[0001] La présente invention a pour objet une montre-bracelet de sécurité perfectionnée
avec des prestations micro-électroniques.
[0002] La montre-bracelet de l'invention présente des prestations variées grâce à un micro-chip
(puce) et quelques modules micro-électroniques placés dans le double fond dont dispose
la montre et/ou dans un bracelet modulable en chaîne.
[0003] A présent, on n'a pas connaissance de montres qui présentent ces caractéristiques
et qui permettent une série de fonctions de base et en plus fondamentales pour la
personne qui porte ladite montre.
[0004] La montre de l'invention fonctionne par un mouvement mécanique ou automatique et
le circuit micro-électronique de base est formé par un micro-chip (puce) qui est installé
dans le double fond dont dispose le boîtier de la montre.
[0005] Ce micro-chip (puce) est chargé par un software (logiciel) et peut mettre en mémoire
l'essentiel des renseignements que le propriétaire de la montre désire enregistrer,
par exemple: son dossier médical et autres informations utiles ou personnelles.
[0006] Cet enregistrement ou chargement d' informations à loger dans la montre peut être
effectué par le vendeur-dépositaire de la société commerciale horlogère au moment
de la vente et modifié dans n'importe quel point de vente au moyen d'un système logiciel
(de software) et sera d'un accès facile pour l'hôpital, la police etc., en cas d'urgence.
[0007] Le micro-chip (puce) constitue le circuit de base pour une série de micro-circuits
électroniques intégrés, qui
- soit noyé dans une matière isolante et flexible dans le(s) module(s) du bracelet et/ou
de la chaîne de la montre
- soit dans le(s) module(s) métalliques(s) (Cage Faraday) comme protection contre les champs magnétiques.
seront connectés par un "bus de communication", c'est-à-dire par une connectique
filaire, et permettront d'atteindre une ample gamme de fonctions additionnelles, étant
donné leur répartition parmi les modules composant le bracelet et/ou la chaîne de
la montre.
[0008] Chaque module "circuit électronique" du bracelet et/ou de la chaîne de la montre
est connecté l'un à l'autre par une connectique filaire à double fil et à la montre
par un système de fermeture à fiche. Cette fiche sera engagée dans une alvéole d'un
système de verrouillage du boîtier de la montre pour établir le contact.
[0009] Ainsi, selon les désirs du propriétaire de la montre, le bracelet et/ou la chaîne
de la montre peuvent être composés de différents types de modules déjà chargés par
software (logiciel) ou à charger ultérieurement, pour les fonctions suivantes, à titre
d'exemple:
- Un module - indicateur
- Un module - radio (récepteur/émetteur) voir bouton d'alarme (détresse)
- Un module - capteur stéthoscopique de tension artérielle
- Un module vide à charger
- et toute autre sorte de modules, selon les services que cette montre-bracelet et/ou
de poche doit offrir.
[0010] La montre est munie d'un bouton d'alarme (de détresse) pour signaler la détresse
ou un danger imminent, bouton qui se trouve sur le côté gauche du boîtier de la montre.
Applications:
[0011]
a) Lorsque la personne en détresse appuie sur ce bouton, qui est connecté avec le
module radio (émetteur / récepteur) ce module micro-électronique émet un signal qui
est capté soit:
- par un système accessoire du téléphone de la personne, servant de relais pour retransmettre
l'appel de détresse ou de danger au central de secours, ( soit une société de protection
avec qui la personne a souscrit un contrat à ce sujet, soit le central téléphonique
d'assistance lorsque la personne se trouve dans une chambre d'hôpital ou dans une
maison de retraite, etc.), soit
- par un système de radio capté par un système de satellite GPS (Global Positioning
System = système de positionnement mondial) ou n'importe quel autre système) ou un
centre de transmission régional qui retransmet l'appel de détresse au centre de secours
d'une société de protection avec qui la personne a souscrit un contrat, afin que cette
société de protection et/ou le central GPS local, disposant d'un équipement/tableau
de détection GPS qui lui permet de localiser un appel de détresse envoyé dans un certain
périmètre, puisse intervenir rapidement.
