(19)
(11) EP 0 443 951 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
28.08.1991  Bulletin  1991/35

(21) Numéro de dépôt: 91400455.1

(22) Date de dépôt:  20.02.1991
(51) Int. Cl.5A47G 23/06
(84) Etats contractants désignés:
DE GB

(30) Priorité: 20.02.1990 FR 9002052

(71) Demandeur: BORDEN-MACAPLE S.A.
F-75116 Paris (FR)

(72) Inventeur:
  • Michel, Félix
    F-75017 Paris (FR)

(74) Mandataire: Caunet, Jean et al
Cabinet Beau de Loménie 158, rue de l'Université
75340 Paris Cédex 07
75340 Paris Cédex 07 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Dispositif antidérapant équipant les surfaces en contact de deux objets posés l'un sur l'autre


    (57) Le dispositif comporte des éléments coopérants constitués par des alvéoles (5) et des doigts (8) apparaissant indifféremment en creux dans l'une desdites deux surfaces (3, 4), et en saillie sur l'autre surface, les éléments de la surface sous-jacente (3) étant plus nombreux que les éléments coopérants de la surface sus-jacente (4) qui sont au nombre d'au moins trois et ces éléments de la surface sous-jacente (3) étant répartis de façon cohérente afin d'être tous sélectionnables pour coopérer avec les doigts, chaque alvéole (5) ayant, en outre, une section libre (d1) beaucoup plus grande que celle (d2) de chaque doigt (8) afin que la pose de l'objet (2) situé au-dessus puisse être effectuée pratiquement à n'importe quel endroit suivant n'importe quelle orientation sur l'objet situé en dessous.




    Description


    [0001] La présente invention concerne un dispositif antidérapant équipant les surfaces en contact de deux objets posés l'un sur l'autre.

    [0002] Plus particulièrement, ce dispositif est applicable aux objets qu'utilise le personnel des compagnies de transport et notamment des compagnies aériennes pour assurer le service restauration.

    [0003] Par exemple, le dispositif peut équiper chaque plateau et les composants du service (tasse, verre, assiette...) susceptibles d'être posés dessus, sachant que les plateaux et les composants sont généralement en matière plastique moulée et doivent après chaque service être nettoyés de façon parfaite dans des machines à laver.

    [0004] Généralement, le dispositif antidérapant est constitué par un revêtement autocollant posé sur le plateau et/ou sous les composants. Ce dispositif connu permet d'incliner le plateau, ce qui est inévitable durant le service, sans risquer qu'assiette, verre ou tasse glissent et renversent leur contenu ou chutent. Cependant, un tel revêtement connu présente l'inconvénient majeur d'être difficilement nettoyable en machine, de perdre à l'usage son aspect neuf et de se décoller, de se déchirer sur les bords, son vieillissement trop rapide nécessitant alors de mettre les objets qu'il équipe au rebut. D'ailleurs, il n'est même pas question d'attendre que ce vieillissement s'accomplisse, car il est inacceptable pour un service de qualité que les objets perdent leur aspect noble et il en résulte que ces objets sont rebutés après un nombre de rotations relativement faible et que le coût de ce matériel qui en fait pourrait durer plus longtemps constitue une part trop importante dans le prix de revient d'un repas.

    [0005] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients en proposant un dispositif antidérapant particulièrement efficace puisqu'il permet d'incliner fortement le plateau en maintenant en place les objets qu'il supporte, ce dispositif étant parfaitement lavable et sa longévité étant celle desdits plateau et objets.

    [0006] Par ailleurs, elle vise à ce que le coût du dispositif soit négligeable dans le cadre d'une exploitation de masse.

