[0001] L'invention concerne, selon le titre, un organe ou dispositif basculant spécialement
développé comme interrupteur, poussoir ou commutateur de type à glisser pour manoeuvrer
un support de contact mobile, balancier, développé pour n'importe quel système de
mécanismes, mais particulièrement conçu pour les mécanismes modulaires du système
compris dans le Brevet ES 545.782 d'EUNA, puisque ses caractéristiques structurelles,
ses mesures adaptées au système et ses particularités fonctionnelles le rendent particulièrement
pratique pour cette application.
[0002] C'est l'intention particulière de l'inventeur de doter le mécanisme d'avantages structuraux
et fonctionnels par rapport aux mécanismes connus, en faisant ressortir la prétention
de chercher les solutions pour assurer, d'un côté, un minimum de pièces et, d'un autre,
que celles-ci soient montées d'une manière uniforme et linéaire entre elles et d'autre
part que la glissade ou moyens opérationnels du support de contact agissent sur une
large bande et uniformément sur ce support de contact, en alternant les versions pour
le rendre plus efficace, aussi bien dans cette mission que dans la manière d'assembler
ou de monter ses différentes parties.
[0003] L'une des situations qui se posent fréquemment au cours de la fabrication est la
manière de simplification standardisée du montage des pièces, qui a besoin de plusieurs
opérations qui retardent, gênent ou renchérissent le coût du produit. Ceci du point
de vue de la production.
[0004] Du point de vue fonctionnel, il y a plusieurs exigences. La sécurité dans le logement
du ressort de tension dans ses manoeuvres respectives; assurer son indéformabilité
contre la tension en maintenant une bonne réponse au déplacement de la glissade lors
de chaque manoeuvre: maintenir l'alignement et l'uniformité de friction de la pointe
de glissade sur le support de contact mobile; contrôler et élargir le déplacement
maximum des pattes de ce support de contact mobile et obtenir un coefficient optimum
de rupture au débranchement.
ETAT DE LA TECHNIQUE
[0005] Multiples et divers sont les systèmes basculants à glisser qui ont une structure
composée d'un organe basculant, un organe à glisser et un ressort à tension qui peut
agir de diverses manières.
[0006] Parmi eux, le système le plus utilisé actuellement est une pointe de glissade, normalement
une pointe émoussée contractile qui agit sur un support de contact mobile, à balancier,
en forme de "V" (vé) et dont les extrémités portent les plots de contact.
[0007] Les formes structurelles pour le logement du mécanisme sont du plus variable mais,
des antécédents repérés lors des recherches sur les produits de ce genre dans l'art
antérieur, SIMON, GUERIN, etc., aucun ne comporte les caractéristiques que l'on prétend
pour l'objet de ce Brevet, selon les règles fondamentales signalées dans les paragraphes
préliminaires.
[0008] Le Brevet ES 545.782 EUNEA auquel se réfère principalement l'objet de ce Brevet,
apportait un système de poussoir basculant qui opérait sur un support de contact mobile
plat à balancier mais avec les conditions de n'importe lesquels des systèmes mentionnés
dans les antécédents de l'art antérieur.
ACTIVITE INVENTIVE
[0009] La prétention de l'invention est d'harmoniser une touche-basculante d'interrupteur
pour petits mécanismes électriques, qui devienne commune aux différents modèles qui,
en intégrant un système de ce type, sont actuellement commercialisés et, notamment,
une touche-basculante pour le module porte-mécanismes du Brevet ES 545.782 d'EUNEA.
[0010] Une idée essentielle de l'invention est que les mécanismes de la glissade puissent
être montés successivement et simplement sur la partie inférieure ou dans une même
position dans un membre aménagé de l'organe basculant.
[0011] Une idée également de l'invention est que le membre de logement reçoive la glissade
et le ressort, moyen élastique contractile, de manière qu'il ne puisse sortir de son
logement en supportant parfaitement les tensions et les courbes de déformation dans
ses fonctions basculantes.
