(19)
(11) EP 0 553 044 A1

(12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

(43) Date de publication:
28.07.1993  Bulletin  1993/30

(21) Numéro de dépôt: 93420031.2

(22) Date de dépôt:  22.01.1993
(51) Int. Cl.5E05B 9/10
(84) Etats contractants désignés:
AT BE CH DE ES GB IT LI LU NL PT

(30) Priorité: 24.01.1992 FR 9200968

(71) Demandeur: HF SECURITE
F-74300 Thyez (FR)

(72) Inventeurs:
  • Meynet Cordonnier, Bernard
    F-74970 Marignier (FR)
  • Avocat-Gros, Christophe
    F-74300 Cluses (FR)
  • Moratille, Alain
    F-74130 Bonneville (FR)

(74) Mandataire: Ropital-Bonvarlet, Claude et al
Cabinet BEAU DE LOMENIE 51, avenue Jean-Jaurès B.P. 7073
69301 Lyon Cédex 07
69301 Lyon Cédex 07 (FR)


(56) Documents cités: : 
   
       


    (54) Serrure à barillets tournants et à double entrée


    (57) 
    • Serrurerie.
    • La serrure est constituée par :

      . une poutre rectiligne résistante (32),

      . deux coquilles (6a) adaptées sur les parties terminales de la poutre et délimitant, deux logements cylindriques, coaxiaux, ouverts,

      . deux douilles (7a, 7b) montées dans les logements et contenant les barillets (17a, 17b) liés par l'entraîneur (23),

      . et des moyens de liaison angulaire et axiale entre la poutre, les coquilles et les douilles.

    • Application aux serrures à barillets à double entrée.





    Description


    [0001] La présente invention est relative au domaine de la serrurerie et elle concerne, plus particulièrement, les serrures du type à canons ou cylindres doubles comportant un seul organe de condamnation qui peut être commandé à partir de l'une ou l'autre face d'un panneau mobile, tel qu'une porte, sur lequel ladite serrure est montée.

    [0002] De telles serrures sont largement connues et comportent deux cylindres contenant deux barillets délimitant chacun un canal d'entrée dans lequel sont disposés des organes mobiles dont il convient, par l'intermédiaire d'une clé, d'assurer l'alignement pour libérer la rotation du barillet par rapport au cylindre. De tels organes mobiles peuvent être des pistons, des pompes et contre-pompes, des paillettes ou d'autres organes analogues associés à des ressorts et bien connus dans la technique.

    [0003] Pour réaliser de telles serrures, il est habituel d'utiliser un corps en tout matériau approprié, généralement en un alliage métallique. Le corps comporte une partie cylindrique pour la réception des barillets et une partie de prolongement radial ou queue qui est, le plus souvent, réservée à la mise en place des pistons ou analogues.

    [0004] Un tel corps est, le plus souvent, produit par usinage pour ce qui concerne les logements cylindriques des barillets, lesquels sont coaxiaux et séparés par un dégagement réservé au passage de l'organe de verrouillage commun.

    [0005] Une telle méthode de réalisation, pouvant être qualifiée de traditionnelle, a été utilisée depuis de nombreuses années mais connaît, actuellement, une limite, en raison de son coût de production. Il est, en effet, nécessaire de recourir à un profilé plein qu'il faut largement usiner, ce qui représente une perte inutile de matière première, généralement coûteuse. Il est, par ailleurs, nécessaire d'exécuter un certain nombre d'opérations d'usinage par reprise, qui accroissent le coût de production.

    [0006] Pour tenter de réduire un tel coût, il peut être considéré une proposition formulée, notamment, par le brevet GB 1 581 095 qui préconise de réaliser deux demi-corps comportant chacun un cylindre prolongé par une queue réunie à celle du corps homologue par une clavette goupillée.

    [0007] Une telle proposition permet certainement de réduire le coût de fabrication, étant donné que le profilé initial à usiner est limité à la constitution d'un demi-corps, de sorte que les opérations d'usinage sont moins nombreuses et plus faciles à exécuter.

