[0001] La présente invention concerne de façon générale un dispositif d'assistance à la
pose de lambris sur des tasseaux.
[0002] Plus précisément, l'invention concerne un dispositif d'assistance à la pose, sur
un tasseau de largeur déterminée, de lambris à disposer transversalement à ce tasseau,
ce dispositif comprenant des organes de fixation pour se fixer sur le tasseau, une
tige sélectivement entraînée en translation par rapport aux organes de fixation, parallèlement
au tasseau, un poussoir fixé à une extrémité de la tige, et des organes d'entraînement,
solidaires des organes de fixation, pour entraîner la tige suivant un axe longitudinal
de la tige, dans un sens d'avancement pour lequel le poussoir la précède.
[0003] Des dispositifs de ce type sont bien connus dans l'art antérieur, comme en témoignent
notamment les brevets US - 1 618 896, US - 2 717 144, US - 3 524 623, US - 4 620 691,
et FR - 2 701 883.
[0004] Le problème essentiel que soulève la pose de lambris réside dans la difficulté d'appliquer
aux lambris, en deux points espacés de leur longueur, des forces équilibrées pour
garantir le parallélisme des lambris posés, cette difficulté étant pratiquement insurmontable
lorsque la pose est effectuée par une seule personne.
[0005] Certains des dispositifs connus ne visent cependant pas à résoudre ce problème, mais
seulement à permettre l'application, sur les lambris en cours de pose, d'une force
relativement élevée moyennant un effort physique relativement modéré.
[0006] Par ailleurs, bien que le dispositif par exemple décrit dans le brevet US - 3 524
623 résolve ce problème, ce brevet préconise l'emploi, en tant qu'organes de fixation,
de clous destinés à pénétrer dans le bois du tasseau.
[0007] Pour faciliter la pénétration des clous dans le bois, ces derniers sont inclinés
suivant une direction inverse du sens d'avancement du poussoir, de sorte qu'ils s'impriment
en principe dans le bois du tasseau lorsque la force appliquée sur le lambris en cours
de pose dépasse la résistance du bois à l'enfoncement de ces clous.
[0008] L'expérience montre cependant que si le tasseau est constitué d'un bois trop tendre,
les clous ont tendance à déchirer le bois du tasseau avant même que la force appliquée
sur le lambris en cours de pose soit suffisante, et que si le tasseau est constitué
d'un bois trop dur, l'extraction des clous est particulièrement malcommode.
[0009] Dans ce contexte, l'invention vise notamment à proposer un dispositif d'assistance
à la pose de lambris qui s'affranchisse de ce compromis, tout en présentant une grande
facilité d'utilisation.
[0010] A cette fin, le dispositif de l'invention, par ailleurs conforme à la définition
générique qu'en donne le préambule ci-dessus, est essentiellement caractérisé en ce
que les organes de fixation comprennent un étrier formant étau, équipé d'une cale
vissable pour adapter une dimension transversale de l'étrier à la largeur du tasseau,
et d'une sauterelle pour fixer sélectivement l'étrier sur le tasseau.
[0011] Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, les organes d'entraînement comprennent
une pince essentiellement formée d'un premier et d'un second leviers sensiblement
perpendiculaires à la tige et respectivement fixe et pivotant par rapport à l'étrier,
un cliquet d'entraînement monté basculant autour d'un premier axe transversal fixé
au second levier et transmettant à la tige, dans le sens d'avancement, un mouvement
de translation lié au mouvement de pivotement du second levier, et un cliquet de retenue,
monté basculant autour d'un second axe transversal fixe par rapport à l'étrier, pour
interdire à la tige un mouvement dans un sens inverse du sens d'avancement.
[0012] Dans ce cas, le premier levier est de préférence conformé en chape et le second levier
est monté pivotant autour d'un troisième axe transversal, le premier levier supportant
alors les second et troisième axes transversaux.
[0013] La tige, qui peut être crantée, présente par exemple une surface externe sensiblement
cylindrique, n'est avantageusement crantée que sur une plage angulairement limitée
de sa surface externe, et présente éventuellement un crochet permettant de l'entraîner
facilement en rotation autour de son axe longitudinal, cette tige pouvant ainsi être
débrayée des cliquets d'entraînement et de retenue.
[0014] L'étrier peut présenter une base reliant des première et seconde branches latérales,
la première branche latérale portant la sauterelle.
[0015] Par exemple, la sauterelle présente un axe de poussée qui traverse la première branche
latérale de l'étrier, alors que la cale vissable est portée par l'axe de poussée de
la sauterelle, la deuxième branche de l'étrier portant une ou plusieurs griffes tournées
vers la première branche.
[0016] Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, l'étrier, la pince, et le poussoir
sont constitués de flans métalliques découpés et pliés, et une extrémité du premier
levier s'élargit pour former une platine qui est rendue solidaire d'une face externe
de la base de l'étrier.
