[0001] La présente invention concerne la fabrication de pièces en acier dont au moins une
partie de la surface est durcie par cémentation ou carbonitruration, suivi d'une trempe
à l'huile ou au gaz.
[0002] De nombreuses pièces de mécaniques en acier, telles que, par exemple, les engrenages,
sont durcies en surface par cémentation ou carbonitruration. Pour cela, les pièces
sont maintenues dans une atmosphère riche en carbone ou en carbone et en azote à une
température supérieure à 900 °C pendant quelques heures, de façon à enrichir l'acier
en carbone ou en carbone et en azote sur une certaine profondeur sous la surface,
par diffusion de ces éléments à partir de la surface, puis, les pièces sont trempées
à l'huile froide, tiède ou chaude, ou au gaz, de façon à durcir la surface. La cémentation
ou la carbonitruration peut être effectuée également à une température supérieure
à 1000 °C, on dit alors qu'il s'agit d'une cémentation ou d'une carbonitruration à
haute température.
[0003] Pour fabriquer de telles pièces on utilise des aciers contenant de 0,15 % à 0,35
% de carbone, alliés au chrome, ou alliés au chrome et au molybdène, ou encore, alliés
au chrome et au manganèse. Cette technique qui permet d'obtenir une dureté élevée
en surface et au voisinage de celle ci, et qui permet, également, d'obtenir de bonnes
caractéristiques mécaniques au coeur des pièces, présente cependant l'inconvénient
d'engendrer des déformations pouvant conduire au rebut des pièces ou nécessitant des
usinages supplémentaires coûteux.
[0004] Le but de la présente invention est de remédier à cet inconvénient en proposant un
moyen pour fabriquer des pièces en acier dont au moins une partie de la surface est
durcie par cémentation ou par carbonitruration notamment à haute température.
[0005] A cet effet, l'invention a pour objet un procédé de fabrication d'une pièce de mécanique
en acier selon lequel on fabrique une ébauche de pièce en acier et on effectue un
traitement de cémentation ou de carbonitruration notamment à haute température d'au
moins une partie de la surface de l'ébauche de la pièce. Selon ce procédé, la composition
chimique de l'acier dont est constitué la pièce, comprend, en poids :







éventuellement, jusqu'à 0,02 % de tellure, jusqu'à 0,04 % de sélénium, jusqu'à 0,07
% de plomb, jusqu'à 0,005 % de calcium, le reste étant du fer et des impuretés résultant
de l'élaboration. De plus, la composition chimique de l'acier est ajustée pour que
la courbe JOMINY de l'acier soit telle que :



et pour que les valeurs moyennes J
3m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :

et,

[0006] De préférence, la courbe JOMINY est telle que l'une au moins des conditions suivantes
soit satisfaite :

et :

[0009] De préférence, la teneur en azote de l'acier est comprise entre 0,004 % et 0,02 %,
et l'acier peut contenir de 0 % à 0,05 % de titane.
[0010] L'invention concerne également un acier de cémentation dont la composition chimique
est celle qui vient d'être indiquée ; cet acier de cémentation ayant une courbe JOMINY
telle que :



les valeurs moyennes J
3m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY étant telles que :

et,

De préférence, les valeurs moyennes J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY sont telles que l'une au moins des conditions suivantes soit
satisfaite :

et :

[0011] L'invention va maintenant être décrite plus en détails mais de façon non limitative,
et illustrée par des exemples.
[0012] Les inventeurs ont constaté de façon nouvelle et inattendue, que les déformations
engendrée par la trempe qui est effectuée en fin de traitement de cémentation ou en
fin de carbonitruration pouvaient être considérablement atténuées, voire supprimées,
à condition d'utiliser, pour fabriquer la pièce, un acier dont la courbe JOMINY ne
présente pratiquement pas de points d'inflexion, contrairement aux courbes JOMINY
des aciers utilisés habituellement pour cet usage. Plus précisément, ils ont constaté
qu'il était souhaitable d'utiliser un acier contenant
- de 0,15 % à 0,35 % de carbone pour que l'acier soit facilement usinable, et pour obtenir
une ténacité suffisante dans les parties non cémentées ou non carbonitrurées de la
pièce;
- jusqu'à 0,6 % de silicium pour assurer une désoxydation suffisante de l'acier ;
- des éléments d'alliage tels que le manganèse, le chrome, le molybdène et le nickel,
en des teneurs telles que leur somme reste inférieure à 5 % de façon à apporter une
trempabilité suffisante, ajuster la forme de la courbe JOMINY et ajuster les propriétés
mécaniques de la pièce tant à coeur que dans les zones cémentées ou carbonitrurées
;
- jusqu'à 0,1 % d'aluminium pour compléter la désoxydation et contrôler le grain ;
- moins de 0,5 %, de cuivre, qui est considéré comme une impureté qui tend à diminuer
la ductilité et la ténacité des zones non cémentées ou non carbonitrurées ;
- éventuellement, de 0 % à 0,05 % de titane pour former des nitrures durcissants ;
- de préférence, la teneur en azote, élément toujours présent et qui réagit avec l'aluminium
ou le titane pour former des nitrures, doit être comprise entre 0,004 % et 0,02 %;
- jusqu'à 0,15 % de soufre pour améliorer l'usinabilité ;
- moins de 0,03 % de phosphore qui est une impureté défavorable à la ductilité et à
la ténacité.
[0013] L'acier peut contenir, en outre, jusqu'à 0,02 % de tellure, jusqu'à 0,04 % de sélénium,
jusqu'à 0,07 % de plomb, jusqu'à 0,005 % de calcium, pour améliorer l'usinabilité.
Le reste de la composition est du fer et des impuretés résultant de l'élaboration
[0014] La composition chimique est ajustée pour que la courbe JOMINY de l'acier soit telle
que :



