[0001] La présente invention concerne une cloison étanche pour locaux industriels, formée
de panneaux placés bout à bout et reposant en partie inférieure sur deux dosserets,
fixés au sol, recevant entre eux les panneaux de la cloison, sur un épaulement.
[0002] Pour les locaux industriels, notamment ceux servant à l'industrie alimentaire, pharmaceutique,
etc..., on réalise des cloisons souvent en panneaux isolants, formés d'une peau entre
laquelle a été expansée une mousse, et qui se fixent entre le sol et le plafond. La
partie inférieure de la cloison est protégée par un dosseret qui court tout le long
de la cloison pour protéger la cloison contre les chocs, par exemple ceux des chariots
de manutention.
[0003] Ce dosseret est constitué par un élément profilé d'une certaine épaisseur, usuellement
rempli de mousse. A sa base le dosseret comporte une semelle par laquelle il est fixé
au sol. En général, une paroi comporte deux dosserets entre lesquels se place un panneau
de cloison, et dans certains cas ce panneau repose sur un épaulement prévu sur la
face arrière du dosseret. Une telle cloison se monte suivant le tracé prévu en commençant
par fixer les deux dosserets parallèles, à l'écartement de la cloison, puis on glisse
les panneaux de cloison sur le chemin de support formé entre la partie supérieure
des deux dosserets homologues et de leur épaulement.
[0004] Ces dosserets de forme prismatique sont constitués de deux parois verticales parallèles
et d'une paroi supérieure, en général en biais, à 45°. La jonction du panneau et du
sommet du dosseret est fermée de manière étanche par un joint ou une matière siliconée
formant un joint. Toutefois, ce joint risque de ne pas être parfaitement lisse et
de déborder du dosseret et du panneau et constitue une source de difficultés pour
le nettoyage et un risque de contamination bactériologique ou autre.
[0005] Par ailleurs il peut arriver que sous l'effet des chocs auxquels ils sont soumis,
les dosserets se déforment de manière permanente et baillent légèrement par rapport
aux panneaux.
[0006] Il peut également arriver que les contraintes internes de la matière des dosserets
ou des panneaux créent des déformations qui font bailler les dosserets par rapport
aux panneaux.
[0007] La présente invention a pour but de remédier à ces inconvénients et se propose de
créer une cloison parfaitement étanche non seulement à sa base mais également dans
sa partie supérieure et cela quels que soient les phénomènes de vieillissement ou
d'évolution des contraintes internes des dosserets et des panneaux ou encore les déformations
engendrées par les chocs.
[0008] A cet effet, l'invention concerne une cloison étanche correspondant au type défini
ci-dessus, caractérisée par :
- un moyen de serrage transversal de la partie supérieure des deux dosserets contre
le panneau, ce moyen comprenant :
- une glissière longitudinale sur la face intérieure de chaque dosseret, sous l'épaulement
soutenant le panneau,
- un verrou en forme de lame, logé de manière mobile longitudinalement dans les glissières
des deux dosserets et coopérant avec celles-ci pour tirer l'un contre l'autre les
deux dosserets et les presser contre le panneau.
[0009] Le moyen de serrage transversal, en partie haute des dosserets applique ceux-ci de
manière efficace et permanente contre les faces des panneaux, interdisant toute infiltration
d'autant plus que ce serrage provoque une légère déformation de la partie supérieure
des dosserets leur faisant épouser les éventuelles irrégularités des panneaux ou absorbant
celles des dosserets et cela de manière permanente quelle que soit l'évolution de
forme des panneaux et des dosserets.
[0010] Cette cloison offre non seulement l'avantage d'assurer en permanence une jonction
parfaitement étanche entre le sommet des deux dosserets et la partie recouverte du
panneau de la cloison mais également de faciliter la mise en place et le montage de
la cloison. En effet, avant le serrage du verrou, il subiste un léger jeu ou une possibilité
de jeu élastique pour glisser le panneau dans le couloir formé par les dosserets et
les épaulements. Une fois le ou les panneaux enfilés dans le couloir des dosserets,
il suffit de serrer le verrou pour presser les extrémités supérieures des dosserets
contre les faces opposées du panneau ; cette déformation est possible par l'élasticité
même des dosserets dont la base est fixée au sol.
