[0001] La présente invention concerne un dispositif d'étanchéité de coin pour obturer le
dièdre formé à la jonction d'une cloison ou surface similaire et une autre cloison
ou surface similaire, comprenant un talon prismatique fixé dans le coin.
[0002] La règlementation de l'hygiène dans les ateliers ou laboratoires traitant des produits
alimentaires, des médicaments, etc... étant de plus en plus stricte, les surfaces
d'un local doivent pouvoir se nettoyer de manière parfaite, sans former ou laisser
des nids à microbes ou à bactéries. Or, l'une des difficultés réside dans le nettoyage
des cloisons ou surfaces similaires, notamment dans le coin formé par la jonction
de deux parois ou encore à la jonction d'une paroi ou surface similaire du sol ou
du plafond. Dans tous les cas, il y a des coins formés par le dièdre des deux surfaces
qui se rejoignent. Or, un tel dièdre d'angle, généralement, mais non nécessairement
égal à 90°, est un volume qu'il est difficile de nettoyer même jusqu'à à son arête
avec un fluide sous pression car le fluide n'arrive pas jusqu'à l'arête du coin. Aussi,
pour favoriser le nettoyage est-il connu depuis un certain temps d'obturer le dièdre
par une pièce prismatique ou talon, formant en général une surface à 45°, donnant
ainsi un coin tronqué, favorisant l'écoulement du fluide de nettoyage et de séchage
et recouvrant la base de la cloison.
[0003] Un tel talon est actuellement vissé à l'une ou l'autre des surfaces du dièdre. Or,
le trou de vis doit lui-même être bouché pour les mêmes raisons que celles exposées
ci-dessus. Cela se traduit par un travail important, d'autant plus que le bouchage
du trou de vis au-dessus de la tête de vis doit se faire soit avec un mastic soit
avec un bouchon. Dans les deux cas, la solution n'est pas idéale car les inévitables
aspérités constituent des sources de problèmes sur le plan des règles d'hygiène.
[0004] De plus, la cloison et les talons subissent inévitablement des chocs créant des déformations
locales parfois rémanentes se traduisant elles-mêmes par des ouvertures aux jonctions
du dosseret et des talons.
[0005] Les contraintes internes de la matière de dosserets et des talons ou le vieillissement
induisent des déformations susceptibles d'ouvrir les joints entre les talons et les
dosserets.
[0006] La présente invention a pour but de remédier aux inconvénients des solutions connues
et se propose de créer un dispositif d'étanchéité de coin pour obturer le dièdre formé
à la jonction d'une cloison ou d'une surface similaire et d'une autre cloison ou surface
similaire (sol, plafond, etc...) permettant de mettre en place le talon d'obturation
du coin d'une manière aussi rapide et aussi efficace que possible et d'une manière
parfaitement adaptée aux éventuelles irrégularités et déformations des surfaces du
dièdre.
[0007] A cet effet, l'invention concerne un dispositif d'étanchéité de coin correspondant
au type défini ci-dessus, caractérisé en ce que :
- le talon possède des bords rabattus prenant appui contre les deux surfaces du dièdre,
et formant une glissière,
- un organe de blocage, longitudinal, fixé au niveau de l'arête du dièdre, et venant
dans une position intermédiaire entre les surfaces du dièdre, est muni d'éléments
d'accrochage,
- un verrou coulissant longitudinalement dans la glissière du talon, du côté de sa face
arrière, et se fixant sur les éléments d'accrochage de l'organe de blocage pour tirer,
par sa translation, le talon dans le coin du dièdre à obturer.