    [0008] Une telle proposition souffre, toutefois, d'un inconvénient certain tenant à la résistance mécanique relative qui est offerte, notamment cas d'effraction, par la liaison entre les demi-corps au moyen d'une clavette goupillée.

    [0009] Une autre proposition pouvant être retenue est celle fournie par le brevet FR 2 425 522 (79-11 862), selon lequel le corps de serrure est constitué par un empilage d'une série de flasques, sensiblement identiques, qui sont fortement fixés les uns aux autres, par soudage ou brasage fort, avec éventuellement intégration d'une clavette dans la partie queue du profil et parallèlement à la partie cylindre.

    [0010] Une telle méthode de fabrication supprime, pour partie, les opérations d'usinage délicates, étant donné que la définition des cylindres et des logements internes à ces derniers est déterminée par tranche au niveau de chaque flasque.

    [0011] Si une partie des objectifs est ainsi atteinte, en revanche, un tel procédé de fabrication implique des opérations de liaison délicates à conduire pour éviter de soumettre l'empilage de flasques à des déformations permanentes non maîtrisées qui autrement impliquent de recourir obligatoirement à un usinage de reprise pour que tous les organes mobiles, constitutifs d'une serrure d'un tel modèle, puissent jouer, avec intéraction mutuelle, de façon libre.

    [0012] Par ailleurs, une telle méthode de construction doit aussi être considérée comme réservant un coût de production non négligeable, même si les différents flasques peuvent être obtenus par une opération d'emboutissage-découpage répétitive. En effet, il est nécessaire de disposer de montages spéciaux pour assurer un empilage indexé et aligné des différents flasques préalablement à la seconde opération de liaison mutuelle qui doit être conduite, également, de façon précise.

    [0013] Il faut noter enfin que les propositions ci-dessus ne sont pas à même de répondre aux exigences nouvelles de résistance aux tentatives d'effraction qui sont commises en soumettant l'un ou l'autre des barillets à une action de rotation forcée, avec ou sans action d'arrachement axial, afin de provoquer une extraction destructrice libérant la rotation de l'organe de verrouillage condamnant l'ouverture.

    [0014] En effet, dans ces propositions, les barillets sont disposés de façon conventionnelle et n'offrent donc pas de résistance compatible avec les niveaux exigés des nouvelles normes de sécurité actuelles.

    [0015] La présente invention a pour objet de remédier aux inconvénients ci-dessus en proposant une nouvelle technique de construction d'une serrure à cylindre, à barillet tournant et à double entrée, permettant de faciliter les opérations d'usinage, de réduire le coût de ces dernières et de conduire à un ensemble fonctionnel offrant une meilleure résistance aux efforts de traction et/ou rotation imposés aux barillets contenus dans les cylindres.

    [0016] Pour atteindre les objectifs ci-dessus, la serrure à barillets tournants conforme à l'invention est caractérisée en ce que le corps est constitué par :
    • une poutre rectiligne résistante,
    • deux coquilles qui sont adaptées sur les parties terminales de la poutre, qui délimitent, parallèlement à cette dernière, deux logements cylindriques coaxiaux, ouverts et qui ménagent entre elles un dégagement,
    • deux douilles montées dans les logements, offrant chacune une ouverture d'entrée sur la face correspondante transversale extrême de la coquille et contenant les barillets liés par un entraîneur,
    • et des moyens de liaison angulaire et axiale entre la poutre, les coquilles et les douilles.


    [0017] Diverses autres caractéristiques ressortent de la description faite ci-dessous en référence aux dessins annexés qui montrent, à titre d'exemples non limitatifs, des formes de réalisation de l'objet de l'invention.

    [0018] La fig. 1. est une coupe-élévation d'une serrure conforme à l'invention.

    [0019] La fig. 2 est une coupe transversale prise selon la ligne II-II de la fig. 1.

    [0020] La fig. 3 est une vue en perspective montrant, plus en détail, la conformation de l'un des éléments constitutifs de la serrure.