et pour que les valeurs moyennes J
3m, J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :

et,

[0015] La courbe JOMINY, est une courbe qui caractérise la trempabilité de l'acier. Elle
est obtenue en mesurant la dureté le long d'une génératrice d'une éprouvette cylindrique
trempée par un jet d'eau arrosant une de ses extrémités. La dureté mesurée à une distance
de x mm de l'extrémité arrosée est appelée J
x. Cet essai est bien connu de l'Homme du Métier. Il présente cependant la caractéristique
d'être naturellement assez dispersé. C'est pour cela que la forme de la courbe JOMINY
est caractérisée, ici, d'une part par des fourchettes de valeur pour les points J
3, J
11 et J
25, et par la relation : |J
11m - J
3m x 14 /22 - J
25m x 8/22| ≤ 2,5 HRC, qui fait intervenir les moyennes de cinq essais différents, effectués
avec le même acier. Plus précisément, on effectue successivement 5 essais identiques
; pour chaque essai, on mesure au moins les valeurs de J
3, J
7, J
11, J
15 et J
25, on obtient ainsi cinq valeurs pour J
3, J
7, J
11, J
15 et J
25, et on calcule pour chaque point J
x, la moyenne J
xm des cinq valeurs. Dans cette relation, les barres verticales sont le symbole connu
en lui même de la valeur absolue. La relation, elle même, combinée avec la relation
J
3m - J
15m ≤ 9 HRC ou ≤ 8 HRC, exprime que la courbe JOMINY ne présente pas d'inflexion marquées.
[0016] La forme souhaitée pour la courbe JOMINY peut être affinée en imposant qu'elle satisfasse
au moins une des relations suivantes :

et :