[0008] Ce dispositif d'étanchéité, qui permet de fixer un talon dans le dièdre formé par
n'importe quel ensemble de deux surfaces de cloison, de sol ou de plafond, se met
en place rapidement, l'organe de blocage étant fixé de manière générale au niveau
de l'arête du dièdre, et de façon plus particulière à l'une ou l'autre ou aux deux
surfaces. Cet organe de blocage coopère avec le verrou coulissant pour tirer en quelque
sorte le talon dans le dièdre du coin à obturer. Cet effet de traction obtenu par
la coopération entre les éléments d'accrochage et le verrou, assure une pression régulière
sur toute la longueur du talon. Cette pression régulière dans le sens longitudinal
est également répartie entre les deux surfaces contre lesquelles s'appuie le talon,
sans que l'une des surfaces ne soit favorisée au détriment de l'autre. Cette application
régulière évite toute fuite de liquide entre le talon et l'une des surfaces, et qui
risquerait de constituer une source de difficultés.
[0009] Ainsi, contrairement aux solutions connues qui prévoient la fixation du talon, en
général sur l'une ou les deux surfaces mais avec des moyens de fixation (vis et en
général chevilles) répartis en quinconce entre les deux surfaces du dièdre, il y a
selon la présente invention une répartition parfaitement régulière des efforts sur
toute la longueur du talon.
[0010] Cette répartition régulière est favorisée d'autant plus que l'organe de blocage se
trouve à l'intérieur du dièdre et tire sur toute sa longueur le talon vers l'arête
du dièdre ce qui donne précisément cette régularité de la répartition des pressions
du talon sur les deux surfaces du dièdre, l'organe d'accrochage étant lui-même fixé
de la manière très régulière à l'une ou l'autre ou aux deux surfaces du dièdre, au
niveau de son arête ; dans le cas d'une cloison plaquée par son chant contre le plat
d'une autre cloison, suivant une disposition en forme de T, l'organe de blocage peut
être fixé soit sur le chant de l'une des plaque ou panneau soit sur le plat de l'autre
panneau et les moyens de fixation (têtes de vis) sont alors cachés par le plat du
panneau ou le chant de l'autre panneau, suivant le mode de fixation utilisé.
[0011] Cette fixation est parfaitement compatible avec la progression de la construction
de cloisons dans des locaux industriels ; ainsi, cet organe d'accrochage peut se mettre
en place soit dès le montage des cloisons, soit aussi après le montage des cloisons,
les moyens de fixation de l'organe d'accrochage étant toujours cachés par le talon.
[0012] D'une manière plus particulière, l'invention est caractérisée en outre en ce que
l'organe de blocage est une bande de tôle pliée dont la partie venant dans le dièdre
du coin à obturer comporte des dents inclinées constituant les éléments d'accrochage
dont les rampes coopèrent avec les bords de trous oblongs, longitudinaux, réalisés
dans le verrou.
[0013] Cette réalisation de l'organe de blocage et du verrou est particulièrement simple
et correspond à une fabrication linéaire, d'éléments de longueur uniforme qui seront
coupés à la longueur nécessaire à l'installation. La mise bout à bout des éléments
constituant l'organe de blocage ne présente pas non plus de difficulté, à condition
de respecter le pas des éléments d'accrochage de l'organe de blocage (pas correspondant
à celui des bords des trous oblongs réalisés dans le verrou).
[0014] Une disposition inversée pourrait également être envisagée bien que cette solution
constitue la solution la plus simple.
[0015] L'organe d'accrochage peut lui-même être un organe d'accrochage simple pour un seul
talon ou un organe d'accrochage souple pour accrocher un talon de part et d'autre
d'une cloison, par exemple à une jonction en forme de T, entre une cloison disposée
en bout et une cloison en travers.
[0016] Selon une réalisation simple, le verrou comporte des bords repliés suivant l'angle
du dièdre recevant le talon (en général la somme des deux angles correspond à un angle
droit), le dièdre étant un angle droit ; le verrou peut toutefois avoir des bords
repliés suivant des angles inégaux ou encore dont la somme est différente d'un ange
droit, par exemple pour fermer le coin, notamment vertical, entre des cloisons formant
entre elles un angle différent d'un angle de 90°.
[0017] Suivant une autre caractéristique de l'invention, les bords rabattus des talons forment
des glissières constituées par des renflements longitudinaux sur lesquels prend appui
le verrou alors de préférence formé par une bande plane à bords non pliés, et qui
tire de cette manière le talon dans le coin.