[0011] Ce montage de la cloison sera alors complété de façon usuelle, si cela est nécessaire,
par la mise en place des talons recouvrant extérieurement la base des dosserets.
[0012] Suivant une caractéristique particulièrement avantageuse la glissière du dosseret
est délimitée par l'épaulement, et par une bande sous l'épaulement.
[0013] Cette caractéristique correspond à une réalisation très simple sur le plan de la
fabrication puisqu'il suffit de compléter l'épaulement déjà existant par une seconde
bande placée en-dessous et délimitant avec l'épaulement, la glissière recevant le
verrou. Par ailleurs, et de manière simple, il suffit de percer les épaulements suivant
le pas prévu pour y glisser les chevilles formant les organes coopérant avec les organes
homologues de la glissière et créer cet effet de serrage par déplacement longitudinal
du verrou.
[0014] Ainsi, et de manière particulière, la glissière et le verrou comportent, réparties
sur toute leur longueur, l'une des cames et l'autre des rampes pour transformer le
mouvement longitudinal du verrou par rapport à la glissière, en un déplacement transversal
de rapprochement des dosserets l'un vers l'autre, contre le panneau.
[0015] Cet assemblage offre l'avantage de permettre non seulement de serrer les parties
supérieures des dosserets, de manière régulière, dans la direction longitudinale contre
les faces opposées du panneau de la cloison, mais en utilisant l'effet inverse, c'est-à-dire
en déplaçant le verrou dans la direction opposée à celle du serrage, il est possible
d'écarter intentionnellement les parties supérieures des dosserets avant la mise en
place des panneaux de la cloison, précisément pour faciliter l'introduction des panneaux
dans le couloir ainsi formé. Un tel écartement peut être très intéressant au montage
de panneaux dont les surfaces seraient par exemple revêtues de colle ou d'une matière
d'étanchéité et qu'il en serait de même des surfaces en regard des parties supérieures
des dosserets. Un tel écartement, ménageant un chemin suffisant pour le passage des
panneaux des cloisons évite, d'une part, une difficulté importante pour mettre en
place les panneaux, et, d'autre part, que la matière étalée localement sur les panneaux
ou les dosserets ne soit raclée par le mouvement de translation des panneaux.
[0016] Il convient également de remarquer que le montage ne peut pratiquement se faire que
par translation des panneaux dans le couloir formé entre les dosserets puisque ces
panneaux arrivent jusque dans la partie supérieure du local, directement sous le plafond
et qu'il n'y a pas de ce fait suffisamment de place au-dessus des dosserets pour basculer
le panneau par le côté (il faudrait la même place de dégagement au-dessus des panneaux
au niveau du plafond que la longueur des panneaux qui descend entre les dosserets).
[0017] Suivant une autre caractéristique de l'invention, les rampes sont constituées par
des coulisses inclinées par rapport à la direction longitudinale du verrou et les
cames sont des tiges.
[0018] Et en particulier, les coulisses sont réalisées dans le verrou et les cames sont
des chevilles traversant les deux bords de la glissière de chaque dosseret, ces chevilles
étant placées dans leur logement après mise en place du verrou pour traverser les
coulisses du verrou.
[0019] Le déplacement du verrou pour le serrage des dosserets peut se faire suivant l'orientation
des coulisses et des chevilles par translation dans une direction ou l'autre. Dans
un cas de translation, s'il faut repousser le verrou, on peut le frapper. Il peut
également être intéressant d'orienter différemment les coulisses pour agir par traction
et dans ce cas l'extrémité du verrou peut comporter une tige filetée logée dans un
écrou prenant lui-même appui (par exemple par une plaque transversale) sur les bords
d'extrémité des glissières ou des parois. En tournant ainsi l'écrou (libre en rotation
mais non en translation) on tire le verrou et on crée le serrage voulu.