[0017] De telles courbes JOMINY peuvent être obtenues notamment avec un acier conforme à
ce qui vient d'être défini, mais dont la composition chimique comprend, plus précisément,
en poids :
- de 0,2 % à 0,26 %, et de préférence, de 0,21 % à 0,25 % de carbone pour avoir une
dureté pas trop grande dans les pièces avant cémentation ou carbonitruration, et pour
obtenir une bonne aptitude à la cémentation ou à la carbonitruration ;
- de 1 % à 1,6 %, et de préférence de 1,1 % à 1,5 % de manganèse pour obtenir une bonne
santé interne, pour fixer le soufre, et pour, en combinaison avec le chrome et le
molybdène, ajuster la trempabilité de façon à obtenir une courbe JOMINY satisfaisante
;
- de 0,05 % à 0,5 %, et de préférence, de 0,1 % à 0,45 % de silicium ;
- de 0,4 % à 1,5 % de chrome, et de préférence, de 0,9 % à 1,4 %, pour durcir la couche
cémentée ou carbonitrurée, et en combinaison avec le manganèse et le molybdène, ajuster
la trempabilité de façon à obtenir une courbe JOMINY satisfaisante ;
- de 0,08 % à 0,27 %, et de préférence, de 0,09 % à 0,26 % de molybdène, pour durcir
la couche cémentée ou carbonitrurée, contribuer à augmenter la résistance à l'oxydation,
et, en combinaison avec le manganèse et le chrome, ajuster la trempabilité de façon
à obtenir une courbe JOMINY satisfaisante ; la limite inférieure correspond à la valeur
minimale de la teneur en molybdène pour que cet élément ait un effet significatif
;
- de 0 % à 0,6 % de nickel pour améliorer la tenue au choc de la pièce.
[0018] De préférence, le teneur en cuivre reste inférieure à 0,3 %, la teneur en soufre
est comprise entre 0,02 % et 0,1 %, et il est mieux qu'elle reste inférieure à 0,09
%, la teneur en aluminium est comprise entre 0,003 % et 0,06 %, et il est préférable
qu'elle soit comprise entre 0,005 % et 0,05 %.
[0019] Comme indiqué ci dessus, l'acier peut contenir en outre un ou plusieurs éléments
pris parmi le tellure, le sélénium, le plomb et le calcium.
[0020] Pour fabriquer une pièce suivant l'invention, on fabrique avec un acier conforme
à l'invention une ébauche de pièce qu'on cémente ou qu'on carbonitrure à haute température
et qu'on trempe à l'huile ou au gaz, l'huile pouvant être froide, tiède ou chaude.
L'ébauche de pièce peut être fabriquée, par exemple, par forgeage et par usinage.
[0021] A titre d'exemple, on a réalisé des pièces avec six aciers selon l'invention, dont
les compositions chimiques étaient :
| |
C |
Mn |
Si |
S |
P |
Ni |
Cr |
Mo |
Cu |
Al |
| A |
0,23 |
1,25 |
0,27 |
0,028 |
0,018 |
0,2 |
1,15 |
0,1 |
0,14 |
0,028 |
| B |
0,24 |
1,4 |
0,4 |
0,05 |
0,02 |
0,25 |
1,0 |
0,24 |
0,25 |
0,04 |
| C |
0,21 |
1,35 |
0,15 |
0,07 |
0,025 |
0,35 |
1,25 |
0,18 |
0,2 |
0,01 |
| D |
0,21 |
1,27 |
0,25 |
0,03 |
0,02 |
0,21 |
1,12 |
0,2 |
0,14 |
0,005 |
| E |
0,23 |
1,27 |
0,27 |
0,031 |
0,014 |
0,197 |
1,1 |
0,214 |
0,137 |
0,016 |
| F |
0,23 |
1,10 |
0,25 |
0,03 |
0,015 |
0,15 |
1,3 |
0,15 |
0,12 |
0,016 |
Les courbes JOMINY de ces aciers étaient telles que :
| (duretés en HRC) |
A |
B |
C |
D |
E |
F |
| J3 |
47,8 |
49,4 |
46,5 |
45,7 |
46,8 |
47,9 |
| J7 |
45,5 |
48,5 |
45,4 |
45 |
45,8 |
45,5 |
| J11 |
41,6 |
45,6 |
41,8 |
45 |
43,1 |
41,6 |
| J15 |
39,1 |
43,3 |
39,4 |
43,1 |
39,4 |
39 |
| J25 |
34,3 |
39,2 |
34,9 |
37,8 |
34,2 |
34,1 |
| |J11m - J3m x 14 /22 - J25m x 8/22| |
1,29 |
0,09 |
0,48 |
2,17 |
0,88 |
1,28 |
| J3m-J15m |
8,7 |
6,1 |
7,1 |
2,6 |
7,4 |
8,9 |
| 10 x (J7m - J11m) / (4 x (J15m - J25m)) |
2,02 |
1,75 |
2,00 |
0 |
1,30 |
1,97 |
| 10 x (J7m - J15m) / (8 x (J15m - J25m)) |
1,66 |
1,59 |
1,66 |
0,45 |
1,54 |
1,65 |
[0022] Après cémentation à 995 °C pendant 10 heures et trempe à l'huile tiède à 98 °C, les
pièces ne présentaient pas de déformations nécessitant un usinage supplémentaire.
De plus, le cémentation était caractérisée par une teneur en carbone de 0,94 % à 0,1
mm sous la surface.
[0023] A titre de comparaison, on a réalisé, dans les mêmes conditions, des pièces identiques,
en acier du type 27MC5, 29MC5, 27MC5u, 27MC5r, 27CD4u, 30M5 et 20CD4 conformes à l'art
antérieur. Les compositions de ces aciers étaient :
| |
C |
Mn |
Si |
S |
P |
Ni |
Cr |
Mo |
Cu |
Al |
| 27MC5 |
0,23 |
1,18 |
0,24 |
0,033 |
0,015 |
0,13 |
1,08 |
0,04 |
0,16 |
0,024 |
| 29MC5 |
0,23 |
1,22 |
0,24 |
0,033 |
0,014 |
0,14 |
1,12 |
0,05 |
0,16 |
0,024 |
| 27MC5u |
0,26 |
1,19 |
0,25 |
0,033 |
0,015 |
0,09 |
1,09 |
0,04 |
0,13 |
0,025 |
| 27MC5r |
0,26 |
1,31 |
0,24 |
0,072 |
0,016 |
0,12 |
1,11 |
0,05 |
0,16 |
0,025 |
| 27CD4u |
0,27 |
0,74 |
0,25 |
0,032 |
0,012 |
0,15 |
1,08 |
0,22 |
0,17 |
0,028 |
| 30M5 |
0,30 |
1,41 |
0,24 |
0,072 |
0,015 |
0,13 |
0,43 |
0,06 |
0,16 |
0,025 |
| 20CD4 |
0,20 |
0,82 |
0,23 |
0,029 |
0,013 |
0,14 |
1,05 |
0,27 |
0,17 |
0,029 |
et les courbes JOMINY étaient telles que :
| (duretés en HRC) |
27MC5 |
29MC5 |
27MC5u |
27MC5r |
27CD4u |
30M5 |
20CD4 |
| J3 |
48,8 |
49,7 |
49 |
48,5 |
48,9 |
50 |
45,3 |
| J7 |
45,8 |
47,3 |
45,6 |
45,9 |
46,1 |
40,3 |
40,8 |
| J11 |
40,3 |
43,2 |
40,4 |
41 |
39,8 |
31,9 |
34,4 |
| J15 |
36,6 |
39,6 |
36,8 |
37,6 |
35,6 |
28,4 |
31,2 |
| J25 |
32,7 |
35,1 |
33 |
33,7 |
31,6 |
24,4 |
27,8 |
| |J11m-J3mx14/22-J25mx8/22| |
2,6 |
1,19 |
2,7 |
2,1 |
2,8 |
8,8 |
4,53 |
| J3m - J15m |
12,2 |
10,1 |
12,2 |
10,9 |
9 |
21,6 |
14,1 |
| 10 x (J7m - J11m) / (4 x (J15m - J25m)) |
3,52 |
2,27 |
3,42 |
3,14 |
3,94 |
5,25 |
8 |
| 10 x (J7m - J15m) / (8 x (J15m - J25m)) |
5,9 |
2,13 |
2,89 |
2,66 |
3,28 |
3,72 |
3,87 |
[0024] Après cémentation, les pièces ont nécessité une reprise d'usinage. De plus, la teneur
en carbone dans la couche cémentée, à 0,1 mm sous la surface, n'était que de 0,8 %.
Ce dernier résultat, montre que, outre la plus faible sensibilité aux déformations,
l'acier selon l'invention se cémente mieux que l'acier selon l'art antérieur.
1. Procédé de fabrication d'une pièce de mécanique en acier selon lequel on fabrique
une ébauche de pièce en acier et on effectue un traitement de cémentation ou de carbonitruration
éventuellement à haute température d'au moins une partie de la surface de l'ébauche
de la pièce, caractérisé en ce que la composition chimique de l'acier dont est constitué
la pièce comprend, en poids :