[0018] Selon l'invention, le blocage du talon contre l'organe de blocage, dans le coin,
se fait de manière particulièrement simple par translation du verrou. Cette translation
peut être une poussée ; par exemple on pourra simplement frapper sur le verrou pour
le déplacer longitudinalement ; pour le mouvement inverse, si le blocage du verrou
se fait par traction, l'extrémité du verrou peut comporter une languette permettant
d'exercer cette traction par un outil extérieur ; il peut également s'agir d'un moyen
de traction tel que par exemple une tige filetée soudée au verrou et qui se visse
dans un écrou libre en rotation mais appuyé en translation sur les bords repliés du
talon.
[0019] La présente invention sera décrite ci-après de manière plus détaillée à l'aide des
dessins annexés dans lesquels :
- la figure 1 est un schéma de principe d'un dispositif d'étanchéité de coin selon l'invention.
- la figure 2 montre une première application du dispositif d'étanchéité à un dosseret
de cloison.
- la figure 3 montre une variante de dispositif d'étanchéité appliqué dans l'un des
coins à la jonction en T de deux cloisons.
- la figure 4 montre une variante de la figure 3 pour l'obturation des deux coins formés
de part et d'autre d'une cloison dans un assemblage de deux cloisons en forme de T.
- la figure 5 est une vue en perspective schématique de l'invention, explicitant le
cas de la figure 3.
- la figure 6 est une vue en perspective simplifiée montrant l'organe de blocage, le
verrou et le talon.
[0020] Selon la figure 1, le dispositif d'étanchéité de coin de l'invention, destiné à obturer
le dièdre formé à la jonction d'une cloison 1 et d'une autre cloison 2 (ou surfaces
similaires telles que sol ou plafond) comprend un talon prismatique 3 constitué par
un profilé de section sensiblement trapézoïdale, en général isocèle dont la surface
frontale 31 est inclinée à 45° par rapport aux bords rabattus 32, 33 du profilé mais
qui peut avoir des angles différents, par exemple présenter une inclinaison de la
surface 31 de 60° ou 30°, ou encore d'un angle différent si le talon est destiné à
obturer un dièdre d'un angle différent de 90°.
[0021] Le talon 31 prend appui par ses deux bords rabattus 32, 33 contre la surface des
cloisons 1, 2 formant le dièdre. Les bords rabattus 32, 33 comportent également des
surfaces 34, 35 constituant des glissières ; ces surfaces ont volontairement été simplifiées.
Il peut s'agir de renforcements des arêtes des bords rabattus 32, 33 ou encore de
deux surfaces constituant une glissière dans chaque bord rabattu 32, 33.
[0022] Le dispositif d'étanchéité comprend également un organe de blocage 4 longitudinal,
fixé par un moyen de fixation 5 représenté schématiquement, au niveau de l'arête du
dièdre, c'est-à-dire à la jonction des surfaces des cloisons 1, 2.
[0023] Cet organe de blocage 4 vient dans une position intermédiaire entre les surfaces
des deux cloisons 1, 2 ; en général cette position intermédiaire est une position
bissectrice ou plus généralement encore cette position intermédiaire est telle que
la surface de l'organe de blocage 4 soit perpendiculaire à la surface 31 du talon
dans les conditions exposées ci-après.
[0024] L'organe de blocage longitudinal est muni d'éléments d'accrochage 41 figurés par
un trait transversal à la figure 1 mais dont la structure plus particulière apparaîtra
dans les exemples donnés ultérieurement.
[0025] Le dispositif d'étanchéité comprend également un verrou 6 coulissant longitudinalement,
c'est-à-dire perpendiculairement à la surface du dessin. Ce verrou 6 prend appui dans
ou sur les glissières 34, 35 du talon 3, derrière la surface apparente 31 du talon.