[0020] Il convient une nouvelle fois d'insister sur le caractère particulièrement régulier
du serrage des dosserets contre le panneau sur toute la longueur du verrou puisque
ce serrage se fait par des organes coopérant par effet de cames-coulisses, répartis
sur toute la longueur du verrou indéformable dans les conditions d'utilisation. Il
en est de même des cames qui en tant que chevilles traversant deux bords de la coulisse
sont parfaitement maintenues en place.
[0021] L'invention concerne également les diverses pièces de finition venant dans les coins
ou en extrémité des dosserets. Il s'agit par exemple d'une pièce de finition en forme
de chapeau en équerre, à arête tronquée, pour rejoindre les dosserets au niveau d'un
coin sortant. Pour un coin rentrant, il est prévu un élément en forme de morceau d'entonnoir,
dont la partie supérieure vient coiffer la surface inclinée de deux dosserets dirigés
vers un angle rentrant et dont la partie descendante est une surface plane formant
un coin tronqué le long de la paroi verticale des bords des deux dosserts.
[0022] La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l'aide des
dessins annexés dans lesquels :
- la figure 1 est une vue en coupe schématique d'une cloison selon l'invention.
- la figure 2 est une vue en perspective d'un mode de réalisation de la cloison selon
la figure 1.
- la figure 3 est une vue en perspective à échelle agrandie de détail montrant la coopération
entre le verrou et les glissières.
- la figure 4A est une vue perspective d'un élment d'extrémité de dossier, pour coiffer
un dossier par exemple au bord d'une ouverture de porte ou autre.
- la figure 4B est une vue en coupe du profil de la pièce d'extrémité de la figure 4A.
- la figure 5A est une vue en perspective d'une pièce d'angle sortant pour un dosseret
selon l'invention.
- la figure 5B est une vue en coupe de la pièce de la figure 5A.
- la figure 6 est une vue en perspective d'une pièce de liaison de dosseret pour un
angle rentrant.
[0023] Selon la figure 1, l'invention concerne une cloison étanche pour des locaux industriels.
Cette cloison est formée de panneaux 1 placés bout à bout entre le sol et le plafond.
En partie basse, les panneaux arrivent entre deux dosserts 2, 2 délimitant avec un
épaulement 21, 21 un canal dans lequel on glisse les uns derrière les autres les panneaux
de la cloison. Pour le montage on fixe d'abord les dosserts 2, 2 au sol, suivant le
tracé voulu pour la cloison et à l'écartement de celle-ci. Cette fixation se fait
par exemple par des vis 3 dans le sol 4. Ces vis traversent la semelle 22 des dosserts
2. Du côté extérieur, les semelles 22 et les vis 3 peuvent être protégées par un talon
ou pièce de coin, prismatique 4 qui n'est représenté que schématiquement à la figure
1.
[0024] En partie haute, les dosserets 2 ont une surface inclinée 23 rejoignant les faces
verticales 11, 12 du panneau 1.
[0025] Selon l'invention, les dosserets comportent un moyen de serrage transversal de leur
partie supérieure contre le panneau 1.
[0026] Ce moyen de serrage est formé par une glissière longitudinale prévue sur la face
arrière de chaque dosseret 2, de préférence aussi près que possible du bord inférieur
du panneau 1.
[0027] Selon le mode de réalisation de la figure 1, la glissière 5 est formée par l'épaulement
21, et par une autre bande 22 placée sous l'épaulement.
[0028] Toutefois, dans le cas général, cette glissière pourrait ne pas être associée directement
à l'épaulement 21.
