[0001] L'invention concerne un élément avant de fixation de ski, qui est destinée à retenir
l'extrémité d'une chaussure en appui sur un ski, et à libérer cette extrémité lorsqu'elle
exerce sur l'élément de fixation une sollicitation excessive.
[0002] Les éléments avant de fixation de ski qui sont actuellement connus comprennent, habituellement,
une embase qui est destinée à étre solidarisée au ski, un corps qui est porté par
cette embase, dans lequel est logé généralement un mécanisme de rappel élastique.
Le corps porte lui-même un organe de retenue, qui, le plus souvent, est constitué
par une butée verticale ou serresemelle qui retient l'extrémité de chaussure verticalement,
et deux ailes latérales qui retiennent l'extrémité de chaussure latéralement. Les
sollicitations de la chaussure sont transmises au dispositif de rappel élastique par
l'intermédiaire de l'organe de retenue.
[0003] Parmi les éléments de fixation actuellement connus, l'invention concerne plus particulièrement
ceux qui présentent un corps mobile verticalement, mais pas latéralement, le corps
étant relié à l'embase dans la partie avant de la fixation.
[0004] Une telle fixation est par exemple connue, d'après la demande de brevet français
publiée sous le n° 2 640 516. Cette fixation présente un corps mobile verticalement
par rapport à l'embase, contre la force de rappel d'un dispositif élastique qui est
logé à l'intérieur du corps. Une zone élastiquement déformable, située dans la partie
avant de l'élément de fixation, relie de façon continue le corps à l'embase. Pour
cette fixation, les ailes sont articulées par rapport au corps, et elles sont mobiles
latéralement contre la force de rappel d'un ressort d'énergie. Les moyens qui assurent
le rappel vertical du corps comprennent une tige verticale, qui est connectée sur
un basculeur articulé. Le basculeur présente lui-même une branche qui est en appui
contre un piston. C'est par l'intermédiaire de ce piston que le ressort d'énergie
est sollicité par l'élévation verticale du corps, ou bien par l'ouverture latérale
des ailes. Le corps est donc mobile verticalement en réponse à une sollicitation verticale
de la chaussure, contre la force de rappel du ressort qui lui est transmise par le
basculeur et la tige.
[0005] L'élévation du corps permet ou bien une adaptation automatique de l'élément de fixation
à l'épaisseur de la semelle, ou bien permet de faciliter la libération de la chaussure
en cas de chute vers l'arrière du skieur.
[0006] Cette construction donne de bons résultats, mais sa mise en oeuvre nécessite plusieurs
pièces mécaniques, réalisées avec des tolérances relativement strictes.
[0007] Un autre but de l'invention est d'adjoindre un moyen élastique de rappel vertical
du corps qui s'intègre aisément à l'élément de fixation, c'est-à-dire un moyen dont
la nature et l'encombrement lui permettent d'exercer la fonction recherchée, c'est-à-dire
le rappel du corps, sans perturber le fonctionnement de l'élément de fixation et sans
nécessiter de transformations importantes de l'élément.
[0008] Un des buts de la présente invention est de proposer un élément de fixation de ce
type, dans lequel le rappel élastique du corps, selon une direction verticale, est
assuré par un dispositif plus simple et donc plus économique à fabriquer.
[0009] D'autres buts et avantages de l'invention apparaîtront au cours de la description
qui va suivre, cette description étant toutefois donnée à titre indicatif et non limitatif.
[0010] L'élément avant de fixation de ski comprend une embase par laquelle l'élément est
assemblé au ski. Il comprend par ailleurs un corps mobile par rapport à l'embase,
parallèlement au plan vertical et longitudinal médian du ski. Le corps porte un organe
de retenué de l'extrémité de la chaussure, qui est constitué par un serre-semelle
relié de façon solidaire au corps pour un mouvement vertical, et de deux ailes latérales
mobiles par rapport au corps contre la force de rappel d'un dispositif d'énergie qui
est logé dans le corps ou l'embase. Le corps et l'embase sont reliés l'un à l'autre
dans leur parties antérieures, de façon à permettre un basculement du corps parallèlement
au plan vertical et longitudinal médian du ski, en réponse à une sollicitation verticale
de la chaussure sur le serre-semelle.
