[0001] La présente invention concerne une montre de poche et de table, comportant une boîte
de montre et un dispositif de suspension et de support monté sur ladite boîte et pourvu
de moyens de suspension, ledit dispositif comportant une articulation permettant de
mettre la montre sélectivement dans une position de suspension et dans une position
de table dans laquelle, lorsque la montre est posée sur une surface sensiblement horizontale,
ledit dispositif maintient la boîte dans une position dressée ou inclinée par rapport
à ladite surface, le dispositif de suspension et de support comportant deux pièces
reliées mutuellement par l'articulation, à savoir une première pièce montée sur la
périphérie de la boîte et une seconde pièce sensiblement plane et pourvue d'un organe
de suspension, les deux pièces butant l'une contre l'autre pour arrêter la première
pièce sous un angle aigu par rapport à la seconde dans la position de table.
[0002] L'invention concerne également un dispositif de suspension et de support destiné
à être monté de manière amovible sur une boîte de montre et pourvu de moyens de suspension,
ledit dispositif comportant une articulation permettant de mettre la montre sélectivement
dans une position de suspension et dans une position de table dans laquelle, lorsque
la montre est posée sur une surface sensiblement horizontale, ledit dispositif maintient
la boîte dans une position dressée ou inclinée par rapport à ladite surface, le dispositif
comportant deux pièces reliées mutuellement par l'articulation, à savoir une première
pièce destinée à être fixée à la boîte et une seconde pièce sensiblement plane et
pourvue d'un organe de suspension, les deux pièces butant l'une contre l'autre pour
arrêter la première pièce sous un angle aigu par rapport à la seconde dans la position
de table.
[0003] Les montres de poche traditionnelles comportent un anneau de suspension, appelé bélière
et destiné à l'accrochage d' une chaînette. Cet anneau est habituellement articulé
sur un élément fixe appelé pendant, qui porte la tige et la couronne de remontoir.
Dans les brevets suisses No 50581 et No 121 145, il a été proposé d'incorporer cet
anneau à un étrier qui peut basculer pour servir de chevalet permettant de poser la
montre sur une table ou un autre meuble à la manière d'une pendulette. A l'époque,
une telle montre était appelée montre-chevalet ou montre-portefeuille. Cependant,
les systèmes de ce genre ont été abandonnés parce qu'ils nécessitent des organes spéciaux
pour l'accrochage et le blocage en position du chevalet sur la boîte de montre. En
particulier, à cause de la friction, ces systèmes s'usent et n'offrent évidemment
pas les meilleures garanties de stabilité et de fiabilité à long terme.
[0004] La publication EP-A-0 290 935 illustre, dans ses figures 2 et 6, une montre de poche
équipée d'un dispositif de suspension et de support qui comprend trois pièces. La
première pièce est un réceptacle pourvu d'une cavité, dans laquelle la boîte de montre
est retenue par des ailes élastiques, et d'une potence supérieure ayant un logement
sphérique ouvert latéralement. La deuxième pièce est un support de suspension ayant
une rotule qui s'engage de manière amovible dans ledit logement sphérique. La troisième
pièce est un chevalet séparé ayant une rotule analogue et un épaulement qui peut s'appuyer
au dos de la première pièce pour maintenir la montre en position inclinée sur une
table, lorsque cette troisième pièce est mise à la place de la deuxième. L'existence
de trois pièces dont l'une doit toujours être enlevée du dispositif représente un
inconvénient majeur pour les utilisateurs, d'autant plus que le chevalet est trop
encombrant pour que l'utilisateur le porte constamment sur lui.
[0005] Le brevet suisse No 323 379 décrit une montre du genre défini en préambule, qui peut
être tantôt suspendue, tantôt disposée en chevalet. Son dispositif de suspension et
de support comprend trois pièces, dont la première forme une monture annulaire dans
laquelle la boîte de montre est montée de manière pivotante sur un axe disposé horizontalement.
Cette monture comporte une anse rigide proéminente vers l'arrière et vers le haut.