[0029] Cette glissière longitudinale reçoit un verrou 6 en forme de lame. Ce verrou 6 est
mobile longitudinalement (direction perpendiculaire à la feuille du dessin) et coopère
avec la glissière 5 de chacun des dosserets 2 pour tirer les dosserets 2 l'un contre
l'autre et les presser contre le panneau 1. (Flèches A).
[0030] Le moyen transformant le mouvement longitudinal du verrou 6 en un mouvement transversal
est constitué, comme cela sera explicité ultérieurement, par des organes en forme
de cames et de rampes prévus dans la glissière et dans le verrou. Dans l'exemple de
la figure 1, ces moyens sont constitués par des chevilles 51 réparties longitudinalement
suivant un pas déterminé dans les glissières (en traversant l'épaulement 21 et la
bande inférieure 22) pour traverser également des coulises, trous oblongs ou encoches
en forme de rampes, n'apparaissant pas à cette figure et réalisés dans les deux bords
du verrou 4.
[0031] La répartition des éléments en forme de rampes du verrou 4 est faite suivant le même
pas que la répartition des chevilles 51 constituant des organes formant cames.
[0032] L'inclinaison des rampes par rapport à la direction longitudinale du verrou détermine
le mouvement (poussée ou traction) qu'il faut exercer sur le verrou 6 pour créer l'effet
de serrage ou au contraire écarter de force la partie supérieure des dosserets 1.
[0033] Les figures 2 et 3 illustrent de manière plus explicite ces caractéristiques de principe
dans des réalisations particulières, les mêmes références étant utilisées pour désigner
les éléments identiques ou analogues à ceux de la figure 1.
[0034] La figure 2 montre en particulier les coulisses 61 formant les rampes du verrou 6
et les logements 52 des chevilles 51 constituant les cames.
[0035] Le verrou 6 est terminé à l'avant par une patte 62 munie d'un trou 63 pour tirer
et serrer l'assemblage (flèches A). Cette traction peut se faire, comme indiqué, en
tirant sur la patte 62 avec un outil ou à l'aide d'un ensemble tige filetée/écrou.
Pour une inclinaison différente des coulisses 61, il faudrait, pour serrer, repousser
le verrou 6.
[0036] Bien qu'il soit envisageable de réaliser des dosserets avec une finition d'extrémité,
la réalisation des cloisons se faisant en général sur mesure, mais à partir d'éléments
standards, il est préférable de réaliser des éléments distincts pour l'extrémité ou
le coin rentrant et sortant, à gauche ou à droite.
[0037] Les figures 4A, 4B représentent un tel élément d'extrémité 101, destiné par exemple
à terminer un dosseret 1 au niveau d'une ouverture figurée par exemple par un cadre
100 de porte. Cet élément de finition 101 se compose d'une coquille dont la section
dans la partie 102 correspond à celle du dosseret 1 et dont l'extrémité 102 va en
diminuant de manière pyramidale, en respectant toutefois sensiblement la hauteur de
la paroi verticale du dosseret 1. L'élément d'extrémité est représenté en coupe pour
la partie 102 à la figure 4B.
[0038] L'élément comporte à son autre extrémité une zone de jonction 104 pour coiffer de
manière étanche l'extrémité du dosseret 1. La fixation de cet élément se fait par
son embase 105 et une patte 106 représentée en pointillés qui vient s'accrocher dans
une pièce de forme correspondante fixée au cadre 100 ou à son prolongement.
[0039] La figure 5A montre une pièce 200 coiffant un angle sortant. Seul l'un des dosserets
1 au niveau de l'angle a été représenté. La figure 5A montre également le plan de
coupe VB-VB donnant la section de la pièce à la figure 5B.
[0040] Cette pièce 200 se compose de deux parties 201, 202 prolongeant les deux dosserets
au niveau du coin et d'une partie tronquée 203. Chaque extrémité des parties 201,
202 est terminée par une zone en biais 204, 205 faisant la jonction avec le dosseret
1.