b) Pour faciliter la recherche de personnes
- ayant un problème de santé (danger de syncope, perte de mémoire et/ou autres raisons)
ou
- qui pratiquent un sport dangereux, (ski alpin, par exemple)
cet émetteur/ récepteur répondra automatiquement à un signal de recherche (dont le
code est connu par la société de protection, avec qui la personne qui utilise la montre
a souscrit un contrat et/ou le service de tourisme dans une station de ski) permettant
ainsi la localisation de la personne recherchée.
[0012] GPS. - les 24 satellites GPS qui tournent sur six orbites à 18.000 km d'altitude,
équipés d'horloges atomiques, d'ordinateurs et d'émetteurs/récepteurs, transmettent
la position d'un objet mille fois par seconde. En mesurant le temps qu'il faut pour
recevoir chaque signal, un récepteur basé à terre peut déterminer la distance qui
le sépare du satellite. En combinant les données fournies par plusieurs satellites
on peut calculer très exactement sa latitude, sa longitude et éventuellement son altitude.
[0013] L'armée américaine précise à l'attention des utilisateurs civils que les signaux
du GPS ont une marge d'erreur de 100 mètres. En réalité, cette marge est corrigée
par un réseau de stations terrestres, qui permettent finalement une précision de l'ordre
d'un mètre. N'importe qui peut avoir accès à ce système, totalement gratuit.
[0014] D'après Peter Huber, un spécialiste américain de la technologie en question, si la
demande augmente pour ce genre d'équipement, les prix vont automatiquement chuter.
Assurément, le GPS deviendra alors une option aussi banale qu'un simple autoradio.
[0015] La montre est dotée d'une pastille stéthoscopique - capteur de tension artérielle
permettant de mesurer automatiquement la tension artérielle.
[0016] Ce capteur, incorporé dans le bracelet, étant en constant contact avec l'artère de
l'avant-bras et programmé par un module "circuit électronique" vérifiable sur un petit
compteur (no 2) de la montre, grâce au module afficheur, est muni d'un mécanisme de
sonnerie qui signale une anomalie dès que la tension dépasse la limite fixée (comme
le mécanisme de réveil d'une montre).
[0017] Ce système permettrait une intervention rapide en cas d'une soudaine haute pression
dont souffre plus d'un tiers de la population du monde industrialisé et qui représente
un danger constant d'attaque cérébrale ou autres suites. Ou en cas d'une irrégularité
de tension pendant une durée dépassant le temps programmé.
[0018] La montre dispose d'un module afficheur.
[0019] Tout mode d'affichage, soit par aiguille sur le cadran ou sur un des compteurs de
la montre peut être activé. En plus, un système de "cadran ou de fenêtre électroliquide
peut être programmé pour la réception de messages ou autres prestations.
[0020] La montre dispose d'un système de verrouillage.
Afin d'éviter toute possibilité d'interférences avec des appareils de navigation et
autres appareils, le module radio (émetteur / récepteur) et/ou tout autre module peut
être bloqué par un système de verrouillage par code manuel réglable par le bouton
ou électroniquement par téléchargement.
[0021] En cas de besoin de protection d'un malade, un deuxième code peut être introduit
pour bloquer également l'ouverture du bracelet, permettant ainsi de localiser rapidement
une personne ayant des pertes de mémoire ou avant que ne lui arrive un incident grave.
Si cette personne arrivait à ouvrir le bracelet de force, ou si en cas d'accident,
une irrégularité de la tension artérielle se prolongeait au-delà du temps programmé,
le système d'alarme se mettrait immédiatement en fonction et les personnes chargées
de la protection du malade pourraient intervenir rapidement.