    [0007] Dans ce but et conformément à l'invention, le dispositif comporte des éléments coopérants constitués par des alvéoles et des doigts apparaissant indifféremment en creux dans l'une desdites deux surfaces et en saillie sur l'autre surface, les éléments de la surface sous-jacente étant plus nombreux que les éléments coopérants de la surface susjacente qui sont au nombre d'au moins deux et ces éléments de la surface sous-jacente étant répartis de façon cohérente afin d'être tous sélectionnables pour coopérer avec les doigts, chaque alvéole ayant en outre une section libre beaucoup plus grande que celle de chaque doigt afin que la pose de l'objet situé au-dessus puisse être effectuée pratiquement à n'importe quel endroit suivant n'importe quelle orientation sur l'objet situé en dessous.

    [0008] Suivant une forme de réalisation particulièrement avantageuse, les alvéoles sont situés dans la surface sous-jacente et répartis suivant un réseau régulier, tandis que les doigts au nombre d'au moins deux font saillie sous la surface sus-jacente, la distance de ces doigts dans la ou les directions du réseau étant multiple du ou des pas des alvéoles.

    [0009] Suivant une autre forme de réalisation, les doigts font saillie sur la surface sous-jacente et sont répartis suivant un réseau régulier, tandis que les alvéoles sont situés dans des bossages faisant saillie sous la surface sus-jacente, la plus grande distance du bord de chaque bossage à la paroi latérale de son alvéole étant inférieure au pas minimal des doigts.

    [0010] Dans ces deux formes de réalisation, il est avantageux que les objets soient en matière plastique moulée, les alvéoles et les doigts étant venus de moulage.

    [0011] Les deux directions du réseau peuvent être perpendiculaires entre elles et en particulier, les mailles peuvent être carrées.

    [0012] Les alvéoles peuvent être circulaires et leur paroi latérale est raccordée au fond par un arrondi permettant d'améliorer le lavage. La profondeur de ces alvéoles est sensiblement égale à 0,7 mm.

    [0013] Les doigts peuvent être cylindriques à bout droit.

    [0014] Divers autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortent d'ailleurs de la description détaillée qui suit.

    [0015] Des formes de réalisation de l'objet de l'invention sont représentées, à titre d'exemples non limitatifs, sur le dessin annexé.

    [0016] Sur ce dessin :
    • la figure 1 est une vue en plan d'un plateau et d'un récipient posés l'un sur l'autre et faisant application d'une première forme de réalisation du dispositif antidérapant conforme à l'invention,
    • les figures 2 et 3 sont des vues partielles analogues à la figure 1, illustrant des variantes de réalisation du plateau,
    • la figure 4 est une élévation-coupe prise suivant la ligne IV-IV de la figure 1,
    • les figures 5 à 9 sont des coupes partielles agrandies du détail désigné par la flèche F sur la figure 4, mettant en évidence divers modes d'exécution des éléments coopérants,
    • la figure 10 est une vue analogue à la figure 4 montrant une deuxième forme de réalisation du dispositif,
    • la figure 11 est une vue analogue à la figure 7 mais se rapportant à la deuxième forme de réalisation selon la figure 10.


    [0017] Les objets auxquels s'applique le dispositif antidérapant de l'invention peuvent être quelconques et fabriqués en n'importe quels matériaux (bois, métal, grès, céramique, verre...) suivant les techniques les mieux appropriées (matriçage, usinage, moulage...).

    [0018] Dans l'exemple choisi de façon non restrictive et illustré par le dessin, les objets sont un plateau 1 supportant un récipient 2, lesquels sont en contact. Leur interface comporte une surface sous-jacente 3 appartenant au plateau 1 et une surface susjacente appartenant au récipient 2.

    [0019] Ces objets 1 et 2 sont en matière plastique moulée telle que de l'ABS (acrylonitrile butadienne styrène), du PC (polycarbonate), du PS (polystyrène), du PSC (polystyrène cristal), du PVC (polychlorure de vinyl), du SAN (styrène acrylonitrile).

    [0020] Le dispositif représenté, qu'il s'agisse de la première forme de réalisation (figures 1 et 4) ou de la deuxième (figure 10), équipe les surfaces 3 et 4 et dans l'exemple choisi où les objets 1 et 2 sont en matière plastique moulée, les éléments coopérants de ce dispositif font partie intégrante desdits objets en venant de moulage avec ceux-ci pour apparaître sur leurs dits surfaces 3 et 4.

