[0001] La présente invention concerne un mécanisme d'engrenage, notamment pour pièce d'horlogerie.
[0002] Les cames en forme de coeur sont utilisées très couramment en horlogerie, notamment
dans les chronographes et elles sont alors appelées "coeur de chronographe". Le coeur
est fixé sur la roue d'un compteur du chronographe et permet la remise à zéro de l'aiguille
de ce compteur, après la mise en marche et l'arrêt du chronographe.
[0003] Un exemple d'une telle construction peut être trouvé dans le brevet US 3,901,020.
Dans ce cas, le coeur du compteur de secondes est monté sur un axe qui porte la roue
de chronographe ainsi qu'un doigt d'entraînement, ces éléments étant superposés les
uns sur les autres sur cet axe.
[0004] Les figures 1 à 6 des dessins annexés illustrent d'autres constructions de cames
en forme de coeur de l'art antérieur, ainsi que leur fonctionnement.
[0005] Ainsi, sur la figure 1, on peut voir que le profil du coeur 1 présente une pointe
2 et à l'opposé deux surfaces latérales arrondies 3 et 4, appelées épaules. Ce coeur
présente, sensiblement entre les deux épaules 3 et 4, un orifice 5 dont l'axe est
perpendiculaire au plan général de la came et qui permet la fixation de ce coeur sur
l'axe 6 de la roue 7 d'un compteur, par exemple, le compteur des secondes ou le compteur
des minutes d'un chronographe. Comme on peut le voir sur la figure 2, les épaules
3 et 4 peuvent également être légèrement pointues.
[0006] Les figures 3a à 3d illustrent en vue de dessus les étapes successives classiques
de la remise à zéro d'un compteur de chronographe, à l'aide d'une telle came en forme
de coeur. Cette remise à zéro est effectuée par un marteau 8 présentant à l'une de
ses extrémités un incliné 9 et pivotant à son autre extrémité autour d'un axe fixe
10. L'aiguille du compteur représentée schématiquement est fixée sur l'axe 6 de la
roue 7 et porte la référence 11.
[0007] Lorsque le chronographe fonctionne, le marteau 8 est écarté de la roue 7 comme cela
est illustré en figure 3a et cette roue peut donc tourner dans le sens des aiguilles
d'une montre en entraînant l'aiguille 11. Lors de l'arrêt du chronographe, réalisé
par des éléments qui ne seront pas décrits ici, mais dont on peut trouver une description
à titre d'exemple dans le brevet précité, la roue 7 s'immobilise et l'aiguille 11
indique le temps écoulé depuis la mise en marche du chronographe à supposer que la
roue 7 soit le seul compteur du chronographe. Il est à noter qu'en général les chronographes
sont pourvus de trois compteurs (heures, minutes et secondes) qui sont tous munis
d'un coeur semblable à celui précédemment décrit.
[0008] Par l'intermédiaire d'un mécanisme non représenté en figure 3a, on fait pivoter le
marteau 8 dans le sens de la flèche F jusqu'à ce que son incliné 9 vienne au contact
de la périphérie du coeur 1. On se trouve alors dans la position représentée en figure
3b. Le marteau étant couplé à un bouton poussoir de remise à zéro, on peut y exercer
une force qui est transmise sur le coeur 1 et comme ce dernier est excentré par rapport
à l'axe 6, il pivote aisément (figure 3c), jusqu'à ce que l'incliné 9 vienne au contact
des deux épaules 3 et 4 (voir figure 3d). Dans cette position, l'aiguille 11 est ramenée
dans sa position d'origine ou de référence.
[0009] Dans ce cas, le coeur 1 a donc uniquement pour fonction la remise à zéro de la roue
7 du compteur. Par ailleurs, comme déjà évoqué ci-dessus il est souvent nécessaire
à partir de cette roue 7 de compteur, qui est par exemple, un compteur des secondes,
d'entraîner une autre roue, par exemple, celle d'un compteur des minutes.
