[0001] L'invention est relative à un cylindre pour serrure ou crémone à larder, renforcé
pour résister à l'effraction.
[0002] Elle concerne plus spécialement les cylindres composés d'un corps de base en forme
d'étrier et composé de deux éléments cylindriques latéraux coaxiaux, espacés l'un
de l'autre et disposés de part et d'autre du plan médian transversal du corps de base,
chaque élément latéral comportant une portée cylindrique dans laquelle est monté libre
en rotation un corps cylindrique portant les moyens d'actionnement du mécanisme de
serrure, et dans lesquels l'entraînement en rotation de ce corps cylindrique est assuré
par des moyens tels qu'une boîte à gorges, le rotor d'un demi-cylindre ou le nez d'un
bouton, disposés dans des enveloppes, rapportées sur les éléments latéraux du corps
de base.
[0003] Pour éviter l'effraction du cylindre au moyen d'un effort transversal exercé sur
son extrémité extérieure et destiné à le faire fléchir pour désolidariser le rotor
des moyens d'actionnement de la serrure, la demande de brevet français 2 728 928 met
en oeuvre un corps tubulaire axial, lié aux moyens d'entraînement de la serrure, dont
les extrémités sont montées libres en rotation dans les portées cylindriques du corps
de base du cylindre sur une longueur au moins égale à la moitié du diamètre de ces
portées. Cet aménagement renforce la rigidité des éléments latéraux du corps de base
mais tolère encore, sous un effort de flexion particulièrement important, le glissement
de l'élément latéral sollicité par rapport au corps tubulaire axial et permet l'effraction,
et en tous cas de détériorer le cylindre.
[0004] La présente invention a pour objet de remédier à cela en fournissant des moyens simples
et peu onéreux augmentant la résistance à la traction de l'ensemble du cylindre et
diminuant donc ses risques d'effraction, même par un effort de flexion important exercé
sur sa partie extérieure.
[0005] A cet effet, dans le cylindre selon l'invention, le corps cylindrique axial, portant
les moyens d'actionnement du mécanisme d'une serrure, dépasse longitudinalement vers
l'extérieur de chacune des portées dans lesquelles il est monté libre en rotation
et chacune de ses extrémités est munie d'un moyen de calage en translation longitudinale
apte à coopérer avec une face d'appui du corps du cylindre, l'un au moins de ces moyens
de calage étant constitués par un jonc élastique engagé dans une gorge extérieure
ménagée à l'une des extrémités du corps cylindrique.
[0006] Grâce à cet agencement, lorsque le cylindre est soumis, sur sa partie extérieure,
à un effort de flexion tendant à l'incliner par rapport à son axe longitudinal, la
face d'appui de l'élément tubulaire sollicité vient en contact avec le moyen de calage
du corps axial cylindrique et, par ce corps, transmet l'effort à l'autre moyen de
calage venant en appui sur la face d'appui de l'autre élément tubulaire du corps de
base. Il en résulte que, non seulement les moyens de calage en translation du corps
cylindrique dans le corps de base s'opposent au basculement de l'élément tubulaire
sollicité, mais également transforment le corps cylindrique axial en élément de transfert
reportant une partie de l'effort sur l'autre élément tubulaire du corps de base. Grâce
à cela l'ensemble du cylindre encastré dans la porte participe à l'effort résistant
et renforce grandement le cylindre qui devient pratiquement insensible à toute effraction
par flexion de sa partie extérieure.
[0007] Dans une forme d'exécution, le corps axial cylindrique comporte à chacune de ses
extrémités une gorge extérieure pour un jonc.
[0008] Dans une autre forme d'exécution, le corps externe cylindrique comporte à une extrémité
une gorge extérieure pour un jonc et, à son autre extrémité, une collerette radiale
externe apte à venir en contact avec la face d'appui du corps de base.