    [0021] Suivant la première forme de réalisation illustrée par les figures 1 et 4, le plateau 1 délimite dans la surface sous-jacente 3 des alvéoles 5 ayant en plan une forme circulaire et répartis suivant un réseau régulier. Dans l'exemple représenté sur la figure 1, le réseau est établi suivant deux directions perpendiculaires 6 et 7, et les mailles sont carrées. En d'autres termes, les alvéoles 5 forment des alignements parallèles à ces deux directions et le pas desdits alvéoles dans une direction est le même que dans l'autre direction.

    [0022] Dans cette première forme de réalisation, le fond du récipient 2 présente quatre doigts 8 faisant saillie sur la surface sus-jacente 4 et situés dans les angles. Les doigts présentent avantageusement une forme cylindrique. Leurs distances D1 et D2 sont multiples du pas "p" des alvéoles 5.

    [0023] Ainsi que cela ressort plus clairement du mode d'exécution selon la figure 5, chaque alvéole 5 présente une section beaucoup plus grande que celle de chaque doigt 8. Autrement dit, dans cet exemple, le diamètre d1 de chaque alvéole 5 est supérieur au diamètre d2 de chaque doigt 8. Dès lors et comme le montre la figure 1, les doigts 8 pénètrent avec un jeu très important dans les alvéoles sélectionnés 5. Ce jeu permet de poser le récipient 2 sur le plateau 1, non seulement dans la position représentée en trait plein selon laquelle les bords de son embase rectangulaire sont parallèles aux directions 6 et 7 des alvéoles 5, mais également dans la position oblique schématisée en trait mixte selon laquelle lesdits bords de l'embase sont obliques par rapport auxdites directions. Dans cette position oblique en effet, la distance en biais des alvéoles 5 sélectionnés est différente de la distance des doigts coopérants et cette différence est compensée par le jeu précité. Le récipient 2 peut donc être posé pratiquement dans n'importe quelle orientation et également à n'importe quel endroit.

    [0024] Le mode d'exécution selon la figure 5 montre en outre que le maintien du recipient 2 sur le plateau 1 lorsqu'on incline celui-ci, résulte, non pas pour l'essentiel de l'emboîtement des doigts 8 dans les alvéoles 5 sélectionnés puisqu'un jeu important favorable au déboîtement est prévu, mais de la butée de ces doigts contre la paroi latérale 9 desdits alvéoles sélectionnés et du poids de la tasse chargée, poids dont la composante perpendiculaire à ladite paroi inclinée accentue l'appui.

    [0025] Dans ce mode d'éxécution selon la figure 5, la paroi latérale 9 de chaque alvéole 5 est sensiblement perpendiculaire à la surface sous-jacente 3 et reliée à celle-ci par une arête vive 10. Cette arête favorise évidemment l'accrochage des doigts.

    [0026] La paroi latérale 9 de chaque alvéole 5 est raccordée au fond 11 de celui-ci par un arrondi 12 s'opposant à la rétention des produits du repas qui ont pû tomber sur le plateau. Dès lors, ce plateau 1 ainsi alvéolé et le récipient peuvent-ils être très facilement et parfaitement lavés.

    [0027] Par ailleurs, suivant cette première forme de réalisation (figures 1 et 4) et selon ce premier mode d'exécution (figure 5), la hauteur "h" de chaque doigt 8 est inférieure à la profondeur "f" de chaque alvéole 5. Dans ces conditions, les surfaces 3 et 4 sont en contact et les doigts 8 ne touchent pas les fonds 11 des alvéoles 5 sélectionnés. Par ailleurs, si la différence "f-h" est au plus égale au rayon de l'arrondi 12, des doigts 8 peuvent porter contre la paroi latérale 9 desdits alvéoles.

    [0028] La profondeur "f" des alvéoles est comprise entre 0,3 et 1,2 mm et avantageusement égale à 0,7 mm. Le bout 13 des doigts peut être droit (figure 5) ou arrondi (figure 7).