Une deuxième pièce plate est articulée à l'une de ses extrémités sur l'anse et à l'autre
extrémité sur une troisième pièce appartenant à un porte-clés. Dans la position dite
de table, le dispositif joue le rôle d'un chevalet en reposant sur la table par la
troisième pièce et par l'articulation de la deuxième pièce sur la première. Comme
ladite articulation se trouve alors en avant du plan de la monture annulaire, cette
monture bute sur la deuxième pièce à distance de l'articulation pour rester dans une
position inclinée vers l'arrière. On retourne alors la montre pivotante pour que son
cadran apparaisse du côté de l'articulation.
[0006] Cette construction connue est relativement compliquée, notamment à cause du montage
pivotant de la boîte de montre. De plus, on ne peut pratiquement pas porter la montre
dans une poche de vêtement, à cause de l'anse saillante par rapport au plan médian
de la boîte et de la monture annulaire.
[0007] La présente invention vise à perfectionner une montre du genre indiqué en préambule,
en particulier son dispositif de suspension et de support, de façon qu'on puisse faire
passer la montre d'une position à l'autre d'une manière très simple, sans usure, et
de façon que l'ensemble puisse être fabriqué à faible coût et présente un faible encombrement,
notamment sans présenter d'éléments saillants ou gênants sur la boîte de montre et
sur le dispositif de suspension et de support monté sur la boîte. Un but particulier
consiste à permettre de monter ce dispositif d'une manière amovible sur une boîte
de montre, afin de pouvoir monter parfois cette boîte sur un autre support, par exemple
pour l'utiliser comme montre-bracelet.
[0008] Dans ce but, une montre selon l'invention est caractérisée en ce que la boîte présente
une gorge continue ou discontinue sur sa périphérie et en ce que la première pièce
est accrochée à la boîte de manière amovible et comporte un anneau ouvert s'étendant
le long de la périphérie de la boîte sensiblement dans un plan médian de la boîte,
ledit anneau étant élastique dans son plan pour s'accrocher par élasticité à la boîte
et comportant des moyens d'accrochage agencés pour s'engager dans ladite gorge.
[0009] De même, un dispositif de suspension et de support selon l'invention est caractérisé
en ce que la première pièce comporte un anneau ouvert agencé pour s'étendre le long
de la périphérie de la boîte, ledit anneau étant élastique dans son plan pour s accrocher
à la boîte de manière amovible.
[0010] Ainsi, tant que l'utilisateur désire utiliser la montre avec son dispositif de suspension
et de support, la première pièce de ce dernier peut rester accrochée en permanence
a la boîte de montre, donc sans user celle-ci. Dans la position de suspension, la
seconde pièce peut être suspendue de manière connue, par exemple à une boucle ou un
mousqueton d'une chaînette, et la première pièce avec la montre lui est suspendue
simplement par l'articulation, qui peut jouer librement s'il le faut. Pour passer
à la position de table, il suffit de faire pivoter l'articulation jusqu'à ce que les
deux pièces butent l'une contre l'autre et de poser la seconde pièce à plat sur une
surface horizontale. Ces mouvements ne causent aucune usure.
[0011] Par ailleurs, comme le dispositif de suspension et de support est amovible par rapport
à la montre, la montre pourra aussi être utilisée avec un autre support. La configuration
des moyens élastiques d'accrochage sera de préférence adaptée à la configuration d'une
gorge périphérique ménagée sur une boîte de montre de fabrication courante, par exemple
en matière plastique moulée, si bien que le dispositif peut se trouver entièrement
dans le plan médian de la montre et s'avère donc peu encombrant quand la montre est
mise dans une poche. Dans la position de table, l'ensemble peut reposer sur une surface
horizontale uniquement par la seconde pièce, qui est de préférence plate, de sorte
qu'elle ne risque pas de rayer cette surface comme pourrait le faire un chevalet.
