[0001] Le présent Modèle d'Utilité a pour objet un vérin mécanique amélioré pour des véhicules
automobiles, pour les élever et les descendre afin de remplacer la roue correspondante
endommagée, normalement par crevaison ou coupure de son pneu et ledit vérin fournit
à la fonction à laquelle il est destiné, plusieurs avantages qui seront consignés
plus loin, à part d'autres inhérents à sa constitution.
[0002] On connaît un type de vérin mécanique pour élever des automobiles qui est protégé
par le Modèle d'Utilité N. 279019, dont le titulaire et le propriétaire est le propre
demandeur du présent Modèle d'Utilité, qui comprend un mécanisme basé sur quatre bras
articulés entre eux et disposés sous forme de parallélogramme, muni d'une broche située
dans une diagonale, qui est approximativement horizontale dans la position opératoire
du vérin, à ladite broche est relié, par son extrémité postérieure, un moyen pour
pouvoir l'actionner en pivotant - comme une manivelle ou similaire - et l'extrémité
avant de ladite broche est vissée à un écrou articulé au sommet avant du parallélogramme,
tandis que l'extrémité opposée de la broche traverse une traverse, qui est articulée
au sommet arrière opposé dudit parallélogramme.
[0003] Dans ce type de vérin mécanique, l'extrémité arrière de la broche est terminée en
une expansion postérieure, s'appuyant en pivotant sur ladite traverse, un roulement
convenable étant intercalé pour faciliter ledit soutien tournant; quoiqu' il est évident
que la position relative dudit soutien tournant et dudit écrou peut être inversée,
de sorte que ce dernier soit disposé articulé au sommet arrière du parallélogramme,
tandis que l'extrémité opposée de la broche est disposée à la partie avant du vérin
et traverse ladite traverse, dans ce cas articulé au sommet avant opposé dudit parallélogramme,
en disposant à la partie avant et qui dépasse de la broche un roulement pour faciliter
un pivotement de la broche par rapport à ladite traverse, ainsi qu'une butée à la
partie opposée interne dudit sommet avant du parallélogramme, pour retenir ledit sommet,
et, en même temps, pour limiter la hauteur maximale du vérin.
[0004] De plus, dans ledit type de vérin il existe, près du sommet supérieur du parallélogramme
et en prolongement normalement du bras supérieur arrière, un moyen, dit étrier, pour
le soutien et le support de l'automobile correspondante, tandis que le bras inférieur
arrière du parallélogramme, qui part de son sommet arrière, est prolongé inférieurement
en formant une patte de support du vérin, articulée à son tour à un pied pour son
appui sur le sol. Dans l'union articulée entre l'extrémité inférieure de la patte
et le pied cités est disposé, quelquefois, un ressort pour maintenir la patte du vérin
dans la position d'inclinaison maximale en arrière et vers le bas par rapport au pied,
pour faciliter le positionnement initial du vérin par l'utilisateur et il existe,
finalement, des butées en ce qui concerne ladite articulation entre la patte du vérin
et son pied, correspondant respectivement à ses inclinaisons maximale et minimale
relatives par rapport audit pied.
[0005] Les quatre bras du mécanisme de parallélogramme dudit vérin mécanique peuvent être
constitués par des paires de fers plats parrallèles, le cas échéant avec leurs bords
pliés en adoptant chacun d'eux la forme de "C", lesdits fers étant séparés para des
noyaux correspondants en fonction d'axes d'articulation ou bien par des profils de
coupe en "U", reliés para des axes d'articulation respectifs.
[0006] Par ailleurs, le propre demandeur a proposé un vérin mécanique objet du Modèle d'Utilité
N. 8903891 qui, en étant du type décrit ci-dessus, est caractérisé en ce que le bras
supérieur avant du parallélogramme présente une cheville élastique unie, de préférence,
par un appendice inférieur traversant un orifice dudit bras et dans lequel il reste
retenu par un grossissement terminal, à sa partie du bout avant et près du sommet
avant du parallélogramme, en correspondance avec une partie tubulaire de l'étrier
articulée librement dans un axe de prolongement du bras supérieur arrière du parallélogramme,
pour que ladite partie de l'étrier s'appuie contre la cheville lorsque le vérin est
plié; et en ce que la partie supérieure de la branche traversale postérieure du profil
de l'étrier, près de sa bouche et en en faisant partie, présente une zone en plan
incliné en arrière, pour son appui initial contre le rebord correspondant vers le
bas de la partie inférieure de la carrosserie du véhicule automobile.
