(19)
(11) EP 0 427 667 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
15.05.1991  Bulletin  1991/20

(21) Numéro de dépôt: 90810821.0

(22) Date de dépôt:  26.10.1990
(51) Int. Cl.5E05D 15/56, E05D 15/10
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE DK ES FR GB GR IT LI LU NL SE

(30) Priorité: 06.11.1989 FR 8914870

(71) Demandeur: MANTION S.A.
F-25000 Besançon (FR)

(72) Inventeurs:
  • Essert, Jean-Pierre Paul
    F-25000 Besancon (FR)
  • Requet, Claude André Pierre
    F-25170 Recologne (FR)

(74) Mandataire: Kiliaridis, Constantin et al
Bugnion S.A., 10, Route de Florissant, Case Postale 375
CH-1211 Genève 12
CH-1211 Genève 12 (CH)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Manchon dévoyeur de raccordement pour rails tubulaires suspendus


    (57) La présente invention concerne un manchon dévoyeur de raccordement (6) pour rails tubulaires suspendus.
    Le manchon (6) présente une zone située entre deux épaulements intérieurs (75 et 76) formés de faces inclinées (77, 67) de guidage permettant à une monture à rouleaux ou à galets de se déplacer perpendiculaire­ment à la direction de déplacement linéaire et les faces de roulement (67a) également inclinées pour permettre le déplacement de ladite monture dans une autre direc­tion. La résultante de ces deux déplacements ainsi que du déplacement linéaire de la monture à pour conséquen­ce que le dispositif suspendu par la dite monture ef­fectue un déplacement complexe lui permettant de passer d'un état passif à un état actif et inversement.
    De tels manchons peuvent avantageusement être utilisés pour la fermeture hermétique des ouvertures de chambres frigorifiques.




    Description


    [0001] La présente invention concerne un manchon dévoyeur de raccordement pour rails tubulaires suspendus à l'inté­rieur desquels se déplace au moins une monture à galets ou rouleaux solidaires des moyens de suspension d'un dispositif, lesdits moyens s'étendant en dehors du rail à travers un passage prévu le long du rail tubulaire, pour assurer le déplacement linéaire dudit dispositif.

    [0002] Il est connu d'utiliser des rails tubulaires suspendus et des montures à galets ou à rouleaux auxquels est suspendue une charge ou un dispositif à déplacer tel qu'une porte pliante, coulissante, etc.

    [0003] Dans certaines applications, le dispositif suspendu à un rail doit passer d'un état passif à un état actif lors de son déplacement linéaire et ce passage s'ef­fectue par un déplacement complexe du dispositif qui peut être décomposé à trois composantes dont deux per­pendiculaires entre elles et perpendiculaires à la direction du déplacement linéaire qui porte la troi­sième composante.

    [0004] Un tel exemple de passage de l'état passif à l'état actif ou inversement peut être facilement illustré lors de la fermeture d'une chambre froide par le déplacement latéral d'une porte coulissante suspendue à un rail. En effet pour obtenir la fermeture étanche d'une porte coulissante il est nécessaire, lorsque le panneau se trouve face à l'ouverture, que ce dernier s'applique contre l'encadrement de ladite ouverture pour entrer en contact étroit avec la garniture d'étanchéité se trou­vant le long dudit encadrement, ou pour que la garnitu­ re d'étanchéité appliquée contre le panneau entre en contact avec ledit encadrement et assure l'étanchéité de la chambre. Dans cette application bien entendu les deux composantes du déplacement complexe sont horizon­tale respectivement verticale à l'exception de la com­posante parallèle à la direction du déplacement linéai­re. En effet la porte lorsqu'elle se trouve face à l'ouverture s'applique contre la paroi extérieure, éventuellement intérieure si le panneau se trouve à l'intérieur de la chambre, et s'applique également par un déplacement vertical contre le sol notamment pour les ouvertures des chambres frigorifiques qui ne pré­sentent pas de palier facilitant le passage de chariots et autres dispositifs de transport. Si un palier existe, le déplacement horizontal serait suffisant