[0009] De préférence, le corps de base du cylindre est constitué par un étrier monolithique
composé d'une barrette longitudinale, de deux barreaux transversaux extrêmes et de
deux éléments tubulaires coaxiaux et espacés, comportant les portées cylindriques
pour le corps cylindrique axial, chaque portée se raccordant par une gorge ou un épaulement
d'appui avec un alésage de plus grand diamètre.
Ce corps monolithique est beaucoup plus résistant qu'un corps en plusieurs parties,
ne serait-ce que parce qu'il augmente les sections existantes par suppression des
trous nécessaires aux organes de liaison des différents éléments d'un corps en plusieurs
parties. De même, la suppression dans la barrette de la rainure de positionnement
des éléments latéraux permet d'augmenter la dimension de la section résistante de
cette barrette, donc la résistance globale du corps de base.
[0010] D'autres caractéristiques et avantages ressortiront de la description qui suit en
référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemples, plusieurs
formes d'exécution du cylindre renforcé selon l'invention.
Figures 1 et 2 sont des vues en coupe longitudinales de deux formes d'exécution d'un
cylindre renforcé, à savoir, avec corps de base en plusieurs parties et avec corps
monolithique ;
Figure 3 est une vue en coupe montrant à échelle agrandie et plus en détail la portée
d'appuie du jonc élastique représenté en A à la figure 1 ;
Figure 4 est une vue en perspective éclatée des éléments coopérant avec le corps de
base de figure 2 ;
Figures 5 à 7 sont des vues en coupe longitudinale montrant différents corps de cylindres
mettant en oeuvre un moyen de renfort selon l'invention ;
Figures 8 à 10 sont des vues en perspective éclatée montrant plus en détail les éléments
coopérant avec le corps de base des figures 5 à 7 ;
Figure 11 est une vue en coupe longitudinale montrant une autre forme d'exécution
d'un cylindre renforcé ;
Figure 12 est une vue en perspective éclatée montrant les éléments du corps de base
de figure 11 ;
Figure 13 est une vue en coupe longitudinale montrant une variante de réalisation
du cylindre de figure 2 ;
Figure 14 est une vue en perspective éclatée des éléments du cylindre montré à la
figure 13.
[0011] Dans ce dessin la référence générale C désigne le corps de base du cylindre, corps
pouvant recevoir au moins d'un côté une enveloppe E contenant un mécanisme d'entraînement
tel qu'un demi-cylindre comprenant un stator 2 et un rotor 3.
[0012] Dans la forme d'exécution représentée aux figures 1 et 3, le corps de base C est
composé de plusieurs éléments, à savoir deux éléments tubulaires 4a, 4b, coaxiaux,
espacés et disposés de part et d'autre du plan médian transversal P du corps C. Un
espace 5 entre ces deux éléments est nécessaire au déplacement d'un panneton 6 qui
est solidaire d'un corps cylindrique 7 et plus précisément d'un manchon. Chacune des
extrémités de ce manchon est montée libre en rotation dans une portée cylindrique
8 de l'élément 4a, 4b correspondant. A l'intérieur du manchon 7 sont disposés des
entraîneurs 9a, 9b qui assurent la liaison en rotation et en translation du rotor
3 sollicité par une clef avec le manchon 7, donc avec le panneton 6 constituant un
moyen d'actionnement de la serrure. Ces entraîneurs sont de divers types et n'ont
pas à être décrits plus en détail, car ne faisant pas partie de l'invention.
[0013] Les éléments tubulaires 4a, 4b sont liés l'un à l'autre par l'intermédiaire d'une
barrette longitudinale 10 comportant une gorge longitudinale 12, de positionnement
et de centrage, coopérant avec des portées de section complémentaire à la sienne ménagées
à la partie inférieure des éléments 4a, 4b. La liaison est assurée par des vis radiales
13.
