[0001] La présente invention se rapporte à une patte perfectionnée pour le montage et le
maintien notamment du portillon d'une trappe de visite, en particulier sur un habillage
de baignoire.
[0002] Concernant les pattes de maintien pour portillon d'habillage de baignoire, les principales
qualités et les avantages recherchés de facilité de pose, de simplicité d'ouverture
du portillon et de sécurité de maintien sont rarement réunis sur une même trappe de
visite.
[0003] On connaît les portillons à aimant dans lesquels le maintien du portillon résulte
de l'attraction magnétique. Si la pose de ce type de portillon s'effectue rapidement,
le scellement des pattes ne s'avère pas toujours commode en raison d'une certaine
précision à observer.
[0004] Afin d'y remédier, divers fabricants ont mis au point une patte dont le corps vient
se prendre dans la colle du carrelage.
[0005] En raison de la faible épaisseur de la platine formant l'extrémité de la patte à
sceller, ce mode de pose de la patte convient parfaitement.
[0006] Or, ces pattes portent à leur autre extrémité un élément de fixation et de solidarisation
qui alourdit la patte et requiert une précision suffisante de pose.
[0007] Pour des raisons de simplicité, le maintien par attraction magnétique a également
été retenu pour ce type de patte. Ce maintien donne satisfaction sur le plan mécanique
si bien qu'en ce qui concerne l'enlèvement de la plaque ou du portillon, une force
importante s'avère nécessaire.
[0008] Cet inconvénient est notablement amplifié par le fait qu'il n'existe pas, sur la
surface lisse du portillon fermé, de prise pour sa saisie car il s'agit d'une surface
carrelée, formée en général par plusieurs carreaux juxtaposés.
[0009] L'inconvénient décrit ci-dessus s'avère d'une importance telle que l'ouverture de
la trappe nécessite l'emploi d'une ventouse associée à un manche pour se constituer
une prise permettant de vaincre l'attraction de la force magnétique.
[0010] La présente invention a pour but d'une part de remédier à ce type d'inconvénient
et d'autre part d'augmenter encore la rapidité et la facilité de pose, permettant
d'arriver à un résultat satisfaisant du premier coup.
[0011] A cet effet, l'invention se rapporte à une patte perfectionnée pour le montage d'un
portillon de visite sur un habillage de baignoire caractérisée en ce qu'elle présente
une première extrémité perforée en forme de platine suivie d'un double retour d'angle
sortant puis rentrant en vue de son calage sur l'épaulement formé par le chant de
l'ouverture et sa bordure adjacente, et une deuxième extrémité parallèle au portillon
comportant un élément transversal de maintien, à prise de maintien et à enfoncement
élastique en vue de son maintien en fermeture et de son basculement pour l'ouverture.
[0012] De nombreux avantages découlent de l'utilisation de la patte selon l'invention, patte
qui s'utilise, par exemple, avec deux ou trois autres identiques en vue du maintien
de la surface plane constituant le portillon de visite dont ci-après les principaux
:
. le basculement du plan du portillon permet de dégager un coin servant de prise pour
l'extraction du portillon,
. le montage s'effectue parfaitement sans ajustement car l'épaulement constituant
la patte épouse exactement le chant de l'ouverture, évitant ainsi tout calage et ajustement
ultérieur à la pose,
. l'immobilisation primaire permet de le maintenir dans cette position jusqu'à la
prise de la colle.
[0013] La présente invention sera bien comprise à la lecture de la description qui suit,
effectuée à titre d'exemple non limitatif sur un mode d'exécution en réfé rence aux
dessins accompagnants dans lesquels :
. la figure 1 est une vue en perspective d'une ouverture montrant l'emplacement et
la conformation générale de la patte de fixation selon l'invention ;
. la figure 2 est une vue en perspective montrant une patte de fixation selon la variante
de base, mise en place par des éléments d'immobilisation primaire ;
. la figure 3 est une vue en perspective de la patte de fixation selon l'invention,
selon une version à déformation élastique ;
. la figure 4 est une vue schématique illustrant le travail du moyen de suspension
élastique ;
. la figure 5 est une vue en perspective schématique montrant le basculement du portillon
résultant de l'enfoncement d'un de ses coins.
[0014] L'idée générale inventive consiste à prévoir une patte de fixation d'un portillon
de trappe de visite, par exemple d'un habillage de baignoire, à employer avec plusieurs
autres homologues, présentant d'une part un appui contre le chant latéral de l'ouverture
en association avec une immobilisation primaire, et, d'autre part, une tête de contact
et de maintien avec le panneau de fermeture montée sur la patte par l'intermédiaire
d'une suspension élastique.
[0015] Cette conformation permet à la patte d'être calée instantanément dès la mise en
place par appui simultané contre la face avant et le chant de l'ouverture.