[0011] Il est caractérisé par le fait qu'un moyen de rappel élastique indépendant du dispositif
de rappel élastique qui rappelle les ailes, relie la partie arrière du corps à l'embase,
et rappelle élastiquement la partie arrière du corps en direction de l'embase.
[0012] L'invention sera mieux comprise en se référant à la description ci-dessous, ainsi
qu'aux dessins en annexe qui en font partie intégrante.
[0013] La figure 1 représente en vue de côté, et en coupe un élément avant de fixation,
selon une mise en oeuvre non limitative de l'invention.
[0014] La figure 2 est une vue en coupe II-II du dispositif représenté dans la figure 1.
[0015] La figure 3 est une vue en coupe par un plan III-III du dispositif de la figure 1.
[0016] La figure 4 représente en perspective un moyen de rappel élastique du corps vers
l'embase, selon un mode non limitatif de mise en oeuvre de l'invention. La figure
4a correspond à une variante de réalisation de ce moyen de rappel élastique.
[0017] La figure 5 est une variante de réalisation du dispositif de la figure 4.
[0018] La figure 6 illustre une variante de réalisation de l'élément de fixation représenté
en figure 1.
[0019] La figure 7 illustre une autre variante de réalisation du moyen de rappel élastique
du corps.
[0020] La figure 8 représente en perspective le moyen de rappel élastique du dispositif
représenté en figure 7.
[0021] Les figures 1 à 3 représentent un élément de fixation 1 qui est assemblé sur un ski
2. L'élément de fixation 1 représenté présente de nombreuses caractéristiques semblables
à celles qui ont déjà été décrites dans la demande de brevet français n° 2 640 516
au nom de la demanderesse.
[0022] Notamment, l'élément de fixation 1 présente une embase 3 par lequel l'élément de
fixation est assemblé au ski par tout moyen approprié, et par exemple par des vis
4. L'embase 3 se prolonge vers l'arrière par une plaque d'appui 5 sur laquelle repose
l'extrémité avant de la chaussure lors de la pratique du ski. Vue de dessus, l'embase
3 présente une forme de U ouvert en direction de l'arrière, ce qui crée dans sa partie
centrale un évidement 6.
[0023] L'élément de fixation 1 comprend par ailleurs un corps 8, qui est relié à l'embase
3 par une zone élastiquement déformable 10. Cette zone 10 relie de façon continue
le corps 8 et l'embase 3, de telle façon que ces trois éléments ne forment en fait
qu'une seule pièce monobloc. Dans la représentation adoptée, cette zone est située
dans la partie avant de l'élément de fixation.
[0024] Dans la partie inférieure du corps se trouve un plot 11, muni de préférence d'une
garniture périphérique 12. Le plot 11 s'étend verticalement en direction de l'embase,
où il se trouve engagé entre les deux jambes latérales du U. Latéralement, le plot
présente une dimension qui correspond sensiblement à la largeur de l'évidement 6.
Le plot 11 guide le corps 8 par rapport à l'embase 3 lors de ses mouvements verticaux.
[0025] La zone élastiquement déformable 10, en coopération avec le plot 11, permet un basculement
du corps 8, parallèlement au plan vertical et longitudinal médian du ski, c'est-à-dire
le plan de la figure 1. Toutefois, ce mode de liaison entre le corps et l'embase n'est
pas limitatif, tout autre moyen approprié pourrait en effet convenir, notamment une
articulation par l'intermédiaire d'un axe transversal situé entre le corps et l'embase,
ou bien la coopération de formes en saillie et en relief du corps et de l'embase,
qui créent un axe de rotation du corps par rapport à l'embase. Un élément de fixation
de ce type est par exemple décrit dans la demande de brevet français n° 2 642 656
au nom de la demanderesse.