[0012] De préférence, dans la position de table, la première pièce et la seconde pièce butent
l'une contre l'autre à proximité de l'articulation grâce à un épaulement créé sur
l'une desdites pièces par un évidement ménagé dans l'épaisseur de cette pièce entre
l'articulation et ledit épaulement. Ce système a l'avantage d'éviter toute butée saillante
qui pourrait être gênante sur l'une ou l'autre des pièces.
[0013] D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront dans
la description suivante d'une forme de réalisation préférée, présentée à titre d'exemple
uniquement et en référence aux dessins annexés, dans lesquels :
- la figure 1 est une vue frontale d'une montre selon l'invention, dans sa position
de suspension;
- la figure 2 représente la montre de la figure 1 dans sa position dite de table;
- la figure 3 est une vue arrière du dispositif de suspension et de support de la montre
de la figure 1,
- la figure 4 est une vue en coupe suivant la ligne IV-IV de la figure 3, et
- la figure 5 est une vue en coupe suivant la ligne V-V de la figure 3.
[0014] La montre de poche et de table représentée aux figures 1 et 2 se compose d'une montre
classique 1 et d'un dispositif de suspension et de support 2 sur lequel la montre
1 est montée de manière amovible. La montre 1 comporte une boîte circulaire 3 d'où
émerge une couronne de commande 4, la face avant de la montre comportant une glace
5 à travers laquelle on peut lire l'heure indiquée par des organes d'affichage classiques
6. La structure et la matière de la boîte 3 peuvent être quelconques, mais il s'agit
de préférence d'une pièce moulée en matière synthétique. Une gorge continue 7 à profil
en V, disposée sensiblement dans le plan médian 8 de la boîte 3, s'étend le long de
la périphérie 9 de la boîte, sauf dans la zone de la couronne 4. Des montres de ce
genre sont commercialisées par la société Swatch AG, Bienne (Suisse) sous la marque
POP SWATCH et sont destinées à être montées de manière amovible sur un bracelet par
l'intermédiaire d'organes d'accrochage s'engageant dans la gorge 7.
[0015] Le dispositif de suspension et de support 2 est illustré plus particulièrement par
les figures 3 à 5. Il comprend essentiellement une première pièce 11 et une seconde
pièce 12 qui sont reliées par une articulation 13 d'axe 14. Dans cet exemple, les
pièces 11 et 12 sont rigides et métalliques, mais on pourrait les réaliser en d'autres
matières, notamment en matières synthétiques. La première pièce 11 à la forme d'un
anneau ouvert agencé pour s'étendre le long de la périphérie 9 de la boîte 3, en regard
de la gorge 7 de façon à s'engager élastiquement dans cette gorge. L'ouverture latérale
15 de cet anneau est destinée à laisser place à la couronne 4 (figure 1), de sorte
que la couronne se trouve à l'opposé de l'articulation 13. On distingue dans la première
pièce 11 un partie de base 16, située à l'opposé de l'ouverture 15 et raccordée à
l'articulation 13, et deux bras latéraux 17 et 18 qui sont légèrement flexibles dans
le plan de l'anneau afin qu'on puisse les écarter pour monter ou démonter la boîte
3 dans la pièce 11, les deux bras 17 et 18 servant ensuite d'organes d'accrochage
dans la gorge 7 pour maintenir la boîte 3 serrée entre eux. Près de l'extrémité libre
19, 20 de chaque bras 17, 18, il est prévu une petite butée saillante 21, 22 destinée
à s'appuyer sur le fond de la gorge 7 afin de garantir un positionnement précis de
la boîte 3 dans la pièce 11. On obtient ainsi un blocage aussi bien longitudinal que
transversal, car une extrémité de chaque butée 21, 22, du côté de l'ouverture 15,
bute contre une extrémité correspondante de la gorge 7. La montre 1 est ainsi fixée
sans jeu, par "clipsage", dans le dispositif de suspension et de support 2. La seconde
pièce 12 du dispositif 2 a la forme générale d'un anneau sensiblement plat et rectangulaire,
mais elle pourrait aussi se présenter sous la forme d'un arceau ou d'une plaque percée
d'un trou servant de moyen de suspension. Pour son raccordement à la pièce 11 par
l'articulation 13, une extrémité de la pièce 12 présente deux pattes 24 percées d'un
trou transversal, ces deux pattes se plaçant de part et d'autre d'une protubérance
25 de la partie centrale 16 de la pièce 11. Cette protubérance 25 est également percée
d'un trou qui est aligné avec ceux des pattes 24. On place dans ces trois trous une
cheville d'articulation sous la forme d'une vis 26 engagée dans un écrou tubulaire
cylindrique 27. On notera que l'articulation 13 se trouve à proximité du plan médian
8 de la boîte 3, laquelle tend donc à rester verticale quand la montre est suspendue.