[0017] Le poussoir est de préférence conçu pour former, au bout de la tige, une pelle renversée
propre à assurer, si nécessaire, le maintien d'un gabarit.
[0018] Le poussoir peut en outre être monté de façon amovible sur l'extrémité de la tige
pour être interchangeable, ce poussoir pouvant alors aussi prendre la forme d'une
patte de guidage qui s'étend au moins partiellement dans un plan contenant l'axe longitudinal
de la tige.
[0019] Le poussoir présente par exemple des découpes délimitant des bandes transversales
dont certaines au moins sont disposées de part et d'autre de la tige et dont l'une
vient buter sur l'extrémité de la tige.
[0020] Enfin, l'extrémité de la tige peut présenter un épaulement prenant place dans l'une
des découpes et déformant élastiquement l'une au moins des bandes transversales lorsque
le poussoir est enfilé sur la tige.
[0021] D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront clairement de
la description qui en est faite ci-après, à titre indicatif et nullement limitatif,
en référence aux dessins annexés.
[0022] Dans ces derniers, la figure 1 est une vue en perspective générale d'un dispositif
conforme à l'invention, en cours d'utilisation, la distance entre le gabarit et le
lambris à poser, ainsi que la distance entre le lambris à poser et les lambris déjà
posés, ayant été dilatées pour permettre une meilleure compréhension de la figure.
[0023] La figure 2 est une vue en perspective éclatée du dispositif représenté à la figure
1.
[0024] La figure 3 est une vue en perspective du dispositif représenté à la figure 2, après
assemblage.
[0025] Et la figure 4 est une vue de dessus de la tige équipée d'un poussoir d'un autre
type.
[0026] Comme le montre le mieux la figure 1, l'invention concerne un dispositif destiné
à faciliter la pose de lambris 2 sur des tasseaux 1, les lambris étant disposés transversalement
par rapport aux tasseaux.
[0027] Ce dispositif comprend, de façon générale, des organes de fixation 3 permettant de
le fixer sur un tasseau 1, une tige 4, un poussoir 5 fixé, de préférence de façon
amovible, à une extrémité 40 de la tige 4, et des organes d'entraînement 6 pour entraîner
la tige 4 suivant un axe longitudinal X (figure 3) et dans un sens d'avancement A.
[0028] Les organes d'entraînement 6 sont solidaires des organes de fixation 3, qui sont
eux-mêmes solidaires, en fonctionnement, du tasseau 1, la tige étant entraînée en
translation le long de ce tasseau 1.
[0029] Selon un premier aspect de l'invention, les organes de fixation 3 comprennent un
étrier 30 formant étau (figures 2 et 3), équipé d'une cale vissable 31 pour adapter
la dimension transversale de l'étrier à la largeur L du tasseau 1, et d'une sauterelle
32 permettant de fixer rapidement l'étrier 30 sur le tasseau 1 et de l'en retirer
tout aussi rapidement.
[0030] Par "sauterelle" on entend ici tout mécanisme de verrouillage à came ou levier, fonctionnant
sur le principe universellement connu du point mort dépassé, encore connu sous le
nom du principe de "genouillère".
[0031] Par ailleurs, les organes d'entraînement 6 comprennent essentiellement une pince
60, un cliquet d'entraînement 63, et un cliquet de retenue 64, la pince étant principalement
formée de deux leviers 61, 62 disposés pratiquement en équerre par rapport à la tige
4 et dont le premier, 61, est monté fixe par rapport à l'étrier 30.
[0032] L'étrier 30, la pince 60, et le poussoir 5 sont de préférence constitués de flans
métalliques découpés et pliés.
[0033] Lorsque tel est le cas, il est aisé de prévoir que le levier fixe 61 soit conformé
en chape et qu'il présente une extrémité qui s'élargisse, grâce à un repli, pour former
une platine 610.
[0034] La platine 610 peut elle-même être rendue solidaire de la face externe de la base
300 de l'étrier 30, par exemple au moyen de vis telles que 611, et d'ergots tels que
612 engagés dans des lumières telles que 301 de la base 300 de l'étrier 30.
[0035] Le second levier 62 peut ainsi être monté pivotant autour d'un axe transversal 623
qui est supporté par la chape que constitue le levier fixe 61, un ressort hélicoïdal
600 étant enroulé sur cet axe pour écarter élastiquement le levier 62 du levier fixe
61 et appuyer le levier 62 contre une butée transversale 69.
[0036] Comme le montre bien la figure 3, la tige 4 est de préférence crantée, mais seulement
sur une plage angulairement limitée de sa surface externe, cette surface étant par
ailleurs essentiellement cylindrique.