[0026] Dans sa partie arrière, le corps 8 porte un organe de retenue 15. L'organe de retenue
est destiné à retenir l'extrémité de la chaussure en appui sur le ski, et donc, à
s'opposer, aux sollicitations de la chaussure qui présentent une direction verticale
vers le haut, latérale, ou longitudinale vers l'avant. L'organe de retenue 15 comprend
en particulier un serre-semelle 16, qui offre à l'embout avant de la chaussure, une
surface d'appui horizontale assurant la retenue verticale de celle-ci. Dans l'exemple
représenté, le serre-semelle 16 est une pièce rapportée, qui est assemblée au corps
par la coopération de formes correspondantes et par une goupille schématisée en 17.
[0027] L'organe de retenue 15 comprend, par ailleurs, deux ailes de retenue latérale 20
et 21, qui sont articulées par rapport au corps autour d'un axe approximativement
vertical 22 et 23. Les ailes présentent, au-delà des axes 22 et 23, un petit bras
dont l'extrémité est en appui sur un piston 25, ce piston étant guidé à l'intérieur
du corps 8 pour un déplacement selon une direction longitudinale. Le mouvement du
piston 25, qui a lieu lors de la sollicitation à l'ouverture de l'une des ailes, se
fait contre la force de rappel élastique d'un ressort 26. La précontrainte du ressort
peut être réglée d'une manière connue au moyen d'une vis 27.
[0028] Ainsi, les sollicitations latérales de la chaussure sur l'organe de retenue 15 sont
transmises au ressort 26, et selon leur intensité, l'une des ailes s'ouvre jusqu'à
permettre la libération de l'extrémité de chaussure.
[0029] Par contre, les sollicitations verticales vers le haut sont captées par le serre-semelle
16. Ce serre-semelle étant solidaire du corps 8, ces sollicitations tendent à élever
le corps 8, c'est-à-dire à faire basculer le corps 8 par rapport à la zone élastiquement
déformable 10.
[0030] Selon l'invention, un moyen de rappel élastique relie la partie arrière du corps
à l'embase, pour s'opposer élastiquement à de tels mouvements. Ce moyen de rappel
élastique est indépendant du moyen d'énergie qui assure le rappel élastique des ailes
latérales 20 et 21, c'est-à-dire, le ressort 26.
[0031] Dans le mode de réalisation des figures 1 à 3, le moyen de rappel élastique vertical
du corps est un ressort à boudin 30, qui est plus facilement visible dans la figure
4. Le ressort à boudin 30 est logé en partie dans l'évidement 6 de l'embase 3, et
en partie dans un évidement du corps situé en arrière du plot 11.
[0032] En se référant à cette figure, le ressort présente deux enroulements latéraux symétriques
31 et 32, qui sont reliés entre eux par une partie centrale horizontale et surélevée
33 qui, de préférence, est décalée sensiblement vers l'arrière par rapport aux enroulements
31 et 32. Cette partie centrale 33 est destinée à s'emboiter dans la partie inférieure
d'un prolongement 34 vers le bas du serre-semelle 16, qui présente une forme de crochet
36. Ainsi, cette partie centrale 33 est reliée au corps par l'intermédiaire du serre-semelle
16 pour tous les mouvements verticaux, en particulier ceux vers le haut. Les dimensions
en coupe du prolongement 34 sont prévues pour supporter au moins la force maximale
de rappel développée par le ressort 30.
[0033] Les extrémités libres du ressort 30 sont par ailleurs pourvues de moyens d'accrochage
à l'embase. Ces moyens sont représentés sous la forme d'une extrémité coudée latéralement
vers l'extérieur 37, 38. Les extrémités 37 et 38 sont engagées dans des logements
39, 40 que l'embase présente dans ses deux branches latérales pour recevoir ces extrémités.