[0012] Une idée également de l'invention est que la glissade s'accroche au membre de logement
du balancier, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de celui-ci, par simple effet
de pression élastique et de manière que la glissade ne dépasse pas ou ne surpasse
pas sur la section du membre de logement.
[0013] Une idée de l'invention est que les moyens de logement du ressort dans le membre
et les moyens de fixation de celui-ci dans la glissade soient combinés pour assurer
son reguidage coaxial au sein du premier et son blocage ou fixation avec le second.
[0014] Une idée essentielle également de l'invention est que la glissade comporte une pointe
de friction sur le support de contact mobile qui agit uniformément sur la largeur
complète de la surface de celui-ci, en rendant continu, uniforme et invariable son
déplacement de va-et-vient.
[0015] Une idée avantageuse également de l'invention est de pourvoir ou de donner au membre
vertical des logements ou moyens extérieurs pour assurer le déplacement maximum du
support de contact mobile, en assurant à la fois le débranchement de ceux-ci même
si ils auraient pu communiquer (collés) par réchauffage des plots.
DESCRIPTION DE L'INVENTION
[0016] Par rapport à l'exposition précédente concernant l'activité inventive, celle-ci,
structurellement se manifeste par une réalisation préférentielle de l'invention qui,
à cet effet, est exposée en détail dans ce chapitre descriptif.
[0017] La structure principale du basculant comporte deux éléments communs, tels que l'axe
transversal commun de pivotement pour basculement, le bras basculant longitudinal
en croisillon sur cet axe, composé de deux parties égales pourvues des prises pour
la touche, et du membre vertical intégrant, composant ou support de la glissade.
[0018] Une caractéristique principale du membre vertical, selon l'invention, est qu'il est
intégré de deux parois prismatiques parallèles qui conforment à elles deux le logement
des mécanismes de la glissade, pourvues intérieurement de canaux taillés dans leurs
parois pour le guidage du ressort de tension et latéralement, sur les côtés ouverts,
pourvue de petites cloisons centrales partielles qui constituent les points d'enclenchement
pour la fixation de la glissade.
[0019] Un autre détail lié aux petites cloisons de fixation de la glissade consiste en ce
que, de préférence, elles se trouvent légèrement en retrait par rapport aux bords
des parois du membre vertical pour maintenir un espace extérieur qui servira d'ajustement
pour la glissade, dans une éventuelle version de fixation de celle-ci à l'extérieur.
[0020] La glissade, organe principal du mécanisme, intègre essentiellement, selon l'invention,
une pièce ayant la forme d'une fourche en "U", de section prismatique adéquate, qui
dans les extrémités libres de ses branches parallèles a des moyens, vers l'intérieur
ou vers l'extérieur, d'ancrage pour se fixer par enclenchement (et une certaine pression
élastique) contre le bord supérieur des petites cloisons latérales. Ces moyens d'enclenchement
sont des onglettes angulaires qui s'accrochent sur ces petites cloisons par effet
de la pression dérivée du matériel de la fourche et du coefficient assuré par son
ouverture centrale.
[0021] La glissade, sur son côté commun, selon l'invention, comprend une billette prismatique
axiale qui présente à l'intérieur une tige coaxiale à celle-ci et une section oblongue
qui a des facettes plates latérales pour recevoir et loger à pression l'extrémité
inférieure du ressort, en produisant une déformation relative de celui-ci, mais en
assurant son immobilisation. Action qui, associée à son reguidage à travers les tailles
intérieures du membre vertical, absorbent les tensions du ressort dans ses réactions
contractiles en empêchant que le ressort soit délogé rendant le mécanisme inefficace.
[0022] Une autre particularité avantageuse de la glissade consiste en ce que de l'extérieur,
la billette est associée à une pointe de glissade qui est en alignée avec le bras
commun de la fourche, qui a une dimension équivalente au diamètre de la billette et
une pointe de friction émoussée ou demi arrondie qui est disposée transversalement
à la base du support de contact mobile, en glissant uniformément sur cette base et
en la cernant de part et d'autre, de sorte que le déplacement du support de contact
se fait sur toute l'étendue de sa base, en assurant son déplacement et en évitant
tout déséquilibre ou altération, balancement, déplacement ou dénivellement du tout
petit support de contact mobile.
