(19)
(11) EP 0 397 585 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
14.11.1990  Bulletin  1990/46

(21) Numéro de dépôt: 90440038.9

(22) Date de dépôt:  09.05.1990
(51) Int. Cl.5E04F 19/08, A47K 3/16
(84) Etats contractants désignés:
AT BE DE DK ES GB IT LU NL SE

(30) Priorité: 09.05.1989 FR 8906222

(71) Demandeur: Tavoschi, Fulvio
F-25000 Besancon (FR)

(72) Inventeur:
  • Tavoschi, Fulvio
    F-25000 Besancon (FR)

(74) Mandataire: Metz, Paul 
CABINET METZ PATNI 63, rue de la Ganzau B.P. 63
67024 Strasbourg Cédex 1
67024 Strasbourg Cédex 1 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Patte de fixation à effet de basculement pour le portillon d'une trappe de visite


    (57) Patte de fixation pour le portillon d'une trappe de visite.
    Patte de fixation caractérisée en ce qu'elle se compose d'un corps présentant un double retour à angle droit pour son appui contre l'épaulement du chant de l'ouverture (7) de la trappe et à l'une de ses extrémi­tés une platine perforée (12) et à son autre extrémité une pièce transversale de maintien (21) montée sur une suspension élastique.
    Cette invention intéresse les fabricants de por­tillons de visite pour habillage de baignoires.




    Description


    [0001] La présente invention se rapporte à une patte perfectionnée pour le montage et le maintien notamment du portillon d'une trappe de visite, en particulier sur un habillage de baignoire.

    [0002] Concernant les pattes de maintien pour portillon d'habillage de baignoire, les principales qualités et les avantages recherchés de facilité de pose, de simplicité d'ouverture du portillon et de sécurité de maintien sont rarement réunis sur une même trappe de visite.

    [0003] On connaît les portillons à aimant dans lesquels le maintien du portillon résulte de l'attraction magnétique. Si la pose de ce type de portillon s'effec­tue rapidement, le scellement des pattes ne s'avère pas toujours commode en raison d'une certaine précision à observer.

    [0004] Afin d'y remédier, divers fabricants ont mis au point une patte dont le corps vient se prendre dans la colle du carrelage.

    [0005] En raison de la faible épaisseur de la platine formant l'extrémité de la patte à sceller, ce mode de pose de la patte convient parfaitement.

    [0006] Or, ces pattes portent à leur autre extrémité un élément de fixation et de solidarisation qui alourdit la patte et requiert une précision suffisante de pose.

    [0007] Pour des raisons de simplicité, le maintien par attraction magnétique a également été retenu pour ce type de patte. Ce maintien donne satisfaction sur le plan mécanique si bien qu'en ce qui concerne l'enlève­ment de la plaque ou du portillon, une force importante s'avère nécessaire.

    [0008] Cet inconvénient est notablement amplifié par le fait qu'il n'existe pas, sur la surface lisse du portil­lon fermé, de prise pour sa saisie car il s'agit d'une surface carrelée, formée en général par plusieurs car­reaux juxtaposés.

    [0009] L'inconvénient décrit ci-dessus s'avère d'une importance telle que l'ouverture de la trappe nécessite l'emploi d'une ventouse associée à un manche pour se constituer une prise permettant de vaincre l'attraction de la force magnétique.

    [0010] La présente invention a pour but d'une part de remédier à ce type d'inconvénient et d'autre part d'augmenter encore la rapidité et la facilité de pose, permettant d'arriver à un résultat satisfaisant du pre­mier coup.

    [0011] A cet effet, l'invention se rapporte à une patte perfectionnée pour le montage d'un portillon de visite sur un habillage de baignoire caractérisée en ce qu'elle présente une première extrémité perforée en forme de platine suivie d'un double retour d'angle sortant puis rentrant en vue de son calage sur l'épaulement formé par le chant de l'ouverture et sa bordure adjacente, et une deuxième extrémité parallèle au portillon comportant un élément transversal de maintien, à prise de maintien et à enfoncement élastique en vue de son maintien en ferme­ture et de son basculement pour l'ouverture.