[0010] La figure 4 illustre les techniques de l'art antérieur permettant d'entraîner cette
deuxième roue de compteur. A cet effet, on dispose par exemple au-dessus du coeur
1, un doigt d'entraînement 12 qui déborde par rapport à la périphérie de la came de
manière à pouvoir engrèner avec une roue intermédiaire 13 qui à son tour engrène avec
une seconde roue de compteur 14 elle-même munie d'un coeur 15. Lors du fonctionnement
du chronographe, le marteau 8 n'est pas au contact du coeur 1 et la roue 7 peut donc
tourner en entraînant également les roues 13 et 14 par l'intermédiaire de son doigt
d'entraînement 12. Ainsi, lorsque la roue 7 a effectué un tour complet, le doigt d'entraînement
12 permet de faire tourner les roues 13 et 14 d'un pas.
[0011] Lors de la remise à zéro du chronographe, la roue 13 est déplacé axialement hors
du plan du doigt d'entraînement 12 (position haute représentée en traits mixtes).
Le marteau 8 peut alors ramener à zéro la roue 7 du compteur des secondes; comme cela
a été expliqué précédemment.
[0012] Dans ce dispositif de l'art antérieur, comme dans celui du brevet précité, le doigt
d'entraînement 12 est placé en-dehors du plan du coeur, pour engréner avec la roue
13 et ne pas gêner l'action du marteau 8. En effet, si ce doigt d'entraînement 12
était placé directement sur la face supérieure de la roue 7 du compteur, dans le même
plan que le coeur 1, il risquerait dans certains cas de se trouver sur la trajectoire
du marteau 8 lors de la remise à zéro, rendant celle-ci impossible.
[0013] Toutefois, une telle fois disposition augmente la hauteur de l'ensemble formé par
le coeur 1, la roue 7 du compteur et le doigt d'entraînement 12. Or, il serait intéressant
tout en conservant les fonctions de remise à zéro d'une part et d'entraînement des
autres compteurs d'autre part, de diminuer la hauteur occupée par les éléments assurant
ces fonctions.
[0014] L'analyse de l'art antérieur qui précède, s'applique aux mécanismes d'engrenage utilisés
dans les pièces d'horlogerie telles que des chronographes. Toutefois, l'invention
ne se limite pas à ce type d'applications. Au contraire elle peut être utilisée avec
profit dans d'autres applications, chaque fois qu'il s'agit de ramener un jeu de mobiles
rotatifs dans une position initiale. Ainsi, elle pourrait être utilisée par exemple
dans d'autres mécanismes de compteurs.
[0015] En conséquence, l'invention concerne un mécanisme d'engrenage comprenant un premier
mobile rotatif et au moins un second mobile rotatif, ledit premier mobile étant destiné
à être amené, grâce à une force motrice, dans une position finale à partir d'une position
initiale, ledit premier mobile comprenant une roue dentée à laquelle peut être appliquée
ladite force motrice, cette roue dentée étant montée sur un axe, une came qui en est
solidaire en rotation, ainsi que des moyens d'engrènement destinés à être en prise
avec ledit second mobile pour le faire avancer avec un rapport de réduction prédéterminé
par rapport audit premier mobile, le mécanisme d'engrenage comprenant également des
moyens coopérant avec ladite came pour ramener ledit premier mobile dans sa position
initiale.
[0016] Selon l'invention, lesdits moyens d'engrènement destinés à être en prise avec le
second mobile font partie du profil de ladite came.
[0017] Grâce à ces caractéristiques de l'invention et de par sa forme même, le coeur a deux
fonctions, non seulement la fonction de remise à zéro classique, mais également la
fonction d'entraînement d'autres mobiles d'engrenage. Ainsi, on simplifie la construction
du mécanisme, on diminue le nombre de pièces nécessaires pour obtenir les mêmes fonctions
et de plus, on gagne de la place en hauteur puisque on peut se dispenser du doigt
d'entraînement se trouvant hors du plan de la came. Cette dernière propriété conférée
par l'invention est particulièrement avantageuse dans son application à un mécanisme
de chronographe dont on cherche toujours à réduire autant que possible la hauteur.