    [0005] On a proposé, pour permettre cette fermeture étanche d'une chambre frigorifique, l'utilisation d'un rail tubulaire présentant un profil relativement compliqué à l'intérieur duquel se déplace au moins une monture à galets les axes de rotation desdits galets formant un angle. Ledit rail et notamment la surface de roulement et de guidage des galets présente une rainure dans laquelle pénètre le galet assurant ainsi le déplacement du panneau de la porte vers le cadre et vers le sol. Ce dispositif, est d'une part, d'une construction relati­vement coûteuse car la monture assurant le déplacement de la porte est d'une construction compliquée et, d'autre part, lors de la mise en place du rail il faut que la rainure soit positionnée avec exactitude par rapport à l'ouverture afin d'assurer une fermeture efficace de la chambre. Il faut relever que la porte est en principe munie de deux montures donc il faut prévoir deux rainures, une par monture. Si pour une raison ou une autre l'écartement desdites rainures où leur position n'est pas correcte le rail est prati­quement inutilisable et il faut préparer un autre rail sur mesure. En plus le passage de la position passive à la position active du panneau se fait brutalement ce qui a pour conséquence de provoquer des chocs notamment au niveau de la monture qui subit ainsi une usure pou­vant provoquer sa destruction prématurée ou un mauvais fonctionnement.

    [0006] La présente invention a pour but de proposer un dispo­sitif permettant de pallier les inconvénients susmen­tionnés en permettant d'utiliser des rails tubulaires habituels avec des montures à galets ou à rouleaux con­ventionnels permettant de modifier facilement l'endroit où le déplacement complexe, pour le passage de l'état passif à l'état actif et vice-versa, doit avoir lieu.

    [0007] L'invention propose donc un manchon dévoyeur de raccor­dement, caractérisé par le fait que dans le but de per­mettre au dispositif suspendu à ladite monture de pas­ser d'un état passif à un état actif et inversement le long de son déplacement linéaire en effectuant un dé­placement complexe décomposé en trois composantes une parallèle à la direction linéaire et deux perpendicu­laires entre elles et perpendiculaires à ladite direc­tion linéaire, ledit manchon comprend entre ses extré­mités une zone munie de moyens pour guider ladite mon­ture et les moyens de suspension ainsi que le disposi­tif suspendu dans le déplacement complexe de manière progressive.

    [0008] Les avantages de la solution proposée sont les suivants :
    - Utilisation de monture conventionnelle donc d'un coût bas puisque produite à grande série;
    - mise en place du dispositif permettant le déplacement complexe avec précision au moment du montage les éventuelles imprécisions ou modifications pouvant se faire facilement en raccourcissant les sections de rail raccordées ou en remplaçant l'une des sections par une section plus longue la section remplacée pouvant servir pour une autre construction donc diminution du coût car les éventuels déchets sont inexistants ou sans importance;
    - passage progressif de l'état passif à l'état actif ce qui permet de diminuer les frais de maintenance.

    [0009] Selon une exécution préférée les moyens permettant le déplacement complexe du dispositif sont symétriques par rapport à un plan perpendiculaire à l'axe du déplace­ment linéaire permettant ainsi le passage de l'état actif à l'état passif et vice-versa indépendamment du sens de déplacement dudit dispositif. C'est-à-dire qu'il est possible en se déplaçant de gauche à droite de passer de l'état passif à l'état actif et en conti­nuant ce déplacement de repasser à l'état passif sans revenir en arrière. L'avantage de cette variante n'est pas uniquement lié au fait que le dispositif peut passer successivement de l'état passif à l'état actif et ensuite à l'état passif en se déplaçant dans le même sens mais en plus permet de rationaliser la construc­tion dudit manchon car on ne doit pas à prévoir une construction spécifique dépendante du sens de déplace­ment du dispositif.

    [0010] Selon une autre exécution préférée la section munie de moyens pour le déplacement complexe se trouve entre deux épaulements intérieurs dudit manchon et le dépla­ cement selon l'une des composantes est obtenu par la disposition particulière des faces internes des parois de guidage tandis que le déplacement selon l'autre composante est assuré par la disposition également par­ticulière des surfaces de roulement.