    [0012] De nombreux avantages découlent de l'utilisation de la patte selon l'invention, patte qui s'utilise, par exemple, avec deux ou trois autres identiques en vue du maintien de la surface plane constituant le portillon de visite dont ci-après les principaux :
    . le basculement du plan du portillon permet de dégager un coin servant de prise pour l'extraction du portil­lon,
    . le montage s'effectue parfaitement sans ajustement car l'épaulement constituant la patte épouse exactement le chant de l'ouverture, évitant ainsi tout calage et ajustement ultérieur à la pose,
    . l'immobilisation primaire permet de le maintenir dans cette position jusqu'à la prise de la colle.

    [0013] La présente invention sera bien comprise à la lecture de la description qui suit, effectuée à titre d'exemple non limitatif sur un mode d'exécution en réfé­ rence aux dessins accompagnants dans lesquels :

    . la figure 1 est une vue en perspective d'une ouverture montrant l'emplacement et la conformation générale de la patte de fixation selon l'invention ;

    . la figure 2 est une vue en perspective montrant une patte de fixation selon la variante de base, mise en place par des éléments d'immobilisation primaire ;

    . la figure 3 est une vue en perspective de la patte de fixation selon l'invention, selon une version à défor­mation élastique ;

    . la figure 4 est une vue schématique illustrant le tra­vail du moyen de suspension élastique ;

    . la figure 5 est une vue en perspective schématique montrant le basculement du portillon résultant de l'enfoncement d'un de ses coins.



    [0014] L'idée générale inventive consiste à prévoir une patte de fixation d'un portillon de trappe de visite, par exemple d'un habillage de baignoire, à employer avec plusieurs autres homologues, présentant d'une part un appui contre le chant latéral de l'ouverture en associa­tion avec une immobilisation primaire, et, d'autre part, une tête de contact et de maintien avec le panneau de fermeture montée sur la patte par l'intermédiaire d'une suspension élastique.

    [0015] Cette conformation permet à la patte d'être ca­lée instantanément dès la mise en place par appui simul­tané contre la face avant et le chant de l'ouverture.

    [0016] Elle permet également à la tête de la patte d'ê­tre située à la bonne profondeur pour entrer en contact de fixation ou de solidarisation avec la face arrière du portillon de visite et de garantir la perfection de pose dans les alignements et la co-planéïté nécessaires.

    [0017] Avant de décrire en détail les deux modes de réalisations de base, on exposera ci-après les moyens généraux de l'invention.

    [0018] Celle-ci consiste à prévoir une patte de fixa­tion présentant deux retours successifs mais inversés à angle droit de manière à constituer un épaulement de calage sur l'épaulement saillant de l'ouverture. Elle présente à son extrémité libre un élément transversal de maintien monté sur une suspension élastique alors que son autre extrémité comporte des perforations destinées à être traversées pour l'une ou l'autre d'entre elles par un moyen d'immobilisation primaire contre le bord adjacent de l'ouverture, puis à y être solidarisée par la colle utilisée pour maintenir le carrelage au droit de l'ouverture et être recouverte ensuite par ledit carrelage sans ocasionner de surépaisseur de carrelage.

    [0019] On décrira maintenant ci-après, à titre d'exem­ple, deux modes de réalisation de base.

    [0020] L'invention concerne une patte de fixation 1 destinée à être montée avec, par exemple, trois pattes homologues 2, 3, 4 sur l'un ou l'autre des chants 5 et de la bordure 6 d'une ouverture d'accès 7 ménagée dans une paroi ou un muret 8 d'habillage de la face latérale d'une baignoire ou de toute autre paroi.

    [0021] Ces pattes permettent le maintien à désolidari­sation possible d'un portillon de visite 9 couvert d'un carrelage 10 ou constitué entièrement avec des carreaux de faïence.

    [0022] Le but de l'invention tel qu'exprimé déjà ci-dessus est double. Elle permet d'une part la pose rapide et parfaite des pattes de fixation et, d'autre part, le dégagement-extraction du portillon par simple basculement résultant d'une force suffisante de pres­sion-enfoncement sur un coin, force suivie d'une sai­sie-traction sur le coin opposé qui arrive en position dégagée suite à l'enfoncement, comme on le verra ci-­après.