[0016] Elle permet également à la tête de la patte d'être située à la bonne profondeur
pour entrer en contact de fixation ou de solidarisation avec la face arrière du portillon
de visite et de garantir la perfection de pose dans les alignements et la co-planéïté
nécessaires.
[0017] Avant de décrire en détail les deux modes de réalisations de base, on exposera ci-après
les moyens généraux de l'invention.
[0018] Celle-ci consiste à prévoir une patte de fixation présentant deux retours successifs
mais inversés à angle droit de manière à constituer un épaulement de calage sur l'épaulement
saillant de l'ouverture. Elle présente à son extrémité libre un élément transversal
de maintien monté sur une suspension élastique alors que son autre extrémité comporte
des perforations destinées à être traversées pour l'une ou l'autre d'entre elles par
un moyen d'immobilisation primaire contre le bord adjacent de l'ouverture, puis à
y être solidarisée par la colle utilisée pour maintenir le carrelage au droit de l'ouverture
et être recouverte ensuite par ledit carrelage sans ocasionner de surépaisseur de
carrelage.
[0019] On décrira maintenant ci-après, à titre d'exemple, deux modes de réalisation de
base.
[0020] L'invention concerne une patte de fixation 1 destinée à être montée avec, par exemple,
trois pattes homologues 2, 3, 4 sur l'un ou l'autre des chants 5 et de la bordure
6 d'une ouverture d'accès 7 ménagée dans une paroi ou un muret 8 d'habillage de la
face latérale d'une baignoire ou de toute autre paroi.
[0021] Ces pattes permettent le maintien à désolidarisation possible d'un portillon de
visite 9 couvert d'un carrelage 10 ou constitué entièrement avec des carreaux de faïence.
[0022] Le but de l'invention tel qu'exprimé déjà ci-dessus est double. Elle permet d'une
part la pose rapide et parfaite des pattes de fixation et, d'autre part, le dégagement-extraction
du portillon par simple basculement résultant d'une force suffisante de pression-enfoncement
sur un coin, force suivie d'une saisie-traction sur le coin opposé qui arrive en
position dégagée suite à l'enfoncement, comme on le verra ci-après.
[0023] La patte 1 selon l'invention se compose d'une première extrémité dite extrémité d'immobilisation
primaire 11 sous la forme d'une platine perforée 12 à perforation 13 à cuvettes
coniques d'entrée de perforation suivie d'un double retour d'angle 14 formé par une
aile 15 à angle droit définissant un angle sortant 16 destiné à venir épouser et à
se caler sur la bordure et le chant adjacent de l'ouverture 7 formant un épaulement
saillant 17. L'aile 15 se poursuit par un deuxième retour à angle droit définissant
un angle droit rentrant 18 à une distance inférieure à celle correspondant à l'épaisseur
du chant de l'ouverture. L'angle rentrant 18 se poursuit par un retour 19 selon une
extrémité libre ou de fixation 20 porteuse d'une pièce transversale de maintien 21
destinée à venir coopérer avec un élément ou une structure complémentaire en vue de
réaliser un maintien solide mais facilement et rapidement dissociable avec le portillon
dit maintien à désolidarisation.
[0024] Plus particulièrement, l'extrémité de fixation porte la pièce transversale de maintien
21 montée sur celle-ci par l'intermédiaire d'une suspension élastique ou de tout autre
moyen équivalent.
[0025] On peut citer comme exemple de premier mode la réalisation représentée sur la figure
2 qui met en oeuvre une pièce transversale de maintien 21 en matière plastique dont
une des extrémités transversales 22 sert de tête 23 et enrobe un noyau aimanté ou
aimant 24 constituant ainsi une extrémité de contact avec une plaquette métallique
telle que 25 solidarisée en regard sur la face arrière du portillon. Cette tête 23
est de diamètre plus important que la section du corps de ladite pièce transversale
de maintien 21. Cette pièce transversale de maintien 21 se poursuit par une extrémité
de réglage 26 par laquelle elle est montée réglable axialement, c'est-à-dire transversalement
à la patte de fixation.
[0026] Il peut s'agir, par exemple, d'une extrémité conformée en tige filetée 27 traversant
l'extrémité de fixation 20 par un passage 28 de diamètre supérieur à celui de la tige
filetée et y étant retenue par un ensemble écrou-rondelle 29 portant le retour 19
constituant l'extrémité de fixation 21.
[0027] De l'autre côté, la pièce de fixation est main tenue axialement en extension et
rappel vers l'avant par un ressort 30 coaxial à ladite pièce de fixation 20 appuyant
d'une part sur l'extrémité du retour 19 et d'autre part contre la tête élargie de
la pièce de fixation 20. Le plus grand diamètre de cette tête constitue l'autre butée
d'appui retenant le ressort.