[0018] L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description suivante d'un mode
de réalisation de l'invention donné à titre d'exemple non limitatif et complétée par
les dessins joints dans lesquels :
- les figures 1 et 2 sont des schémas illustrant les contours des cames en forme de
coeur de l'art antérieur, selon deux modes de réalisation,
- les figures 3a à 3d sont des schémas illustrant les étapes successives classiques
de la remise à zéro d'une roue de compteur grâce à la came en forme de coeur,
- la figure 4 est une vue en coupe d'une partie d'un mécanisme d'engrenage prévu dans
un chronographe de l'art antérieur,
- la figure 5 est une vue de dessus de la came selon l'invention engrénant avec d'autres
roues du mécanisme d'engrenage,
- la figure 6 est un schéma comparatif illustrant les contours d'une came de l'art antérieur
et d'une came selon l'invention,
- la figure 7 est une vue en coupe d'une partie d'un mécanisme d'engrenage et de la
came selon l'invention, selon la ligne VII-VII de la figure 5,
- les figures 8 et 9 sont des schémas illustrant les diverses possibilités d'action
d'un marteau sur la came selon l'invention, et
- la figure 10 est une vue de détail d'un second mode de réalisation de la pointe de
la came en forme de coeur.
[0019] La figure 7 illustre un mécanisme d'engrenage selon l'invention appliqué dans un
mécanisme de chronographe. Dans ce cas, le mécanisme d'engrenage est monté entre une
platine 20 et un pont 22. Le mécanisme comprend un premier mobile 24 formant dans
ce cas le compteur de secondes et qui comprend un axe 26 monté à rotation dans un
canon 28 fixé dans le pont 22. Sur l'axe 26 est montée une roue dentée 30 à laquelle
on peut appliquer une force motrice provenant d'un mécanisme d'horlogerie non représenté,
de façon à entraîner le premier mobile 24. Ainsi, on amène ce dernier depuis une position
initiale jusqu'à une position finale. Une came 32 en forme de coeur est solidaire
en rotation de la roue 30. Le mécanisme comporte également un deuxième mobile 34 qui,
comme on l'expliquera ci-après, est couplé au premier mobile 24 avec un rapport de
réduction prédéterminée. Le mécanisme d'engrenage comprend également des moyens 36
coopérant avec ladite came 32 pour ramener le premier mobile 24 dans sa position initiale.
Dans ce cas particulier, ces moyens 36 comprennent un marteau, articulé sur la platine
20 à un endroit non visible sur la figure 7.
[0020] La figure 6 illustre la comparaison entre le profil d'un coeur classique 1, symétrique,
représenté en traits mixtes et le profil du coeur 32 selon l'invention, asymétrique.
Le coeur 32 présente une pointe 38, et deux épaules 40 et 42. Le coeur 32 selon l'invention
étant asymétrique, il présente une moitié gauche 44G et une moitié droite 44D de courbure
différente de celle de la moitié gauche 44G. De même, on observe que la pointe 38
est différente de celle du coeur classique 1, car elle présente un bord rectiligne
46 à gauche et un bord concave 48 à droite.
[0021] Il est à noter que les termes droite et gauche, sont utilisés en référence à la figure
6, dans laquelle la came 32 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre sous l'action
de la force motrice précitée. En conséquence, le bord concave 48 se trouve en avant
lors du mouvement de rotation du premier mobile 24 et le bord rectiligne 46 se trouve
vers l'arrière.
[0022] Comme illustré en figure 5, la pointe 38 du coeur 32 engrène avec la denture du second
mobile 34, qui est ici une roue intermédiaire. En d'autres termes, cette pointe 38
fait partie du profil de la came 32 et sert de moyen d'engrènement pour faire avancer
le second mobile 34.