    [0023] La patte 1 selon l'invention se compose d'une première extrémité dite extrémité d'immobilisation pri­maire 11 sous la forme d'une platine perforée 12 à per­foration 13 à cuvettes coniques d'entrée de perforation suivie d'un double retour d'angle 14 formé par une aile 15 à angle droit définissant un angle sortant 16 destiné à venir épouser et à se caler sur la bordure et le chant adjacent de l'ouverture 7 formant un épaulement saillant 17. L'aile 15 se poursuit par un deuxième retour à angle droit définissant un angle droit rentrant 18 à une distance inférieure à celle correspondant à l'épaisseur du chant de l'ouverture. L'angle rentrant 18 se poursuit par un retour 19 selon une extrémité libre ou de fixation 20 porteuse d'une pièce transversale de main­tien 21 destinée à venir coopérer avec un élément ou une structure complémentaire en vue de réaliser un maintien solide mais facilement et rapidement dissociable avec le portillon dit maintien à désolidarisation.

    [0024] Plus particulièrement, l'extrémité de fixation porte la pièce transversale de maintien 21 montée sur celle-ci par l'intermédiaire d'une suspension élastique ou de tout autre moyen équivalent.

    [0025] On peut citer comme exemple de premier mode la réalisation représentée sur la figure 2 qui met en oeuvre une pièce transversale de maintien 21 en matière plastique dont une des extrémités transversales 22 sert de tête 23 et enrobe un noyau aimanté ou aimant 24 cons­tituant ainsi une extrémité de contact avec une plaquet­te métallique telle que 25 solidarisée en regard sur la face arrière du portillon. Cette tête 23 est de diamètre plus important que la section du corps de ladite pièce transversale de maintien 21. Cette pièce transversale de maintien 21 se poursuit par une extrémité de réglage 26 par laquelle elle est montée réglable axialement, c'est-­à-dire transversalement à la patte de fixation.

    [0026] Il peut s'agir, par exemple, d'une extrémité conformée en tige filetée 27 traversant l'extrémité de fixation 20 par un passage 28 de diamètre supérieur à celui de la tige filetée et y étant retenue par un en­semble écrou-rondelle 29 portant le retour 19 constituant l'extrémité de fixation 21.

    [0027] De l'autre côté, la pièce de fixation est main­ tenue axialement en extension et rappel vers l'avant par un ressort 30 coaxial à ladite pièce de fixation 20 appuyant d'une part sur l'extrémité du retour 19 et d'autre part contre la tête élargie de la pièce de fixation 20. Le plus grand diamètre de cette tête constitue l'autre butée d'appui retenant le ressort.

    [0028] Le ressort est maintenu légèrement sous tension entre l'épaulement périphérique constitué par la bordure de la tête 23 de la pièce de maintien et l'extrémité du retour 19 de la patte de fixation formant ainsi une véritable suspension élastique susceptible d'enfoncement ou de mouvements axiaux en vue du dégagement en biais de la plaque du portillon de visite.

    [0029] Comme déjà indiqué, pour permettre le maintien par attraction magnétique, la zone voisine de chaque coin est pourvue d'une plaque métallique 25 solidarisée à la face arrière du portillon.

    [0030] Pour ouvrir, il suffit d'enfoncer un des coins de la plaque formant le portillon, mouvement qui la fait basculer autour d'une ligne diagonale 31 de pivotement. Ce mouvement dégage le coin opposé et permet de le sai­sir en vue d'extraire la plaque.

    [0031] En ce qui concerne le montage, il s'avère facile d'obtenir, dans un même plan, les extrémités de chaque patte de fixation, en raison du réglage possible du décalage axial de la tête de la pièce transversale de maintien par rapport à la face avant ou arrière de la paroi d'habillage.

    [0032] De même, la mise en place est immédiate et par­faite de par le calage sur les bords de l'ouverture ré­sultant de la forme particulière de la patte de fixa­tion.

    [0033] La variante représentée sur la figure 3 procède du même principe inventif et constitue un véritable équivalent à la réalisation ci-dessus. Elle utilise, comme on le verra ci-après, la déformation élastique de la matière et la solidarisation par encliquetage.