[0007] Ledit vérin mécanique fournit, notamment, les avantages d'une adaptabilité maximale
de l'étrier du vérin à la partie inférieure corrrespondante de la carrosserie du véhicule
auquel il est appliqué, par le niveau élevé de liberté en ce qui concerne l'articulation
de l'étrier au bras supérieur arrière du vérin, avec les jeux correspondants relativement
grands correspondants entre la partie correspondante de l'étrier et l'axe que présente
le prolongement dudit bras supérieur arrière, ainsi que entre ledit prolongement et
las côtés de l'étrier, en plus de déterminer un positionnement automatique initial
sous la carrosserie par la butée que présente l'étrier et qui est établie contre le
rebord vers le bas que présente ladite partie inférieure de la carrosserie.
[0008] Cependant, le demandeur a conçu des améliorations audit vérin mécanique, en ce qui
concerne le centrage automatique de l'étrier et son positionnement automatique correct,
de sorte que le vérin mécanique amélioré pour des véhicules automobiles selon le présent
Modèle d'Utilité est du type décrit précédemment et est caractérisé en ce que ledit
prolongement du bras supérieur arrière présente, en se projetant depuis la face intérieure
de chacune de ses deux ailes parallèles, des moyens élastiques opposés et dirigés
vers le plan vertical moyen dudit bras, chacun d'eux s'appuyant élastiquement contre
le bord longitudinal correspondant de la partie tubulaire de l'étrier, de préférence
grâce à une extrémité déviée de chaque moyen et sensiblement parallèle audit bord;
et en ce que l'étrier est maintenu, par au moins un ressort et par rapport au prolongement
du bras auquel il est articulé, dans une position intermédiaire en relation avec celles
déterminées par les deux butées du bout dudit prolongement, en ce qui concerne son
pivotement relatif.
[0009] Ce vérin mécanique amélioré pour véhicules automobiles fournit, notamment, les avantages
d'un centrage automatique de l'étrier à sa position initiale et malgré son articulation
libre, en obtenant un équilibre optimum du vérin au début de l'élévation du véhicule
correspondant et, donc, en assurant la stabilité de l'ensemble formé par le véhicule
et le vérin aussi bien durant l'élévation et la descente du véhicule, qu'à la fin
de son élévation pour changer la roue correspondante, ainsi que les avantages d'assurer
le positionnement initial correct de l'étrier pour obtenir qu'il se situe dans une
position convenable à la fin de son élévation, indépendamment de quelle sera la hauteur
par rapport au sol de la carrosserie du véhicule à élever et éliminer ainsi un mauvais
positionnement éventuel de l'étrier lorsque l'utilisateur situe le vérin sous la carrosserie
pour procéder à son élévation.
[0010] Le vérin mécanique amélioré pour véhicules automobiles objet de l'invention offre
les avantages qui ont été décrits auparavant, à part d'autres qui seront facilement
déduits de l'exemple de réalisation dudit vérin, qui est décrit avec plus de détails
à la suite pour faciliter la compréhension des caractéristiques exposées précédemment,
en faisant connaître en même temps divers détails et pour ce des dessins sont annexés
dans lesquels, seulement à titre d'exemple et non limitatif de la portée de la présente
invention, est représenté un cas pratique dudit vérin.
[0011] Dans les dessins, la figure 1 montre une vue de côté en élévation du vérin à sa position
repliée et avec sa manivelle encore rentrée, et il faut signaler que dans cette figure
et les suivantes le vérin est représenté sous forme schématisée sans la broche (avec
ses moyens de vissage et d'appui et de guide) ni la manivelle; dans la figure 2 on
montre ledit vérin qui commence à se déplier et disposé en position appropriée au-dessous
de la carrosserie du véhicule (dont on ne représente en pointillé, qu'une partie inférieure
de celle-ci avec son rebord); la figure 3 correspond à une coupe par A-A de la figure
2 et montre un détail de l'articulation libre de l'étrier; la figure 4 montre ledit
vérin dans une position élevée de celui-ci, c'est-à-dire, dans une position élevée
du véhicule auquel il est appliqué; dans les figures 5 et 6 est représenté l'étrier
en élévation latérale et en plan, respectivement; dans la figure 7 est détaillée la
coupe B-B de la figure 5; la figure 8 correspond à une élévation frontale avant de
l'étrier; et les figures 9 et 10 correspondent respectivement, aux coupes selon C-C
et D-D de la figure 8.