[0023] La figure 7 montre que ce second mobile peut se déplacer axialement pour pouvoir
être amené hors du plan de la came 32 sous l'action d'une lame 50 qui peut le soulever
pendant que le marteau 36 agit sur la came 32. Dans ce mode de réalisation, le second
mobile 34 engrène à son tour avec un troisième mobile 52 comportant un axe 54 sur
lequel sont calés une roue 56 et une came 58. On trouvera dans la demande de brevet
no 01261/90-7 de la demanderesse une description plus précise de ces éléments.
[0024] Dans le cas où le mécanisme décrit est utilisé dans un chronographe, le premier mobile
24 est par exemple un compteur de secondes, tandis que le troisième mobile 52 est
un compteur de minutes. Le rapport de réduction entre les deux compteurs est alors
de 60 : 1.
[0025] Le fonctionnement du mécanisme va maintenant être décrit en référence aux figures
5 et 7.
[0026] Lorsque la force motrice est appliquée à la roue 30, celle-ci tourne dans le sens
des aiguilles d'une montre (flèche F'), entraînant l'aiguille 59 (représentée uniquement
en figure 5) qui est couplée à l'axe 26. La roue 30 entraîne également en rotation
le second mobile 34.
[0027] Afin de faciliter la description, deux des dents 60 du second mobile 34 ont été référencées
60a et 60b. A chaque tour du premier mobile 24, le bord d'attaque concave 48 de la
pointe 38 vient en prise avec l'une des dents 60 du second mobile 34, par exemple
et comme représenté en figure 5, la dent 60a. La pointe 38 du coeur 32 fait donc avancer
la dent 60a d'un demi-pas dans le sens inverse des aiguilles d'une montre jusqu'à
une position située entre les positions d'origine des dents 60a et 60b (représentée
en traits pointillés).
[0028] Lors du mouvement du second mobile 34, le troisième mobile 52 est également entraîné
en rotation et la roue 56 se déplace d'un demi-pas dans le sens de la flèche F'. Or
cette roue 56 est positionnée par un sautoir 57 qui se trouve en position stable uniquement
lorsque son extrémité est placée entre deux dents, de ladite roue dentée 56. Ce sautoir
57 se trouvant alors en position instable va donc entraîner le déplacement de la roue
56 d'un demi-pas supplémentaire dans le sens F' pour revenir à sa position stable.
Cette rotation de la roue 56 entraîne également le déplacement d'un demi- pas du mobile
34. La dent 60a prend alors la position initiale de la dent 60b.
[0029] En d'autres termes on peut considérer que chaque rotation d'un tour du premier mobile
24 entraîne une rotation du second mobile 34 de deux demi-pas, le déplacement d'un
premier demi-pas étant effectué par le coeur 32 et celui du second demi-pas par l'intermédiaire
du sautoir 57. On notera que le profil de la pointe 38 de la came 32 s'adapte parfaitement
à celui de l'extrémité de la dent 60, garantissant ainsi un bon entraînement.
[0030] Quand la position finale des mobiles est atteinte (dans le cas des chronographes,
quand le temps à mesurer est écoulé) les mouvements décrits ci-dessus sont arrêtés
et l'aiguille 59 indiquant la position du premier mobile 24 permet de lire le temps
écoulé depuis la mise en marche.
[0031] On procéde alors à la remise à la position initiale du premier mobile 24, grâce au
marteau 36, comme décrit précédemment à propos des figures 3a à 3d. On notera toutefois
que le premier mobile 24 peut être ramené dans sa position initiale aussi bien par
une rotation dans le sens des aiguilles d'une montre que par une rotation dans le
sens inverse.
[0032] La figure 8 illustre la remise à la position initiale dans le cas particulier où
le marteau 36 et plus particulièrement sa pointe avant 62, rencontre le bord concave
48 de la pointe 38 du coeur 32.