[0014] Selon l'invention, le corps cylindrique axial 7 dépasse longitudinalement des portées
8 dans lesquelles il est monté libre en rotation et chacune de ses extrémités est
munie d'un moyen de calage en translation longitudinale. Dans la forme d'exécution
représentée à cette figure 1, ce moyen de calage est constitué par un jonc élastique
14 disposé avec serrage radial dans une gorge 15 visible figure 3. Cette gorge est
ménagée dans la partie extérieure du corps axial 7 constitué ici par un manchon tubulaire.
Chaque jonc 14 est en vis-à-vis d'une face d'appui constitué ici par une gorge 16
ménagée dans un épaulement 17, formé entre la portée cylindrique 8 et un alésage 18
ménagé dans l'élément 4a, 4b correspondant. Cet alésage 18 sert au positionnement
de l'embout cylindrique épaulé 11 s'emmanchant dans le corps de base et par exemple
de l'enveloppe E. Des goupilles tubulaires expansibles 19 assurent le calage en translation
et en rotation de l'enveloppe E avec l'élément 4a, 4b correspondant.
[0015] Avec ce dispositif, lorsque la partie extérieure du cylindre et par exemple la partie
située à gauche est soumise à un effort vertical localisé F tendant à faire fléchir
l'enveloppe E pour la désolidariser du corps C, en vue de fracturer la serrure, l'élément
tubulaire 4a est soumis à un effort d'extension longitudinale qui amène sa gorge 16
au contact du jonc élastique 14 en rattrapant ainsi le jeu fonctionnel entre ce jonc
et la gorge. L'effort longitudinal transmis au jonc 14 se transmet, par le manchon
7 à l'autre jonc 14 qui vient, à son tour, en appui sur la gorge 16 de l'élément tubulaire
4b. Il en résulte que le corps axial 7 forme une sorte de tirant qui répartit l'effort
de traction sur les deux éléments 4a, 4b et améliore ainsi la résistance globale du
cylindre.
[0016] La forme d'exécution représentée aux figures 2 et 4 se différencie de la précédente
par le fait que le corps de base C est monolithique et présente, comme montré figure
4, la forme générale d'un étrier. Ce corps est donc composé d'une barrette longitudinale
20 de laquelle font saillie deux barreaux transversaux 21a, 21b portant chacun un
élément tubulaire 22a, 22b, dans lequel sont ménagés une portée cylindrique 8, pour
le corps axial cylindrique et tubulaire 7a, et un alésage 18.
[0017] Le panneton 6a est solidaire d'une bague 6b se montant libre en rotation sur le corps
tubulaire 7a. La liaison en rotation est assurée comme montré figure 2, par engagement,
dans un trou radial 23 du corps 7a, de l'extrémité 24a d'un doigt 24 qui, monté dans
un logement axial borgne 25 du paneton 6a, est soumis en permanence à l'action d'un
ressort de rappel 26.
[0018] Le paneton 6a, 6b est mis en place entre les deux éléments 22a, 22b avant que soit
engagé le corps axial 7a et que soit mis en place les joncs d'arrêt 14.
[0019] La figure 2 montre bien que le recours à un corps C, monolithique, permet d'augmenter
considérablement la section résistante de ce corps et plus particulièrement sa section
minimale S se situant sensiblement dans son plan médian transversal P et cela bien
que cette section soit affaiblie, par le trou taraudé 27 servant au vissage de la
vis de fixation du cylindre dans la serrure.
[0020] Aux figures 5 et 8, le corps axial ou manchon 7b est plus court mais dépasse aussi
de ses portées 8b pour recevoir des joncs 14. Le corps de base C est monolithique
et est destiné à former un autre type de cylindre à larder. Ce corps C est aussi en
forme d'étrier et il est traversé dans chacun de ses barreaux 31a, 31b reliant sa
barrette longitudinale 30 aux éléments latéraux 32a, 32b, par au moins un, en l'occurrence
deux alésages transversaux 33. Chacun de ces alésages est destiné à recevoir une goupille
34 plus longue que l'alésage. Cette goupille 34 est disposée sur la partie du cylindre
qui est à l'intérieur de la porte, de manière que, en cas d'effraction tendant à tirer
le cylindre vers l'extérieur de la porte, ces deux extrémités dépassant de l'alésage
33 correspondant viennent en appui sur la face de la serrure et contribuent à augmenter
la valeur de l'effort nécessaire pour arracher le cylindre.