[0023] En rapport avec le comportement de ce déplacement et afin d'assurer un bon contact
ou le débranchement de ce lui-ci, le membre vertical du basculant, selon l'invention,
de l'extérieur, comprend les rabaissements ou dépressions respectifs localisés dans
ses extrémités inférieures, en assurant un déplacement maximum du support de contact
mobile lorsque la patte de celui-ci est rentrée, tangentiellement, dans la paroi du
membre vertical. Cette approximation maximum assure que la patte opposée se plaque
de manière efficace contre la borne (contact) fixe. Elle assure également de manière
efficace que dans le déplacement contraire, la glissade entraîne fortement la patte
tangente, en assurant la rupture même si le contact restait communiqué pour une cause
éventuelle quelconque, généralement un réchauffage ou un court-circuit.
[0024] La friction linéale assurée par la pointe large de la glissade, avec une bande de
friction qui correspond au point maximum de l'arc du bord émoussé de cette pointe,
et où ce bord peut être réalisé avec un profil longitudinalement strié pour que toute
déviation de l'angle d'appui de la glissade sur le support de contact mobile permette
d'assurer l'appui de l'une de ces stries et la friction sûre de la pointe de la glissade.
[0025] Nous réalisons ci-dessous une idée plus ample des caractéristiques essentielles de
l'invention en faisant référence à la planche de dessin jointe à ce mémoire, dans
laquelle sont représentés, de manière quelque peu schématique et à titre d'exemple
uniquement, les détails préférés de l'invention.
Dans les dessins:
[0026] La figure 1 est un ensemble en perspective de l'organe basculant pour interrupteur,
selon une réalisation de l'invention vue du dessus.
[0027] La figure 2 est une représentation pareille à celle qui précède, vue du dessous.
[0028] La figure 3 est une vue en projection latérale de l'ensemble du basculant en action
sur un support de contact mobile.
[0029] La figure 4 est une vue en section sur la ligne A-A de la figure 3.
[0030] Les figures 5, 6 et 7 sont des représentations en perspective vues du dessus, de
côté et du dessous de l'organe basculant ou croisillon.
[0031] Les figures 8, 9 et 10 sont des représentations en perspective vues de côté, en raccourci
et du côté opposé à la glissade.
[0032] Les figures 11 et 12 sont des vues en perspective de côté de la glissade dans une
variante de réalisation selon l'invention.
DESCRIPTION DES DESSINS
[0033] Par rapport à ces illustrations, le numéro (1) signale d'une manière générale l'organe
basculant, le (2) étant l'axe transversal de pivotement et d'articulation, (3-3a)
étant les deux branches du bras longitudinal basculant qui a des moyens (3b-3c) pour
la fixation de la touche et, du noyau duquel se projette verticalement le membre (5)
de logement pour les mécanismes de la glissade.
[0034] Ce membre (5) est composé de deux parois sensiblement rectangulaires (4-4a) prismatiques
et séparées para un logement (6) pour les mécanismes de la glissade qui sont, intérieurement,
aménagés pour guider le ressort (7) de tension de la glissade au moyen de demi canaux
en demi tige (8-9) taillés à l'intérieur de celles-ci (10-11).
[0035] Le logement (6) dans les ouvertures latérales présente de petites cloisons (12-13)
(fig. 4 et 6) centrales et légèrement en retrait par rapport au bord extérieur des
parois (4-4a) du membre vertical (5) qui servent d'enclenchement ou de fixation pour
les moyens d'ancrage de la glissade.
[0036] La pièce de glissade (14) est une fourche en "U" qui, dans les extrémités libres
de ses branches parallèles (17-18) comprend des crochets d'ancrage (15-16) disposées
pour son enclenchement contre le bord supérieur des petites cloisons (12-13) qui ferment
partiellement l'ouverture (6) entre les parois (4-4a) du membre vertical (5).