[0037] Le cliquet d'entraînement 63 est monté basculant autour d'un axe transversal 631
fixé à une extrémité du levier 62 pour transmettre à la tige 4, dans le sens d'avancement
A, un mouvement de translation lié au mouvement de pivotement du second levier 62
autour de l'axe 623.
[0038] Le cliquet de retenue 64 est monté basculant autour d'un axe transversal 642 supporté
par la chape que constitue le levier fixe 61, et a pour fonction d'interdire à la
tige 4 tout mouvement dans un sens inverse du sens d'avancement A.
[0039] Chacun des cliquets 63 et 64 est élastiquement sollicité vers la tige 4 grâce à un
ressort hélicoïdal approprié, par exemple enroulé sur l'axe de ce cliquet.
[0040] La tige 4 est guidée en translation contre la face externe de la base 300 de l'étrier
30, ou à son voisinage, du côté de l'extrémité du levier fixe 61 en forme de platine,
et de manière à pouvoir être entraînée en rotation autour de son axe longitudinal
X.
[0041] Cette tige 4 est par ailleurs de préférence conformée en crochet à son extrémité
41 distante du poussoir 5, de manière à faciliter son entraînement en rotation autour
de l'axe X, grâce auquel le crantage 42 de la tige échappe aux cliquets 63 et 64,
et grâce auquel la tige 4 peut donc être librement déplacée par rapport à l'étrier
30.
[0042] Le poussoir 5 monté à l'extrémité 40 de la tige 4 peut adopter la forme d'une pelle
renversée, de manière à pouvoir, si nécessaire, maintenir un gabarit 7 dont la partie
avant 70 est adaptée au profil du lambris, dans le cas où ce lambris est orienté d'une
façon telle qu'une pression directement exercée sur lui par le poussoir risquerait
de l'endommager.
[0043] L'étrier 30 adopte globalement un profil en "U", formé de deux branches latérales
301, 302 reliées l'une à l'autre par la base 300 de cet étrier 30.
[0044] La première branche 301 présente par exemple une oreille 303 sur laquelle est articulée
la sauterelle 32.
[0045] La sauterelle 32 présente par ailleurs un axe de poussée 320 qui traverse la première
branche latérale 301 de l'étrier, et qui peut être fileté pour porter un écrou propre
à constituer la cale vissable 31.
[0046] Pour parfaire le maintien de l'étrier 30 sur le tasseau 1, l'autre branche 302 de
l'étrier porte avantageusement deux griffes, telles que 304, qui sont orientées suivant
une direction transversale et qui pointent vers la première branche 301.
[0047] Bien que le poussoir 5 puisse être riveté sur l'extrémité 40 de la tige 4, il est
de préférence monté de façon amovible sur cette tige, éventuellement au moyen d'une
vis.
[0048] En outre, comme le montre la figure 4, ce poussoir peut adopter diverses formes,
et notamment celle d'une patte de guidage 50 qui s'étend au moins partiellement dans
un plan contenant l'axe longitudinal X de la tige, et qui s'élargit à distance de
l'extrémité 40 de cette tige.
[0049] Comme le montre par ailleurs la figure 4, le poussoir 5 peut présenter des découpes,
telles que 51, 53 et 55, qui délimitent des bandes transversales, telles que 52, 54,
56, 58, servant au montage amovible du poussoir 5 sur la tige 4.
[0050] Plus précisément, certaines de ces découpes, telles que 52, 54 et 56, sont disposées
de part et d'autre de la tige 4, et l'une de ces découpes, telle que 58, vient buter
sur l'extrémité 40 de la tige 4.
[0051] De préférence, l'extrémité 40 de la tige 4 présente un relief, tel qu'un épaulement
400, qui prend place dans l'une des découpes 55, et qui déforme élastiquement l'une
au moins des bandes transversales, telle que 56, lorsque ce poussoir 5 est enfilé
sur la tige 4.
[0052] On notera enfin que l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits.
[0053] En effet, il est possible de doter les moyens de fixation 3 de moyens de réglage
de la longueur de la cale vissable 31 de manière à adapter cette dernière à la largeur
du tasseau 1. Par exemple, ces moyens se présentent sous la forme d'un jeu de vis
adaptées chacune pour le montage de la cale vissable 31, ces vis ayant des longueurs
spécifiques et étant choisies chacune en fonction de la largeur de tasseaux susceptibles
de recevoir le dispositif d'assistance selon l'invention.
[0054] Par ailleurs, il est également possible de prévoir, sur la paroi constitutive du
poussoir 5 des orifices (non représentés) permettant la fixation, par exemple par
vissage, d'une cale martyre par laquelle le poussoir 5 exerce un effort sur les lambris
7.
[0055] Enfin, de préférence, on adapte la forme du poussoir 5 au type de lambris à monter,
à savoir soit à ténon soit à mortaise.