    [0011] Selon une autre exécution préférée le manchon permet d'assurer un déplacement complexe dont les deux compo­santes sont horizontale et verticale.

    [0012] Selon une autre variante préférée une des parois de guidage du manchon est plus épaisse que l'autre paroi car l'inclinaison de la face de guidage se fait en diminuant l'épaisseur de ladite paroi.

    [0013] Le manchon est de préférence fabriqué par moulage.

    [0014] Selon une autre variante le manchon est également agen­cé pour assurer aussi le support des sections de rail raccordées.

    [0015] L'invention concerne également l'utilisation du manchon dans une installation pour la fermeture d'une ouverture de chambre.

    [0016] L'invention sera décrite plus en détail à l'aide des dessins annexés représentant une exécution préférée de l'invention.

    La figure 1 représente en perspective une porte à dé­placement droit supportée par un rail tubulaire muni de deux manchons dévoyeurs selon l'invention,

    La figure 1a est une section du rail,

    La figure 2 est une vue de dessous d'un manchon dévoyeur selon l'invention,

    La figure 3 est une vue en coupe horizontale de la figure 2,

    La figure 4 est une coupe de la figure 2 selon la ligne IV-IV,

    La figure 5 est une coupe de la figure 2 selon la ligne V-V,

    La figure 6 est une coupe selon la ligne VI-VI de la figure 2.



    [0017] A la figure 1 nous avons représenté schématiquement une porte 1 coulissante droite supportée par un rail tubu­laire 2 muni de trois supports 3, 4, 5 et deux manchons dévoyeurs de raccordement et accessoirement support 6a et 6b faisant l'objet de la présente invention. La porte 1 coulisante doit venir fermer l'ouverture 7 d'une chambre froide. Le rail 2, dont une section est représentée à la figure 1a, a une forme approximative­ment rectangulaire comportant une surface supérieure 20 deux surfaces latérales 21 et 22 présentant deux sections légèrement obliques 23 et 24 et se terminant par deux rebords horizontaux 25 et 26 laissant entre eux un passage 27 pour les montures 8 et 9 assurant la suspension et le déplacement de la porte 1. La porte 1 est également munie d'un lévier 10 permettant d'assurer l'ouverture de la porte lorsqu'elle se trouve en position fermée en s'appuyant contre une pièce en forme d'équerre 11 qui sert également de butoir de fin de course lors de la fermeture de la porte. Un deuxième butoir 12 se trouve de l'autre côté limitant le dépla­ cement latéral de la porte en position passive, tandis qu'un dispositif de guidage habituel 13 est fixé à la partie inférieure de la porte et collabore avec des guides fixés au sol ne faisant pas l'objet de la pré­sente invention.

    [0018] La porte coulissante 1 doit pouvoir assurer la fermetu­re étanche de l'ouverture 7 de la chambre lorsqu'elle se trouve face à cette ouverture en venant se plaquer contre le cadre entourant ladite ouverture et également contre le sol afin que les garnitures d'étanchéité fixées sur le chant inférieur de la porte et le pour­tour de la face intérieure de ladite porte viennent se plaquer respectivement contre le sol et le cadre de l'ouverture 7.

    [0019] Ce résultat est obtenu lorsque les deux montures 8 et 9, supportant la porte 1, viennent à l'intérieur de deux manchons dévoyeurs respectivement 6b. Pour obtenir ce déplacement complexe c'est-à-dire un déplacement ho­rizontal vers l'encadrement de la porte et vertical vers le sol il faut que les manchons dévoyeurs 6a et 6b présentent les moyens faisant l'objet de la présente invention et qui seront décrits à l'aide des figures 2 à 6 qui suivent.