L'embase 3 assure la reprise des efforts de rappel des ressorts que les mouvements
verticaux du corps 8 engendrent.
[0034] En variante, la figure 4a représente une extrémité 37a qui se prolonge par un segment
coudé s'étendant longitudinalement vers l'arrière. Les logements de l'embase ont alors
une forme correspondante pour recevoir ces extrémités doublement coudées. Ceci répartit
sur une plus grande longueur de l'embase les efforts que les extrémités du ressort
30 transmettent à l'embase. En outre, l'énergie de rappel du ressort est développée
non seulement par la déformation des spires, mais aussi par la torsion des extrémités
37a.
[0035] Le nombre de spires de chaque enroulement 31 et 32 n'est pas limitatif. Il est de
un tour et demi environ dans l'exemple représenté.
[0036] D'après ce qui précède, on comprend que les mouvements verticaux du corps vers le
haut sollicitent chaque enroulement 31 et 32 du ressort 30 à l'extension, autrement
dit au déroulement.
[0037] La figure 5 représente une variante de réalisation, selon laquelle le ressort 40
travaille de manière inverse, c'est-à-dire à l'enroulement. Ce ressort présente des
enroulements 41 et 42 de sens opposés aux enroulements 31 et 32. Il présente, par
ailleurs, une partie centrale 43, et des extrémités libres 47 et 48 semblables aux
éléments 33, 37 et 38 du ressort 30.
[0038] La figure 6 présente une autre variante selon laquelle le ressort 50 présente des
enroulements dont le sens est semblable à celui du ressort 30. Par contre, la partie
centrale 53 est largement décalée vers le haut par rapport aux enroulements, pour
s'accrocher au corps, dans la partie supérieure de celui-ci, dans un logement 54 qui
est situé approximativement à la hauteur de la surface horizontale du serre-semelle.
[0039] Le fonctionnement du dispositif qui vient d'être décrit est le suivant. Lors de la
pratique du ski, la chaussure soumet l'élément de fixation avant à des sollicitations,
en particulier à des sollicitations verticales vers le haut. Ces sollicitations sont
transmises au corps 8, par l'intermédiaire du serre-semelle, et provoquent le basculement
vers le haut du corps autour de la zone élastiquement déformable 10, à la fois contre
la force de rappel élastique, ou le moment de rappel élastique qui est engendré par
cette zone, et la force de rappel élastique qui est développée par le ressort 30,
40 ou 50. Il faut, en outre, souligner que cette dernière force de rappel élastique
est indépendante du ressort d'énergie 26, et donc du réglage du ressort 26 pour le
mouvement d'ouverture latérale des ailes.
[0040] La figure 7 représente une variante de réalisation de l'invention selon laquelle
le moyen de rappel élastique du corps est un ressort 60 qui travaille principalement
à la torsion.
[0041] L'élément de fixation représenté en figure 7 est par ailleurs semblable à celui qui
a été décrit relativement aux figures 1 à 3. Il ne sera donc pas décrit en détail.
[0042] Le ressort 70 est visible en perspective dans la figure 8. Il présente une partie
centrale horizontale et surélevée 63 qui est logée dans la partie inférieure en forme
de crochet 66 d'un élément rapporté identique au serre-semelle 16 de la figure 1.
[0043] De chaque côté de la partie centrale 63, le ressort 60 présente une partie doublement
coudée 61, 62, les deux parties étant symétriques l'une par rapport à l'autre.
[0044] Chaque partie doublement coudée 61, 62 présente un segment longitudinal 61a, 62a,
un segment de torsion 61b, 92b orienté transversalement et un segment d'extrémité
longitudinal 61c, 62c.
[0045] Les segments d'extrémité 61c, 62c et une partie des segments de torsion 61b, 62b
sont encastrés dans des logements 64 et 65 des deux branches latérales de l'embase
67.
[0046] Le ressort 60 relie ainsi le corps par l'intermédiaire du crochet 66, à l'embase
3 par l'intermédiaire des logements 64 et 65.