[0026] Le verrou 6 se fixe sur les éléments d'accrochage 41 de l'organe de blocage 4 pour
créer un effet de rampe. Lorsque le verrou 6 est déplacé perpendiculairement à la
feuille du dessin (traction ou poussée) cet effet de rampe se traduit par un mouvement
du verrou 6 dans le sens des flèches A, qui le rapproche de l'arête du dièdre. Le
verrou s'appuyant sur les glissières 34, 35 tire ainsi le talon 3 dans le dièdre en
plaquant les bords rabattus 32, 33 contre les surfaces des cloisons 1, 2 formant le
dièdre.
[0027] La mise en place d'un dispositif d'étanchéité de coin comme celui représenté à la
figure 1 se fait de manière simple ; en premier lieu, on place l'organe de blocage
4 dans le dièdre à obturer en fixant cet organe 4 à l'une ou l'autre des cloisons
1, 2 ou entre elles, au niveau de leur jonction. Puis on met en place le talon 3 dans
lequel on aura préalablement glissé le verrou 6. Le verrou 6 s'accroche sur les éléments
d'accrochage de l'organe de blocage 4 et un mouvement de translation du verrou 6 crée
le blocage décrit ci-dessus, par effet de rampe.
[0028] Ce blocage se traduit par une application régulière des bords 32, 33 du talon 4 contre
les surfaces correspondantes ; comme l'organe de blocage 4 est réparti sur toute la
longueur du dièdre à obturer et qu'il en est de même du verrou 6 dans le talon 3,
on arrive à une répartition parfaitement régulière et donc très efficace de la pression
du talon 3 sur les parois du coin.
[0029] Cette répartition régulière est très importante car même en cas de déformation locale
de l'une des surfaces par suite d'un accident (choc d'un véhicule ou autre) ou encore
à cause des contraintes internes dans les panneaux ayant provoqué une déformation
locale ou plus générale, le talon reste appliqué contre les surfaces du coin.
[0030] La figure 2 montre un exemple de mise en place de dispositif d'étanchéité entre le
sol 7 et la face avant d'un dosseret 8 prévu à la base d'un panneau de cloison 9 (l'autre
dosseret 8 n'est pas représenté à cette figure).
[0031] Le talon 3 ainsi mis en place permet d'obturer le coin formé à la base du dosseret
8, et aussi de cacher la semelle servant à la fixation du dosseret 8.
[0032] La figure 3 montre le cas d'un talon 3 destiné à boucher l'un des coins entre une
première cloison 91 et une seconde cloison 92 disposées l'une par rapport à l'autre
suivant un T. Dans ce cas, l'organe de blocage 4A se poursuit par une partie 42 venant
contre le chant du panneau 92 et un bord rabattu 43 prenant appui derrière le bord
du panneau 92.
[0033] La variante de la figure 4 correspond à l'obturation des deux coins formés par l'assemblage
d'un panneau 91 et d'un panneau 92 disposés en forme de T. Dans ce cas l'organe de
blocage 4B porte un autre organe de blocage 4C, par une bande de jonction 42 comme
celle de la figure 3, venant contre le chant du panneau 92.
[0034] Dans les montages des figures 3 et 4, la bande 42 de l'organe de blocage 4A ou 4B,
4C peut être fixée soit contre la surface du panneau 91 à l'endroit où l'on mettra
en place le panneau 92, soit contre le chant du panneau 92, suivant les modalités
d'assemblage prévues pour les cloisons.
[0035] Dans les différents cas des figures 2, 3, 4 il y a un verrou 6, non détaillé de manière
particulière et dont la fonction est celle décrite à propos de la figure 1.
[0036] Les figures 5 et 6 montrent, de manière plus explicite, un exemple de réalisation
de l'organe de blocage, de ses éléments d'accrochage et du verrou.
[0037] La figure 5 correspond à la disposition représentée schématiquement à la figure 3
et les mêmes références seront utilisées pour désigner les mêmes éléments.