[0028] Le ressort est maintenu légèrement sous tension entre l'épaulement périphérique constitué
par la bordure de la tête 23 de la pièce de maintien et l'extrémité du retour 19 de
la patte de fixation formant ainsi une véritable suspension élastique susceptible
d'enfoncement ou de mouvements axiaux en vue du dégagement en biais de la plaque du
portillon de visite.
[0029] Comme déjà indiqué, pour permettre le maintien par attraction magnétique, la zone
voisine de chaque coin est pourvue d'une plaque métallique 25 solidarisée à la face
arrière du portillon.
[0030] Pour ouvrir, il suffit d'enfoncer un des coins de la plaque formant le portillon,
mouvement qui la fait basculer autour d'une ligne diagonale 31 de pivotement. Ce mouvement
dégage le coin opposé et permet de le saisir en vue d'extraire la plaque.
[0031] En ce qui concerne le montage, il s'avère facile d'obtenir, dans un même plan, les
extrémités de chaque patte de fixation, en raison du réglage possible du décalage
axial de la tête de la pièce transversale de maintien par rapport à la face avant
ou arrière de la paroi d'habillage.
[0032] De même, la mise en place est immédiate et parfaite de par le calage sur les bords
de l'ouverture résultant de la forme particulière de la patte de fixation.
[0033] La variante représentée sur la figure 3 procède du même principe inventif et constitue
un véritable équivalent à la réalisation ci-dessus. Elle utilise, comme on le verra
ci-après, la déformation élastique de la matière et la solidarisation par encliquetage.
[0034] Elle ne diffère que par la particularité des moyens de maintien, mais les fonctions
et les résultats restent identiques. La déformation élastique de la matière sur une
surface ou rampe convergente provoque un glissement équivalent à une force de rappel
élastique.
[0035] Plus particulièrement, l'extrémité de fixation 20 de la patte de fixation est conformée
en un retour 32 à deux lames flexibles distinctes en regard 33 et 34, susceptibles
de rapprochement et d'éloignement par déformation élastique de la matière. Elles
présentent chacune un relief semi-sphérique en regard tel que 35 ou 36.
[0036] L'extrémité de fixation de chaque patte coopère avec une pince 37 fixée en regard
sur la face arrière du portillon, formée également de deux lames flexibles 38 et 39
disposées en regard, susceptibles de rapprochement et d'éloignement par déformation
élastique de la matière. Ces lames sont conformées en creux selon deux formes semi-sphériques
correspondantes 40 et 41, disposées en regard, complémentaires aux reliefs semi-sphériques
35 et 36 des deux lames flexibles 33 et 34 du retour 32.
[0037] Les reliefs peuvent varier légèrement dans leur forme. Ils viennent se prendre à
immobilisation après une phase de glissement-pincement, dans les formes complémentaires
en creux à la manière d'un encliquetage permettant ainsi un maintien à désolidarisation.
[0038] Comme précédemment, trois ou quatre pattes suffisent à maintenir le portillon. Le
maintien s'effectue par encliquetage.
[0039] Cet encliquetage est libéré en maintien par une traction qui aboutit à une désolidarisation
des pièces complémentaires, mais aussi par un enfoncement au cours duquel les reliefs
semi-sphériques sortent de leur logement correspondant et aboutissent en fond de
mâchoire.
[0040] La pince 37 présente un espace suffisant en fond de mâchoires pour accepter un enfoncement
supplémentaire aboutissant au désencliquetage.
[0041] On procède ainsi de la même façon au basculement par enfoncement de l'un des coins,
provoquant la sortie du coin opposé qui, lorsque suffisammment dégagé, permet sa saisie
en vue de l'extraction du portillon.
[0042] On remplit ainsi les mêmes fonctions en vue d'obtenir les mêmes résultats.
[0043] Comme on peut le voir plus particulièrement sur la figure 2, les perforations de
l'extrémité avant de chaque patte de fixation sont utilisées pour réaliser une immobilisation
primaire à l'aide d'éléments de maintien : clous, vis ou autres tels que 42, dont
la tête se loge dans la cuvette conique des perforations de manière à arriver à fleur
avec la platine perforée.
[0044] Cette immobilisation primaire s'avère particulièrement rapide et aisée à mettre
en place, en raison de la butée-calage en angle de la patte de fixation contre le
chant et les bords adjacents de l'ouverture provenant de sa forme générale en double
épaulement comme celle de la patte de fixation.
[0045] La pose complète d'un portillon s'avère notablement facilitée et plus rapide.
[0046] On décrira ci-après les différentes phases relatives au procédé de montage.
[0047] Il suffit de présenter les pattes de fixation aux endroits habituels et, après les
avoir calées contre l'épaulement formé par le chant de l'ouverture et la paroi adjacente,
d'immobiliser de façon primaire chacune des pattes, au moyen d'un ou de plusieurs
clous ou autre élément de fixation tels que 42, à travers les perforations de l'extrémité
d'immobilisation de la patte et à les enfoncer jusqu'à ce que leur tête soit à fleur
avec l'extrémité.