    [0029] Bien entendu, cette première forme de réalisation n'est nullement limitative quant aux moyens mis en oeuvre.

    [0030] En particulier :
    • le réseau des alvéoles 5 doit être régulier, mais les mailles aux noeuds desquelles les alvéoles sont situés peuvent être conformées différemment que carrées. En effet, elles peuvent être rectangulaires, triangulaires, polygonales etc... toutes identiques entre elles ou de formes différentes imbriquées les unes dans les autres.
    • de même, les alvéoles peuvent être conformés différemment que les alvéoles circulaires 5 (figure 1). En effet, ils peuvent être carrés comme représentés sur la figure 2, ou triangulaires comme représentés sur la figure 3 ; ils peuvent aussi être rectangulaires et allongés tantôt dans une direction, tantôt dans la direction perpendiculaire, polygonaux etc...; ils peuvent aussi être de formes mélangées suivant une règle appropriée.
    • les alvéoles 5 doivent être faciles à nettoyer ; dès lors, la paroi latérale 9 et l'arrondi de fond 12 (figure 5) peuvent être remplacés par un arrondi unique 14 (figure 6) débouchant sur la face sous-jacente 3 ou bien prolongés par un arrondi de surface 15 (figure 7) ; il est possible également de raccorder directement entre eux les arrondis 12 et 15 (figures 8 et 9).
    • les surfaces 3 et 4 ne sont pas nécessairement en contact ; il peut être avantageux de les écarter faiblement l'une de l'autre (figure 8) ; la hauteur "h" des doigts 8 est alors supérieure à la profondeur "f" des alvéoles 5 et lesdits doigts reposent sur le fond 11 des alvéoles sélectionés ; dans ce cas, les doigts 8 doivent être relativement nombreux.
    • les doigts 8 au lieu d'être cylindriques peuvent être coniques, prismatiques, pyramidaux, hémisphériques ou autres. Avantageusement, ils peuvent être profilés en correspondance avec les génératrices des alvéoles pour améliorer le contact, comme représenté en 16 sur la figure 9.
    • il n'est pas impératif que chaque alvéole ne coopère qu'avec un seul doigt ; en effet, il est possible d'agrandir les alvéoles et de les conformer pour que la paroi latérale de chacun puisse coopérer en appui avec au moins deux doigts.


    [0031] Suivant la deuxième forme de réalisation illustrée par les figures 10 et 11, la situation des alvéoles 5 et des doigts 8 est inversée.

    [0032] Les doigts 8 sont alors venus de moulage avec le plateau 1 en saillie sur la face sous-jacente 3 et sont repartis suivant le réseau 6, 7 de la première forme de réalisation (figure 1). Les alvéoles 5 sont ménages en creux dans des bossages 17 venus de moulage avec le récipient 2, en saillie sur la surface sus-jacente 4. La hauteur des bossages 17 est supérieure à celles des doigts 8 pour que ces bossages portent contre la surface sous-jacente 3 et que ces doigts n'atteignent pas la surface susjacente 4. Bien entendu, la plus grande distance "1" de la paroi latérale 9 d'un alvéole 5, au bord du bossage 17 correspondant doit être inférieure au pas "p" des doigts, à seule fin que les bossages annulaires puissent s'insérer dans les espaces libres 18 existant entre lesdits doigts.

    [0033] Il est clair que les variantes décrites dans ce qui précède pour la première forme de réalisation peuvent s'appliquer à cette deuxième forme de réalisation.


    Revendications

    1. Dispositif "antidérapant" équipant les surfaces en contact de deux objets posés l'un sur l'autre, tels qu'un plateau et l'un au moins des composants d'un service (assiette, tasse, verre...),
    caractérisé en ce qu'il comporte des éléments coopérants constitués par des alvéoles (5) et des doigts (8) apparaissant indifféremment en creux dans l'une desdites deux surfaces (3, 4), et en saillie sur l'autre surface, les éléments de la surface sous-jacente (3) étant plus nombreux que les éléments coopérants de la surface sus-jacente (4) qui sont au nombre d'au moins deux et ces éléments de la surface sous-jacente (3) étant répartis de façon cohérente afin d'être tous sélectionnables pour coopérer avec les doigts, chaque alvéole (5) ayant, en outre, une section libre (d1) beaucoup plus grande que celle (d2) de chaque doigt (8) afin que la pose de l'objet (2) situé au-dessus puisse être effectuée pratiquement à n'importe quel endroit suivant n'importe quelle orientation sur l'objet situé en dessous.
     