[0012] Selon lesdites figures, le vérin mécanique amélioré pour véhicules automobiles présente
quatre bras (1), (2), (3) et (4) (voir en particulier la figure 4) qui sont articulés
entre eux et sont disposés selon un parallélogramme, muni d'une broche (5) - schématisé
par un axe géométrique - situé dans une diagonale du parallélogramme, ladite diagonale
varie angulairement de position selon il découle de la comparaison entre les figures
1, 2 et 4, durant l'actionnement du vérin.
[0013] A l'extrémité postérieur de la broche (5) est unie une manivelle (6) (figure 1) comme
moyen pour que son utilisateur puisse actionner la broche en pivotement, pour obtenir
son déploiement ou repli, c'est-à-dire, pour élever ou descendre l'étrier du vérin
et, par conséquent, la carrosserie du véhicule automobile auquel celui-ci a été appliqué.
Dans cet exemple, la manivelle (6) est articulée inséparablement à l'extrémité postérieure
de la broche (5), des butées existant pour établir son positionnement opératoire et
présentant, en outre et facultativement, un mécanisme de retenue (7) pour fixer temporairement
ladite manivelle à la position repliée du vérin et pour le garder à sa place dans
le véhicule; si bien l'actionnement pivotant de la broche (5) pourrait se faire par
d'autres moyens et même ils pourraient consister en une union séparable ou démontable
entre la manivelle ou similaire et l'extrémité postérieure de la broche.
[0014] La broche (5) est soutenue par des moyens de soutien qui peuvent consister en un
roulement ou d'autres moyens convenables pour retenir à cette extrémité avant de la
broche en position et, en même temps, faciliter son pivotement par rapport au sommet
avant du parallélogramme; et ladite broche est vissée à des moyens de vissage ou écrou
permettant à la broche de se déplacer par rapport au sommet arrière du parallélogramme
du vérin selon le sens de pivotement que l'on donne à la manivelle (6). La situation
du roulement ou similaire et de l'écrou pourrait être inversée, c'est-à-dire, que
ce dernier serait disposé au sommet avant du parallélogramme et le roulement serait
disposé au sommet arrière de celui-ci.
[0015] Le vérin présente, près du sommet supérieur de celui-ci et normalement dans un prolongement
du bras supérieur arrière (1), un étrier (8) pour l'appui et un soutien du véhicule
automobile auquel il est appliqué, ledit étrier étant généralement, tel que celui
qui est représenté, articulé au bout dudit prolongement du bras (1) et étant également
conventionnel l'étrier en forme de "U" ou de "V", en déterminant un canal dans lequel
on peut librement loger le rebord inférieur (9) qui présente la partie inférieure
correspondante de la carrosserie du véhicule, renforcée dans cette zone pour résister
les efforts mécaniques de l'appui de l'étrier du vérin pour élever ledit véhicule.
Evidemement, l'étrier pourrait présenter une autre constitution appropriée pour s'adapter
à ladite partie inférieure de la carrosserie du véhicule, en présentant une configuration
convenable à cette fin. Le rebord (9) sert à guider l'étrier (8) et à empêcher son
éventuel glissement inopportun, sans que ledit rebord s'appuie sur le fond du canal
de l'étrier.
[0016] Le bras inférieur arrière (2), qui part du sommet arrière du parallélogramme du vérin,
présente un prolongement inférieur (2a) qui forme la patte de support du vérin proprement
dite, en séparant le parallélogramme du sol et est articulé à un pied (10) pour s'appuyer
sur le sol ou surface correspondante.
[0017] Afin de limiter les mouvements d'articulation entre la patte et le pied du vérin,
on peut disposer pour cela des moyens de butée, pouvant consister en des éléments
complémentaires ou bien être déterminés par la propre configuration du bord inférieur
du prolongement (2a), tel qu'il est montré dans les figures 1, 2 et 4.
[0018] Le bras supérieur avant (4) pourra incorporer une cheville ou similaire élastique
(non représentée), disposée à la partie du bout avant dudit bras et près du sommet
avant du parallélogramme, en correspondance avec une partie tubulaire (11) de l'étrier
(8), laquelle est articulée librement avec des jeux notables dans toutes les directions
autour d'un axe(12), qui est relié au prolongement du bras supérieur arrière (1) du
parallélogramme, ledit axe (12) pouvant consister en une tige fixée - par exemple
par rivetage ou par soudure - à l'extrémité courbe dudit prolongement du bras supérieur
arrière (1), mais de toutes façons il faut qu'il existe une articulation libre avec
un jeu relativement important entre la partie tubulaire (11) et l'axe (12). Avec cet
agencement supposé lorsque le vérin serait plié (figure 1), ladite partie tubulaire
(11) s'appuierait contre ladite cheville élastique de sorte que ladite partie tubulaire
inférieure de l'étrier (8) resterait fortement appliquée contre l'axe (12), ledit
étrier étant ainsi immobilisé.