[0037] Ces crochets d'ancrage (15-16), selon la version des figures 1, 2, 4, 8, 9 et 10,
sont orientés vers l'intérieur des branches verticales (17-18) de la fourche en "U"
(14) de sorte que l'enclenchement est fait de l'extérieur à l'intérieur des petites
cloisons (12-13) et dont le retrait évite que la partie la plus importante des branches
(17-18) dépasse les bords du membre vertical (5). Mais les crochets d'ancrage (15a-16a)
de la version des figures 11 et 12 sont orientés vers l'extérieur des branches (17-18),
l'enclenchement se produisant sur les petites cloisons (12-13) de l'intérieur à l'extérieur.
Dans ce cas, l'ouverture de la fourche (14) doit être resserrée pour être montée à
l'intérieur du logement (6) du membre vertical (5).
[0038] L'opération simplifiée de montage est facilitée par le fait que les mécanismes sont
logés par l'entrée inférieure du logement (6) du membre vertical (5) conjointement.
Il suffit que le ressort (7) soit monté sur les moyens dont est pourvu à cet effet
la glissade (14) et se loge de manière unitaire jusqu'à ce que les crochets d'ancrage
(15-16) ou (15a-16a) soient enclenchés dans les parois (12-13).
[0039] Le ressort de tension (7) est encastré dans une tige (21), coaxiale à une billette
cylindrique (19) qui coupe verticalement le tronçon commun inférieur (20) de la fourche
(14). Cette tige a une section oblongue à facettes latérales (22) qui augmentent le
diamètre transversal de la tige (21) pour que le ressort (7) s'encastre par pression.
De cette manière, sa position dans la glissade (14) est assurée, en se guidant également,
lors de son introduction dans le logement (6) du membre vertical (5), par les demi
canaux de demi tige (8-9) taillés dans les faces intérieures des parois (10-11). Cette
disposition assure que le ressort ne sorte pas du logement (6) lorsqu'il subit au
cours des différentes manoeuvres les tensions contractiles de l'effort et les déformations
logiques de celui-ci.
[0040] La glissade (14) est dotée d'une pointe de glissade (23) exceptionnelle qui est alignée
avec le bord inférieur du côté commun (20) de la fourche (14), avec une largeur équivalente
au diamètre de la billette (19). Une dimension qui couvre la largeur totale de la
base (25) du support de contact mobile (fig. 3). Cette pointe (23) a un bord de friction
(24) demi rond qui assure une bonne glissade sur la surface de la base (25) sur laquelle
elle se frotte de manière uniforme sur toute sa largeur. Néanmoins, dans une version
optionnelle, la pointe arrondie (24) peut être formée de stries longitudinales (24a)(fig.
2) qui assurent la friction permanente de l'un de ses bords, quelle que soit l'inclinaison
de la glissade (14) dans ses manoeuvres respectives.
[0041] Comme il a été dit, la pointe (23) de la glissade (14) frotte sur son bord (24-24a)
de manière uniforme et sur toute la largeur de la base (25) du support de contact
mobile (fig. 3) en déplaçant le balancier dans ses mouvements de va-et-vient pour
porter les pattes (26-26a) et leurs contacts respectifs (26b-26c) contre les bornes
fixes. Ce déplacement, dû aux caractéristiques de la pointe (23), est assuré de manière
optimale, mais on a prévu de plus les rabaissements (27-28) correspondants extérieurs
sur les extrémités inférieures des parois (4-4a) pour permettre que la patte (26 ou
26a) du support de contact mobile opposée à la patte déplacée, tangente au membre
vertical (5), se loge dans le rabaissement (27-28) respectif, en assurant le déplacement
maximum de la patte opposée et en garantissant ainsi le contact avec les bornes fixes.