    [0021] Les fig. 4 et 5 sont des vues analogues aux fig. 1 et 2, mais correspondant à une variante de réalisation de l'objet de l'invention.

    [0022] Selon le premier exemple de réalisation illustré par les fig. 1 à 3, la serrure à deux cylindres et à double entrée est constituée par deux sous-ensembles 1a et 1b qui sont symétriques par rapport à un plan P-P' considéré comme transversal à l'axe de symétrie x-x' des ensembles 1. En raison du caractère de symétrie, la description qui suit n'est faite qu'en relation avec l'un des sous-ensembles, tel que le sous-ensemble 1a, étant entendu que les mêmes références, affectées de l'indice b, désignent les mêmes éléments constitutifs du sous-ensemble 1b.

    [0023] Le sous-ensemble la comprend une coquille 2a délimitant un cylindre 3a qui est ouvert à ses deux extrémités et dont l'axe coïncide avec l'axe x-x'. La coquille 2a est prolongée, à partir de sa face extérieure, par une barrette radiale 4a qui s'étend au-delà de la coquille 2a en définissant, par sa face tournée vers l'axe x-x', un segment 5a de paroi concave centré sur l'axe x-x' et matérialisant un prolongement de la surface périphérique extérieure de la coquille 2a.

    [0024] Le cylindre 3a est occupé par la partie décolletée 6a d'une douille 7a cylindrique, tubulaire, qui est centrée ou indexée dans la coquille, par l'intermédiaire d'une goupille 8a engagée dans un trou 9a de la barrette 4a pour faire saillie en partie à l'intérieur d'une encoche ouverte 10a présentée par la douille 7a à partir de son bord transversal opposé à la coquille 2a. La position d'engagement axial de la douille 7a à l'intérieur du cylindre 3a est déterminée par un épaulement 11a formé dans la zone frontière de la partie décolletée 6a et destiné à coopérer avec le bord correspondant 12a de la douille 2a. L'immobilisation axiale est aussi conférée par une seconde référence formée par un épaulement 13a prenant appui contre un rebord de butée 14a qui est présenté par la paroi périphérique du cylindre 3a, dans le plan de la façade 15a de la coquille 2a.

    [0025] La douille 7a définit un logement cylindrique 16a qui est réservé au montage d'un mécanisme de condamnation 17a constitué par un barillet contenant intérieurement des organes mobiles 18a, généralement associés à des organes élastiques de rappel et délimitant un fouillot 19a d'engagement d'une clé dont le profil correspond aux caractéristiques structurelles et dimensionnelles du mécanisme. Le fouillot 19a est ménagé en coïncidence d'une ouverture de façade ou d'entrée 20a s'ouvrant sur la face 15a.

    [0026] Dans le cas présent, les organes mobiles 18a sont constitués par des pompes à coulissement axial dont les longueurs sont déterminées, en fonction d'un codage dimensionnel, en relation avec des ailettes axiales présentées par la clé. De la sorte des crans, tels que 21a, présentés par les différents éléments mobiles 18a, peuvent être amenés simultanément en relation avec un foncet ou analogue 22a présentant des découpes d'engagement des pistons pour assurer, à l'état de repos, l'immobilisation angulaire du barillet 17a à l'intérieur du logement cylindrique 16a.

    [0027] Lorsque les différents crans 21a sont en coïncidence avec le plan du foncet, une rotation peut intervenir pour faire tourner un entraîneur 23 qui est commun au barillet 17b. L'entraîneur 23 supporte un panneton 24 immobilisé angulairement et pourvu d'un pêne 25 constituant l'organe de verrouillage de la serrure. Le panneton 24 est monté entre deux bagues de centrage 26a et 26b, fermant les extrémités ouvertes correspondantes des douilles 7a et 7b et chargées de délimiter entre elles et en alignement avec les faces correspondantes des barrettes 4a et 4b, un dégagement 27 dans lequel peut tourner le pêne 25. Les bagues de fermeture et de centrage 26a et 26b assurent l'immobilisation des barillets 17a et 17b contre les fouillots 19a et 19b des douilles 7a et 7b.