[0047] Les mouvements verticaux du corps sollicitent principalement le ressort 60 à la torsion
au niveau des segments de torsion transversaux 61b et 62b. Comme dans les cas précédents,
le ressort 60 assure le rappel élastique du corps en direction de l'embase, et la
force de rappel qu'il développe est indépendante de la force de rappel du ressort
d'énergie qui rappelle les ailes.
[0048] Naturellement, la présente description n'est donnée qu'à titre indicatif, et on pourrait
adopter d'autres mises en oeuvre de l'invention sans pour autant sortir du cadre de
celle-ci.
[0049] En particulier, le ressort 26 et le piston 25 pourraient être placés et guidés dans
un logement de l'embase, au lieu d'un logement du corps.
[0050] De même, le serre-semelle pourrait être constitué par la partie supérieure des ailes
de retenues. Les ailes étant articulées par rapport au corps autour d'axes approximativement
verticaux, elles transmettent directement au corps les efforts verticaux auxquels
la chaussure les soumet.
[0051] Enfin, le ressort pourrait être remplacé par un autre moyen de rappel élastique,
par exemple un dispositif amortisseur.
1. Elément avant de fixation de ski, destinée à retenir l'extrémité d'une chaussure
en appui sur un ski, et à libérer cette extrémité lorsqu'elle soumet l'élément de
fixation à une sollicitation excessive,
comprenant une embase (3) par laquelle l'élément est assemblé au ski,
comprenant par ailleurs un corps (8) mobile par rapport à l'embase (3) parallèlement
à un plan vertical et longitudinal médian du ski, le corps portant un organe de retenue
(15) de l'extrémité de la chaussure,
l'organe de retenue étant constitué par un serre-semelle (16) relié de façon solidaire
au corps (8) pour un mouvement vertical, et de deux ailes latérales (21,22) mobiles
par rapport au corps contre la force de rappel d'un dispositif d'énergie (25,26),
le corps (8) et l'embase (3) étant reliés l'un à l'autre, dans leur partie antérieure,
de façon à permettre un basculement du corps (8) parallèlement au plan vertical et
longitudinal médian du ski, en réponse à une sollicitation verticale de la chaussure
exercée sur le serre-semelle (16),
caractérisé par le fait qu'un moyen de rappel élastique (30,40,50,60), indépendant
du dispositif de rappel élastique qui rappelle les ailes de l'organe de retenue, relie
le corps (8) à l'embase (3) et rappelle élastiquement la partie arrière du corps en
direction de l'embase.
2. Elément selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le moyen de rappel
élastique (30,40,50) est un ressort à boudin dont une partie (37,38,47,48) est reliée
à l'embase, et une autre partie (33,43,53) est reliée au corps.
3. Elément selon la revendication 2, caractérisé par le fait qu'un prolongement vertical
(34) solidaire de la partie arrière du corps (8) descend en direction de l'embase
(3), et que le ressort (33,43) relie la partie inférieure (35) du prolongement (34)
à l'embase.
4. Elément selon la revendication 3, caractérisé par le fait que le serre-semelle (16)
est une pièce rapportée au corps (8), et que le prolongement vertical (34) constitue
une pièce monobloc avec le serre-semelle (16).
6. Elément selon la revendication 2, caractérisé par le fait que le moyen de rappel
élastique est un ressort à boudin (33) dont l'extension provoque le déroulement des
enroulements (31,32).
7. Elément selon la revendication 2, caractérisé par le fait que le moyen de rappel
élastique est un ressort à boudin (43) dont l'extension provoque l'enroulement des
enroulements (41,42).
8. Elément selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé par le
fait que le moyen de rappel élastique (30,40,50) est logé en partie dans l'embase
(3) et en partie dans le corps (8).
9. Elément selon la revendication 1, caractérisé par le fait que le moyen de rappel
élastique est un ressort (60) travaillant principalement à la torsion.