[0048] On règle ensuite chaque pièce transversale de maintien en profondeur, fonction de
l'épaisseur du portillon carrelé, des pièces complémentaires de maintien et de l'épaisseur
de la colle. On place l'élément com plémentaire, plaque métallique ou pièce d'encliquetage,
en prise sur la pièce de solidarisation.
[0049] On enduit de colle la zone en regard de la face arrière de la plaque du portillon,
on le met en place et on procède à l'application de la colle et à la pose du carrelage
sur le portillon et sur la paroi d'habillage de la baignoire.
[0050] L'ensemble se trouve immédiatement en position parfaite en raison de l'immobilisation
primaire et du calage d'angle. Il est inutile d'attendre que la colle soit sèche.
[0051] On peut déposer le portillon lorsque la colle est sèche et procéder aux travaux de
finition du carrelage.
[0052] L'invention a été décrite ci-dessus en détail. Il est bien entendu cependant que
diverses modifications simples, adjonctions, variantes directes, substitutions par
des moyens équivalents entrent dans le cadre de la présente protection.
1. Patte de fixation d'un portillon ou d'une trappe, notamment portillon de visite
d'un habillage de baignoire, caractérisée en ce qu'elle présente une extrémité d'immobilisation
primaire perforée sous la forme d'une platine (12) suivie d'un double retour d'angle
ou double épaulement sortant puis rentrant pour son calage dans l'épaulement saillant
formé par le chant de l'ouverture et sa bordure adjacente, et une extrémité de fixation
(20) parallèle au portillon comportant une pièce transversale de maintien (21), à
prise de maintien et à enfoncement élastique en vue de son maintien à désolidarisation
en fermeture et de son basculement de dégagement facilitant l'ouverture.
2. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'extrémité
d'immobilisation primaire (11) est en contact avec la paroi adjacente au chant de
l'ouverture pour son immobilisation primaire à l'aide d'éléments de fixation (42),
clous, vis ou autres, traversant les perforations.
3. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que la pièce transversale
de maintien (21) est un élément de maintien traversant l'extrémité de fixation (20)
de la patte comprenant une extrémité avant aimantée ou aimant (24) coopérant avec
une plaque métallique (25) solidarisée à la face arrière du portillon et une extrémité
opposée réglable (26) en déplacement axial, ladite pièce de maintien porte un aimant
ou un élément aimanté et est montée en rappel élastique de déplacement axial sur l'extrémité
de fixation (20).
4. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que la pièce de
maintien (21) traverse l'extrémité de fixation (20) de la patte de fixation par un
passage de section supérieure au diamètre de ladite pièce.
5. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que le rappel élastique
est obtenu par un ressort (30) coaxial à l'axe de la pièce transversale de maintien
(21), ressort s'appuyant de part et d'autre sur l'extrémité de fixation de la patte
et celle de la pièce de maintien portant l'élément aimanté.
6. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que la pièce transversale
de maintien (21) présente une extrémité en tige filetée coopérant avec un ensemble
écrou-rondelle (29) permettant son réglage de déplacement axial par appui contre
la face arrière de l'extrémité libre de la patte.
7. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que la pièce transversale
de maintien (21) est une conformation de l'extrémité de fixation (20) de la patte
de fixation en un retour (32) à deux lames flexibles distinctes en regard (33 et 34),
présentant chacune en regard un relief semi-sphérique (35 et 36) coopérant avec une
pince (37) solidaire de la face arrière du portillon, formée également de deux lames
flexibles (38 et 39) présentant chacune un creux en regard, de forme semi-sphériques
(40 et 41) complémentaires aux reliefs des deux lames flexibles (33 et 34) du retour
(32).
8. Procédé de montage et de fixation d'un portillon de visite à l'aide de pattes
de fixation telles que l'une d'entre elles est revendiquée ci-dessus, caractérisé
en ce que l'on pose chaque patte de fixation après l'avoir calée contre l'angle formé
par le chant de l'ouverture et la paroi adjacente, qu'on l'immobilise de façon primaire
au moyen d'un ou de plusieurs clous ou autres à travers les extrémités d'immobilisation
de la patte, en ce que l'on procède ensuite au réglage de chaque pièce de solidarisation
en profondeur, fonction de l'épaisseur du portillon carrelé, des pièces complémentaires
de maintien et de l'épaisseur de la colle, que l'on place l'élément complémentaire
plaque métallique ou pièce d'encliquetage en prise sur la pièce de soli darisation,
que l'on enduit de colle la zone en regard de la face arrière de la plaque du portillon,
qu'on le met en place et qu'on procède à l'application de la colle et à la pose du
carrelage sur le portillon et sur la paroi d'habillage de la baignoire.