[0021] Le corps C comporte, dans sa partie formant barrette 30 et dans le prolongement des
barreaux 31a, 31b, au moins un, et de préférence deux logements borgnes 35 (figure
5) débouchant vers le bas. Chacun de ces logements reçoit, par emmanchement serré,
un plot 36 réalisé en matériau résistant au perçage tel qu'en acier rapide, acier
ou manganèse, en tungstène ou en céramique. Ces plots protègent ainsi le corps contre
toute effraction par perçage.
[0022] La forme d'exécution représentée aux figures 6 et 9 se différencie de la précédente
par le fait que le corps axial 7d est constitué par une lanterne comportant deux portées
cylindriques 40a, 40b aptes à coopérer avec les portées cylindriques 8d ménagées dans
le corps de base C. Les portées 40a, 40b de la lanterne débordent dans l'espace 5
entre les deux éléments latéraux 42a, 42b du corps monolithique pour recevoir des
bagues 43a, 43b de commande du mécanisme de la serrure. Pour le reste, le cylindre
est similaire à ceux décrits dans les formes d'exécution précédentes.
[0023] Dans la variante représentée aux figures 7 et 10, le corps axial cylindrique et tubulaire
7c, similaire à celui 7b de figure 5, est solidaire d'une roue dentée 45 qui est liée
à lui par un doigt 24 à rappel par ressort 26. Ce doigt, similaire à celui décrit
à la figure 2, coopère avec un alésage radial 23 ménagé dans ce corps axial 7b.
[0024] Les figures 11 et 12 représentent une variante de réalisation du corps représenté
aux figures 6 et 9. Dans ce cas, le corps axial 7e est constitué par une lanterne
qui comporte, d'un côté, une gorge extérieure 15 de réception d'un jonc élastique
14 et, de l'autre côté, une collerette d'appui 50, apte à coopérer avec une face d'appui
52 formée entre la portée cylindrique 8 ménagée dans le corps C et l'alésage 18. Exceptée
cette différence constructive, ce corps est en tous points similaires à celui en référence
aux figures 7 et 9 et peut recevoir sur chacune des extrémités de ses éléments latéraux
42a, 42b une enveloppe E contenant un mécanisme d'actionnement, le nez d'un bouton
de commande ou tout autre moyen d'actionnement de la lanterne 7e.
[0025] Le dispositif représenté aux figures 13 et 14 se différencie de celui représenté
aux figures 2 et 4 par le fait que chaque enveloppe E est solidaire d'une saillie
transversale ou pied 51 ayant, en section transversale, les mêmes formes et dimensions
que celles de la section transversale de la partie inférieure du corps C. Cette saillie
comporte, à son extrémité tournée en direction du corps C, un tenon 53 apte à pénétrer
dans une mortaise appropriée 54 ménagée à chacune des extrémités de la partie inférieure
de ce corps. Lorsque les enveloppes E sont assemblées au corps, comme montré à la
figure 13, des trous transversaux 55 ménagés dans les tenons 53 coïncident avec des
trous 56 traversant les mortaises 54 et forment ainsi des canaux pouvant recevoir
des goupilles de liaison 57.Ces goupilles améliorent la rigidité de la liaison entre
chaque enveloppe et le corps C, de sorte que chaque enveloppe se comporte comme si
elle était monolithique avec le corps. Cela augmente la résistance à l'effraction
en complétant celle déjà exercée par les joncs d'arrêt 14.
[0026] Les deux goupilles 57 disposées sur la partie du corps qui est à l'intérieur peuvent
dépasser par rapport à ce corps pour venir prendre appui contre la face interne de
la serrure en s'opposant ainsi à toute extraction longitudinale du cylindre hors de
la porte.