    [0020] Le manchon dévoyeur 6 vu de dessous présente, sauf dans la zone faisant l'objet de la présente invention, une forme similaire à celle de la figure la puisque le man­chon dévoyeur 6 est un manchon dévoyeur de raccordement des rails du type représenté à la figure 1a. Sur la figure 2 on distingue donc à travers l'ouverture pour le passage de la monture la face intérieure 60 de la surface supérieure du manchon, les parties inclinées 61a et 62a des deux faces latérales 61 et 62 du manchon les deux rebords inférieurs 65 et 66 dont les faces intérieures servent de chemin de roulement aux galets ou rouleaux de la monture ainsi que deux renflements, vu de l'extérieur, de forme triangulaire et qui corres­pondent à un décrochement de la surface de roulement intérieure permettant justement de déplacer la monture et partant le dispositif, à savoir la porte, verticale­ment. Les deux renflements sont désignés 65a respecti­vement 66a.

    [0021] Le passage du manchon dévoyeur permettant à la monture supportant la charge, en l'occurrence ici la porte, de traverser ainsi que son guidage linéaire, présente à proximité des parties 65a et 66a un déplacement latéral correspondant en réalité au déplacement horizontal que le dispositif suspendu par la monture doit effectuer. La structure de ce déplacement est symétrique par rapport à un plan que nous désignerons par la lettre "a" et qui est perpendiculaire à l'axe de déplacement linéaire. Ladite partie déplacée latéralement présente donc deux parois parallèles 67 et 68 obliques par rapport aux parois 69 et 70 dudit passage permettant à la monture de traverser. Les parois 67 sont interrom­pues et reliées par une partie droite 71 tandis que les parois 68 se coupent directement sur le plan de symé­trie a. Comme on verra par la suite les parois 67 et 68 présentent une épaisseur qui diminue en fonction de leur rapprochement vers le sommet des renflements 66a et 65a contribuant ainsi au déplacement vertical de la monture et par conséquent de la charge supportée. La paroi intérieure de la face supérieure 60 présente une zone, comme on le verra par la suite, d'une épaisseur supérieure à celle des extrémités du manchon dévoyeur. Nous devons noter la présence de trous taraudés 72 per­mettant de bloquer le manchon sur les extrémités de deux sections de rails raccordées ainsi qu'un trou taraudé 73 servant à la fixation d'un goujon permettant d'utiliser le manchon également comme support de sus­pension (fig. 1).

    [0022] A la figure 3, qui est une coupe horizontale de la fi­gure précédente, nous distinguons, en plus de trous ta­raudés 72, les trous taraudés 74 permettant également de bloquer la fixation des extrémités des sections de rails ainsi que la zone centrale du manchon ayant une épaisseur intérieure supérieure. Cette zone est limitée par deux épaulements intérieurs 75 et 76 contre les­quels viennent s'appuyer les extrémités des sections de rail raccordées et on distingue deux parois 77 symétri­ques également par rapport au plan a formant un renfle­ment intérieur tandis que des parois correspondantes de l'autre côté 78 formant une creusure. Les parois 77, 78 ainsi que les parois 67 et 68 du passage assurent le guidage de la monture munie de rouleaux ou de galets dans la direction horizontale désirée.

    [0023] Aux figures 4 et 5, nous avons présenté les coupes de la figure 2 selon les lignes IV-IV et V-V et on y dis­tingue les différents éléments décrits. Nous insiste­rons plus particulièrement sur les surfaces inclinées 77 qui sont en renflement, tandis que les surfaces 78 sont creusées dans l'épaisseur du manchon notamment dans la paroi 62 présentant une épaisseur supérieure à celle de la paroi 61. De même, nous insisterons sur la diminution de l'épaisseur des parois 67 et 68 à proxi­mité des renflements 65a et 66a permettant d'obtenir le déplacement vertical de la monture.

    [0024] A la figure 6, nous avons une autre vue en coupe per­mettant de distinguer la diminution de l'épaisseur des faces 67a et 68a sur lesquelles roulent les galets ou rouleaux.

    [0025] Il est entendu que le manchon dévoyeur représenté ici n'est qu'un exemple d'exécution et correspond au rail tubulaire de la forme représentée à la figure 1a et sans sortir de l'esprit de l'invention, il est possible d'utiliser la même méthode avec des rails de profil différent.