Dans cette position, les deux pièces 11 et 12 s'étendent sensiblement dans le même
plan 8, si bien que la montre est peu encombrante, en particulier lorsqu'on le met
dans une poche d'un vêtement. Du côté opposé à l'articulation 13, l'autre extrémité
de la pièce 12 est conformée pour former un organe de suspension constitué par une
partie plus mince en forme de barreau cylindrique 28, permettant d'accrocher le mousqueton
40 d'une chaînette de suspension 41. Le mousqueton est maintenu en position centrée
sur la pièce 12 par les parties adjacentes plus épaisses 29 de cette pièce.
[0016] Sur la face arrière de la pièce 12, c'est à dire sa face opposée à la face avant
de la montre 1, il est prévu un évidement 31 ménagé dans l'épaisseur de chacune des
pattes 24 afin de créer à côté de lui un épaulement non saillant 32 qui pourra buter
contre la partie de base 16 de la pièce 11 lorsqu'on fait pivoter la pièce 12 vers
l'arrière pour mettre la montre dans sa position de table. Dans cette position, les
deux pièces forment un angle aigu et la face avant plane 33 de la pièce 12 servant
de socle pourra reposer sur n'importe quelle surface horizontale 34, comme le montre
la figure 2. La pièce 11 et la montre 1 sont alors maintenues dans une position dressée,
légèrement inclinée en arrière, si bien que leur centre de gravité se trouve approximativement
au-dessus du centre de la pièce 12. La forme plate et rectangulaire de celle-ci assure
une bonne stabilité de l'ensemble. La couronne 4 et la position 12 heures du cadran
de la montre sont alors dirigées vers le haut, tandis qu'elles sont dirigées vers
le bas quand la montre est suspendue.
[0017] On peut envisager de multiples modifications ou variantes de la réalisation décrite
ci-dessus sans sortir du cadre de l'invention. Par exemple, la gorge 7 pourrait être
discontinue, la première pièce 11 ayant alors des organes d'accrochage configurés
en conséquence. La pièce 11 pourrait avoir deux bras d'inégales longueurs, ou même
un seul bras. Au lieu des deux épaulements 32, on pourrait prévoir un seul épaulement
ou un autre élément formant une butée, et ceci sur n'importe laquelle des deux pièces
11 et 12. Dans toutes ces variantes, le dispositif de suspension et de support selon
l'invention permet de porter la montre dans certaines circonstances comme montre de
poche ou comme pendentif, et dans d'autres circonstances de la poser sur un meuble,
notamment durant la nuit ou au bureau.
[0018] Par ailleurs, on conçoit qu'il est possible d'ôter parfois la montre 1 du dispositif
de suspension et de support pour la monter sur un bracelet équipé de moyens d'accrochage
appropriés, afin d'en faire une montre-bracelet.