éventuellement, jusqu'à 0,02 % de tellure, jusqu'à 0,04 % de sélénium, jusqu'à 0,07
% de plomb, jusqu'à 0,005 % de calcium, le reste étant du fer et des impuretés résultant
de l'élaboration, la composition chimique étant ajustée pour que la courbe JOMINY
de l'acier soit telle que :



et pour que les valeurs moyennes J
3m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :

et,
2. Procédé selon la revendication 1 caractérisé en ce que l'acier est tel que :
3. Procédé selon la revendication 1 ou la revendication 2 caractérisé en ce que les valeurs
moyennes J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que:
4. Procédé selon la revendication 1, la revendication 2 ou la revendication 3, caractérisé
en ce que les valeurs moyennes J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :
7. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 6 caractérisé en ce que l'acier
contient, en outre, de 0 % à 0,05 % de titane.
8. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 7 caractérisé en ce que la teneur
en azote de l'acier est comprise entre 0,004 % et 0,02 %.
9. Acier de cémentation ou de carbonitruration caractérisé en ce que sa composition chimique
comprend, en poids :










éventuellement, jusqu'à 0,02 % de tellure, jusqu'à 0,04 % de sélénium, jusqu'à 0,07
% de plomb, jusqu'à 0,005 % de calcium, le reste étant du fer et des impuretés résultant
de l'élaboration.
11. Acier de cémentation ou de carbonitruration selon la revendication 9 ou la revendication
10 caractérisé en ce que sa courbe JOMINY est telle que :



les valeurs moyennes J
3m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY étant telles que :

et,
12. Acier de cémentation ou de carbonitruration selon la revendication 11 caractérisé
en ce que :
13. Acier de cémentation ou de carbonitruration selon la revendication 11 ou la revendication
12 caractérisé en ce que les valeurs moyennes J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :
14. Acier de cémentation ou de carbonitruration selon la revendication 11, la revendication
12 ou la revendication 14, caractérisé en ce que les valeurs moyennes J
7m, J
11m, J
15m et J
25m de cinq essais JOMINY soient telles que :
15. Acier selon l'une quelconque des revendications 9 à 14 caractérisé en ce que il contient
en outre de 0 % à 0,05 % de titane.
16. Acier selon l'une quelconque des revendications 9 à 15 caractérisé en ce que sa teneur
en azote est comprise entre 0,004 % et 0,02 %.