    [0026] Le manchon dévoyeur de la présente invention peut être fabriqué par moulage ou par tout autre moyen.

    [0027] Nous avons représenté ici un manchon dévoyeur présen­tant des moyens pour le déplacement de la monture symé­trique par rapport à un plan a mais ceci n'est pas une obligation, l'une des deux parties symétriques peut être supprimée notamment pour l'utilisation comme re­présenté à la figure 1 où la porte se déplace dans un sens pour passer à l'état actif et dans le sens con­traire pour passer à l'état passif.

    [0028] Néanmoins il est plus facile de fabriquer un manchon dévoyeur symétrique plutôt que devoir prévoir un manchon pour des portes se fermant de gauche à droite ou de droite à gauche.


    Revendications

    1. Manchon dévoyeur de raccordement pour rails tubulai­res suspendus à l'intérieur desquels se déplace au moins une monture à galets ou rouleaux solidaire des moyens de suspension d'un dispositif, lesdits moyens s'étendant en dehors des rails à travers un passage prévu le long des rails tubulaires, pour assurer le déplacement linéaire dudit dispositif, caractérisé par le fait que dans le but de permettre au dispositif (1) suspendu à ladite monture (8, 9) de passer d'un état passif à un état actif et inversement le long de son déplacement linéaire en ef fectuant un déplacement com­plexe décomposé en trois composantes une parallèle à la direction linéaire et deux perpendiculaires entre elles et perpendiculaires à ladite direction linéaire, ledit manchon dévoyeur (6, 6a, 6b) comprend entre ses extré­mités une zone munie de moyens pour guider ladite mon­ture et les moyens de suspension (8, 9) ainsi que le dispositif suspendu (1) dans le déplacement complexe de manière progressive.
     
    2. Manchon dévoyeur selon la revendication 1, caracté­risé par le fait que ladite zone est située entre deux épaulements intérieurs (75, 76) et que les surfaces in­térieures de guidage latérales (77, 78, 67, 68) de la­dite zone présentent une inclinaison permettant le déplacement progressif de la monture selon l'une des composantes perpendiculaires à la direction du déplace­ment et que les surfaces de roulement pour les galets ou rouleaux de la monture (8, 9) présentent dans ladite zone une pente (67a, 65a) pour le déplacement de la monture dans la direction de la deuxième composante dudit mouvement complexe.
     
    3. Manchon dévoyeur selon l'une quelconque des revendi­cations 1 ou 2, caractérisé par le fait que l'une des parois de guidage (62) dudit manchon (6) est plus épaisse que l'autre l'inclinaison desdites faces (78) se faisant en diminuant l'épaisseur de ladite paroi (62).
     
    4. Manchon dévoyeur selon l'une quelconque des revendi­cations 1 à 3, caractérisé par le fait que le manchon comporte des moyens (73) pour être utilisés aussi comme support du rail tubulaire suspendu.
     
    5. Manchon dévoyeur de raccordement selon l'une quel­conque des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que lesdits moyens (77, 78; 67, 67a, 68, 68a) per­mettant le déplacement complexe sont symétriques par rapport à un plan (a) perpendiculaire à la direction du déplacement linéaire permettant ainsi le passage de l'état actif à l'état passif et vice-versa indépendam­ment du sens de déplacement dudit dispositif (1).
     
    6. Manchon dévoyeur selon l'une quelconque des revendi­cations 1 à 5, caractérisé par le fait que les compo­santes perpendiculaires à la direction du déplacement sont respectivement horizontale et verticale.
     
    7. Manchon dévoyeur selon l'une quelconque des revendi­cations 1 à 6, caractérisé par le fait que le manchon (6, 6a, 6b) est fabriqué par moulage ou par tout autre moyen.
     
    8. Utilisation du manchon dévoyeur selon l'une des revendications 1 à 7 dans l'installation d'une porte (1) de fermeture hermétique d'une chambre.
     




    Dessins
















    Rapport de recherche