    [0034] Elle ne diffère que par la particularité des moyens de maintien, mais les fonctions et les résultats restent identiques. La déformation élastique de la matière sur une surface ou rampe convergente provoque un glissement équivalent à une force de rappel élastique.

    [0035] Plus particulièrement, l'extrémité de fixation 20 de la patte de fixation est conformée en un retour 32 à deux lames flexibles distinctes en regard 33 et 34, susceptibles de rapprochement et d'éloignement par dé­formation élastique de la matière. Elles présentent cha­cune un relief semi-sphérique en regard tel que 35 ou 36.

    [0036] L'extrémité de fixation de chaque patte coopère avec une pince 37 fixée en regard sur la face arrière du portillon, formée également de deux lames flexibles 38 et 39 disposées en regard, susceptibles de rapprochement et d'éloignement par déformation élastique de la ma­tière. Ces lames sont conformées en creux selon deux formes semi-sphériques correspondantes 40 et 41, dispo­sées en regard, complémentaires aux reliefs semi-sphéri­ques 35 et 36 des deux lames flexibles 33 et 34 du retour 32.

    [0037] Les reliefs peuvent varier légèrement dans leur forme. Ils viennent se prendre à immobilisation après une phase de glissement-pincement, dans les formes com­plémentaires en creux à la manière d'un encliquetage permettant ainsi un maintien à désolidarisation.

    [0038] Comme précédemment, trois ou quatre pattes suf­fisent à maintenir le portillon. Le maintien s'effectue par encliquetage.

    [0039] Cet encliquetage est libéré en maintien par une traction qui aboutit à une désolidarisation des pièces complémentaires, mais aussi par un enfoncement au cours duquel les reliefs semi-sphériques sortent de leur loge­ment correspondant et aboutissent en fond de mâchoire.

    [0040] La pince 37 présente un espace suffisant en fond de mâchoires pour accepter un enfoncement supplémentaire aboutissant au désencliquetage.

    [0041] On procède ainsi de la même façon au basculement par enfoncement de l'un des coins, provoquant la sortie du coin opposé qui, lorsque suffisammment dégagé, permet sa saisie en vue de l'extraction du portillon.

    [0042] On remplit ainsi les mêmes fonctions en vue d'obtenir les mêmes résultats.

    [0043] Comme on peut le voir plus particulièrement sur la figure 2, les perforations de l'extrémité avant de chaque patte de fixation sont utilisées pour réaliser une immobilisation primaire à l'aide d'éléments de main­tien : clous, vis ou autres tels que 42, dont la tête se loge dans la cuvette conique des perforations de manière à arriver à fleur avec la platine perforée.

    [0044] Cette immobilisation primaire s'avère parti­culièrement rapide et aisée à mettre en place, en raison de la butée-calage en angle de la patte de fixation contre le chant et les bords adjacents de l'ouverture provenant de sa forme générale en double épaulement comme celle de la patte de fixation.

    [0045] La pose complète d'un portillon s'avère notable­ment facilitée et plus rapide.

    [0046] On décrira ci-après les différentes phases relatives au procédé de montage.

    [0047] Il suffit de présenter les pattes de fixation aux endroits habituels et, après les avoir calées contre l'épaulement formé par le chant de l'ouverture et la paroi adjacente, d'immobiliser de façon primaire chacune des pattes, au moyen d'un ou de plusieurs clous ou autre élément de fixation tels que 42, à travers les perfo­rations de l'extrémité d'immobilisation de la patte et à les enfoncer jusqu'à ce que leur tête soit à fleur avec l'extrémité.

    [0048] On règle ensuite chaque pièce transversale de maintien en profondeur, fonction de l'épaisseur du por­tillon carrelé, des pièces complémentaires de maintien et de l'épaisseur de la colle. On place l'élément com­ plémentaire, plaque métallique ou pièce d'encliquetage, en prise sur la pièce de solidarisation.

    [0049] On enduit de colle la zone en regard de la face arrière de la plaque du portillon, on le met en place et on procède à l'application de la colle et à la pose du carrelage sur le portillon et sur la paroi d'habillage de la baignoire.

    [0050] L'ensemble se trouve immédiatement en position parfaite en raison de l'immobilisation primaire et du calage d'angle. Il est inutile d'attendre que la colle soit sèche.