    2. Dispositif antidérapant selon la revendication 1,
    caractérisé en ce que les alvéoles (5) sont situés dans la surface sous-jacente (3) et répartis suivant un réseau régulier, tandis que les doigts (8) au nombre d'au moins deux font saillie sous la surface sus-jacente (4), la distance (D1, D2) de ces doigts dans la ou les directions (6, 7) du réseau étant multiple du ou des pas (p) des alvéoles.
     
    3. Dispositif antidérapant selon la revendication 1,
    caractérisé en ce que les doigts (8) font saillie sur la surface sous-jacente (3) et sont répartis suivant un réseau régulier (6, 7), tandis que les alvéoles (5) sont situés dans des bossages (17) faisant saillie sous la surface sus-jacente (4), la plus grande distance (1) du bord de chaque bossage à la paroi latérale (9) de son alvéole étant inférieure au pas minimal (p) des doigts.
     
    4. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les objets (1, 2) sont en matière plastique moulée, les alvéoles (5) et les doigts (8) étant venus de moulage.
     
    5. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les deux directions (6, 7) du réseau sont perpendiculaires entre elles, les mailles étant en particulier carrées.
     
    6. Dispositif antidérapant selon la revendication 5 ou 6, caractérisé en ce que les alvéoles (5) sont circulaires (figure 1) ou carrés (figure 2) ou triangulaires (figure 3).
     
    7. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 5 à 6, caractérisé en ce que la paroi latérale (9) de chaque alvéole (5) est raccordée au fond (11) par un arrondi (12) permettant d'améliorer le lavage.
     
    8. Dispositif antidérapant selon la revendication 7,
    caracterisé en ce que la paroi latérale (9) de chaque alvéole (5) est sensiblement perpendiculaire à la surface libre et reliée à celle-ci par une arête vive (10).
     
    9. Dispositif antidérapant selon la revendication 7,
    caractérisé en ce que la paroi latérale (9) de chaque alvéole (5) est sensiblement perpendiculaire à la surface libre et reliée à celle-ci par un arrondi (15).
     
    10. Dispositif antidérapant selon la revendication 7,
    caractérisé en ce que la paroi latérale (9) de chaque alvéole (5) est constituée par un arrondi de fond (12) et un arrondi de surface (15) se raccordant l'un à l'autre (figure 8).
     
    11. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 7 à 10, caractérisé en ce que la profondeur (p) des alvéoles (5) est comprise entre 0,3 et 1,2 mm et avantageusement égale à 0,7 mm.
     
    12. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les doigts (8) sont cylindriques à bout droit (13) (figures 5, 6, 8) ou à bout arrondi (13) (figures 7, 11).
     
    13. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les doigts (8) sont profilés en correspondance avec les génératrices des alvéoles (5) (16 sur la figure 9).
     
    14. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 7 à 13, caractérisé en ce que la hauteur (h) de chaque doigt (8) est inférieure à la profondeur (p) de chaque alvéole (5) de façon que la surface sous-jacente (3) et la surface sus-jacente (4) soient en contact.
     
    15. Dispositif antidérapant selon l'une quelconque des revendications 7 à 13, caractérisé en ce que la hauteur (h) de chaque doigt (8) est supérieure à la profondeur (p) de chaque alvéole (5) de façon que les doigts reposent sur le fond (11) des alvéoles (5) correspondants et que la surface sus-jacente (4) soit écartée de la surface sous-jacente (3) (figure 8).
     




    Dessins













    Rapport de recherche