[0041] La fixation de cette pièce se fait également, en partie basse, par une embase 206,
et, en partie haute, par des pattes 207. Ces pattes viennent se loger ou s'accrocher
dans des pièces de forme correspondante fixées à la cloison au niveau du coin.
[0042] La figure 6 montre un élément 300 pour couvrir l'angle rentrant laissé libre entre
les dosserets qui se rejoignent presque au niveau d'un angle rentrant entre deux cloisons.
Cet élément en forme de morceau d'entonnoir se compose d'une partie supérieure composée
de trois segments triangulaires 301, 302, 303 et d'une partie inférieure 304 formant
le coin tronqué. Cette partie inférieure se termine par une patte 305 pour la fixation
au sol. La partie supérieure se fixe à la cloison par des pattes 307 venant prendre
dans des pièces ou logements non représentés de forme correspondante, fixés aux cloisons.
[0043] De manière générale, et comme déjà indiqué ci-dessus, à l'exception des pièces de
finition, le dosseret et l'organe d'accrochage se réalisent suivant des longueurs
standard qui sont coupées pour l'installation, à la demande. Les dosserets sont en
général des profilés en matière plastique, extrudée et dans lesquels on injecte une
mousse isolante ou autre. Les verrous sont de préférence des pièces métalliques notamment
en acier inoxydable ou galvanisé et les chevilles des pièces en matière plastique
ou des chevilles métalliques, en acier inoxydable.
1°) Cloison étanche pour locaux industriels, formée de panneaux placés bout à bout et
reposant en partie inférieure sur deux dosserets, fixés au sol, recevant entre eux
les panneaux de la cloison, sur un épaulement soutenant le panneau,
cloison caractérisée par :
- un moyen de serrage transversal de la partie supérieure des deux dosserets contre
le panneau, ce moyen comprenant :
- une glissière longitudinale (5) sur la face intérieure de chaque dosseret (2), sous
l'épaulement (21) soutenant le panneau (1),
- un verrou (6) en forme de lame, logé de manière mobile longitudinalement, dans les
glissières (5) des deux dosserets (2) et coopérant avec celles-ci pour tirer l'un
contre l'autre les deux dosserets (2) et les presser contre le panneau (1).
2°) Cloison selon la revendication 1, caractérisée en ce que la glissière (5) du dosseret
(1) est délimitée par l'épaulement (21), et par une bande (22) sous l'épaulement (21).
3°) Cloison selon la revendication 1, caractérisée en ce que la glissière (5) et le verrou
(6) comportent réparties sur toute leur longueur, l'une des cames (51) et l'autre
des rampes (61) pour transformer le mouvement longitudinal du verrou (6) par rapport
à la glissière (5) en un déplacement transversal (A) de rapprochement des dosserets
(2) l'un vers l'autre contre le panneau (1).
4°) Cloison selon la revendication 3, caractérisée en ce que les rampes sont constituées
par des coulisses (61) inclinées par rapport à la direction longitudinale du verrou
(6) et les cames sont des tiges (51).
5°) Cloison selon la revendication 4, caractérisée en ce que les coulisses (61) sont
réalisées dans le verrou (6) et les cames sont des chevilles (51) traversant les deux
bords (21, 22) de la glissière (5) de chaque dosseret (2), ces chevilles (51) étant
placées dans leur logement (52) après mise en place du verrou (6) pour traverser les
coulisses (61) du verrou (6).
6°) Cloison selon la revendication 1, caractérisée en ce que le verrou (6) comporte un
moyen d'actionnement en forme de languette (62) destiné à être frappé ou tiré pour
déplacer le verrou (6) par rapport aux glissières (5).
7°) Cloison selon la revendication 6, caractérisée en ce que le moyen de traction ou
de poussée du verrou (6) par rapport aux glissières (5) est constitué par une tige
filetée solidaire du verrou et un écrou prenant appui par l'intermédiaire d'une plaquette
sur les extrémités des glissières pour tirer et pousser le verrou et serrer les dosserets
contre la cloison.