    [0028] Dans certains cas, chaque sous-ensemble 1 peut comporter en plus un système de verrouillage annexe 28a s'étendant selon une direction radiale dans la barrette 4 et à travers la douille 6a et le barillet. Le système 28a comprend un dé 29a traversant et en partie engagé dans le barillet. Le dé 29a est sollicité, par un ressort 30a, pour pousser un pion 31 à travers le barillet pour faire saillie dans le fouillot 19 sur le trajet du talon de la clé de commande. Le système 28a autorise la rotation du barillet 17a lorsque, par suite de l'engagement de la clé, l'interface entre le dé et le pion est alignée avec le cylindre 16a.

    [0029] Il doit être considéré, au sens de l'invention, que des mécanismes de condamnation différant de la description ci-dessus peuvent aussi être montés dans les logements cylindriques 16a et 16b.

    [0030] Au sens de l'invention, et selon une autre disposition caractéristique, les barrettes 4a et 4b des deux coquilles 2a et 2b sont réunies par une poutre 32 qui comporte deux tenons 33a et 33b engagés dans des mortaises ouvertes 34a et 34b présentées par les barrettes 4a et 4b entre le bord 12a de la coquille correspondante et le trou 9a de réception de la goupille 8. La hauteur de chaque tenon 33 est calculée pour que, après engagement, la partie terminale dépasse de la face 5a ou 5b et soit ainsi engagée dans une lumière oblongue 35a, 35b présentée par la douille 7a, 7b et alignée avec la mortaise 34a ou 34b par l'intermédiaire de la goupille d'indexation 8a ou 8b. La hauteur de chaque tenon est aussi calculée, comme cela apparaît à la fig. 2, de manière qu'après engagement complet, la surface transversale extrême ou un méplat 36a ou 36b, que chaque tenon présente, constitue une sorte de tas ou de butée venant fermement prendre appui sous le foncet correspondant 22a ou 22b.

    [0031] La liaison est complétée par la mise en place de goupilles transversales 37a, 37b traversant les barrettes 4a, 4b et les tenons 33a, 33b.

    [0032] Le montage structurel, tel que décrit ci-dessus et représenté aux dessins, permet de constituer la serrure à partir de deux sous-ensembles 1a et 1b qui peuvent être réalisés séparément et aisément par des opérations d'usinage classiques ne nécessitant que des phases de reprise minimales, en raison de l'accessibilité immédiate à chacune des faces transversales, soit de la coquille, soit de la douille, soit de la poutre.

    [0033] Il devient ainsi possible d'usiner, au moindre coût et avec précision, les pièces élémentaires qui sont à même de contenir, pour chaque sous-ensemble, un barillet dont la liaison angulaire est établie par l'intermédiaire du foncet 22.

    [0034] Le montage choisi permet d'établir un appui axial particuliérement résistant de la douille contre la coquille, par l'intermédiaire des épaulements 11a et 13a et par la coopération avec le tenon 33 qui traverse la douille.

    [0035] Un tel montage permet aussi d'établir une liaison angulaire particulièrement résistante, par l'intermédiaire du foncet prenant appui sur le tas 36 que constitue chaque tenon, par l'engagement de ce dernier à l'intérieur de la lumière 35 et par l'intermédiaire de la goupille de centrage-indexation 8.

    [0036] Par ailleurs, la coquille 1 est fermement immobilisée sur la poutre 32 par l'engagement du tenon 33 et par la liaison transversale établie par la goupille 37 de grosse section.

    [0037] La poutre 32, présentant une section de forte épaisseur, établit une liaison particuliérement résistante entre les deux sous-ensembles.

    [0038] De cette manière, les tentatives d'effraction, par rotation forcée et/ou arrachement simultané selon une direction axiale, ont à vaincre des butées angulaires et axiales résistantes, qui confèrent à la serrure des caractéristiques élevées de sécurité par résistance passive.

