(19)
(11) EP 0 403 417 A3

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(88) Date de publication A3:
27.12.1990  Bulletin  1990/52

(43) Date de publication A2:
19.12.1990  Bulletin  1990/51

(21) Numéro de dépôt: 90600011.2

(22) Date de dépôt:  25.04.1990
(51) Int. Cl.5B05B 9/08, B65D 83/14
(84) Etats contractants désignés:
DE FR GB IT

(30) Priorité: 25.04.1989 GR 89100274

(71) Demandeur: Valatas, Nikolaos
Kallithea, Athens (GR)

(72) Inventeur:
  • Valatas, Nikolaos
    Kallithea, Athens (GR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Flacon pulvérisateur standard pour liquides


    (57) Pulvérisateur-Bouteille standardisée, des produits liquides destinés à être utilisés par pulvérisation. II s'agit d'un appareil qui contient dans une chambre particuliére (3) le marchandise pour pulvérisation et dans une autre chambre (2) le moyen propulsif. (air compressé) .pour la pulvérisation automatique. A la chambre d'air (2) sont incomporés les accessoires exigés pour la parfait et facile reûssite du but poursuivre. C'est-à-dire: les conduits d'air du liquide, les interrupteurs d'air du liquide, la valve à air d'introduction du "propulsif", les valves de se- curité de l'appareil, le bec de la pulvérisation et le manche.
    La pulvérisation automatique se réussit. (apris être d'abord liés entre eux par les cavités convenables que les deux morceaux portent) par compression du liquide-transportant pour ça le propulseur de la chambre (2) à la chambre (3) par des manoeuvres convenables de l'interrupteur (6) (par rafales). Pour que l'appareil puisse être utilisé de nouveau (rechargement du propulseur) le système est com- pleté d'une bouteille extra (18) qui porte d'air super- pressé avec la valve à air incomporée (12)pour le chargement-déchargement et la valve de sécurité automatique pour se protéger par la développement des pressions qui aurait lieu probablement au delà de sa résistence.
    L'utilisation de cet appareil facilite el assure la distribution et le commerce des biens liquides standardisés, déstinés à être utilisés par pulvérisation, minimise le coût standardiction, et surtoût NE détruit PAS l'ozou de l'atmosphère puisque pour sa fonction automatique n'est pas utilisé quelque moyen chimique (chlorofluroséthane) mais de air atmos- phèrique non dangéreux.










    Rapport de recherche