1. Montre de poche et de table, comportant une boîte de montre (3) et un dispositif de
suspension et de support (2) monté sur ladite boîte, ledit dispositif comportant une
articulation (13) permettant de mettre la montre sélectivement dans une position de
suspension et dans une position de table dans laquelle, lorsque la montre est posée
sur une surface sensiblement horizontale (34), ledit dispositif maintient la boîte
dans une position dressée ou inclinée par rapport à ladite surface, le dispositif
de suspension et de support (2) comportant deux pièces (11 et 12) reliées mutuellement
par l'articulation (13), à savoir une première pièce (11) montée sur la périphérie
de la boîte et une seconde pièce (12) sensiblement plane et pourvue d'un organe de
suspension (28), les deux pièces butant l'une contre l'autre pour arrêter la première
pièce sous un angle aigu par rapport à la seconde dans la position de table, caractérisée
en ce que la boîte (3) présente une gorge continue ou discontinue (7) sur sa périphérie
et en ce que la première pièce (11) est accrochée à la boîte (3) de manière amovible
et comporte un anneau ouvert s'étendant le long de la périphérie de la boîte (3) sensiblement
dans un plan médian (8) de la boîte, ledit anneau étant élastique dans son plan pour
s'accrocher par élasticité à la boîte et comportant des moyens d'accrochage (17, 18,
21, 22) agencés pour s'engager dans ladite gorge (7).
2. Montre selon la revendication 1, caractérisée en ce qu'une couronne de commande (4)
de la montre est placée dans l'ouverture (15) dudit anneau.
3. Montre selon la revendication 1, caractérisée en ce que lesdits moyens d'accrochage
(17, 18, 21, 22) sont agencés pour se bloquer longitudinalement et transversalement
dans la gorge.
4. Montre selon la revendication 3, caractérisée en ce que lesdits moyens d'accrochage
comportent deux butées saillantes (21, 22) qui butent contre deux extrémités de la
gorge (7) pour assurer le blocage longitudinal.
5. Montre selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que l'articulation
(13) est disposée à proximité du plan médian (8) de la boîte.
6. Montre selon l'une des revendications précédentes, caractérisée en ce que la seconde
pièce (12) est une plaque ou un anneau de forme sensiblement plate, ayant une extrémité
raccordée à la première pièce par l'articulation (13) et une extrémité opposée conformée
pour former l'organe de suspension (28).
7. Dispositif de suspension et de support (2) destiné à être monté sur une boîte de montre
(3), ledit dispositif comportant une articulation (13) permettant de mettre la montre
sélectivement dans une position de suspension et dans une position de table dans laquelle,
lorsque la montre est posée sur une surface sensiblement horizontale (34), ledit dispositif
maintient la boîte dans une position dressée ou inclinée par rapport à ladite surface,
le dispositif comportant deux pièces (11 et 12) reliées mutuellement par l'articulation
(13), à savoir une première pièce (11) destinée à être fixée à la boîte (3) et une
seconde pièce (12) sensiblement plane et pourvue d'un organe de suspension (28), les
deux pièces butant l'une contre l'autre pour arrêter la première pièce sous un angle
aigu par rapport à la seconde dans la position de table, caractérisé en ce que la
première pièce (11) comporte un anneau ouvert agencé pour s'étendre le long de la
périphérie de la boîte (3), ledit anneau étant élastique dans son plan pour s'accrocher
à la boîte de manière amovible.
8. Dispositif selon la revendication 7, caractérisé en ce que la première pièce (11)
et la seconde pièce (12), dans la position de table, butent l'une contre l'autre à
proximité de l'articulation (13) grâce à un épaulement (32) créé sur l'une desdites
pièces par un évidement (31) ménagé dans l'épaisseur de cette pièce entre l'articulation
(13) et ledit épaulement (32).
9. Dispositif selon la revendication 7 ou 8, caractérisé en ce que la seconde pièce (12)
est une plaque ou un anneau de forme sensiblement plate, ayant une extrémité raccordée
à la première pièce par l'articulation (13) et une extrémité opposée conformée pour
former l'organe de suspension (28).
10. Dispositif selon la revendication 9, caractérisé en ce que, dans la position de suspension,
ses deux pièces (11 et 12) s'étendent sensiblement dans un même plan (8), dans lequel
se trouve aussi l'articulation (13).