1. Dispositif d'assistance à la pose, sur un tasseau (1) de largeur déterminée (L), de
lambris (2) à disposer transversalement à ce tasseau, ce dispositif comprenant des
organes de fixation (3) pour se fixer sur le tasseau, une tige (4) sélectivement entraînée
en translation par rapport aux organes de fixation (3), parallèlement au tasseau,
un poussoir (5) fixé à une extrémité (40) de la tige (4), et des organes d'entraînement
(6), solidaires des organes de fixation (3), pour entraîner la tige (4) suivant un
axe longitudinal (X) de la tige, dans un sens d'avancement (A) pour lequel le poussoir
la précède, caractérisé en ce que les organes de fixation (3) comprennent un étrier
(30) formant étau, équipé d'une cale vissable (31) pour adapter une dimension transversale
de l'étrier à la largeur (L) du tasseau (1), et d'une sauterelle (32) pour fixer sélectivement
l'étrier (30) sur le tasseau (1).
2. Dispositif d'assistance suivant la revendication 1, caractérisé en ce que les organes
d'entraînement (6) comprennent une pince (60) essentiellement formée d'un premier
et d'un second leviers (61, 62) sensiblement perpendiculaires à la tige (4) et respectivement
fixe et pivotant par rapport à l'étrier (30), un cliquet d'entraînement (63) monté
basculant autour d'un premier axe transversal (631) fixé au second levier (62) et
transmettant à la tige (4), dans le sens d'avancement (A), un mouvement de translation
lié au mouvement de pivotement du second levier (62), et un cliquet de retenue (64),
monté basculant autour d'un second axe transversal (642) fixe par rapport à l'étrier
(30), pour interdire à la tige (4) un mouvement dans un sens inverse du sens d'avancement
(A).
3. Dispositif d'assistance suivant la revendication 2, caractérisé en ce que le premier
levier (61) est conformé en chape, en ce que le second levier (62) est monté pivotant
autour d'un troisième axe transversal (623), et en ce que le premier levier (61) supporte
les second et troisième axes transversaux (642, 623).
4. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que la tige (4) est crantée.
5. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que la tige (4) présente une surface externe sensiblement cylindrique, est crantée
sur une plage angulairement limitée de sa surface externe, et peut être entraînée
en rotation autour de son axe longitudinal (X).
6. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que l'étrier (30) présente une base (300) reliant des première et seconde branches
latérales (301, 302), et en ce que la première branche latérale (301) porte la sauterelle
(32).
7. Dispositif d'assistance suivant les revendications 3 et 5, caractérisé en ce qu'une
extrémité du premier levier (61) s'élargit pour former une platine (610) qui est rendue
solidaire d'une face externe de la base (300) de l'étrier (30).
8. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes combinée
à la revendication 2, caractérisé en ce que l'étrier (30), la pince (60), et le poussoir
(5) sont constitués de flans métalliques découpés et pliés.
9. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes combinée
à la revendication 6, caractérisé en ce que la sauterelle (32) présente un axe de
poussée (320) traversant la première branche latérale (301) de l'étrier, en ce que
la cale vissable (31) est portée par l'axe de poussée (320) de la sauterelle, et en
ce que la deuxième branche (302) de l'étrier porte au moins une griffe (304) tournée
en direction de la première branche (301).
10. Dispositif d'assistance selon la revendication 9, caractérisé en ce que les moyens
de fixation comportent des moyens de réglage de la longueur de la cale vissable (31)
de manière à adapter cette dernière à la largeur du tasseau (1).
11. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé
en ce que le poussoir (5) forme, au bout de la tige (4), une pelle renversée propre
à maintenir sélectivement un gabarit (7).
12. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé
en ce que le poussoir (5) est monté de façon amovible sur l'extrémité (40) de la tige
(4).
13. Dispositif d'assistance selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé
en ce qu'il comporte des moyens de fixation d'une cale martyre sur le poussoir (5)
par laquelle ce dernier s'appui contre les lambris.
14. Dispositif d'assistance suivant la revendication 12 ou 13, caractérisé en ce que le
poussoir (5) prend la forme d'une patte de guidage (50) qui s'étend au moins partiellement
dans un plan contenant l'axe longitudinal de la tige.
15. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications 12 à 14, caractérisé
en ce que le poussoir (5) présente des découpes (51, 53, 55) délimitant des bandes
transversales (52, 54, 56, 58) dont certaines au moins (52, 54, 56) sont disposées
de part et d'autre de la tige, et dont l'une (58) vient buter sur l'extrémité (40)
de la tige (4).
16. Dispositif d'assistance suivant l'une quelconque des revendications 12 et 15, caractérisé
en ce que l'extrémité (40) de la tige (4) présente un épaulement (400) prenant place
dans l'une des découpes et déformant élastiquement l'une au moins des bandes transversales
lorsque le poussoir est enfilé sur la tige.