leur périphérie,
offrant ainsi une série de plusieurs marquages possibles. Les disques 80 sont montés
rotatifs avec jeu sur un axe de retenue 82 chassé dans le boîtier 83. L'axe 82 et
l'enclume 84 sont ici liés au boîtier par des goupilles 85 et 86.
[0034] L'enclume 84 comporte une surface plane 87 s'étendant sur une longueur sensiblement
égale à la somme des épaisseurs des disques 80, et à une distance, du plan diamétral
auquel elle est parallèle, sensiblement égale à la différence entre, d'une part, la
distance de l'axe du logement 88 de réception de l'enclume 84 au plan d'extrémité
antérieur du boîtier 83 et, d'autre part, le diamètre hors tout des disques 80.
[0035] Les disques 80 portent à leur périphérie des échancrures circulaires 89 de même rayon
que l'enclume 84. Dans la position des éléments des figures 8 et 9, les disques de
marquage sont bloqués en rotation par l'enclume car le jeu entre les disques 80 et
l'axe 82 sur lequel ils sont montés est inférieur à la distance d'encastrement des
disques dans l'enclume. Pour changer le marquage, il suffit de désolidariser l'enclume
du boîtier, et de la faire pivoter de 180° pour que le plat 87 se trouve en face des
disques - ou de la retirer - pour que la rotation des disques soit possible. Dans
cette forme de réalisation, il est également possible de prévoir des évidements sur
le boîtier pour amélioirer l'élasticité.
[0036] Le dispositif de la figure 10 se distingue de celui des figures 8 et 9 par le fait
que les disques poinçons 90 sont polygonaux et que l'enclume 91 est donc pourvue d'une
rainure 93 en V de forme correspondante, la rotation des molettes s'effectuant après
avoir retiré l'enclume du boîtier 94. Il faut noter ici la forme particulière du boîtier
94 qui permet un marquage sur une partie cylindrique.
[0037] Les figures 13 à 16 représentent une forme de réalisation du dispositif permettant
d'effectuer un marquage sur des surfaces courbes, concaves ou convexes. Le boîtier
100 est constitué d'une matière souple ; l'enclume 102 est liée au boîtier par des
axes 103. Le boîtier 100 est toujours le même quel que soit le rayon de marquage choisi,
mais la conformation de l'enclume 102 dépend de ce rayon. En effet, suivant les dimensions
de la surface à marquer, l'enclume doit posséder un rayon de courbure approprié. Toutefois,
elle comporte toujours des canaux 101 de guidage des poinçons 104 et des bossages
105 pour maintenir les poinçons sur celle-ci. Les axes 103 sont ici maintenus prisonnier
du boîtier 100 par des obturateurs 106 emmanchés dans le boîtier, un épaulement 107,
de plus gros diamètre que le trou 108 de réception des axes 103 étant ménagé sur l'axe
103 pour l'empêcher de traverser l'enclume 102. Le changement de rayon des pièces
à marquer ne nécessite donc que le remplacement de l'enclume contenue dans le boîtier.
[0038] Indépendamment des autres éléments contenus dans le boîtier du dispositif, le bourrelet
d'amortissement de celui-ci peut avoir plusieurs formes et dispositions appropriées
notamment pour parfaire l'appui du boîtier sur la pièce ou le matériau à marquer,
absorber la partie excédentaire de l'énergie du piston de l'appareil, éviter, en les
contrôlant, une trop grande déformation de la pièce ou du matériau à marquer et une
pénétration trop importante des poinçons et améliorer ainsi la qualité du marquage.
[0039] Le bourrelet 110 des figures 17A et 17B a une section trapézoïdale et est légèrement
en retrait, au rapport, par rapport au caractère de marquage 111. Il permet un écrasement
maximal, bien adapté à une pièce 112 de faible épaisseur, en absorbant le surplus
d'énergie.
[0040] Le bourrelet 120 des figures 18A et 18B se trouve dans le plan des caractères de
marquage 121. Au cours du marquage, il s'écrase progressivement. Il est particulièrement
adapté pour les plaques fines et pour éviter toutes dégradations dues au rebond de
l'appareil.
[0041] Le bourrelet 130 des figures 19A et 19B est un tore souple rapporté sur le boîtier
132. Il remplit les fonctions des bourrelets précédents.
1.- Dispositif de marquage agencé pour être monté sur un appareil comprenant, monté
dans un canon (1), un piston (4) destiné à y être entraîné en translation sous l'action
des gaz de combustion d'une charge propulsive, dispositif comportant un boîtier contenant
au moins un poinçon agencé pour être déplacé sous l'action du piston (4 de l'appareil,
caractérisé par le fait que le boîtier (11; 83 ; 94 ; 70,100) est monobloc, son matériau
est souple, il est monté mobile relativement au canon de l'appareil et il contient
une enclume (10 ; 40 ; 84 ; 91 ; 50 ; 60 ; 74 ; 102) pour transmettre l'énergie du
piston de l'appareil au poinçon.
2.- Dispositif selon la revendication 1, dans lequel l'enclume (10 ; 40 ; 84 ; 91
; 50 ; 60 ; 74 ; 102) est solidaire du boîtier (11 ; 83 ; 94 ; 70 ; 100).
3.- Dispositif selon la revendication 2, dans lequel le boîtier est surmoulé sur l'enclume
(40).
4.- Dispositif selon la revendication 2, dans lequel l'enclume (10,50) est fixée au
boîtier (11) par au moins un axe (24 ; 51, 52).
5.- Dispositif selon la revendication 2, dans lequel l'enclume (60) est fixée au boîtier
par des vis (61,62).
6.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 5, dans lequel il est prévu dans
le boîtier des moyens (63 ; 79) agencés pour faciliter son écrasement lors du marquage.
7.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6, dans lequel le matériau du boîtier
(11 ; 83 ; 94 ; 70 ; 100) est élastiquement déformable.
8.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, dans lequel le boîtier (70) est
monté mobile sous l'action du piston de l'appareil et contre l'action de moyens de
rappel (73).
9.- Dispositif selon l'une des revendications 1 et 2, dans lequel le poinçon est un
disque (80 ; 90) monté rotatif sur un axe (82) et il est prévu des moyens (89,87,93)
de blocage et de déblocage en rotation du disque.
10.- Dispositif selon la revendication 9, dans lequel le disque (80) est monté sur
l'axe (82) avec jeu.
11.- Dispositif selon l'une des revendications 9 et 10, dans lequel le disque (90)
a une forme polygonale.
12.- Dispositif selon l'une des revendications 1 et 2, dans lequel l'enclume (102)
comporte un couloir (101) de guidage du poinçon (104).
13.- Dispositif selon la revendicatin 12, dans lequel un bossage (105) de maintien
du poinçon est formé dans le couloir de guidage (101).
14.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 13, dans lequel le boîtier comporte
un bourrelet d'amortissement (19 ; 44 ; 110 ; 120 ; 130).
15.- Dispositif selon la revendication 14, dans lequel le bourrelet d'amortissement
(130) est rapporté sur le boîtier (132).
16.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 15, dans lequel le boîtier contient
une série de poinçons de marquage alignés et côté à côté.
17.- Dispositif selon l'une des revendications 1 à 16, caractérisé par le fait que
l'appareil sur lequel il peut être monté comporte, dans sa partie arrière, des moyens
(30,31) d'amortissement du piston (4).