[0022] Afin de pouvoir comprendre plus facilement non seulement la constitution, mais également
l'usage proprement dit de la montre d'invention, la suite se réfère à l'emploi pratique
de réalisation, c'est-à-dire à l'exécution uniquement énumérative mais nullement limitative
de cette dernière, telle et comment elle est démontrée dans les dessins ci-joints:
- Figure 1:
- montre une vue d'ensemble de la montre d'invention
- Figure 2:
- montre une vue perspective d'un maillon du bracelet de la montre d'invention
- Figure 3:
- montre une vue latérale de la montre
- Figure 4:
- montre une vue perspective du boîtier ouvert de la montre
- Figure 5:
- montre une vue perspective de la montre.
[0023] Les dessins se réfèrent aux parts comme suit: la montre [1], constituée par un cadran
[2] et un bracelet [3]
[0024] Le bracelet [3] étant composé par des parts ou pièces [4], dont chacune d'elles constitue
un module de circuit électronique.
[0025] Les parts ou modules [4] sont connectés entre eux par une connectique filaire à double
fil [5] et à la montre par un système de fermeture réglé par un bouton [6] qui définit
un verrouillage.
[0026] La montre au niveau du cadran présente des boutons latéraux [7], destinés au réglage
normal de la montre et un bouton d'alarme [8], connectés aux compteurs [9] qui apparaissent
sur le cadran.
[0027] La montre contient un micro-chip [10] installé dans le double fond [11] du boîtier
de la montre, sur lequel sont emmagasinées les informations que le propriétaire de
la montre désire enregistrer.
[0028] Dans le bracelet [3] de la montre [1] se trouve une pastille stéthoscopique[12] -
capteur de tension artérielle, dont les détails sont représentés sous figure 5.
[0029] Dans le boîtier de la montre apparaît un mouvement [13] de montre, en outre, le boîtier
se ferme par un double couvercle [14].
[0030] La nature de l'invention étant suffisamment décrite, ainsi que la manière de la réaliser
en pratique, il faut faire remarquer que les dispositions indiquées antérieurement
et représentées dans les dessins ci-joints sont susceptibles à des modifications de
détails à condition qu'elles n'altèrent pas le principe fondamental.
1. La montre-bracelet de sécurité perfectionnée; du type qui comprend un corps de montre
dont les fonctions sont signalées par les aiguilles principales et secondaires du
cadran de la montre, qui se trouve unie par un bracelet, composé de parts reliées
entre elles; caractérisées parce que les parts du bracelet sont des modules micro-électroniques
reliés entre eux par une connectique filaire à double fil, formant un circuit électronique,
et à la montre par un système de fermeture à fiche qui s'intègre dans l'alvéole d'un
système de fermeture incorporé dans le boîtier de la montre; contentant dans une des
parts du bracelet une pastille stéthoscopique - capteur de tension artérielle - qui
est reflétée dans un petit compteur avec aiguille, figurant sur le cadran, avec un
mécanisme de sonnerie d'avertissement lorsque la tension artérielle dépasse les limites
programmées.
2. Montre-bracelet de sécurité perfectionnée selon la revendication [1], caractérisée
parce que la pastille-capteur de tension artérielle est disposée dans la face intérieure
du bracelet à un point où la pastille est en contact permanent avec l'artère de l'avant-bras.
3. Montre-bracelet de sécurité perfectionnée selon la revendication [1], caractérisée
parce que le corps de la montre est doté d'un module indicateur, programmable pour
la réception, tels que messages.
4. Montre-bracelet de sécurité perfectionnée selon la revendication [1], caractérisée
parce qu'elle est dotée d'un module radio, émetteur / récepteur qui peut être bloqué
par un système de fermeture avec code manuel réglable par un bouton ou poussoir disposé
dans le corps de la montre ou électroniquement par téléchargeur.
5. Montre-bracelet de sécurité perfectionnée selon la revendication [1], caractérisée
parce qu'elle contient un micro-chip installé dans le double fond du boîtier de la
montre sur lequel les informations que le propriétaire de la montre désire enregistrer
peuvent être emmagasinées.