[0042] La proximité ou le rapprochement de la patte tangente (26 ou 26a) dans le rabaissement
(27-28) opposé à celle du contact permet que le déplacement de retour se réalise de
manière efficace, car le membre vertical (5) tirera fortement sur la patte tangente
en provoquant la séparation (rupture) certaine de la patte en contact, en l'obligeant
à se séparer même si elle est restée communiquée ou court-circuitée.
[0043] Une fois la nature de l'invention convenablement décrite, on signale, pour servir
et valoir ce que de droit, que celle-ci ne se limite pas aux détails exacts de cette
exposition mais, qu'au contraire, on y introduira les modifications considérées opportunes,
à condition de ne pas altérer ses caractéristiques essentielles, qui sont revendiquées
ci-après.
1. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, comportant
un axe transversal (2) de pivotement en croisillon avec les bras basculants (3-3a)
et perpendiculaire à ceux-ci le membre vertical (5) porte-mécanismes, se caractérisant
en ce que ce membre est intégré des parois prismatiques (4-4a) séparées par un logement
(6) qui comprend intérieurement des moyens pour le guidage du ressort de tension (7),
et latéralement des moyens pour l'enclenchement d'un organe de glissade (14) qui loge,
d'en bas, dans le logement (6) dont la glissade (14) a des moyens d'enclenchement,
des moyens de fixation du ressort (7) et des moyens pour le déplacement uniforme du
support de contact mobile par friction sur toute la bande.
2. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
le logement (6) de la revendication 1ère se caractérise en ce qu'il possède les demi
canaux respectifs (en demi tige) (8-9) taillées verticalement dans les faces intérieures
(10-11) des parois (4-4a) du membre vertical (5) et qui a latéralement de petites
cloisons (12-13) intermédiaires, séparées en haut et en bas du logement (6), et légèrement
en retrait par rapport aux bords latéraux des parois (4-4a) du membre vertical (5).
3. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
la glissade (14) de la revendication 1ère se caractérise en qu'elle comprend une fourche
en "U" de sections prismatiques, dont les branches verticales parallèles (17-18) sont
couronnées par les crochets d'ancrage (15-16) correspondants et dont le tronçon commun
ou base (20) du "U" a une billette cylindrique (19) qui coupe cette base (19) et qui,
de manière coaxiale, par dessus, a les moyens de montage pour le ressort de tension
(7) et par dessous la pointe de glissade.
4. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
les crochets d'ancrage (15-16) de la revendication précédente se caractérisent en
ce qu'ils sont disposés vers l'extérieur des bras (17-18) de la fourche pour son enclavement
dans les petites cloisons (12-13) de l'extérieur vers l'intérieur et/ou dans une autre
version dans laquelle les crochets d'ancrage (15a-16a) sont disposés à l'inverse pour
leur enclenchement à l'envers du précédent.
5. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
les moyens de montage pour le ressort (7) de la revendication 3ème se caractérisent
en ce qu'ils sont une tige (21) de section oblongue à chanfreins latéraux (22) augmentant
l'axe transversal pour assurer l'encastrement par pression de ce ressort (7).
6. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
la pointe de glissade de la 3ème revendication se caractérise en ce qu'une saillie
rectangulaire (23) alignée avec la base (20) y de largeur équivalente au diamètre
de la billette (19) avec un bord de friction arrondi ou endossé (24) pour assurer
le glissement sur toute la base (25) (de part et d'autre) du support de contact mobile.
7. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
la pointe de glissade (23) de la 6ème revendication se caractérise en ce que le bord
de friction arrondi ou endossé (24) dispose d'une version striée longitudinalement
(24a).
8. ORGANE BASCULANT A GLISSER POUR INTERRUPTEURS OU MECANISMES ELECTRIQUES, dans lequel
le membre vertical (5) des revendications 1 et 2 se caractérise en ce qu'il comporte
des rabaissements extérieurs (27-28) situés sur les extrémités des parois (4-4a) pour
reloger les pattes (26-26a) du support de contact mobile dans ses déplacements basculants,
et assurer une cote de déplacement maximum.