[0019] Lorsque le vérin est en train de s'élever ou, le cas échéant, de descendre, l'étrier
(8) présente un niveau de liberté relativement élevé, car il peut se mouvoir, quoique
avec des déplacements relativement petits mais suffisants, dans n'importe quelle direction,
grâce aussi bien au jeu existant entre sa partie tubulaire (11) et l'axe (12) disposé
dans le prolongement du bras (1), qu'au fait que les deux parties du bout ou ailes
(13) présentent aussi un jeu transversal par rapport au prolongement dudit bras (1)
(voir figure 3), car lesdites deux ailes (13) se trouvent séparées entre elles à une
distance plus grande que la largeur propre dudit prolongement du bras (1), dans une
mesure convenable.
[0020] Lesdites constitution et agencement aussi bien de l'étrier (8) que du prolongement
du bras (1) fournissent une articulation libre à l'étrier, qui peut s'adapter, dans
certaines limites, à d'éventuelles variations de position dans toutes les directions
aussi bien du vérin par rapport à la carrosserie que de possibles variations de la
géométrie de cette dernière dans la partie d'appui (par des altérations dans sa fabrication
ou par d'éventuels coups reçus par la carrosserie) et encore par la propre terrain
sur lequel s'appuie le vérin à travers son-Pied (10). Ainsi, il est obtenu une adaptabilité
maximale du vérin avec un agencement relativement simple et bon marché.
[0021] Par ailleurs, l'étrier (8) a une zone (14) en plan incliné en arrière et agencée
à la partie supérieure de la branche transversale postérieure du profil qui détermine
le canal de l'étrier, zone située près de sa bouche et formant une partie de celle-ci.
Cette zone (14) détermine une butée pour l'appui initial, par l'utilisateur du vérin,
contre le rebord (9) correspondant vers le bas que présente la partie inférieure de
la carrosserie du véhicule automobile, en facilitant ainsi le positionnement initial
(placement et réglage) du vérin par l'utilisateur. Dans la figure 2 il est montré
le vérin une fois ledit positionnement initial a été fait, en y appréciant la mise
face à face y la butée réalisée par ladite zone (14) avec le rebord (9);et tout cela
de sorte que, au fur et à mesure que le vérin se déplie, c'est-à-dire, s'élève, -
par l'actionnement de sa manivelle (6) représentée dans la figure 1) -, ladite zone
(14) de l'étrier (8) coopère au guidage dudit étrier le long du rebord (9), qui se
dirige correctement vers l'intérieur du canal du profil de l'étrier et se place dans
celui-ci sans s'appuyer contre son fond, jusqu'à ce que la partie d'appui horizontal
de l'étrier arrive à établir un contact contre la plan horizontal inférieur de cette
zone de la carrosserie de l'automobile et après, en continuant l'élévation du vérin,
on obtient égalment la montée de la carrosserie jusqu'à la position souhaitée et qui
correspond normalement à celle représentée dans la figure 4.
[0022] Le prolongement du bras supérieur arrière (1) présente deux moyens élastiques, dans
ce cas constitués par des lames élastiques (15), unies par des rivets, quoiqu'elles
pourraient être reliées par d'autres moyens conventionnels sur chacune des deux faces
intérieures des deux ailes parallèles dudit prolongement (voir figure 3), ces deux
lames élastiques se projetant depuis la face intérieure respective desdites ailes
parallèles du prolongement et étant dirigées vers le plan vertical moyen dudit bras
(1), chacune des deux lames élastiques citées (15) s'appuyant contre le bord longitudinal
correspondant de la partie tubulaire (11) de l'étrier (8), ce qui est clairement apprécié
dans la figure 3; et ledit appui se faisant de préférence au moyen d'une extrémité
déviée de chaque lame (15), qui est disposée sensiblement parallèle audit bord correspondant
de la partie tubulaire (11). De cette façon on obtient un centrage automatique de
l'étrier (8) par rapport au prolongement du bras (1), mais sans empêcher le jeu transversal
de l'étrier (8) par rapport au bras (1) dans le prolongement duquel il est monté (étant
donné l'élasticité des lames (15)), en obtenant ainsi un positionnement correct automatique
de l'étrier et un équilibre optimum du vérin, et en assurant la stabilité de l'ensemble
formé par celui-ci et le véhicule auquel il est appliqué.