[0027] La figure 13 montre que la saillie 51 de chaque enveloppe E comporte au moins un
alésage vertical borgne 58 débouchant vers le bas et pouvant recevoir, soit un dispositif
d'indexation du stator 2, soit un plot en matériau résistant au perçage.
[0028] Il ressort de ce qui précède, que les moyens de calage en translation longitudinale
du corps axial cylindrique 7, qu'ils soient seuls ou combinés avec un corps de base
C monolithique, permettent d'augmenter considérablement la résistance à l'effraction
du cylindre par un effort de flexion sur la partie extérieure de ce cylindre. Moyennant
des aménagements complémentaires simples, le même cylindre peut aussi être protégé
contre l'arrachement longitudinal et la destruction par perçage.
1. Cylindre renforcé pour serrure ou crémone à larder composée d'un corps de base en
forme d'étrier et composé de deux éléments cylindriques latéraux coaxiaux, espacés
l'un de l'autre et disposés de part et d'autre du plan médian transversal du corps
de base, chaque élément latéral comportant une portée cylindrique dans laquelle est
monté libre en rotation un corps cylindrique portant les moyens d'actionnement du
mécanisme de serrure, et dans lesquels l'entraînement en rotation de ce corps cylindrique
est assuré par des moyens tels qu'une boîte à gorges, le rotor d'un demi-cylindre
ou le nez d'un bouton, disposés dans des enveloppes, rapportées sur les éléments latéraux
du corps de base, caractérisé en ce que le corps cylindrique axial (7, 7a, 7e), portant les moyens d'actionnement (6, 6a,
43a, 43b, 45) du mécanisme d'une serrure, dépasse longitudinalement vers l'extérieur
de chacune des portées (8) dans lesquelles il est monté libre en rotation et chacune
de ses extrémités est munie d'un moyen de calage en translation longitudinale (14,50),
apte à coopérer avec une face d'appui (16, 52) du corps du cylindre, l'un au moins
de ces moyens de calage étant constitués par un jonc élastique (14) engagé dans une
gorge extérieure (15), ménagée à l'une des extrémités du corps cylindrique (7,7a à
7e).
2. Cylindre selon la revendication 1, caractérisé en ce que le corps axial cylindrique (7, 7a à 7d) comporte à chacune de ses extrémités une
gorge extérieure (15) pour un jonc (14).
3. Cylindre selon la revendication 2, caractérisé en ce que le corps externe cylindrique (7e) comporte à une extrémité une gorge extérieure (15)
pour un jonc (14) et, à son autre extrémité, une collerette radiale externe (50) apte
à venir en contact avec la face d'appui (52) du corps de base.
4. Cylindre selon la revendication 1, caractérisé en ce que le corps de base (C) du cylindre est constitué par un étrier monolithique composé
d'une barrette longitudinale (20, 30), de deux barreaux transversaux extrêmes (21a,
21b, 31a, 31b) et de deux éléments tubulaires coaxiaux et espacés, comportant les
portées cylindriques (8) pour le corps cylindrique axial, chaque portée se raccordant
par une gorge (16) ou un épaulement d'appui (17, 52) avec un alésage (18) de plus
grand diamètre.
5. Cylindre renforcé selon les revendications 1 et 4, caractérisé en ce que le corps (c) du cylindre monolithique est traversé, dans chacun de ses barreaux (31a,
31b) reliant sa barrette (30) à l'un des éléments tubulaires latéraux (32a, 32b, 42,
42b), par au moins un alésage transversal (33) pour une goupille (34) dont les extrémités
dépassant du corps (C) sont aptes à venir en appui contre la face interne de la serrure.
6. Cylindre selon les revendications 1 et 4, caractérisé en ce que chacun des barreaux (31a, 31b) du corps (C) de cylindre en forme d'étrier comporte
au moins un logement borgne pour un plot anti-perçage (36) réalisé dans un matériau
résistant au perçage par un foret.