[0038] Selon la figure 5, un talon 3 est destiné à obturer le dièdre formé entre un panneau
91 et un panneau 92 à l'aide d'un organe de blocage 4A ayant une bande 42 et un bord
rabattu 43, la bande 42 servant à fixer cet organe 4A sur le panneau 91 à l'aide de
moyens de fixation 10 constitués par exemple par des vis. L'organe de blocage sert
alors en même temps de moyen de positionnement du panneau 92.
[0039] Cet organe de blocage 4A comporte des éléments d'accrochage 41A en forme de dents
répartis suivant un pas dans la direction longitudinale de l'organe 4A.
[0040] Le verrou 6 comporte des bords repliés 61, 62 venant s'appuyer contre les surfaces
intérieures des bords repliés 32, 33 du talon 3, constituant ainsi un équivalent des
glissières 34, 35. Les glissières ne sont représentées qu'en pointillés.
[0041] Le verrou 6, selon la figure 6, comporte des trous oblongs 63 longitudinaux, répartis
suivant le même pas que les éléments d'accrochage 41A de l'organe de blocage 4A. Les
trous oblongs 63 ont une longueur correspondant au moins à la longueur des organes
d'accrochage ce qui permet de coiffer les organes d'accrochage avec le verrou 6 lors
de la mise en place du talon 3, et il suffit alors de déplacer le verrou 6, longitudinalement,
par un moyen particulier ou par exemple en tirant ou en poussant (marteau) pour que
le bord 631 des trous oblongs 63 coopère avec la rampe 411 des dents 41A et crée l'effet
de traction dans le sens des flèches A de la figure 1.
[0042] Comme déjà indiqué, le talon, l'organe de blocage et le verrou sont de préférence
des pièces de grande longueur ; le talon est extrudé puisqu'il est en général en matière
plastique ; par contre, l'organe de blocage est de préférence réalisé en tôle et notamment
en tôle d'acier inoxydable ou galvanisé ; il en est de même du verrou.
1°) Dispositif d'étanchéité de coin pour obturer le dièdre formé à la jonction d'une
cloison ou surface similaire et une autre cloison ou surface similaire, comprenant
un talon prismatique fixé dans le coin,
dispositif d'étanchéité caractérisé en ce que :
- le talon (3) possède des bords rabattus (32, 33) prenant appui contre les deux surfaces
du dièdre (1, 2), et formant une glissière (34, 35),
- un organe de blocage (4), longitudinal, fixé au niveau de l'arête du dièdre (1,
2), et venant dans une position intermédiaire entre les surfaces du dièdre, est muni
d'éléments d'accrochage (41),
- un verrou (6) coulissant longitudinalement dans la glissière (34, 35) du talon (3),
du côté de sa face arrière, et se fixant sur les éléments d'accrochage (41) de l'organe
de blocage (4) pour tirer, par sa translation, le talon (3) dans le coin du dièdre
à obturer.
2°) Dispositif d'étanchéité selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe
àe blocage est une bande de tôle pliée (4A) dont la partie venant dans le dièdre du
coin à obturer comporte des dents inclinées (41A) constituant les éléments d'accrochage
dont les rampes coopèrent avec les bords de trous oblongs (63), longitudinaux, réalisés
dans le verrou (6).
3°) Dispositif d'étanchéité selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe
de blocage (4B) est constitué par une tôle pliée terminée à chaque extrémité par une
bande (42) munie des éléments d'accrochage, pour servir à l'accrochage de deux talons
de part et d'autre d'une cloison (92) ou surface similaire, commune.
4°) Dispositif d'étanchéité selon la revendication 1, caractérisé en ce que les glissières
du talon sont des renflements longitudinaux terminant les bords rabattus (32, 33)
et servant d'appui au verrou (6).
5°) Dispositif d'étanchéité selon la revendication 1, caractérisé en ce que le verrou
comporte deux bords (61, 62) repliés parallèlement aux faces du dièdre du coin (91,
92).
6°) Dispositif d'étanchéité selon la revendication 1, caractérisé en ce que le verrou
comporte des moyens de translation prenant appui sur les bords rabattus du talon pour
tirer ou pousser le verrou.