[0023] L'étrier (8) est élastiquement relié par au moins un ressort (16) au bras (1), et
pour ce ledit ressort est fixé par une extrémité à l'orifice (17) - au moyen, par
exemple, d'un crochet au bout du ressort - et à son autre bout à un orifice (18) (voir
les figures 1, 2, 4, 5 et 6) de l'étrier (8), de sorte que ledit ressort maintient
l'étrier, lorsque celui-ci n'a pas la carrosserie d'un véhicule appliquée, dans une
position intermédiaire par rapport à celles déterminées par les deux butées extrêmes
du prolongement du bras (1) quant à son pivotement relatif, c'est-à-dire que ledit
ressort maintient l'étrier dans la position montrée dans la figure 1, soit, un peu
élevé par rapport à la position inférieure qu'il pourrait occuper s'il n'était pas
soumis à une certaine tension dudit ressort, en assurant ainsi le positionnement initial
correct de l'étrier pour obtenir une position convenable et correcte à la fin de l'élévation
du vérin avec la corrocerie à laquelle il se trouve appliqué (figure 4), indépendamment
du fait que la hauteur ait varié par rapport au sol de la carrosserie du véhicule
à élever par rapport à la hauteur prévue d'usine pour celui-ci, soit par une variation
de la charge à laquelle le véhicule est soumis (personnes, etc.) ou parce que sa suspension
a cédé de sorte qu'un mauvais positionnement initial de l'étrier est également évité
lorsque l'utilisateur situe le vérin sous la carrocerie pour procéder à l'élévation
du véhicule, ce qui peut arriver dans le cas où l'étrier serait libre et, donc, puisse
adopter une position intermédiaire inappropriée. Le ou les ressorts (16) seront montés
normalement par la partie extérieure latérale du bras (1), quoiqu'ils pourraient être
agencés dans une autre situation adéquate.
[0024] L'étrier (8) pourra présenter un canal ou nervure intermédiaire (19) (figures 3,
5, 6, 7 et 9) qui, en même temps qu'elle détermine un effet de renfort dans cette
partie de l'étrier, établit un soutien théoriquement ponctuel sur l'axe (12) (figure
3), en facilitant la libre oscillation de l'étrier par rapport au prolongement du
bras (1).
[0025] Il faut constater que, dans la réalisation du vérin mécanique amélioré pour des véhicules
objet du présent Modèle d'Utilité, on pourra appliquer toutes les variantes de détail
que l'expérience et la pratique peuvent conseiller quant aux formes et dimensions,
aussi bien absolues que relatives, et les matériaux employés dans celui-ci et d'autres
circonstances à caractère accessoire, ainsi que pourront être introduites toutes les
modifications de détail de construction qui seraient compatibles avec l'essentialité
de ce qui est revendiqué, car elles sont toutes comprises dans l'esprit des revendications
suivantes.
1. Vérin mécanique amélioré pour véhicules automobiles, du type qui comprend quatre bras
articulés entre eux et disposés sous forme de parallélogramme, muni d'une broche située
dans une diagonale, auquelle est relié, par son bout postérieur, un moyen pour pouvoir
l'actionner en pivotement, ainsi que muni de moyens de soutien, de préférence à travers
un roulement, et de vissage, situés aux sommets avant et arrière du parallélogramme
et qui présente, au sommet supérieur de ce dernier, un étrier pour le soutien et le
support du véhicule automobile correspondant, tandis que le bras inférieur du parallélogramme,
qui part de son sommet arrière, est prolongé inférieurement en formant la patte de
support du vérin, articulée à un pied pour son apppui sur le sol, et ledit étrier
présentant une partie tubulaire articulée librement, avec des jeux importants dans
toutes les directions autour d'un axe transversal du proloongement du bras supérieur
arrière du parallélogramme et la partie supérieure de la branche transversale postérieure
du profil de l'étrier présentant, près de sa bouche et en en faisant partie, une zone
en plan incliné en arrière; caractérisé en ce que ledit prolongement du bras supérieur arrière présente, se projetant depuis
la face intérieure de chacune de ses deux ailes parallèles, des moyens élastiques
opposés et dirigés vers le plan vertical moyen dudit bras, chacun d'eux s'appuyant
élastiquement contre le bord longitudinal correspondant de la partie tubulaire de
l'étrier, de préférence grâce à une extrémité déviée de chaque moyen et sensiblement
parallèle audit bord; et en ce que l'étrier est maintenu par au moins un ressort et
par rapport au prolongement du bras auquel il est articulé, dans une position intermédiaire
en relation avec celles déterminées par les deux butées de l'extrémité dudit prolongement,
quant à son pivotement relatif.