    [0051] On peut déposer le portillon lorsque la colle est sèche et procéder aux travaux de finition du carre­lage.

    [0052] L'invention a été décrite ci-dessus en détail. Il est bien entendu cependant que diverses modifications simples, adjonctions, variantes directes, substitutions par des moyens équivalents entrent dans le cadre de la présente protection.


    Revendications

    1. Patte de fixation d'un portillon ou d'une trappe, notamment portillon de visite d'un habillage de baignoire, caractérisée en ce qu'elle présente une extrémité d'immobilisation primaire perforée sous la forme d'une platine (12) suivie d'un double retour d'an­gle ou double épaulement sortant puis rentrant pour son calage dans l'épaulement saillant formé par le chant de l'ouverture et sa bordure adjacente, et une extrémité de fixation (20) parallèle au portillon comportant une piè­ce transversale de maintien (21), à prise de maintien et à enfoncement élastique en vue de son maintien à désoli­darisation en fermeture et de son basculement de déga­gement facilitant l'ouverture.
     
    2. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'extrémité d'immobilisation primaire (11) est en contact avec la paroi adjacente au chant de l'ouverture pour son immobilisation primaire à l'aide d'éléments de fixation (42), clous, vis ou au­tres, traversant les perforations.
     
    3. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que la pièce transversale de maintien (21) est un élément de maintien traversant l'extrémité de fixation (20) de la patte comprenant une extrémité avant aimantée ou aimant (24) coopérant avec une plaque métallique (25) solidarisée à la face arrière du portil­lon et une extrémité opposée réglable (26) en déplace­ment axial, ladite pièce de maintien porte un aimant ou un élément aimanté et est montée en rappel élastique de déplacement axial sur l'extrémité de fixation (20).
     
    4. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que la pièce de maintien (21) traver­se l'extrémité de fixation (20) de la patte de fixation par un passage de section supérieure au diamètre de la­dite pièce.
     
    5. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que le rappel élastique est obtenu par un ressort (30) coaxial à l'axe de la pièce trans­versale de maintien (21), ressort s'appuyant de part et d'autre sur l'extrémité de fixation de la patte et celle de la pièce de maintien portant l'élément aimanté.
     
    6. Patte de fixation selon la revendication 3, caractérisée en ce que la pièce transversale de maintien (21) présente une extrémité en tige filetée coopérant avec un ensemble écrou-rondelle (29) permettant son ré­glage de déplacement axial par appui contre la face arrière de l'extrémité libre de la patte.
     
    7. Patte de fixation selon la revendication 1, caractérisée en ce que la pièce transversale de maintien (21) est une conformation de l'extrémité de fixation (20) de la patte de fixation en un retour (32) à deux lames flexibles distinctes en regard (33 et 34), présen­tant chacune en regard un relief semi-sphérique (35 et 36) coopérant avec une pince (37) solidaire de la face arrière du portillon, formée également de deux lames flexibles (38 et 39) présentant chacune un creux en regard, de forme semi-sphériques (40 et 41) complémen­taires aux reliefs des deux lames flexibles (33 et 34) du retour (32).
     
    8. Procédé de montage et de fixation d'un por­tillon de visite à l'aide de pattes de fixation telles que l'une d'entre elles est revendiquée ci-dessus, ca­ractérisé en ce que l'on pose chaque patte de fixation après l'avoir calée contre l'angle formé par le chant de l'ouverture et la paroi adjacente, qu'on l'immobilise de façon primaire au moyen d'un ou de plusieurs clous ou autres à travers les extrémités d'immobilisation de la patte, en ce que l'on procède ensuite au réglage de chaque pièce de solidarisation en profondeur, fonction de l'épaisseur du portillon carrelé, des pièces complé­mentaires de maintien et de l'épaisseur de la colle, que l'on place l'élément complémentaire plaque métallique ou pièce d'encliquetage en prise sur la pièce de soli­ darisation, que l'on enduit de colle la zone en regard de la face arrière de la plaque du portillon, qu'on le met en place et qu'on procède à l'application de la colle et à la pose du carrelage sur le portillon et sur la paroi d'habillage de la baignoire.
     




    Dessins
















    Rapport de recherche