    [0039] Il peut être avantageux, tel que cela apparaît aux fig. 1 et 3, de prolonger la barrette 4, radialement et en façade de la coquille, par une languette 40a, 40b dont la forme géométrique est choisie pour être égale à la section transversale offerte en bout par la poutre 30. De cette manière, lorsque la serrure à deux cylindres et à double entrées est constituée, la présentation de façade ne fait nullement apparaître la présence de la poutre 30.

    [0040] Une variante de réalisation est illustrée aux fig. 4 et 5 selon lesquelles les tenons 31a et 31b sont constitués par des pièces élémentaires indépendantes qui sont montées, par l'intermédiaire de goupilles transversales 41a, 41b dans des mortaises borgnes 42a et 42b ménagés dans la poutre 30.

    [0041] L'invention n'est pas limitée aux exemples décrits et représentés, car diverses modifications peuvent y être apportées sans sortir de son cadre.


    Revendications

    1 - Serrure à barillets tournants, à double entrée, du type comprenant :

    - un corps de support en deux parties réunies par une poutre rectiligne et délimitant deux cylindres (16) coaxiaux qui présentent, sur les faces transversales du corps, deux ouvertures d'entrée (20) et qui sont séparés, dans la partie sensiblement médiane transversale, par un dégagement (27),

    - deux barillets tournants (17) montés dans les cylindres et pourvus de mécanismes de condamnation accessibles par deux fouillots (19) disposés en coïncidence avec les ouvertures d'entrée pour permettre l'engagement de clés de manoeuvre,

    - un entraîneur commun (23) reliant les deux barillets en traversant le dégagement,

    - et un panneton de verrouillage (24) calé angulairement sur la partie de l'entraîneur traversant le dégagement,
       caractérisée en ce que le corps est constitué par :

    - deux coquilles (2a, 2b) adaptées sur les parties terminales de la poutre et délimitant, parallèlement à cette dernière, deux logements cylindriques, coaxiaux, ouverts (3a, 3b), et ménageant entre elles le dégagement (27),

    - deux douilles (7a, 7b) montées dans les logements, offrant chacune une ouverture d'entrée sur la face correspondante transversale extrême de la coquille et contenant les barillets (17a, 17b) liés par l'entraîneur (23),

    - et des moyens de liaison angulaire et axiale entre la poutre, les coquilles et les douilles.


     
    2 - Serrure selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens de liaison angulaire et axiale comprennent deux tenons (33) s'étendant transversalement en saillie par rapport à la poutre et engagés dans les coquilles et dans les douilles.
     
    3 - Serrure selon la revendication 2, caractérisée en ce que les tenons (33) sont formés par la poutre et sont liés aux coquilles par des goupilles (37).
     
    4 - Serrure selon la revendication 2, caractérisée en ce que les tenons sont formés par des pièces indépendantes engagées dans des mortaises (42) de la poutre, solidarisées à cette dernière par des goupilles (41) et liées aux coquilles par des goupilles (37).
     
    5 - Serrure selon la revendication 2, caractérisée en ce que les moyens de liaison comprennent les deux tenons (33) et deux goupilles de centrage-indexation (8) engagées dans la poutre pour s'étendre parallèlement aux tenons et traverser les coquilles et les douilles.
     
    6 - Serrure selon la revendication 2 ou 5, caractérisée en ce que les moyens de liaison comprennent, en outre, deux rebords (12a, 14a) saillants dans les logements cylindriques des coquilles et formant des butées axiales pour deux épaulements (11a et 13a) des douilles.
     
    7 - Serrure selon l'une des revendications 2 à 5, caractérisée en ce que les tenons (33) présentent des faces extrêmes (36) au moins localement planes et destinées à coopérer avec des méplats présentés par des foncets ou analogues (22) portés par les barillets.
     
    8 - Serrure selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque coquille est prolongée, radialement par rapport au logement cylindrique (3) et sensiblement dans le plan de sa face transversale de façade, par une languette (40) recouvrant la section transversale de la poutre.
     




    Dessins













    Rapport de recherche