[0033] Si l'on considère que F₁ représente la force appliquée par le marteau 36 perpendiculairement
à la surface du bord concave 48 et que d₁ est la distance de l'axe 64 de rotation
du mobile 24 à la normale de F₁, le moment M₁ exercé par le marteau 36 sur le coeur
32 est égale à F₁ x d₁. De même, si l'on admet que F₂ représente la force exercée
par le marteau 36 perpendiculairement au bord de la pointe d'un coeur classique 1
(représenté en traits mixtes) et que d₂ est la distance de l'axe 64 à la normale de
F₂, on constate que le moment M₂ égal à F₂
x d₂ est inférieur au moment M₁.
[0034] La forme particulière de la pointe 38 du coeur 32, améliore donc la remise à la position
initiale du mobile. On notera que ce dernier pivote alors dans le sens inverse des
aiguilles d'une montre (sens flèche F'').
[0035] La figure 9 illustre le cas particulier où le marteau 36 rencontre la pointe 38 du
coeur 32. Dans ce cas, le moment M₁ est seulement légèrement supérieur au moment M₂
mais il en résulte néanmoins une légère amélioration de la remise à la position initiale.
On notera que dans ce cas le mobile 24 est entraîné dans le sens des aiguilles d'une
montre (sens F').
[0036] Selon un autre mode de réalisation, la pointe 22 du coeur 20B pourrait avoir deux
bords concaves 48 (voir figure 10).
1. Mécanisme d'engrenage comprenant un premier mobile (24) rotatif et au moins un second
mobile (34) rotatif, ledit premier mobile (24) étant destiné à être amené grâce à
une force motrice, dans une position finale, à partir d'une position initiale, ledit
premier mobile (24) comprenant une roue dentée (30) à laquelle peut être appliquée
ladite force motrice, cette roue dentée (30) étant montée sur un axe (26), une came
(32) qui en est solidaire en rotation, ainsi que des moyens d'engrènement destinés
à être en prise avec ledit second mobile (34) pour le faire avancer avec un rapport
de réduction prédéterminé par rapport audit premier mobile (24), le mécanisme d'engrenage
comprenant également des moyens (36) coopérant avec ladite came (32) pour ramener
ledit premier mobile dans sa position initiale, caractérisé en ce que lesdits moyens
d'engrènement destinés à être en prise avec le second mobile (34) font partie du profil
de ladite came (32).
2. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 1, dans lequel la came (32) à une forme
de coeur, caractérisé en ce que les moyens d'engrènement destinés à être en prise
avec le seconde mobile (34) sont constitués par la pointe (38) de ladite came (32).
3. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 2, caractérisé en ce que ladite pointe
(38) de la came (32) présente au moins un bord concave (48).
4. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 3, caractérisé en ce que le bord concave
(48) est prévu du côté de la pointe (38) qui se trouve en avant par rapport au mouvement
qu'effectue le premier mobile (24) sous l'action de la force motrice.
5. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 4, caractérisé en ce que ladite pointe
(38) présente un bord concave (48) et un bord rectiligne (46) prévu du côté de la
pointe (38) qui se trouve en arrière par rapport au mouvement qu'effectue ledit premier
mobile (24) sous l'action de ladite force motrice.
6. Mécanisme d'engrenage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que ledit second mobile (34) est monté mobile axialement hors du plan de ladite
came (32) pour permettre de le découpler de celle-ci lorsque ledit premier mobile
(24) est ramené dans sa position initiale.
7. Mécanisme d'engrenage selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce qu'un organe indicateur de position est solidaire en rotation dudit premier
mobile (24).
8. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 7, caractérisé en ce que l'organe indicateur
de position est une aiguille (59).
9. Mécanisme d'engrenage selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens coopérant
avec ladite came (32) pour ramener ledit premier mobile dans sa position initiale
comprennent un marteau (36).
10. Pièce d'horlogerie, notamment chronographe, comportant au moins un mécanisme d'engrenage
suivant l'une quelconque des revendications précédentes.